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- https://ufdc.ufl.edu/UF00081213/00434
Material Information
- Title:
- Le Matin
- Place of Publication:
- Port-au-Prince Haiti
- Publisher:
- [s.n.]
- Creation Date:
- September 21, 1908
- Frequency:
- daily
- Language:
- |||
Subjects
- Subjects / Keywords:
- Newspapers -- Haiti ( lcsh )
- Genre:
- newspaper ( sobekcm )
newspaper ( marcgt )
- Coordinates:
- -72.2803802891673 x 18.5142993036392
Record Information
- Source Institution:
- University of Florida
- Holding Location:
- Bibliothèque Haïtienne des Frères de l'Instruction Chrétienne
- Rights Management:
- The University of Florida George A. Smathers Libraries respect the intellectual property rights of others and do not claim any copyright interest in this item. This item may be protected by copyright but is made available here under a claim of fair use (17 U.S.C. §107) for non-profit research and educational purposes. Users of this work have responsibility for determining copyright status prior to reusing, publishing or reproducing this item for purposes other than what is allowed by fair use or other copyright exemptions. Any reuse of this item in excess of fair use or other copyright exemptions requires permission of the copyright holder. The Smathers Libraries would like to learn more about this item and invite individuals or organizations to contact Digital Services (UFDC@uflib.ufl.edu) with any additional information they can provide.
- Resource Identifier:
- 000358166 ( ALEPH )
ABZ6468 ( NOTIS )
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Deuxiéme Année, No. 443. PORT-AU-PRINCE ( Haitt ) Lundi, 21 Septembre 1908:
Le Matinâ€
QUOTIDIEN
——
Abonnements: DIRECTEUR: f LE NUMERO |!) CENTIMES
PORT-AU-PRINCE Be ces. , ° 2 0 ! Cilément Magloire, _
| -MENTS) UN Mois. « 2.20 ~a — Les abonnements parier.t da 1° et ida 15 de chaque
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ETRANGER.......-] Trots Mots.
siaur Arthur [SIDORE, 45, Rue Koux on Bomne-Fei.
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Yadyministrstion du Journal, s’adresser 4 Mon
Pour
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tout cs qui concerne
« Le plus haut fontionnaire d'une [vernement indigene, lequel s’est cons-
e ’ . 7
( y province, le tong doc, est payd envi- tamment et Energiguement refusé & em-
ron 3.000 franes, pendant qae le fone-; ployer ce procédé misérable, donnant
tionnaire frangais coirespondant, ins- | ainsi a ses dominateurs européens
pecteur ou administrateur de [* cias-, une haute lecon de moralité publique
se. touche de 18.000 4 25.000 frances. » et de bonne administration. »
Vv ( Idem. ) . | Sur lesystémed’enseigaement, etses
L'Annam, avous-nous dit, est Cuin-) HOa, proviuces limithrophes de la Co-]— « A exception de cing Ou SiX fone- | résultats écoutez Jean Adalbert; « Nous
tionnaires, avcun de ceux,— Si nom-;72e pouvons euseigner le francais a
me le Cambodge, un rovanme prace chinchina, !es autorités de la colonie ( VC
sous le protectorat francais ; nous expéditrent en hate des troupes qni| breux,— que nous cotretenons la bas, | Vingt millions d’individus qui n’en’ont
sfoos Vu Comment les Cambodgiens battirent jles rebelles. Les résidents;ne sait un mot de la langue, de I’his-;} que faire Ne serait-ce pas préférable
wat « protég‘s » ; naus allons voir si semparérent alors de Vadministra-|toire, du droit de Empire d'Annam. » | d'exiger la connaissance de la lan-
Ws Anoamites 1+ sont plus ou mieux. | tion, ranconnerent le pays, au moyen ( J. Chailey. ) gue annamite, cambodgienne, a quel-
_eLes taits nous montrent qu’en An-|d’ususierg indigenes gus fisent suer a} « Ignorants des coutumes des An-;ques milliers de fonctionnaires fran-
‘Mim, chime au Cambodge, comme cette malheureuse popu'ation un fiers | namites et ne se rendant pas compte] ais, ? Quand nous + ne pouvons arra-
wCochinchine, l'idéal de nos agents |en sus des contributions imposées. Le|des devoirs que leur mpos? 'e traité! cher —ce yuwil ne faut pas souhaiter
tt dabsorber tout pouvoir, toute au-| pro juit de ceiles-ci fut versé en bain-: de 188%, beaucoup de Residents se; dailleurs — le provencal, le breton et
wild, de réduira les Annamites & la}que par ordre du Directeur de lin-‘vonsidérent :omme les seis maftres/tois nos patois de provinces frangai-
dadition duo peuple tenu en lisiéres|térieur a Salon, qui en disposu san’. des provinces et font subir aux auto-; ses, dines franguises, comment son-
epleiléde toutes fagons, déyradé, rau t- contréle. Eutia unm adimiuiistratqgur pro vrités) annamites des traitements qui; ger, par quelques pédagogues perdus
#e8 prop:es yeux. Peut-on s‘éton-| vi-oire établ: dans les deux provinces | blessent, non seulement les fonction-; ea [ndo-chine, a déraciner du_ terroir
MI, apres celu. en constatant que]s’y conduisit cn corayuérant absolu, On naires qui en sont vobjet, mais encore; aupamite les langues millénaires....
Cs gens nous détestent cordiale-jagit de meme en 1887, Inais sans motif; leurs subordonneés. » ( De Lanessan. ); Nous faisons des interprétes, c’est-a-
Meat? (CL. Poinsard. serieux eette fuis dans les provinces; « L’Annamite est habitué aux cor | dire des perroquets, des chiens sa-
Aa Tonkin et dans I’Aunam, pays!de Phu-Yen, et de Binh-Dinh. » ( De, vées, mais les man daris ont soin de! vants, de la masse : nous faisons des
“tisquels nous avons garanti par les'Lanessan. » ne jamais Péloigner beaucoup de son, dévlasiés 5 Cesta cela qu’ont abouti
aités leur indépendance politique,{ « Les populations annamite; sont village. Notre maniere de procéder est, tous nos efforts ; européanisées, les
ministrative et sociale, des agents|douces, maniables, vaniteuses ; il, toute ditférente. Des covlies levés au | petites Annamites ne retournent pas a
‘Wazables ou mail dirigés n’ont cessé| stait facile de gagner leur loyalis-;début d'une expédition ne reviennent) la riziere, a la paillote familiale ;
@ susbtituer au protectorat loyal, suc; me. Ii semble qu’on ne fasse rien que | qu’avec elle, c’est-a-dire vu bout d'un,;elles vont droit d@ la prostitution...»
deux ou trois mois, quand ils reviennznt..| A propos dimpot : « Au Tonkin, en
sl les populations avaient le droit|pour lei rendre notre prés uce abo- : :
be compter, une politique d’snnexion minable, et les exciter de parti-pris a Un médecin me racontait que souvent}|Annam, dit le mémea écrivain, pas
a conquéte aussi brutale que malha-|ia révolte. ‘le sel faisait défaut par suite de l’in-'de cadastre ; on taxe da facon bru-
we et coiiteuse.... En résumé, nous} « Dana ordre administratif, nous | curie deVintendance, les coo'ies étaient; tallement —arbitraire ; Finiquité est
‘unions de nos propres mains le|les avons éloignés du gouvernemvunt réduits 4 manger leur riz sans aSsai-|flagrante. »
de 1884 - devions-nous trouver|des affaires... Et, d’un Coup, suppri- | sonnnement ; au bout de queiyues| Il continue : « Pour le sel, objet de
gaat que l’Annam et te Tonkin} mant leur institutions séculair-s, on les jours, ils,avaient la dysenterte, Par (toute premiere nécessité chez des po-
8sent leur mécontentement|a soumis 4 nos régimes d'importa- fois le riz tui méme maaquait et l’oa}pulat.ons de pésheurs, l’Annamite a
des levées incessantes de bandes|tionjles moins adaptés a leurs basains, donnait a4 ces malheureux, apres une/été particuligrement salée! Jadis, il
. ionuelles ? » ( De Lanessan )|4 leurs coutuines. Nous avons écarté} pénible journée de marche, du paidy|n’y avait qu’un droit de sortie mini-
Qeant & l’Annam et le Tonkin,|les mandarins, qui pouvaient nous ,( riz brut ) quils n’avaient aucun|ms. Maintenant, monopole d’Etat,
tement qui y sont survenus....|étre des intermédiaires puissants. | moyen de décortiquer et que la plupart/ vente forcée & la régie, aux eatrepdts
@& complatemaunt désorganisé les| Nous les avons remplacés par des étaient obligés de laisser de coté au créés par 1’Etat, au prix fizé par Il’E-
publics, boulevereé les ré-|fonctionnaires francais, ignorantes dela! risque de mourir de faim. La province | tat. En 1897, le sel valait en moyenne
» dixpersé les populations | langue, de V'histoire, des méthodes an-, de Bac-Ninh a été décimée par les le-|0 fr.15 le picul ( 60 kilog. ) ; le droit
un temps les sources de|namites. Les fonctionnaires indigénes ues de coolies, et les habitants ont fi-|a monté jusqu’a 1 fr.70, prés de quin-
»( M. Sylvestre, ) ancien | conservés a c6:6 de nos administra ;ni par abandonner leurs villages afin|ze fois la valeur du produit... Le ré-
tions im tes on s, n’en sont pas les collaborateurs 4 échapper d notre contact J’ai pu voir|sultat a 6t6é, pour lAnnam, !a ruine
portas tears les domestiqu-s, mis a toules les, moi-mém3, sur la route d3 Phy Ling ;de Vindustrie de la péche. »
Bert avait mis dans les pro-| besognes. Caux qui oat quelque digni- | Tuang au Kep, lesruines de nom- Ja fais grace au fecteur de tout ce
MBamites do Thi tos e de|té se retirent. Il ne se présente plus,’ breux villages et les traces d'immen-|qui se fait de pareil A l’égard de I'o-
tésidents qui traitaient | pour accepter ces charges reb:tantes, ises rizieres ttansformées en maréca- | pium, de l’alcool, du tabac, des allu-
Balidcoment les autorités an-]que des personnalités décriées, sou-' ges. » ( De Lanessan. ) mettes ; car, dit l'écivain que je viens
. de citer, « il faudrait des volumes
soumettaient le pays aux j vent indignes, méprisdes de la popu-' Apropos dela ferme des maisons de
jeux que nous avons vu pratiquer enjentiers pour éaumérer, toutes les vexa-
Conditions d’admini j laiion. + ( Jean Ajalbert. ) ‘ .
Tonkin proprement dit si ccle « Non ee omout ,on exige de ces Cochinchine et dans le Cambody», M./tions auxquelles est en butte la popu-
88 traités, bien entendu. | auxiliaires indispensables les services L. Poinsard dit: « Seul, |’Annam pro lation, au sujet des impdts indirects.»
ce insurrection ayaot écla-|les plus disparates, mais on ne les ;prement dit a pu échapper a caite| Pour fiair par une note gaie, et
Binh-Thuan et le Han- paie pas. » ( Ydem. ) plaie. Mais grace 4 qui? A son gou-' malheureusement macabre, citons ua
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. Administration Postale Petit Gove : Mile C Basquiat, A Ral-! OSTER Bay 18.— On annonce que de- Bougies de Stéarine
Service INTERIEUR mir, Soeur Reine, H. Morisset. le Président Roosevelt tocevra a sa
“ [mtres recommandées en sox ffrance Miragoune ; R. Kavanagh, M. Sessort, ¢ tence de Sagosare Hil. ta vest: de tous |
Mule Lydia Peixiotto (2), Téna Céna.|G.l Bart hélemy. ~- habitants de Os! : Bay qui sont au Nous apprenons que la Fabrique de
Macs Jastin Turnier, Hortensia Guerrier Jérémie. Mr et Mme Christophe. norbre deo ryeo . _., > Ro cuies de Port-au-Prince confection-
Philoméne Grigor Julia Fortune, The Avis d:: la Police © Ea Have rs, AT) demande He Pee (he sas bougies avec de la stéarine de
jiés Raton, MM. Aratus Mondésir (2) Ber . †Jim gne et de Plot, } (couvers ment How | ¢ Gjouda» et qu'elle tient & la disp
wri Prophete, Louis Lamothe, Augustin Divers effets vod. ont été trouvés pari lindais convo jvert tos puiscrs . 4 US: Ji:ign de ses clients a’importe qu le
Olés Léger, Fransic Deborde, J. J.j la police ; priére A leur proprétaire de ve- | nouvelle contér pce de ia Pais) se rea | quuatité de bougies de 16 et 20 par
‘nes Hyppolite, Député Odilon Mé-|rir les réclamer au Bureau Central. nena prob.blem gen rage: eons laquel yo hes,
1. Ce 21 Septembre 1908 lena dec te uo pres da cry arbre | oe
" SRVICE ExTERIEUR Boi eaux Lettres traee urtsc ts: |
Bisabeth Jackson, Ciémentine Geoffrey,
| Lavacuation de Cubapar les Au Directeur du journal Le Matin Unis acceprcrant cette idée avec plaisir.
troupes américaines Mon cher Mag'oire,
tts les lettres suivantes publiées} Depuis la publication en feuilleton
pr le journal espagnol « El Mundo ». Vé-I dans votre in‘éressani journal du roman
Cette .o ely a sou ve grand indi ét Propriétés a vendre
Ye Lonis Augustin Guillaume. Port-au-Prince, le 12 Septembre 1908 4 Washington et on croit que les Eta’s-
Une proprieté sise Grand’Rue, en-
Fort=Mffyrr.-— L’adroplane Victorieuse/,.., Stde - ilcar Da-
dOrville’ Wright descendit Viole ee ee ee eee Maitre, faqade†ouest.
: ieutenant Selfridge e
causant la mort du lieutenant elfridge et Deux autres a Anse-a-Veau, une
blessant gravement Vaviateur américala.
Carrefour Geo yes et l'autre & barriére
weation de Cuba par les troupes améri- |sensationnel de notre ami Hibbert ; Ro-| Les medecins qui Vassistent disent que! Gores en face de M. Nelson Arnoux.
‘gines s¢ fera le 28 janvier. Voici le text |inulus gue j'attends d'etre mis en volume
ins aie 2
son état s'améliore, Le Secrétaire de Iti oadrosser AM. Simfon Eva. DuBois.
de cette correspondance : des anus, voire des personnages ayant Pmentabl vot pas de mor Aecter Ves x. i Pros de la Gare. Avenue Dessalines No 9
. ; ae 1é eo Mi tno > acctde ursse affe exe.
« La Havane, 5 Aods. pris part acx événements de Miragoine en | mentable acerde puis € . ar exe Port-au-Prince
1883—- encore vivants - me demandenr | Perences acrostat ques de tarmce qu on |
« Au Président des Erats Unis.
« Permettez moi de vous demander dia-tyy co:é Bizelais ) Je désire tes rassurer par
macer de trois jours la restauration de la}iy voie de la presse : je remets en ordre
Mpablique, c'est d-dire de Ja fixer au 28] Je pieces manuscrites ingdites et les docu-
iavier 1909, date anniversaire de la nais~} nents officiels ct autres que, grice dun
mace de José Marti Cette concession serait] yrovidentiel concours d'amis dévoués, j'ai
nera l’oprortunit: de signer son contrat
° ¢. : - : . ce - | ae .
k meilleur hommage 4 li "inémo:re dau pu sanver dao double irecendis des 5 et G@) eed ion p ur Te prix duo Mechelin hero,
gaed libérateur. juilet dann. Hushent tuta sua Ube, Pen- | Club, mais qu ila ajournée, M. W bur,
Wrigt est tres atlec:¢ de la mort du we I~ Mai 1907 de Port-au-Prince.
t
}
(Je vons pric de vouloir bien resetver dartles to's deraiéres sessions Idgisittives
wacoeil bienveillant a cette potion ie me suis en vain"adressé aux Chambres
dun des disciples du maitre. qui lui aussi! jour un encoaragement, mon course a été
tversé son sang pour la liberré de Cuba récompensé en la monnaie idéale dont se
Kui, en vous |’adressant, se fait Pinter-|comrente tout écrivain consciencieux 1
nhe des sentiments de ses compattiotes | yrobe: «Nous ne saurons trop. feliciter
«Votre sincére admirateur, Vau'eur etc., en des teinps meilleurs ete.»
(Brque Loisaz del Castitto. » Er le fléau si cher 4 Port-au-Prince
n’cut cesse de se mectre au guet... mais
heureusement .. je crains encore que le
nant ‘Seldtridge.
quo} n’sit eu a lutter contre le evecone
Le Président Roosevelt a répondu com-
Me mit : . . : The ve
temps qui est plus inexorable ne se mecte Hondwras, Nicaragua et Guatemala.
«Oyster Bay, 25 Aodt 1908. de la partie ‘ SAINT PETERSBOURG -- Les balletins of-
: . . “ae , . arate - te Sore -
« la Havane Pintérét de la vérité de histoire.
Ts cher Général, Je viens de recevoir| . Veuillez agréer avec mon es-ime particu-
tare aimable lettre que j’ai_ communiquée ji¢re, mes bien sinceéres salutations.
mpoevernear Migoon. Je crois que vous Eum. CHANCY Hea des dverats mais pas de mor:s.
mez risonet jai exprimd au pouverneur | ~s-=sss-se Tt Se ee <
ke @lsir qu'il se prépare "A faire évacuer l’i-
b le 28 vanvier, Avec m¢s amitiés et mes | p 1 C
- souhaits, je suis votre bien sin- { Ua fi
| Kenna, *historien guitet candidat ao la
}presidence pour fe parti .bcral cn 1875.
Dretawake — Lecandidat des dé:nocramcs
« THtoporE ROUGEVELT. 8
. Atrivage et Départs
pict est entré le s’s hollandais Prins
Vavec les passagers suivants ve-
dia piésidence M.Brvan, dans un discours
prononee on cette ville a déclaré gue les
dircetcurs duo trut de Vacier soutenaent
avee leur argenties traisde la ca rpagne,
en échange gue ‘eo répubbeains conetd.-
Derniéres ‘Dépéches
Saw SEBASTIEN 18.— Le vacht« Corso»
conduit “parle roi Alphonse lui-iméme a
Naptes 18.— Les cuirassés américains litaires en Allemagne.
« Maine » et « Alabama » sont arrivés ici
€ivants pour :
hee et Mme Anglade fils et en-
; } . AS 5.422 SREP t eee enema NENTS
€ Poinson, Méziette Toussaint. aujourd’hui.
ee oe: Alice Dieudonné, Jastin Les rues sont pavoisées de drapeaux ita- Attention |...
: Justi liens et américains «t le gouvernement{pré-
ea fasta Lauture, M. Boucard,! pare des fétes en Vhonneur dics marins! Monsieur Arntaiur BALMIR
~ Louis, Sceur Madeleine américains. | Arlisle-vevordeur, réparuteur de pia-
Benj staix Laraque, Clodormir| Axrpany ( Australie ) 18r - Une grande nos.
ge min Blanchet, Auguste Ga, récepton a été donnée 4 bord du cutrrass Doclare au publie ct a4 s2s honora-
yeatco Syly : ‘ | saat i , ouvernenr ‘ ‘
; acques Biv Douville Pierre-)eméricain « Connecticut », le | Bee acsiste- | Dies Clients, cn particulier.qu’il n’a ja-
gio, Mr et Mme Ni- de la colonie et cent mais tenones Asa yrofession et qu’il
. > gagné le premier prix auN révates aud ronr la sdreté conte toute poredcation jut
we cit Sabourin Holly, L. Kohler, «Club Nautique royal ». diciaire, mn
Bat Bello, Elias Bello “SY ‘aan. me? Lipoxne 18.-- De serieuy déscrdres se} Aruany. - Leseadre américaine de cni-
Marc . Pare G1 Fiéee Baden, Ache-|°0 produi's aux Aosres. rassés commandée par Vamiral Sperry cut
bs Leas’ te, Richevond C a me che- Les habitants de Aorta et agers déses- PPartic gujeurd hii’ 5 heures du sotr pour
Paget, Ve André C azeau. Hoetiue pérés par les mesures peu efficaces prises | Manille ou elle arrivera le 2 octobre.
Fete, Frare Gamaliél M ameau, Horatius/ par es autori:és pour combattre lt peste Pais. - M Delapranye a fait aujour-
k Clngncia Mir Al Guill Maria Mirvil- bubonnique qui fait des ravages, ont com-| {huiune nouvelle ascension qui dura 30
i vile, Guillaume Théve-| mis des 2ctes de violences. toca, | MBUtes 5 il alnrme que bientot il pourra
Gonines . Plusieurs fonctionnairas ont ¢é blesses. Thartre les records étab'is par les frdres
aes: Gaspard Moreau et 3 enfants! Le commerce est paralyse. Wr yt des drux con's de PAtantique.
Lee chemond. . Le gouvernement a défendu de commu-| Beriw.— 21 soldats sont moris et 250
teparti dans la soirée avec les pase niquer avec cette ile. malades dans ies dermiéres manoeuvres mi-
em, Mile Nell écepti
: . y- ‘rent A cette réception. , . -.' s@ tient, comme toujours, a -
i; Seo Christine et Jean, Fouron! Le maire a donné une réception hier) so git sition. J » A Jeur en
o Blain. ‘soir en Vhonneur des marins. t
Weed 2 laissé le stea . ille a été TRAVAIL SOIGNEé ET GARANTI
ssé mer l départ de la flotte poar Manille a .
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la continuaion de Pour P Aisteire ( Tome lestentrain de frire et) afnrme yn’aussitdt |
que Orville Wrigt sera guéri on lui don- | Poudre Dentifrice
Coro:.-- Le vapeur Colon qui devait
arrever ict hier, Va pas paru yon craint
GuaTeMaca. — Pour cominémorer |e
Srvéme anniverstire de son indépendance. !
on a inavguré dans cette ville le bureau des
Républigues du Centre de VAmeérique re-
présentées par le San Sa'vidor, Costa Rica,
ires il y aeu dans atte ville 305 nou-
'veatn cas de choldéra asiatique et rry déccs! postace. d@ REPARATIUON de. coftre-
GvuayaauiL. Oa a ressenti dans cette vide forts ete. ete. & des bonnes conditions.
hun violent tremblement de terre gui cau-
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tante, asthme, épilepsie, dilatation de I’es-
tomac, diarrhée chronique, ictére, troubles
fonctionnels du coeur, artério-sclerose, im-
puissance génitale, phthisie, goltre exoph-
talmique, diabéte, chlorose. obésité, mal
de rigth, éléphantiasis, hémorrhofdes,
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af? Pood won , sys : . repro iid phe rae Pier wig 8 . : . 1
†, mo, : : aPss ures i Serb OS. ) —_— ab a i *
(vest dire Veil to oa - jibe bey eax. ave penple qai ne COM at siunee tal Sela: (ns doute, le on ntes ont cu lieu entre Mire a
luis se Pe, a ae any oe i ceo loit af fom attire! aileat, - unsdr moyen de Port-de-Paix, of les Trois-Rividres sabip.
eneait es bn ' toy \ 7 , | . ‘ at tebe re ree Ot i . ¥ ae iene ae de beidbaoaa deerread ada tribune parle- sent une crue trés considérable . 14 °
‘ é C8 an hope thi potppr dob ce Pre: . “Ni : ane “ : 3 ia ft i :
Nores ccla, a yet tbs Pode TPC a ae ar Jae vos Tides fares et; meuture ou dans les salons ? Mais ye dans les endroits de largeur normale Oe
Pechelte > , Poof oe ye bas uted esorit PYOts defies als nous montrer en quot de Ja riviere. Quelgques Personnes agg
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—_— = i . . ' ‘ 4 vopeye rs . oe rea - 4 ee
* 5 | toee: soe bl vats eg hort. po obepetiaae Pp, et oat qed le UO aQlaocau id cat OVes Inst res [cote epuls alnt Mare jusqu au Cap, sinsi
a ‘4 aa er a - Ce Fares de netry sithation économique la-} que dans le canal da vent: jusqa
i} | Vi | : i t er cate Voto opdre oe . jusque
lbs: i tj a : be ae ie dua lagtiiaue | meatabbe, rémie.
} Fea id an a bah 1 buyers tes) Qoaend aa peaple a ben, et que cette | Le 12, le vent continue avec ls mage
— ) oo , faba reste pour tur ci probléme sans | force, mais les pluies diminuent.
XII a Tyaasnsse on | sovntion, Uy a qe gue non sens & Vou. Le 13, le cyclone se trouve aa NWé
~ - bee Coad et pony dip owe PotEe hit appren Ire da feeture eOXpLressive, | Port-de-Paix, en marche vers les tles Tus
mt Co oe ie yet et) Meprenez Ini d’ibord) comment Pon) ques.
Pre che Fs a ya thawed} "Ulranchit de la misére en travaillant, | | Le vent est encore tres fort le 14, mais
Perera i hee - eg ess que fet quant) & ornare soa esprit, nvayez | Sapaise peu a peu.
no a ae ; Loy oe b esd Lies, bettute: Py pecasena tov seal des lors Il semole que ce cyclone ait été accom
hy bed _ : OC , ei ea Vogete; PU Tesera ented Cans la vraie liberte! pagné d'une depression secondaire qui a
* Hi bed ne! Dye oar des avenues dao travail, rait suivi la presqu’ile du sud. On ‘gu
; ves nh ey brary ds uf Non, N[ess deus Jeers Latius, vous | ¢n ctfet a Jacmel et aux Cayes de
hve " a ; tk . cst \ i | J ooctemtez otatb rotre Jetnessrn, quand | pluies et des inondations du rrau 13.
i Go ttn be etdeere : ' “ ‘ t ; . . ve .
74 , begs as Peaateaine 2 vers “ bysolu, Car Le cyclone signalé par le Weat
du peas ai tain t coe toe ‘ sty | pera é bil tl ahs { : | de W. hine i d eather Ba:
eer pe deaths Qe ore sa bien fous bt peeeiottes Lins le vila des re | Feau e Washington 4 la date da 17, com
le ir i ve . pose og det batgee da PLOTS as bass of elie mest stire de | me se trouvant au sud de Porto-Rico, adé
na A o a†Be tN dEs sp enmooniper que fe deésépulibre et ses | marcher vers l’ouest, en se tenant tres low
te ’ be ca ' ‘ : . ' - : se . , «oe .
po to Tee pt pes paeg dfcevanees, des cétes d'Haiti, car son influence sur ke
he ; it Maes . . .
a " ut ue taboo LN abe nt Pagads am | oS Vets ba. portes vratment de Pine | barométre 4 Port-au-Prince a été trés faible.
s pataddet sides : an ‘ Gof ' ‘ yee . . .- '
hasten pos ot Olay etn ot, sb Wout. sever Tar dewoir des pre-! R. BALTENWRECK
‘ ° . . j are as 2 1 >Wpe ‘ 1 i :
Nous avats ol oo La Hho rected bieas arrives ett erties et aes a maples, faites: tan Funérailles
bay es Crate Lo peri » > We , 3
ples hes pbdie dys us t : - : 3 : : 7 : A oan Es oO l is epcen te ake bes } ae lea teint S'-Louts GEORGES
et voiced de bea: a poi ot Nop caep tery eo shat ber em ieee uh tik J hie lee raha thos ° :
aVeqetediend bests + hos So Ven peat treaver des} bras, et de deus mains auxquelles sont Il faut rendre homma c4 Mr Louis Bae
‘ . Neqnour ee eee fixes Gin dotgts,-- et qu’il est honora- | art Commandant de la Com
cleo NUH GDide tt - de Da Nemours Aulus ue se ; : nls.- J “> “ . . ild’Admias
ts ble ae savoir utiliser ees divers appen- | Pompiers Libres eta son Conseil d’Adminw»
beeedds pohi. vig ' vig oa? dy ds t* if moet r ceha, ye ae Sava ultbinser ces divers pp : ° bl
ae bices foreer s bien, étre. Cela | tration pour la fagon admirable.st toachsr,
. . . kre : 4 ’ ve oy toe . ty toe “ould pr bees t “, Mee - a — s ~ . . .
fitses cl. toy 7 os boda moron vhy > {iy “ : |: tees pout OPeer Son JLEL cr a€ a te dont ils ont or anisé les funérailles és
COUN Gees te OO te hoop vcth eg ak Podl ou- | voatal nfindiment mieux que mendier é SLL Ceo GES
lreterar! Coe. ; bo rst coatber | eCchine, et méme que -a- regret ait Oe bien vvette manifestation,
leeitiine oa wide a Et Vio ues Sobte oar dadn de | sont hee en vo mettant une belle et sa- ry \ bl - ai ‘leur le bon citoyen qu
no re . 4 Carte eX bLess humble travailleu
temps que mais per es ke Pe te, Velie sve tis Oa pe le oN pressbon. aima la Société et la Famille, portant i
. aye VAG ' ml , . foe, rep ety ‘. ges - "RY FEQUIERE A
vault fp We oo . Do ye oe ° | FLEURY PEQUIERE | un haut degré le culte des belles
griculaure, potial tif ~ Th. ot ' ~ en) r yeaa aa WU PR fa a a RR re Trt TOPE Ay PATI CIT ON EF IE | par lesquelles se reconnaissent les
commerce Coe teri yn _ Hires ittisy a -~ et “hep TRIN hh wel & mes droits et honnetes
, . : . 5 ay ‘ oG ‘ . °
tron Pconotneyie est ose ro eter s ; ia n | 4 i Il est mort découragé, fatigué des cost
, \ wo ! i VeoGeuroe fei /Â¥ ; ,
{Uc youn lie tee Vo es ) ey . ee - £ a ‘2 ° *g 4 Ed oh’ « lses vaines aprés un labeur rémunératess @ |
nae blest abet . . oo teen a --— ce fut un trés grand chagrin dont il oe pe
Vabbe detmear sobaticiy te " , ' ’ ; Lo De ge tpt oss tibes ods ‘ ; b e
; Rp thet eg RP eas soler, car ses bras B
rable oditetdor tee. bee rt be hoot ons ponbygaol) aa tis ae. a RM EN OS amais vestés inactifs
WUD proges, ‘ repay te ON ta . rr rr [ Soosonit poe Hous GQTeTFEOROLOGICUVUES i! Au cimetiére, le conseiller Jacob, aw
Sylvain tt Ni se OUUES V4 an : t . a Perle’ a Shi’, objet. _ langage ému retraca les fortes q .
Crbedab epee ee ce ee it res Dass falls . % : i $
de tien Shel -, we l ne cout ocetbe® 0 Gaath isn Gr vatoire défunt qui fut un des membre *,
Pps GT sre†de la Compagnie des Pompiers Litt
Jeune, eb qe trig ys Do Po ye ham rewable des rests DU Nous renouvelons 4 la mille [exper
Ha suniyte pasate as ext tt uo L : .. | ! j : a i" ‘ it fon SEMINAIRE COLLEGE S.-M ARTIAL ' gion de nos sympathiques condo! pe
Tilies | oobbea tho odurttihet o> : ' ort , : sol naee ae Pete the ——-— .
quand le rarsenmeur oa 21) Nemours Atigusie , Diwavcle 20 SEPTEMBRE Mariages ,
ee de partin dott pow te ' To ase oe ne breve evirleite . iMA wees oe / Hier, dans les salons de Mr B. Loch.
kit top se sed : Ptr tea otpterenes faite ces temps | Baromeire 4 midi — 62, I™)™ ‘don, 4 Martissant, l’officier de |"Exat
dhe da decevaber a ee . \ ed hota ate Meslte Lagor- cnibimum 24. 3 al Marius Nicolas a procédé au â€
situation qui nous désobe et bot roy. tel et srs he retro mage de | Aliance | Températura maxnnum 33-4 | de Mr Mavrick P. LounisDon aves
avons tuedhe vitals pace bate Mraeguse boaatern. Me Georg os Svivaia, meyeune d.urus 27. 9 | REcrna BERNARD. sie’
bien fers, - que pour Prropery sche Geant dis inp moched de these ba.. Ciel clair le matin ; un peu nuageux Va-| Les témoins étaient pour la .
pour chacun de nous ea parttentiens oo Parccit Ivpressive tN neon luimble| prés- midi. Nombieux éclairs au nord aprés , MM. Cicéron Alexandre et . “ie
veritable interet eut ele de tortorer pais Te prencer, I> principal meérite| 6 h. du soir; etalouest a 4 h. du matin. le marié :MM. Benoit Loa of
beaucoup moins Phemistichs cl ierie) Vune conten nee, Cert de viser a un
me, et de tenir en plus hint bonneur| but utile, puisqu’sussi bien on ne les
certaines professions vouées at ole} fait point a seul effet de produire son
mépris. Credt 6té plus sense, et me-] érudition et son élequence. Mais enfin
1alement comme sociale ut, uous te-! cela va on ne pout mieux lorsqu’a ce
rions meilleure fig ee wax veux dad oremior merite s’ajoute une facture
monde, puizsque nous pouriens on houtaie Vabord, une dieton irrépro-
prévaloir dune situsction ho vor-bls chable en-suite, bret ‘orsque le conferen-
enfantée par nos cllorts cousciests of) tera be don Wintéresser son auditoire
laborieux, Sans compter que dans cette! raosujet qaii a entiepris de traiter,
situation-la, je le repete aver convie Nous savons que cette condition
tas
tion, les poetes, Te- litterateurs et bes yo iemen’a ,oint faitdéfaut, Me Gcor-
enseurs seraient intiniment ples ajo. Sylvain tant Pun de nos conféren-
Pais pour se produire et se faire | viers parfaits et accomplis. Mais quant
valoir,—- pour chinter la prospérits, | a Putilité de son sujet, elle est restée
les splendeurs de la patrie. pour moi des plus problémaliques. La
|
Le barométre est stationnaire.
ee i
Cyclone Nous avons regu le faire~part @8
CASCADE ste¢
du 10 au 13 Septembre ¢ de Mile ALICE
UN CY- | célébré a New-York, en la
St-Patrick, le 18 Aodt 1908.
Toutes nos félicitations sa%:
Les journées
ont été marqu¢es par le passage
clone dans le voisinage d Haiti.
Les observations du barométre et des
nuages faites au Petit Séminaire S' Mar-! é
tial, ont manifesté ce phénoméne dés le | “POUR: Naissanoce
mercredi matin. Le centre du cyclone a © Chatt
était alors au SE de Port-au-Prince, et| Notre collaboratear et am .
asseZ éloigné ; trés probablement au sud , ravia aeu la joie de voir sa } si 8
dela Dominicanie. augmentts d'un gros gargon q
e 10 le cyclone ada traverser lc terri-, nom de NoOGER. Meso. #:
toire dominicain, car il s'est fait sentir le | Compliments auz époux 1A
soir méme sur la céte nord d’Haiti, parti! mille voeux av bébé. .
|
Full Text |
Deuxiéme Année, No. 443. PORT-AU-PRINCE ( Haitt ) Lundi, 21 Septembre 1908:
Le Matinâ€
QUOTIDIEN
——
Abonnements: DIRECTEUR: f LE NUMERO |!) CENTIMES
PORT-AU-PRINCE Be ces. , ° 2 0 ! Cilément Magloire, _
| -MENTS) UN Mois. « 2.20 ~a — Les abonnements parier.t da 1° et ida 15 de chaque
DEPARTEME Taos Mos... «6.00 REDACTION-ADMINISTRATION mois et sont payables d’avance
« 8.00 45, RUE ROUX, 45- Les manuscrits inaérés ou non ue seront pas rendus
ETRANGER.......-] Trots Mots.
siaur Arthur [SIDORE, 45, Rue Koux on Bomne-Fei.
we eee SS
Yadyministrstion du Journal, s’adresser 4 Mon
Pour
———
tout cs qui concerne
« Le plus haut fontionnaire d'une [vernement indigene, lequel s’est cons-
e ’ . 7
( y province, le tong doc, est payd envi- tamment et Energiguement refusé & em-
ron 3.000 franes, pendant qae le fone-; ployer ce procédé misérable, donnant
tionnaire frangais coirespondant, ins- | ainsi a ses dominateurs européens
pecteur ou administrateur de [* cias-, une haute lecon de moralité publique
se. touche de 18.000 4 25.000 frances. » et de bonne administration. »
Vv ( Idem. ) . | Sur lesystémed’enseigaement, etses
L'Annam, avous-nous dit, est Cuin-) HOa, proviuces limithrophes de la Co-]— « A exception de cing Ou SiX fone- | résultats écoutez Jean Adalbert; « Nous
tionnaires, avcun de ceux,— Si nom-;72e pouvons euseigner le francais a
me le Cambodge, un rovanme prace chinchina, !es autorités de la colonie ( VC
sous le protectorat francais ; nous expéditrent en hate des troupes qni| breux,— que nous cotretenons la bas, | Vingt millions d’individus qui n’en’ont
sfoos Vu Comment les Cambodgiens battirent jles rebelles. Les résidents;ne sait un mot de la langue, de I’his-;} que faire Ne serait-ce pas préférable
wat « protég‘s » ; naus allons voir si semparérent alors de Vadministra-|toire, du droit de Empire d'Annam. » | d'exiger la connaissance de la lan-
Ws Anoamites 1+ sont plus ou mieux. | tion, ranconnerent le pays, au moyen ( J. Chailey. ) gue annamite, cambodgienne, a quel-
_eLes taits nous montrent qu’en An-|d’ususierg indigenes gus fisent suer a} « Ignorants des coutumes des An-;ques milliers de fonctionnaires fran-
‘Mim, chime au Cambodge, comme cette malheureuse popu'ation un fiers | namites et ne se rendant pas compte] ais, ? Quand nous + ne pouvons arra-
wCochinchine, l'idéal de nos agents |en sus des contributions imposées. Le|des devoirs que leur mpos? 'e traité! cher —ce yuwil ne faut pas souhaiter
tt dabsorber tout pouvoir, toute au-| pro juit de ceiles-ci fut versé en bain-: de 188%, beaucoup de Residents se; dailleurs — le provencal, le breton et
wild, de réduira les Annamites & la}que par ordre du Directeur de lin-‘vonsidérent :omme les seis maftres/tois nos patois de provinces frangai-
dadition duo peuple tenu en lisiéres|térieur a Salon, qui en disposu san’. des provinces et font subir aux auto-; ses, dines franguises, comment son-
epleiléde toutes fagons, déyradé, rau t- contréle. Eutia unm adimiuiistratqgur pro vrités) annamites des traitements qui; ger, par quelques pédagogues perdus
#e8 prop:es yeux. Peut-on s‘éton-| vi-oire établ: dans les deux provinces | blessent, non seulement les fonction-; ea [ndo-chine, a déraciner du_ terroir
MI, apres celu. en constatant que]s’y conduisit cn corayuérant absolu, On naires qui en sont vobjet, mais encore; aupamite les langues millénaires....
Cs gens nous détestent cordiale-jagit de meme en 1887, Inais sans motif; leurs subordonneés. » ( De Lanessan. ); Nous faisons des interprétes, c’est-a-
Meat? (CL. Poinsard. serieux eette fuis dans les provinces; « L’Annamite est habitué aux cor | dire des perroquets, des chiens sa-
Aa Tonkin et dans I’Aunam, pays!de Phu-Yen, et de Binh-Dinh. » ( De, vées, mais les man daris ont soin de! vants, de la masse : nous faisons des
“tisquels nous avons garanti par les'Lanessan. » ne jamais Péloigner beaucoup de son, dévlasiés 5 Cesta cela qu’ont abouti
aités leur indépendance politique,{ « Les populations annamite; sont village. Notre maniere de procéder est, tous nos efforts ; européanisées, les
ministrative et sociale, des agents|douces, maniables, vaniteuses ; il, toute ditférente. Des covlies levés au | petites Annamites ne retournent pas a
‘Wazables ou mail dirigés n’ont cessé| stait facile de gagner leur loyalis-;début d'une expédition ne reviennent) la riziere, a la paillote familiale ;
@ susbtituer au protectorat loyal, suc; me. Ii semble qu’on ne fasse rien que | qu’avec elle, c’est-a-dire vu bout d'un,;elles vont droit d@ la prostitution...»
deux ou trois mois, quand ils reviennznt..| A propos dimpot : « Au Tonkin, en
sl les populations avaient le droit|pour lei rendre notre prés uce abo- : :
be compter, une politique d’snnexion minable, et les exciter de parti-pris a Un médecin me racontait que souvent}|Annam, dit le mémea écrivain, pas
a conquéte aussi brutale que malha-|ia révolte. ‘le sel faisait défaut par suite de l’in-'de cadastre ; on taxe da facon bru-
we et coiiteuse.... En résumé, nous} « Dana ordre administratif, nous | curie deVintendance, les coo'ies étaient; tallement —arbitraire ; Finiquité est
‘unions de nos propres mains le|les avons éloignés du gouvernemvunt réduits 4 manger leur riz sans aSsai-|flagrante. »
de 1884 - devions-nous trouver|des affaires... Et, d’un Coup, suppri- | sonnnement ; au bout de queiyues| Il continue : « Pour le sel, objet de
gaat que l’Annam et te Tonkin} mant leur institutions séculair-s, on les jours, ils,avaient la dysenterte, Par (toute premiere nécessité chez des po-
8sent leur mécontentement|a soumis 4 nos régimes d'importa- fois le riz tui méme maaquait et l’oa}pulat.ons de pésheurs, l’Annamite a
des levées incessantes de bandes|tionjles moins adaptés a leurs basains, donnait a4 ces malheureux, apres une/été particuligrement salée! Jadis, il
. ionuelles ? » ( De Lanessan )|4 leurs coutuines. Nous avons écarté} pénible journée de marche, du paidy|n’y avait qu’un droit de sortie mini-
Qeant & l’Annam et le Tonkin,|les mandarins, qui pouvaient nous ,( riz brut ) quils n’avaient aucun|ms. Maintenant, monopole d’Etat,
tement qui y sont survenus....|étre des intermédiaires puissants. | moyen de décortiquer et que la plupart/ vente forcée & la régie, aux eatrepdts
@& complatemaunt désorganisé les| Nous les avons remplacés par des étaient obligés de laisser de coté au créés par 1’Etat, au prix fizé par Il’E-
publics, boulevereé les ré-|fonctionnaires francais, ignorantes dela! risque de mourir de faim. La province | tat. En 1897, le sel valait en moyenne
» dixpersé les populations | langue, de V'histoire, des méthodes an-, de Bac-Ninh a été décimée par les le-|0 fr.15 le picul ( 60 kilog. ) ; le droit
un temps les sources de|namites. Les fonctionnaires indigénes ues de coolies, et les habitants ont fi-|a monté jusqu’a 1 fr.70, prés de quin-
»( M. Sylvestre, ) ancien | conservés a c6:6 de nos administra ;ni par abandonner leurs villages afin|ze fois la valeur du produit... Le ré-
tions im tes on s, n’en sont pas les collaborateurs 4 échapper d notre contact J’ai pu voir|sultat a 6t6é, pour lAnnam, !a ruine
portas tears les domestiqu-s, mis a toules les, moi-mém3, sur la route d3 Phy Ling ;de Vindustrie de la péche. »
Bert avait mis dans les pro-| besognes. Caux qui oat quelque digni- | Tuang au Kep, lesruines de nom- Ja fais grace au fecteur de tout ce
MBamites do Thi tos e de|té se retirent. Il ne se présente plus,’ breux villages et les traces d'immen-|qui se fait de pareil A l’égard de I'o-
tésidents qui traitaient | pour accepter ces charges reb:tantes, ises rizieres ttansformées en maréca- | pium, de l’alcool, du tabac, des allu-
Balidcoment les autorités an-]que des personnalités décriées, sou-' ges. » ( De Lanessan. ) mettes ; car, dit l'écivain que je viens
. de citer, « il faudrait des volumes
soumettaient le pays aux j vent indignes, méprisdes de la popu-' Apropos dela ferme des maisons de
jeux que nous avons vu pratiquer enjentiers pour éaumérer, toutes les vexa-
Conditions d’admini j laiion. + ( Jean Ajalbert. ) ‘ .
Tonkin proprement dit si ccle « Non ee omout ,on exige de ces Cochinchine et dans le Cambody», M./tions auxquelles est en butte la popu-
88 traités, bien entendu. | auxiliaires indispensables les services L. Poinsard dit: « Seul, |’Annam pro lation, au sujet des impdts indirects.»
ce insurrection ayaot écla-|les plus disparates, mais on ne les ;prement dit a pu échapper a caite| Pour fiair par une note gaie, et
Binh-Thuan et le Han- paie pas. » ( Ydem. ) plaie. Mais grace 4 qui? A son gou-' malheureusement macabre, citons ua
an i a On
1s de Jee
ve
)
AO a
VES
Afin cli
prot ger notre nem ain-
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“ [mtres recommandées en sox ffrance Miragoune ; R. Kavanagh, M. Sessort, ¢ tence de Sagosare Hil. ta vest: de tous |
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Macs Jastin Turnier, Hortensia Guerrier Jérémie. Mr et Mme Christophe. norbre deo ryeo . _., > Ro cuies de Port-au-Prince confection-
Philoméne Grigor Julia Fortune, The Avis d:: la Police © Ea Have rs, AT) demande He Pee (he sas bougies avec de la stéarine de
jiés Raton, MM. Aratus Mondésir (2) Ber . †Jim gne et de Plot, } (couvers ment How | ¢ Gjouda» et qu'elle tient & la disp
wri Prophete, Louis Lamothe, Augustin Divers effets vod. ont été trouvés pari lindais convo jvert tos puiscrs . 4 US: Ji:ign de ses clients a’importe qu le
Olés Léger, Fransic Deborde, J. J.j la police ; priére A leur proprétaire de ve- | nouvelle contér pce de ia Pais) se rea | quuatité de bougies de 16 et 20 par
‘nes Hyppolite, Député Odilon Mé-|rir les réclamer au Bureau Central. nena prob.blem gen rage: eons laquel yo hes,
1. Ce 21 Septembre 1908 lena dec te uo pres da cry arbre | oe
" SRVICE ExTERIEUR Boi eaux Lettres traee urtsc ts: |
Bisabeth Jackson, Ciémentine Geoffrey,
| Lavacuation de Cubapar les Au Directeur du journal Le Matin Unis acceprcrant cette idée avec plaisir.
troupes américaines Mon cher Mag'oire,
tts les lettres suivantes publiées} Depuis la publication en feuilleton
pr le journal espagnol « El Mundo ». Vé-I dans votre in‘éressani journal du roman
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Ye Lonis Augustin Guillaume. Port-au-Prince, le 12 Septembre 1908 4 Washington et on croit que les Eta’s-
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Fort=Mffyrr.-— L’adroplane Victorieuse/,.., Stde - ilcar Da-
dOrville’ Wright descendit Viole ee ee ee eee Maitre, faqade†ouest.
: ieutenant Selfridge e
causant la mort du lieutenant elfridge et Deux autres a Anse-a-Veau, une
blessant gravement Vaviateur américala.
Carrefour Geo yes et l'autre & barriére
weation de Cuba par les troupes améri- |sensationnel de notre ami Hibbert ; Ro-| Les medecins qui Vassistent disent que! Gores en face de M. Nelson Arnoux.
‘gines s¢ fera le 28 janvier. Voici le text |inulus gue j'attends d'etre mis en volume
ins aie 2
son état s'améliore, Le Secrétaire de Iti oadrosser AM. Simfon Eva. DuBois.
de cette correspondance : des anus, voire des personnages ayant Pmentabl vot pas de mor Aecter Ves x. i Pros de la Gare. Avenue Dessalines No 9
. ; ae 1é eo Mi tno > acctde ursse affe exe.
« La Havane, 5 Aods. pris part acx événements de Miragoine en | mentable acerde puis € . ar exe Port-au-Prince
1883—- encore vivants - me demandenr | Perences acrostat ques de tarmce qu on |
« Au Président des Erats Unis.
« Permettez moi de vous demander dia-tyy co:é Bizelais ) Je désire tes rassurer par
macer de trois jours la restauration de la}iy voie de la presse : je remets en ordre
Mpablique, c'est d-dire de Ja fixer au 28] Je pieces manuscrites ingdites et les docu-
iavier 1909, date anniversaire de la nais~} nents officiels ct autres que, grice dun
mace de José Marti Cette concession serait] yrovidentiel concours d'amis dévoués, j'ai
nera l’oprortunit: de signer son contrat
° ¢. : - : . ce - | ae .
k meilleur hommage 4 li "inémo:re dau pu sanver dao double irecendis des 5 et G@) eed ion p ur Te prix duo Mechelin hero,
gaed libérateur. juilet dann. Hushent tuta sua Ube, Pen- | Club, mais qu ila ajournée, M. W bur,
Wrigt est tres atlec:¢ de la mort du we I~ Mai 1907 de Port-au-Prince.
t
}
(Je vons pric de vouloir bien resetver dartles to's deraiéres sessions Idgisittives
wacoeil bienveillant a cette potion ie me suis en vain"adressé aux Chambres
dun des disciples du maitre. qui lui aussi! jour un encoaragement, mon course a été
tversé son sang pour la liberré de Cuba récompensé en la monnaie idéale dont se
Kui, en vous |’adressant, se fait Pinter-|comrente tout écrivain consciencieux 1
nhe des sentiments de ses compattiotes | yrobe: «Nous ne saurons trop. feliciter
«Votre sincére admirateur, Vau'eur etc., en des teinps meilleurs ete.»
(Brque Loisaz del Castitto. » Er le fléau si cher 4 Port-au-Prince
n’cut cesse de se mectre au guet... mais
heureusement .. je crains encore que le
nant ‘Seldtridge.
quo} n’sit eu a lutter contre le evecone
Le Président Roosevelt a répondu com-
Me mit : . . : The ve
temps qui est plus inexorable ne se mecte Hondwras, Nicaragua et Guatemala.
«Oyster Bay, 25 Aodt 1908. de la partie ‘ SAINT PETERSBOURG -- Les balletins of-
: . . “ae , . arate - te Sore -
« la Havane Pintérét de la vérité de histoire.
Ts cher Général, Je viens de recevoir| . Veuillez agréer avec mon es-ime particu-
tare aimable lettre que j’ai_ communiquée ji¢re, mes bien sinceéres salutations.
mpoevernear Migoon. Je crois que vous Eum. CHANCY Hea des dverats mais pas de mor:s.
mez risonet jai exprimd au pouverneur | ~s-=sss-se Tt Se ee <
ke @lsir qu'il se prépare "A faire évacuer l’i-
b le 28 vanvier, Avec m¢s amitiés et mes | p 1 C
- souhaits, je suis votre bien sin- { Ua fi
| Kenna, *historien guitet candidat ao la
}presidence pour fe parti .bcral cn 1875.
Dretawake — Lecandidat des dé:nocramcs
« THtoporE ROUGEVELT. 8
. Atrivage et Départs
pict est entré le s’s hollandais Prins
Vavec les passagers suivants ve-
dia piésidence M.Brvan, dans un discours
prononee on cette ville a déclaré gue les
dircetcurs duo trut de Vacier soutenaent
avee leur argenties traisde la ca rpagne,
en échange gue ‘eo répubbeains conetd.-
Derniéres ‘Dépéches
Saw SEBASTIEN 18.— Le vacht« Corso»
conduit “parle roi Alphonse lui-iméme a
Naptes 18.— Les cuirassés américains litaires en Allemagne.
« Maine » et « Alabama » sont arrivés ici
€ivants pour :
hee et Mme Anglade fils et en-
; } . AS 5.422 SREP t eee enema NENTS
€ Poinson, Méziette Toussaint. aujourd’hui.
ee oe: Alice Dieudonné, Jastin Les rues sont pavoisées de drapeaux ita- Attention |...
: Justi liens et américains «t le gouvernement{pré-
ea fasta Lauture, M. Boucard,! pare des fétes en Vhonneur dics marins! Monsieur Arntaiur BALMIR
~ Louis, Sceur Madeleine américains. | Arlisle-vevordeur, réparuteur de pia-
Benj staix Laraque, Clodormir| Axrpany ( Australie ) 18r - Une grande nos.
ge min Blanchet, Auguste Ga, récepton a été donnée 4 bord du cutrrass Doclare au publie ct a4 s2s honora-
yeatco Syly : ‘ | saat i , ouvernenr ‘ ‘
; acques Biv Douville Pierre-)eméricain « Connecticut », le | Bee acsiste- | Dies Clients, cn particulier.qu’il n’a ja-
gio, Mr et Mme Ni- de la colonie et cent mais tenones Asa yrofession et qu’il
. > gagné le premier prix auN révates aud ronr la sdreté conte toute poredcation jut
we cit Sabourin Holly, L. Kohler, «Club Nautique royal ». diciaire, mn
Bat Bello, Elias Bello “SY ‘aan. me? Lipoxne 18.-- De serieuy déscrdres se} Aruany. - Leseadre américaine de cni-
Marc . Pare G1 Fiéee Baden, Ache-|°0 produi's aux Aosres. rassés commandée par Vamiral Sperry cut
bs Leas’ te, Richevond C a me che- Les habitants de Aorta et agers déses- PPartic gujeurd hii’ 5 heures du sotr pour
Paget, Ve André C azeau. Hoetiue pérés par les mesures peu efficaces prises | Manille ou elle arrivera le 2 octobre.
Fete, Frare Gamaliél M ameau, Horatius/ par es autori:és pour combattre lt peste Pais. - M Delapranye a fait aujour-
k Clngncia Mir Al Guill Maria Mirvil- bubonnique qui fait des ravages, ont com-| {huiune nouvelle ascension qui dura 30
i vile, Guillaume Théve-| mis des 2ctes de violences. toca, | MBUtes 5 il alnrme que bientot il pourra
Gonines . Plusieurs fonctionnairas ont ¢é blesses. Thartre les records étab'is par les frdres
aes: Gaspard Moreau et 3 enfants! Le commerce est paralyse. Wr yt des drux con's de PAtantique.
Lee chemond. . Le gouvernement a défendu de commu-| Beriw.— 21 soldats sont moris et 250
teparti dans la soirée avec les pase niquer avec cette ile. malades dans ies dermiéres manoeuvres mi-
em, Mile Nell écepti
: . y- ‘rent A cette réception. , . -.' s@ tient, comme toujours, a -
i; Seo Christine et Jean, Fouron! Le maire a donné une réception hier) so git sition. J » A Jeur en
o Blain. ‘soir en Vhonneur des marins. t
Weed 2 laissé le stea . ille a été TRAVAIL SOIGNEé ET GARANTI
ssé mer l départ de la flotte poar Manille a .
Napaagers Otivants & destination der renwoyé a 18. pe Stadresser au NoOl, Rue du Peuple.
la continuaion de Pour P Aisteire ( Tome lestentrain de frire et) afnrme yn’aussitdt |
que Orville Wrigt sera guéri on lui don- | Poudre Dentifrice
Coro:.-- Le vapeur Colon qui devait
arrever ict hier, Va pas paru yon craint
GuaTeMaca. — Pour cominémorer |e
Srvéme anniverstire de son indépendance. !
on a inavguré dans cette ville le bureau des
Républigues du Centre de VAmeérique re-
présentées par le San Sa'vidor, Costa Rica,
ires il y aeu dans atte ville 305 nou-
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GvuayaauiL. Oa a ressenti dans cette vide forts ete. ete. & des bonnes conditions.
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—_— = i . . ' ‘ 4 vopeye rs . oe rea - 4 ee
* 5 | toee: soe bl vats eg hort. po obepetiaae Pp, et oat qed le UO aQlaocau id cat OVes Inst res [cote epuls alnt Mare jusqu au Cap, sinsi
a ‘4 aa er a - Ce Fares de netry sithation économique la-} que dans le canal da vent: jusqa
i} | Vi | : i t er cate Voto opdre oe . jusque
lbs: i tj a : be ae ie dua lagtiiaue | meatabbe, rémie.
} Fea id an a bah 1 buyers tes) Qoaend aa peaple a ben, et que cette | Le 12, le vent continue avec ls mage
— ) oo , faba reste pour tur ci probléme sans | force, mais les pluies diminuent.
XII a Tyaasnsse on | sovntion, Uy a qe gue non sens & Vou. Le 13, le cyclone se trouve aa NWé
~ - bee Coad et pony dip owe PotEe hit appren Ire da feeture eOXpLressive, | Port-de-Paix, en marche vers les tles Tus
mt Co oe ie yet et) Meprenez Ini d’ibord) comment Pon) ques.
Pre che Fs a ya thawed} "Ulranchit de la misére en travaillant, | | Le vent est encore tres fort le 14, mais
Perera i hee - eg ess que fet quant) & ornare soa esprit, nvayez | Sapaise peu a peu.
no a ae ; Loy oe b esd Lies, bettute: Py pecasena tov seal des lors Il semole que ce cyclone ait été accom
hy bed _ : OC , ei ea Vogete; PU Tesera ented Cans la vraie liberte! pagné d'une depression secondaire qui a
* Hi bed ne! Dye oar des avenues dao travail, rait suivi la presqu’ile du sud. On ‘gu
; ves nh ey brary ds uf Non, N[ess deus Jeers Latius, vous | ¢n ctfet a Jacmel et aux Cayes de
hve " a ; tk . cst \ i | J ooctemtez otatb rotre Jetnessrn, quand | pluies et des inondations du rrau 13.
i Go ttn be etdeere : ' “ ‘ t ; . . ve .
74 , begs as Peaateaine 2 vers “ bysolu, Car Le cyclone signalé par le Weat
du peas ai tain t coe toe ‘ sty | pera é bil tl ahs { : | de W. hine i d eather Ba:
eer pe deaths Qe ore sa bien fous bt peeeiottes Lins le vila des re | Feau e Washington 4 la date da 17, com
le ir i ve . pose og det batgee da PLOTS as bass of elie mest stire de | me se trouvant au sud de Porto-Rico, adé
na A o a†Be tN dEs sp enmooniper que fe deésépulibre et ses | marcher vers l’ouest, en se tenant tres low
te ’ be ca ' ‘ : . ' - : se . , «oe .
po to Tee pt pes paeg dfcevanees, des cétes d'Haiti, car son influence sur ke
he ; it Maes . . .
a " ut ue taboo LN abe nt Pagads am | oS Vets ba. portes vratment de Pine | barométre 4 Port-au-Prince a été trés faible.
s pataddet sides : an ‘ Gof ' ‘ yee . . .- '
hasten pos ot Olay etn ot, sb Wout. sever Tar dewoir des pre-! R. BALTENWRECK
‘ ° . . j are as 2 1 >Wpe ‘ 1 i :
Nous avats ol oo La Hho rected bieas arrives ett erties et aes a maples, faites: tan Funérailles
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ples hes pbdie dys us t : - : 3 : : 7 : A oan Es oO l is epcen te ake bes } ae lea teint S'-Louts GEORGES
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aVeqetediend bests + hos So Ven peat treaver des} bras, et de deus mains auxquelles sont Il faut rendre homma c4 Mr Louis Bae
‘ . Neqnour ee eee fixes Gin dotgts,-- et qu’il est honora- | art Commandant de la Com
cleo NUH GDide tt - de Da Nemours Aulus ue se ; : nls.- J “> “ . . ild’Admias
ts ble ae savoir utiliser ees divers appen- | Pompiers Libres eta son Conseil d’Adminw»
beeedds pohi. vig ' vig oa? dy ds t* if moet r ceha, ye ae Sava ultbinser ces divers pp : ° bl
ae bices foreer s bien, étre. Cela | tration pour la fagon admirable.st toachsr,
. . . kre : 4 ’ ve oy toe . ty toe “ould pr bees t “, Mee - a — s ~ . . .
fitses cl. toy 7 os boda moron vhy > {iy “ : |: tees pout OPeer Son JLEL cr a€ a te dont ils ont or anisé les funérailles és
COUN Gees te OO te hoop vcth eg ak Podl ou- | voatal nfindiment mieux que mendier é SLL Ceo GES
lreterar! Coe. ; bo rst coatber | eCchine, et méme que -a- regret ait Oe bien vvette manifestation,
leeitiine oa wide a Et Vio ues Sobte oar dadn de | sont hee en vo mettant une belle et sa- ry \ bl - ai ‘leur le bon citoyen qu
no re . 4 Carte eX bLess humble travailleu
temps que mais per es ke Pe te, Velie sve tis Oa pe le oN pressbon. aima la Société et la Famille, portant i
. aye VAG ' ml , . foe, rep ety ‘. ges - "RY FEQUIERE A
vault fp We oo . Do ye oe ° | FLEURY PEQUIERE | un haut degré le culte des belles
griculaure, potial tif ~ Th. ot ' ~ en) r yeaa aa WU PR fa a a RR re Trt TOPE Ay PATI CIT ON EF IE | par lesquelles se reconnaissent les
commerce Coe teri yn _ Hires ittisy a -~ et “hep TRIN hh wel & mes droits et honnetes
, . : . 5 ay ‘ oG ‘ . °
tron Pconotneyie est ose ro eter s ; ia n | 4 i Il est mort découragé, fatigué des cost
, \ wo ! i VeoGeuroe fei /Â¥ ; ,
{Uc youn lie tee Vo es ) ey . ee - £ a ‘2 ° *g 4 Ed oh’ « lses vaines aprés un labeur rémunératess @ |
nae blest abet . . oo teen a --— ce fut un trés grand chagrin dont il oe pe
Vabbe detmear sobaticiy te " , ' ’ ; Lo De ge tpt oss tibes ods ‘ ; b e
; Rp thet eg RP eas soler, car ses bras B
rable oditetdor tee. bee rt be hoot ons ponbygaol) aa tis ae. a RM EN OS amais vestés inactifs
WUD proges, ‘ repay te ON ta . rr rr [ Soosonit poe Hous GQTeTFEOROLOGICUVUES i! Au cimetiére, le conseiller Jacob, aw
Sylvain tt Ni se OUUES V4 an : t . a Perle’ a Shi’, objet. _ langage ému retraca les fortes q .
Crbedab epee ee ce ee it res Dass falls . % : i $
de tien Shel -, we l ne cout ocetbe® 0 Gaath isn Gr vatoire défunt qui fut un des membre *,
Pps GT sre†de la Compagnie des Pompiers Litt
Jeune, eb qe trig ys Do Po ye ham rewable des rests DU Nous renouvelons 4 la mille [exper
Ha suniyte pasate as ext tt uo L : .. | ! j : a i" ‘ it fon SEMINAIRE COLLEGE S.-M ARTIAL ' gion de nos sympathiques condo! pe
Tilies | oobbea tho odurttihet o> : ' ort , : sol naee ae Pete the ——-— .
quand le rarsenmeur oa 21) Nemours Atigusie , Diwavcle 20 SEPTEMBRE Mariages ,
ee de partin dott pow te ' To ase oe ne breve evirleite . iMA wees oe / Hier, dans les salons de Mr B. Loch.
kit top se sed : Ptr tea otpterenes faite ces temps | Baromeire 4 midi — 62, I™)™ ‘don, 4 Martissant, l’officier de |"Exat
dhe da decevaber a ee . \ ed hota ate Meslte Lagor- cnibimum 24. 3 al Marius Nicolas a procédé au â€
situation qui nous désobe et bot roy. tel et srs he retro mage de | Aliance | Températura maxnnum 33-4 | de Mr Mavrick P. LounisDon aves
avons tuedhe vitals pace bate Mraeguse boaatern. Me Georg os Svivaia, meyeune d.urus 27. 9 | REcrna BERNARD. sie’
bien fers, - que pour Prropery sche Geant dis inp moched de these ba.. Ciel clair le matin ; un peu nuageux Va-| Les témoins étaient pour la .
pour chacun de nous ea parttentiens oo Parccit Ivpressive tN neon luimble| prés- midi. Nombieux éclairs au nord aprés , MM. Cicéron Alexandre et . “ie
veritable interet eut ele de tortorer pais Te prencer, I> principal meérite| 6 h. du soir; etalouest a 4 h. du matin. le marié :MM. Benoit Loa of
beaucoup moins Phemistichs cl ierie) Vune conten nee, Cert de viser a un
me, et de tenir en plus hint bonneur| but utile, puisqu’sussi bien on ne les
certaines professions vouées at ole} fait point a seul effet de produire son
mépris. Credt 6té plus sense, et me-] érudition et son élequence. Mais enfin
1alement comme sociale ut, uous te-! cela va on ne pout mieux lorsqu’a ce
rions meilleure fig ee wax veux dad oremior merite s’ajoute une facture
monde, puizsque nous pouriens on houtaie Vabord, une dieton irrépro-
prévaloir dune situsction ho vor-bls chable en-suite, bret ‘orsque le conferen-
enfantée par nos cllorts cousciests of) tera be don Wintéresser son auditoire
laborieux, Sans compter que dans cette! raosujet qaii a entiepris de traiter,
situation-la, je le repete aver convie Nous savons que cette condition
tas
tion, les poetes, Te- litterateurs et bes yo iemen’a ,oint faitdéfaut, Me Gcor-
enseurs seraient intiniment ples ajo. Sylvain tant Pun de nos conféren-
Pais pour se produire et se faire | viers parfaits et accomplis. Mais quant
valoir,—- pour chinter la prospérits, | a Putilité de son sujet, elle est restée
les splendeurs de la patrie. pour moi des plus problémaliques. La
|
Le barométre est stationnaire.
ee i
Cyclone Nous avons regu le faire~part @8
CASCADE ste¢
du 10 au 13 Septembre ¢ de Mile ALICE
UN CY- | célébré a New-York, en la
St-Patrick, le 18 Aodt 1908.
Toutes nos félicitations sa%:
Les journées
ont été marqu¢es par le passage
clone dans le voisinage d Haiti.
Les observations du barométre et des
nuages faites au Petit Séminaire S' Mar-! é
tial, ont manifesté ce phénoméne dés le | “POUR: Naissanoce
mercredi matin. Le centre du cyclone a © Chatt
était alors au SE de Port-au-Prince, et| Notre collaboratear et am .
asseZ éloigné ; trés probablement au sud , ravia aeu la joie de voir sa } si 8
dela Dominicanie. augmentts d'un gros gargon q
e 10 le cyclone ada traverser lc terri-, nom de NoOGER. Meso. #:
toire dominicain, car il s'est fait sentir le | Compliments auz époux 1A
soir méme sur la céte nord d’Haiti, parti! mille voeux av bébé. .
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