i,
i Fangs, [glist lemand
DANS LES AFFAIRES
fasun article spiritael, M. Gaston
ela examiné «la psychologie
giant francais ». Ii nous le
ge «chez lui, 4 son bureau, a
bantoir, A sa banque, en plein
Afenne asa porte. Paralt un
fagame. Mauvaise note. Le né-
Ee waime guére les jounes hom-
@Bsv’ont pas de plomb dans
ee 8,
mveau ven i s’avance :
ieur, j.
une affaire qui pourrait,
ela, donner de fort beaux résul
» Duns le récent voyage que jai-
emplien Afriqua, j'ai pu remar-
~ Ab! vous a.ez voyag’, Monsieur.
pp? avez beaucoup voyagé. Ah ! ah!
@esabiah! répétés son’ en-
mde mauv:is augure. I's sig siflent:
jane homms ne doit étre ni s4-
ai persévérant. Au lieu de s'as-
903 situation sur place, il a
M couric les mars. Qui sait doa
? ce qu'il a fait ? »
neur, Monsieur, de deman-
etre concours pour una entre-
@ plus grand avenir.
plus gconi avenic ! Bien gros
affaires vont si mal aujour-
ead le négociant.
: est sare.
Mion le dit tonjours; et
les déboires arrivent...
Ppeut y avoir de déboires
fmrtailation nont pea éle-
Meio-d’cuvre. .
pays s’agit-il?.
Congo | c'est bien loin |
s'agirait pas de sommas im-
aaa
3 importantes! sommes
mates! Qu’il s’agisse de 500 fr.
¥elaquante mille, 1&4 n’est pas
- La vérité est que je n‘ai
pMpiteux disponibles, pas plus
se entre affaire que pour ia
watel bien, c’est an principe,
eccuper que de ce qui in-
gear tout ce qui concerne Administration du Journal, s’adresser & Monsieur Arthur IS
PORT-AU-PRINCE ( Hat }
sone eee ern
¢ 00 Cliément Magloire,
« 2.20 : Les abounements partent da 1†et du ts de chaqee
« 6.00 REDACTION-ADMINISTRATION mois et sont payables d’avance
« 8.00 4S, RUE ROUZ, 4§. Les manuscrite insieds ou nen ne sorent pas renéus
IDORE, 45, Ruz Roux os Beane-Fel.
————
‘our conquérir une co'onie ou une que pour réussir une affaire, ¢/ faut
grande fournitare. L’Allemand ne né-ly r..
L’événement lui donna raison, a
glige rien, il ne méprise pas les petites
aflaires, toutes valent qu’on se dérange|cet homme. I! était la, obéissant, prét
ponr elles, toutes méritent qu’on les} tout — on le prit.
Et ce fut un employé modeéle. « Le
étudie, et c'est & force d’apprendre le
détail » fut soigné, je vous prie de le
commerce qn’on pant y pas~er mattre.
viens vous priet|p
téresse directement notre cliantéle de
province. J’ai suffisasmment de beso-
yne Et que serait-ce si je devais col-
laborer a toutes les entreprises qu’
on vient me proposer! J'entends
bien, la votre est sdre. Vous dites
quelle est neuve. Comment se fait-il
que personne jusqu’ici n’y ait econgé ?e
C3 tableau est forcé, c’est entendu.
L’esthétique du journalisme ressem-
ble a celle du théatre: sion n'exagé-
rait pas les effets, ils ne dépasseraient
as la rampe et le public ne se-
rait point ému.
Mais le fond reste vrai. Le négo-
ciant francais n’aime pas les affaires
nouvelles ou « exotiques ». [| sen mé-
fia et ne veutrien risquer. Par tem-
pérament, il est « lapin de chou », les
aventures ne lui disent rien
Tout autre est l'Anglais; dé3s son
plus jeune age, il a été habitué a ne
compter que sur lué méme. Iudépen-
dant d’esprit ; laissé, dans se3 études
mémes libre d‘apprendre & son heu-
reet & sa guise : indépendant de
corps, parle dressage physique qul
fait partie intégrante de son éduca-
tion, il a aussi appris — et c’est 1a le
cotéd buloureux et en mé ne temps 8u-
périeur & etre indépendant de
coeur. L'Anglaise e-t plus épouse
qu> méve ; son fils a élevé a
nursery et, lorsqu’il faudrca partir, les
rai:on3s de sentiment ne seront pas
pour l'arréter. Ii na tient q a ses hi-
bicud »*, son laach, son thé, son ten-
nis ; ses affections joasnt ua 16'8 se
condaire.
Suivant ao mot charm iat de Hug :e8
Le Roux, «l’Ang'ais e-t élevé pour
emporter lAngleterre & la remelle de
ses sou'iers ». ;
Calui-ci est tout autre : _médiocre,
‘asiauanot, patient e’ laborie sx, Tem-
placant lesprit dinveatioa pac |
tation, liarteliigen2. pr.mesautidcs,
par la méthode, travailiaot & tout prix
et sachaot faire un gacrifize pour se
cré3r des relations
L’Anglais enléve de haute latte
grosses affaires, s'00 ¥8 aex anti
la
‘plement
Vimi-!
les Mais par lettre on se co
ntipodes Ea Allemagne, nous disons soujoers
Qu’on me permette ici de raconter
une anecdote typiqne, que m’a_ rap-
portée un de mes amis.
Son neveu occupe, & Paris, une
haute situation commerciale, a la téte
d'une grande maison qui fait des af-
faires, tré3 spéciales, dans le monde/g
entier.
Dapuis plusieurs années, il recevait
périodiquement une lettre d@’un Alle-
mand.
« Monsieur, disait ce bon homme,
j'ai le grand désir de me perfe :tion-
ner dans mon métier et aussi de ve-
nir en France. Ce serait pour moi uo
honneur et une oie que d'etre admis
dans votre maison. Vos con fitions
seraient les miennds. » 4
Le tout suivi, naturellemant, de sa-
lutations et de formules respectueuses
comme seuls, les Allemainds savent
en inve ter.
La premiere lettre du « Prassien »
fut jotée au feu,la deurieme au panier,
la troisiéme fut gardée, comm ) exem-
‘ple curieux de persévérance, dans un
\carton ot réguliérementt, tous les deux
‘ou trois moi , une ronvelle missive
lsemb‘abla vit la cejoindre.
Un beau jour, notre conmercant
s’aperc1t que son emp'oyé de con-
fiance, préposé au « détail », le volait
et perdait sa clientéle. Il le mit &
la porte et vonlut former loi-méme
‘gon saccesseur. Aucun de fe8 com-
'mis ne présenta les qualités voutues.
‘Crest a'ors
qait songta a cet entété
original qui lui écrivait tous les mois.
ft lai adressa un mot trés vagus, ne
promettant rien ct demandant sim-
ses conditions « au cas o0,
peut-dtre, il lui trouversit une places.
Trois jours apres, an petit homme,
bien tinide, entrait dans +on b ireae:
— Monsieur, me voici & ves o dres:
— Mais, je ne vous ai point engrgé,
je vous ai demandé seulement de
m’écri:e.
Oi. certainement.
Moasieur,
mal.
-
croire, et quand un fournisseur ou
un client se négi.geait ou commettait
une erreur, notre A'lemand ey allait
et réparait tout.
Un jour, le courrier de Rotterdam
apporta de meuvaises nouvelles. L'a-
ent local avait mal mené les affaires,
elles périclitaient, la clientéle se dé-
sa t, des procés étaient mena-
cants.
« Monsieur, dit le fiiéle employé 4
son patron, tl faut y aller.
— Muis vous n’y pensez pas, ré
pondit le Francais ; jo ne peux pas
in’sbsenter comme cela. Nous allons
rire.
— Monsieur, en Allemagne, ony
va toujours ; c’est la coutume.
— Iriez vo.8, vous qui parlez si
bien !
— Dans mon pays. Monsieur, c’est
toujours le patron. Mais si vous me
dunnez votre confiance... A quelle
heure part le traia ° »
Notre Allemand « yest allé ». Ea
quelques jours, tout était réparé,
ancienne clientéle visitée, de nou-
velles relations creés, et le chiffre
d’ affaires n’a cessé de srol're depuis
son passage.
Queique temps aprés, les affaires
se ralentissaient a Smyrne: c’était le
marché iuportant d°Atie-Mineare qui
pouvait sen ressentic.
« & faut y alle-, Monsie sr, régete
1 Allemand, comme un refraia.
— Vous m‘ennuy: z, 4 la fin ! A vous
crojre, i faudrat étre tovjoers, en
chemin de fer ou #n bateaa
— Oni, moriver; lex patrons
d’Atlemsgne funt ainsi ; toujours,
Moasieur »
Et le Francais, vainca ger cet enté-
tement tresdoux, mais irrésistible,
lui ¢it & la Go:
e Voulez vous y aller ?
— Oui Moasieur, quani part le
batean ?
("Allemand « y est allé ». Il est allé
1a, pais alleurs encore, @Nn peu per-
wut, at les effsires grandissent. Mais
un joer, prochain pee*-éire, ily re-
Oe
occupa du 4 juillet 1001 au ter février RENSEIGNEMENTS Les traites sur France one donaé tii
1904. I: refusa, pour des raisons qwil METEOROLOGIQUES | quelques transactions trés_ ing :
Ha pits pensé nécessaire de léduire, la _— ona ait uelques gtos chiffres a rt
charge de jure ala Cour supreme des . poor le Paris-direct ; mai -
Etats- Chis It ne devait has reser Observatoire est resté le méme que la oat
longtemps en d-hors des alfaices.— DU dente.
Nommeé Secrétaire @’Etat de la Guerre, | SEMINAIRE COLLEGE S:-MARTIAL | Les cheques str Paris ne trouvear fi
tournera pour son compte! Rentré
en Allemagne, il « soulévera » tout
doucement la clientéle de son patron
francais, puisque cette clie tel: ne
connaitra que lui, qui seul aura dai-
gné, en toute occasion, y e/l r, sen-
quérir sur place du ses besoins, de]:
ses désirs, de ses hibitudes, et meme, il wWentra en fonction qu’une année ——— d’acheteurs. Le taux est donc :
— s'il faut pour réussir,— de ses aprés, au ter février 104. VENDREDI 6 NOVEMBRE Les chéques sur New-York milatle d
manies. C'est alors que cornmeng. pour |ui | Barométre A midi 761, 83™ mandés. On a fait uelques ven oa s
toute une série de voyages, en mis-
ell faut v aller». G’est toute la si, des miisons de la céte-
tuation. “| sion politique. IH visita Cuba et fat Température -"™"™ 20.81 Le cacao est a Fes s2et le caft'a teil
_ Malheureusent, le Franvats n'y va| chargé par Monsieur Roosevelt Pavoir maximum 31.4 Por'au-Prince, 6 Novembae i
jamais. ay upline cettunmes difficultés, de Moyenne diurne de la température 25.9 Tribunal de Pat es:
rs °"re VP Surpe Clie \ ( ; 2 . . e
Sy maintesi t, ston ns Mees suver. r Ciel renee toute la journée. Eclairs 4 Sacrion Nos. 2
neur de Vile pour quelyue temps. oe a9 ee he a ten baisse L’audience d’hier a été consscris:
A Rome,ileut pour mission de confsrer e barometre est Iegerement € iss¢- | rement a l’affaire des sieurs
avee le pape Léon NIP sur de rachat J. SCHERER Thémistocle déja mentionnéde - dese &
poss!bie des tersains apecicoles appar- Des vers... Matin » de mercredi de cette semeigg,3
tenant aors aux ordres religigux, des! Nous avons regia un « Sonnet invoca- L’audition des témoins a é&
Philippines. coire » intitulé Pax! dédié & Mr Cons-| Confuse, semble laisser indécise la ag
(e tvers Panama, Cuba ct Porto- | tintin Muyard. Ces vers sont das a la cience du Tribunal. L’absence dag.
Rico, gril dis gea sos pas en 1007, | flume de M. Egron-Tribig, inspecteur des} MOI qWveE on juge absolament
dans le but dese familiariser avec | Eco!es des Gonaives 4 qui nous envoyons | S4i¢, 4 motivé le renvoi de la cong)
cés populations ct d’eiudier leur état) nos félicitations. lundi prochain. fl
et condition de vie. . Accident Mouvement ds Troup
L’Anglais y va toutes les fois que
cela lui semble en valoir la peine.
LA lema .d, lui, y va toujours.
A
Le nouveau Président
Des Etats-Unis
M. WILLIAM HOWARD TAFT
“iat amursedung, wande guerre! (yo, cc stanfonné au bas du, Ee mousements de toupee
: . sont reitant fe Champ-de-Mars 4 la. place signalions l'autre jour, comme chagy
ments de garnisons, continuent jusqu'$@
matin, — avec l’arrivée da 36™ de
che, du 247* de Ouanaminthe. — As
CT
I] ne nous appartient pas de recher-
cher encore it qo ets re saltats pote.
tiqueset diprotialicpues ub heba, dha tis
les aflaires americaines, dans les fe-
Jations Kixtérieures, Larvivée de Mr
‘Taft au Pouvoir, quelque désir que
nous avons de provostiquer, dW nous
eatre le dapoa et ?@ Amérique, alluent 5 ; .
cxiger des res-orts de Vhomine d’k- du Panthcon, contre I-quel voulait se ga-
tatun nouveau déploiement de force | TT ie cocher de la vorture qui conduisait,
et d’énergie hicr, vets les cing heures de Vaprés-midi, 4 He |
Lua ~ecurite des nations menacée Meoosis ure Grorges Genul et Gerlach, a été mesure e e leur entrée a Port-an-F ‘
équilibre mondiale qt ne serait lus. {cause dun accident dont le dernier en est nos troupiers regoivent des souliers et
i e li serait plus, uniformes neufs, en toile légére.
4 paru plussaee cependant de me pas | Tee ve '
nous aventurer dans les sentlets oo Jypelaiont natureilemeont t alten Mr. Gnul aera eitte ane hoor de Bureau Port
breux de Vavenir qui nous restera tou- des puissances, et, une collectivité | fortes lanotions La vorture clle-mame ost : .
jours éternelle, la Grande surpiise. d ell rts fut dons ce prot tees | pa fortement e: domma €e Des réparations jugées utiles sief aor
Le parti républicain qui Pa appelé beatlerte peril, Gepandant Is danger Nous souhaiton: a romot rétablisse- actuellement au bureau du Port, seal Fe
aux alfuires. sail naturellement ies disparu, il falait alors cimeuter ce qui mena M. G. Nach promp direction deSi’architecte Georges ; :
avantages quil trouvera en cet hom- Venait d’etre obtenu au prix de. tant ON . du Département des Travaux Publics, |
d’abnégations et de sacrifizes recipro- Avis aux slnistrés Ce petit ddifice déji si coquet, i
ae . ..--, |chaque jour des embellissements soft
Li Commission de secours aux Sinistrés coins Se général Mare D ha
Mr Taft était | homme nécessaire 4] q4.yant clore ses travaux ct publier son| °S nonceet
une pareiile mis3io1. — Il partit done | pypport, ainsi que la liste des personnes I’y habite. —f
pour le Japon. _ , qui ont touché 4 la premiére répartition, Commune de Portau
Un sait le succés quil obtint aupres | avise le pub'ic que les bulletins en retard Avis
du Mikado, comment il fut recu par le} dcvront luiéte présentés pour leur ac-| Les Syriens qui ont fait ces jours ad
peuple japonais. La diplomatic Joua | gui:rement jusqu’su 21 Novembre courant. | niers avs déclarations a \'sdinteom i
la soa jeu habile, de méme quune; — Pyyé ce deélai les dits bulletinss seront| communale comme n’ayant de pull
. . ae » hie rca. |. ek. . ) pas .
exyulse coquetterle - Mile slice Roose | considérés comme nuls pour ce qui a trait} sions, sont intormés als seront
velt, d’alors, brillait a Lokio.C était la j iia premiére répartition. vis avec toutes les rigaeurs de Ia bol
ee de oe yen de Adin alt lante Li Commission av se également ks in’ | Acdt 1903, relative aux Syriens, s’ils
etde! t plesdélicaterriniature humsine teressés que toutes les réclamations qui | surpris par les Agents de l'administeati
-| lui sont adressées sont renvoyées 4 la finde | communale en train d’exercer o
me qui incarne ses principes et qui
est peut-étre le porte-drapeau de ses
intéréts supcrieurs Le hasard de la
chance n’a pas eu) Ceriainement son
jeu libre aux élections de Mr Taft ; les
co:nbinaisons, la volonté ont eu leur
part d’action manifeste, réelle, de
méme que les doigs de lu destineée
lui avaient penut-étre touche le front
le 15 Septembre 1857) au moment ou
il naissait et poussait, dans Cincinnati,
son premier cri de Vagis-cment.
Mr Taft fit ses études a Yale et fut
9° dans une classe qui cuomptait 61
a
ia
élaves. Ko 18n0, il était A Pécole de] Mr tat tlourna par a vole de Rus la premiére rép ttition. quel genre de commerce. 4
droit ; et emportalt, Ie premier pix I:tats-Unis, ‘utiliser, en faveur de son Port-au-Prince, le 7 Novembre 1908] L’administra‘ion communale cook @
d‘aune promotion, Mails i avalt a comp ave. d’ we 6 f . va id . t { t Le Président, Te Secrélaire, voir reproduire dans toute sa teneuf S
ter avec un pulesant vival: Le prix | Pays, dune facon evider e, tout Ce . tic! de la loi susparlée ¢
-Hl. Votcy, Avocat. cle 5 Pp :
qvil venait de voir. Tt y travaillait ac- C Ricaup ‘ :
tivemenmt jusqivau mois de juillet der- Tribu7al Civi' Ant. 5.— Tout Syrien qui
, ee : : ribucal vivi. A un commerce sans étre muni de
nier, au moment of il fut Obligé d’a- . . - . : . .
bindonner son poste de Secrétaire Audience ctvile extraordinaire du Ven lreudi, | et de licence ou qui sera surpris,
d Etat de la guerre, devant sa nomina- 6 Novembre 1908 la profession de pscotilleur, de cc
tion par le parti républicain, comme! | be Tsiounal prend sig: 4 dix heures | de spéculation en denrées et. tost
Cindidat 4 la Presidence. }du matin, sous la présidence du Juge commerce de détail, sera ita
Nous ne og | Doyen A. Champagne, _aosiste de Mon-| amende de Cing cents. dollars et P
NOUS Ne SOIMMCsS *pas CnceoPre a me- emprisonnement de trois ad six mots.
: “ ; i sieur A Thibault, substituac du commis
2 2 savoir, 5s : 'Uer - : 4° .
me de savoir, 5 il contiznuera fa ‘poli saire du Gouvernement. de recidive, il sera expulsé ds
tique, en sens généial, de son préedé- Affaires entendues : de la République.
fut partagé entre les deux, Ht recat le
titre: LL.D. a PUniversité de) Pyn-
gilvany en 1902, Harvard {05 et ca
Miami, la méme année. Hl ctait ava
barre en 1880, fut plus tard reporter
de Journal et p reepteur de doua-
ne. En IXsS2 1883, Monsieur W. Pate
retouraa ao son iIn2tier davocat, e,
fut nommé jage a la cour supre-
m) de Ohio de I8ssx a PSO. Sotlici-
4
t
'
a rn ee
eee nen
ao
tor ginéral des Etats de 180 a 1802 | cosseur, souhaituns, cependant, que yD, . t-au-Prince, 6 Novembre 1
Doyen et protesseur de droit i PUni-} M> Taft veuille accorder & Haiti sa! cj ) Pierre Hudicourt contre Paul Per- Portragnn Le cyclone
versity de (incl ynat de eee A ‘hienve.Hante atention el sa puissante Nouvelle composition Présidence de Jh a -get 22 Septem
ais ici, les positions changeat. Mr) amitié. D “ \ : es - . le
jie acti a Vi vpont Day. Du Bulletin Pavecisstal du Cape,
Taft entre dans la vie active, lavie| . 2. 22-2 spec ee. oes. ea | (2) B. Fanfan contre les époux Ray- ee nary
politique ; il va s’occuper des grandes & aind
affaires de son pays, donner une idée| ‘¥ a. ‘we D ®B mv the : I’église enlevées, p'usieors autson 2m
de ce quil est capable en fait d’éner- iy AS Dil yj 1 » u l'heure avancée le siége est levé. | des’ Tout le tost serais parti same, Te
gie, comme citoyen et patriote amé-| * Revue dad Marché vouement de M. le Com &
—_— Voici les cours pratiqués dans la se-| Place qui, avec quelques homspsts to
ricain. C’est Monsieur Roosevelt qui
va essayer Vhomme et apprécier ses Départ maine : yen de madriers et Tonneer 84
excelientes qua‘ités. . . . i Or américain 715, 725, 730 . r. e da vent. 00 ~
C'est aux tles Philippines qu’il Pen- Hier est part le steamer hollandais avec) Tyg; es sur Frauce a. 21/2 0/0. 740 ofo ves | a ornements coms
voie, comme Président de la c- mmis- , 1€5 Passapers suivants pour St-Marc - Cheques snr Paris 3 0/0. tériorés. 3
sion ch rgée d’y_ réorganiser Vadmi- | Mr et Mme Ed. Régnier et bébé, Mme Cheques sur Nygw-York 1 o/o. PortT- DE-Paix. — elques \omrm
nistration, apres les désastres dela! Georges Labrouss: et enfant, Mme P. L’or américain a haussé 4 cause des de- | chées du toit de l’église. Groots Be
verre. | Agnant et Mile M. Agnant, Mme Alfred | mandes de Gourdes de Province ov i- | d | nes. —
6 Les choses bien menées, Mr Roo- | Jastram, Mme Alcé Pinard, Mme Louise | vraisons deviennent trés ondsove i Croix SteJosepl compiavemsent rants, ahi
sevelt nomma Mr Taft, premier gou- Mme F. Gresseau et enfant, Mlle Maria Le nickel a été trés demande ; il est res- | la Platc, découverte ea > os
verneur civil de I’lle, poste qu'il Merville, Francois Joseph. té ferme A 5 0/0, 4 0/0. vée par le Pére Le Ru comme '
le commandant de la Place.
d'eau 4 une cer aine hauteur.
’itag ST-NICOLAS.— L’église de la Bom-
a &é découverte, son pignon ren-
— Le presbytére de ‘Mare “Rouge ra-
Als Baie de Heine, les gens ont dd
rec encanot pour se rendre 4 l’Eglise ;
qaéapuya ‘er 4 cheval. C’étast la
patronale.
5 BoaGNE. — Les dégits ont été consi-
abies ; plusieurs maisons renversées.
“A Seltres, 60 maisons ont été écrasées
Fe te bourg, le presbytére découvert to
la facade de I’Eglise renverste,
me fp toitore cflondrée, les ornements
les chapelles 4 terre. Au Gand
, le bourg est ras¢, la campagne dé-
, les arbres coupés comme avec une
AlAnse 4 Pitre, le bourg a disparu,
en ajoupe n’est resté debout, le tout a
emporte 2
9
la mer. Partout on parle
d sombre de victimes.
Echo des Cotes de Fer
"Bg tandi 26 courant, la population
gat faite le devoir d’assister a la belle
7 hique manifestation qui a eu lieu
, Teale paroissiale de cette ville, ow
chantée en honneur de Ja digne épouse
Son Excellence le Président de Ia Ré-
beblique, une messe de Requiem.
Ba tte du long cortége qui se défilaic
devant les boreaux de la Place, se trouvat
bmesique ‘* Nord Alexis†en suite une
magnifique qu’ont offerte les
is locales, apportée par deux ofh-
peis apres, le Commandant de !a
ne, le général J. Solon Oriol, beau
be ssn costume officiel de drap vert,
de son sabre aus manche duquel se
ane large bande de crépe, entou
d administration, des Juges
al, des autres autorités locales
syens notibles se rendirent 4 1'E-
§ LL’ on entendit la belle voix du Cu-
Bae be paroisse, le Revérant pére Tésan-
qai olficiait la. cérémonie religieuse.
q@ume fat entrecoupée par la musique
Alexis’ qui exécurait successive-
des morceaux funébres bien émovu-
Ae moment de l’absoute, elle fit
tla supcrbe marche funébre de
aie†dont les accords remuent
jusqu’aux larmes.
Ages que ce picux devoir fut rendu a
Mime dela regrettée détunte, M™* Nord
mis, le Commandant de la Commune
wadit en son hé-el, accompagné du
4 Conége of il offrit un verre aux
s, ef, dans un lang ge mile st pre-
i remercia au nom du gouv-rne-
et aa sien, tous ceux qui ‘ui ont fait
d'assister au service funcbre chan-
@amémoire de la digne épouse du
matde la Répubtique. Puis chacun
Baveles Etrangeres
Pe éres Dépéches
$-— Le cabinet s'est réani en ses-
semaordinaire cet aprés midi ur
t les demandes de’ l'Allema ne re-
mea lincident de Casablanca. Mi-
pee décidé a l'unanimité de ne pas
7M Jules Cambon, ambassideur
7 we Beclin a recu l’ordre de noti-
lhelmsbiasse que son gouver-
om @aintient ses vues sar la question
ay ct quien meme temps i refn-
‘les déserteurs de man-
ficiers impliqués dans cette affaire
‘et de fai
s.— La maison des soeurs a é1é, cab nets de Does
plusieurs heures, enti¢rement en jsou tenusav courant
ja Casablanca, elle parair, "en outre, etre
Mouvement maritime
Allemagne. Tes
Saint Péter-bourg
Panis ¢ 2 Sci de la situation. |
bassad 5+ ~ Soir. Le prince Radohn am-
sadeur d’Allemagne aeu ce soir wn!
entretien avic le Ministre des affaircs’
Etrangéres M Pichon. Aucune déclara ion!
na été faire au sujet de ce qui a été dt |
Et on ignore si cet ambassadeur a trans-|
mis la réponse de son gouvernement. Les
dépéches de Berlin manifestent un esprit Vo: ;
moins intransigeant, ce qui est interprété OMLTERY
comme une preuve cue l’Allemagne mo-
difie son attitude et qu’elle s'est arrétée 2
accepter la solution francaise.
Berwin 5.— Soir. MJu'es Campbon am-
bassadeur de France a regu ce soir l’or-
dre de proposer au chancelier de Bulow
que ks deux gouvernements s’expriment
mutuellement des regrets au sujet de l’in-
cident de Cassablanca et que toutes les au-
tres questions soient soumises 4 l’arbitra-
ge: Le prince de Bulow a repondu favora-
lemen:. Oacroit qu’un arrangement amia-
ble est proche.
Maprip 5.— On annongait aujourd hui
au Ministére de J’intérieur que ta gréve
ui a dclaté dans le district minier du Rio-
into est terminée.
Amoy 5.— Un petit vapeur qui = trans-
port it 690 passagcer. d’Amcey 4 Tung:r, a
quelques milles de distance a coule, hier
soit, deux cents passagers o:t péri, les au-|
tres ont éré sauvés par des jonques chinoi-
ses.
SanTiaGo De Cuitt 5.—- Le volcan de
Villarica est en éruption depuis hier.
MAM LLE 5.—— L’épidémie cholérique a
I i :
Co Transalantlque
Lo « FERDIN «ND DE LES-
SES » est attendu dimanche 8 cou-
tart.
litinéraire pour la cove sera fixé &
SOn arrivee,
Port au-Prince, 7 Novembre 1908.
L’AGENT,
F. M. ALTIERI
M’ C. L. Verret
Ta lleur-Marchand
-Donne avis a sa bienveaillante clien-
tale que st ulaison No 7, Rue Traver-
siore est toujours bian pourvue d'une
varicté d’etoffes de la haute nou-
yeanta parpsreine.
QUALI-E SUPERIECRE COUPE ELEGANTE
PRAVAIL s21 «NE EXECUTION PROMPTE-
Princ tires réduits !
Les embarcations suivantes laiossent ce
soir :
Si-Jos gh, Nctre-Dame, pour Grand-Goive.
Fraternité, pour Petit-Goave.
Marie-Louise, pour Arcahaic.
L’ Union,pour Jérémie.
St-Pierre, pour Petit-Godve.
Olga, pour Miragoine.
St J-an, Laura, pour Petit-Goive.
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