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Trois Mois.
Un Mors...
Trois Mois
‘ Iesuis obligé d’épouser aujourd’t
‘aquérelle amicale et douce qui 8 est
iavée.cette semaine entre le Nowvel-
lise et nous ; la loyauté m’y oblige iné-
‘inctablement, cette querelle ayant pris
missance dans ma petite tirade philo-
‘wphiqae de samedi dernier, concer-
hunt notre virulent, qagique vieux con-
ihre.
Poor. se disculper de.ce que le Matin
‘yéerit joudi concernant le grand appa-
ail dexécution sommaire étalé, sous
‘epénéral’'Sam, contre un groupe de
gtoyens sugpectés d’avoir apposé des
Mgacards séditieux, Duyen nous a ré-
fondi hier que l’article paru dans le
yellis'’e de I'6poque n’est pas de lui,
| lettres de M. Cambacéras St Justé, une
Msvictimes de la violente tentative
iénous avons: rappelée.
it! et.en cela Doyen nous met
soup plus A Vaise qu’il ne saurait
finer, car la déclaration mettant
#@:compte d'une plume étrangére
ppréciations, si faibles qu’elles
lé, que nous avons: rappelées, il
wesiteste: 2 lui dire :
~Conment! et vous, qu’avez vous
4! vous vous 6 es donc ta !...
Note-affirmation reste donc com-
iPlbtement }astifide et Doyen lui méme
eat da fortifier, A savoir que dans le
wee des - mouvements emilitaires de
fJ3.e0rte étaient des peccadilles aux
yet -Rotre confrare, et que la fou-
fe Sirguliére anomalie, — ne lui
Hi Venue qu’avec l'age.... um septennat
oo lard,
mt gardé le silence, —
V5 Deven
ae fallait démontrer) — comment
sii, pouter que M. Marcelin, en
suet le fait suc le compte du Nou-
om ie voulu abriter sous l’au-
..: ©8 journal pour condamner
= eécutions sommaires ?
eat vous étes ti, d'apraés votre prc-
Maton dee vous. auriiz voulu gqu’on
lieslos de vous. pour condimner et
dponitte†Harof monsieur le geai,
\ -Yous-des plumes du paon...
"s be ee VOUS du manteau de
pv@ci 6tant bien acquis
se ja
L pa
eat, en Outre, sur sa réponse
Ding atin? 828-doute,trés-heureuse,
; Nour han o8 qua, dans soa exil
Motes ct? M Marcelin doit penser
el atte histoire
at ere nouveain de
i “on de Bazg
Me Marcelin, La
utte, vient a poiat
as §pprendre — si Vopiuion de
leragn eet MOdifide, de 1901 A 19 19,
Bugger’ dela grande gazette la
AN divin et la plus répandue d‘Haiti
We tte? Patai:-il du Matin en ce
Pvc. 62% Une officine et en ce
fie gy), 2? au Fort-Per au lieu
Ae pcp ayeonne-Foi
68 205 de son livre, le distin-
7
ie
«ot
+
ae
Trois Mois. ..
'witouvant d’ailleurs signé en toutes-
‘clairvoyant pour te
Un Mow. . . G. 2.00
DIRECTEUR-FONDATEUR
« 6.00 Clément-Magloire |
« 2.20 —_———
‘ Boo | Apupausrratzsuor, Arthur Isidore.
° {
NE QUI FINIT
hui; gué écrivain, dont on est si curieux de
savourer Yopinion, écrit, en effet de
quelqu’un qui resemble trés particulié-
rement 4 Doyen, l’apologie suivant :
“* Hier, je suis entré au Quolidien pour
humer un pou lencre dimprimerie.
J'ai causé avec son rédacteur en chef,
{1 m’a conté les petits agréments de la
profession. Vous savez qu’il a été dé-
puté du peuple, a écrit un ouvrage de
géographie, a fait des vers, est enfia un
journaliste laborieux qui a créé dans Le
Quotidienun organe de renseignements,
en pleine prospérité.
‘© De plus il n’est pas un brouillon
C’est un esprit sage qui, connaissa
son pays, méne son journal avec mo-
dération et tact. Da reste,
pas, de la modération ou da tact,
n’aurait pu vivre.
“« Tl gliss: e€ nappuie pas. IL FRAPPE,
MAIS LORSQU ON EST A TERRE...â€
Qe dites vous de la fidélité du der-
nier trait? Eh bien, Doyen, voi'a cette
opinion a laquelle vous attachcz tant de
prix. .
Nous demandons au lecteur pardon
de le retenir si longtemps sur ce suj3t.
mais le Matin, ayant annoncé dan,sa ré-
plique avoicun dernier mota direet une
‘derniéce question 4 poser daotre véné-
rable Doyen si guilleret, bien que grin-
cheux, sous sa douzaine d'annuées, il
importe que j2 liquide cette double pro-
messe.
Voici le dernier mot.
De Nouvellists croit faire une décou-
verte chaqne fuis qu'il nous re proche
@avoie d-fendu et d’avoir soutena le
général Nord Alexis, arclamé en dé-
cembre 1902, président de la Républi-
que..
Nous Vavons avoué et nous le rép¢-
tons une nouve!le fois : oul,oul, et oui,
‘nous avons défendu le gouvernem. nt
précédent, ct cela parvattachem« Lt sys-
tématiqne 4 l’ordre de choses étabii.
Nous w’aurons pas ta fablesse, ov
pour parler comme F. Marcelin, le
tract de déclarer 4 l’ordre des choses
si de Doyen, que nous
nouveau, 4 liastar
ne faisions en cela que « des para les
oblig&s » |
Sil a uncrimeen cela, nous ep
sommes coupables, tout comme
Nouvellis'e le renouvelle, 4 I heure ac-
‘tuelle,en défendant la pouvoir nouveau,
et cela avec d’a.tant lus d empress: =
‘ment qu'il tint 4 se révéler prs brow
lon. |
Sans fiire attention 4 la miulice que
Doyen, vievx rusé, met a le rapperc!
aujourd'hui, comme pour nous’ eek.
guer 4 des foudres peu disposées a le
venger lui:méme, nous le erions une
fois ‘pour toutes, afin, comm? disen
les record’, « que bolo on ignore. op
-Le-général Antoine Simon |
1 araat I e pss découvrir fa
mal du général Nord qui,
Président de la République, son chef,
ficelle d+ Doyen, et l’honorable Prési
dent de Ja République lui-néme a fuift
Vavtre jour justice de ce systéme de
denigrement et de calcul dans son au-
dience de l’autre jour:
«Le Général Simor, nous apprend,
en effet, notre excellent confrére Le
Bon Sens, a formellement déclaré qu’il
n’entendait plus qu’on viat lui parler
dit-il, a été
qu’il remplace actuellement.
« Tout le mal que Von persiste 2 dire
du général Nord, ajoute le Président,
sera peut étre dit aussi de moi, qnaint je
ne serait plus au pouvoir.»
J’arrive ainsi & la derniére question
que j’ai annoncée 4 l’adresse de notre
nt Sympathique et impeccable Doyen.
|. J'ai inutilement cherché, dans son
sil n’en avait , dernier
il présidentielle, cette déclaration du gé-
compte rendu de l’audience
néral Autoine Simon.
Serait-ce que Le Bon Sens, dont la
loyauté et les s*ntiments sont pourtant
bien connus, aurait pris la liberté de
mettre sur le compte de l’honorable
président des sentiments qui lui se-
raient étrangers ?
O1bier, —- ah! Doyen, — serai!-ce
plutét que fe Nouvell-s‘2 aurait été as-
sez peu fiiéle vi.-* vis da langage pre-
sidentiel pour en conserver ce gui lui
plaft et en éiminer ce qui ne loi plait
pas 2...
Il ya certainement un faux quelque
part dans les deux versions, et pour-
q30i m’ea cach ? — mas sospcons
ne vont pas au Bm Sens et pour
cause,
«
« €
Il ne reste aprés cela peu de place
pour parler d’autre chose, je vouurais
cependant dire un mot au sujet de la
lettre adressée cette semai'e au Matin
par les. Docteurs Annouwal, Lechaud et
Boachevean, anciens membres du Con-
sell d'ad:ninistration de la Materniteé,
ui se sont, bien 4 tort, formalisés de
mon en‘refict ds la semaine passée
concernant leur yi relic avec te Doc-
teur Jcan'y.
« Si nous avons repris la lutte, di-
sent ces Messicurs c’est ,our donne!
une petite lecon au De J-anty, pour lui
apprendre a étre « onséquent avec Iui-
méme, — Poisgnu’il avait réussi 4a s’em-
parer de la Maternité en sa qualité de
Direc'eur de t’E ole de Médecine, ses
fonctions de Directeur de I'Ecole de
Mé fecine ayant cessé, il aurait dd en
méme temps laisser la Miternité 4 eon
successeur.., »
~ J'avais donc raison de di‘e que ‘c’est
une vieille querelle qui se vide.
Toutefois ces Messieura ne s’aper-
goivent pas quils s2 rendent.coupa les
dela méme « inconséquence » qu’ils re-
prochent au Dr Jeanty. Ne pourrait-on
par, en effet et au méme litre, leur re-
tourner leur raisonnement sous cette
forme :
Trois ou quatre personnes,parmi lesquelles
sa femme, étai:nt autour de son lit. Aussi-
tot qu'il me vir, et bien qu’il ne me connit
LE NUMERO 15 CANTIMES
Les man vecrite ieaéréc eu Bon Be sereRnt pas Tend a1
DIRECTION-REDACTION-ADMINISTRATION
45, KOM ROWX, 45
« Puisque vous avez prétendu dans
le temps quo? la Maternité ayant son
orginisation propre et indépendante
son sort n’était pas absolument lié £
‘elui de Ecole de Médecine, de telle
sorte que le Directeur de la Maternité
pouvait bien ne pas étre le Directeur
de ’Ecole de Médecine, pourquoi en
voulez-yous aujourd’hui au Dr Jeanty
de’vous donner raison en gardant la
Direction dela Maternité, nonobstant
la cessation de ses fonctions de Direc-
teur de PEcole de médecine ?...»
-Mais & quoi bon 6terniser la ques-
tion ?
JEAN LE FURETEUR.
Comession de Bazoute
Frédéric Marcelin
( Voir le No @hier )
Or, je suis allé avant-hier chez lui, et ce
que j'ai vu est vraiment drdle. Bazoutte
était couché dans sa chambre ot régnait
une demi2-obscuri é, les femétres étant fer-
mées et le jour n’entrant que par la porte.
aucunement — vois comprenez qu'il est
tou‘ours préférable de ne pas faire la con-
naissance de ces gens— il me tendit la
main er s’écrit:
— Venez, mor frére, venez écouter la
co fe sion du pécheur... OO e1 étais-ie,
Zeina ?.., Ah! oui, c’était l’affaice de la
place de ’In'endance .. Les couns de baton
ré:onnaie it : Pim ! Pam! dans le dos et
le ¢ eux de ’e3 onac de Phomme, mais il
n’avou i pas Le: pieds eatravés, les mains
attachée; par de-riere, i: était tombé deux
fois sur la roche ravette placée devant lui,
les deats e1 pagaille, vo'tigeant A droite et
a gauche, la bouche, le nez ea comporte
par rappoct aux 2izui'les de la pierre qui lui
e ntraient dans le; chairs. « Avou-z », lui
avais-j2 crié plusieurs fois It ne voulait
pas. Ii disait, au con‘raire, que c’était une
errear, qu'il ne connaissait pas la malle,
qu'il n’avait pas volé. Le fait est que je l’a-
vais pris au peti boaheur, sar des indices
assez faib’'es, me confiant au hasard qui est
te bon Dieu de la police. A la troisiéme
reprise,.on ne put le relever de dessus la
roche ravette. Les coups de baton ne pou-
vaient pias le ranimer.— Non, non, mar-
muta t-i', toat ce que vcu; voulez. Alors,
comme il avai: avoué,. comme il ne me
restait plus de scrupale, je le fis achever.
Mii; javas.aussi un grand intérét 4 sa
mort: il y avait mille gourdes dans la mal-
le. Je voulais les garder. il ne me conve-
nait: pas qa’il vécht, puisqu’il savait. Ce-
pendant, ce qu’il y eut de plus drdéle dans
cette affuire, c'est que le leademain méme
j@ captorai le véritable voleor. Quant a ce-
lai-cj, son compte ne fat pas long, et ‘je
ne crois pas qu’il fit comp'étement mort
quand je le fis enterrer . ;
Avjourd hui, je suis trés faible. Je ne
puis me décharger que de ccs deux mear-
tres. Deman je continuerai... Cbaque joar
je continuerai... Il faut que je dise to1
avant de mourir, tout ce qui est essentiel,
tout ce qui est sang. Ah ! Ics crimes poli
tiques. c’cs: ca qui sera_lourd! Et c'est ¢:
que je conmet:tais avec le plus de plaisir,
sans prétex'c ou avec un prétexte que j'ir-
ventzis sans effort !
Les avanies, les injures, I’e nprisoane-
meat, les fers, ‘¢ divipage de: froterls
hourrss ct la casse des giaces, quand jall.i-
arréter les gens riches, je néglig rat cela.
C’est péché vénicl. Da rese, je n’aurai
pas lc temps si je voulais parer de or. »
B zoutte s: tu. I forma ‘es yeux con-
me s’i! allait dormir, mais !es rouvrant sou-
d inement
— Mes fréres, mes soeurs, p iez pour moi !
Price pour moi! .. Je re puis pas dor-
mir. Pou-qici ne pu s-je pas docmir co x-
me ‘ou. le monde ? Je dormais si bi n
avant !... Ah! Z% ina, Z-ina, faites ce qu-
j¢ vous dis. Veadez, ou, donnez :o it aux
pauvres. Découvicz la maison, vendez les
ia es, les jalousics, car je les ai payées ave= |
les mil's gourdes de la malle. Voulcz-vous
bien faire ce que je vous o‘donre Zeina.
Bazouvte se dressa suc son lit, le torse
maipre ec déchirné Ze.na se leva, se pen-
éha su: lui De ses :obu te; maias, et'e le
sai it par les épau'es et le recoucha, I’a~
plarissant p cgue sur le mate'as du poids
de sa puissante poirine et de ses larges
seins.
— Allons, mon cher, dit-elle pé on !
Vous étes fou de raconter tont cela. Je vous
avai; toujours cons«i!lé de vous bizn con-
duire, de ne pas maltraiter le monde. Vous
ne m’écoutiez pas ‘fant pis pour vous, 4
présent que vous étes dans le malheur. Ré-
glez vos affaires tout seul. Je ne puis pas
découvric la maison, vendre les tdles, les
ialousies, et donner le prix aux piuvres. Je
serais dans la rue av.c mes deux enfints,
sans un centime et sans savoir ou aller. Il
vaut mieux, si vous aimez vos enfants, ac-
cepter tont ce qui vous attend la-bas, apres
votre mort...Mo: leur mére, je ne puis vous
racheter aux prix qu? vous dites.
Et Zeina, ayani ainsi parlé, se rassit a sa
place aprés avoir remonte le drap au coa de
"ho nme. Bazoutte commengi A se plain-
dre, A pousser des gémissements, 4 se tor-
tiller dans sa couche, comme si déja il était
dans la grande chaudiére d’huile boui'lante
de l'enfer. . Muis j’ai trop causé et je vais
rejoindre mes bourriques.La prochaine fois,
je vous dirai ce que j’aurai appris de la
fin de Bazoutte, si, bien entendu, il meurt.
Muis je ne le crois pas... Qui sait, méme,
s'il ne sera pas rappelé au pouvoir ? Alors,
ce sera terrible, car il lui faudra encore
d’autres crimes pour ses nouvelles confes-
sions... »
Mon narrateur dégiingola agilement
le morne, traversa la riviére et rentra chez
lui.,. A travers le mince rideau d’arbres de
la cléiure, je le vis,?instant d’aprés, plon-
wer sa pelle dans la pile de chaux vive et,
aidé d’Aréthus, charger ses bourriques.
— SENAT
Stance du vendredi 20 Aont 1909
Apres, sanction d’un p-océs-verbal et lec-
ture de la correspo idance, le Sénat allait
aborder la discussion des conclasions da
rapport da Comi’é des Finances quand le
Séna cur Laroche fait remarquer que le
personnage le plus intéressé 4 cette discuc-
sion étaic ab.cat. It propose au Grand
Corps de suspendre un moment s€s travaux
en attcadant larrivée du Ministre des Fi-
nances.
Quelques minutes aprés, le Cabinet au
grand complet, cst assis au bane de l’exécu-
tif. La séance est reprise et le Sénateur
Dasseck, rer secrétaire du bureau, donne
lecture des conclusions de ce rapport. M.
Baussan, propose de les voter paragraphe
par paragtaphe, car certains points du ra
ort se rapprochent du projet de l’Exécutif.
e Sénateur V. Hilaire ,e:t d’avis que le
principe méme de l’emprunt qui est admis
par les conclusions du rapport soit mis en
discussion. Le Sénat vote d’abord sa pros
position et celle du Sénateur Baussan ens
suite.
Oa passe aux considérants qui sont lé-
gérement remaniés et ensu'te aux divers
article; du projet de loi :
Voici dans ‘e: grande: lignes. les prin-
cipales modificatioas qui ont été faites :
1° L’Emprunt se-a de 2.500 000, dont
un million, ea piéces de cimquante cen-
times pour le retrait et 1.500.000 pour le
service courant.
2° La surtase de 15 olo, aprés Pamor-
tissement de l’emprant sera réduite a
10 OJO et cette nouvelle surtaxe de Io ojo
devra ¢-re affectée au retraic du nickel, en
continuant toujours pir les piéces de cix-
quante centimes.
3° La Commission pirlementaire pre-
vue par la loi du ro 2odt 1903 sera char-
gée da retrait du mill’oa de nickel.
Ce te loi ainsi modifiée a été retournée
4 la Chambre.
Le petit nuage qu’ avait paru exister en-
tre ‘e Cabinet et le Sénat s’est dissipé, car 4
Vissue de la Séance, Sénate irs et Ministres
fra‘ernisaient ensemble.
L’ordre du jour est épuisé et la séance
est levée.
‘Chambre des Deputés
Séance du vendredi_20 Aout 1909.
Hier, maleré la pluie, la Chambre sous
la pré:idence da député Beiuharnais Jo.-
Francois, |’actif premier secrétaire du bu-
reau, a pu travailler, la session touchant a
sa fin.
Elle s’est occupée du projet de loi cré-
ant une Préfecture de Police dans le Dépar-
tement de l'Ouest, déposé il a de cela
que'qeesjours par le Ministre de l’Intérieur.
Le priacipe du projet est mis en discus-
sion et les; députés Gourgue et Frangois
preament carrémeat position contre ce
proje:. Le député Noél voudrait voir Jes
préfets de police remplacer le; délégués
militaires.
Le Ministre Jérémie et M. Savoie Au-
guste soutieanent le pro’et que la Chambre
fiait par voter avec de légéres modifica-
tions.
C’e.t ainsi que suc la proposition du
député Sivain, les memb es du Corps Lé-
gislatif ne sera’eat pis astreints au visa de
leuc permis cu passepost, va leur inviola-
bilité.
La Chambre a ratifié les modifications
faites par ‘ec Sénat A la loi co1cernant l’Em-
prunt de 2.500.000 gourdes..
Selon toutes probabilités, ce te loi sera
promulguée aujourd’hui par l’Exécutif.
PAITS DIVERS
RENSEIGNEMENTS
METEOROLOGIQUES
Observatoire
DU
VENDRED! 20 AouT 1909
Barométre 4 midi
Température|minianam
nmaaximunm
Ciel convert et pluie 4 midi
24. 8 millimétres. Dans
assez clair. Le cyclone avec une all
qu’on ne l’avait cru. Vent faibte,
métre
chaines de montagnes.
Barométre en hauise.
J. SCHERER
Fiiancailes
de; fiangailles de Mile
Merlet.
Toutes nos félicitations.
SEMINAIRE COLLEGE St-MARTIAL
761, â„¢/â„¢5
22,9
30,2
Moyenne diurne de la température 24,2
marquant
Yaprés-midi ciel
iure
peu énergique a passé la partie nord de
ile dans la matinée davantage vers le Sud /
baro- |
presque constant. Une dépression
secondaire Jongeant la céte sud etse ré-
solvaat suctouten pluie fait croire a la bipar-
tition de la perturbation principale phéno-
mére du 4 la disposition particuliére de nos
|
‘est de 3.000 dollars. Nos 2010, 102, 107
| 3065.
avec notre sympathique agent, Mr J. B:
Revue du Marché
La derniére huivaine a été plus animée
encore que la précéden e. Le marché spécu-
latif a contracté ces affaires pour le terme
et le cash pour des chiffres trés importants.
La liquidation ds afftires sur le r5 cou-
ran a éié in errompue par quelques « cas »
soumis 4 l’arbitrage.
D’autre part, le Grand Corps a ¢squi ~
sé, en Coni 4, un grand geste au sujet de
| Emprunt. Les harssie s eicomptant d’a-
vance Je: cffztsde ce coup de theatre ia~
attendu, purent facilemeat placer quelqve
chose. Mais, le marché est devenu subite-
ment ca'me avait-hier 4 Vanroace de la
nouve'le qre le Grand Corps allait vote
non seulemen’, es 2 milliors vo és par la
Chamb ¢, mais, 2 500.000 que le Ministre
réclamzi au dernier moment.
Le Grani Corps a voré dans ce seas
hier, s ns aucune discussion et a Punani-
té |
On s2 de nande pourqaci le Grand Corps
a fat ces réticences ? Si les Banqui2rs cnt
parfois des caprices qui no s mette it dans
l'embarras, le Stnat peat se vanter d avoir
été aiusignifiints au moias une fois ea pas-
sant. Car, au dernier momeat le Grand
Corps a vo'é, hier, dans le sens prévu, san.
discuter et 4 l’un:nimité ! .
Le marché a été que'qre peu affe:té par
ce vo'e. Et de 43000 nous étions hier
soir en cldiure a 410'415 O]O. |
Les cours que nous vous signalions dirs
nocre derniére Revue concernant 'es Trai-
tec, Chégues sur Paris et New York son:
inchangés, de méme que les cours de nos
denrées 4 l’Etrarger.
Port-au-Prince, 21 Aott 1909.
Courses de chevaux 4 Léogane
Le conseil communal et les autorités lo-
cales ont l’honoeur d’inviter Mrs les ama-
teurs de jevx hippiques, aux courses qa’ils
donnent 4 l'occasion de la féte paroissiale
de cette ville, le lundi 30 de ce mois.
Cours de Bourse
Oc Américain comptant 410 of[0
Nickel escompte 3 oo
Billets de cing gourdes ¢ 2 I][2 ojo
Traites 90 jours de vue sur Pa-
ris direct, prime
Traites sur Hambourg-Paris
Traites suc France documen-
taires prime 2 o]0
Chéques sur Paris prime 4 I[2 4 3{4 ofO
Transferts par Cable sur Paris 5 o[o
Chéques sur N-Y. prime Ij2 3[4 ojo
. fin Aout 405-410 o[O
Consolidés 6 ojo avec intér&s a
2 I[2 ojo
2 14 o[0
pariir du rer Juin 45 1,2 oo
Consolidés 3 ojo ~— dito 25 Of0 |
Emprunt 10 Janvier 6 o|0 44 I|2 o[0
Emprunts dits Provisoire 6 o[0 44 1{2 ofO
Titres bleus 2 1[2 o]O aVec inté-
réts 4 partir du rer Juillet 22 o[0
Titres roses 2 1[2 0/0 22 oo
Bourse de Paris 29 juillet 1909
Emprunt 1875 5 ojo Fes. 243.50
« 1896 6 ojo « 500
Echo de Dame-Marie
Le 13 Aot, dés 7 heares Ju matin Da-
me-Mairie étcit affolée par la mort dua
de s.s fils, Mr Civius Lcuis Jeane, ci-oyen
honnéie et d’ure eonception trés robuste,
ami du peupe;i fut une distinction com-
me travailleur pour chez lui
Si modestie lui valut la présidence de
la congrégation du Sacré-Coeur et mem-
bre du Conseil de Fabrique de 3a chére
vi'le ; sa double mission ici-bas a pris fin
pour létecnité.
Il laisse des rezre s dans sa famil'e éplo-
rée et dans toutes les couches de la so-
ciété,
Paix 4 son Ame!
Communiqué.
Avis important
Le soussigné annonce au public qa’il a
perdu neuf b llets de la Loveriz de Sinto-
Domingo —tirage da 22 Aodt dont le lot
| 2008, 2015 3 3056, 3062,
1102, I1I09
A. MuniIer
Grande Féte populaire
C’est demain soir qu’aura lieu a la Place
du Panchéon la grande représen’ation ci-
Nous avons recu, de Jérémie, le faire-part |nématographe offerte p r le’;Gouvernement
Clarisse Drouin {4 la;popu'ation de Port-au Priace.
Le programme, trés-riche, charmera tous
les assistants qui seront nombreux a cette
féte populaire.
\tia am (B) 1; Stempel! 5; Uo ami {
\U ine Cha‘e:ubloid, 5; L. Pelous
Tribunaux de Paix
SECTION-Norp
B Flora Jean Mirie réclame de | |
onne Jéré ne la petite valeur de Copia
lars pour les t
: e oe
Le tribunal renvoie affaire, été ViCtimgg, |
: * . ae
Ua jeune ho * Di oe
: omme, Dieudon; :
passait sous lalgale-ie dy magei siya,
v1 storem qvand jl recat og ¢ Ph |
d'eau sur la téte. ne cuvette
Discussions Pourparlers
est renvoy’e. ,
. * x
ue ¢ fefaat, b ie Lamothe est condampf:
sicu Mil ite St Hilaire oans Malai
da Ace derriet de Hilaire3zo dollars, argeat
ee PUls au mois de Maiden
Est aussi eondamaé
et dépens 'e siear Vavi!
somme de 24 gourdes
colas.
etc, et Paffaice
*
/ :
par défaut aux {yi
iut Vayal a payers
a Mr Te tilus Nw
Monsieur Gerson Desrosie
Le Président dela Chambre notre
Gerson Desrosi?rs a la fiay
jours. No :s faisons des vce
comp’et rétablissenenc. _
Tribunal Civil :
Audience spéciale du jeudi 19 Aolt 1904;
Préside-ce A. St Rome, Ministere Pur
blic Jules Ro.emond. Jugements pronowe
cés : :
ec Cel qu ho nologae la délibération
seil de famil'e des mi
Léonise Cambronne. =e Adm
— Celui qui entérine le rapport des ex
perts de la succession de la dame Veor
Millery. :
Nouvelle co Mposition, Présidence, P.
Dupont Day ; Minis‘ére Public, Jules Ros:
mond ; Jege nent prononcé : A
— Celut qui déclare le sieur Emile Dertix
mal foadé en soa action. Il s’agit dug
cheval que le sieur Emmanuel Déjean avai
veada au dit sieur Dereix. Ce dernite
prétendait que l’animal était impropte]
a l’usage auquel il le destinait.
Omission
A la séance du tg, le dépaté Legendre
s’informa du ministre des Finances si le
victimes de Sain:-Michel-du-Nord, qui dos
veat bénéficier “de leur part des 50.000
goirdes accordées par le Corps Législatf
aux sinistrés haitiens de 1902, toucheroat
cette année leur subside, les deux preity
res annuités ne leu- ayant pas été verstes
le ministre répoidit que satisfaction leaf
scra doinée cette année. |
Liste de souscription_ ea ft
veur des pauvres de. I’ Hospicé
St-Vincent de Paul. |
J. Dejardin, Th. Luders et CoP, 103
loffson Lucas ei Ce, 10; G. Keirel et Cy
10; F. Herrmann et C°,10; Outo Bieberg
Co, 10; Simmonds fréres 10; Banque Ney
tionale d Haiti, 25 ; Robert Norts, 0}
Louis Lo a, 10; Gaston Revest et C% Si
Jules Laville, 5 ; Paul Painson §,%, My
pet, 5; Rouxet C°, 5; A. de Muttéis, 5
Jh. Nidal et C°,5; Henri Brisson 21.5 f
'pino'e 5; Evnest Da'ercour 5; S. M bel
i532. W. Pollhminn, 5; A. Villejoint 5
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A. L. Grérin & N.
1M) 1; Tho 24%?
L. Jaccoax,, 2; E. Dereix, 53 id A
Jn. Baptiste, 1; E Robelin, 53 No a
tier, 5; C. F. Carvalho 2,; Ed, On0r®
G. et C. Régni r 5; Mme Hermanc?
fred, 5. “
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é d’cuvrir suc Vincident os
u mois dernier. calle a
| Le département vows oo
yez mis pour répon-
attendait pas moins
bonne foi qui sont
Ee te. Il n
Fe. 4 SOD atten
Eh ae gale et de votre
de tous.
3 envole,
ssurances
t de ma par
Murat
4a cette occasion, les
de mes sinceres fre-
faite considération.
CLAUDE
F Je v00
Eqoavelles 4
cme†e
» pECLARATION.
: ens ou mal infermés, ou
prea He nuire répétent que Mr
C Lhérisson s'est soustrait au car-
bt. "rg até enveyé en 1902 par M.
el gui m’a
M. S. Vincent m’a été
ment et personnellement,
Mr Lhérisson qul était
Je lai accepté et
i fins, de tpagne
pa battu, sans méme en don-
mer avis & Mr Lhérisson.
-Jin'a donc pas eu a Se soustraire
}TYaccomplissement d’aucun devoir
Whonneur et je n’ai jamais eu @ lui
dresser aucun reproche, de ce chef.
Fyacrois que c’est clair et j’affirme
fnecet expression de la vérité.
Z p. F. FREDERIQUE.
Fi a
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‘Dernieres Dépéches.
Guscow 17.— Un incendie a détruit
Iou'd hui la plas grande partie du quar-
fer ou se trouveat les magasins de détail.
oa évalué le: pertes A P 1. 250 000.
PMexicy 17.—Uae dépéche regue ici d’A-
milo dit que tro’s fortes secousses de
remblement de terre ont é’é ressentics hier
lms cevte ville. — Sur toute la céve, le ni-
ren de ’'Océan a baissé, ean se retirant
Apus de treate picds.
rho
idats de 'escadre internationale, les con-
mls des Puissances pro estrices ont préve-
tle Gcuve-rement Crétois que le drapetu
iget devaiv &:re amené mercredi matin. Ils
. ajouté qu: des co iséqueaces irrépara-
pes saivraieat toute attaqee faite contre les
tmpag is de débarquement de lescadre
Plescutorités ont prévenu le public des
tilarations des consuls et lui ont demandé
ere fire au:u-e manifestat’on cote ‘es
pubsacces protec rices.
pManup 17. - Les batte ies espagroles du
oon de la Gomeva 11 cat con‘iouelle-
peat sur le: Mirocains, doat Jes per.e3 sont
eo iMporiane3.
piaPaz17.— M« Polo, ministre du Pé-
pe cn Bolivie, a c1 aujouid’hvi une lon- , Son
BE conféie ace avec le Président Villazon-
On déclare qu: M- Polo a donné au con-,
pro ven un délai sé cadant jusqa’s
F pour 2cce te- ou rejerer Voff-e de la
Mblique Argeitne, 1e ativement a la
Police des frontié-e; entre Is Pércu et
pe Fete nour 18.—Le général Hamil-
Seip _jitmée anglaise, a été invité a
Bi as grandes manoeuvres russes.
Ridion une grande importance A cette
bavi 3 es officiers francais ayant été
B conscils Seules étrangers admis dans
a 18 M1 itaires russes.
Rsk Une to-te secousse s smi-
Bis misone nt’ ii Les murs de plu~
B cident, nt ere lézirdés. Il n’y eat
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Pe ; r, ayant quitté
13 et arriy ? oP 4
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Blt nowve'le on: nar
Bt pice. qu:le Roghi avait été
Ces Par les trcupes du Sultan.
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ten des a a procédé A fie bombar-
Ri conce Plus effectifs contre Radaro nt,
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En_ vertu de deux jugements enregistiés
da tribunal civil de Port-au-Prince en da
tedes 26 et30 Juillet 1909 le premi-r ordon-
nant Ja vente de l’immeuble ci-aprés dési
gné aux finsde partage entre les ayant-
droits etle second entérinant le rapport
de lexpert, il sera procédé en l’Etude de
Me Kiéber Vilmenay, notaire. le j udi que
V’on comptera 26 Aout 1909 «i dix heures du
matin, 4 la vente au plus offrant et dernier
encherisseur, de l’immeuble, fonds et ba-
tisses, sis en cette ville rue du Centre No
108 borné au Nord par Arnil St Rome, au
Sud par la propriété occupde par les Holly,
a VEst par larue du Centre et A l'Ouest
par Mme Vve Desmarets, mesurant 25
pieds de fagide sur 40 de profondeur, tel
qu'il se poursuit s’étend et comporte avec
ses appartenances et dépendances sans en
rien excepter ni réserver.
Sur la mise a prix de cing mille gourdes
(Bilets) fixe par l’expert cy ..... P.5 000.
oatre les charges et l’enchére.
Aux requéte, poursuites et diligences de
Mme Vve ,IJenri Desravines, des sieurs
Francois et Charles Desravines propriétai-
res, demeurant et domicil.ées 4 Port-au-
Prince ayant pour avocat Me Constantin
Benoir.
Contre Mme Vve A b:rt Chauvet, née
Emma Polynice propriétaire, demeurent a
Port-au-Prince , prise en sa qualité de tu-
rice Iégale de ses enfants mineurs Joseph,
Lucien et Marie Chatvet.
Pour plus amples renseignements s'a-
dresser au notaire Vilmenay ou 4 |l’avocat
soussigné.
Port-au-Prince le 21 acut 1909.
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