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- https://ufdc.ufl.edu/UF00081213/00457
Material Information
- Title:
- Le Matin
- Place of Publication:
- Port-au-Prince Haiti
- Publisher:
- [s.n.]
- Creation Date:
- October 20, 1908
- Frequency:
- daily
- Language:
- |||
Subjects
- Subjects / Keywords:
- Newspapers -- Haiti ( lcsh )
- Genre:
- newspaper ( sobekcm )
newspaper ( marcgt )
- Coordinates:
- -72.2803802891673 x 18.5142993036392
Record Information
- Source Institution:
- University of Florida
- Holding Location:
- Bibliothèque Haïtienne des Frères de l'Instruction Chrétienne
- Rights Management:
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- Resource Identifier:
- 000358166 ( ALEPH )
ABZ6468 ( NOTIS )
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Full Text |
‘Deuxiéme Année, No 468.
PORT-AU-PRINCE ( Hair )
Mardi, 20 Octobre 1908.
QUOTIDIEN
Abonnements: Diacruun:
PORT-AU-PRINCE Teo Nore 1G 5 Oo Clément Magloire,
DEPARTEMENTS/ vos Mos. ¢ @.00 REDACTION-ADMINISTRATION
ETRANGER.......-] Trois Mois. . « 8.00 45, RUE ROUX, 45.
Pour tout ve qui concerne 1 Administration du Journal, s’adresser 4 Monsieur Arthu
Pour tout :
BANQUE NATIONALE [HAITI
i Drochure du Dépar lcmeat des Finances
entreprise. Ensuite, du cdté du Gou-
vVernement, le seatiment que ses in-
téréts ne “peuvent étres contraires a
ceux de la Banque: i! ne faut plus
que celle-ci, considérée comme une
Providence prodigue, ait pour unique
mission de procurer des funds au
trésor, Moyennant iatéréts et commis
sions, et que la moindre de ses dé-
faillances sur ce point autorise 4 1ai
montrer les dents.
Il faut se dire que le Pave, en dé-
finitive, n’a d@’autres ressources que
jes Siernes propres : que le tele du.
(rouvernement consiste atles accruitre,
ales administrer et & en disposer
avec le plus de régularité possib'e ;|
‘que Pintérét de la Banque est de I'v
aider, ses bénéfices étant en rapport
direct avec le deg-é deprospérité éco-
nomique du Pays; que toute transac-
tion véreuse avec les membres du
Gouvernement exerce une facheuse |
répercussion sur [état économiqua |
vénéral et restreint, par conséquent,
‘es conditions de prospérité pour la
Banque elle-méme. |
Mais encore ilne suffit pas de se,
dire tout cela, carce sont !a des |
lieux cCommuns assez soavent rebat-
tus ; il faut le pen3er et 13 vouloir sé-
rieusement. O-, comment ?
a
*
Eo entretenant lautra jour nos lec
ars de la brochure du Dépariement
@ firances relative aux négocia-
es entamées avec la Banque N:i-
male d’Haiti en vue dela reprise
fm teiations avec cet établissement
ier, j'étais loin de m’imaginer
ais A revebir sur cette qies-
lis différentes opinions m’étant
ues Sur ce sujet, vraiment gros
Cité: ot pour le pays, je ne crois pas
Worme dérober a l’ob'igation de les
“amuniquer, enles examinant, che-
M0 faisant, dans unique but d‘édi-
sur | compte d’une institution
M, depuis qu’ell2 existe, a déji tant
t Darier d’elle.
fe n'ai pas intention d3_remonter
#8 Oligines, d‘examiner Vesprit de
"COntrat, de vérifier si ses oblig 1-
~ sont suftisantes ou s'il y lieu,
Ormément aux tendances gui se
ment, de les augmenter. Je ne
mtple faire waivee ni de juriscon-
Side financier. Les textes qui
ent la Binyue sont ce quits
‘il est certain qu’aucun t-xteen
bors €n moins ne peut suppléer
5 we fini la bonne volonté.
4 Banque a le désir d’étre utile
mys ; ells le sera sous-quelque lé-
08 que ce soit ; si ce désir ne
~~ Pas, elle trouvera le moyen,
7 méme grace & quelques
Interprétations da ces mémes
8@ raidir les membres sous
®8 Conventions dont 01
vanserrée, et de se donner de
PM dépit de tout.
bp. “Dtreprise cons‘ituée dans
cr Peut tre un levier utile au
"Ou au relévement de ses
deciles ; un établissement na-
Crédit, de l'importance de la
| ® peut par excellencs. Pour
4 *, choses sont nécessaires :
du cété de la Banque, la
bite. le Sentiment de ce ré-
tonic de stimalant iadispen-
otérét dans uns pareille
Avant de commencer la série denos
considérations, je dois toucher 4 deux
points qui ont été agités dans mon
premier article, parce que les impres-
sions de - quelques lecteuras ont été
particuliér. ment sus3citées sur cesdeux
points. ;
Il s’agit d’abord du tam-ux = syndi-
cat d’é'udes a constiiuer 4 Paris pour
le déveloqpement économique du
Pays. .
li m’est revenu que, dans l’esprit de
la Banque, ce syndicat devrait étre
purement haitien et que celle ci se
proposerait méme, lors de 1a discus-
sion a Paris des bases de |’accord
projeté, d’émettre ses idées dans ce
[sens et de constituer ce syndicat en
i If aiti mene. Je ne crois pas étre indis-
|muniqué cette impression, pas plus
lenvers M. Santallier de qui il dit la-
| voir tenue, en rendant publique dans
ce journal une pareilla affirmation.
ile est, en effet, tout a l'avantage de
‘amour propre national et vingt ans
de séjour parmi nous auront, selon
toutes probabilités, convaincu§ Mon-
Sieur Santallier de la justesse des ré-
flexions que nous avons précédem-
,mant éMmises ace sujet. Son silence,
;@n tout cas, vaudra approbation, et si
|Jimais le Délégué haitien arrive a Pa-
‘Tis, il gardera, je veux du’moins l’es-
‘pérer, le souvenir de cette heureuse
vectification.
Cependaut, la question n'est pas
pour cela épuisée et ja réserve mes
appréciatiois sur le rdle destiné a ce
svodicat haifien.
Le second poin* est relatif an por-
sonnel haitien, dont oa demande que ic
soit excliasivement composé le servi-
ce de la Trésorerie nationale.
La derniére lettrede M. Suntalliar,
lettre par laquelle le Dé
floances clot sa broc
sume les différents p
question, qui se trouverait a'ors
lutionnée comme suit :
ra un large emploi. particu itremeat
pour le service de Trésorerie, d'Hai-
t.ens dans ses bureaux, a la condition
qu'elle reste mattresse de ses choix.
Mais il reste, 4 ca sujet, un autre
point soulevé par le Sucrétaire d'Etat |
dzs financ-s lui-méme et sur lequel |
it ne parait pas d’accord avec son
Délégué : c’est la situation qui devra
é're faite 4 ce fperso.anel. M. Marce-|
lin aurait désiré qv’il fut stipulé que
les appointements de ce personnel |
« seront identiques a ceux alloués
aux employés étrangers d ns les mé-'
mes degrés de fonctions. » (:3
M. Lilavois objecte qu’une
stipulation lai parait peu dig
gravité des négociations engagées, |
c-tte stipulation se ra
cintéréts privés.»
Catte objection a-t-elle convaincu ne lect
M. Mrrcelin, rien ne le dit
brochure, et alors q ielques
m’ont demandé de souleve
d’ioterrogation ?
dans la
lecteurs
rce point
r ISIDORE, 45, Rue Roux on Bonne-Fei.
cre envers le personnaye qui m’a com-|commet exces
|
|
pirtement des ‘temps entretenue & la
hure et qui ré- lequel nous espérons r
oints d3 vue da,cord et
la Banque, me semb'e avuir vidé la elle-méme, -
So-/l’aise le Dél
la Banque fe-,de
a quoi le présiden:, H.
pareille dix heures et demie du mati
ne de la l’affaire de :
EP
LE NUMERO 4 5 CENTIMES
Les abonnements partent do 1° et da 15 de chaque
mois et sont payables d’avance
Lee manuscrite iasérés ou non ne seront pes rendus
Je crois, pour ma part, que le Dé-
légué du Département des _finanees
de pudenr. Oa bien le
personnel haitian choisi par ta Han-
ique devra, au point de vue de la mo-
jralité, de la compétence administra-
live, offtic moins ow bien il devra
olfric autant — il ne s’ayit pas de dire
plus— de garantie que le personnel
étranger.
Si cette garantie doit étre moindre,
il y a incontestablemeat immoralité a
imposer pareil choix & la Banque. Si
elle doit étre égale, — et c’est bien ce
qu'il faut penser en face de lopinion
de M. Santallier, qu'il y a lieu d’ad-
mettre « ’emploi sur une large échel-
le d’Haitiens » a la Banque, — je ne
vois vraiment pas pourquoi il Vv au-
;rait indignité, sans “entrer dans au-
cune discussion de chiffre, a faire ad-
mettre le principe de l’évalité de trai-
tement entre Hiitiens et Etrangers.
Je crois que la place d'une telle
Oavent.o. est dans la discussion qui
va s’ouvrir et pas ailleurs.
En agitant ici ce point, auquel est
attaché le sort d’une injustice long-
Banque et sur
encontrer |’ac-
de la Banque
J'espére autant mettre a
ég16 hailien qu’éloigner
lui Ja redoutab'e responsabilité
Ja bonne foi
,@avoir éludé une question a laquueile
;Scnt attachés des intéréts respecta-
bies, quoique privés.
ee
|
PAILS DITERS
Audience du Lundi, 19 Octobre 1908
Le Tribunal sous la présidence de Mr
Lechaud, prend siég- 4
nm et entend
Madame Louisnéus Louis ci coas rts con-
pportaat a des tre Valérius Jeannot.
e Rapporteur Mr le juge Jérémie, dun-
ure de son rapport.
Met Léger Cauvin, J.B. N. Valembrun
ur le demandeur et Michel Oreste pour
défendeur sont respectivement cntendus
en leurs observations.
Le Ministere Public, Mr Luc Dominique,
conclut a la dechéance du pourves,
Vu iheure avancée le siége est leve.
Chroniqus des Tribunaux
TRIBUNAL DE PAIN
SecTion Sup
Les d2:sous dun Contrat
histoire
Vous wires pas douter que
des
met rolenent gu’un renouvel ems n:
fics, des Gvene nents qni se produtsen ct
Se sueecdeni ad travers le vlobs avee, pout
tre, tes ndaies phases, des nuances pus
Ou moins var ces ct a des épogues bicn dit-
féerenies.
Souven.z-vous bien de ce célicbre proces
guia tuli, pendant un instant, troubler
Pordre public cn France, et, 4 la suite du-
que’ ont sombre: bien des consciences que
Pon crovatyusyators immaculées — Sou-
ven as Arton ot duo baron Reinach
Que. Gee ie. poestpaux mencurs du Pa-
Tn aodlonrs) Martina gue la
Chore ba ie a iivie Asses cuges natu-
role: cite wort de da Vantse de-
man dl or So reeur Atrecd: Nacuct. pour-
Jlonne son S cae au foux cin.
taivatit omurccammaent ie sol de
’ '
Quon tt aoe
youre,
Pars 7 ov, SOUS ce FS wns,
repre co tant dooba Clenee tran Soe, cee le
chas ot vein ek Luc, da Sokal Oat ‘a
Semicnce cudiehiare Sent appesantie cura
tere ten cr ee our de seand livros de
Ja belo 2 tboanear, te mom doe bord:
mand Gof po ovtait rave. Salvous arse]
Vel es des cheques) de Panama!
eh Soas ce. Adi imemotre ba ion ce
Note ce Cr Gb ont pase pares
Ayst Oo Ves Vous COUMURErO. . en verbs.
que hci ee cst Lt icine partout eb gus
la Close ai a te entendue aor au tribunal
depos. sveten Sed, n'a apporté guoune
d Co
houvose preave du renouve.tennent
pheno we ies dans Vunivers.
Crest Jéra.ne Caitet, choyen frangus et
homme d’atlaire, qui appelie a la barre, les
Sénateurs R. D. et SS. W. pour ch:enir
deux bo pulement dun don at ordre de cen!
einguan's Mars dont il est devenu le pre-
pricsaire par transaction,
Aptos Vexpose des fatts, Mt Gustave
Chaume: e. le mandataire de Caitlet se ren-
ferme dans ses cocebustoms et larse. pas
ainst. bt paroles a son adversaite.
~~ JPaurais pu. dit Mo Violin, Goaner ds
fla retordre ada parte adverse en cxtzeant
que Collet, commie ctranger. dSpose, avant
de prude: ta caution qudicatum solvi. jp ai-
mise donate: en outre gue Cathiuire
tat poercoan dorigile de omes cherts ;
NOUS he de Pisani. pas, NOUS VMN MICur
qiVele oi vide par devant vous.
Cosstdone poor obtemir te patement
Mun Corr eee Gue nous sommes traduiss
et PP agny boos commergons par disc
que colic Sratton mest pas vate,
quelle poorest pats tes cond: ions pres
Cites pari pour gu’unetier de cetre
nature uta vecur réelie. Nous prierions,
en co cae, Me Chaumette de vouloir dire fi
tlansachion gut acte faite entre son cient
et les moires ct guia amené fa naissance
de ce con aordre.
— Le Magistrat : Grefjie*, sOvez attentis !
— M* Chaumcette : Je n’ai pas a étaler ici
les transactions de mon clien:, et il m’im
porte peu de savoir l’origine du bun, vous!e
chercherez vous-méme ; si vous le voutez
je ne poursuis que le paiement de ce hoy
&omdre dont Péchéance a pris tin depuis le
22 *tuovembre 1907.
—Me Valin: Puisgue mon contrére
refuse de dire Lorigine du don a ordre gw il
détient, nous allons avoir la douloureuse
mission de tout devoiler.
— Le Magistrat: Gregier,
tif!
I’espace du Tribunal est alors sillonnd
@’échos de voix chuchotant ; des oreiles
Soyer alten-
cyeme dos ereilles
teat ca cadre et ne rien
rote des ous de cette al-
] “ye
PEs lly,
curicuces 5° .
de SOUT], pool's
perdre Oost
i
faire reece rel. eho: de grave que
Pon aur: vouha Gooudhr. mais que la ta
talitc a ae one chr eta a d’etres ave
des de scandales vicunent tvujours s’€ecra-
Ser aux portes, aun tir ctres.
Me Vata coatin.e 2 nos cients, Mes-
sicurs les otiteer ROD. ot SW. dépo-
cCront sur dos bo caux de ti Ghamore un
contrat pour la cen trucdea dun pont d’a-
tibté puoi gue y cor ains ceputes Hrirant 1k
tne wo Tire. exintrent de nos clients
une graniicitast, wa po dy-van pour acur
vote.
—Le Masictran: AO! Deputes f..
prener nites,
Grefier,
— Ontoroecoad Me Vitin, devant cette
atitude, fo. foareeere RE. De et So WW. du- |
rent sou cil: rors ony deer contrit
ces 0 Son a. Vimpudeur de
tramer do oe) Pas treeanal Messteurs,
Ios dope, bot oo. adatatres, sont
larremont © oor gaire Tey atfiires de
Ie Ropul! Poo sant ornecun droit,
aeeane Coxon, des) conces=
storaaize Foy ga toatl. oun. pot-de-vin
3 idee “oul devoir.
Vou > Sore estrat ce Dur ere
ed ei eb diciee. immoral,
MeO, oe tha etre: Vous nvannue
ms tye rer Polo raton que je de-
tiems. vous ce pore. cal osvdger gue nous
sovons pavos S?} fautanneder ce pon a or-,
Pro con sor sr oblos Pipnauter bien autres,
| been doe Garter,
poo eas Stl, ttepveus, comme ,
csar dys ovo oss ce to dit, avee une cer-
Prue rotve ca
| Crewe t. Ho fan aress es; puis, ajou-
te, avec Parr Je gne’Guun guia besoin
TPacatuss est entendue le tri-
rdenne le dépot des
’
sera rendu a. l’au-
de rospin:
bunal acer Jolaire t
Meces et le tugement
dicnee prochaine s.
Au dehors, tes commentaires vont leur
; LN , ere
train. et la ftoule des curizux s écoure
dans lt lourdenr dls eons awauran atter-
res une strep tiente J. clation.
AwmMinisiraiiymn poxrtate
Sir, Partin
| Io: ie, CH sta Ph pete’
: . . ¢ a> .
| Sor MO. Coppola. Miss Coementine
Geoffrey MAE Poo. Joep a. Horattus Juste
Const. Poot i. Desplantes, Auguste
Dauerce, Sec Zore te Dieudonnc, Mme
"Vee Le Aso. Ge vane.
P. ret dy Do Octobre 108
RENGEHE!(GtUEMENTS
METEOR SCLOGIQUE:
CJhoservatoire
pt
SEMINAITRE COLLEG: S -MARTIAL
Livp. ro Ocrorre
Baromeétre do mid: 759, 2%"
Temp4ra‘ure miaimum 22.0
at wd
maximum 31.7
Movenne diurne de !a température 26. 1
Le ciel a été couvert presque touie la
journée. Piuie vers les montagnes depnis
midi. Orage sur la mer vers 8 h. du soir.
Un peu de pluie ici dans la nuit. Halo so-
lane Ag h. du matin. La‘aisse du baro
meétre s’est ralentie.
J. SCHERER
~ ariage
Belle céré nonic, samedi dernier, A 1’E-
giise de Sainte Anne ot se célébrait le
mariage de Melle Litta Carrié avec notre
ami, Me Hermann MALEBRANCHE.
Bon nombre de prétres du Séminaire
téim igraent. var leur pre ence,
sympath edo.
Ota tl secd: corde Vbtablissemenr, le
Ro. Bonet, apie Pere Saint-Clair qui
PCCCupall a aorrorim
La guete sot:
qu aceonp ce
par Melle Aue Malobranche accompagnée
de Vererne Carrie.
Les masics fivsnt conduits au pied de
Paatel par Mone Pereeval ‘Thoby et
Solon Mero.
Apres une oareds cn ville, on se rendit | Victoria sont
l dri.
~Joasy es actons de Mae Vve.
J. Carri, ob cutiica la réception. Se
firent cortendre Me. S.. Ménos en un
remargnabl. spvech, et Mr. Mentor Séjour
en un deicicux ¢pi h dame.
Tous nos soch.its de borhour au chir-
Mant coupre.
; Commission d; Rénarvtition
' Comme nous Vavions annenss Pautre
iyour, la Comms Jon de as parudons des
hyetres hos 5. 6 ct ro jaillet
VY Bete:
SeCOUTS Qo Sti ty
Pde cote aesce ord dloament commence
Hier saloutde bose. Ede n’a pu mal-
eure emart ore distiibuer PL 2600.
Joba. PCneitie. Des pre-
Peantions ©oatorrlas dos atutourthuim ann
PPasstect tee ne be par ron, dans
de co be Ee ree tate.
Comrrcties) Port-au-Prince
Pos gates ss sont thoormes, que,
ses ee teed oy Ps vo ointements du per-
Pearm Pah Cy Cave oye eel poar oa Exerecice
| Poet ry stent adaices dans des regle-
ane te aves DANE ooh tryed) Coammnunaie,
toulsurs sas ob ores ton duo tiers.
Port oo oe tert
» Vy: nit age
Triulbwr ai Vivel
olds Mey { he. .
PQs Fe
Octo ore
TQus
nite fe Landi
T)O9
Le tribur.n) peend si¢ge a dix heures du
maonosens te présiderce duo Juge-Doyen
P. Jh. Janvier, as-tic de Monsieur Lys
Lvoriue. Supsttet da Commissaire du
PG uvcrn dint.
Aino. cotondaes :
| 1 Mor Vee. Rontinge contre Stephen
| Fortanue,.
Poo. EY Seo cpets Jogi beatae
On : marr da i’o:donaaree
Qu et os 2 Paudicnee publi-
Poa Sti ond: gp = ince obre
(3d Spous ADD Rimeae contre Alesan-
lds Brus,
| pots Stevo Golding et Co. contre M.
1
! 5
'
yo ok aay og Mel Mabsitde Brice.
| erenare fog
J. 0. 2.1 2G Ape ies SE
Son E:ce#''ence 'a Président
Ge 's Repubitqus fait chanter
i\demain..io12h ures du ma-
}tin en la .iiapelle du CG matie-
re Ext4reurune messe ae
; REQUIEM pour 13 repo: de
lamd3¢ce
Maris Louise Amelia Pierrot
Epous: NORD ALEXIS
Les ami. du Gouvernement
se feront, novus en somines
assurés, 13 davoic d’assister a
ce te pie..-s* manifestation.
GE
VOuveles Etrangeres
Derniéres ‘Dépéches
Pants.— La Bulgarie a reculé, vient de
déclarer Maour Pacha, ambassadeur de Tur
quie en France, et non seulement les dan-
‘ .
_leur gers de guerre qui a
anes a cléve 5 parm cux :
|
sar Molle Laura Carrié | lités ct ila ajouté que si
Mr. Lsiio Matebranche et} relatif a la mobilisation des
Me | arrétéc.
> PParaissaient hi
ont été écartés, mais une entente Ta
Bulgare est maintenant en vue L’s
sadcur a admis que les deux Pays dias
hier soir sur le point d’entamer les hoe
he UG
son déme
. ; trou
ques ¢tait exact litéralement, rt
pas moins vrai que la_ mobilisation
cié ordonnée precédemment et
a
oe
ra
Panis. ~ Le roi Alphonse et la reiaaat
partis d’ici ce soir poor Mail
Tokio. - le Gal Comte Michitsurg }
zu est mort ce matin A lage de 68 3
Le défunt était commandant en chef
la 4° armée Japonaise pendant la oes
avec la Russie.
Drrroir ( Michigan ) Jusqu’a prés
on annonce que les feux de forats ¢ A
le michigan ont fait 47> victimes, On craiagl
que ce nombre ne soit beaucoup plus élp 3
Ve, cir on Ignore te sort de b’en de perm:
sonnes demeurant dans des fermes†1solées,
B rokapr. — M. Milovansvici, le minip
tre des affaires étrangéres est Parti aujompe.
Ghai dict pour rendre visite agx divers .
chancelleries — curopéernes auxquelles @
veut exposer les désirs de la Serbie.
I va d@abord 4 Berlin, puis 4 Londres,
Paris et Rome.
Paris 18.— Le ‘* Petit parisien? dé |
clare que l’Allemagne a proposé a la Fran
ce de soumette au tribunal d’arbitrage de
la Hive Vincident résultant de V’arresty
tion des déserteurs de la Iégion étrangee *
rea Casablanca,
YokouaMa.— Les cuirassés d'escadge
amcriciine qui sont atrivés ce matin daag
se port, portent les margues de la tere
»e tempéte qu'ils ont rencontiée. Cag
ainsi que le ‘* Keatsage "’ qui avait é§
s¢paré de la flotte n’a rejoint que ce mew
tin les autres unités. Son équipage
encore occupé a réparer les avaries cau:
par le gros temps. "2
eu aprés Varrivée de 1a tlone, lamizdz
Sperry et son étit-major sont allés sales!
le vice-amiral japonais Jero Ijuim a bor’
da cuirassé d’escadre « Mikado ». Cet of
ticier leur a ensuite rendu leur visite’
bord du « Connecticut ».
lJaniral Sperry a également regu la te
‘te du pouverneur et du maire de laville
Partout Ices officiers et ‘es matelots amétr
cans sont traités avec courtoisie.
Brrtin 19.— Le correspondant view
nois du « Tageblatt » télégraphie qa’d
est annoncé d’Antivari, port Monténégria,
qu'une bande de montcndgrins menactrem
le consul autrichien.
Les navires de guerre autruchiens 9&3
trouvaient sur rade débarquérent O64
marins pour la protection du consulat, @y
—
i
a
fF.
is Hq
se
qui provogua une rixe qui dura plusi
heures entre ces marins et les montéab’
grins. .
PiKIN 19.— Un édit impérial prom
gue |’abandon du monopole de la
de lopium par le gouvernement.
Paris 19.— Une dépéche de Cos
nople confirme que l’ordre de mobumm
des troupes turques en Asie Miness#
annulé A la saite d'une conferesag
l’ambassadeur de France 4 Const
et le Grand Vizir Kramil.
Lonpres 19.— Une agence de
annonce que I’Italie a donné soa
au programme de la conférence Intesm
nale pour le réglement de la quest#®'S
alkans. 4
Paris. — Rente : 3 °/° 95150: ,
Le Président de la République us
Falliéres offrirent aujourd'hui am On™
en Il honneur de M. Ivolsky,
affaires Errangeres russe.
M. Millis Lacroix présida bier 98
y fee fdcrative des sociétds des an-
militairs.
Rvau inaegura Domfront
a T&o'e ct 1a caisse dépargne. —
Pr. Croppi Vest rendu a Calais ou il
wteda ia scarce de coture duo qratri¢me
ser’s des sciens nord, de la sociéé
blaine des comberences populaires. I
Vhosp'-
sara fa nouvelle gare du Nord, le dis-,
Peare antturcueucs et le group.
ire Paul [vit.
MoGuilaad cot rendu dins la Sarthe
g@ilinaager: deux nouvelles écoles 3
Meray et § Mocutmirait. La Chambre
inua sumedi ct aujourd’but les inter-
Blesions sur ics citisrophes dans la Ma-
he. Mr. Thomo répond avjourd’ hui
g divers inte p.llatcurs.
’ Le roi de Gre: OV Ut incogn'to es:
wivé avjourd so a Paris.
can
Le cen | Ga Shi, aucicn Gouverneur-
beéral de Mod. ascerac:eé nomm Go.-
eerneur-Gee tare ds) Colonies.
.st.on de réseive Le-
, :
Le VOUT aa a
VOUT.
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Weindreet Moo [sia Baptiste Pasteur sont
beédés.
WIS BONTOUX
= 46 AN
Agen’: * 2 OP Do op Sot
Repriec.. | Pr to; Blaarad
A vhog. CP MS gy bes
Mams que. pe sa Sep a
Ofteuu-Pris Posteb Dietiterai chee
MeBese i 2. 150, Grtad Boe
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PORT-AU-PRINCE ( Hair )
Mardi, 20 Octobre 1908.
QUOTIDIEN
Abonnements: Diacruun:
PORT-AU-PRINCE Teo Nore 1G 5 Oo Clément Magloire,
DEPARTEMENTS/ vos Mos. ¢ @.00 REDACTION-ADMINISTRATION
ETRANGER.......-] Trois Mois. . « 8.00 45, RUE ROUX, 45.
Pour tout ve qui concerne 1 Administration du Journal, s’adresser 4 Monsieur Arthu
Pour tout :
BANQUE NATIONALE [HAITI
i Drochure du Dépar lcmeat des Finances
entreprise. Ensuite, du cdté du Gou-
vVernement, le seatiment que ses in-
téréts ne “peuvent étres contraires a
ceux de la Banque: i! ne faut plus
que celle-ci, considérée comme une
Providence prodigue, ait pour unique
mission de procurer des funds au
trésor, Moyennant iatéréts et commis
sions, et que la moindre de ses dé-
faillances sur ce point autorise 4 1ai
montrer les dents.
Il faut se dire que le Pave, en dé-
finitive, n’a d@’autres ressources que
jes Siernes propres : que le tele du.
(rouvernement consiste atles accruitre,
ales administrer et & en disposer
avec le plus de régularité possib'e ;|
‘que Pintérét de la Banque est de I'v
aider, ses bénéfices étant en rapport
direct avec le deg-é deprospérité éco-
nomique du Pays; que toute transac-
tion véreuse avec les membres du
Gouvernement exerce une facheuse |
répercussion sur [état économiqua |
vénéral et restreint, par conséquent,
‘es conditions de prospérité pour la
Banque elle-méme. |
Mais encore ilne suffit pas de se,
dire tout cela, carce sont !a des |
lieux cCommuns assez soavent rebat-
tus ; il faut le pen3er et 13 vouloir sé-
rieusement. O-, comment ?
a
*
Eo entretenant lautra jour nos lec
ars de la brochure du Dépariement
@ firances relative aux négocia-
es entamées avec la Banque N:i-
male d’Haiti en vue dela reprise
fm teiations avec cet établissement
ier, j'étais loin de m’imaginer
ais A revebir sur cette qies-
lis différentes opinions m’étant
ues Sur ce sujet, vraiment gros
Cité: ot pour le pays, je ne crois pas
Worme dérober a l’ob'igation de les
“amuniquer, enles examinant, che-
M0 faisant, dans unique but d‘édi-
sur | compte d’une institution
M, depuis qu’ell2 existe, a déji tant
t Darier d’elle.
fe n'ai pas intention d3_remonter
#8 Oligines, d‘examiner Vesprit de
"COntrat, de vérifier si ses oblig 1-
~ sont suftisantes ou s'il y lieu,
Ormément aux tendances gui se
ment, de les augmenter. Je ne
mtple faire waivee ni de juriscon-
Side financier. Les textes qui
ent la Binyue sont ce quits
‘il est certain qu’aucun t-xteen
bors €n moins ne peut suppléer
5 we fini la bonne volonté.
4 Banque a le désir d’étre utile
mys ; ells le sera sous-quelque lé-
08 que ce soit ; si ce désir ne
~~ Pas, elle trouvera le moyen,
7 méme grace & quelques
Interprétations da ces mémes
8@ raidir les membres sous
®8 Conventions dont 01
vanserrée, et de se donner de
PM dépit de tout.
bp. “Dtreprise cons‘ituée dans
cr Peut tre un levier utile au
"Ou au relévement de ses
deciles ; un établissement na-
Crédit, de l'importance de la
| ® peut par excellencs. Pour
4 *, choses sont nécessaires :
du cété de la Banque, la
bite. le Sentiment de ce ré-
tonic de stimalant iadispen-
otérét dans uns pareille
Avant de commencer la série denos
considérations, je dois toucher 4 deux
points qui ont été agités dans mon
premier article, parce que les impres-
sions de - quelques lecteuras ont été
particuliér. ment sus3citées sur cesdeux
points. ;
Il s’agit d’abord du tam-ux = syndi-
cat d’é'udes a constiiuer 4 Paris pour
le déveloqpement économique du
Pays. .
li m’est revenu que, dans l’esprit de
la Banque, ce syndicat devrait étre
purement haitien et que celle ci se
proposerait méme, lors de 1a discus-
sion a Paris des bases de |’accord
projeté, d’émettre ses idées dans ce
[sens et de constituer ce syndicat en
i If aiti mene. Je ne crois pas étre indis-
|muniqué cette impression, pas plus
lenvers M. Santallier de qui il dit la-
| voir tenue, en rendant publique dans
ce journal une pareilla affirmation.
ile est, en effet, tout a l'avantage de
‘amour propre national et vingt ans
de séjour parmi nous auront, selon
toutes probabilités, convaincu§ Mon-
Sieur Santallier de la justesse des ré-
flexions que nous avons précédem-
,mant éMmises ace sujet. Son silence,
;@n tout cas, vaudra approbation, et si
|Jimais le Délégué haitien arrive a Pa-
‘Tis, il gardera, je veux du’moins l’es-
‘pérer, le souvenir de cette heureuse
vectification.
Cependaut, la question n'est pas
pour cela épuisée et ja réserve mes
appréciatiois sur le rdle destiné a ce
svodicat haifien.
Le second poin* est relatif an por-
sonnel haitien, dont oa demande que ic
soit excliasivement composé le servi-
ce de la Trésorerie nationale.
La derniére lettrede M. Suntalliar,
lettre par laquelle le Dé
floances clot sa broc
sume les différents p
question, qui se trouverait a'ors
lutionnée comme suit :
ra un large emploi. particu itremeat
pour le service de Trésorerie, d'Hai-
t.ens dans ses bureaux, a la condition
qu'elle reste mattresse de ses choix.
Mais il reste, 4 ca sujet, un autre
point soulevé par le Sucrétaire d'Etat |
dzs financ-s lui-méme et sur lequel |
it ne parait pas d’accord avec son
Délégué : c’est la situation qui devra
é're faite 4 ce fperso.anel. M. Marce-|
lin aurait désiré qv’il fut stipulé que
les appointements de ce personnel |
« seront identiques a ceux alloués
aux employés étrangers d ns les mé-'
mes degrés de fonctions. » (:3
M. Lilavois objecte qu’une
stipulation lai parait peu dig
gravité des négociations engagées, |
c-tte stipulation se ra
cintéréts privés.»
Catte objection a-t-elle convaincu ne lect
M. Mrrcelin, rien ne le dit
brochure, et alors q ielques
m’ont demandé de souleve
d’ioterrogation ?
dans la
lecteurs
rce point
r ISIDORE, 45, Rue Roux on Bonne-Fei.
cre envers le personnaye qui m’a com-|commet exces
|
|
pirtement des ‘temps entretenue & la
hure et qui ré- lequel nous espérons r
oints d3 vue da,cord et
la Banque, me semb'e avuir vidé la elle-méme, -
So-/l’aise le Dél
la Banque fe-,de
a quoi le présiden:, H.
pareille dix heures et demie du mati
ne de la l’affaire de :
EP
LE NUMERO 4 5 CENTIMES
Les abonnements partent do 1° et da 15 de chaque
mois et sont payables d’avance
Lee manuscrite iasérés ou non ne seront pes rendus
Je crois, pour ma part, que le Dé-
légué du Département des _finanees
de pudenr. Oa bien le
personnel haitian choisi par ta Han-
ique devra, au point de vue de la mo-
jralité, de la compétence administra-
live, offtic moins ow bien il devra
olfric autant — il ne s’ayit pas de dire
plus— de garantie que le personnel
étranger.
Si cette garantie doit étre moindre,
il y a incontestablemeat immoralité a
imposer pareil choix & la Banque. Si
elle doit étre égale, — et c’est bien ce
qu'il faut penser en face de lopinion
de M. Santallier, qu'il y a lieu d’ad-
mettre « ’emploi sur une large échel-
le d’Haitiens » a la Banque, — je ne
vois vraiment pas pourquoi il Vv au-
;rait indignité, sans “entrer dans au-
cune discussion de chiffre, a faire ad-
mettre le principe de l’évalité de trai-
tement entre Hiitiens et Etrangers.
Je crois que la place d'une telle
Oavent.o. est dans la discussion qui
va s’ouvrir et pas ailleurs.
En agitant ici ce point, auquel est
attaché le sort d’une injustice long-
Banque et sur
encontrer |’ac-
de la Banque
J'espére autant mettre a
ég16 hailien qu’éloigner
lui Ja redoutab'e responsabilité
Ja bonne foi
,@avoir éludé une question a laquueile
;Scnt attachés des intéréts respecta-
bies, quoique privés.
ee
|
PAILS DITERS
Audience du Lundi, 19 Octobre 1908
Le Tribunal sous la présidence de Mr
Lechaud, prend siég- 4
nm et entend
Madame Louisnéus Louis ci coas rts con-
pportaat a des tre Valérius Jeannot.
e Rapporteur Mr le juge Jérémie, dun-
ure de son rapport.
Met Léger Cauvin, J.B. N. Valembrun
ur le demandeur et Michel Oreste pour
défendeur sont respectivement cntendus
en leurs observations.
Le Ministere Public, Mr Luc Dominique,
conclut a la dechéance du pourves,
Vu iheure avancée le siége est leve.
Chroniqus des Tribunaux
TRIBUNAL DE PAIN
SecTion Sup
Les d2:sous dun Contrat
histoire
Vous wires pas douter que
des
met rolenent gu’un renouvel ems n:
fics, des Gvene nents qni se produtsen ct
Se sueecdeni ad travers le vlobs avee, pout
tre, tes ndaies phases, des nuances pus
Ou moins var ces ct a des épogues bicn dit-
féerenies.
Souven.z-vous bien de ce célicbre proces
guia tuli, pendant un instant, troubler
Pordre public cn France, et, 4 la suite du-
que’ ont sombre: bien des consciences que
Pon crovatyusyators immaculées — Sou-
ven as Arton ot duo baron Reinach
Que. Gee ie. poestpaux mencurs du Pa-
Tn aodlonrs) Martina gue la
Chore ba ie a iivie Asses cuges natu-
role: cite wort de da Vantse de-
man dl or So reeur Atrecd: Nacuct. pour-
Jlonne son S cae au foux cin.
taivatit omurccammaent ie sol de
’ '
Quon tt aoe
youre,
Pars 7 ov, SOUS ce FS wns,
repre co tant dooba Clenee tran Soe, cee le
chas ot vein ek Luc, da Sokal Oat ‘a
Semicnce cudiehiare Sent appesantie cura
tere ten cr ee our de seand livros de
Ja belo 2 tboanear, te mom doe bord:
mand Gof po ovtait rave. Salvous arse]
Vel es des cheques) de Panama!
eh Soas ce. Adi imemotre ba ion ce
Note ce Cr Gb ont pase pares
Ayst Oo Ves Vous COUMURErO. . en verbs.
que hci ee cst Lt icine partout eb gus
la Close ai a te entendue aor au tribunal
depos. sveten Sed, n'a apporté guoune
d Co
houvose preave du renouve.tennent
pheno we ies dans Vunivers.
Crest Jéra.ne Caitet, choyen frangus et
homme d’atlaire, qui appelie a la barre, les
Sénateurs R. D. et SS. W. pour ch:enir
deux bo pulement dun don at ordre de cen!
einguan's Mars dont il est devenu le pre-
pricsaire par transaction,
Aptos Vexpose des fatts, Mt Gustave
Chaume: e. le mandataire de Caitlet se ren-
ferme dans ses cocebustoms et larse. pas
ainst. bt paroles a son adversaite.
~~ JPaurais pu. dit Mo Violin, Goaner ds
fla retordre ada parte adverse en cxtzeant
que Collet, commie ctranger. dSpose, avant
de prude: ta caution qudicatum solvi. jp ai-
mise donate: en outre gue Cathiuire
tat poercoan dorigile de omes cherts ;
NOUS he de Pisani. pas, NOUS VMN MICur
qiVele oi vide par devant vous.
Cosstdone poor obtemir te patement
Mun Corr eee Gue nous sommes traduiss
et PP agny boos commergons par disc
que colic Sratton mest pas vate,
quelle poorest pats tes cond: ions pres
Cites pari pour gu’unetier de cetre
nature uta vecur réelie. Nous prierions,
en co cae, Me Chaumette de vouloir dire fi
tlansachion gut acte faite entre son cient
et les moires ct guia amené fa naissance
de ce con aordre.
— Le Magistrat : Grefjie*, sOvez attentis !
— M* Chaumcette : Je n’ai pas a étaler ici
les transactions de mon clien:, et il m’im
porte peu de savoir l’origine du bun, vous!e
chercherez vous-méme ; si vous le voutez
je ne poursuis que le paiement de ce hoy
&omdre dont Péchéance a pris tin depuis le
22 *tuovembre 1907.
—Me Valin: Puisgue mon contrére
refuse de dire Lorigine du don a ordre gw il
détient, nous allons avoir la douloureuse
mission de tout devoiler.
— Le Magistrat: Gregier,
tif!
I’espace du Tribunal est alors sillonnd
@’échos de voix chuchotant ; des oreiles
Soyer alten-
cyeme dos ereilles
teat ca cadre et ne rien
rote des ous de cette al-
] “ye
PEs lly,
curicuces 5° .
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faire reece rel. eho: de grave que
Pon aur: vouha Gooudhr. mais que la ta
talitc a ae one chr eta a d’etres ave
des de scandales vicunent tvujours s’€ecra-
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csar dys ovo oss ce to dit, avee une cer-
Prue rotve ca
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te, avec Parr Je gne’Guun guia besoin
TPacatuss est entendue le tri-
rdenne le dépot des
’
sera rendu a. l’au-
de rospin:
bunal acer Jolaire t
Meces et le tugement
dicnee prochaine s.
Au dehors, tes commentaires vont leur
; LN , ere
train. et la ftoule des curizux s écoure
dans lt lourdenr dls eons awauran atter-
res une strep tiente J. clation.
AwmMinisiraiiymn poxrtate
Sir, Partin
| Io: ie, CH sta Ph pete’
: . . ¢ a> .
| Sor MO. Coppola. Miss Coementine
Geoffrey MAE Poo. Joep a. Horattus Juste
Const. Poot i. Desplantes, Auguste
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"Vee Le Aso. Ge vane.
P. ret dy Do Octobre 108
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METEOR SCLOGIQUE:
CJhoservatoire
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Livp. ro Ocrorre
Baromeétre do mid: 759, 2%"
Temp4ra‘ure miaimum 22.0
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maximum 31.7
Movenne diurne de !a température 26. 1
Le ciel a été couvert presque touie la
journée. Piuie vers les montagnes depnis
midi. Orage sur la mer vers 8 h. du soir.
Un peu de pluie ici dans la nuit. Halo so-
lane Ag h. du matin. La‘aisse du baro
meétre s’est ralentie.
J. SCHERER
~ ariage
Belle céré nonic, samedi dernier, A 1’E-
giise de Sainte Anne ot se célébrait le
mariage de Melle Litta Carrié avec notre
ami, Me Hermann MALEBRANCHE.
Bon nombre de prétres du Séminaire
téim igraent. var leur pre ence,
sympath edo.
Ota tl secd: corde Vbtablissemenr, le
Ro. Bonet, apie Pere Saint-Clair qui
PCCCupall a aorrorim
La guete sot:
qu aceonp ce
par Melle Aue Malobranche accompagnée
de Vererne Carrie.
Les masics fivsnt conduits au pied de
Paatel par Mone Pereeval ‘Thoby et
Solon Mero.
Apres une oareds cn ville, on se rendit | Victoria sont
l dri.
~Joasy es actons de Mae Vve.
J. Carri, ob cutiica la réception. Se
firent cortendre Me. S.. Ménos en un
remargnabl. spvech, et Mr. Mentor Séjour
en un deicicux ¢pi h dame.
Tous nos soch.its de borhour au chir-
Mant coupre.
; Commission d; Rénarvtition
' Comme nous Vavions annenss Pautre
iyour, la Comms Jon de as parudons des
hyetres hos 5. 6 ct ro jaillet
VY Bete:
SeCOUTS Qo Sti ty
Pde cote aesce ord dloament commence
Hier saloutde bose. Ede n’a pu mal-
eure emart ore distiibuer PL 2600.
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Peantions ©oatorrlas dos atutourthuim ann
PPasstect tee ne be par ron, dans
de co be Ee ree tate.
Comrrcties) Port-au-Prince
Pos gates ss sont thoormes, que,
ses ee teed oy Ps vo ointements du per-
Pearm Pah Cy Cave oye eel poar oa Exerecice
| Poet ry stent adaices dans des regle-
ane te aves DANE ooh tryed) Coammnunaie,
toulsurs sas ob ores ton duo tiers.
Port oo oe tert
» Vy: nit age
Triulbwr ai Vivel
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PQs Fe
Octo ore
TQus
nite fe Landi
T)O9
Le tribur.n) peend si¢ge a dix heures du
maonosens te présiderce duo Juge-Doyen
P. Jh. Janvier, as-tic de Monsieur Lys
Lvoriue. Supsttet da Commissaire du
PG uvcrn dint.
Aino. cotondaes :
| 1 Mor Vee. Rontinge contre Stephen
| Fortanue,.
Poo. EY Seo cpets Jogi beatae
On : marr da i’o:donaaree
Qu et os 2 Paudicnee publi-
Poa Sti ond: gp = ince obre
(3d Spous ADD Rimeae contre Alesan-
lds Brus,
| pots Stevo Golding et Co. contre M.
1
! 5
'
yo ok aay og Mel Mabsitde Brice.
| erenare fog
J. 0. 2.1 2G Ape ies SE
Son E:ce#''ence 'a Président
Ge 's Repubitqus fait chanter
i\demain..io12h ures du ma-
}tin en la .iiapelle du CG matie-
re Ext4reurune messe ae
; REQUIEM pour 13 repo: de
lamd3¢ce
Maris Louise Amelia Pierrot
Epous: NORD ALEXIS
Les ami. du Gouvernement
se feront, novus en somines
assurés, 13 davoic d’assister a
ce te pie..-s* manifestation.
GE
VOuveles Etrangeres
Derniéres ‘Dépéches
Pants.— La Bulgarie a reculé, vient de
déclarer Maour Pacha, ambassadeur de Tur
quie en France, et non seulement les dan-
‘ .
_leur gers de guerre qui a
anes a cléve 5 parm cux :
|
sar Molle Laura Carrié | lités ct ila ajouté que si
Mr. Lsiio Matebranche et} relatif a la mobilisation des
Me | arrétéc.
> PParaissaient hi
ont été écartés, mais une entente Ta
Bulgare est maintenant en vue L’s
sadcur a admis que les deux Pays dias
hier soir sur le point d’entamer les hoe
he UG
son déme
. ; trou
ques ¢tait exact litéralement, rt
pas moins vrai que la_ mobilisation
cié ordonnée precédemment et
a
oe
ra
Panis. ~ Le roi Alphonse et la reiaaat
partis d’ici ce soir poor Mail
Tokio. - le Gal Comte Michitsurg }
zu est mort ce matin A lage de 68 3
Le défunt était commandant en chef
la 4° armée Japonaise pendant la oes
avec la Russie.
Drrroir ( Michigan ) Jusqu’a prés
on annonce que les feux de forats ¢ A
le michigan ont fait 47> victimes, On craiagl
que ce nombre ne soit beaucoup plus élp 3
Ve, cir on Ignore te sort de b’en de perm:
sonnes demeurant dans des fermes†1solées,
B rokapr. — M. Milovansvici, le minip
tre des affaires étrangéres est Parti aujompe.
Ghai dict pour rendre visite agx divers .
chancelleries — curopéernes auxquelles @
veut exposer les désirs de la Serbie.
I va d@abord 4 Berlin, puis 4 Londres,
Paris et Rome.
Paris 18.— Le ‘* Petit parisien? dé |
clare que l’Allemagne a proposé a la Fran
ce de soumette au tribunal d’arbitrage de
la Hive Vincident résultant de V’arresty
tion des déserteurs de la Iégion étrangee *
rea Casablanca,
YokouaMa.— Les cuirassés d'escadge
amcriciine qui sont atrivés ce matin daag
se port, portent les margues de la tere
»e tempéte qu'ils ont rencontiée. Cag
ainsi que le ‘* Keatsage "’ qui avait é§
s¢paré de la flotte n’a rejoint que ce mew
tin les autres unités. Son équipage
encore occupé a réparer les avaries cau:
par le gros temps. "2
eu aprés Varrivée de 1a tlone, lamizdz
Sperry et son étit-major sont allés sales!
le vice-amiral japonais Jero Ijuim a bor’
da cuirassé d’escadre « Mikado ». Cet of
ticier leur a ensuite rendu leur visite’
bord du « Connecticut ».
lJaniral Sperry a également regu la te
‘te du pouverneur et du maire de laville
Partout Ices officiers et ‘es matelots amétr
cans sont traités avec courtoisie.
Brrtin 19.— Le correspondant view
nois du « Tageblatt » télégraphie qa’d
est annoncé d’Antivari, port Monténégria,
qu'une bande de montcndgrins menactrem
le consul autrichien.
Les navires de guerre autruchiens 9&3
trouvaient sur rade débarquérent O64
marins pour la protection du consulat, @y
—
i
a
fF.
is Hq
se
qui provogua une rixe qui dura plusi
heures entre ces marins et les montéab’
grins. .
PiKIN 19.— Un édit impérial prom
gue |’abandon du monopole de la
de lopium par le gouvernement.
Paris 19.— Une dépéche de Cos
nople confirme que l’ordre de mobumm
des troupes turques en Asie Miness#
annulé A la saite d'une conferesag
l’ambassadeur de France 4 Const
et le Grand Vizir Kramil.
Lonpres 19.— Une agence de
annonce que I’Italie a donné soa
au programme de la conférence Intesm
nale pour le réglement de la quest#®'S
alkans. 4
Paris. — Rente : 3 °/° 95150: ,
Le Président de la République us
Falliéres offrirent aujourd'hui am On™
en Il honneur de M. Ivolsky,
affaires Errangeres russe.
M. Millis Lacroix présida bier 98
y fee fdcrative des sociétds des an-
militairs.
Rvau inaegura Domfront
a T&o'e ct 1a caisse dépargne. —
Pr. Croppi Vest rendu a Calais ou il
wteda ia scarce de coture duo qratri¢me
ser’s des sciens nord, de la sociéé
blaine des comberences populaires. I
Vhosp'-
sara fa nouvelle gare du Nord, le dis-,
Peare antturcueucs et le group.
ire Paul [vit.
MoGuilaad cot rendu dins la Sarthe
g@ilinaager: deux nouvelles écoles 3
Meray et § Mocutmirait. La Chambre
inua sumedi ct aujourd’but les inter-
Blesions sur ics citisrophes dans la Ma-
he. Mr. Thomo répond avjourd’ hui
g divers inte p.llatcurs.
’ Le roi de Gre: OV Ut incogn'to es:
wivé avjourd so a Paris.
can
Le cen | Ga Shi, aucicn Gouverneur-
beéral de Mod. ascerac:eé nomm Go.-
eerneur-Gee tare ds) Colonies.
.st.on de réseive Le-
, :
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Pdécision du Conseil d’Ad-
ation, la seconde signature,
eeâ„¢@ementau <3 de l'article
a latuts, sur les actes enga-
| OClel® vis-a-vis des tiers.
ance Soil par Mr Ch. Rei-
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~ au-Prince, 16 Octobre 1908
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