Citation
Le Matin

Material Information

Title:
Le Matin
Place of Publication:
Port-au-Prince Haiti
Publisher:
[s.n.]
Creation Date:
November 13, 1908
Frequency:
daily
Language:
|||

Subjects

Subjects / Keywords:
Newspapers -- Haiti ( lcsh )
Genre:
newspaper ( sobekcm )
newspaper ( marcgt )
Coordinates:
-72.2803802891673 x 18.5142993036392

Record Information

Source Institution:
University of Florida
Holding Location:
Bibliothèque Haïtienne des Frères de l'Instruction Chrétienne
Rights Management:
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Resource Identifier:
000358166 ( ALEPH )
ABZ6468 ( NOTIS )

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Deuxiéme Année, N, 488






Abonnements:
Un Mos. . .G. 200
- PORT-AU-PRIN Tro Mow. . « 5.00
TEMENTS) Un Mos... « 2.20 eo
DEPAR Trors Mos . « 6.00
ETRANGER.......-{ Tro Mos. . « 8.00




qe
“Boar tout ce qui concerne





VYAdministration au J ournal.



Le Mall

QUOTIDIEN

Clémext TrKLagloizre,




ae 2 ee een



Quelle est ta meilleuré education '

Quelques types esquissés par un maitre
II!

Wa'y a pas en France que des Jac-
homme nien Angleterre que
$e Milord. A colé des fils « rangés »
rf est échue une éducation select,
gG les e teres bralées » qui n’onta
sition gu’une éducation com-
qui tournent comme elles peu-






F Yeliun de ces types tels que les
pedait lo milieu social frang iis.

L’ARRIVISTE

VArriviste est cousin de Jacques Bon-
me, inais moins fortuné que lui:
festa quelyues crans plus bas de le-
Scie, mis uspirant auore¢
metal de Jacyues Bonhomme.

+ Dirriviste a ea la junesse beancoup
Mouvementése que son cou-in.
@étre né suriun lit da roses, sa

/ cenit alt-ndue come une cal -

: est gue sa merce avail beaucon)

F thire | Ells devait non 3-ulemant soc

€ du minage, inais diriger le com

qui rapportait le prin qnohd on

008 mari travaillait dehors, plas ou

plus souvent moins que jus.

ao dissentimeat profont exis

. ns le ménayge, et UArrivist:

PmaComme il put.

Me tantot prc si mire, tintd: pu

msouune voisine, il ne devint
yreetse familiarisa vite avec
ea ie. Bientot, il devint uo
et pritles maniéres les

: anes.

yee 80n pére voulait le corriger,

syemeit prds ds aa mére, et cel'e-

Snnail raison. Sil arrivait que
re, éne-vée pur les tracas,
aa lat un peu, on voyait alors
mére le soutenir. Qui »'éton-

Wavec une éducation fumiliale

, ique, l’ Arri-sia e soit davenu





























a VArsiviste recevait une autre
celle de la famille : celle
- Pareux, il fat vite dre

indiscipiind, tout a faillg

aeé bie: le poignard d'un

et connut les bons tours, les
qu'il ne pouvait avoir de force, il Vob-
fenait par la rouerie.

précoce lui montrait clarement que le} mais non cel

suceés n’est pas la récompense de la
sagesse et de la vertu, mais celle du
plus habile, du plus roublard ; ta puni-
lion n’était qua pour Vimb‘cile quai se
laisse prendre
A Vécole, il wapprit) rien :

bean le changer d’établissement,
sully était tonjours uégatil : Hetil re-

balle a toute discipline, a tout cus,
gnement metholiqia. Liécols baie one

niore seule fui réassissail.

L’ 'rriviste le

de-

Po

mauvais soypct

lintadodt is it bane, mais lo osat tone,

exiger des qdas fsibles .ibsuvab baba

seroses gatits ef te caddis que devant
7 . . ‘ . s s

la force. Pt éleil Geverru dur eb cp dae,
. . “4 . . ot, .

pate qu autour Ge dud, dete betas ul
sbi

que dapeté et Ogoisme, © heen aiat
efait pte aomotter, ¢« meter! proas
e1use de son dgoieme, eons fe creyalt
Jacqaes Koshomme, a’ oeuvre ad?
son eXpeticvee Preece dus houitaes,
Tele esta vateur 6 lucative de ce
groupe Mottant qucest hi bande fos cd-
inarides, Les waminaries yrempiaceul
le respect, ect le cebaret, ls foyer. Ie
qui dirig? la bande ? Le plus orateur,
le plus habl ar, celui qui sait répandre
le plus de faveurs. La loyanté y esl
tournée en rificule et Ja vanite sy étale

a laise.

‘ge

pads

Voila Arcivis's le minvais sujet jane |

cé dans la vie ! Il est apte a se mettre
du cété da muanche, et dua coup d'ceil
il voit d’ud la vent vient. A Voccasion,
il sail se faire plus royaliste que [2 roi.
li est bien vu; c'est un bo acoprun P -
La chute des autres frit sO) elev ie
tion. Ha Tart da jeter ta confasio) ea
tre sa prospérilé personnelle et celle du
roup? qui le pouss.
manité comme un vaste
loiter, mais il se tient 8
I craint une vengeance

chimp a ex-

homme qu'il a

PORT-AU-PRINCE ( Haiti )



g ady

[jeté sar Le paile 5 |
Ime trompeée...
Katia EArriviste est arrivé ? Tout |
leponde |? salie et -e ecourb? devant lui!
Assiilli

Ses aneions

| Mais

Son expérience|.a ouvert les portes di

on eal
Je rd- |

It considére Uha-,

ur 893 galdes ;,

i 8 possi-.
toujours F ‘ont 6té concédé;s



LE

REDACTION -ADMINISTRATION
45, RUE ROUX, 45.








A Mousieur &A

GS03T
a ve




nest pas honvreax,
par les sollicitations de |!
confreves qui Foat po1334 sar le pavors,

il

il wWarrive pas ales contenter tous, Ses
Ses

ennemis le gaett-nt pariouts ;

ruses Cefamis le jdeusent,

Ila fart un inariag: de vanité pai tui
grand monde,
es du bor ton et
nement; et ccla Vhamiti . Tt éblouil

purses dépenses rolies et som coeur
reste vile. H veut) profég2r les beaux-
arts ef wairiv: & so.teair que la café-

concat et le genre rococo ! Luxe lapa-
cur, anguscomnplet Vilsal, da no-
dans des idtes, Pebacation de
pOur-aie partpat ef pus:

us,
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basse
. 4

nt Dande
jacan Dcet.

,
1.%

Done quits pes i: moulds comme:
atreaseé: doa bouncy detrait, Ht
trouve da Portane, try: besao item,
Qtus aso lisy a lui a’ donae ut
det pat ede stb ceed be der gar
Bostoouore. Poo eavte tual sas datos
manieves !
suey sa .
b. a
iJ a l
Neva Popes Ju.s is jes proses wid
hate beatearttede qo ce pooarca dbams }.-
«Sat », de Now Y¥o K, Noodha Goo -fare

pre, -Ousiac.gcatur: d+: Mousiounr J,
M. F. Schiess. Monsieuc Schiess a, 4
diverses @payues, elf clad de longs
s‘joirs isi et a visiidé pros pae fouves
les vi les de ta R4pobliquys.

Les his'oirss sonsialionnells pu-
bliées dans quelques jouvgaux con-
cernait la potite ipab'ifie d Wain
ne prcattraiss! qaesidicul-s aux amé-
Licains (ui son’ ati courant des cho
ses, si d2telics h s‘oires t’avaient pas
le regeettabl: effet da cauntrarier le-
intée@'s amdricains dims c2 psys

Pendant les quatred- rniéres années,
Viel ieoce américaine a presque rem-

tacéPinfluence f-anc aise ct allem inde
en Haiti. Tous les contrats importauts
aux américains.

ithur JFID

du rafti-

Vendredi, 13 Novembre 1968






—— ee ee

‘NUMERO 1 5 centiwes

Les abonnements partent du 1 et da rg de chaqes

mois et sont payables d’avance

Lee manuecrits ipsérés ou non ne seront pas rendus








-_——

ORE, 45, Rue Roux ou Bonne-Fei...

e vitriol d'une fem-|Le gouvernement a tnontré une préfé-

rence trés marquée pour toutes les
choses am-éricaines, et a fait tout ce
qui était en som pouvoir pour amener
les relations les plus intimes avec les
tats Unis. Coinme retour & ces avan-
ces amicales, notre presse ne trouve
rien de mieux a faire que de publier
continuellement des nouvelles dé-
nuées de fondement et des histoires
mensongeres, toutes, tendant da mon-
trer Haiti au public américain sous le
jour le plus défivorable, de telle sorte
que le’capitaliste amérivain et le voya-
g2ur ameéricain, ayaot apdris A regar-
der Haiti comme un pays de désor-
dre et méme de barbarie, !évent leurs
mMiins au ciel en conjirant chaque
fois qu’Halti leur est mentionnéa
eomme un pays de placement de ca-
pital, et se tiannent au large.

(‘as journzux nout pas un effet
imnoins désistrenx sur les Hattiens, car
ces articles te dent a nous aliéner ce
Don peup'e cl a ie jeter entre les bras
des fraugiis et des ullemands qui
sont désiteux d2 Vembrasser encore
;po cur reprendre leurs affaires.

Pendant tout le temps que des nou-
Velles d2 révolution et de famine
Oraicnt publiges daos un important
jJourgal dt Now-York, peadant les
rinors de pallet et d’a i’, une duuziine
Pameérnic aos, dont mot meme, voya-
jHealent en Haiti, Nous pouvons tous
jallirmer qu’aucuu di? nous n’a j mais
Ivu-un sculcas de famine, et que
nous N’en avuns pas méme entenda
parler ; ot voyageaat nuit et jour dans
Vintérieur, cous n’avuns va aacun sie
goe dinquiét.iie, eneors moins de fa-
silfade ou de lutte. Tout nous a pire
calme et pacifique. Nous fames reous
partout avec !a proverbiale hospitalité
des haitiens, etnous nous sommes
sentis plus en sécurité dans un des
villages de leurs montagnes que dans
aucun endroi’ de New-York. Lea ré-
cits ds vaudouetde sacrifices d'en-
fants sont encore s-nsationnels. On
peut dire en toute sincérité qu’aucun
des écrivains qui ont rapporté ces
histoires fantastiques ne peut jurer
avoir été témoin d’un_ sacrifice hu-
main. 1.3 culte du vaudou existe en
Haiti toutcomm:?ilexisteraitdans notre
Etat de la Louisiane, pas plus. La re-
ligion d'Haiti es: ie catholicisme, oe
le goavernement d’Halti a un concor-







dat avec le Pape par lequal il s’engage
& payer le cl ryé en Haiti, 'equel cler-
gé se Compuse d'un archevéque, de
trois évéques et d’environ 150 prétres

Tout le clergé vient de France ainsi
que les religieux qui dirigent les cou-
vents et écoleus. A Purt au-frince, la
Capitale, un architecte franeais est en
train de construire une cathédrale
qui, quand e le Sera terminée, sera
probablemnent la pilus belte des An-
tiles. Le gouvernement d’Haiti a ac-
cordé 400 UUI dollais. or américain
poor la construction de cet édifice.
On trouve des églises et de; chapelles,
des écoles de garcons et de filles
dans tout le pays et méme dans les
Villages les plus retiré: de la monta-
goe. Plus d’un millioa de gourdes cst
dépensé annuellement par le gou-
vernement pour instruction publi-
que. [’étudiant haitien peut obtenir
les diplémes dans les col éges de
Por'-au-Prince ; il peut devenir mé-

eCin et avocat dans les écoles de
Médecine et de droit, et il ya beauv-
Coup de professionnels sortis de ces
écoles qui peuvent soutenir la com-
Paraison avec des francais disting.és
de méine profession.

Pour ce qui regarde sa_ condition
financiére, Haiti peut soutenir la com-
paraison avec la majorité des pays de
Amérique du Centre et du Sud. Ses
titres de 6 »°, valant au pair 500
francs, émis d’abord a 400 francs,
sont cétés actuellement 490 francs a
la Bourse de Paris. Quoi qu’on puisse
dire de coatraire, Ilaiti a toujours
payé ses obligations, et aucun étran-
geren Hiiti ne peut honnétement
dire gu’il a perdu de l’argent dans
ses affaires avec le gouvernement.
Halti a toujours été une bonne chose
pour eux et chaque fois qu’ils disent
du mal du pays, c'est pour éloigner
les autres, pour avoir tout le giteau
pour eux seuls.

PAI?S DIV



3 DIVERS

RENSE(‘GNEMENTS
METEOROLOGIQUE:

Observatoire
DU
SEMINAIRE COLLEGE S:-MARTIAL

JEupi 12 NOvEMaRE

Barométre 4 midi 762, 57)™
Température! ™2imum 22. 6
‘maximum 32.0

Moyenne diurne de la température 26.5
Ciel nuageux toute la journée.
Le baromeétre baisse un peu.

J. SCHERER
Remercieme ats

Le Supéricur et les Péres du Séminaire
Collége Saint-Martial ont l’honneur d’of-
frir leurs plus sincéres remerciments aux
nombreux amis et anciens éléves qui ont
dGonné au cher Pére Saint-Clair le témoi-
posee de leur inaltérable attachement, a
‘Occasion de ses funérailles. Ils en conser-
veront le meilleur souvenir et ce sera pour
eux un nouveau stimulant de se dévouer
& leur ceavre qui fut celle de toute la vie
du cher défunt.

Arrivages
Ce matio est entré le steamer ‘‘ Ferdinand

de Lesseps ” avec les passagers suivant ve-
nant de :

Gona'vis: A. Francois, Salim Jean,
Mile M. Jean, Sceur Berthe.

| Petit-Godve : Emi'e Lave lanet, Napoléo-
ui, D. Siclait, Mérentier Fils, Th Jeanton
‘et enfant, Job, A. Lafontant, B. Dévieux.

s

Par ‘° Altai ,,
| New York : R. Binder, A. Maredonald,
H March.

Gonaives: Betlin, M. Boutin, D. W
Bolich, Député A R. Durand, W. Adam
A. Buch. F. Mahothiére, M. Bienaimé.

Cap : Mile Z Suberbi.

e

Par le ‘* President. ”

Jacmel : A. Monfleury,
fleary.

Cayes : Ad. Strohom, Ant. Téiémaquve,
Dépaté M. Morpeau et enfant, Député
Isaac Léger, Mile Alice, Momiés Legrand,
M. A. Pierre-Paul.

Avis aux sinistrés

La Commission de secours aux Sinistrés
‘devant clore ses travaux et publier son
rapport, ainsi que la liste des personnes
qui ont touché 4 la premiére répartition,
javise le pubtic que les bulletins en retard
idevront lui étre présentés pour leur ac-
; quittement jusqu’au 21 Novembre courant.

Passé ce délai les dits bulletinss seront
considérés comme nuls pour ce qui a trait
4 la premiére répartition.

La Commission avise également les in
téressés que toutes les réclamations qui
| lui sont adressées sont renvoyées a la fin de
‘la premiére répartition.

Port-au-Prince, le 7 Novembre 1908
Le Président, Le Secrétaire.
C Ricaup H. Votcy, Avocat.

Service funébre

Le Supérieur de l’Institution Saint-Louis
de Gonzagae a l’honnear d'inviter les an-
ciens éléves et les amis de l’établissement,
4 assister au service solennel qui sera
chanté dans la Chapelle de I'Institution, le
samedi 14 courant, 47 heures trés_ préci-
ses du matin pour le repos de l’Ame du
cher Frére Pierre-Edouard.

c
Magn'f'ques panamas

Pour hommes et pour dames viennent

d’arriver par le dernier steamer frangais.

Dépot, chez Mee Ltonipg, Sotace, 22, rue
des Fronts Farts.

Vol nocturne

Dans la nuit du 9 au ro du courant, un
voleur a enlevé chez Mr Emmanuel Pierre-
Louis, 73, rue Egalité, les objets suivants :

Une chemise portant une garniture de
boutons, or; une paire de boutons de
manchettes, or, et marquée sous le plas-
tron de la lettre E. : deux complets blancs;
des souliers, une paire de lunettes de la
mason A. de Matt¢éis & Co; un petit
cercle en fer attaché a une chafne du mé-
me métal reliée avec de la ficelle rouge,
contenant deux clefs, dont l’une porte le
No 48 du compartiment du coffre C de la
Banque Nationale d’Haiti.— Avis en est
donné au Bureau Central de la Police, aox
orfevres et aux bijoutiers.
__ Une récompense est promise 4 celui qai
iui fera retrouver tout ou partie de ces ob-

$.

Le Gal V. Leconte, 4 Jérémie.
De notre agent :

Ce fat avec une grande joie que nous
avons eu, chez nous, le sympathique Minis-
tre de I'Intérieur, le général V. nte.

Durant son séjour ici, il a été 1 objet de
toute notre admiration. L’actif Général
Merceron, commandant
sement, dont les grandes qualités sont
connues de tous, a deployé toute son acti-
vité et amis toute sa sincéricé a recevoir
dignement l’honorable Secrétaire d’Btat

eorges Mon-



de cet Arrondis- | ha

qui ne respire que la paixet rien que la

ix. ;

Le Gal Leconte est parti satisfait de la
ville qui a été et s:ra_ toujours trés sin-
cérement dévoude au Gouvernement.

Nécrologie

Nous avons regu une dépéch: annon-
gant li mort, A Jérémie, d’une des respecta-
bilités de Ia ville: M™* Henry VILLeEDROUIN,
dont les funérailles ont eu lizu hier, au mi-
liew d une affl sence considérable. ;

Condo'éances aux familles Vi!ledcouin,
Lavaud, Sansaricq, Laforest et a tous les
autres parenis de la regrettée defante.

Tribunal de Cassatio.:
Section CIviLe
Audience du jeudi 12 Nywembre 1908

Il est dix heures et demie. Le Tribana!
sous la présidence de Mr le Vice-Prési-
dent Erncst Bonhomme, przend siege et
entend les affaires suivantes :

—Les consorts Deslages Jean-Louis,
contre Victorine Blamblin.

Le Rapporteur, M. le juge Jérémie, don-
ne tecture de son rapport.

Le Minist¢ére Public, M. Luc Dominique,
conclut au rejet du pourvoi.

— Thomas Dannel contre E''z: Lizaire.

Le juge Jérémie, Rapporteur, lit son
rapport.

Ms Arrault jeune, pour la défenderesse,
est entendu en ses observations.

Le Ministére Public, Mr Luc Domini-

ue, conclut 4 la cassation du jugement
dénoncé sur le rer moyen du pourvoi.

—M* Rigal, demandeur en susp‘cion
légitime contre le Tribunal de Commerce
de Jérémie.

Aprés la lecture du rapport présenté par
le juge C. Déjean, le Ministére Public,
Mr Luc Dominique, conclut 4 l’irreceva-
bilité de la demande en suspicion.

Plus rien le siége est levé.

Tribunal Civil

Audienee civile ordinaire..du jeudi 12
vemb7e 1908.

Le Tribunal prend siége 4 dix heures
du matin, sous la présidence du juge-
Doyen F. Jh Dupont Duy, assisté ge M.
A. Montas, Substitut du Commissaire du
Gouvernement, ont rendu les jugements
suivants :

u7— Celui qui renvoie les époux
Thomas Jardine devant :’officier de 1’Etat
civil de cette ville pour prononcer leur di-
vorce.

2°.—Celui qui entérine le rapport des
experts des succession et communauté de
feu Alfred Bidére.

Affaires entamées, continuation renvoyée
4 jeudi prochain.

Il s’agit d'une obligation hypothécaire
souscrite en 1896 par Pierre et Pétion
Faubert 4 Lorina Pinchino. C’est une at-
faire qui a déjd_ reca plusieurs jugements
ainsi qu’arrét.

Les Faubert déclarent 4 la dame _ Lorina
Pinchino qu’ils ne sont pas_responsab!es
de l’obligation hypothécaire, et que c’est
aux héritiers de Mme Vve Pierre Faubert
qu’elle doive s’adresser.

Lorina Picchino conteste aux Faubert
ce raisonnem:nr. Les Faubert,'par | organe
de M* Solon Ménos a é¢ entendu en la
lecture de ses conclusions ainsi que M* C.
Benoit ea les siennes pour Lorina Pinchi-
no.

_Le Ministéce Public demande les dos-
sicrs en communication afin qu'il puis-
se donner ses conclusions par écrit. Le Tri-
banal a fait droit 4 sa demande et renvoie
la continuation de |’affaire 4 jeudi pro:-

-— Cest l’affaire des Biamb
Cycidise Bouder, mmey contre

une affaire qui date encore de!

longtemps; il s’agiten ce moment des

Se wr SP SS SSS es SSS

Millery
avec un

Excesez mon étade qui est ded ,
destes.

-

frais pour des objets laissés aux a
Cycléise Boudet ls Bis mby tal 4
clament. i ewes he
grand procédurier Raymond gf
est en cause et tient codte xymond
résultat comp'é:, car cette aie
fois gue M° Raymond en réclane le aa
rité au rdle provoque desri al
Eofin elle aed enendue eo Lew Fs
ses conclasions pour les Bis 1
Me J. B. W Francis en les sinal
Cycléise Boudet ; continuation
Jeudi prochain.
Le siége est levé. 7:
«La Nouvelle Revus sia
Voici le sommaire du No d’oscsfii
a parua I Imprimerie Amblard : =.
Haitienne préférée ( suite et fia) gat
callaboratears de la Revue ; — Flee, 3
Luc Grenard ; — Sonnet morose, par
raciné Vaval ;— Heares intimes, per
let

»





































,
Â¥ i,
7a

moclés Vieux ; ~ La Femme ag
vue social et économique ( suiee) gf
Légit me.

S:pptiques au Gouver.
Par l’aviso de guerre haitien Nord diam
esi arrive, en mé.ne temps que le Miale
tre d: VIn:érieur, Mr Fleury Sanoa, 1%
député dela ville de Jérémie, qui a J
te deux suppliques au Président dels Réona
ique. a
the député Sanon dans une aediensn’
speciale, a été reca hier par Son E
lence le Ginéral Nord qui a pris
naissance de c:s suppliques de la pe
tion de Jérémie, suppliques qui om
favorab'cinent accueilles. ,

Si nos informations sont e¢ il de
git de l’invasion syrienne et de la sft
tioa d'une rue 4 Jérémie. a7

Le député Sanon re ince
ayant accompli sa mission avec ence ae
telligence. a

L’Usine de )’Eclairag@
électrique 4

De L’ Abeille f Jacmel) :

Jeudi. 5 du couranr, Mr Jastia
Administratear principal des q
cet Arrondissement, chargé du servies
manial, a été mis, au nom du '
ment, en possession de l’Usine é
par les ingénieurs Carrié et
assist¢és du Commissaire du
ment Catulle St-Jean, dua
la Place et du Juge de Paix. ‘

Les scellés ont été apposés et une
de placée dans |’étab!issement poser le &
veillance. a

L’assistance a battu les mains
drapeau haitien a été hissé a l’en
cipale.

L’Usine électrique peut rendre de
services au Pays. Que no3 Gouve
y pensent.

La population serait heureuse @
établissement qui a codté tant d’age

uple, puisse reprendre enfin
Onctionnement.

Trois notes a
d'audacieux fill
[NOTRE ENQUE :

ory

‘3

Jaana

Las InTarvinws “i

Chez le nolaire Ch, Miley

Nous sommes chez le notalet.§

ui noas dit, en 2008
sr sourire :













































































Viaterview go! continee. ? qne c'est Ernest Faublas qui luia dit de* ‘s prince régent est exaspéré de la fagon . 2
i ‘toujours l’intervicw ¢a ira encore com pagner chez un nataire pour proaae td i I'empereur ditige x ro i ique “a h I An Call [ine
eg joars; si ccst le saire pour die Un argent, J'ai accordé une in iif: <1- {1+ -pire et la livre a la presse ¢trangere.

exactement nos lecteurs. ,c¢ voulue 4 la confilence qui ven: J: ‘revise 12.— L’é.a da grand duc de
i. xembourg est trés cr tique.

nd alors le Marm, parcoar | m bre faite. ,

at quelques lignes et nous cit,| bau las mécontent de linsuccés d: If Spa 12. Une vio'erte secousse sism’-| | Le steamer ‘* PRasIDENT *, Vvenan
certaine assurance: — « Les no- ifiire auprés du Sisatcur Canal, s’e mpor- | que d'une durée de trois secondes a été| de St-Thomas, San-Juan de Porto-Ri-

ici ne sont ni com laisants ni né- te et me dit > @ Ei-ce que ce séarveur | ressentie ict, ce. atin, 49 heures 1/2. La|: 0, Ponce, Macoris, Santo-Domingo,
= [ly a trés peu de notaires qui peut avoir la prétention de connaitre tout le | secousse était accompagré d’un .o :td gron- | AZ-1a, Jacmel, Cayes et Jérémie, sera
foads chez eux. Personnellement monde en plaine ? dement | ici samedi matin le 14 coarant.

ssamnment refusé d’en avoir des CA demain ). Bertin 12. Ua bilon mili a‘re alle-|_ I! repartira samedi aprés-midi pour

chez moi ; ma maison n éiant pas aj : mand moné par deux officiers est tombé Kingston, Cayes, Jacmel, Sto-Domin-

o, Macoris, Ponce, Mayaguez,

F eu de remarquer ase les intéréts Nouvelles Fra Ares dans la mer Baltique pres de Wollen, les uan de Porto-Rico et St-Thomas.
. i uvent cre exposés f .
Â¥ Franc otaires font aes |

deux officiers ont été sauvés. ,
France les n Port-au-Prince, 9 Novembre 1908.
, comm:

Paris — Rente :
de fonds, ils

96 50.
Le Président de la République recat au- gents
: agissent Ondis jourd’hui M. Lasovary, Painis're de Rovw- G. KEITEL & C”, 4 .
72 comm mandataires,

ay ne faisons que proposer des Derniéres Dépéches

manie 4 Paris qui lui remit ses lettres de
B. § ceax qui disent avoir des fonds a

ee
‘ .
t Hier la Chambre aprés avoir entendu le M ° C. L. Verr et

discours de M. Castillard, rapporteur en ,

faveur du maintien de la peine de mort et Tailleur-Marchand

celui de M. Briand combattant le projet, Donne avis A sa bienveillante clien-
renvoya Ia suite de la discussion 4 mercredi| tale que sa maison No.7, Rue Traver-
prochiin. Dans sa séance'de ce matin,“elle | siére est toujours bien pourvue d'une
termina le vote du budget des Beaux Arts | variété d’étoffes de ia haute nou-
et ct commenga celui du commerce qu’el- | veauté parisienne.

le continue cet aprés-midi- QUALITE SUPERIEURE. COUPE BLEGANTE

ae | TRAVAIL SOIGNE EXx&CUTION PROMPTE-
"A Vendre Prize trés réduits !

eae
Un terrain de 40 pieds de facade sur °
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Paris 11.— Les funérailles de M. Vic-
eegelsis d’abord refuser VIaterview, 'torien Sadrou, le célébre auteur dramati-
j'ai pensé que instruction que frangtis ont eu lieu aujourd’hui.
tire secrete 5 mais vous insistez Berwin t1.—- Les commentaires de la
:, en vous appuyant sur vos ob!iga- | presse allemande sur la séance d’hier au
fessionnelles, que j'accepte a répon- Reichstag donnent une idée de l’etfet que
PY tlears, mes autres confréres l’ont le discours du chancelier Bulow a produit
Je dois vous dire, en passant, que le | sur le pays
sestee du Gouverneme it a pensé! Les commentaires sont plurdt fivorabies
moi. au chincelier, et, les journaux exprinent
ge pouvons nous empécher de sou- , l'espoir gue l’opinioa publique finira par
Se caimer.
his Mt M.ilery coatinve: — mon étude Le ** Vorwierts ”’, Porgine des socialis-
we dans |'ailaire pour une valeur de t mille six cents gourdes (P. 4600), “ Qu’aurait-on pu frire ? Tout. Qu’est-
dz actes pissés en faveur de cing ce quia cté fit ? Rien. © Ainsi qu on le
es dont je tais les noms ; parce que voit les commentaires de ce journal sont
Eafsires du notaire ne doivent pas sor- trés laconiques.
de l'étude. | Li bh: Gazette de Voss ° dit que crest Ee
Qel a découvert le pot aux roses ? une chose navrante que de voir tous les °
L Agets avoir passé ie’ premier acte, partis attaquer Pempereur ct aucune Cordonverie Nouvelle HOMMES, FemMMEs, ENPANTS
oe

renseignements des personnes’ voix sélever pour le détendre. _-— roan
la plaine, de meme. de ceux! Il ajoute : ‘‘ Qui nous garantit que d ie commandes des, cone euiées
partois pour savoir quelle est la 'Wempereur tiendra sa promesse de montrer G B PETO da s 0 ne somnine & peu prés
erres 4 Goureaud et 4 marin.|plus de réserve dans ses conversations et a a ans a .
: 23, Rue des Fronte-Forts, 23

ve mardi 3 novembre, de| pendant combien de temps le tiendra-t-il ? . ' .
me, jai rencontré le Sénateur Le ton des autres journaux est modéré 143,'GRAND RUE, 143 PORT-AU-PRINCE (marti )



—
LT tS Ss Ss SS SS SSS Sif eer cS
_——





agai jai faitla me ne demande. | et conciliant. dation de V'empire dAll PORT-AU-PRINCE .
Marinos, fit le Séna:eur, va- epuis la fondation de | empire c- t .
; uve celles de Goureaud, sur-| magne, jamais on n’avait vu une scéne | CHAUSSURES EN TOUS GENRES étel Bellevue

a & , 6 kPOT, POUR LA VENTE

fapeis le cyclone. aussi dramatique que acelle hier au | EN ON GROS aT DaTAIL Le mieux situé, le plus con-
jae demanda, en outre, le chiilre de Ia} “* Reichstag ** dont les membres s'diaient c e ° fortable.— Champ-de-Mars.—
Yon voulait avoir. réunis en une sorte de jury pour juger xécution prompte des Cuisine renommée.— Vue sur la mer-
Ee Neal cents gourdes lui ai-je dit. Vempereur et son chancelier. Jamats jus-| comamandes, tant ici qu’en
Je ferai frire l'affsire par un parent; qu'ici on n’avait vu le souverain actuel ou Province.

le sénateur Canal. un de ses prédécesseurs etre persoanelle-! Formes a bonimes ; 6élézentes et ra- A. de Mattéis & Go

on de mon entretien avec le

ment l'objet de débits publics au Parle- | tionnelies. Maison fondée en 1888.
; Emest Faublas Gaucher, accom-j| ment, mus, hier, tous les pirtis revendic- | Chaussures de dames( Derniére mo-

ial dee monsicur qui sedit atre Jo- quaient le droit de critiquer l'empcreur et! de de Paris ) et le plus commode : 1 1
» m’a présenté une piéce passée toute teniarive pour les en empécher au-; chaussures pour enfants confection- Ermer dr ( ny regs

Wyo. de Me Lechiud, avec plan d’ar-| rait été inutile. ‘nées avec des Peaua de toutes nuances

Le par l’arpenteur Dantés Liau-| La Have. z Le ** Vaderiand pubis un, dupe sélection et durée irréprocha-

» L2 tout éiait pareil aux six autres extrait des mémoires d'un d:plomite dont. ples 23 pric avantageux. ‘ °

es lesquelles’ j'avais déji__travail- il ne donne pas le nom et dans lesquels | Cirages pates et liquides Parfumerie | Houbi ant; Ro-

Se] té lracte de vente fait en fa-|il est dit que pendant |i gicrre russo-ja-| . ao eae ton bmadras ote. ete
aur chaussures de toutes nuances. um Idéal; Savon. Poudre ; etc. etc.

Ulysse Noel. Aprés examen, | ponaise, | empereur Guillaume écrivit a la i
eerme dit : je vous rendrai ré-|reine Wilhelmine un: lettre la mensgiat) === otras de pat cine Lodo Iva.

connais _|de occupation des ports hollandais, si la .
an3 s Koutes les terres de Gou Hollande ne se mettait pas immediate - | fle Hall qi lis (le ain! copherous.
fademiin, jeudi, revenu de la|menten éiat de déferse contre PAng'e | ' Lampes, Fouets et Chamois
)S Mannons,s que personne ne por-| terre. i cons d pour buggy et buss.
@U'ysse Noe 4 Goureaad. Je} CoPeNHaGue II. — O1ades raisons de! g+) nestfaitavec la “Pillsbury’s ' Argenterie de 1
wou

quaires, Brosses. Pipes, Fomes”





r » adiwid ‘ci leroire que le corps de l’exploraeur Andrée .
re he Werteraig vil le “a esi- qui en 1897 tenta d'arteindre le pole nord, Best. cigarettes, Cravates, Maroquinerie de
i en ballon, a été r.tvouvé sur les cétes "| La meilleure farine du monde] toutes qualités.

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Qui produit Je plus de pain de Diaman:, 4 la disposition da public

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avec lequel nous devons, nous|ép.euve inernationale de 1909 sera'r col) 7 ain Je plus blanc tis bourses || Portée de ‘outes

i, aller tro l -lrue a Argers. . . Mo: .
hs lice ee eenatcor. au m Besuin 12 — La réanion. d aja ee Le pain le plus léger. Ateliers d’Horlogerie et de
Mr Faublas s’esquive, 2 1a] a Berlin du comité des Affaires | *s.| Bijouterie: Gravures, Co i

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e Smate,sous pré-ex'e qu'il ne veut u ¢ dresser a:

S ve per Me F ier. ta. |commentée, l’ozin'o1 piblique est que : ( _

: ‘hive, le sénateur ne 8 pm cete mesuie a pour aa sate discatey anes | Ernest Castera Achat ae vieil or et vied argent,

> emeor ne connalt pas, non reur ae oursuivre une politique é:rangeére représentant de la PILLSBU y's Wasu- a antageuz. :
Rlesche, trés louche. Mais en| indépendante. On croit que cette réanion | BURN FLOUR Mit; Co MInNRAPOLis AcuaT p’écalLius Ds Cans?

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Quelle est ta meilleuré education '

Quelques types esquissés par un maitre
II!

Wa'y a pas en France que des Jac-
homme nien Angleterre que
$e Milord. A colé des fils « rangés »
rf est échue une éducation select,
gG les e teres bralées » qui n’onta
sition gu’une éducation com-
qui tournent comme elles peu-






F Yeliun de ces types tels que les
pedait lo milieu social frang iis.

L’ARRIVISTE

VArriviste est cousin de Jacques Bon-
me, inais moins fortuné que lui:
festa quelyues crans plus bas de le-
Scie, mis uspirant auore¢
metal de Jacyues Bonhomme.

+ Dirriviste a ea la junesse beancoup
Mouvementése que son cou-in.
@étre né suriun lit da roses, sa

/ cenit alt-ndue come une cal -

: est gue sa merce avail beaucon)

F thire | Ells devait non 3-ulemant soc

€ du minage, inais diriger le com

qui rapportait le prin qnohd on

008 mari travaillait dehors, plas ou

plus souvent moins que jus.

ao dissentimeat profont exis

. ns le ménayge, et UArrivist:

PmaComme il put.

Me tantot prc si mire, tintd: pu

msouune voisine, il ne devint
yreetse familiarisa vite avec
ea ie. Bientot, il devint uo
et pritles maniéres les

: anes.

yee 80n pére voulait le corriger,

syemeit prds ds aa mére, et cel'e-

Snnail raison. Sil arrivait que
re, éne-vée pur les tracas,
aa lat un peu, on voyait alors
mére le soutenir. Qui »'éton-

Wavec une éducation fumiliale

, ique, l’ Arri-sia e soit davenu





























a VArsiviste recevait une autre
celle de la famille : celle
- Pareux, il fat vite dre

indiscipiind, tout a faillg

aeé bie: le poignard d'un

et connut les bons tours, les
qu'il ne pouvait avoir de force, il Vob-
fenait par la rouerie.

précoce lui montrait clarement que le} mais non cel

suceés n’est pas la récompense de la
sagesse et de la vertu, mais celle du
plus habile, du plus roublard ; ta puni-
lion n’était qua pour Vimb‘cile quai se
laisse prendre
A Vécole, il wapprit) rien :

bean le changer d’établissement,
sully était tonjours uégatil : Hetil re-

balle a toute discipline, a tout cus,
gnement metholiqia. Liécols baie one

niore seule fui réassissail.

L’ 'rriviste le

de-

Po

mauvais soypct

lintadodt is it bane, mais lo osat tone,

exiger des qdas fsibles .ibsuvab baba

seroses gatits ef te caddis que devant
7 . . ‘ . s s

la force. Pt éleil Geverru dur eb cp dae,
. . “4 . . ot, .

pate qu autour Ge dud, dete betas ul
sbi

que dapeté et Ogoisme, © heen aiat
efait pte aomotter, ¢« meter! proas
e1use de son dgoieme, eons fe creyalt
Jacqaes Koshomme, a’ oeuvre ad?
son eXpeticvee Preece dus houitaes,
Tele esta vateur 6 lucative de ce
groupe Mottant qucest hi bande fos cd-
inarides, Les waminaries yrempiaceul
le respect, ect le cebaret, ls foyer. Ie
qui dirig? la bande ? Le plus orateur,
le plus habl ar, celui qui sait répandre
le plus de faveurs. La loyanté y esl
tournée en rificule et Ja vanite sy étale

a laise.

‘ge

pads

Voila Arcivis's le minvais sujet jane |

cé dans la vie ! Il est apte a se mettre
du cété da muanche, et dua coup d'ceil
il voit d’ud la vent vient. A Voccasion,
il sail se faire plus royaliste que [2 roi.
li est bien vu; c'est un bo acoprun P -
La chute des autres frit sO) elev ie
tion. Ha Tart da jeter ta confasio) ea
tre sa prospérilé personnelle et celle du
roup? qui le pouss.
manité comme un vaste
loiter, mais il se tient 8
I craint une vengeance

chimp a ex-

homme qu'il a

PORT-AU-PRINCE ( Haiti )



g ady

[jeté sar Le paile 5 |
Ime trompeée...
Katia EArriviste est arrivé ? Tout |
leponde |? salie et -e ecourb? devant lui!
Assiilli

Ses aneions

| Mais

Son expérience|.a ouvert les portes di

on eal
Je rd- |

It considére Uha-,

ur 893 galdes ;,

i 8 possi-.
toujours F ‘ont 6té concédé;s



LE

REDACTION -ADMINISTRATION
45, RUE ROUX, 45.








A Mousieur &A

GS03T
a ve




nest pas honvreax,
par les sollicitations de |!
confreves qui Foat po1334 sar le pavors,

il

il wWarrive pas ales contenter tous, Ses
Ses

ennemis le gaett-nt pariouts ;

ruses Cefamis le jdeusent,

Ila fart un inariag: de vanité pai tui
grand monde,
es du bor ton et
nement; et ccla Vhamiti . Tt éblouil

purses dépenses rolies et som coeur
reste vile. H veut) profég2r les beaux-
arts ef wairiv: & so.teair que la café-

concat et le genre rococo ! Luxe lapa-
cur, anguscomnplet Vilsal, da no-
dans des idtes, Pebacation de
pOur-aie partpat ef pus:

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Neva Popes Ju.s is jes proses wid
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«Sat », de Now Y¥o K, Noodha Goo -fare

pre, -Ousiac.gcatur: d+: Mousiounr J,
M. F. Schiess. Monsieuc Schiess a, 4
diverses @payues, elf clad de longs
s‘joirs isi et a visiidé pros pae fouves
les vi les de ta R4pobliquys.

Les his'oirss sonsialionnells pu-
bliées dans quelques jouvgaux con-
cernait la potite ipab'ifie d Wain
ne prcattraiss! qaesidicul-s aux amé-
Licains (ui son’ ati courant des cho
ses, si d2telics h s‘oires t’avaient pas
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Pendant les quatred- rniéres années,
Viel ieoce américaine a presque rem-

tacéPinfluence f-anc aise ct allem inde
en Haiti. Tous les contrats importauts
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du rafti-

Vendredi, 13 Novembre 1968






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e vitriol d'une fem-|Le gouvernement a tnontré une préfé-

rence trés marquée pour toutes les
choses am-éricaines, et a fait tout ce
qui était en som pouvoir pour amener
les relations les plus intimes avec les
tats Unis. Coinme retour & ces avan-
ces amicales, notre presse ne trouve
rien de mieux a faire que de publier
continuellement des nouvelles dé-
nuées de fondement et des histoires
mensongeres, toutes, tendant da mon-
trer Haiti au public américain sous le
jour le plus défivorable, de telle sorte
que le’capitaliste amérivain et le voya-
g2ur ameéricain, ayaot apdris A regar-
der Haiti comme un pays de désor-
dre et méme de barbarie, !évent leurs
mMiins au ciel en conjirant chaque
fois qu’Halti leur est mentionnéa
eomme un pays de placement de ca-
pital, et se tiannent au large.

(‘as journzux nout pas un effet
imnoins désistrenx sur les Hattiens, car
ces articles te dent a nous aliéner ce
Don peup'e cl a ie jeter entre les bras
des fraugiis et des ullemands qui
sont désiteux d2 Vembrasser encore
;po cur reprendre leurs affaires.

Pendant tout le temps que des nou-
Velles d2 révolution et de famine
Oraicnt publiges daos un important
jJourgal dt Now-York, peadant les
rinors de pallet et d’a i’, une duuziine
Pameérnic aos, dont mot meme, voya-
jHealent en Haiti, Nous pouvons tous
jallirmer qu’aucuu di? nous n’a j mais
Ivu-un sculcas de famine, et que
nous N’en avuns pas méme entenda
parler ; ot voyageaat nuit et jour dans
Vintérieur, cous n’avuns va aacun sie
goe dinquiét.iie, eneors moins de fa-
silfade ou de lutte. Tout nous a pire
calme et pacifique. Nous fames reous
partout avec !a proverbiale hospitalité
des haitiens, etnous nous sommes
sentis plus en sécurité dans un des
villages de leurs montagnes que dans
aucun endroi’ de New-York. Lea ré-
cits ds vaudouetde sacrifices d'en-
fants sont encore s-nsationnels. On
peut dire en toute sincérité qu’aucun
des écrivains qui ont rapporté ces
histoires fantastiques ne peut jurer
avoir été témoin d’un_ sacrifice hu-
main. 1.3 culte du vaudou existe en
Haiti toutcomm:?ilexisteraitdans notre
Etat de la Louisiane, pas plus. La re-
ligion d'Haiti es: ie catholicisme, oe
le goavernement d’Halti a un concor-




dat avec le Pape par lequal il s’engage
& payer le cl ryé en Haiti, 'equel cler-
gé se Compuse d'un archevéque, de
trois évéques et d’environ 150 prétres

Tout le clergé vient de France ainsi
que les religieux qui dirigent les cou-
vents et écoleus. A Purt au-frince, la
Capitale, un architecte franeais est en
train de construire une cathédrale
qui, quand e le Sera terminée, sera
probablemnent la pilus belte des An-
tiles. Le gouvernement d’Haiti a ac-
cordé 400 UUI dollais. or américain
poor la construction de cet édifice.
On trouve des églises et de; chapelles,
des écoles de garcons et de filles
dans tout le pays et méme dans les
Villages les plus retiré: de la monta-
goe. Plus d’un millioa de gourdes cst
dépensé annuellement par le gou-
vernement pour instruction publi-
que. [’étudiant haitien peut obtenir
les diplémes dans les col éges de
Por'-au-Prince ; il peut devenir mé-

eCin et avocat dans les écoles de
Médecine et de droit, et il ya beauv-
Coup de professionnels sortis de ces
écoles qui peuvent soutenir la com-
Paraison avec des francais disting.és
de méine profession.

Pour ce qui regarde sa_ condition
financiére, Haiti peut soutenir la com-
paraison avec la majorité des pays de
Amérique du Centre et du Sud. Ses
titres de 6 »°, valant au pair 500
francs, émis d’abord a 400 francs,
sont cétés actuellement 490 francs a
la Bourse de Paris. Quoi qu’on puisse
dire de coatraire, Ilaiti a toujours
payé ses obligations, et aucun étran-
geren Hiiti ne peut honnétement
dire gu’il a perdu de l’argent dans
ses affaires avec le gouvernement.
Halti a toujours été une bonne chose
pour eux et chaque fois qu’ils disent
du mal du pays, c'est pour éloigner
les autres, pour avoir tout le giteau
pour eux seuls.

PAI?S DIV



3 DIVERS

RENSE(‘GNEMENTS
METEOROLOGIQUE:

Observatoire
DU
SEMINAIRE COLLEGE S:-MARTIAL

JEupi 12 NOvEMaRE

Barométre 4 midi 762, 57)™
Température! ™2imum 22. 6
‘maximum 32.0

Moyenne diurne de la température 26.5
Ciel nuageux toute la journée.
Le baromeétre baisse un peu.

J. SCHERER
Remercieme ats

Le Supéricur et les Péres du Séminaire
Collége Saint-Martial ont l’honneur d’of-
frir leurs plus sincéres remerciments aux
nombreux amis et anciens éléves qui ont
dGonné au cher Pére Saint-Clair le témoi-
posee de leur inaltérable attachement, a
‘Occasion de ses funérailles. Ils en conser-
veront le meilleur souvenir et ce sera pour
eux un nouveau stimulant de se dévouer
& leur ceavre qui fut celle de toute la vie
du cher défunt.

Arrivages
Ce matio est entré le steamer ‘‘ Ferdinand

de Lesseps ” avec les passagers suivant ve-
nant de :

Gona'vis: A. Francois, Salim Jean,
Mile M. Jean, Sceur Berthe.

| Petit-Godve : Emi'e Lave lanet, Napoléo-
ui, D. Siclait, Mérentier Fils, Th Jeanton
‘et enfant, Job, A. Lafontant, B. Dévieux.

s

Par ‘° Altai ,,
| New York : R. Binder, A. Maredonald,
H March.

Gonaives: Betlin, M. Boutin, D. W
Bolich, Député A R. Durand, W. Adam
A. Buch. F. Mahothiére, M. Bienaimé.

Cap : Mile Z Suberbi.

e

Par le ‘* President. ”

Jacmel : A. Monfleury,
fleary.

Cayes : Ad. Strohom, Ant. Téiémaquve,
Dépaté M. Morpeau et enfant, Député
Isaac Léger, Mile Alice, Momiés Legrand,
M. A. Pierre-Paul.

Avis aux sinistrés

La Commission de secours aux Sinistrés
‘devant clore ses travaux et publier son
rapport, ainsi que la liste des personnes
qui ont touché 4 la premiére répartition,
javise le pubtic que les bulletins en retard
idevront lui étre présentés pour leur ac-
; quittement jusqu’au 21 Novembre courant.

Passé ce délai les dits bulletinss seront
considérés comme nuls pour ce qui a trait
4 la premiére répartition.

La Commission avise également les in
téressés que toutes les réclamations qui
| lui sont adressées sont renvoyées a la fin de
‘la premiére répartition.

Port-au-Prince, le 7 Novembre 1908
Le Président, Le Secrétaire.
C Ricaup H. Votcy, Avocat.

Service funébre

Le Supérieur de l’Institution Saint-Louis
de Gonzagae a l’honnear d'inviter les an-
ciens éléves et les amis de l’établissement,
4 assister au service solennel qui sera
chanté dans la Chapelle de I'Institution, le
samedi 14 courant, 47 heures trés_ préci-
ses du matin pour le repos de l’Ame du
cher Frére Pierre-Edouard.

c
Magn'f'ques panamas

Pour hommes et pour dames viennent

d’arriver par le dernier steamer frangais.

Dépot, chez Mee Ltonipg, Sotace, 22, rue
des Fronts Farts.

Vol nocturne

Dans la nuit du 9 au ro du courant, un
voleur a enlevé chez Mr Emmanuel Pierre-
Louis, 73, rue Egalité, les objets suivants :

Une chemise portant une garniture de
boutons, or; une paire de boutons de
manchettes, or, et marquée sous le plas-
tron de la lettre E. : deux complets blancs;
des souliers, une paire de lunettes de la
mason A. de Matt¢éis & Co; un petit
cercle en fer attaché a une chafne du mé-
me métal reliée avec de la ficelle rouge,
contenant deux clefs, dont l’une porte le
No 48 du compartiment du coffre C de la
Banque Nationale d’Haiti.— Avis en est
donné au Bureau Central de la Police, aox
orfevres et aux bijoutiers.
__ Une récompense est promise 4 celui qai
iui fera retrouver tout ou partie de ces ob-

$.

Le Gal V. Leconte, 4 Jérémie.
De notre agent :

Ce fat avec une grande joie que nous
avons eu, chez nous, le sympathique Minis-
tre de I'Intérieur, le général V. nte.

Durant son séjour ici, il a été 1 objet de
toute notre admiration. L’actif Général
Merceron, commandant
sement, dont les grandes qualités sont
connues de tous, a deployé toute son acti-
vité et amis toute sa sincéricé a recevoir
dignement l’honorable Secrétaire d’Btat

eorges Mon-



de cet Arrondis- | ha

qui ne respire que la paixet rien que la

ix. ;

Le Gal Leconte est parti satisfait de la
ville qui a été et s:ra_ toujours trés sin-
cérement dévoude au Gouvernement.

Nécrologie

Nous avons regu une dépéch: annon-
gant li mort, A Jérémie, d’une des respecta-
bilités de Ia ville: M™* Henry VILLeEDROUIN,
dont les funérailles ont eu lizu hier, au mi-
liew d une affl sence considérable. ;

Condo'éances aux familles Vi!ledcouin,
Lavaud, Sansaricq, Laforest et a tous les
autres parenis de la regrettée defante.

Tribunal de Cassatio.:
Section CIviLe
Audience du jeudi 12 Nywembre 1908

Il est dix heures et demie. Le Tribana!
sous la présidence de Mr le Vice-Prési-
dent Erncst Bonhomme, przend siege et
entend les affaires suivantes :

—Les consorts Deslages Jean-Louis,
contre Victorine Blamblin.

Le Rapporteur, M. le juge Jérémie, don-
ne tecture de son rapport.

Le Minist¢ére Public, M. Luc Dominique,
conclut au rejet du pourvoi.

— Thomas Dannel contre E''z: Lizaire.

Le juge Jérémie, Rapporteur, lit son
rapport.

Ms Arrault jeune, pour la défenderesse,
est entendu en ses observations.

Le Ministére Public, Mr Luc Domini-

ue, conclut 4 la cassation du jugement
dénoncé sur le rer moyen du pourvoi.

—M* Rigal, demandeur en susp‘cion
légitime contre le Tribunal de Commerce
de Jérémie.

Aprés la lecture du rapport présenté par
le juge C. Déjean, le Ministére Public,
Mr Luc Dominique, conclut 4 l’irreceva-
bilité de la demande en suspicion.

Plus rien le siége est levé.

Tribunal Civil

Audienee civile ordinaire..du jeudi 12
vemb7e 1908.

Le Tribunal prend siége 4 dix heures
du matin, sous la présidence du juge-
Doyen F. Jh Dupont Duy, assisté ge M.
A. Montas, Substitut du Commissaire du
Gouvernement, ont rendu les jugements
suivants :

u7— Celui qui renvoie les époux
Thomas Jardine devant :’officier de 1’Etat
civil de cette ville pour prononcer leur di-
vorce.

2°.—Celui qui entérine le rapport des
experts des succession et communauté de
feu Alfred Bidére.

Affaires entamées, continuation renvoyée
4 jeudi prochain.

Il s’agit d'une obligation hypothécaire
souscrite en 1896 par Pierre et Pétion
Faubert 4 Lorina Pinchino. C’est une at-
faire qui a déjd_ reca plusieurs jugements
ainsi qu’arrét.

Les Faubert déclarent 4 la dame _ Lorina
Pinchino qu’ils ne sont pas_responsab!es
de l’obligation hypothécaire, et que c’est
aux héritiers de Mme Vve Pierre Faubert
qu’elle doive s’adresser.

Lorina Picchino conteste aux Faubert
ce raisonnem:nr. Les Faubert,'par | organe
de M* Solon Ménos a é¢ entendu en la
lecture de ses conclusions ainsi que M* C.
Benoit ea les siennes pour Lorina Pinchi-
no.

_Le Ministéce Public demande les dos-
sicrs en communication afin qu'il puis-
se donner ses conclusions par écrit. Le Tri-
banal a fait droit 4 sa demande et renvoie
la continuation de |’affaire 4 jeudi pro:-

-— Cest l’affaire des Biamb
Cycidise Bouder, mmey contre

une affaire qui date encore de!

longtemps; il s’agiten ce moment des

Se wr SP SS SSS es SSS

Millery
avec un

Excesez mon étade qui est ded ,
destes.

-

frais pour des objets laissés aux a
Cycléise Boudet ls Bis mby tal 4
clament. i ewes he
grand procédurier Raymond gf
est en cause et tient codte xymond
résultat comp'é:, car cette aie
fois gue M° Raymond en réclane le aa
rité au rdle provoque desri al
Eofin elle aed enendue eo Lew Fs
ses conclasions pour les Bis 1
Me J. B. W Francis en les sinal
Cycléise Boudet ; continuation
Jeudi prochain.
Le siége est levé. 7:
«La Nouvelle Revus sia
Voici le sommaire du No d’oscsfii
a parua I Imprimerie Amblard : =.
Haitienne préférée ( suite et fia) gat
callaboratears de la Revue ; — Flee, 3
Luc Grenard ; — Sonnet morose, par
raciné Vaval ;— Heares intimes, per
let

»





































,
Â¥ i,
7a

moclés Vieux ; ~ La Femme ag
vue social et économique ( suiee) gf
Légit me.

S:pptiques au Gouver.
Par l’aviso de guerre haitien Nord diam
esi arrive, en mé.ne temps que le Miale
tre d: VIn:érieur, Mr Fleury Sanoa, 1%
député dela ville de Jérémie, qui a J
te deux suppliques au Président dels Réona
ique. a
the député Sanon dans une aediensn’
speciale, a été reca hier par Son E
lence le Ginéral Nord qui a pris
naissance de c:s suppliques de la pe
tion de Jérémie, suppliques qui om
favorab'cinent accueilles. ,

Si nos informations sont e¢ il de
git de l’invasion syrienne et de la sft
tioa d'une rue 4 Jérémie. a7

Le député Sanon re ince
ayant accompli sa mission avec ence ae
telligence. a

L’Usine de )’Eclairag@
électrique 4

De L’ Abeille f Jacmel) :

Jeudi. 5 du couranr, Mr Jastia
Administratear principal des q
cet Arrondissement, chargé du servies
manial, a été mis, au nom du '
ment, en possession de l’Usine é
par les ingénieurs Carrié et
assist¢és du Commissaire du
ment Catulle St-Jean, dua
la Place et du Juge de Paix. ‘

Les scellés ont été apposés et une
de placée dans |’étab!issement poser le &
veillance. a

L’assistance a battu les mains
drapeau haitien a été hissé a l’en
cipale.

L’Usine électrique peut rendre de
services au Pays. Que no3 Gouve
y pensent.

La population serait heureuse @
établissement qui a codté tant d’age

uple, puisse reprendre enfin
Onctionnement.

Trois notes a
d'audacieux fill
[NOTRE ENQUE :

ory

‘3

Jaana

Las InTarvinws “i

Chez le nolaire Ch, Miley

Nous sommes chez le notalet.§

ui noas dit, en 2008
sr sourire :










































































Viaterview go! continee. ? qne c'est Ernest Faublas qui luia dit de* ‘s prince régent est exaspéré de la fagon . 2
i ‘toujours l’intervicw ¢a ira encore com pagner chez un nataire pour proaae td i I'empereur ditige x ro i ique “a h I An Call [ine
eg joars; si ccst le saire pour die Un argent, J'ai accordé une in iif: <1- {1+ -pire et la livre a la presse ¢trangere.

exactement nos lecteurs. ,c¢ voulue 4 la confilence qui ven: J: ‘revise 12.— L’é.a da grand duc de
i. xembourg est trés cr tique.

nd alors le Marm, parcoar | m bre faite. ,

at quelques lignes et nous cit,| bau las mécontent de linsuccés d: If Spa 12. Une vio'erte secousse sism’-| | Le steamer ‘* PRasIDENT *, Vvenan
certaine assurance: — « Les no- ifiire auprés du Sisatcur Canal, s’e mpor- | que d'une durée de trois secondes a été| de St-Thomas, San-Juan de Porto-Ri-

ici ne sont ni com laisants ni né- te et me dit > @ Ei-ce que ce séarveur | ressentie ict, ce. atin, 49 heures 1/2. La|: 0, Ponce, Macoris, Santo-Domingo,
= [ly a trés peu de notaires qui peut avoir la prétention de connaitre tout le | secousse était accompagré d’un .o :td gron- | AZ-1a, Jacmel, Cayes et Jérémie, sera
foads chez eux. Personnellement monde en plaine ? dement | ici samedi matin le 14 coarant.

ssamnment refusé d’en avoir des CA demain ). Bertin 12. Ua bilon mili a‘re alle-|_ I! repartira samedi aprés-midi pour

chez moi ; ma maison n éiant pas aj : mand moné par deux officiers est tombé Kingston, Cayes, Jacmel, Sto-Domin-

o, Macoris, Ponce, Mayaguez,

F eu de remarquer ase les intéréts Nouvelles Fra Ares dans la mer Baltique pres de Wollen, les uan de Porto-Rico et St-Thomas.
. i uvent cre exposés f .
Â¥ Franc otaires font aes |

deux officiers ont été sauvés. ,
France les n Port-au-Prince, 9 Novembre 1908.
, comm:

Paris — Rente :
de fonds, ils

96 50.
Le Président de la République recat au- gents
: agissent Ondis jourd’hui M. Lasovary, Painis're de Rovw- G. KEITEL & C”, 4 .
72 comm mandataires,

ay ne faisons que proposer des Derniéres Dépéches

manie 4 Paris qui lui remit ses lettres de
B. § ceax qui disent avoir des fonds a

ee
‘ .
t Hier la Chambre aprés avoir entendu le M ° C. L. Verr et

discours de M. Castillard, rapporteur en ,

faveur du maintien de la peine de mort et Tailleur-Marchand

celui de M. Briand combattant le projet, Donne avis A sa bienveillante clien-
renvoya Ia suite de la discussion 4 mercredi| tale que sa maison No.7, Rue Traver-
prochiin. Dans sa séance'de ce matin,“elle | siére est toujours bien pourvue d'une
termina le vote du budget des Beaux Arts | variété d’étoffes de ia haute nou-
et ct commenga celui du commerce qu’el- | veauté parisienne.

le continue cet aprés-midi- QUALITE SUPERIEURE. COUPE BLEGANTE

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-au-Pri g un grand stock, — pour la vente en
ortas anne ee eee ee 12 Novembre 1908 gros et en détail, — de chaussures 6n

tous genres pour



Paris 11.— Les funérailles de M. Vic-
eegelsis d’abord refuser VIaterview, 'torien Sadrou, le célébre auteur dramati-
j'ai pensé que instruction que frangtis ont eu lieu aujourd’hui.
tire secrete 5 mais vous insistez Berwin t1.—- Les commentaires de la
:, en vous appuyant sur vos ob!iga- | presse allemande sur la séance d’hier au
fessionnelles, que j'accepte a répon- Reichstag donnent une idée de l’etfet que
PY tlears, mes autres confréres l’ont le discours du chancelier Bulow a produit
Je dois vous dire, en passant, que le | sur le pays
sestee du Gouverneme it a pensé! Les commentaires sont plurdt fivorabies
moi. au chincelier, et, les journaux exprinent
ge pouvons nous empécher de sou- , l'espoir gue l’opinioa publique finira par
Se caimer.
his Mt M.ilery coatinve: — mon étude Le ** Vorwierts ”’, Porgine des socialis-
we dans |'ailaire pour une valeur de t mille six cents gourdes (P. 4600), “ Qu’aurait-on pu frire ? Tout. Qu’est-
dz actes pissés en faveur de cing ce quia cté fit ? Rien. © Ainsi qu on le
es dont je tais les noms ; parce que voit les commentaires de ce journal sont
Eafsires du notaire ne doivent pas sor- trés laconiques.
de l'étude. | Li bh: Gazette de Voss ° dit que crest Ee
Qel a découvert le pot aux roses ? une chose navrante que de voir tous les °
L Agets avoir passé ie’ premier acte, partis attaquer Pempereur ct aucune Cordonverie Nouvelle HOMMES, FemMMEs, ENPANTS
oe

renseignements des personnes’ voix sélever pour le détendre. _-— roan
la plaine, de meme. de ceux! Il ajoute : ‘‘ Qui nous garantit que d ie commandes des, cone euiées
partois pour savoir quelle est la 'Wempereur tiendra sa promesse de montrer G B PETO da s 0 ne somnine & peu prés
erres 4 Goureaud et 4 marin.|plus de réserve dans ses conversations et a a ans a .
: 23, Rue des Fronte-Forts, 23

ve mardi 3 novembre, de| pendant combien de temps le tiendra-t-il ? . ' .
me, jai rencontré le Sénateur Le ton des autres journaux est modéré 143,'GRAND RUE, 143 PORT-AU-PRINCE (marti )



—
LT tS Ss Ss SS SS SSS Sif eer cS
_——





agai jai faitla me ne demande. | et conciliant. dation de V'empire dAll PORT-AU-PRINCE .
Marinos, fit le Séna:eur, va- epuis la fondation de | empire c- t .
; uve celles de Goureaud, sur-| magne, jamais on n’avait vu une scéne | CHAUSSURES EN TOUS GENRES étel Bellevue

a & , 6 kPOT, POUR LA VENTE

fapeis le cyclone. aussi dramatique que acelle hier au | EN ON GROS aT DaTAIL Le mieux situé, le plus con-
jae demanda, en outre, le chiilre de Ia} “* Reichstag ** dont les membres s'diaient c e ° fortable.— Champ-de-Mars.—
Yon voulait avoir. réunis en une sorte de jury pour juger xécution prompte des Cuisine renommée.— Vue sur la mer-
Ee Neal cents gourdes lui ai-je dit. Vempereur et son chancelier. Jamats jus-| comamandes, tant ici qu’en
Je ferai frire l'affsire par un parent; qu'ici on n’avait vu le souverain actuel ou Province.

le sénateur Canal. un de ses prédécesseurs etre persoanelle-! Formes a bonimes ; 6élézentes et ra- A. de Mattéis & Go

on de mon entretien avec le

ment l'objet de débits publics au Parle- | tionnelies. Maison fondée en 1888.
; Emest Faublas Gaucher, accom-j| ment, mus, hier, tous les pirtis revendic- | Chaussures de dames( Derniére mo-

ial dee monsicur qui sedit atre Jo- quaient le droit de critiquer l'empcreur et! de de Paris ) et le plus commode : 1 1
» m’a présenté une piéce passée toute teniarive pour les en empécher au-; chaussures pour enfants confection- Ermer dr ( ny regs

Wyo. de Me Lechiud, avec plan d’ar-| rait été inutile. ‘nées avec des Peaua de toutes nuances

Le par l’arpenteur Dantés Liau-| La Have. z Le ** Vaderiand pubis un, dupe sélection et durée irréprocha-

» L2 tout éiait pareil aux six autres extrait des mémoires d'un d:plomite dont. ples 23 pric avantageux. ‘ °

es lesquelles’ j'avais déji__travail- il ne donne pas le nom et dans lesquels | Cirages pates et liquides Parfumerie | Houbi ant; Ro-

Se] té lracte de vente fait en fa-|il est dit que pendant |i gicrre russo-ja-| . ao eae ton bmadras ote. ete
aur chaussures de toutes nuances. um Idéal; Savon. Poudre ; etc. etc.

Ulysse Noel. Aprés examen, | ponaise, | empereur Guillaume écrivit a la i
eerme dit : je vous rendrai ré-|reine Wilhelmine un: lettre la mensgiat) === otras de pat cine Lodo Iva.

connais _|de occupation des ports hollandais, si la .
an3 s Koutes les terres de Gou Hollande ne se mettait pas immediate - | fle Hall qi lis (le ain! copherous.
fademiin, jeudi, revenu de la|menten éiat de déferse contre PAng'e | ' Lampes, Fouets et Chamois
)S Mannons,s que personne ne por-| terre. i cons d pour buggy et buss.
@U'ysse Noe 4 Goureaad. Je} CoPeNHaGue II. — O1ades raisons de! g+) nestfaitavec la “Pillsbury’s ' Argenterie de 1
wou

quaires, Brosses. Pipes, Fomes”





r » adiwid ‘ci leroire que le corps de l’exploraeur Andrée .
re he Werteraig vil le “a esi- qui en 1897 tenta d'arteindre le pole nord, Best. cigarettes, Cravates, Maroquinerie de
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S ve per Me F ier. ta. |commentée, l’ozin'o1 piblique est que : ( _

: ‘hive, le sénateur ne 8 pm cete mesuie a pour aa sate discatey anes | Ernest Castera Achat ae vieil or et vied argent,

> emeor ne connalt pas, non reur ae oursuivre une politique é:rangeére représentant de la PILLSBU y's Wasu- a antageuz. :
Rlesche, trés louche. Mais en| indépendante. On croit que cette réanion | BURN FLOUR Mit; Co MInNRAPOLis AcuaT p’écalLius Ds Cans?

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