re igiéme Année, N: 708
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Un Mow. .
pontyAU-PRIN rT Mos.
pepaRTEMENTS Un Mois...
7: Trow Mois.
SIBANGER......- Tres Mois. e
Monsieur le Directeur,
yaun mois, je faisais des com- |
- We Tribunal Civil de Fot-iterte
‘les ‘* maux continuelsâ€
| DIRECTEUR-FONDATEUR
}
- m du Trou, en
particulier, allaient ‘‘s’ai>ucir’’ et les
trois arrondisse nents étaient sauvés
ents & l'un de nos concitoyens de; du naufrage...
Liberté, auteur d'un article trés
peosé et relatif au futur arrondis-
intde O :anaminthe.
dear fe Sénateur Tnéotore pour-
rous adresser le méme reproche a
M.du tribunal civil de Fort-Li--
pendant, en 1902, un homme non |
E
ot de U ianat ‘nique, dit au président de la Chambre:
iis, lui ai-j3 dit, le malheur est que |
Mais ce beau zéle fut arrété par le
-crétaire d’Etat des finances qal, iro-
‘‘ Je crois que c’est 4 l’auteur de la
proposition de loi 4 fournir les Voies
et Moyens.†A quoi, l’auteur répon tit:
‘‘Nous n’avons pas pu trouver les voies
et moyen: cette année-ci, mais l’année
prochaine, j’e:pére que nous ferons le
a iotellig-‘nt de la méme ville — | névessaire a l’effet d’assurer son appli-
Havait une alluire pendante d--
les jnges du Cap -me disait: «O1
bier fait de nous donner des éco.
» ¢:, c'est le bon sens, et le bon
oat.le moindre de nos défauts.
and nous eafuurchons la po'i'iyue
phraséo'oie, rien n’est capable
128 arréter.
S‘nat, 4 ta séance du 2% Septem-
91, on altiims qie « cette nou
Jurifiction» était « le vce. des
brroadissements du Trou, de Val-| tat des finances d+ 19J1
etd» Fort Liberté. » Il aurait été
in‘ essant de savoir comment
Va'liére et Furt-Liberté exprimeé-
ID Ve qui, parait-il, reunit a'ors
Yorité des trois arroudissements.
chicanons pas l’orateur de 1901.
déja si loin! Mis, laisse z-moi
rappeler - d’aprés le sympathique
bar—~que c’était “pour répondreâ€
Cris raisonnés†d+ ces trois ar-
ements que le projet de loi fut
oré et présenté au Corps législa-
hla séance du 4 Ssptembe 1901
Chambre des Diputés Aussi bien,
)-blia pas de le recommander a
vute sagesseâ€â€™ et A la ‘‘perspica
oitigue “da Sénat.
@ ‘auteur lui-
sition ? Il disait ' tméme de la
"Cup. Haire le
‘itien ne su as pour
mpie distribution f ia jastice
huit arrondissements du dé
Rent da nord ;
W-idéaant que la vaste étenduce d+
pertement empéchs que les jasti
"i Sant d trente lieues enviior
freon du Cap-Hiitien, jouissent
tae cede gee f cultés que ta
¢ 8a. e-
Wtibanal civil; ae
fant que ite seul moy:n
. A cet état de choses est d af-
(a juridiction civile du
de rani? arrondissements di
we dre et de Fort Liberté, et
nil cet: derniare ville un tribu-
Bea ltllement urgent, que la loi,
tivement le 27 Septembre
a Promalgaée le méme jour et
Oniteur du 5 Ostobre sui-
7omme on le voit le
pu(@l'Exéentif et du “ Corps Ié-
r?
Wavait 46 plas parfait. Donc,
; cation†— (la propozition).
Dapuis, les années ont passé Ni les
voies, ri lex...moyens n'ont pu étre
trouvés... Voila cependant que le bruit
court qu’en Octobre prochiun —le1or
Octobre, s’1! vous plait — un beau et
superbe pilais ‘de justice sortira du
sol de Fort-Liberté et que ce jour-la
treize éminents jurizcons ites en robe
rouge tieniront une sudi:nce solen-
nelle. N’en dépliise au S-crétaire d E
le temps est
‘ou a Vaide d’une baguette
se réaliser les plus
revenu
magique, on fait
beaux iéves. â€
... Mais plus j’eximine, plus ja suis
sceptique. Non La baguette, la fameu-
se baguette n’a pas eté retrouvée en
4909. L‘ Exposé de la situation†de
1904 4 1998 est plein des gémissem nats
de nos secrétaires d’E'at 4 la Justice
sur Pimpossibilité de réparer les dé-
bris d3 ce qu'on ose qualifier de maté-
riel des tribunaux. .de paix.
Pour ue parler que des juges du
tribunal civil du Cip-fliitien et des
juges de paix de la nouvelle juridic-
tion, interrogez les sur le nombre et la
nature de leurs souffrances d+puis
Ssptembre 19U1, gta:e 4 des appointe-
ments insuffisants et irréguliéremont
payés. ,
Le local du tribunal civil du C-p-
Haitien répaié, i’ y a un an, Veutre-
reneur n’a pu étre entiérement pryé
jusgvici. It faudra une somme au
PORT\AU-PRINCE, dit
. G. 2.00 i
« 6.00 Clément-Magloire
« 2.20 a
: Soo | Apuvastrateur, Arthur Isidore |
condition de payer des piofessionnels
'riés sur le volet. L’homme ne vit pas
seulement...... demandez le aux plus
grand poétes et aux meiileurs littéra-
teurs ...
Sans faire le proces de cotte loi du
19 septembre 1901, on peut lui repro
cher un manque d’examen causé par la
politique ou par des sentiments con-
traires aux véritab/-s et actuels intéréts
des populations des trois arrondisse-
ments.
It est d’abord controuvé qua « le seul
tribunal civil du Cap Hiitien » « ne
suffise pas pour la prompte distribution
de la justice dans les huit arrondisse-
ments du d‘partemsnt du Nord.» En
tout cas, la discussion ne le démontre
pas.
En eff t, le tribunal, composé seu-
Izment de six jig's, dont un sup-
p'éant rendi‘’, en 1895 479 dé&cisio1s ;
en 1896, 232; en 1897, 2538, soit une
moyenne de 323 j:gaments par un, —
chiffre dans lequ:+i tes trois arrondis-
seMen'ts ne figurent que pour 20, soit
6 010
En prenant au ha-ard cing années
postérieures a la loi eréant fe tribunal |
de Fort-Liberté, 193 1907, par exem- |
ple, on trouve 998 jugements, :oit une
moyenne de 199,6, dans laquelle la nou |
velle jarilichor ne représente que
8.
O:, si on tient compte q'’en 1905 le
tribunal a été auyin -nté de trois juges, |
on admettra facilement que la moyenne |
pourrait atteindre au moins 480, — ce|
qui absorberait cing au res juridictioos |
‘une étendue, chacune, égale a celle,
da Fort-Liberté.
Au point de vue de la distance, le 2:
considerant de la proposition disait,
ainsi qu‘on l’a va p'as hiut, que « fa
.vaste étendue de ce département em-
.pé he gne les justi-iables. qui sont 4
moins cing fois plus élevée pour le ma-
tériel du nouveau tribuna'—non com-
pris le prix ‘‘de livres ds science )1-
ridigu: ", comm» on lécrivait dans
Exposé de la situation de 1907. Es
alors, d’od nous viendront les P 14.136
d’appointements ? N’attendez pis que
Rinte viagére, Eglis: Pignoa sur Rue.
Chaire d+ Sténoysruphie, et toutes les
illustrations du siécle leur céient I-
as.
P A lire le projet et la discussion de
4901, l’admiaistration de la justice
n’est qu’une question de distance ¢!
de célérité. Ce ne sont que deux cdtes
de la question ; elle est un peu plus
complexe.
Pour mettre la justice 4 la portée dy
justiciable et exiger une prompte ap-
plication de la loi, il fart d’abord avoir
juges. Et on n’a des juges qu’a la
trente lieues environ ce li ville du Cap-
H -itien en j vissent d’une f-gon réelle,»
eIc.
‘“* Sunple illusion doptique...- Le Trou
est A moins de 7 lisues du Cap. Furt-
Liberté n'est éloig.é de catte derniére
villa qua de 12 lieurs ; S'2-S zinne de
8 Vaheérce de 16.
Le comité ** trouva 87g’ da suppri-
mer ce deuxiéme consilérant apés
Vavoir mioutieu em -nt +x ening.â€
C-+tte suppression est contratictoire
dela discussion gvieut fiea dans Pune
et l’autre chambres. Le motif de la loi,
ce fut bien la distance. Au sén:t, on
sontint aprés la sudprearsion, que Fort-
Liberté était un cent-a of les habitants
du Trou ‘‘pourront <2 rendre sans beau-
coup da frais†‘* pose suivre le jog>
‘« ment de leurs caus-x quils sont sou
‘6 vent obligés d’aban lonner étant don-
‘‘nég la distan‘e qui I-38 +épare do
“ Cap-H ttien.â€
Ripprocher le jyge du j:stici«ble est
une nécessité. Mis ce rapprochemen:
ne doit pas s’opérer aux dépons méme
une bonne justice. Chaque chose,
pour durer, pour valoir, doit arriver
en son temps. De g:a:e, ne mettez pas
lvee†lewis affaires
Sameli, 7 Aoat 19909.
NUMERO 4 5 CENTINES
\ Lee monvecrite iseerér Ob Bek ae serentpas 7erd56
DIRECTION-KEDACTION-AUMINISTRATION
413, Raw keer fy
le feu A notre mnison sous prétexte de
la nettoyer, ou en voulant la nettoyer.
a nécessité des tribunaux ne se fai
sentir dans un centre que lorsque les
affaires s’étendent ; que la vie se com.
plique: que la civilisa'ion se développe.
Est-ce le cas pour les trois arrondisse.
Ments, depuis /9J2 surtout ?
Sans doute, le jour o4 l’on organisera
an tribunal civil 4 Fort-Liberté, les
proces avpmentcront au trés grand
S4tonnement des justiciables, mais au
trés grand préjitica du campagnard,
Sinon les futurs j iges de Fort-Liberté
a’enten. ont que moins Wune alliire...
et demie par inois.Ic* le reste du temps’
Travail fo-cé; étude considérable, etc,
etc, etc, etc.... Bii'lant avenir ! Mais
aussi, dépinses iulvuctueusas : déficit;
dsficit : nickol 5; mick-l: miséres : mi-
séres â€...
Disons pour fisir qu'il est inexact
que, par crainte de la distance, on ait
jsmais abandonus laction éj4 intro-
duite. Liest certainement isexact que
les plaideurs se de «1 gant ‘ pour sui-
avec les avocats
q'vVils ont coustitués,
B ef, j’'espé = que, a la Chambre et
au Scnat, on se couvrica des arguments
encore pius péremptoires pour enter-
rer le tribunat civ.t de Furt Liberté au
grand et goo. protie des ettoyens du
Tioa, de Viilitéve et du Furt-Linerté.
J. Aprewan AUGUSTE.
techn teaey_“—
SENAT —
Séance du jouli 5 Aout 15109
Avant-hier,le Grand Corps,apres sanction
d’un procés-verba! et lecture de sa correspon-
dance, a discatél-s proposi ions delois éri-
geant |'E roac-d: Pore en commune de 5e
classe, I'L e-a-Vache et Camp-Périn en
uatiers et dé zc'aane les sections de H-oye-
zc et Riaribes de la commune de Las-
cahobas poures fire relever de Belladére.
Le Sénaeur Verdré Hilaire, prie le Sé-
natde ching cle rom d’Etronc-de-Porce
quiest une exp‘ession peu propre en celui
de S Jean Ville. Le Ministre Septimus Ma-
rius qui assistart a li s¢ance, propose d'ap-
peler cette commune : S° Jean du-Sad.
Cet amen lement ext combttru par les Sé-
nateurs Diegéas Lo rcbours et Archer. Ce-
lui ci déclare gi ol n'est pis mécessaire d’a-
jonter ( du Sad > ap:es St feancar, il n’y
pis de comm:ne S Jan dans le Pays. Oa
dit Sc Louis du S d parce q-il y a St Louis
du Nord. I y auateu d'appeler cette
nouvelle cum nune, comme le demand: le
Ministre de la Gie re, quand on aura créé
une commane d: :néne nom. dans an
des autres Dépari-m cats.
Le Sénateur Blase Lavache trouve que
cela ne fait ni chaiud, ni froid. Oa peat
bien dés a présent apoeler c-t'e co nmune:
St feaa-du-Siad, afia tf: a’avore pis a fai-
re demain une ‘oi p».r la distinguer d'ane
autre commune placé: sous le méme pa-
tromnaaye. Mise aux voix,la proposition Vaa-
dré Hilaire amendée parle Ministre Marius
est votde.
Les auties propositions de lois ont été
adoptées sans modification.
e
»*
Seance die Vendredi 6 Aont 110g
Le S4na n’a gucre travaillé hier. Apres
le dépouillement de la correspodanc-, le
Président tait doaner lecture de la Conven-
tion arbitrale signée entre Hai'i 2t les E a's
Unis que la Chrmbre a déja votée.
f.c Sénateur M. E Magloire, propose.va
bumporanc- d: ce document, de Venvoyer
d Vetude du Comité des Reélarions Exté-
ticures, Qaiand ce comité aura tat sOn rap:
port, le Sénateu as: era te Ministre in-
tiressé ata quill pus se assister A la discus-
sion. Le Président envoie la convention a
I étude des Comités des Ré'ations Extérieu-
res et de Justice réunis.
Le Sénateur Curi:l, donve lecture d'un
rapporn du Comié de Platéticur recom-
mandant la propo-ition de loi érigean: Biye
Bahon en poste militaire.
L’ordre da jour épuisé, celui de la pro-
chaiie réunion est proc'am ! et la séance est
levée.
LA CHAMBRE
Stance du vendredi ¢ Aout 1909.
AX Vouverture de la séance, la Chambre
ratiti: la modification taie par le Sénat a
la proposition de loi érigeant en Commau-
ne le Quartier de l’Etronc-de-porc sous le
nom de S:-Jean-du-Sad.
Wr passe ensuite a la discussion des
conclusions d'un rapport du Comité de
PfnstructionPubligue que l’Assemb'ée vote
sins moditization. Ce rapport conctut au
renvoi i !1 Commission du Budyet de la
demande de rente viapere faite par PExdcu-
ti! en faveur de Mmes Vves Dégand, Virgi-
ni: S mpeur, P. Mayard et de Mile Fé-
licité Ulysse. La meme décision, a été
srise A Vépard des pétitions faites par Mile
dJetm'ne Sauveor Faubert et Mr Arthar
Bouncn'. Ce rapport propose d’accorder
ure valeur de G. 3.000 a Mr Léon, Os.
Durand pour la publication des cenvres
posthumes d’O.wald Durand.
Le premier pon: d’un rappot du Co-
mité de I’ itérieur favorable 4 Vérection en
quartiers des postes militaires suivants :
Carrefour-Gental ( Cayes ), Gressier et
Charlier (Nippes) est mis en di.cussion.
Le député Mombéleur demande le rejet
des conclusions de ce rapport car toutes
ces érections vont créer de novvelles dé-
penses au Pays, dépenses auxquelles le
Gouvernement ne pourra pas faire face.
Le député Brédy trouve étonnant qae le
député Mombéeleur,membre de la Commis-
sion du Budget paisse venir en séance pu-
bliqne »combattre le principe d’une chose
admise par cette Commission. It demande
x la Chambre de ne pas tenir compte des
observauions de son collégue qui est ea
contrad ‘ction avec lui-méme.
Le député Mombcleur exprime son
étonnement d’entendre dire qu'il est ep
contradiction avec lui-méme. Si le député
Brédy a intérét A défzndre certaines propo-
siuons faites A la Chambre,c’est son affaire:
c'esten vain qu’on tera état de sa qual té
de membre de la Commissiou du budget.
Cette Commission n’a pas encore fait son
rapport, on ne peut pas affirmer qu'elle a
admis ou non le principe d’ane_ proposi-
tion. Ii ne faut pas embarrasser PExécutit
en votant ces érections qui donneront lieu
a de noavelles dépenses qu'il ne poarra
pas coavrir.
Le dépuré Brédy propose a nouveau le
tejet de la proposition Mombéleur car, ce
sont les memes dépenses qui sont prévaes
au Budget pour un quartier comme poor
un poste militaire. Le député Mombéleur
soutient le contraiveset désire avoir l’opi-
union de MM. les Secrétaire d’Eat de rl -
térieur et des Finances sur la question.
Le dépaté Desgraves intervient et com
bat la proposition Mombélear.
Mis aux voir, ce point da rapport est
aijop:¢.La Chambre vote ensuite les propo-
sition de lois érigeant ces postes militaires
en quartiers et les endroits appelés Grand-
Pré (Quartier-Morin), Bac du-Borgae, La-
brande ( Gonaives pet Cagnette (Cap-Hai-
fien ) en postes militaires.
~ Va l’heare avancée, la séaace est levée
& l’extraordinaire.
PATS DITRRS
RENSEIGNEMENTS
METEOROLOGIQUES
Observatoire
DU
SEMINAIRE COLL&GE St-MARTIAL
VeNpDREDI 6 AoUT 1909
Barométre a midi 762 */*!
Températureyminines 23.0
maximum 33 6
Moyenne diurne de la températare 26,6
Ciel presque coavert toate la journée et
clairdepais 9 h. du soir. Hilo solaire 4
8h. O-age et pluie an Sad depuis midi.
Baromerre Iégérement en hausse.
J. SCHERER
Tr bunal C vil
A audience civile spéciale du jzudi 5
Aout, le tribunal, sous la présidence du
juge A St Rome a ren !u un jugement con-
damnant les sieurs Schuller & Co a verser
au gretfe et dans les formes prescrites par
la loi, la somme de 500 gourdes avant de
plaider le litige jendant entre eux et la
Commune de Port au Prince.
Champ de courses
Ou en est-on avec les travaux du champ
de Courses qui n’ont pas lair de marcher
depuis yielque temps / Ii n'y a, en effet,
yacre d’ouvti ‘rs sur les heux et la place a le
méme aspect (jai! y a sic mots.
Ce sont les réHexions faites par de nom-
breux lecteurs et que nous trransmettons
a qui de droit.
Bizo on les Bains.
Nous avons sous les yeux le programme
de la f€:e de demain, en 'honneur de la
Compagnie P. S. qui a inspiré les
charmants couplets de la superb> méringue
populaire, derniére créa ina de notre Can-
dio si apprécié da pub i:.
Tout est org 0i.é de figon 4 doaner en-
tiére satisfaccion aux nombreux auditeurs
qui se sont donné read z vous * la gen.
ulle installation balnéaire de B zoton.
L’orches re de Turnier fera metveille ;
chansonnettes comiques, monologues, mor-
ceaux de genre, ecc, riea ne manquera a
'cette féte déié.
L’entrée générale n’est que d’une gourde.
Saindoux pur‘ Sw:iFTâ€
Tous les produits de Swirr & Ci, ga-
rantis et analysés par des spécialistes, sont
inspectés par le Gouvernement des Frats-
Unis qai en a reconnu la pureté.
Mariage
Ce matin a été célébré, 1 7 heures, le
mariage de Mlle Maria Moscosso avec Mr
Ferdinand S§ -Géraud.
Nos compliments.
Fe:rmeture de la malle
Les dépéches pour Petit-Goave, Saint-
Marc et Gonaives par le s 5s ‘* QUEREC â€â€™
seront fermées ce soir 4 7 heures précises
Boite aux Lettres
Port-au-Priice le 6 Aout 1909
Au
Directeur du journal le ‘‘ Matinâ€
En Ville
Monsieur le Directeur,
Ce n’est p ssans étonnement que ,j’ai
lu hier s:ulement dans le Matis da 31
Juillet, dans le compte renda me concer-
nant, de l’audience du Tribanal de Paix
section sud: que, ‘‘ soignée et rétablie,
j'ai _refusé de payer.»
Rien n’est plos faox ; “la vérité est
qc aussito: qae j ai reca lanote d’honoraires
a Dr Laurenceav, j'ai envoyé lai offrir
P. 20 gourdes payables sur lheare, pour
son prétenda traitement. Il a refasé en pra-
tiquant une saisi¢ sur mes appointements
comme professear. J'ai laissé faire, con-
fiante dans l’égoi'é de ma _ proposition
Donc, pour valider cette saisie l’affaire, a
été portée devant le tribunal de Paix qai
a tranché la question, dans le sens de ma
proposition.
Agrécz, monsieur le Directeur, avec
mes remerciments, mes meilleares salata-
tions.
M': Améiiz AnasTass
Haiti Politique et Litaéraire
Voici le sommaire de l’intéressante re-
vue qri parait arjourd’ hoi: ;
Fiches : La situation financiére. L’em
pront de deux mi lions; Antoine Lafo-
rest. Journal d'un Coménien ; Frédéric
Febvre. Poésies : L7H »mme_ fort ; Arthar
Lescovfliir ; Toujours, F. B arr-Riyaaad;
Soofft: des champs ; Félix Saint-Laurent.
Nos Chemins de fer, Les Progrés du la
P. C.S F. X Mc Georges Sylvain a la
Sorbonne : son discours. Estrait Le pont
de Carrefour, Lettre de M... B. ophate ;
Coup d ceil sur no:re Flore ; T. C. B-u-
tas; Echo de Saint Marc, N. Paul Lormier;
Thimoc'és Lafontant au large, Loaf orét
Noi-e ; Peites Notes . A. L. Lt Femme
Erei wements, (Extrait)
Arrivage et Départ
Hier es: entré le steamer Québc avec |e
passagers suivants v.nant de :
Bordeaux : Mme Hecror Jean Joseph, Mr
et Mme Jabboul, Elie G-orges, onias
Laventore,
Fort ds France : N uwthalie Petitrot.
Pointe a Pitre M. L. Garyon.
St Thomas: Consal A. Télémaque,
R. S ide
Porot Plata: Julio Pena. G:berto Rimi-
rez, J. O. Garcia, M. et Mme Louis Go-
mez etentant, Raphzél Gomez, D. Hi lal-
go, Céci'it Gomez, José Gomez.
San Juan: Mme Hobler et 2 enfants.
Cap Haitien: Ppiminodas Hyppocire,
J. M. Newsy, Jos-ph Gab-iel. Dpaté Nir-
cés Leconte, A E Case. Ezt Laroche,
Mer Rersvz n, Tertulien G i'beand, Adhé
mar Auguste, Gibert Augaste, P. E.
Etienne, Vve Tessier, Agathe Tessier et
enfant. Veleda Val'cs. D.ogéne Tho nas,
Mile E. Ducheine, Mme Férére et bébé,
Antoine Baptiste, Mile Louise Nicolas,
Bertrand Snith. Velada Alezi:, Mme S-
André. Firmi1 D-sroches, 21 scears de S -
Joseph de Cluny.
es
Le steamer Altai est parti avant-hier
avec les passagers suivants 4 destination
e:
Fetit-Goave : F. Bizite,R. In Loais Bon-
ny, Mlle Lucie Jérone, Mr et Mme T.
Gousse, et Mile Liurette Gousse, Vve A.
Gutierrez, H. Nicaisse.
jérémie : Louis Boutoax et enfin’, E.
Lestage.
Suvanilla: C. R. K rn.
New York: Ernest Limk:,
chiurd, Mr et Mme S:ines.
Revue du March’
Depuis notre derniére revue, la prime
pour l’or américain est plas ferme. Nous
avons enregistré les taux de 380]85 190
ojo et méme 395 of0 en clétare hier.
Ii n'y a pas de vendeur 4 ce dernier taux,
ce qui fit prévoir que dans le courant de
la journée nous serons 4 400 ojo!
L’Emprant a été couvert au. d:la. Le
syndicat a inscrit des souscripteurs pour
ane valeur de deux millions sept cent mil-
le piastres environ: comme le ministre
ne demandait que 2 millions, les préceurs
seront ob‘igés de rabattre sur lears chif-
fres, C’est ld un gros succes obtena par le
ministre des Finances.
L’emprant a été sanctionné par la Cham-
bre. Donc, d'ici peu, les versements se fe-
ront.
Maintenant,le stock dz goardes se trou-
ve-t-il en coffre-fort ? Telle est la quaes-
tion que l’on se post en ce moment, car,
si les prétears n’ont pas ces goardes, ils
seront obligés de vendre de l’or; ce qai
nous raménera au taux de 375 Ofo de la
semaine derniére.
Les affaires en traites sur France ont é:é
rares— durant la derniése huitaine; le
cours reste nominal, 4 3 1/2, 3 314 Ojo. —
Il en est de méme pour les chéques sar
Paris qui sont a 4 112 —4 314 ojo.
Les chéqaes sar New-York font 314 of0
Le nickel ne fait plus que 2 112-2 O[0
escompte. ( pitces de 0.5 » centimes )
Il n'y a rien de changé dans les
de nos denrées.
Port-au-Piiace le 7 Aodt 1909.
Dc B'an-
cours
EP mas, Marcelle Apollon.
L’Administration du MATIN in-
forme ses abonnés qu'ils ne doivent
gas Goutre rogue impriinés ot por:
tant le timbre du jonrn al. of POF
LU = Asthur ISIDORE
SalD{é ROSE Li
Voici les noms des
° ° dl
distinguées pendant | an
qui a9
vient de finir : _
scolaire oy
cou ( Suite et fin )
OURS PARTIC
Petits garcons 2y DivisioeR
Arnoux, Char.e; Lochard To i
», Anténor Laiwmoth », "Albee Le
es Corvi
» Jos ig'
“ochard, Panl Péveing, Peto. ci
Max Siurel, Joseph Carvalh> Fagtea
. Ceintuce Verte-unie.— %% D vie
Garmaine Saure! (Clara Kolb “to
suélo d3 Mattéis,Lvdia Mosco 35 Con
ra Greger, Mirie Saint Roms, tt
Taéré33 Kieffer,Aana Th sisfald len
ae Arman, Carmen de Mattéis
Lie’: Division. — Camille Roas
lia Casimir, Margueri
génie A idain, Yvonna Abra bs
EXC&LULENCe : Feruande Broaard,
Ceinture verte liserée. — 95 Divi
A’vina Paillére, Camille Dajoar &
rie Desgraves, Citherine Déjoie, Me
guerite Lamothe. Conception. Hee
ques, Alice Bouchereau, Jeanne (hp
et. Mircalle Juste Aqich Larrea,
fare Division. — E éonore Ab
Marie Thisfeld' C'a're André, Lyla
Carrié, Anna (iregar, Jeanne Mew,
Germaine Fortunat, Jeanne Ganthig
Fernande Abraham. Louise G anthder,
ExceLuence : A'ice Sambour.
Ceinture Violette Unie. — Simess
H bbert. Feany dise Elie, Eugénie My
gnan. Cariclée Nadreau, Agoés Bu
the, Julia Siurel, Aglaé Moreau, Ci
mentine Maignan, Adrienne
Serphise Chenet, Circée Magloire,
tine Wilmenay :
Excguience . Léa Benoit.
Ceinture violette liserée.— Féit
Félix, Marie Wazslais, Fanny Sep
bour, Alice Duplessy, Adéle Péjey
Yvonne Smith, Marie Audain, Yr
ne Féquiére, Anna Desgraves, Ass
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din, Esther Jean Louis, Germaine M
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