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- https://ufdc.ufl.edu/UF00081213/00466
Material Information
- Title:
- Le Matin
- Place of Publication:
- Port-au-Prince Haiti
- Publisher:
- [s.n.]
- Creation Date:
- October 30, 1908
- Frequency:
- daily
- Language:
- |||
Subjects
- Subjects / Keywords:
- Newspapers -- Haiti ( lcsh )
- Genre:
- newspaper ( sobekcm )
newspaper ( marcgt )
- Coordinates:
- -72.2803802891673 x 18.5142993036392
Record Information
- Source Institution:
- University of Florida
- Holding Location:
- Bibliothèque Haïtienne des Frères de l'Instruction Chrétienne
- Rights Management:
- The University of Florida George A. Smathers Libraries respect the intellectual property rights of others and do not claim any copyright interest in this item. This item may be protected by copyright but is made available here under a claim of fair use (17 U.S.C. §107) for non-profit research and educational purposes. Users of this work have responsibility for determining copyright status prior to reusing, publishing or reproducing this item for purposes other than what is allowed by fair use or other copyright exemptions. Any reuse of this item in excess of fair use or other copyright exemptions requires permission of the copyright holder. The Smathers Libraries would like to learn more about this item and invite individuals or organizations to contact Digital Services (UFDC@uflib.ufl.edu) with any additional information they can provide.
- Resource Identifier:
- 000358166 ( ALEPH )
ABZ6468 ( NOTIS )
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peuxiéme Année, No 477.
Le
PORT-AU-PRINCE ( Hair: )
QUOTIDIEN
LE
Vendredi, 30 Octobre 1908.
Hatin
} ments: ; corre
Abonnen an ¢. 200 Dinacravr : NUMERO 4 5) ceNTimES
PORT-AU-PRINCE] 3 ais. . «5.00 Clément Magloire, oe at == , Re
Un Mos. .. € 2.20 a onnements partent du i et , airs e chaque
DEPARTEMENTS Trois Mois . « 6.00 REDACTION-ADMINISTRATION mols et sont payables d’avauce
ETRANGER.......- Trois Mois. . « 8.00 45, RUB ROUX, 4§. Les manuacrits insérés ou non ne seroot sas rendus
»
VII
BANQUE NATIONALE HAT
La drochure du Département des Finances
-actuellement en
Un financier capable, nous l'avons
Délégué parfaitemant
Pour tout ce qui concerne l’Administration du J ournal, s’adresasr a Monsieur Arthur I8I
ter a elles, elle
Marcelin et méme, les références acceptables ;
‘pour la bgsogneen question, le voila magine fort que Vexploitation de ceite
‘assisté d’un
,compétent. Administrativement, nous mérite, pour ta Bangne et,
‘sommes donc des mieux conditionnés apres cela, je ne vois pis trop ce que
——<— eo
45, Rue Roax ow Sonne-Fei.
=
DORE
‘financier, cette assistance céleste ne elle sélectionnerait la masse des en-
serait pas d'un mince secours. »
trepreneur’ qui pourraient se présen-
exigerail’ elle meme
mais yd-
idée serait toute de protit, et aussi de
ma toi!
.et je souhaite bonne réalisation 4 lon pourrait encore exizer delle.
‘loeuvre de restauration financiére qui
Quant aux grandes entreprises pu-
La Banque et notre avenir.
_— \
| bliques, pour lesquelles. sans doute,
elle a dd penser a son fameux « Syn-
dicat haitien d’études », j’'avoue que
| se dessine. .
| os
favQable, Cependant, voici, pour ma _ part,
lieu d'étre un instrument
(La Banque actuelle est seule ps-
able», telle est la conclusion a la-
qulie Rous oft * cenduits les divers
wires de considérations passées en
ferue. Par « Banque actuelle »,— que
'oncomprenne bien,— j’entends dire
ba Soca d'actionnaires q +i acluellement
id en'agé leurs capilaux dans les af-
feires du pays. Je n’entends nullement
dire: la Banque telle qu’elle est ac-
hellement constituée par ses_ statuts
reat la détermination de ses obliga-
Bs,
Notre conclusion est ainsi confor-
bm auxintentions mémes du _ Dépar-
kment des finances qui, d’aprés le
was des négociations contenues dans
Wbrochaore, parait préoccupé de la
jasée de reprendre les relations avec
#Banque en remaniant les disposi-
eos contractuelles en vigueur.
Celaest parfait. Je comprends avec
plas grande facilité que l'on pro-
m4 des conjonctures actuelles pour
tr de notre établissement finan-
. plus que nous pouvons.
‘pplandis des deux mains au lan-
Paiiotique qui a inspiré 4 uo
lal du temps les fulgurant-s im-
1008 suivantes :
.'Quelles facilités avez-vous offer-
it Commerce du pays, vous qui
a, *ppelez la Banque Nationale ?
NS avez-vous faits pour main-
irle prix du change & des taux pos-
* @arréter la hausse ? N’étes-
2&8 Vous-mémes les promoteurs
cours ruineux par l’accapare-
traites que vous faites opé-
te parapents connus et incon-
‘Nd paralysez-vous pas sans ces-
. mouvement commercial ?... Com-
wavez vous cherché & dévelup-
bien isation de la fortune im-
re ?.... L’escompte méme n’'est-
he #Â¥enu entre vos mains un mo-
Slaquisition ou de pression au
aux inléréts de la généralité >.... du’a-!
quelques considérations qui me sem- jy tiens beau
‘que je viens
vez-vous fait pour les porteurs di ti- blent conditionner ce succés.
tres ? Quels sontles préts que Wus_
avez censentis >.... Comment ave-:
D‘abord du cé'é de la Banque.
Etle vient d’étre rudemant secouée
coup moins qu’au plan—
d@esquisser. Cependant
‘Tien ne pourrait empécher la Kanque
de se livrer 4 ces sortes d’entreprises
vous aidé |’Etat asortir de ses diti- par les récents démélés, et les legons MOyennant contrat profitable avec
cultés budgétaires, A consolider sO, ne seront pas, je pense, perdue3 pour | tat.
crédit, 4 satisfaire ses engagements’.. elle. Ele ne peut pas, certes, et cela
tenterait-il d’établif dans ses pr
« Quelqu’un
pres intéréts, rester in-
une Compaynie de transports mari- fférente a l’ceuvre de réforme sociale
times pour le service des ports de
la cote et de la République voisine,
inutile qu'il pense a la Banque d'Hai-
ti pour patronner ou lancer l’affaire.
« Songerait on a organiser une So-
ciété agricole pourfavoriser les milliers
d’opérations qui n’attendent qu’une
aide au début pour devenir prospe-
res; gardez vous de vous adresser a
la Banquedite d’Haiti ; ses fonds vous
seraient impitoyablement refusés.
« Voudriez-vous monter une exploi-
tationindustrielle, construire des mar-,
chés, entreprendre I’éclairag+ public,
créer une usine dans un centre pro-
ducteur, ne comptez jamais sur la
Banque dite d’Haiti, ces opérations
ne sont pas de sa compétence. »
Je partage sans réserve le tres gen-.
til projet formulé pac let*méme jour-.
nal: « Une question qui nous paratt
iatéressante, c’est celle d’arriver a ré-|
ns lequel ses conventions doivent
eth remaniées, il serait prudent pour,
elle de comprendre quel profit il
y avait d’aider, dans toute la me-.
suréde ses moyens 9 aur+elévement.
de n& forces sociales. Pourgnoi ne.
s'inté-serait elle pas, J !a maniére
d'un gand patron, a toute entreprise
d’ordtvindustriel, agricole, que ini
tative; tée serait désireuse de créer�
Les lorésentants actuels de Ja
Banqu4 Svent que, quel que ‘soit I'é-
tat admio tratif du psys, il compte
dans son nin des hommes honneéetes,
travailleur doués d'initiative, aux-—
quels il 06 . anque q vune haute réfé-'
reace et un~vatronags suffisant pour.
donner leur yesure et créer un peu
partout des -enires d’activité. Une
On me reconnaitra, je pense, le
‘mérite de ne demander= ainsi a fa
Banque— contrairement aux réveurs
\ui agite depuis quelque temps les es- | &t aux grands constructeurs de plao
hits. Quel que doive étra le sens
que ce quelle peut donner et ce qui
peut étre Wun profit: social direct.
(est, si je puis aimsi dire, invi-
ter la Banque 4 évoluer dans le sens
anglo-saxon.
D’autre part :
Le procés deo lao Consolidation a
bien wis une chose en évidene2 :
Crest que, A cate de quelanes étran-
gers véreux, une tourbe d’Haitiens, pla-
cés au sommmet du pouvoir, ont con-
tribué, sons ft: gouvernement passé
et par une s¢rie de > malversations
sans précédent, a ébranler, le crédit
de ’Etat sinsi quae celui de la Banque
elle-méme.
Or, la Banque serait-elle animée des
meilleures intentions du monde, ta
présence de mauvais éléments suffi-
rait pour couper le: ailes A son en-
;maison de Bat ue particuliére a créé train et pour linciter de nouveau &
’Etat I’établisse- le magnifique ‘omaine de Bayeux.'mal faire. Et contre ce mal-la je
niser auprés de |
men vait révé, nous Une autre acraé dans le sud une ne vois de préservation possible que
ment financier gu’il a
voulons dire une Banqu |
décidée a faire d’abord les affaires du;
ays, 4 ne point per 3 |
pay® ssiona irritantes, en prétentions |
puériles, et A nous épargner de nou-
velles humiliations. »
Entin je préte volontiers une oreille |
favorable au voeu suivart émis dans
une étude anonyme et recueilli par
par M. Marcelin dans La Banque Na-
Honale d’Haiti, une page Thistoire : «De
plus, s'il p
teurs d’Haiti de lui envoyer un grand
.
€
laisait aux dieux protec-|
agricole et indus-jell», Ce n'est que
dre son temps en pardetels moyensS-ueles colons s’'im- fonctions ct les charges
plantent indératinyntement dans un
so!, et non pas en astant superpo3és
la société et » se tenant en
Vair. Pourquoi la taqgue ne ferait-
elle pas ceuvre de cc’, 9? (est alors
qu'el'e fermerait tridyphalement 1a
bouche & ceux qui lu gaprochant de
n’étre pas assez nalimna |
Cartes, elle mettrait ag cette réa-
lisation la plus grande citunspection,
e sincérement usine sucriére, imtreprisa A t+ fois dans la réforine de notre mentalité et
concevoir les
publiques,
da notre facon de
Hmvest consolant de ternminer cette
série de considécations par un accord
naturel eutre les réformes positives
que tout le mond» attend de la reprise
des relations avec la Banque, et le
constant esprit de notre campayne
sociale, — qi toujours et par-dessus
touttend au relévement de la race
haitieane.
Ld Situation a Hail
Quelques journaux continucnt a repré-
senter la situation actuelle 4 Haiti sous les
plus sombres couleur:. A les en‘endre, les
jours du gouvernement du général Nord-
Alexis sont comprés, ct le peuple est en
proie a la plus profonde misére.
Toutes ces notes tendancieuscs, émanent
d’amis trop zélés de Mr Anténor Frmin
Q@i a quitté récemment la France, sans
avoir pu réussir A trouver des concours
firnanciers pour l’aider 4 acheter des armes
et des munitions, pour tenter de tomenter
ane nouvelle guerre civile dans son pays.
Il est exact que le chinge avait monté il
y a pcu de temps 4 900 ojo, mais depuis
il est redescendu A 7oo La fiute cn est a
ceux qui détiennent l’or et qui veulent
nuire au gouvernement.
La situation politique est des plus satis-
faisantes ; il en est de méme au point de
vue financier, le coupon de la dette inté-
Tieure a été payé derniérement; et nous
n’en vou'ons pour preuve que les cours
auxguelssont actue'lement cotésa la Bourse
de Paris les Obligations d’Hai i. L’emprunt
1875 4225 ; l'emprunt 1896 4474 cou-s,
en grand: hausse, qui n’avaient pas été at-
teints depuis longtemps.
On reproche, 4 la presse locale d’ Haiti,
de faire campagne contre les étrangers. Si
parfois le fait se produit, c’est contre cer-
tains étrangers ; ceux qui n’ont pas de pa-
trie... ou gui s’en trouvent une, quand i!
s’agit de réclamations dip'omitiques ; en
un mot, des pécsheurs en eau trouble !. .
haine de l'étranger n’a jamais existé A
Haiti ; c’est 14 une vieille légende, dont il
convient de faire just'ce une fois pour
toutes.
La cause de I’élévation du change est
fort simple. Certains étrangers exportent
la monnaie d’argent du pays a l’extérieur,
comme l’indique d’ailleurs le relevé offi-
ciel des importations a l’étranger : pour le
mois d’aout seulement, il a été exporté
@’Haiti en France 4o kilog. de monnaie
d’argent.
algré la morte-saison, Haiti a exporté
en France Seulement, ae mois dernier.
1.417,810 kilog. de café et 2.523.179 kil.
de bois de campéche. 92517
Pourun pays dont certains jonrnaux,
par esprit de dénigrement, s’obstinent A
représenter le commerce comme entiére-
ment paralysé, c'est assez coquet !
Ouvernement actuel du général!
Nord-Alexis ne cherche, ct ne désire qu'une
chose, empécher la fraude et faire du
bien au pays,on ne peut cependant pas
lui reprocher de se défendre contre les
fauteurs de désordre, et de maintenir avec
énergie lordre, qui est la bise principale
de toat bon gouvernement.
M
J. M.
‘Revue Diplomatique du 20 Septembre 1908
Causerie Scientifique
Les deux Natures
de l'Homme
animaux que dans _certaines intelligen-
ces humaines. Vraiment noua craignons
beaucoup que toutes les diflérences
notées ne tiennent 4 une question de
rang dans la hiérarchte animale. Ausoi
la doctrine de evolution tant qu'elle
s'arréte & nous faire scivre le dévelop-
pement des étres dans leur groupement
générique et spécifique, nous purait la
synthése scientifique qui se rapproche
le jcus de la vérité. On voudra remar-
quer que nous disons groupement g¢-
nérique et spécilique, parce ques la doc-
tive de fa tran fo:mation progressive
des espéves ou plus simplement le
« transformisme » nous semble une
aberration qu’aucun fait ne soutient.
O1 objecte souvent qu'il est difficile
le faire découler les faits psychiques de
Vorganisation physique. ‘La vérité est
qu'il est difticils aussi da les isoler
pour en faire un monJe abselument a
part Ainsi les évolutionnistes, par
exemple, n’ont pas versé dans le gros-
sier matérialis:ne -les Brit -k*1, des Mo-!
leschott et des Voght. Lour doctrine
morale, tout en tenant compte des con-
ditions révélées par l’expéri-nce, A une
grand3ur qui n’est surpassée que par
les ilées morales transcendintes de
K int.
En exposant ces faits, on voudra
croire peu!-étre qu? nous ob Sissons au
mauvais gou" d’étaler une intempesti-
ve eradision, A cet égard nous connais-
s0n8 bien las -iéfailline>3 du lecteur hai-
tien, en face d’un suj2t revétant une
allure philosophi jue qaelconyua. Pour-
tant toute notre aimiration va aux maf-
(res de Ia peusée franguise si larga et
si pleinem ent philosophiqus. Sins dou-
te cetle pensée fiancaise est rare-
ment doctrinale, puisque nous re-
conuaizsons que 13 besoin de syn-
thétiser les objets de connaissance;
west pas une qualité propremant fran-
¢iise. Cependant les lectures qui nous
paraissent les plus légéres, cachant
souvent un sens philosophique qu'il
fiut poursuivre pour la bien saisir. Tel
roman de Bourget n’est que illustration
Vune doctrine philossphiqua‘ que seule
la possession
| Moyenne diurne de la température 26. 7
| Le ciel a été un peu nuageux
‘journée et couvert depuis 8 h. du
. La b-ise de mer a soufié depuis
de Vidée mattresse fera :;
bien comprendre. Il ya la vraimeut une
PANTS DIVERS
Observatoire
DU
SEMINAIRE COLLEGE S.-MARTIAL
JEUDI 29 OCTOBRE
Barométre A midi 760, 4%"
Température =" 33.0
maximum 3r.1
toute la
soir.
gh. du
matin jusqu’a minuit. Une forte pluie de-
puis 9 h.15 m: Pluviométreg4 mil'imétres.
Le barométre continue 4 baisser.
J. SCHERER
Tribunal Civil
Audience civile du Jeudi 29 Octobre 1908.
Le tribunal prend sicge sous la prési-
dence du jsge-Doyen Dupont Day, assis-
té de Mr Augaste Montas, substitut du
| Commissiire da Gouvernement.
| Le tribanal n’a cu A entendre qu’une
' seule affaire,4 cause des longs développe-
| ments fits par les avocats, Mes Francis,
' Arraulr et Vérité.
| Crest Vataire des sieurs Delisfort Delice
‘contre Mune Vve Marcelin Raphaél.
T)yibunal ds Cassation
SECTION CIVILE
Audience du Jeudi, 29 O-tobre 1908
Le ribunal sous la présidence de Mr le
Vice-'résid:nt Ernest Bonhom ne, prend
i sige A dix heures et demie du matin et
ented les affairesde :
x H. Becker et C*, contre le sieur Aly
' Vene.
Mr- le juge Edmond Héraux, rapporteur,
eonne lecture de¢son rapport
i, M* J. L. Dominiqie, l’un des ‘Savocats
les demandevrs, est entendu en ses obser-
lournure regrettable de notre mentali+, vations.
te. La philosophie restara donc en dé
pit de ces cdutempteurs, la sciences p
excellence. Elle seule peut en défin/-
ve donner une bonne direction a la
pensée qui se cherche et ne premns
pas nolre impuissance pour des raissns.
Le motif entin qui nous a décidd a
soumeltre ces réfl:xions personielles
pas uniquement une spéculatior dans
le vide. Etle nous conduira n:turelle-
menta certaines considérationgqui sont
du domaine de I'hygiéne yéiyrale. Le
‘dle du médecin, tant s’en faut, ne
consiste pas a prodiguer dessoins plus
ou moins intelligents aux j;nalades de
sa clientél>. En dehors de ,ette stricte
conception du devoir preessionnel, il
a poul-élre une missiongplus large a
remplir. Il peut l'exerct comme qui
dirajt par une sorte de Vrophillanie 80-
ciale, en indiquant a sesconcitoyens les
influences noscives quisontrarient leur
développement physique et par sur.
Croft leur santé intellctuelle et morale,
DJ C. DoRSAINVIL
Iri
Sens découronner homme — ce roi ’ ,
de la création ~ il est difficile de ne} Friére d’avifr Vadministra-
point admettre une cortaine activité in-| tion de la mdndre irrégulari-
uelie chez l’animal. Cette su .
sition est d’autant plus saine, ae Mle té dans leser'ice du « MATIN»
mouvement chique a la to
—se trouve bits in e
© prés
nse chez certains
afin qu’il y,oit de suite remeée
die v
————
Le Ministére Public, Mr Eug. Déca-
trel, conclut au rejet du pourvoi.
2° Le sieur Moléus S: Félix contre le
sieur Dufresne Décayette.
Le rapporteur, Mr le juge Héraax, lit
son rapport. c
Le Ministére Public, Mr Eug. Décatrel,
|conclut 1 la cassation du jugement dénon-
uu lecteur, est que cetta étude rs sera.
cé, sur le 2°™* moyen du pourvoi.
3° Dira Noncent, contre les consorts
Napoléon Estinvil.
Mr le jage Héraux lit son rapport.
Le Ministére Public, Mr Luc Domini-
que, conclut 4 l’irrecevabilité da pour-
voi, sinon a son rejet,
4° E. Duquel'a, contre H. Munstzer
et Co,
Mr le juge Héraux, comme Rapportenr,
sOumet son rapport au Tribunal.
Me Arault jeune, pour son client,
duit certaines observations.
Ministére Public, Luc Dominique
conclut 4 la cassation des deux décisions
attaquées.
_4° Madime Léda Tessier contre le sieur
Pierre bonis Narcisse.
Aprés ecture du rapport présenté par
le juge rapportear, Me Pierre PHudicourt,
avocat de dame Tessier est en
tendu en ses observations.
En dernier ressort le Ministére Pablic,
Mr Luc Dominique conclut ala cassation
du jogement dénoncé.
Le rdle épuisé le sidge est levé.
pro-
Commis ion de Se
aux sinistrés
La Commission de Secours aux sini
cours
s‘empresse d'aviser les locatair i
sont pas encore présentés, quelle ‘se mes
4 leur disposition, aa local de la Chambee
des Deputés pour le paiement de
paris dans la premiére répartition des so.
cours, 4 partir du mardi, 3 Novembre pro.
chain, de 245 heures du soir. P
Port-au-Prince, 30 Octobre 1908.
Le Président, Le Secréttaire,
C. RIGAUD H. VOLCY, euccas,
Ecole du soir 4 Jacme]
Le 27 Octobre a eu lieu louverta
I’Ecole du soir de Jacmel. Réunion. “
intime a la Loge les ** Philadelphes,â€
sidée par le Vénérable P. Justin Laute
assisté du Vénérable d’honneur, F.
Lauture et du Vénérable de ]g Parfaite
Sincériré ’†Antoine Vyles.
Apres l'insia'lation du personnel de
I’étab'issement composé de :
Monsieur LA. Bren, Directeur,
D. Ptrou, Ssrveillant général, o.
TH. Laroxtanr, Trésorier,
L. Mégie, C. Louis, A. Lauture, G,
Bellande, P. Leroy & R. Bastien, professeurs,
des piroles réconfortantes ont été pronoa-
cees par le Vénérable P. Justin Lauture,
le Directeur L. A. Brun et le surveillant
Pérou.
Le matériel de l’établiisement et les foer-
nitures classiques qu'on nous a montrds
Pprouvent ce que peut, en certaines cir
constances, la bonne volon:é.
Déja il y a une trentaine d’éléves qai
réclament le pain intellectuel.
La fondation d’yne ‘ Ecole da soirâ€
se faisait seatic 4 Jacmel. Aussi, formoae
nous des voeux pour l’ceavre entreprise
les vaillants lutteurs de la France
connerie. ‘
T. Mon.
Champ de Courses
Par le S:eamer « Alleghany », arrivé hier,
les Concessionnaires du Champde Courses
ont regu un premier envoi de 200 métes
de grilles destinges aux enclos da jardia. _
Pour donner, une idée de leur projet os
messieurs ont plaicécette semaine, au
point, quatre petits bancs en fer que
gamins ou des gens de mauvaise foi o#
commencé par détruire en y enlevant ls
boulons de soudure. Nous attirons |'attet
tion de la police et des gardiens da Champ
de-Mars sur ces actes de vandalisme.
Cathédrale
It est arrivé, par le «Hollandaise, cettes
maine, les couronnements des cam
les de la Nouvelle Cathédraie, mesaco
chacun huit pieds de hauteur. Oa Oe
pe activement, dans les chantiers 4 les
tre en position. :
pre»
Mouvement maritime
Vomens :
Liuvener, St. Frangots, Dies Merci, &
Joseph. Notre-Dame, Grand-Goave. - Ge
DiewDevant, Anse-d Veas ; uns,
naives ; Alma, St-Marc. | ,
“Ces différentes embarcations bnianeoems
demain pour leur port respectif..
Nouvelles rage
Derniéres Dépech®
—— ace bide
-Péterss0uanc 28.— Le
de Sonne est On 2 Soardiel id vont
———
————
& Belgrade. Il est logé au palais d’hiver.
Ae méme moment Ou le prince sortait de
gare plusiears centaines de personnes Ini
gat fait ane ovation mais les mesures pri-
xs par la police ont empéché des dépata-
sons de Serbes et de Bulgares de lui sou-
tater la bienvenue. ;
SanacossE. —- Le roi Alphonse a présidé
gsjourd hai 2 l’inaugoration d'un monu-
pent clevé A la mémoire des défenseurs
de Saragosse en 1808.— La population lui
i Git une réception chaleureuse.
Lonpras.— Les scandales provoqués par
ies saffragettes 2 la Chambre de commu-
acs ont obligé le gouvernement 4 faire
frmer provisoirement les galeries réservécs
sax ctrangets et aux dames.
Soria 28.— En réponse a la note des
vernements francais, anglais et russe,
gouvernement Bilgire a signifié son dé-
sir
mulées.
La quatorz'éme assemblée nationale Bul-
gure sest réunie cet aprés-midi pour sa
gsion d’automne, les discours du tréne
los par le Tsar Ferdinand était d’un carac-
tre essentiellement picifique. Le nouveau
soverain a défendu la récente attitude de
wa gouvernement. Le souverain a terminé
' on discours en exprimant l’espo‘r que la
| Rassie n’abandonnerait pas le nouvel em -
| pire Slave qui est son propre rej+ ton.
Paris. On apprend de source auto-
fide ga'en raison de la cessation des pré-
is militaires, de la Turquie et sous
pression des pofssances la Bulyarie a
&cidé de licencier les 75000 réservis’es
lisetrouvent en ce momen: sous les
upeaux.— On espére que cette mesure
diminuera Ia tension entre Scfit et Cons-
untinople.
Pants 29.— Rente : 3 o]0 95 95.
Le Conseil des Ministres s’est réuni ce
aan 1 I’Eiysée sous la Présidence de M.
Pil'idtes ; ils se sont occupés des aftiires
delOrient, le ministre des affaires E:ran-
tres commaniqua les derniéres dépéches
Iefues aa sujet de la question des Balkans.
aseil s’occupa de la marche de
Tasuuction des affaires de Draveil. Il
trymina les travaux de la Chambre et dé-
cd, poar harer le vote du budget, de de-
mnderd la Chambre des Députés de ré-
frver une partie des séances du matin,
ctuellement consacrée 4 l’impdt sur le re-
rau, 4 Vexamen du budget qu’on espére
pouvoir ainsi envoyer au Sénar le 25 No-
rembre.
LiChambre dins sa s¢ince du matin
wan la discussion dejl’impér sur le
‘ Ae débat de la séance de cet aprés-mr-
+ M Berry dépose, en deman dant l’urgen-
@, une proposition de loi tendant 4 laps
ton dela prine .de mort contre les
Nteurs professionnels.
- Picard conserve le vice-amiral Anbert
a chef d’éta:-major général et le ca-
tine de frégite Morin rer aide de camp
général.
$29.—Lecorrespondant du ‘*Tempsâ€â€™
iota télégraphic qu’une entente préli-
bm tee conclue entre lagTurquie et
Balgarie,
ss†Permaszounc 29.— Le prince héri-
We Be de Serbie est arrivé ici hier,
“Ti re¢a demain par le Czar.
tea: re 29.— Les sufrageites conti-
ings camser des scandales dans le ,voi-
ine i la Chambre des Communes; plu-
Sd entre elles ont été condamnées c
amendes qu’elles refuserent de
Mm eles furent alors enprisonnées.
eh, Gre 29.— Le steamer « Yarmouth »
Hook†Eastem railway company allant
sm de Hollande a Harwick a péri
a
ns I"équipage se composait d<
mes. Il ne transportait pas de passa-
de se conformer aux demandes for-| 89
Mr Justin Pescay
Avise sa nombreuse clientéle que ta
Boulangerie S'-Antoine
est toujours 4 Lalue, en
Sooare de St-Jos--ph de Ciany. “
aL.
ANUEL
D'HISTOIRE D’HAITI
De 1492 4 1904
Pan W. Bet.zcanve er J. Luiamsson
Ouvrage adopté par le Département
el'Tastruction publique
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Bergeaud, Pharmacien da |’Ecole Su-
périeure de Paris.prend la succession
ds affaires de la Pharmacie Emma-
nuel Alexandre, et qu'il se met a la
disposition de la clien‘éle, pour l’exé-
cation pontnelle, soignée et scrupu-
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Port-au-Prince, le 9 octobre 1908
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Cours d’instruction
Noms des pompiers qui doivent se
présenter a la station centrale pen-
dant la semaine du 2 au 6 Novem-
bre 1908.
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Constant, Edgard Laroche, Léance St-Su-
tin, Georges Laroche, sous-officiers, — Al-
fred Lafond, Jn-Jacques Jéré ne, Frangois
Mirville, Justin Constant, Legrand Jeudy,
Justin Etienne, Léonville Théodore, Hen-
ry Riché, Jh. Georges fils, Bernard Théo-
ate, Cicéron Fleurian, Ruffin Champagne,
Frédéric Champagne, Auguste Toussaint,
Léopold Pierre, Justin Chéry, Perdriel
Syivain, Clément Laurenceau, St Clair
Bros, Victor Prosper, Michel Lilavois, Clé-
ment Thrazybule, Horace Miltort.
Port au-Prince,29 Octobre 1908.
Le Commandant,
Louris ETHEART.
M"° LELIA Cuances GERMAIN
SAGE-FEMME
Diplomée del’Ecole Nationale de Médecine
et de Pharmacie
ancienne asistante 4 la Maternité, attachéc
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PORT-AU-PRINCE ( Hair: )
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Vendredi, 30 Octobre 1908.
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DEPARTEMENTS Trois Mois . « 6.00 REDACTION-ADMINISTRATION mols et sont payables d’avauce
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»
VII
BANQUE NATIONALE HAT
La drochure du Département des Finances
-actuellement en
Un financier capable, nous l'avons
Délégué parfaitemant
Pour tout ce qui concerne l’Administration du J ournal, s’adresasr a Monsieur Arthur I8I
ter a elles, elle
Marcelin et méme, les références acceptables ;
‘pour la bgsogneen question, le voila magine fort que Vexploitation de ceite
‘assisté d’un
,compétent. Administrativement, nous mérite, pour ta Bangne et,
‘sommes donc des mieux conditionnés apres cela, je ne vois pis trop ce que
——<— eo
45, Rue Roax ow Sonne-Fei.
=
DORE
‘financier, cette assistance céleste ne elle sélectionnerait la masse des en-
serait pas d'un mince secours. »
trepreneur’ qui pourraient se présen-
exigerail’ elle meme
mais yd-
idée serait toute de protit, et aussi de
ma toi!
.et je souhaite bonne réalisation 4 lon pourrait encore exizer delle.
‘loeuvre de restauration financiére qui
Quant aux grandes entreprises pu-
La Banque et notre avenir.
_— \
| bliques, pour lesquelles. sans doute,
elle a dd penser a son fameux « Syn-
dicat haitien d’études », j’'avoue que
| se dessine. .
| os
favQable, Cependant, voici, pour ma _ part,
lieu d'étre un instrument
(La Banque actuelle est seule ps-
able», telle est la conclusion a la-
qulie Rous oft * cenduits les divers
wires de considérations passées en
ferue. Par « Banque actuelle »,— que
'oncomprenne bien,— j’entends dire
ba Soca d'actionnaires q +i acluellement
id en'agé leurs capilaux dans les af-
feires du pays. Je n’entends nullement
dire: la Banque telle qu’elle est ac-
hellement constituée par ses_ statuts
reat la détermination de ses obliga-
Bs,
Notre conclusion est ainsi confor-
bm auxintentions mémes du _ Dépar-
kment des finances qui, d’aprés le
was des négociations contenues dans
Wbrochaore, parait préoccupé de la
jasée de reprendre les relations avec
#Banque en remaniant les disposi-
eos contractuelles en vigueur.
Celaest parfait. Je comprends avec
plas grande facilité que l'on pro-
m4 des conjonctures actuelles pour
tr de notre établissement finan-
. plus que nous pouvons.
‘pplandis des deux mains au lan-
Paiiotique qui a inspiré 4 uo
lal du temps les fulgurant-s im-
1008 suivantes :
.'Quelles facilités avez-vous offer-
it Commerce du pays, vous qui
a, *ppelez la Banque Nationale ?
NS avez-vous faits pour main-
irle prix du change & des taux pos-
* @arréter la hausse ? N’étes-
2&8 Vous-mémes les promoteurs
cours ruineux par l’accapare-
traites que vous faites opé-
te parapents connus et incon-
‘Nd paralysez-vous pas sans ces-
. mouvement commercial ?... Com-
wavez vous cherché & dévelup-
bien isation de la fortune im-
re ?.... L’escompte méme n’'est-
he #Â¥enu entre vos mains un mo-
Slaquisition ou de pression au
aux inléréts de la généralité >.... du’a-!
quelques considérations qui me sem- jy tiens beau
‘que je viens
vez-vous fait pour les porteurs di ti- blent conditionner ce succés.
tres ? Quels sontles préts que Wus_
avez censentis >.... Comment ave-:
D‘abord du cé'é de la Banque.
Etle vient d’étre rudemant secouée
coup moins qu’au plan—
d@esquisser. Cependant
‘Tien ne pourrait empécher la Kanque
de se livrer 4 ces sortes d’entreprises
vous aidé |’Etat asortir de ses diti- par les récents démélés, et les legons MOyennant contrat profitable avec
cultés budgétaires, A consolider sO, ne seront pas, je pense, perdue3 pour | tat.
crédit, 4 satisfaire ses engagements’.. elle. Ele ne peut pas, certes, et cela
tenterait-il d’établif dans ses pr
« Quelqu’un
pres intéréts, rester in-
une Compaynie de transports mari- fférente a l’ceuvre de réforme sociale
times pour le service des ports de
la cote et de la République voisine,
inutile qu'il pense a la Banque d'Hai-
ti pour patronner ou lancer l’affaire.
« Songerait on a organiser une So-
ciété agricole pourfavoriser les milliers
d’opérations qui n’attendent qu’une
aide au début pour devenir prospe-
res; gardez vous de vous adresser a
la Banquedite d’Haiti ; ses fonds vous
seraient impitoyablement refusés.
« Voudriez-vous monter une exploi-
tationindustrielle, construire des mar-,
chés, entreprendre I’éclairag+ public,
créer une usine dans un centre pro-
ducteur, ne comptez jamais sur la
Banque dite d’Haiti, ces opérations
ne sont pas de sa compétence. »
Je partage sans réserve le tres gen-.
til projet formulé pac let*méme jour-.
nal: « Une question qui nous paratt
iatéressante, c’est celle d’arriver a ré-|
ns lequel ses conventions doivent
eth remaniées, il serait prudent pour,
elle de comprendre quel profit il
y avait d’aider, dans toute la me-.
suréde ses moyens 9 aur+elévement.
de n& forces sociales. Pourgnoi ne.
s'inté-serait elle pas, J !a maniére
d'un gand patron, a toute entreprise
d’ordtvindustriel, agricole, que ini
tative; tée serait désireuse de créer�
Les lorésentants actuels de Ja
Banqu4 Svent que, quel que ‘soit I'é-
tat admio tratif du psys, il compte
dans son nin des hommes honneéetes,
travailleur doués d'initiative, aux-—
quels il 06 . anque q vune haute réfé-'
reace et un~vatronags suffisant pour.
donner leur yesure et créer un peu
partout des -enires d’activité. Une
On me reconnaitra, je pense, le
‘mérite de ne demander= ainsi a fa
Banque— contrairement aux réveurs
\ui agite depuis quelque temps les es- | &t aux grands constructeurs de plao
hits. Quel que doive étra le sens
que ce quelle peut donner et ce qui
peut étre Wun profit: social direct.
(est, si je puis aimsi dire, invi-
ter la Banque 4 évoluer dans le sens
anglo-saxon.
D’autre part :
Le procés deo lao Consolidation a
bien wis une chose en évidene2 :
Crest que, A cate de quelanes étran-
gers véreux, une tourbe d’Haitiens, pla-
cés au sommmet du pouvoir, ont con-
tribué, sons ft: gouvernement passé
et par une s¢rie de > malversations
sans précédent, a ébranler, le crédit
de ’Etat sinsi quae celui de la Banque
elle-méme.
Or, la Banque serait-elle animée des
meilleures intentions du monde, ta
présence de mauvais éléments suffi-
rait pour couper le: ailes A son en-
;maison de Bat ue particuliére a créé train et pour linciter de nouveau &
’Etat I’établisse- le magnifique ‘omaine de Bayeux.'mal faire. Et contre ce mal-la je
niser auprés de |
men vait révé, nous Une autre acraé dans le sud une ne vois de préservation possible que
ment financier gu’il a
voulons dire une Banqu |
décidée a faire d’abord les affaires du;
ays, 4 ne point per 3 |
pay® ssiona irritantes, en prétentions |
puériles, et A nous épargner de nou-
velles humiliations. »
Entin je préte volontiers une oreille |
favorable au voeu suivart émis dans
une étude anonyme et recueilli par
par M. Marcelin dans La Banque Na-
Honale d’Haiti, une page Thistoire : «De
plus, s'il p
teurs d’Haiti de lui envoyer un grand
.
€
laisait aux dieux protec-|
agricole et indus-jell», Ce n'est que
dre son temps en pardetels moyensS-ueles colons s’'im- fonctions ct les charges
plantent indératinyntement dans un
so!, et non pas en astant superpo3és
la société et » se tenant en
Vair. Pourquoi la taqgue ne ferait-
elle pas ceuvre de cc’, 9? (est alors
qu'el'e fermerait tridyphalement 1a
bouche & ceux qui lu gaprochant de
n’étre pas assez nalimna |
Cartes, elle mettrait ag cette réa-
lisation la plus grande citunspection,
e sincérement usine sucriére, imtreprisa A t+ fois dans la réforine de notre mentalité et
concevoir les
publiques,
da notre facon de
Hmvest consolant de ternminer cette
série de considécations par un accord
naturel eutre les réformes positives
que tout le mond» attend de la reprise
des relations avec la Banque, et le
constant esprit de notre campayne
sociale, — qi toujours et par-dessus
touttend au relévement de la race
haitieane.
Ld Situation a Hail
Quelques journaux continucnt a repré-
senter la situation actuelle 4 Haiti sous les
plus sombres couleur:. A les en‘endre, les
jours du gouvernement du général Nord-
Alexis sont comprés, ct le peuple est en
proie a la plus profonde misére.
Toutes ces notes tendancieuscs, émanent
d’amis trop zélés de Mr Anténor Frmin
Q@i a quitté récemment la France, sans
avoir pu réussir A trouver des concours
firnanciers pour l’aider 4 acheter des armes
et des munitions, pour tenter de tomenter
ane nouvelle guerre civile dans son pays.
Il est exact que le chinge avait monté il
y a pcu de temps 4 900 ojo, mais depuis
il est redescendu A 7oo La fiute cn est a
ceux qui détiennent l’or et qui veulent
nuire au gouvernement.
La situation politique est des plus satis-
faisantes ; il en est de méme au point de
vue financier, le coupon de la dette inté-
Tieure a été payé derniérement; et nous
n’en vou'ons pour preuve que les cours
auxguelssont actue'lement cotésa la Bourse
de Paris les Obligations d’Hai i. L’emprunt
1875 4225 ; l'emprunt 1896 4474 cou-s,
en grand: hausse, qui n’avaient pas été at-
teints depuis longtemps.
On reproche, 4 la presse locale d’ Haiti,
de faire campagne contre les étrangers. Si
parfois le fait se produit, c’est contre cer-
tains étrangers ; ceux qui n’ont pas de pa-
trie... ou gui s’en trouvent une, quand i!
s’agit de réclamations dip'omitiques ; en
un mot, des pécsheurs en eau trouble !. .
haine de l'étranger n’a jamais existé A
Haiti ; c’est 14 une vieille légende, dont il
convient de faire just'ce une fois pour
toutes.
La cause de I’élévation du change est
fort simple. Certains étrangers exportent
la monnaie d’argent du pays a l’extérieur,
comme l’indique d’ailleurs le relevé offi-
ciel des importations a l’étranger : pour le
mois d’aout seulement, il a été exporté
@’Haiti en France 4o kilog. de monnaie
d’argent.
algré la morte-saison, Haiti a exporté
en France Seulement, ae mois dernier.
1.417,810 kilog. de café et 2.523.179 kil.
de bois de campéche. 92517
Pourun pays dont certains jonrnaux,
par esprit de dénigrement, s’obstinent A
représenter le commerce comme entiére-
ment paralysé, c'est assez coquet !
Ouvernement actuel du général!
Nord-Alexis ne cherche, ct ne désire qu'une
chose, empécher la fraude et faire du
bien au pays,on ne peut cependant pas
lui reprocher de se défendre contre les
fauteurs de désordre, et de maintenir avec
énergie lordre, qui est la bise principale
de toat bon gouvernement.
M
J. M.
‘Revue Diplomatique du 20 Septembre 1908
Causerie Scientifique
Les deux Natures
de l'Homme
animaux que dans _certaines intelligen-
ces humaines. Vraiment noua craignons
beaucoup que toutes les diflérences
notées ne tiennent 4 une question de
rang dans la hiérarchte animale. Ausoi
la doctrine de evolution tant qu'elle
s'arréte & nous faire scivre le dévelop-
pement des étres dans leur groupement
générique et spécifique, nous purait la
synthése scientifique qui se rapproche
le jcus de la vérité. On voudra remar-
quer que nous disons groupement g¢-
nérique et spécilique, parce ques la doc-
tive de fa tran fo:mation progressive
des espéves ou plus simplement le
« transformisme » nous semble une
aberration qu’aucun fait ne soutient.
O1 objecte souvent qu'il est difficile
le faire découler les faits psychiques de
Vorganisation physique. ‘La vérité est
qu'il est difticils aussi da les isoler
pour en faire un monJe abselument a
part Ainsi les évolutionnistes, par
exemple, n’ont pas versé dans le gros-
sier matérialis:ne -les Brit -k*1, des Mo-!
leschott et des Voght. Lour doctrine
morale, tout en tenant compte des con-
ditions révélées par l’expéri-nce, A une
grand3ur qui n’est surpassée que par
les ilées morales transcendintes de
K int.
En exposant ces faits, on voudra
croire peu!-étre qu? nous ob Sissons au
mauvais gou" d’étaler une intempesti-
ve eradision, A cet égard nous connais-
s0n8 bien las -iéfailline>3 du lecteur hai-
tien, en face d’un suj2t revétant une
allure philosophi jue qaelconyua. Pour-
tant toute notre aimiration va aux maf-
(res de Ia peusée franguise si larga et
si pleinem ent philosophiqus. Sins dou-
te cetle pensée fiancaise est rare-
ment doctrinale, puisque nous re-
conuaizsons que 13 besoin de syn-
thétiser les objets de connaissance;
west pas une qualité propremant fran-
¢iise. Cependant les lectures qui nous
paraissent les plus légéres, cachant
souvent un sens philosophique qu'il
fiut poursuivre pour la bien saisir. Tel
roman de Bourget n’est que illustration
Vune doctrine philossphiqua‘ que seule
la possession
| Moyenne diurne de la température 26. 7
| Le ciel a été un peu nuageux
‘journée et couvert depuis 8 h. du
. La b-ise de mer a soufié depuis
de Vidée mattresse fera :;
bien comprendre. Il ya la vraimeut une
PANTS DIVERS
Observatoire
DU
SEMINAIRE COLLEGE S.-MARTIAL
JEUDI 29 OCTOBRE
Barométre A midi 760, 4%"
Température =" 33.0
maximum 3r.1
toute la
soir.
gh. du
matin jusqu’a minuit. Une forte pluie de-
puis 9 h.15 m: Pluviométreg4 mil'imétres.
Le barométre continue 4 baisser.
J. SCHERER
Tribunal Civil
Audience civile du Jeudi 29 Octobre 1908.
Le tribunal prend sicge sous la prési-
dence du jsge-Doyen Dupont Day, assis-
té de Mr Augaste Montas, substitut du
| Commissiire da Gouvernement.
| Le tribanal n’a cu A entendre qu’une
' seule affaire,4 cause des longs développe-
| ments fits par les avocats, Mes Francis,
' Arraulr et Vérité.
| Crest Vataire des sieurs Delisfort Delice
‘contre Mune Vve Marcelin Raphaél.
T)yibunal ds Cassation
SECTION CIVILE
Audience du Jeudi, 29 O-tobre 1908
Le ribunal sous la présidence de Mr le
Vice-'résid:nt Ernest Bonhom ne, prend
i sige A dix heures et demie du matin et
ented les affairesde :
x H. Becker et C*, contre le sieur Aly
' Vene.
Mr- le juge Edmond Héraux, rapporteur,
eonne lecture de¢son rapport
i, M* J. L. Dominiqie, l’un des ‘Savocats
les demandevrs, est entendu en ses obser-
lournure regrettable de notre mentali+, vations.
te. La philosophie restara donc en dé
pit de ces cdutempteurs, la sciences p
excellence. Elle seule peut en défin/-
ve donner une bonne direction a la
pensée qui se cherche et ne premns
pas nolre impuissance pour des raissns.
Le motif entin qui nous a décidd a
soumeltre ces réfl:xions personielles
pas uniquement une spéculatior dans
le vide. Etle nous conduira n:turelle-
menta certaines considérationgqui sont
du domaine de I'hygiéne yéiyrale. Le
‘dle du médecin, tant s’en faut, ne
consiste pas a prodiguer dessoins plus
ou moins intelligents aux j;nalades de
sa clientél>. En dehors de ,ette stricte
conception du devoir preessionnel, il
a poul-élre une missiongplus large a
remplir. Il peut l'exerct comme qui
dirajt par une sorte de Vrophillanie 80-
ciale, en indiquant a sesconcitoyens les
influences noscives quisontrarient leur
développement physique et par sur.
Croft leur santé intellctuelle et morale,
DJ C. DoRSAINVIL
Iri
Sens découronner homme — ce roi ’ ,
de la création ~ il est difficile de ne} Friére d’avifr Vadministra-
point admettre une cortaine activité in-| tion de la mdndre irrégulari-
uelie chez l’animal. Cette su .
sition est d’autant plus saine, ae Mle té dans leser'ice du « MATIN»
mouvement chique a la to
—se trouve bits in e
© prés
nse chez certains
afin qu’il y,oit de suite remeée
die v
————
Le Ministére Public, Mr Eug. Déca-
trel, conclut au rejet du pourvoi.
2° Le sieur Moléus S: Félix contre le
sieur Dufresne Décayette.
Le rapporteur, Mr le juge Héraax, lit
son rapport. c
Le Ministére Public, Mr Eug. Décatrel,
|conclut 1 la cassation du jugement dénon-
uu lecteur, est que cetta étude rs sera.
cé, sur le 2°™* moyen du pourvoi.
3° Dira Noncent, contre les consorts
Napoléon Estinvil.
Mr le jage Héraux lit son rapport.
Le Ministére Public, Mr Luc Domini-
que, conclut 4 l’irrecevabilité da pour-
voi, sinon a son rejet,
4° E. Duquel'a, contre H. Munstzer
et Co,
Mr le juge Héraux, comme Rapportenr,
sOumet son rapport au Tribunal.
Me Arault jeune, pour son client,
duit certaines observations.
Ministére Public, Luc Dominique
conclut 4 la cassation des deux décisions
attaquées.
_4° Madime Léda Tessier contre le sieur
Pierre bonis Narcisse.
Aprés ecture du rapport présenté par
le juge rapportear, Me Pierre PHudicourt,
avocat de dame Tessier est en
tendu en ses observations.
En dernier ressort le Ministére Pablic,
Mr Luc Dominique conclut ala cassation
du jogement dénoncé.
Le rdle épuisé le sidge est levé.
pro-
Commis ion de Se
aux sinistrés
La Commission de Secours aux sini
cours
s‘empresse d'aviser les locatair i
sont pas encore présentés, quelle ‘se mes
4 leur disposition, aa local de la Chambee
des Deputés pour le paiement de
paris dans la premiére répartition des so.
cours, 4 partir du mardi, 3 Novembre pro.
chain, de 245 heures du soir. P
Port-au-Prince, 30 Octobre 1908.
Le Président, Le Secréttaire,
C. RIGAUD H. VOLCY, euccas,
Ecole du soir 4 Jacme]
Le 27 Octobre a eu lieu louverta
I’Ecole du soir de Jacmel. Réunion. “
intime a la Loge les ** Philadelphes,â€
sidée par le Vénérable P. Justin Laute
assisté du Vénérable d’honneur, F.
Lauture et du Vénérable de ]g Parfaite
Sincériré ’†Antoine Vyles.
Apres l'insia'lation du personnel de
I’étab'issement composé de :
Monsieur LA. Bren, Directeur,
D. Ptrou, Ssrveillant général, o.
TH. Laroxtanr, Trésorier,
L. Mégie, C. Louis, A. Lauture, G,
Bellande, P. Leroy & R. Bastien, professeurs,
des piroles réconfortantes ont été pronoa-
cees par le Vénérable P. Justin Lauture,
le Directeur L. A. Brun et le surveillant
Pérou.
Le matériel de l’établiisement et les foer-
nitures classiques qu'on nous a montrds
Pprouvent ce que peut, en certaines cir
constances, la bonne volon:é.
Déja il y a une trentaine d’éléves qai
réclament le pain intellectuel.
La fondation d’yne ‘ Ecole da soirâ€
se faisait seatic 4 Jacmel. Aussi, formoae
nous des voeux pour l’ceavre entreprise
les vaillants lutteurs de la France
connerie. ‘
T. Mon.
Champ de Courses
Par le S:eamer « Alleghany », arrivé hier,
les Concessionnaires du Champde Courses
ont regu un premier envoi de 200 métes
de grilles destinges aux enclos da jardia. _
Pour donner, une idée de leur projet os
messieurs ont plaicécette semaine, au
point, quatre petits bancs en fer que
gamins ou des gens de mauvaise foi o#
commencé par détruire en y enlevant ls
boulons de soudure. Nous attirons |'attet
tion de la police et des gardiens da Champ
de-Mars sur ces actes de vandalisme.
Cathédrale
It est arrivé, par le «Hollandaise, cettes
maine, les couronnements des cam
les de la Nouvelle Cathédraie, mesaco
chacun huit pieds de hauteur. Oa Oe
pe activement, dans les chantiers 4 les
tre en position. :
pre»
Mouvement maritime
Vomens :
Liuvener, St. Frangots, Dies Merci, &
Joseph. Notre-Dame, Grand-Goave. - Ge
DiewDevant, Anse-d Veas ; uns,
naives ; Alma, St-Marc. | ,
“Ces différentes embarcations bnianeoems
demain pour leur port respectif..
Nouvelles rage
Derniéres Dépech®
—— ace bide
-Péterss0uanc 28.— Le
de Sonne est On 2 Soardiel id vont
———
————
& Belgrade. Il est logé au palais d’hiver.
Ae méme moment Ou le prince sortait de
gare plusiears centaines de personnes Ini
gat fait ane ovation mais les mesures pri-
xs par la police ont empéché des dépata-
sons de Serbes et de Bulgares de lui sou-
tater la bienvenue. ;
SanacossE. —- Le roi Alphonse a présidé
gsjourd hai 2 l’inaugoration d'un monu-
pent clevé A la mémoire des défenseurs
de Saragosse en 1808.— La population lui
i Git une réception chaleureuse.
Lonpras.— Les scandales provoqués par
ies saffragettes 2 la Chambre de commu-
acs ont obligé le gouvernement 4 faire
frmer provisoirement les galeries réservécs
sax ctrangets et aux dames.
Soria 28.— En réponse a la note des
vernements francais, anglais et russe,
gouvernement Bilgire a signifié son dé-
sir
mulées.
La quatorz'éme assemblée nationale Bul-
gure sest réunie cet aprés-midi pour sa
gsion d’automne, les discours du tréne
los par le Tsar Ferdinand était d’un carac-
tre essentiellement picifique. Le nouveau
soverain a défendu la récente attitude de
wa gouvernement. Le souverain a terminé
' on discours en exprimant l’espo‘r que la
| Rassie n’abandonnerait pas le nouvel em -
| pire Slave qui est son propre rej+ ton.
Paris. On apprend de source auto-
fide ga'en raison de la cessation des pré-
is militaires, de la Turquie et sous
pression des pofssances la Bulyarie a
&cidé de licencier les 75000 réservis’es
lisetrouvent en ce momen: sous les
upeaux.— On espére que cette mesure
diminuera Ia tension entre Scfit et Cons-
untinople.
Pants 29.— Rente : 3 o]0 95 95.
Le Conseil des Ministres s’est réuni ce
aan 1 I’Eiysée sous la Présidence de M.
Pil'idtes ; ils se sont occupés des aftiires
delOrient, le ministre des affaires E:ran-
tres commaniqua les derniéres dépéches
Iefues aa sujet de la question des Balkans.
aseil s’occupa de la marche de
Tasuuction des affaires de Draveil. Il
trymina les travaux de la Chambre et dé-
cd, poar harer le vote du budget, de de-
mnderd la Chambre des Députés de ré-
frver une partie des séances du matin,
ctuellement consacrée 4 l’impdt sur le re-
rau, 4 Vexamen du budget qu’on espére
pouvoir ainsi envoyer au Sénar le 25 No-
rembre.
LiChambre dins sa s¢ince du matin
wan la discussion dejl’impér sur le
‘ Ae débat de la séance de cet aprés-mr-
+ M Berry dépose, en deman dant l’urgen-
@, une proposition de loi tendant 4 laps
ton dela prine .de mort contre les
Nteurs professionnels.
- Picard conserve le vice-amiral Anbert
a chef d’éta:-major général et le ca-
tine de frégite Morin rer aide de camp
général.
$29.—Lecorrespondant du ‘*Tempsâ€â€™
iota télégraphic qu’une entente préli-
bm tee conclue entre lagTurquie et
Balgarie,
ss†Permaszounc 29.— Le prince héri-
We Be de Serbie est arrivé ici hier,
“Ti re¢a demain par le Czar.
tea: re 29.— Les sufrageites conti-
ings camser des scandales dans le ,voi-
ine i la Chambre des Communes; plu-
Sd entre elles ont été condamnées c
amendes qu’elles refuserent de
Mm eles furent alors enprisonnées.
eh, Gre 29.— Le steamer « Yarmouth »
Hook†Eastem railway company allant
sm de Hollande a Harwick a péri
a
ns I"équipage se composait d<
mes. Il ne transportait pas de passa-
de se conformer aux demandes for-| 89
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Mirville, Justin Constant, Legrand Jeudy,
Justin Etienne, Léonville Théodore, Hen-
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ate, Cicéron Fleurian, Ruffin Champagne,
Frédéric Champagne, Auguste Toussaint,
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Syivain, Clément Laurenceau, St Clair
Bros, Victor Prosper, Michel Lilavois, Clé-
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Port au-Prince,29 Octobre 1908.
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