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Histotre
A L'USAGE DES ADULTES

PORT-AU-PRINCE ( Hatz Wendredi, 9 Juillet 1909.



-_=— ——
I a

alin

QUOTIDIEN







—



: DIRECTEUR- oe
c 2.00 : - FONDATEUR | Lk NUMERO b Gunrimes
Seo (Cd men't-Magloire ! —~
« 6.00 | A —_ an \ ee manuscrite iacérée ou BOR BO erent pus seHen-
1 DMINISTRA
« 8.00 | stratsun, Arthur Isidore DIRECTION-KEDACTION-ADMINISTRATION

45, Rup Bcowa. 4§



vous étaient immédiatement livrés aux
lammes aprds qu’ils avaient été pillés
par vos soldats, au cri de: Vive Sul-
nave! ras z pillez en bon ordre !

« A Miragoan,

fausseté est le principal apanage d
©
votre étre, vous m’avez appelé au Sinise
tére de la guerre et de ja marine, dans
un but qui n’a pas échappé 4 ma pers-

LIVRE III avez Vous respecté picacité. Vous vouliez i
We que sun commerce, son in- flience sur larase ae eamenate
Violences et représailles iqv'elle ‘doar ate Rsdub ig revenus au Port-au Prince et avec laquelle j'au-
le a iqne auraient rais pu vous punir «
LII iu épargner d’une destruction ? omme Jen avaia das ions eet eneée

ree avoir proclamé au Camp Ogé
pakchéance de Salnave, Vielorin Che
wiier, outi6 de» termes hamiliaats
wlesquels le gouvernement présen-
wit sa conduite dans la Moniteur, fi!
rire 4 Salnave une lettre qui mérite
fare sauvée de Youbli ct que, 4 ce
we, joffre aujourd hui a nos lecteur
uu fap?

f chil,
apchement de cette lettre avec celles
% née personnag? publiées précé-
demment, des enseignements profonds
a utiles :


































nile comsmacel

sJacmel, 15 novembre 4309.

cVicrorIN CHEVALLIER, général en
chef de l'armée popuiaire,

«Au général Sylvain Sulnave.
« Général,

«Vous avez fait pub'ier un acte p?r
legeel vous avez vorni contre moi des
igeres, Vous m’avez qralifié dingrat ;
es avez dit menteusement que yous
avez, appelé au ministére de la
set dela marine pour satisfaire
insatiable ambition, et que je
sun monstre dort arm est
tenant debarrassée.
«Pour que vous vous exprimiez ain-
wr lecompte d'un
devez tout, et qui, lui-méme, ne
doit rien, il faut que vous soyez
ewer plein d’ingrutitude et de ta-
, OU que vous soy z bien prufon-
t aveugle.
(Votre lacheté, vous l’'avcz montrée
fois pour qu’elle soit un doute
personne. Toutes les villee du
Yous avcz conduit la guerre
la Révolution, vous jes avez
t abandonnées pour courir

“milien de votre phalange de si-

VOUS avez ordonaé Tateessinat,
publique, accordé de ces
de fournitures fatles en
la plupart ; fuit de ces

Menen

8 qai ruinent votre pays.

=

t son avenir, si de bien
Qvestigations ne viennent

4 leur

flies sans 0 jet sérieux, et dont le
me vombre ne constitue gee le

Goonté dont vous aves
tas quelques sales et tristes
votre odieux cortage, ag
. Perpétueis du trésor public.
vous jamais fait, em diri
ze armécs 2? Dans qucis com-
payé de votre personne?
Molqné de laction, retesa
conservation de votre

tatouée par ise om-
coupe de pieds de Véane,








































homme auquel | P

es enfermer au Port-au-Prince, |8

juste valeur ces dépen- | S2*

trois {gis peatré 3, Part. au-Pcipc:. dans

« Vous nav. z pis noo plus respecté
la fortane des particuliars, et les n -
vires dz la marine républicaine ost 6
transform4s en transports des rapines
les soldats, que vous achetiez d’eux.

«Et le mot d’chonneurs peut il étre
prononcé par vous? Avez vous le
ae yous plaindre d'un homme

a jams al
dui aascrvir, wour cher Pas dais
de la pire espéce.

« Vous av. 2 commencé par ta’enlever
deux divisioas qu? voas avez envoyées
dans le Sal, et si javeis consenti a res-
ter assis sur mon fiuteuil do muiuistre
vous meussiez enlevé mrs autres sol-
dats; et moi, coeur généreux, qui souf-
fruis des muuy de ta patrie et qui en
:ouffre encore, je me sereis trouvé a la
bata, uk" uds" Worx “aang * vorte

“8
cwar, Vidés d’aliéaer une partie du sol

vous n’..vez qu’a longue distance en-
tendu te bruit du canon, et senti l’o-
deur de la poudre.

« Oo ne doit donc pas s’étonner gue
les armées que vous avaz ditigées per-
sonnell:ment n’aient jamais eu une
victoire, et que, en fuyant, vous suyez

dent une purification nécessaire.

++, do vous ressembler, j'ai tou- : . ‘
jours pays de ma personne et cneitt. f « Vous n’avez pas eu le courage ile de la Patrie pour liadSpeadance ‘le la-
; ; sane aire la guerre vous -d:défendre | yuelle a could le saa oéreux de nos
rage mes x01 at Pe agit ils Votre. NerTO VOiS Oe yous nvayer” pares. Be
‘ 3 de-ir, dautre| «Je gortis de Port-au-¢rnee. J’en

eu d'autre réve, d’autr
volonté que de vous cram
youvuir, dont fe peuple, di:
uns, vous a déclaré déchu.
s Av z-vous été conséquen
votre ambition 2? — Noa. — Lr vi
Gonaives supportait “depuls dix-
‘mois un siége sérieux, pendant que;

au fort de laction,
t la mitraille, exci-
tte conduite, lota
u deux, ¢Om-
t, fait quils
Voyez

m’ont toujours vu,
A travers les balles e
ter leur ardeur. Et ce
de me faire un bourrea
me vous [4 dites faussemen
me regardent comine un péere.
plutdt.

« Votre

sortis sous le prétexte dvalier resserrer
‘la ligne d opérations con're Jacmel, ca~
‘chant en moi le désir ardent de purge?
t avec mon pays du chef le plus bas et le
lle des plos triste, le plus voleur et le plus
huit infa ne qu'il ail jamais eu.

« Vous envoyi’es, pour me surveiiler

pooner au
puis deux

déchéance proclamée au

. digi i ini eae tet maszassiner, le a:he Vil Lubin,trop
n avant trois divi- vous. au matiea de vos ministries thes é , Lubin,|

sions O¢6, 3 Bont me précéder poar pab!es, quelques-uns banqueroatiers poltron pone accomptir la mission a Lae
a ort-au-Prince. Ces qi- fautul ax auxquels une justice sévéere quelle vous aviez préposé. Il vint 8 as-

P
4 Léogane qiu‘elies en-
iqnets comm in-
teur chef, aussi

le Jucmel, s¢
x scenes dé-
omplait

ia marche sur
visions arrivent
lovent d’assaut a vos

dés par Crispia Négre,

ir dans les environs ¢
& ses cruautés, au
3 dan3 lesquelles il sec

les fers se0
vous liveunt
1s goutlante

aurait dd faire expier dans
udes commerciales,

ilears turpi' ;
tiez les combinalsoi

‘imagiui-z, inven

: ‘qui vous ont enrichi des denrées da la'et que j2 u’énumére pas ich.
ignorant ites oa veanent par des cim- République et de ses deniers, que vous; ¢ Mais ce la che stipendié qui ne pou-
onan ape ets des enviroas *V*2 fait déposer & votre profit, hors da , vart m’assassiner, entendant 4 exhaler

t

‘pays,
‘vaillan

agnards que les Piqu itenda
. a avaient feint de fusion- icile a se contenir,

1 et la Revolatin! me- Fin
nacent la vilie. Oa leur it que, feste | .. . .
oi | g éticz jaloux de 802 chef :
sane troupes au oe O86, j ar ee fait) ortait un ombird iment depuis et qu? ja Révoluison était légitime dans
prisonnler pat lee ene ne. font qu'uo orz3 mois; yous, vous n'aviez pu sup- | 864 aS pirations autant que dang 31 CO-
bot Cas Co nia a Jacmel. Elles ren.’ purter au Gap uo bomb wdement d’une lére contre vous. _
ad de sie ex, bandits armés qu’- | demi journée, et vos vous étesembar-| * Je cius que ce criminel, une fois
versent tous cex Nee bles. qué alors abandoanant vos compagnons!daus sa vie, pouvalt éprouver un géné-
elles trouvent sur lear, pee en tnont | ‘armes. veux élan du cos .r, et, le concert avo
3 de leurs aux, . . : Pay : . .
waa eet srrivent pour saaver leur; « Une capitalatioa | tui et armse, y prea ve ‘ A
moi, qu’eiles trouvent parfai-, frite, cette arm $e qui aviit d2feadua Go- | Jicmel "et nos troupes se rtarent en
temeat libre 4 Jacmel dont le danger, nuives revint au Port-au-Priase, C4 fat, ovat contre vous tS Veai Pnonatre qui
m’avait retenu. — Facheux inci , (1a, sur ce théa're d> vos concuseions |) drait an Santi la République
rans lequel je serais aux portes de effrénées, que j'appris tous vos forfaite, von icis Vil Lubin m’avait hom b: il
Por!-au-Prince ! et d finitivement 4 voas coauallre, vous! t ealevé, en fayant vers vous on
Y Mes divisions, eo ab .ndoanan! Léo jet les misérables qui, livrés 4 fa débiu- i re, une vision ve cut certaine-
anequi a été pilléa par vos dignes sol- che, rourllaiene le pouvoir et quiver eat combattu avec i eur your 1a
dats, aprés leur sorue des hautewrs eee © aa seen Raance, {vaue3sacrée du b onheur national, — I
ont va je paiera ses crim

ison si,mon indigaaticn diff f
4 Ja feignit de la comprendre et me fit voir
qu'il ne poavait consentir 4 vous Sérv
it contre la volouté générale ‘le ta nation,

. : et vous avez laissé la garn
de Jacmel, qui te de cette ville succomber

ner avec Jace



a honorable étant

Gros-Morne,

ion
la R ‘publig :
; , . : ° . as et sa d fection.
at 8 sie de la ville incendiée| « Une patriotique indignatiun se sal
van 3i i. J haxsai de votre « Pour vous, Siinave, vous étes hors
far on Snr lay one ee | a fae ctoyon ale rol ater
bs ’ ot i en de diriger les affires pa-}-” ’ : -
sonné, jet ane Cree deieura et les Stig teen et quand vous vevin'ee oF toire que de faire tomber votre téte
enfants pour me venger he a. ‘rd du camp Bourdet, alors que ..|coupab.e, eu expiation de vos fo: faite.
ot de ie. , ible et lianocent | m‘atteadsis & ce que voas eussiez mi*!| « Vous avez oné dire que je suis un
vous veng’2 3af le ate on mon, ea jagemeat ces infaines citoyans,vous | ingra’. Ingrat envsrs qui? Votre Calas
Vous aver, pile ve non époase que! molli, Voas avez remplicd Cer) a'est pas caile de ja patrie,et jo me dois
absence, fait bttee bee Peon. N’est- la soridté réproavait, ¢!] 4 la patrie Assez longtemps, j'ai ea le
vous aves ensuite} ca Fable ua chef yous les avez laissds graviler satoac de | naiheur d'dtre aveugié par un seati-
ce pas tuat co dont <9 P | vous, comm: les obscars gatallites d’un| meat de généreuse syapathie pour
de avian fait que cela ! Mais astre sans SP r. vous. A«sez longteaps, j'ai eu le mal-
see Se ee boargs shendonnés par ¢ lndigaé, sans pacaltre Vetre, car la‘heur, eofermé dans les muse que je
®





——

son collégue Vill Crevasses dans les m .
téressant dépaté a réponds 4 soa amica-} IX Raine partie'le ou totale ig? naam

défendais, de n’avoir pas entenda "Ne BOITE AUX LE TTRES que c’était raison, en tai 1a fornaliste était | édifi-es.

cho, repercuté par nos montagnes, _— lement : ¢ J’oubliats que ‘le voce devant la} X Catastrophe et ruines. Boul

la voix de mes compatriotes criant: 4! (a se rappelle Vincident soulevé |i. Le président a sursis Tincident Dou- | des couches terrestres. Eboulene mm!
bas le traitre Salnave ! A bas | assassiD ‘| . tour de notre com atriote,le sculp- juste observation et a clos | ne ormé par | tes. montagnes. ' Oulement dey
A bas le violateur de la Constitution |) one Normil Charles,& propos d’un ar- tyon. L’ordre du jour aéét

A bas lincendiaire ! A bis Salnave, I ticle de l’Impartial. Des personneges {son auteur, 4 ma satisfaction, en aoe De Rows et Fora einen

illard ! furent dénoncés comme ayant VOulU Jysion quia é1€ votce. '

P « Mais qui de nous deux est iograt entraver la belle carridre de Vartiste | Ceite rectification est fan, comme de at ar wee arnineer le nombre des g&
‘autre? Quand la Révolution | ngitien. Le nomde Mr Dalbémar JN! reste j’a été la motion, seulement po 97. .

envers f’'autre? Qi ; naitien. . ae Tho? glee. ‘Mez lui donner le jour dans (4 su

com mencé= en 1865 expira, et que VOUS! Jogcph, ancien ministre d'Haiti a ét ‘principe. Veuil!ez lui donaer mes remer- ture)

vous retirates 4 Monte-Christ pour, d¢ | cité, dans une lettre mal inspirée de gos briliantes co onnes et aves acai. mes J.

la, vous ren-ire, & mon appel, aux Tle Jacmel. ; vient de rem clements aprter. Directeur € , Convecation

Turquas, apiés avoir incendié le G3p,) MM Normil Charles qui vient de rem- | meilleures salatations. Le Grand Secrétaire de ’'Ord

votre ville natale, vouldtes-vous jamais | porter un grand succes au Salon avec BEAUHARNAIS JEAN-FRANGOIS. acx TT.:. 1f.. FEL: , Membres a Yee

vous eimbarquer avec moi et 1/ braves! yn buste de M. Jn Joseph, rectifle lui-
pour venir recommencer l’euvre 4U!l) mame dans des termes éloquents et
devait faire chater Geffrard ? , Bincéres. Et, tout b échaffaudage de
Je vins vous proposer de partir mensonges s écroule.
our Haiti. Vous he le vouldtes pas.! Voici la lettre qui retablit la vérité.

ay i $s . .
ous ne vouliez pas confler aux risques; pis te 1/ Juin 1909.

4 squif, votre; .
de la mer, sur un fréle esq ' A Monsieur Clément Magloire

; s de gnelques bandits , .
personne et celles de qnely ndiez, | Directeur do journal le ‘ Matin” |

Temporaire du G.-. O.°. gue. spi

1 » SUl
Jicmel, 7 Juillet 1909. aos du Décret du G.-. Gor, =e
int : u uin dernier, ection Me
L’ Administrateur des Finances : qc tor. erniery, Ue ection dy 3 a
Aa Directeur du journal le « Matin tr du courant, 21 hewn he proc
Port-au-Prince. | au Temple dela Resp.:, Loge «le vant

Mr le Directeur, No 47, Rue Lamarre.

Veuillez" — dans lintérés de la vérité— | Il aime A espérer qu’ils ne manqeete
blier dans votre intéressant joarnal,l’en-| pas de venir se prouper autour de I’em





















qui vous entouraient. Vous atten a. . ee: ipu isi
pour prendre la mer, un vapeur qui ne Port-au-Prince (Haiti) ltrctilet qui suit : pour choisir le nouveau G.*. Chef de fOr
du dan- re appelé 4 tenir haut et ferme | Etendy

wit iamui .a peur
ver ane vat device r ourie sur la terre Mon cher admirateur, san. |..! Contrairement 4 la note parae dans le
W'Haiti, bien plutst vous retenail. mee mes succes (i ee Rabies de la Répobliqae,le
. i n nonce m ° . . ambre des Co . =|
quehn partis seul avec mes armies endit | Et je tiens 4 vous signaler tout parti- | ouss'ynd déc'are avoir expédié a la date
ques jours, “vas. et tout le culiérement celui que je viens de rempor-| 4. 4 ¢ Juin dernier tant au parte
de Saint-Mare aux Gonaives bai sur le ter en Février dermer a propos de l’exé-| 425 Hinances qu’a la Chambre des Comp-
Nord senflamma. Je marcbal ‘ cution—en témoignage de haute reconnais-! 51, Comptabilité de son Administration

. : ment : :
Port-au-Prince, dont le gouverné fai- sance — du second buste d’an de mes ad-' ¢ aanciere pour les mois d¢ Mars, Avril et

de notre sublime Institution et Iai
metire de reprendre son essor vers le b
lovable et élevé auguel E'le travaille pos
le Bien de l’Humanité,

J. B. U. Enem,

Tribunal Civil
Audience cvile du 7 Juillet ryog.
























*effaci: . e mes armes. Que a Lees | A so : ace
vous ‘alors P Vous croupissiez dans Rat ceejoseph. j'ai nommé Mon | Mai, r909., que reception tet aa oe oe Présidence A. S: Rome
fange, 4 l’étranger. . i° Ce buste a @é reca au Grand Salon $35 109 et 254, section de Ja Comptabi- Ministére Public, Jules Rosemond.
« Eh bien, moi, que vous dites ambi- des Artistes Frarguis. ( Grand Palais des jiu C%es: exact ! S.rla réquistion faite parle Minise
tieux, ai-ja pris pour moi le pouvolr, Champs Elysées.) C'est ici poar moi l'oc-| Meilleures salutations. public vend vin Ala prestotion de. serme
qu'avait refusé mon honorable bb ‘casion de iappeler ce que j’avais dit au P. V. LUBIN. des conmussionnés : 1° Stivenne Re
rateur, N. Saget? Cela m’enit été bien Gouvernement, 4me3 parents et amis le! — nonré Jupe de Paix de Thomazess
facile, car Venthousiasme populaire ae 13 Avril 1904, date de mon départ pour, “~~ ze Joseph St Rome, nommé Joge sapgl
cueillait la Révolution faite pir mows ta France : ‘‘ Je vous laisse avec re ret: iF 5 ; ant au *Tribanal Civil de ce ressort,!
deux. ‘pour le bonheur de notre pays. is FAW commissionnés ont pré:é le serment esi
« Mais, non, ja vous fis appeler de soyez .. convaincas que les nouvelles que | par la loi. 7
Vétranger; on eut méme de la peine 4 yous recevrez de moi vous causeront tou- — Le Joge-Doyen et le Ministere Pa
vous trouver, enseveli que vons étieZ jours un extréme plaisir. Roan SRBIGNEMENTS ont adressé auxfnouveaux co:nissionnés(
dans la boue des foréts de Malinde re Je suis plus fer pour mon pays a8 nove METEOROLOGIQUES paroles de telicitations et de bienvem
i - > : m < Bere WV tassstocin wi ta ane,’ lone d
\p. -vaill gut Cabeal ONS, POBPENATSE. MY oMeME _ § tonsécration & la promesse ' Veer vVaAatoiIre merci¢ le Chet de i’Etat, ensuite le
sorte qu’elles soient, que vous me de- ‘solennelle que j’avais faite. DU Doyenet leMinis: éte Public disaient comes
vez encore mon argent que je dépensai| Si ces paroles ont pu @tre‘confirmées de} SEMINAIRE COLLEGE St-MARTIAL | ils sout émus des belles paroles advea
pour vous retirer de ce lieu. ‘fagon si décisive, c'est grace au patriotisme €t ont fini par conclure qu’tls jastifias
« On vous attendit. Vous arrivates.Et, | dévoud et ala haute protection du minis- Jevoi 8 Jurtet 1909 la confiance que le Chef de (Etat a plas
6 honte sur vous, en me!tant les pieds tre D. Jean-joseph. qui m’avait défendu, | Garoméire a midi : 76x @/™Blen eux. Ils ont recu acte de lear
sur I+ sol de la patrie, vous lavez avec vaillaace et justice lorsqa’on m’avait . 6 tation de serment.
souill’ par Passassinat de d’Assas Sé-|génoncé injustement. Température}misiaem 20, Puis le tribunal a prononcé le jagem
vére et des infortunés qui furent égor-| Monsieur Jean-Joseph, m’avait défenda maximum 32 4] suivant:

Celui qui condamne Robert Ulm
Psyer par ‘out:s les voies de droit as
délai méme pir corps sax sieors Lies
Viard et Léon Dejean, avocats, la somf
de cent cinquante gourdes, moatest
bon sourcrit en faveur des dits svea

il me sembiait pendant un moment que pour leurs honoraires. Fixe la desde |
}’étais perda dans Ves rit du président , . l’emprisonnement A six mOis en cas rs q
Nord, tant il est vrai de“dire que la mal-| L’échelle sismique de Rossi-Forel est} paiement, ordonne l’exécation p
veillance et la méchanceté s’acharnaient | >as¢e sur les divers effets produits par les d
aprés moi tremblements de terre sur l'homme, les Affaires entendues.

Dela des mesures regrettables prises edifices, et les objets °suspendus et com- B«onhomme contre Dame David.
contre moi. Dela la suppression trop sou-|Prend ro degrés croissants dont le premier Veuve J. Facrés contre Piccio:to.
le modéle de la valeur militaire. vent répétée de ma boarse. est pour le microsisme et les ¢branlements| pé.) Défaut a sé requis contre Me i

« Elle a payé cher son erreur: elle a|,, Mais, n’oubliez pas de dire surtout que} mal! percus. Elle est couventionnelle et ar- | par Me Raymond. Le Tribaoal s fit |
été dupde par vous, pillée et assassinée Monsieur Jean Joseph, ne manqaait ja- bitraire, mais répond aux circonstances ja sa demande. oo. héria
par vous. Vous avez soulevé contre sq} ™iS l'occasion d’intervenir en ma faveur | habituelles de la vie. Elle est facile méme Continuation de |’affaire des rise

acprés du Gouvernement da général Nord. |4 des_personnes peu habituées 4 l’observa- | feu Gaston Margron contre les "nd

artie saine ce qu'elle contient de plu: es . ” . .
immonde, cotta lie que lon trduve A lui je dois toute ma gratitade ; 4 {tion des phénoménes naturels. vaud fils e Roger Rouzier, Ve :
avancée, le tribunal a renvoy

chez tous les peuples; et la propriété . or: Ls
cette base detout état social, vous I’a- tion de l’atfaire 4 huitaine.
vez mise en peril ; ~les bonnes meurs, Exceliente occasioo
vous voulez les fiire disparaitre ; — ta tions avao
probité, vous l’avez étouffée sous les ag pe + es oo rana des j
le ‘Noouvelliste, le Matin, le Bom

6treintes du banditisme.

« Ab! si vous pouviez entendre unl da da Salon 1 section de ls sculptare. secousse est observée par un petit | peut demander !’¢chantillon. -
conseil, je vous dirais: ** Fuyez donc Ci joint |: catslonne de “cette ex Fon nombre de personnes ‘ au repos. Pe — Encre d’imprimerie, pat lvls
cette terre que vous avez abreuvée de|Mon nom est A page 333. No 3882. UI Ebranlement ressenti par un certain | et en détail.

Vos iniquités;— renoncez donc 4 faire] Veuillez agréer, moa cher comapatriote,| 20mbre de personnes au repos. La daréé} — S’adcess. en nos bureaux.
l'expression de {mes meillears sentiments. )¢t la direction sont discernables. Départ

Paris, mais tant comme, na were cuit 4{ Moyeane diurne de la température 27,7
od 20-7) Ciel clair le matin ‘et nuageux J’aprés-
rait, détenda un Als. oe tairc sur les dif- midi. Brise de mer réguliére. Eclairs — Br-
ficultés que j’aidd surmonter aa début romé re legérement en baisse.

de mon arrivée 4 Paris.

gés avec lui. Puis,a l’aide de nos janis-
saires, vous vous étes fait Jever sur le
pavois comme protecteur; vous vous
étes imposé a l’Assemblée constituante
ou vos agents, ceux qui espéraient s’en-
richir comme vous de la sueur du peu-
ple, mettaient dans lurne électorale
votre nom, comme celui d’un homme
désintéressé, et sacrifiaient ainsi la na
tion.

« Kile ne vous accueillait pas parce
qu'elle croyait que voas é6tiez la person-
nification du désintéressement civique,

INTENSITE DU MOUVEMENT SISMIQUE

vous tous. mes amis, mes meilleurs re-| Vorci cette échelle dont usage est trés
wercimcats pour les encouragements que | '¢pandu.
vous me donnrez. Monovements da sol non notés par

Je profite avec plaisir cette circonstance|tous les appareils de types différents et
pour vous envoyer ‘le journal la ‘* Libre|¢x4minés par un observateur exercé, Ce
Parole ” dans lequel j’ai Vhonneur de degre comprend les microsismes.
voir mon nom , figaré dans le compte-ren- Le Tous les appareils sont actionnés.

‘
a
{
‘









couler te sang des Haitiens!

« Votre cause est perdue. Vous étes IV Ebranlement perca par des personnes
abhorré par les gens de bien; fuyez, Noam Cuaaues en activité. Mouvement eeobjeus Prmobiles, Hier suir est parti le sis eat
sauvez vous, car la colére da peuple sculpteur des portes et des fenétres ; craqaement des | Lesseps vavec les passagers $8 :

haitien vous poursuit, et vous paierez e's planchers. Gonaives. — Mr et Mme 2
cher les crimes inouis que vous avez Port-au-Prince 9 Juillet I Vv Secousse ressentie par tout le monde, bébé, Thomas Siclair, Mile Mars
commis. » . . 909. mouvement d'objets plus importants, | Bien atmé Barbor, Victoire
Directeur et ami, meables et lits ; les sonnettes sont mises | rice Lacroix, Dépaté Durao esi
Dans votre com da de la derniére jen branle. bom, Mr Pélissier, Joseph Yo ™
séance de la Chambre, vous m’averz attri- _ VI Réveil général des dormeurs. Oscille- | Bélizaire, Mr Richardson. “6
bué on bien faux geste, quand, 4 la vérité |tions des lampes ; arrét des pendales et) Peii1-Godue. — Pere Détet,
j as empéché a la ambre de faire un pas des horloges, mouvement sensible des | Chériez 4
de clerc. L’honorable dépaté Léon avait |arbres. Quelpaes personnes effrayées s'en- i aussi le ss‘ Abal
bien lo ‘ ordre da jour, ete. >. Crest sn faiene hors des maisons. ' Est reparti aussi poor
seul son de ces mots que j’avais protesté Renversement d’obj mob es passagers sui .
ac nom de notre Riglement, qui déGnit | chate de mortier des uate atee des hoe Jérémie. — Miss. Jeanne N
le cas de la mise a lordse de jour. L’in-|loges publiques, efroi ‘gtedsal. Clérié.

V. CHEVALLIER

Tel fut le proces fait par Victorin a
Salnave. et qui n’était que le prélimi-
naire d’un drame plus terrible qui de
vait se jouer deux mois plus tard, —
contre lea deux.

Avovuete MAGLOIRE.






Bailly revient 4 la tribune et dit
Ka-_ il entend que la q
de; \tons les étrangers non seulement aux
s. ;Sy°i¢ns mais encore a tous les ¢ran-
Bers gui font le ccrnmerce de detail.
Mr Claude déclare qu’en sa qualité
de minist:e des Relations Extérieures,
on Feit tout son ‘levoir. [| a écrit aux
‘pont, Ecg. Ray-#¢O0S8alsa Haiti pcurleur passer | ordre
Mme oie Ee Pongere, Macn de nepas délivrer de passeport ai-x Sy-
Ve AoR . quelques I gomarches farent faites par
A. Se . P.Kerleg-and, eiques Légations auprés du Gouver-
i aire Kerlegeand. général j.paement du Gal Nord Alexis, dit-il, a
, B Maks ate et Madime Mossalem, | OFOpos de lexéci:tion de cette loi et
Gasdoit, Gcenr Aldégonde, Mr. B. {les parties furent d’accord. Il premet
Pikioa Peri, « ve, Raymond. Misery, de faire de son mieux dans le
Jean Ba Lest. e. C. Guilbaud, Gp Cerce-e de ses attributions, pour que
. oi Adgca, Célius Baret,}4@ Joi du t3 Aout contre les syriens
es br yemitte, et enfant, général C. sorent exécutée.
. dolphe. Mr Philippe, Féliz Nn passe eusuite ensuite a la dis-
D vil et 2 erfants, Mlle Ai [CUSsion du rapport du comité de I’'In-
Cicile St-Vil ef ier Bridne. | 6tieur relatif a la proposition de loi
Reaé,Mr D Athenes, Chenie és
, ' Fate pr senté par le député Alphonse Jn
Procha ne hai oseph. détachant les sections Rian-
cummnce pout meicedi, prochain [Bes atid yeSec, de la commune” de
iGque soirée : as. De:ormais ces deux
VTeccsion da 14 Juil'ct, Fete NATIONALS | sections dépend::nt de la commune de

Francais. oo, ae Belladére.
teechestre, sous la direction de l’artiste Les conclusions de ce rapport ain-
femier, cornct-solo de la Musique du Pa

_|8i que la proposition de loi sont vo-
i, erécutera de nouveaux morceaux, quiltées avec une légére modification.
papseront un programine de tout pre-

L’ordre di: jour de la prochaine sé
pier ordre.

qu

rrivage :
A uestion s’étende a

Ald-Ek-
“a esx entsé le sis * :

uivants venant

Fo ee estat et 2 enfant
epee. Calixte, D Buarratteav,
p= Ne, Sceur Eustache, Mr
Clémence Céles'in, O car Por:és
Chque! C. Elie, Mme Dulziette er


































huis clos sur la demande du Ministre
des Relations Extérieures qui tient a
feurnir des renseignements complé-
Mentaires ala Chambre, & propos de

ance est proclamée et on passe a
— la.doi contre les -vriens.






dela Stance du Merc edi 7 juin 1909 ee
MoB.Jn Frangois agite ia ytes- f. a
syrienne. [i purle des faux ac oe Ne
d na'uralisation que détienneat es ,
. sm: ; : \. développés, reconstitués,
syriens. I| d?>mande pourquoi le \ ctnbellis, raffermnis



de la Commission chargée de
les actes de naturalis#tion des
tins n’'at-il pas été publid.—
Qeelles mesures demande-t il aux mi-
lietres, avez-VOUs prises Contre les sy-
fees? Un arrété d’expulsion a été pris
Witre 22 syliens pa’ le Gouvernement
Webdenten novembie dernier, com-
won ils pu rentrer dans le Pays?
me faites-vous, Messieurs pour
jarer ce danger qui menace la
lité haitienne »?
ke vous accorde, ie délai de quinze
we poo prendie a cet effet jes me-
wes tes plus ¢flicaces et donner plei-
#é@entiére satisfaction a la Nation
ce déiai, si aucune satisface
ition n’est donnée, vous s 1ez ré=
Ment interpelé sur ce chef con-
forateur.
Me Bailly reproche 8 Mr Magny qai
Promulgué la loi du 13 Aout 1503
PRavoir jamais voulu lexécuter.
YS ne peut pas se contenter des
aires sans effet quol passe aux
Missaires du Gouvernemer ts et
Mégistrats communaux qui se
tau dessus de ses o dres.
Mit Magny répond qu'il avait pro-
? présenter wu Corps Législatif
biinterprétutive de celle *de 1903

+n deux motes par ies

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i 903. Il explique ce que c'est E. Rebel: .
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de Port y: Le magistrat commu- peur :
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© prenne fin. A j

le député Bailly a déja
ve io acommencé a exécuter! 155 Rye Ripublicuine en face de M>
[we | “aU-Prince lui a fait ré Ssor- Paté de foie gras. Sc uciss: S tre fides.
ale serait obligée de rouge et blanc. Uporto. Malaga. Ver- |
ot d’attendr
artir de
fe prochai i 1+ 1.6cessaire sera










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parlé aussi d'une loi
e8 bureaux de a Cham ,
Odifie celle de 1876 sur ta |
it avoir prié le President

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d’informer les porteurs de Bons d'Em-
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peuvent a partir de ce jour, se pré-
senter Ases guichets pour toucher
une vingt quatriéme répartition.

Emprunts du' Gouvernemént d@’ Haiti

6°/9-19,9, Intéréts du fer Avril au 34
Mai 1909.



Empuunts du Gouvernement d' Haiti |t

39/0. { fee Intéréts du “fer Avril au 31
Mai 1909.

Contre regu et sur présentations
des bons.

Port-au-Prince le 19 Juin 1909.

Docteur R. R. Ewald

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en particalier qu’il sera de retour de
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Port-au-Prince, le 17 juin 1909.

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vous étaient immédiatement livrés aux
lammes aprds qu’ils avaient été pillés
par vos soldats, au cri de: Vive Sul-
nave! ras z pillez en bon ordre !

« A Miragoan,

fausseté est le principal apanage d
©
votre étre, vous m’avez appelé au Sinise
tére de la guerre et de ja marine, dans
un but qui n’a pas échappé 4 ma pers-

LIVRE III avez Vous respecté picacité. Vous vouliez i
We que sun commerce, son in- flience sur larase ae eamenate
Violences et représailles iqv'elle ‘doar ate Rsdub ig revenus au Port-au Prince et avec laquelle j'au-
le a iqne auraient rais pu vous punir «
LII iu épargner d’une destruction ? omme Jen avaia das ions eet eneée

ree avoir proclamé au Camp Ogé
pakchéance de Salnave, Vielorin Che
wiier, outi6 de» termes hamiliaats
wlesquels le gouvernement présen-
wit sa conduite dans la Moniteur, fi!
rire 4 Salnave une lettre qui mérite
fare sauvée de Youbli ct que, 4 ce
we, joffre aujourd hui a nos lecteur
uu fap?

f chil,
apchement de cette lettre avec celles
% née personnag? publiées précé-
demment, des enseignements profonds
a utiles :


































nile comsmacel

sJacmel, 15 novembre 4309.

cVicrorIN CHEVALLIER, général en
chef de l'armée popuiaire,

«Au général Sylvain Sulnave.
« Général,

«Vous avez fait pub'ier un acte p?r
legeel vous avez vorni contre moi des
igeres, Vous m’avez qralifié dingrat ;
es avez dit menteusement que yous
avez, appelé au ministére de la
set dela marine pour satisfaire
insatiable ambition, et que je
sun monstre dort arm est
tenant debarrassée.
«Pour que vous vous exprimiez ain-
wr lecompte d'un
devez tout, et qui, lui-méme, ne
doit rien, il faut que vous soyez
ewer plein d’ingrutitude et de ta-
, OU que vous soy z bien prufon-
t aveugle.
(Votre lacheté, vous l’'avcz montrée
fois pour qu’elle soit un doute
personne. Toutes les villee du
Yous avcz conduit la guerre
la Révolution, vous jes avez
t abandonnées pour courir

“milien de votre phalange de si-

VOUS avez ordonaé Tateessinat,
publique, accordé de ces
de fournitures fatles en
la plupart ; fuit de ces

Menen

8 qai ruinent votre pays.

=

t son avenir, si de bien
Qvestigations ne viennent

4 leur

flies sans 0 jet sérieux, et dont le
me vombre ne constitue gee le

Goonté dont vous aves
tas quelques sales et tristes
votre odieux cortage, ag
. Perpétueis du trésor public.
vous jamais fait, em diri
ze armécs 2? Dans qucis com-
payé de votre personne?
Molqné de laction, retesa
conservation de votre

tatouée par ise om-
coupe de pieds de Véane,








































homme auquel | P

es enfermer au Port-au-Prince, |8

juste valeur ces dépen- | S2*

trois {gis peatré 3, Part. au-Pcipc:. dans

« Vous nav. z pis noo plus respecté
la fortane des particuliars, et les n -
vires dz la marine républicaine ost 6
transform4s en transports des rapines
les soldats, que vous achetiez d’eux.

«Et le mot d’chonneurs peut il étre
prononcé par vous? Avez vous le
ae yous plaindre d'un homme

a jams al
dui aascrvir, wour cher Pas dais
de la pire espéce.

« Vous av. 2 commencé par ta’enlever
deux divisioas qu? voas avez envoyées
dans le Sal, et si javeis consenti a res-
ter assis sur mon fiuteuil do muiuistre
vous meussiez enlevé mrs autres sol-
dats; et moi, coeur généreux, qui souf-
fruis des muuy de ta patrie et qui en
:ouffre encore, je me sereis trouvé a la
bata, uk" uds" Worx “aang * vorte

“8
cwar, Vidés d’aliéaer une partie du sol

vous n’..vez qu’a longue distance en-
tendu te bruit du canon, et senti l’o-
deur de la poudre.

« Oo ne doit donc pas s’étonner gue
les armées que vous avaz ditigées per-
sonnell:ment n’aient jamais eu une
victoire, et que, en fuyant, vous suyez

dent une purification nécessaire.

++, do vous ressembler, j'ai tou- : . ‘
jours pays de ma personne et cneitt. f « Vous n’avez pas eu le courage ile de la Patrie pour liadSpeadance ‘le la-
; ; sane aire la guerre vous -d:défendre | yuelle a could le saa oéreux de nos
rage mes x01 at Pe agit ils Votre. NerTO VOiS Oe yous nvayer” pares. Be
‘ 3 de-ir, dautre| «Je gortis de Port-au-¢rnee. J’en

eu d'autre réve, d’autr
volonté que de vous cram
youvuir, dont fe peuple, di:
uns, vous a déclaré déchu.
s Av z-vous été conséquen
votre ambition 2? — Noa. — Lr vi
Gonaives supportait “depuls dix-
‘mois un siége sérieux, pendant que;

au fort de laction,
t la mitraille, exci-
tte conduite, lota
u deux, ¢Om-
t, fait quils
Voyez

m’ont toujours vu,
A travers les balles e
ter leur ardeur. Et ce
de me faire un bourrea
me vous [4 dites faussemen
me regardent comine un péere.
plutdt.

« Votre

sortis sous le prétexte dvalier resserrer
‘la ligne d opérations con're Jacmel, ca~
‘chant en moi le désir ardent de purge?
t avec mon pays du chef le plus bas et le
lle des plos triste, le plus voleur et le plus
huit infa ne qu'il ail jamais eu.

« Vous envoyi’es, pour me surveiiler

pooner au
puis deux

déchéance proclamée au

. digi i ini eae tet maszassiner, le a:he Vil Lubin,trop
n avant trois divi- vous. au matiea de vos ministries thes é , Lubin,|

sions O¢6, 3 Bont me précéder poar pab!es, quelques-uns banqueroatiers poltron pone accomptir la mission a Lae
a ort-au-Prince. Ces qi- fautul ax auxquels une justice sévéere quelle vous aviez préposé. Il vint 8 as-

P
4 Léogane qiu‘elies en-
iqnets comm in-
teur chef, aussi

le Jucmel, s¢
x scenes dé-
omplait

ia marche sur
visions arrivent
lovent d’assaut a vos

dés par Crispia Négre,

ir dans les environs ¢
& ses cruautés, au
3 dan3 lesquelles il sec

les fers se0
vous liveunt
1s goutlante

aurait dd faire expier dans
udes commerciales,

ilears turpi' ;
tiez les combinalsoi

‘imagiui-z, inven

: ‘qui vous ont enrichi des denrées da la'et que j2 u’énumére pas ich.
ignorant ites oa veanent par des cim- République et de ses deniers, que vous; ¢ Mais ce la che stipendié qui ne pou-
onan ape ets des enviroas *V*2 fait déposer & votre profit, hors da , vart m’assassiner, entendant 4 exhaler

t

‘pays,
‘vaillan

agnards que les Piqu itenda
. a avaient feint de fusion- icile a se contenir,

1 et la Revolatin! me- Fin
nacent la vilie. Oa leur it que, feste | .. . .
oi | g éticz jaloux de 802 chef :
sane troupes au oe O86, j ar ee fait) ortait un ombird iment depuis et qu? ja Révoluison était légitime dans
prisonnler pat lee ene ne. font qu'uo orz3 mois; yous, vous n'aviez pu sup- | 864 aS pirations autant que dang 31 CO-
bot Cas Co nia a Jacmel. Elles ren.’ purter au Gap uo bomb wdement d’une lére contre vous. _
ad de sie ex, bandits armés qu’- | demi journée, et vos vous étesembar-| * Je cius que ce criminel, une fois
versent tous cex Nee bles. qué alors abandoanant vos compagnons!daus sa vie, pouvalt éprouver un géné-
elles trouvent sur lear, pee en tnont | ‘armes. veux élan du cos .r, et, le concert avo
3 de leurs aux, . . : Pay : . .
waa eet srrivent pour saaver leur; « Une capitalatioa | tui et armse, y prea ve ‘ A
moi, qu’eiles trouvent parfai-, frite, cette arm $e qui aviit d2feadua Go- | Jicmel "et nos troupes se rtarent en
temeat libre 4 Jacmel dont le danger, nuives revint au Port-au-Priase, C4 fat, ovat contre vous tS Veai Pnonatre qui
m’avait retenu. — Facheux inci , (1a, sur ce théa're d> vos concuseions |) drait an Santi la République
rans lequel je serais aux portes de effrénées, que j'appris tous vos forfaite, von icis Vil Lubin m’avait hom b: il
Por!-au-Prince ! et d finitivement 4 voas coauallre, vous! t ealevé, en fayant vers vous on
Y Mes divisions, eo ab .ndoanan! Léo jet les misérables qui, livrés 4 fa débiu- i re, une vision ve cut certaine-
anequi a été pilléa par vos dignes sol- che, rourllaiene le pouvoir et quiver eat combattu avec i eur your 1a
dats, aprés leur sorue des hautewrs eee © aa seen Raance, {vaue3sacrée du b onheur national, — I
ont va je paiera ses crim

ison si,mon indigaaticn diff f
4 Ja feignit de la comprendre et me fit voir
qu'il ne poavait consentir 4 vous Sérv
it contre la volouté générale ‘le ta nation,

. : et vous avez laissé la garn
de Jacmel, qui te de cette ville succomber

ner avec Jace



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Gros-Morne,

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la R ‘publig :
; , . : ° . as et sa d fection.
at 8 sie de la ville incendiée| « Une patriotique indignatiun se sal
van 3i i. J haxsai de votre « Pour vous, Siinave, vous étes hors
far on Snr lay one ee | a fae ctoyon ale rol ater
bs ’ ot i en de diriger les affires pa-}-” ’ : -
sonné, jet ane Cree deieura et les Stig teen et quand vous vevin'ee oF toire que de faire tomber votre téte
enfants pour me venger he a. ‘rd du camp Bourdet, alors que ..|coupab.e, eu expiation de vos fo: faite.
ot de ie. , ible et lianocent | m‘atteadsis & ce que voas eussiez mi*!| « Vous avez oné dire que je suis un
vous veng’2 3af le ate on mon, ea jagemeat ces infaines citoyans,vous | ingra’. Ingrat envsrs qui? Votre Calas
Vous aver, pile ve non époase que! molli, Voas avez remplicd Cer) a'est pas caile de ja patrie,et jo me dois
absence, fait bttee bee Peon. N’est- la soridté réproavait, ¢!] 4 la patrie Assez longtemps, j'ai ea le
vous aves ensuite} ca Fable ua chef yous les avez laissds graviler satoac de | naiheur d'dtre aveugié par un seati-
ce pas tuat co dont <9 P | vous, comm: les obscars gatallites d’un| meat de généreuse syapathie pour
de avian fait que cela ! Mais astre sans SP r. vous. A«sez longteaps, j'ai eu le mal-
see Se ee boargs shendonnés par ¢ lndigaé, sans pacaltre Vetre, car la‘heur, eofermé dans les muse que je
®


——

son collégue Vill Crevasses dans les m .
téressant dépaté a réponds 4 soa amica-} IX Raine partie'le ou totale ig? naam

défendais, de n’avoir pas entenda "Ne BOITE AUX LE TTRES que c’était raison, en tai 1a fornaliste était | édifi-es.

cho, repercuté par nos montagnes, _— lement : ¢ J’oubliats que ‘le voce devant la} X Catastrophe et ruines. Boul

la voix de mes compatriotes criant: 4! (a se rappelle Vincident soulevé |i. Le président a sursis Tincident Dou- | des couches terrestres. Eboulene mm!
bas le traitre Salnave ! A bas | assassiD ‘| . tour de notre com atriote,le sculp- juste observation et a clos | ne ormé par | tes. montagnes. ' Oulement dey
A bas le violateur de la Constitution |) one Normil Charles,& propos d’un ar- tyon. L’ordre du jour aéét

A bas lincendiaire ! A bis Salnave, I ticle de l’Impartial. Des personneges {son auteur, 4 ma satisfaction, en aoe De Rows et Fora einen

illard ! furent dénoncés comme ayant VOulU Jysion quia é1€ votce. '

P « Mais qui de nous deux est iograt entraver la belle carridre de Vartiste | Ceite rectification est fan, comme de at ar wee arnineer le nombre des g&
‘autre? Quand la Révolution | ngitien. Le nomde Mr Dalbémar JN! reste j’a été la motion, seulement po 97. .

envers f’'autre? Qi ; naitien. . ae Tho? glee. ‘Mez lui donner le jour dans (4 su

com mencé= en 1865 expira, et que VOUS! Jogcph, ancien ministre d'Haiti a ét ‘principe. Veuil!ez lui donaer mes remer- ture)

vous retirates 4 Monte-Christ pour, d¢ | cité, dans une lettre mal inspirée de gos briliantes co onnes et aves acai. mes J.

la, vous ren-ire, & mon appel, aux Tle Jacmel. ; vient de rem clements aprter. Directeur € , Convecation

Turquas, apiés avoir incendié le G3p,) MM Normil Charles qui vient de rem- | meilleures salatations. Le Grand Secrétaire de ’'Ord

votre ville natale, vouldtes-vous jamais | porter un grand succes au Salon avec BEAUHARNAIS JEAN-FRANGOIS. acx TT.:. 1f.. FEL: , Membres a Yee

vous eimbarquer avec moi et 1/ braves! yn buste de M. Jn Joseph, rectifle lui-
pour venir recommencer l’euvre 4U!l) mame dans des termes éloquents et
devait faire chater Geffrard ? , Bincéres. Et, tout b échaffaudage de
Je vins vous proposer de partir mensonges s écroule.
our Haiti. Vous he le vouldtes pas.! Voici la lettre qui retablit la vérité.

ay i $s . .
ous ne vouliez pas confler aux risques; pis te 1/ Juin 1909.

4 squif, votre; .
de la mer, sur un fréle esq ' A Monsieur Clément Magloire

; s de gnelques bandits , .
personne et celles de qnely ndiez, | Directeur do journal le ‘ Matin” |

Temporaire du G.-. O.°. gue. spi

1 » SUl
Jicmel, 7 Juillet 1909. aos du Décret du G.-. Gor, =e
int : u uin dernier, ection Me
L’ Administrateur des Finances : qc tor. erniery, Ue ection dy 3 a
Aa Directeur du journal le « Matin tr du courant, 21 hewn he proc
Port-au-Prince. | au Temple dela Resp.:, Loge «le vant

Mr le Directeur, No 47, Rue Lamarre.

Veuillez" — dans lintérés de la vérité— | Il aime A espérer qu’ils ne manqeete
blier dans votre intéressant joarnal,l’en-| pas de venir se prouper autour de I’em





















qui vous entouraient. Vous atten a. . ee: ipu isi
pour prendre la mer, un vapeur qui ne Port-au-Prince (Haiti) ltrctilet qui suit : pour choisir le nouveau G.*. Chef de fOr
du dan- re appelé 4 tenir haut et ferme | Etendy

wit iamui .a peur
ver ane vat device r ourie sur la terre Mon cher admirateur, san. |..! Contrairement 4 la note parae dans le
W'Haiti, bien plutst vous retenail. mee mes succes (i ee Rabies de la Répobliqae,le
. i n nonce m ° . . ambre des Co . =|
quehn partis seul avec mes armies endit | Et je tiens 4 vous signaler tout parti- | ouss'ynd déc'are avoir expédié a la date
ques jours, “vas. et tout le culiérement celui que je viens de rempor-| 4. 4 ¢ Juin dernier tant au parte
de Saint-Mare aux Gonaives bai sur le ter en Février dermer a propos de l’exé-| 425 Hinances qu’a la Chambre des Comp-
Nord senflamma. Je marcbal ‘ cution—en témoignage de haute reconnais-! 51, Comptabilité de son Administration

. : ment : :
Port-au-Prince, dont le gouverné fai- sance — du second buste d’an de mes ad-' ¢ aanciere pour les mois d¢ Mars, Avril et

de notre sublime Institution et Iai
metire de reprendre son essor vers le b
lovable et élevé auguel E'le travaille pos
le Bien de l’Humanité,

J. B. U. Enem,

Tribunal Civil
Audience cvile du 7 Juillet ryog.
























*effaci: . e mes armes. Que a Lees | A so : ace
vous ‘alors P Vous croupissiez dans Rat ceejoseph. j'ai nommé Mon | Mai, r909., que reception tet aa oe oe Présidence A. S: Rome
fange, 4 l’étranger. . i° Ce buste a @é reca au Grand Salon $35 109 et 254, section de Ja Comptabi- Ministére Public, Jules Rosemond.
« Eh bien, moi, que vous dites ambi- des Artistes Frarguis. ( Grand Palais des jiu C%es: exact ! S.rla réquistion faite parle Minise
tieux, ai-ja pris pour moi le pouvolr, Champs Elysées.) C'est ici poar moi l'oc-| Meilleures salutations. public vend vin Ala prestotion de. serme
qu'avait refusé mon honorable bb ‘casion de iappeler ce que j’avais dit au P. V. LUBIN. des conmussionnés : 1° Stivenne Re
rateur, N. Saget? Cela m’enit été bien Gouvernement, 4me3 parents et amis le! — nonré Jupe de Paix de Thomazess
facile, car Venthousiasme populaire ae 13 Avril 1904, date de mon départ pour, “~~ ze Joseph St Rome, nommé Joge sapgl
cueillait la Révolution faite pir mows ta France : ‘‘ Je vous laisse avec re ret: iF 5 ; ant au *Tribanal Civil de ce ressort,!
deux. ‘pour le bonheur de notre pays. is FAW commissionnés ont pré:é le serment esi
« Mais, non, ja vous fis appeler de soyez .. convaincas que les nouvelles que | par la loi. 7
Vétranger; on eut méme de la peine 4 yous recevrez de moi vous causeront tou- — Le Joge-Doyen et le Ministere Pa
vous trouver, enseveli que vons étieZ jours un extréme plaisir. Roan SRBIGNEMENTS ont adressé auxfnouveaux co:nissionnés(
dans la boue des foréts de Malinde re Je suis plus fer pour mon pays a8 nove METEOROLOGIQUES paroles de telicitations et de bienvem
i - > : m < Bere WV tassstocin wi ta ane,’ lone d
\p. -vaill gut Cabeal ONS, POBPENATSE. MY oMeME _ § tonsécration & la promesse ' Veer vVaAatoiIre merci¢ le Chet de i’Etat, ensuite le
sorte qu’elles soient, que vous me de- ‘solennelle que j’avais faite. DU Doyenet leMinis: éte Public disaient comes
vez encore mon argent que je dépensai| Si ces paroles ont pu @tre‘confirmées de} SEMINAIRE COLLEGE St-MARTIAL | ils sout émus des belles paroles advea
pour vous retirer de ce lieu. ‘fagon si décisive, c'est grace au patriotisme €t ont fini par conclure qu’tls jastifias
« On vous attendit. Vous arrivates.Et, | dévoud et ala haute protection du minis- Jevoi 8 Jurtet 1909 la confiance que le Chef de (Etat a plas
6 honte sur vous, en me!tant les pieds tre D. Jean-joseph. qui m’avait défendu, | Garoméire a midi : 76x @/™Blen eux. Ils ont recu acte de lear
sur I+ sol de la patrie, vous lavez avec vaillaace et justice lorsqa’on m’avait . 6 tation de serment.
souill’ par Passassinat de d’Assas Sé-|génoncé injustement. Température}misiaem 20, Puis le tribunal a prononcé le jagem
vére et des infortunés qui furent égor-| Monsieur Jean-Joseph, m’avait défenda maximum 32 4] suivant:

Celui qui condamne Robert Ulm
Psyer par ‘out:s les voies de droit as
délai méme pir corps sax sieors Lies
Viard et Léon Dejean, avocats, la somf
de cent cinquante gourdes, moatest
bon sourcrit en faveur des dits svea

il me sembiait pendant un moment que pour leurs honoraires. Fixe la desde |
}’étais perda dans Ves rit du président , . l’emprisonnement A six mOis en cas rs q
Nord, tant il est vrai de“dire que la mal-| L’échelle sismique de Rossi-Forel est} paiement, ordonne l’exécation p
veillance et la méchanceté s’acharnaient | >as¢e sur les divers effets produits par les d
aprés moi tremblements de terre sur l'homme, les Affaires entendues.

Dela des mesures regrettables prises edifices, et les objets °suspendus et com- B«onhomme contre Dame David.
contre moi. Dela la suppression trop sou-|Prend ro degrés croissants dont le premier Veuve J. Facrés contre Piccio:to.
le modéle de la valeur militaire. vent répétée de ma boarse. est pour le microsisme et les ¢branlements| pé.) Défaut a sé requis contre Me i

« Elle a payé cher son erreur: elle a|,, Mais, n’oubliez pas de dire surtout que} mal! percus. Elle est couventionnelle et ar- | par Me Raymond. Le Tribaoal s fit |
été dupde par vous, pillée et assassinée Monsieur Jean Joseph, ne manqaait ja- bitraire, mais répond aux circonstances ja sa demande. oo. héria
par vous. Vous avez soulevé contre sq} ™iS l'occasion d’intervenir en ma faveur | habituelles de la vie. Elle est facile méme Continuation de |’affaire des rise

acprés du Gouvernement da général Nord. |4 des_personnes peu habituées 4 l’observa- | feu Gaston Margron contre les "nd

artie saine ce qu'elle contient de plu: es . ” . .
immonde, cotta lie que lon trduve A lui je dois toute ma gratitade ; 4 {tion des phénoménes naturels. vaud fils e Roger Rouzier, Ve :
avancée, le tribunal a renvoy

chez tous les peuples; et la propriété . or: Ls
cette base detout état social, vous I’a- tion de l’atfaire 4 huitaine.
vez mise en peril ; ~les bonnes meurs, Exceliente occasioo
vous voulez les fiire disparaitre ; — ta tions avao
probité, vous l’avez étouffée sous les ag pe + es oo rana des j
le ‘Noouvelliste, le Matin, le Bom

6treintes du banditisme.

« Ab! si vous pouviez entendre unl da da Salon 1 section de ls sculptare. secousse est observée par un petit | peut demander !’¢chantillon. -
conseil, je vous dirais: ** Fuyez donc Ci joint |: catslonne de “cette ex Fon nombre de personnes ‘ au repos. Pe — Encre d’imprimerie, pat lvls
cette terre que vous avez abreuvée de|Mon nom est A page 333. No 3882. UI Ebranlement ressenti par un certain | et en détail.

Vos iniquités;— renoncez donc 4 faire] Veuillez agréer, moa cher comapatriote,| 20mbre de personnes au repos. La daréé} — S’adcess. en nos bureaux.
l'expression de {mes meillears sentiments. )¢t la direction sont discernables. Départ

Paris, mais tant comme, na were cuit 4{ Moyeane diurne de la température 27,7
od 20-7) Ciel clair le matin ‘et nuageux J’aprés-
rait, détenda un Als. oe tairc sur les dif- midi. Brise de mer réguliére. Eclairs — Br-
ficultés que j’aidd surmonter aa début romé re legérement en baisse.

de mon arrivée 4 Paris.

gés avec lui. Puis,a l’aide de nos janis-
saires, vous vous étes fait Jever sur le
pavois comme protecteur; vous vous
étes imposé a l’Assemblée constituante
ou vos agents, ceux qui espéraient s’en-
richir comme vous de la sueur du peu-
ple, mettaient dans lurne électorale
votre nom, comme celui d’un homme
désintéressé, et sacrifiaient ainsi la na
tion.

« Kile ne vous accueillait pas parce
qu'elle croyait que voas é6tiez la person-
nification du désintéressement civique,

INTENSITE DU MOUVEMENT SISMIQUE

vous tous. mes amis, mes meilleurs re-| Vorci cette échelle dont usage est trés
wercimcats pour les encouragements que | '¢pandu.
vous me donnrez. Monovements da sol non notés par

Je profite avec plaisir cette circonstance|tous les appareils de types différents et
pour vous envoyer ‘le journal la ‘* Libre|¢x4minés par un observateur exercé, Ce
Parole ” dans lequel j’ai Vhonneur de degre comprend les microsismes.
voir mon nom , figaré dans le compte-ren- Le Tous les appareils sont actionnés.

‘
a
{
‘









couler te sang des Haitiens!

« Votre cause est perdue. Vous étes IV Ebranlement perca par des personnes
abhorré par les gens de bien; fuyez, Noam Cuaaues en activité. Mouvement eeobjeus Prmobiles, Hier suir est parti le sis eat
sauvez vous, car la colére da peuple sculpteur des portes et des fenétres ; craqaement des | Lesseps vavec les passagers $8 :

haitien vous poursuit, et vous paierez e's planchers. Gonaives. — Mr et Mme 2
cher les crimes inouis que vous avez Port-au-Prince 9 Juillet I Vv Secousse ressentie par tout le monde, bébé, Thomas Siclair, Mile Mars
commis. » . . 909. mouvement d'objets plus importants, | Bien atmé Barbor, Victoire
Directeur et ami, meables et lits ; les sonnettes sont mises | rice Lacroix, Dépaté Durao esi
Dans votre com da de la derniére jen branle. bom, Mr Pélissier, Joseph Yo ™
séance de la Chambre, vous m’averz attri- _ VI Réveil général des dormeurs. Oscille- | Bélizaire, Mr Richardson. “6
bué on bien faux geste, quand, 4 la vérité |tions des lampes ; arrét des pendales et) Peii1-Godue. — Pere Détet,
j as empéché a la ambre de faire un pas des horloges, mouvement sensible des | Chériez 4
de clerc. L’honorable dépaté Léon avait |arbres. Quelpaes personnes effrayées s'en- i aussi le ss‘ Abal
bien lo ‘ ordre da jour, ete. >. Crest sn faiene hors des maisons. ' Est reparti aussi poor
seul son de ces mots que j’avais protesté Renversement d’obj mob es passagers sui .
ac nom de notre Riglement, qui déGnit | chate de mortier des uate atee des hoe Jérémie. — Miss. Jeanne N
le cas de la mise a lordse de jour. L’in-|loges publiques, efroi ‘gtedsal. Clérié.

V. CHEVALLIER

Tel fut le proces fait par Victorin a
Salnave. et qui n’était que le prélimi-
naire d’un drame plus terrible qui de
vait se jouer deux mois plus tard, —
contre lea deux.

Avovuete MAGLOIRE.



Bailly revient 4 la tribune et dit
Ka-_ il entend que la q
de; \tons les étrangers non seulement aux
s. ;Sy°i¢ns mais encore a tous les ¢ran-
Bers gui font le ccrnmerce de detail.
Mr Claude déclare qu’en sa qualité
de minist:e des Relations Extérieures,
on Feit tout son ‘levoir. [| a écrit aux
‘pont, Ecg. Ray-#¢O0S8alsa Haiti pcurleur passer | ordre
Mme oie Ee Pongere, Macn de nepas délivrer de passeport ai-x Sy-
Ve AoR . quelques I gomarches farent faites par
A. Se . P.Kerleg-and, eiques Légations auprés du Gouver-
i aire Kerlegeand. général j.paement du Gal Nord Alexis, dit-il, a
, B Maks ate et Madime Mossalem, | OFOpos de lexéci:tion de cette loi et
Gasdoit, Gcenr Aldégonde, Mr. B. {les parties furent d’accord. Il premet
Pikioa Peri, « ve, Raymond. Misery, de faire de son mieux dans le
Jean Ba Lest. e. C. Guilbaud, Gp Cerce-e de ses attributions, pour que
. oi Adgca, Célius Baret,}4@ Joi du t3 Aout contre les syriens
es br yemitte, et enfant, général C. sorent exécutée.
. dolphe. Mr Philippe, Féliz Nn passe eusuite ensuite a la dis-
D vil et 2 erfants, Mlle Ai [CUSsion du rapport du comité de I’'In-
Cicile St-Vil ef ier Bridne. | 6tieur relatif a la proposition de loi
Reaé,Mr D Athenes, Chenie és
, ' Fate pr senté par le député Alphonse Jn
Procha ne hai oseph. détachant les sections Rian-
cummnce pout meicedi, prochain [Bes atid yeSec, de la commune” de
iGque soirée : as. De:ormais ces deux
VTeccsion da 14 Juil'ct, Fete NATIONALS | sections dépend::nt de la commune de

Francais. oo, ae Belladére.
teechestre, sous la direction de l’artiste Les conclusions de ce rapport ain-
femier, cornct-solo de la Musique du Pa

_|8i que la proposition de loi sont vo-
i, erécutera de nouveaux morceaux, quiltées avec une légére modification.
papseront un programine de tout pre-

L’ordre di: jour de la prochaine sé
pier ordre.

qu

rrivage :
A uestion s’étende a

Ald-Ek-
“a esx entsé le sis * :

uivants venant

Fo ee estat et 2 enfant
epee. Calixte, D Buarratteav,
p= Ne, Sceur Eustache, Mr
Clémence Céles'in, O car Por:és
Chque! C. Elie, Mme Dulziette er


































huis clos sur la demande du Ministre
des Relations Extérieures qui tient a
feurnir des renseignements complé-
Mentaires ala Chambre, & propos de

ance est proclamée et on passe a
— la.doi contre les -vriens.






dela Stance du Merc edi 7 juin 1909 ee
MoB.Jn Frangois agite ia ytes- f. a
syrienne. [i purle des faux ac oe Ne
d na'uralisation que détienneat es ,
. sm: ; : \. développés, reconstitués,
syriens. I| d?>mande pourquoi le \ ctnbellis, raffermnis



de la Commission chargée de
les actes de naturalis#tion des
tins n’'at-il pas été publid.—
Qeelles mesures demande-t il aux mi-
lietres, avez-VOUs prises Contre les sy-
fees? Un arrété d’expulsion a été pris
Witre 22 syliens pa’ le Gouvernement
Webdenten novembie dernier, com-
won ils pu rentrer dans le Pays?
me faites-vous, Messieurs pour
jarer ce danger qui menace la
lité haitienne »?
ke vous accorde, ie délai de quinze
we poo prendie a cet effet jes me-
wes tes plus ¢flicaces et donner plei-
#é@entiére satisfaction a la Nation
ce déiai, si aucune satisface
ition n’est donnée, vous s 1ez ré=
Ment interpelé sur ce chef con-
forateur.
Me Bailly reproche 8 Mr Magny qai
Promulgué la loi du 13 Aout 1503
PRavoir jamais voulu lexécuter.
YS ne peut pas se contenter des
aires sans effet quol passe aux
Missaires du Gouvernemer ts et
Mégistrats communaux qui se
tau dessus de ses o dres.
Mit Magny répond qu'il avait pro-
? présenter wu Corps Législatif
biinterprétutive de celle *de 1903

+n deux motes par ies

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¢ les Sylieus et quail ne Pa pas
Bafce qu’ii veut lester d’accord
a vil préparan une loi dans RDS
Miuistre aftirme qu’a St- . 7s .
nice @auires potnts de ia Ré- Chez App. Cipolin
i 903. Il explique ce que c'est E. Rebel: .
Beas ates ven dont a parlé le} Viennent d’artiver par dgrnier va
de Port y: Le magistrat commu- peur :
€8 tyriens ont déja payé le! p. eS "hy
td ha Pigeon aux pois. Tapioca. Choucroute.
heatant cette tot hanes et quen Asperges e’c Fruits cristalisés par li-
ime Commuu eer present, le vre et par flacon. Piune d’entes. Vins,
F de l’argent. VoilA pourquoi e |
COavie @ que lannée mouth. Cognac. Champagne.
© prenne fin. A j

le député Bailly a déja
ve io acommencé a exécuter! 155 Rye Ripublicuine en face de M>
[we | “aU-Prince lui a fait ré Ssor- Paté de foie gras. Sc uciss: S tre fides.
ale serait obligée de rouge et blanc. Uporto. Malaga. Ver- |
ot d’attendr
artir de
fe prochai i 1+ 1.6cessaire sera










'
parlé aussi d'une loi
e8 bureaux de a Cham ,
Odifie celle de 1876 sur ta |
it avoir prié le President

a a 8 a
: ein!
me m
I Abd e - Kader jar-
Santiago de

_Le paquebut

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Conformément aux instructions du
Secrétaire d’Etat des Finances, la
Banque Nationale d’Haiti a l’honneur
d’informer les porteurs de Bons d'Em-
prunts'du Gouvernementd’ Haiti qu’ils
peuvent a partir de ce jour, se pré-
senter Ases guichets pour toucher
une vingt quatriéme répartition.

Emprunts du' Gouvernemént d@’ Haiti

6°/9-19,9, Intéréts du fer Avril au 34
Mai 1909.



Empuunts du Gouvernement d' Haiti |t

39/0. { fee Intéréts du “fer Avril au 31
Mai 1909.

Contre regu et sur présentations
des bons.

Port-au-Prince le 19 Juin 1909.

Docteur R. R. Ewald

Chirugien Dentiste

Annonce au pabtic et a ses clients |,

en particalier qu’il sera de retour de
yéremie dans les premiers jours de
illet.

Port-au-Prince, le 17 juin 1909.

Antoine Labastille
AUX CAYES



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JULIEN FLORUS
Ancien éléve de la 26° Compagnie
@ouvriers & Artillerie ( Lorient )

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