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- Permanent Link:
- https://ufdc.ufl.edu/UF00081213/00433
Material Information
- Title:
- Le Matin
- Place of Publication:
- Port-au-Prince Haiti
- Publisher:
- [s.n.]
- Creation Date:
- September 19, 1908
- Frequency:
- daily
- Language:
- |||
Subjects
- Subjects / Keywords:
- Newspapers -- Haiti ( lcsh )
- Genre:
- newspaper ( sobekcm )
newspaper ( marcgt )
- Coordinates:
- -72.2803802891673 x 18.5142993036392
Record Information
- Source Institution:
- University of Florida
- Holding Location:
- Bibliothèque Haïtienne des Frères de l'Instruction Chrétienne
- Rights Management:
- The University of Florida George A. Smathers Libraries respect the intellectual property rights of others and do not claim any copyright interest in this item. This item may be protected by copyright but is made available here under a claim of fair use (17 U.S.C. §107) for non-profit research and educational purposes. Users of this work have responsibility for determining copyright status prior to reusing, publishing or reproducing this item for purposes other than what is allowed by fair use or other copyright exemptions. Any reuse of this item in excess of fair use or other copyright exemptions requires permission of the copyright holder. The Smathers Libraries would like to learn more about this item and invite individuals or organizations to contact Digital Services (UFDC@uflib.ufl.edu) with any additional information they can provide.
- Resource Identifier:
- 000358166 ( ALEPH )
ABZ6468 ( NOTIS )
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Peuxieme Année, No 442. PORT-AU-PRINGE ( Haitt )
Samedi, 19 Septembre 1908.
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ETRANGER.......- Trois Mors. . « 8.00 45, RUE ROUX, 45-
ce qui concerne l’Administration du Journa..
Pour tout
——< —— —— =
wed: 8889. 5 oy onsi-ar Arthur ISIDORE, 45, Kae Roax ou Bonve-Foi.
{ e« Les eredits de la chaloupe du
.
IV
Apres a Gocnincmine, explorons .. | Memeremaryue que pour Jao Co
Cambo3y-, chinchine a légard des maison; d»
Daosc? pa.s Soumis au profecto-|jeux t « Au Caibodge, le jeu sevis-
ntfrangais, la Fiance a commence’, !sait avec dautant plus de fureur. (que
@ledéout, i excspérer les popula- | nous avous organisé le protectorat et
tos, témovns ces lines caractéris-}les finances du Cambodye, de telle
| fques : sorte, que les jeux sont a peu pres la
PeleCimbode> a été soumis par s‘ule source de revenus laissée par
tats Je ixit Aun régime de pro- {nous au roigpour payer les dépenses
leclorat asses wine. mais des actes dle sa cour ct de Vadministration in-
fbséquents. poss au roi Norddom | digene. » (De Lanessan ). «@ Depais
Acouroinées pir un teait® de 488%, /lors, le scandale est devenu tel quan
sat intervenus dans fa but de ores- {a obligé No:Oofom a fermer ow ne
wrernotre oe sur de pays. fl en, ement les tripots. » (CL. Poinsard).
Wrélié la vaste insurrection de 5S! « Eo Annam, au Gambodge, au } aos
Votha, qub ives deux ans et ocea-tnous exergons des†protectora's. I:
!
'
tn a
paune petiie ati. %e de 6.000 hom-! faut voir comment nous ,protégeais |
Ms. En Issn, on sembla vouloir! Nous devions protéger le Cambo Ize,
tandonnes Is nouveau régime, Jes {le Laos contre le Siam. D'un trait de
Woupes fires! rtoapoides, et aussttdl lafplume, nous avons abandonn' at
Mz oseorcuhls: weile-eméme. Nous|siam, par le dernier traité Dele assé,
W018 réussi neanmoims, en pesant|deux provinces des plus cheres) aux
Wr le souverain. «\ nous emparer des|Cambodgiens, nous avons livré au
WVicas pubaes tes plus importants, | Siam une tive du Mé-Kong laoticn.
amnzat de lt perception des im [It suffit: davoir approché queiyues |
Met de Pa dusuistration de la jus-]|instants Norédom et Zaccharine, [es
entre Euroncens et entre Euro-| deux rois défunts, pour avoir éé le!
ns etindiye-nos. Hen est résulté un| confident de leur dégoat, quils reve-
Siis presque immédiat, » (L Poin-|laient & tout visiteur. » (Jean Ajal-)
mi . bert. ) ;
En résumé, vien ne ressemble} « A mon dernier voyage, il y avait
$a un protectorat que le régime] la un Résitent supérieur, noté cuom-—
Ul nois avons soumis le Cam-|me des plus actifs et des plus intel-
We: financiérement, c’est Uex-|ligents.... Mais un Rési
sclonnaires de la Cochinchine; ad-|de ne pas etre le premier personage |
Hativem ut et politiquement, jet le plus représentatif : le rot ne vint,
@ désordre ut anarchie. » (De| qu’apres. Notre résident, pour rehaus-
aL a ser son prestige, avait créé une com-
‘“unilé nous asservit beaucoup] pagnie de lanciers et ne sortait plus!
in avant... Notre budget nous a|sans escorte.... Mais les budgets sont
P9384 sans phrases, a coups. de |!imités ; qu’a cela ne tienne t Iby a:
tout eos 4 Paris... Régie, j 1s-| moyen de les augmenter en rolissant:
ious a epeni de la Cochinchin>. {sur la liste civ:ile du roi, qui ne la
tnous wu? om nt pris toullargent|jama s touchée...
Miter par lt) Pu disposer pour
ar lee tt situation, sans nous|de son argent, et 3es :
ts que charges: lucueuses et nui-|singuligrement rétrécis par des
> la Govchiuchine et la mé-| neeuvres
frangais, établi ri
*s li A Pnom-Penh, tain’a pas d argent qu’importe,
*). ‘est bien 1a pour 30.000 piastres.....
le avira: ie
nous imposent. » ( Un rési-|dent veut créer un groupe scolaire ; 'sée,
le roi. ceinte de tleurs fralches. Vers , quinze une destinée sortable, deux voies s’ou-
pendant plusieurs vrent devant lui; c’est, ou bien un
° ’ ° ,
( ) Mhsident sont épaisés trois mois
‘pdutot, Sous prétexte de je ne sais
hqaelle fete, of) le roi sera invite sur
— da chaloape, it devra participer a la
-dépens:), et fon devine jque sa_ part
vera prepondérante... Bref, on ba re-
prend la majeure pute de ce qui lui
est alioué sur les reveuus qu'on lui a
Combisgresce..
« West le Résident qui commande
fs galas otliciels, 4 sa guise, au Pa-
leis, ott il invite torte la colonie fran-
caise, O . le roa bien le droit, chez
ui, de fixer la hiérarchie etles con-
venances & sa guise. M. le Résident,
sa dame et 31 demoisell2 sont cho-
yués quela reine ne 6oit pas, tou-
‘ours La meme. Pour les visites, c'est
NUMERO 15 CENTIMES
Les abonnements partert du 1 et da rs de chaque
mois et sont payables d’avance
Les manuscrits insérés ou non ne seront pas rendus
jours, des cérémonies religieuses,
compliquées, précédent le rasage des
cheveux sacrés. TH faut choisir la sal-
son favorable, les jours propices pour
les retraites, les processions, les cé-
rémonies domestiques ou publiques
qui précedent ou suivent... Bref, c’est
une féle rituelle de premier ordre, & la-
quelle préside le roi, entouré de tous
les grands des religieux et dignitai-
res... Et le roi opére lut-méme...
| « L’année derniére, aux sons de la
Murseiliaise, |e Résident supérieur
gravit Vestrade, s’empara des ciseaux
et coupa la houppe d'un jeune prince...
« Sans doute, il pensait| agir pour
le plus grand bien dela République,
dont il est un haut fonctionnaire...
« Cela pourrait n’étre que ridicule ;
Fea eccmmode, en eflet. Mais enfin, |cest aussi tres grave, autant qa’‘inu-
' rot devrait bien tre laissé libre.
Kno réahteés ii est peisonnicr, Pb ne re-
tile... . et tout A fait francais! »
ne Jean Aljabert. )
coit personne qui ait une fettre|
Voila comment la France « protege »
daud:ence de la Residence. Et, sous: les Cambodyiens et leur roi , qu’on jue
ty nom de censenr, un administra-, ys de quelle fagon elle les « affran-
feareedloer a été installe au Palais. chit. »
Ii Voccupe de tout: a! verifie les cae
deaux qe le roi fait a ses femmes,
cee gut boat, ce quil marge. Je don-
‘ne comme authentijues les deux faits
rulivants.
« Le toi avait commandé du chaim-
‘pagne a an w’pociant., Le censeur re-
Mtournales uisses, sous le prétexte que,
Wihabitude, cu palais, on buvait une
autre iarque. Le roi manifeste sa
yréférence. N'importe, il estcondamné
par le censeur & telle boisson Mous-
seuse. Ailledurs, fe roi avait demandé
24 bouteilles de Porto ; une Caisse fut
dent suptrieur/renvoyéee : le roi ne pouvait comman
aio’ ruiueuse du ptys pac les |en pays de protectorat n’accepte pasjder que 12 a fa fois...
« G2 sont de menus fails; ils
indiquent a quel genre de_ tracas-
series le successeur de Nordiom
peut-étre soumis, de la part d’un Ré-
sident supéri-ur, actif et intelligent.
« A coté ds ces mille vexations
quotidiennes, il faut noter des attein-
tes plus graves.
a Jusgqivici on ne s’était pas immis
« Le roi n’a pas la libre dispo
revenus sont’ Kolon « fet» dela coupe de la \Houp-. pousser vers le grand Cap de I’existen-
ma-'pe. » Jusqu’és li p-berté, les princes.
comme celle-ci: le Heéxi- let princesses, au inilieude la téte ra
gardent une houppe, toujours
| ans, seize ans,
Mais voyons, pour tinir, ce qui se
passe en Annam et au Tonkin.
Ee
“Ta Question du Jou
(Vest ainsi que, a4 cdoté des nombreux
sujets de valeur, qui percent avec ow
‘suns parchemin, quifont honneur a la
France dans les iet res, les sciences ou
les arts, — on a ence pays la longue
‘série des ratés, les « fruits secs du
'bacralauréat, «se réclamant trés fort
dun dipléme qui ne prouve rien en
leur faveur, sinon que le temps qu’ils
font perdu a lobtenir, — ils Poussent
imieux employé en l’employant a faire
‘autre chose.
| Mais entin, de fagon ou d’autre, le
;jeune homme a traversé lépreuve : le
led daps les cérémoni2s suprémes de! voila bachelier. Aprés qu’on I’a aidé a
‘franchir ce promontoir, il reste a le
ce, qui devient un fameux cap des Tem-
pétes, par le fait méme de l’ambiance,
Pour accomplir ce grand voyage vers
GRAND PRIX
HORS CONCOURS
Rhum Barbancourt
MEMBRE
1881. Exposition a’Haiti
( Mention Honorable )
188 Exposi:ioi d' Haiti
Médaille de I classe
i8s3 Exposition d’Amsterdam
Médaille d'or
1385 Exposition d'Anvers
Médaille d’or
1885 Liverpool
Médaille d’Argent
1887 Havra
Meédsille d’ Argent
1389 Paris ( Exp. Universelke >
Médaille d'Argent
ik9l Kingston ( Jamaryue )
Diplome d'honneur
1891 Médaille d'Or
Paris Hors Concours
{| Membre du Jury
18903 Chicago
Meédaitle @Arvent
1895 Bordeaux
Meédailie d@Atvent
IX%))6~-FRouen
Medauille dQ:
Hors Goucours, Membre du Jury
Madame Vegve BARBAN COURT, seale dépositaine de da
Buarbaneourt et senie
DU JURY
S907) EL beuf
Medarve d Qt, Hors Concours
Membre da Jarv-Grind Prix
{SOX Paris
Meédaille d Or, Metmnbre du Jury
1808-99 Faris
Diplome Hors Concours
1899. Philadelphie
Mention Honorable
101 Buffalo
Meédaitle d'Or
1902. Paris
Diplome de Grand Prix
1904. St-Lojiis
Medaillle @Or
1G Sp.
Me daitle Or
WHI?) Paris
MaAdaille dor
tw7 TIuendres
Medaitle d’On
lo?) Jamestown
Medaille d'Or
manage Peden
propeactare des fortmates qui ont tut obtecie au hom
Barbancourties Mi tiulies dO: de tuutes les Expositions a pris ta suite des
affaires de feu sou mari. et se trent Alameme tall: sise Rue dies Cé:ars
Ne 7, a la disposition de si nombreuse eiteantelsa dont les commandes se
ront exécutéas avec le memes sot que par le passe.
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lets de scr oun. oo: oistatent 2 da revue.
New-Yous. -- Avtaro Arsemcio, pretre
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Men ‘iss ment de Lé gdne
nee du 1* Dimanche de Juill t
& maior; Loe
djorité étant régulidrement consta-
Da rds est ouverte.
» ON procéde Ata sinction du
Ver : :
du sroal ue la s¢ance da tec diman-
modifeai Juin qui est sanctionné
‘ation. Ensuite, au dépouille-
, Ci Correspondance.
. ai, obit dent’ du membre D: mes-
Porte le C. f se tenir a Por.-au-Prin-
ion en dig 4 connaissance de l’As-
Commune i nt que si son absence dans
¢ Léosane l'empéche d’étre
ac i ’ . . e
tif de Association, i} ne sera
Park 35
1 ‘ , . .
Pe vrai qu : Port-au-Prince ou il} blanes nous avaient laissé. Avec la bonne
correspondant D’ lee cle t de mombre vw conté nous y parviendron., car il ne
voyant ce - Dailleurs le réglement pié- "tis manque pas le pénie meee saire pour
5 ces membres correspondan y cans ar ver a bonne fin. A ia section rurale de
routes les villes de la République. L’ Asso: | lt Grande Riviére, je p ins aussi, dit le
Membre Corres a M. Demesmin Tests | conseiller, que'ques j unes qui me tras
3° Crest tne ey ort-au-Prince. j vai'lent pes: soccupant exelustvemeut du
MEG & Coa Ne vonaison Squer combat de cogs Liassve auion deplore ¢et-
1 I’ Association low qui efivole | te situation et regretie qu ifnyv ait pas
un catalogue de tous lesfune bonne police dius nos cunpagnes
wus cn machines quelle confectionne. | pour rappeler a fa raison les y ones gens
pres eon iris lecture de cette lettre, les! ga se seatengines days Lt manus ise vole.
le cata! ° te norgnent leur regret de ce que Le Conscisler de Merne Chandelle dé-
gaat 20k cco anya ese [lar gue see ans ya uh Ta
ni ne P -TIp sant{coron, mauviise récolte de caté par le fait
comprenant !’anglais, cependant ils| des plures ga’on y avait en Décembre et
ne sont pas moins flattés de la gracieuse | Janvier. Petit Boucan — Beaucoup de pe-
qhrention de icrmeenra Waneven arena tit-mille, de manioc, la plantation du
remerciement et de te icitat ‘ ettre de cacao se poursu't. Mauvaise récolte de ca-
S tement et de te.icitation 1 Monsieur | fé, Pas de pluie, beaucoup de voleurs.
>quer toten lui disant que les agricul- | Pargues. — Tout y marche bien, seule-
culteurs de Léogine seraient bien heureux | ment le vent de ob manche de rnier a don-
d’entrer en relationavec son important éta- | né beaucoup de déyats « Citronniers ».
riblssement si celui-ci vorlait bien leur] —pes voleurs dcevolent les habivants tra-
poten a a4 catalogue en frangais. vailleurs. Gros Morne — [5 hibitants ont
fassant ad autre point, le président té- | perdu leur récolte de mais, pas de pluie
molgne le regret qual éprouve de Vabsen- [a récolte du) pois est nulle. A Fond’ oies.
cu du trésorier car, dit le président, on va] Tyés maavaise récolre dit le conse'ller, 3
perc faire les elections et le trésorier Petit-Harpon. Tout marche bien, mais la
Hee ee ee ca done ve sécheres.e y reygne en veritable tyran, les
ccssuite oe [ (eit cree ene ned. arbres protectcurs des caféiers tombent et
guchee au tiéeorier “IL ee docidé te \e éerasent ces catclers. Ie président dit. que
tresuricr sera invité. par | we q c'est par 11 faute des cultivateurs qui au-
POSOFIST Seta TYNIE, par int re, & presenter | raient dai détruire ces arbres ma.ades avant
when eae Ala prochaine séance. Le pré-] de les laisser tomber sur les catélers, car
sident parle ausst da relachement qui exls- | sarge gue par le faitde ta maladie ou de la
ic dans la correspondance qui devait exis- | vycillesse ces arbres menacent les cafeiers
tc . . . z + ' ‘ , 1 : : . ‘
wr cnr ie ’ssoclaons, de l’Arrondisse-] gi its protegent i taut les emonder ct les
ty ie . penne: etait nf chose i CS jabrire pour ne pas leur talsser le temps
1 > ) - y . . -
Ch ora ie, ct,augue 1 merite e por de tomber A leur fulse, ces arbres
doivent @tre déiruits. Fond-de Boudin.—
Les voleurs y sont terribles ct surveiilent
les travailleurs plus que ceux-ci peuvent
les surveiller, ils dévastent les champs, le
vent de dimanche dernier y a fait beau-
coup de dégits. On a planté bearcoup de
mais. Un des membres z aussi parié des
revendeurs, de ces femmes des champs qui
ter remede.
Le membre Labissitre observe que cet
éiat déplorable de choses cst la consé-
quenc? du mauvais vouloir ou de la mau-
vaise volonig de ceux qui sont appelés a
faire exister cette correspondance qui est
si nécessaire dla bonne marche de l’Asso-
ciation, si chacun faisant son devoir, si
ve fs . 1 > ° . : .
i, v tres bien, mais en y meitans Ua peu! laissent leurs occupations pour prsse leurs
e bonne volonté toutes les choses mar- journcées au marché faisant le métier de
cheraient 4 souhait. La responsab.hité, tou-! pevesdcuses. Il est décidé que |’ Associa-
bs la responsabilité ingombe 4 ceux QUINE | tion s’en plaindra au Consenl Communal
eee ls eur sbi Dien queen ayant ae- pour qu'il y puisoe porter re méde.
“ope - } _ . - . , : '
cope Ha espons 2D ILE Lo, , P.us rien n’déiane a ordre duo jour, ia
On passe cn revue la situation de VA-) ceince est levde
griculture dans les sections rurales. Dar Sone: A. Bénddiet, plantear, N.C
phe: A. Bénédict, plantear, oN. .
bord, cest le conseiler de la Grande-Ri-
viere qui parle des travaux d importance |
qui ont etd cthectués par les autorités milt- |
taires dans la section de la Grande-Rivie-
re. Ainsi, continue-t-il,en face de Moman-
ce, il existait, par le tait de fortes averses,
de véritables tondri¢res qui menacaient
d'eng!outir J chaque instant les voyageurs
Gaéijens, trésoricr, Justin Séraphin, B. Al-
fred, M. Payen, T. Lechard, MM. La-
bisstere, N. Innocent, A. Colin, M. Dau-
triche, Jolius Jolicwu. et B. Bercy.
A Vendre
que la nuit surprenait dans ces parages.; Un buysy Feitch reparé en neuf.
La route défoncée encet endroit a te lit S'adresser uu bureau du Journal ou
ala « Carross:crie Haitienae », rue du
Champ-de-Mars, (chez Alexandre
| Brie: et Desdures ).
ey
Attention !...
téralement arrangée. Cependant 2 laGran-
de-Rivicre on se plaint du manque d’eau.
Le président observe que c'est tres difficile
et impossible méme que tous les petits
proprictaires exigent qu ils aient de l’cau
en abondance. Quand la dis ribution d’eau
a été établie, 1 y a de cela fort longtemps, |
Monsieur Antaur BALMIR
on avait es:imé un canal par habitation, == Aytiste-icco ‘deur, réparateur de pta-
c’est-’-dire que chaque propriétaire @ha-!
nos.
bition avait un canal pour sa culture, |
. os 4. tio \ eas -
mais aujourd’hui que tout¢s les habitations ! Déclare au pub'ic et a ses honora
sont amorcelées, 11 yaen moyenne 50 4° bles clients, en particulier,qu'il ma ja
’
elo a oe Te “eae resis . il
too propriétaires par habi ation, chacun de Malis Fenonce a sa profession et qu
; ‘bt9i ir lla se tient, comme toujours, a leur en-
ces petits propriétaires me peut avoir ere dic.osition
prétention d’avoir de Peau comme autre- | GIS 105 . _
fois unique propriétaire du canal, puisque PRAVAIL SOIGN& EL GARANTI
c'est la méme disrribution d'eau que nous S'udresses au No91, Rue du Peuple.
avons, ce que nous souhaitons, RS
nous tous cultivateurs nous mettions de dtel Bellevue
e
la bonne velonté nécessaire pour avoir un
autre systeme de distribution d’eau, car il) Le mieux situé, le plus con-
n’cst pas dit que nous devons rester avec fortable.— Champ-de-Mars —
le méme bassin de distribution que les Cuisine renommée.— Vue sur la mer-
| le partage, COMM
Bougies de Stéarine
Nous apprenons que la Fabrique de
'Pongies de Port-au-Prince confection-
ne sas bougies avee de la stéarine de
« Gouda» et qu'elle tient ala dispo-
sition de ses clients n’importe quelle
quantité de bouyies de 16 et 20) par
poches,
anque Nationale d Hai
Conformément aux instructions du
Secrétaire d’Etat des Finances, la Ban-
que Nationale d’Haiti a VPhonneur
dinformer les vorteurs de Bons de
Coupon et de Bons fractionnaires de
la Dette intérieure convertie et Cconso-
lidée, «ils penvent se présenter a
ses puichets pour toucher une sixie-
me répartition ( 67 ) de dix pour cent
(10°. ) sur le montant du (Coupon
No 16 contre recu et sur présentation
des Bons.
Port-au-Prince, 10 Septembre 1908.
coe — EE EE
Propriétés a vendre
wise (iaraund’ Rue, en-
Amilear Da-
guest.
une a
Une propriet® sise
tre les propriétes > MM.
vard et Barean Maitre, facade
Deux autres a Anse-a-Veau,
Carrefour Georges et Pautre & barriere
Georges en face de M. Nelson Arnoux,
S’adresser AM. SIMEON EuG. DUBOIS.
Pres de la Gare. Avenue Dessalines Noâ€
Port-au-Prince
= — —-
——_—— ee ee ——: —
—
Avis
Ia soussienée, déctire aux notaires
et arpentenrs de la juridiction de
Port-au-Prines, quelle s’oppose for-
d’ar-
mellernent a toutes opérations
pentage et de vente, des terres de
habitation « Colaré » dela Se sec-
tion rurale de la Gascoyne ( commu
be et arrondissement de Mirebalais )
jusqu’s co qne la justice en ordonne
biens provenant
feue Nicole Cola-
de fla sireeession de
dont
ré, dame Veuve J. B. CHAUVET,
elle est uns des héritieres
Mine L. A. VIEU
nea BauNnerrr HENRY CADET.
vee eee eee
quam - = => See
JULIEN FLORUS
Ancien éléve de la 26* Compagnie
Qouvriers A Artillerie ( Lortent )
Se tient a fa disposition du public
pour to.s travaux de FORGE, et d’a-
JUSTAGE, de REPARATION de coftre-
forts etc. etc. 4 de bonnes conditions.
Rue de la Révolution Ne 19
Vis -a-vis de la Chambre des Députés
eee
Poudre Dentifrice
ANTISEPTIQUE
DE
A. BONHOMME, PH«RMACIEN.
Prix A VExposition communale da
4¢° Mai 1907 de Port-au-Prince.
Dépét: Pharmacie St-Antoine
Avenue John Brcwn ( Lalue ).
PORT.AU-PRINCE ( Hartt )
Prix de la botteG@. 1.650
bel heritage, on bien une
ble. .
Loheriteye am de tan at prepare avec
Unb soli peraan eft ooo asfodat, ab towed
deovaleur fs foat repos pro tats cit de
bownes presses rents pun dui )
rout UneeSistemee dares. ebe. prepote
3 WsSlbt a
tionjnuile assez souy abt: pataibte frane ,
Pee es VOUS tachez de
qalseoest tise der ta gecreat a eouuii-
Putron, car st Voy saves ant dep meer
des oenutants abe foustie ou taeda
adacdemuedouz dec e poarteqgae ceuti ds
formmerut eb vieticat trag vite Tos
meres, ~ cele ata cicore ce grave
IneguVenpent de faire aa heeiters sae
curriere no-
| Pnthde
1
position deo Poulan otto ‘diocre et.
pasassez en rapport avec leur ring
dans ob: anomde. oelest clbos tar ‘hh
Commu que ba diya ation rab da ode
b-bies
Syahid te premier rang que par la cule
la Beeiee, reésie peur cette ese spe!
cidle Qecote be dee tea Raat. Obs
bea carrbere, ag beter tae be pat
feeace dans le Dot ial Mle ine. ta
Diplo wre TAD barstr tion ty Pode
ti gue. Ges spac pres fe Pa timbedu ras
tie.
Ciepor bent toa eel g ge Va qas teat
sem eb ge pete Pb meas oth apadte
upc fteb athe at pete Sets eb ts
che woth cdan Ptosorr; tp hd Myre od,
Ce
bas Nea beatles, Nbr sie boy ft ttt ob We
brett, cb Penn Get tease ae pa tet
Ges codes, or bartopetesd ty Seep ase
a fore pet ete yey ocef oe ates Pats pits
hae athete beads Gee tes tai te
fobs pele testo: Doontte dene ce
pus tat eee etre coda aticetil pee tlie
Vinccedix neabetances adveree. kr tes
Chanees fe protecthen ots plas oon
Inoites des men s poets todas me debe
cent pas oltts tae bien seuscble me:
gure les chances de succes.
Rtoem coat cae a fk outet tem paste
Plee ode ce que est qavobteare aoe
protection 7 Thy a be certes une bere
sae dafiar agent ophrs eats, Hit trois
pour part ume certara digatte. gees |
teaassad dep as preniide 7
‘situation da peuple frangais dans le
ptionde, — tecrivaitil pis dernerenient
othabsition » ? -—- Qie peut
fier
(le vieux DAomo:
Paeredbbom, .
ab ane sifualion
ol Voth eitart a tame alib pay ses
Vo eet Pow og poet de Pine
depen taice. de vedi tse Palyon dhe:
Peete addes ethorts deyesiets. de lao sues
répandue.
deoobeneas tit bicptretmage a da
serrate bette, Pheoaktrable de ha
Frotece bets de chou ia oo setem tlh pe
Hitteraire eb arfistrypme. car de Pateene ay
duaoridicule, Bobet dee peep itnstste
Sub ce popat os Phe oe ds pees ee gies
je pn tynetais ed beter ow Ta Pratiee,
comme fe pretend te Poetear Nemours
Aticuste. —
ket en tout cas, sb
quae deo soutema abe
les pouples ot uo saNenes out
elle une av urbe radeler,
ge woete suafttisanpaesc tattle doyjtpor
déminents aeye His ftoatee cbs. et ort vats
najouterait pos un ton, aim dei ton,
nin qiueart fe ton acette tote venerale
de dénigrement.
Mais est-ce bien la ravaler,
en employant ce terme, en a-t-il
sdirerre
’ so.
che Tt
Jaw raviler op
OTP p beet,
pruids
ba diese
at
i
tettasd se
etle Dr
bien
(1) Malheureusement cette abondance de
Vargent disponible n'est point due unique-
ment au travail national; cle provient en
artic de causes tactices, qui ne sauraient agir
icn longtemps encore, et, pour tout dire, de
causes qui sont plutot un symptome de déca-
dence qu'un symptome de prosperite, ~
Cette abondance de Vargent est Wabord ac-
crue chez nous par te fan dune econoniie
Wenfants. Ono sait tropsque tao natalite en
France vaen diminuant presque @aunee en
annéc, ct que, Wapres le dernier recense -
ment, les décées Vemporlent sar ites natssin-
ee., phenomene qui se produit tres) rare-
ment dans Vhumanité , actuellement, if est
spécial 4 la France et la place apres toutes
les autres nations. -— Ed Demolins, — A quoi
tient la Supériorité des Anglo-Saxons.
/Pegession ?
lopouton dept cutee sur des a: iversités
Dtbang bss) pe eons quvon
toove La sigaification ? Ne serait-il pas a
la hiaterr de comprendre que cette
gronde nation frangatse est pourvue
Se via
dune satlisunte surface pour n’éire en
tien diminuée par des eritigques mot:
vees dont veut él Vobjet soa systeme
education 2?
Au surplus, voyez avec quelle élo-
démontrer Vin-
[cio ® angle saxonne dans tous les
hecunapaes > dilfeéraire, commercial, in-
ts aniieate, colonial, -ete., ele.,
ele, Eet-c+ que vous vous vantetiez par
host d Vavoc ainsi ravalé les peuples
litpio saNnone 2 Pens) z-vous qavil puiss2
-ufline da sive a panache dun puis-
sant ecevain, pouc démolir a coups de
phrases fa puissance anglo
saxoone? Mas revenons a li France.
Le grand domm ace pour elle, cvest
juecdins Porte des supériorités par
oll Saitesicat be foree, La paissance, la
vitiulife dain pease, elle toccupe js-
du regretté défunt qui: fur un rude travail-
leur et un honneie homme.
2ENSEIGNEMENTS
METEOROLOGI JUES
—_— ——
LIbhbaervatoire
DU
SEWMINAIRE COLLEGE S.-MARTIAL
—— ae
Vexprept 18 SEPTEMBRE
Barometre ’ midi “61, 74%/™
minimum 22.2
Température maximum 35-6
meysnne diurne 27. 6
Ciel clair le main ; nuayeux Vapre -mi-
dis clair) 8 h. da soir. Nombreux éc!airs
tu nord a7 bh. du sor.
L: barométre est remonte.
R. BALTENWECK
Revues du Marché
Depuis nos derniers avis, la prime pour
trai des ccteaptes. des fettres et dea], oo : : Looe
arts Masece qartahete admirablemeit | 6 OF américain a continué 2 oalsser. De 735
Oodommate, eestqae, a La minute; taux de fermeture de samedi dernier,
‘ ot ’ t ‘ . . . ay . . '
prectescu be De Augiste steseriime a nous ouvrons cc matin L650 Mee
. Nous avons dit derni¢rement que les
tein aire: qavetieesten possession de
Uperoritts sans exception,
Hos Weuts de Frome nous
foutoentea tre combien i ese tronipe d.
teas des Francais qai pensent sout
(hanes a reconmitre que cette gran
deareion dest aecomplir un supréme
edlort, pou tatraper la distance qui fa}
Seconotabpuement deoses nivale s. |
' ‘
ebtes g
fords j te.
te
whol ge
bin Hatieme, le vieas Democe tte
boa Paeiteateur a9 — potre confrere en
un loonie tres do-
Atagtho s INonES ee,
li veritable
Cunemte ef bres verse® ser
état de
siyni-
»
eal
bien
une decliration si citegoriypue
rite en be faiscrt, a-t-il
Voulu gonstiler autre chose que le tra-
Wil adouel se livrent les frames, en
Varo de pisser bane fieatian mee tise
menleure? Autrement,
Vaccompiinueat-ils pas un travail de
gue: - @¢ La France est
Pe tpn eu reveuir a votre
’
povure
niaurait
pas besota te lear « donner de Pair, »
thodes nea minqaiient print; qual
me sebu porit oe cessaire dec ne pas
tes Veelei au seules speculations de fa
pare B, si elles n’étaient
seraees aces suecalations-lay» — que ce
nooseroatvades dapeine « d’élargir les
le ormoditiee des prugcama ss,
eux efudes pratiqaes une part
Sites cntin, -si les cadresn’ét rent
veooutus trooelroits, si les programmes
Pepouditents dtoas bas desiderata de la
Societe inederde oo, - st ba nart faite
ta Noe rinides pratiques était déji sufli-
Sta Pare,
FLeuny FEQUIFRE
pasansee eras oye
PAINS DIVERS
Déces
avons rega le
ry 4
~Aat at
ode!
Le tine
x
———— ——_ —
Nous fiire-part de la
no:rt de
Jews Procipee Saint) Louts GEORGES.
Ceombre-sondatenr et ancien conseiller de la
Compagnie des Pompiers Libres
de lua Cupitale
dicddé hier 404 heures de l'aprés-midi.
‘Senterrement aura lieu cet aprés-midi, en
i'Egt-se Saint-Joseph.
Nos meilleures condoléances 4 la famille
no nr a Ee rr ne NN A Steerer
ec wu
a ee SPenapinpeee
népociants du Bord-de-Mer allacent baisser
les prix de marchandises en proportion de
cet deart considérable dins le Change ;
mas rien n'a été faic parait-il — et ces n¢-
wciants gui vendent sur la base de go0%/¢
depuis trés longtemps — ne veulent pas
comprendre qu'il y va de leurs propres in-
tdre's de diminuer lours prix. Nous espd¢-
Irons gue Ja semaine prochaine nous cons-
taterons cett: balsse tant les
Sons yMimateuLs.
Leencaisse d’or des Banquiers a été vite
épuibsdée par suite de ces ven‘es qvils ont
du faire toute la stmaing, ce qui a mieesst-
té quelques ventes d: trauesd des taux re-
‘itivement bis ; on a vendu du Himbourg
Paris 21/2 9/9 et du Paris direct 2 °/%.
Les Cheques sue Paris sont demandés a
1 2
Les Cheques sur New-York Arey,
Le Cacao est 1 Frs 56 ct le Cifé a Fes.
44:
Les livraisons de cctie dernicre
ONE attcint 2000 sles envire:.
Port-au-Prinrve, le ry Septemtre 1908.
Alfced Gardere
Notre sympathigue ami A‘tred Gardére
ayant jugé discourtuis c¢ rains termes
emptovés dins notre compte-sendu de jeu-
di dernier de Vaudience duo Tr.bunal de
Paix, section Nord ou il eut 2 présenter
les ctrconstances intéressantes de latfiire
Barthe-Monbeleur, nous nous faisons le
devoir de déclaver gu’il n’a jamus été dans
nos intentions de porter attein-c’ lhono
rabilité d'un de nos concitoyens les plus
estimés et les plus respectés.
St quelques propos ont paru icyers ou
vailleurs A notre confrére ~Altred Gardére,
conme on le sit, écrit partois d’étincelan -
‘es et humoristiques chroniques signées
Alfgard — nous le prions de n'y voir que
la manifestation dcs sentiments d’amitié
que nous professons 4 son égard et qui
nous ont suggéré quelques plaisanteries fa-
ciles.
Au surplus, nous serions heureux de le
voir convaincu de toute notre estime pour
ui.
désirée par
wow
3
denrée
.
Vol
Hier matin, 4 six heures, en l'absence
de Madame Elie Mcénos, un voleur a pé-
nétré dans son salon et a enlevé une
lampe en porcelaine rose sur sa table cen-
trale.
Eile donne avis 4 la police et au public
pour qu'elle soit renscignée de toute offre
de vente qui serait faite du meuble en
question.
ees |
Justin Lauture
Nous avons eu le plaisir d avoir
quelques jours parmi tious notr
sieur Justin Lauture, Ad
Finances de Jacmel. Il lai
la Capitale pour reyipner
Nous lui sohaitons une
sée,
Otre ami, New
Ministratear
SS¢ aujourd’ hg
SON poste,
heureuse travep
Fuangailles
Nous avons regu, de Paris, le fai
des flangailles de Medemoiselle Na
Jean-Josepu, fille du Ministre d "Haiti, ange
Morsieur J Avupry,
Chaleureux compliments aux fianeds
aux tamilles Jean Joseph et Aubry,
Arrivage
ze matin est entré le s]s « Altals ag
les passagers suivants venant de:
Port de*Paix : Mile E Madiou, P. Ap
bry, S. William, Pere Lavain, Moevan, §
Pépin, A. Fouché.
Cup Haitien > C. Dejvie, S. Prin, &
Rousseau, Vornaret, Bloncourt, S. Benjy
MmIp.
Gonatiws: EL Ro cor. Buauharnais Jo
Frang vis, Pére Richird, A. Meze et ee
trait, Mr P. Maurice.
Caup-Fattien » Be Sévere.
Chronique des Tribuniux
TRIBONAL DE PAIX
SECTION NORD
Riboul-Ginéus
Foule hier au Trbunal de Paix oi dee
vait se vider (atfiise Riboul-Cinéus, 4 pro
pos de vente ou de lousge de cheval. Une
enguéte avait été décidee 4 la dernidee
audience avec audiscon des témoins,
Ceux-ci se sunt présentés en nombre,
| Ls ne vont rien dire de clair, rien capee
ble d'asseoir la conscience des juges. Ils
sauront et ne sauront pas, aiternativement
mais dans ce méli-.né!o de paroles cone.
ses et vagues, il faut que la vérité sorte @
u’une décision suit prise. Oh ! ta femme,
ans tout, comme dit Duinas, chercher-4e
Elle restera toujours un émigme an oe
variant. Louise Duchemin, femme de
néus, déclare que son martavait réellemest
achetéiecheval; d’un autre coré, Louisioa qa
estla chére moiti¢e de Riboul,’ maintient, #
firme, ed: meme juré que son mar n aval
pas vendv, mais bien loué pour plusiears
semaines con cheval 4 M Cineus.
Entre ces deux femm.s en présence pir
nait une cer'aine suspicion que pooval
bien Iépuimer leur étrange situation. Elles
ont chacune 14 leur amour, leur affects
x défendre au prix du plus grand mensow
ge et contre le§ cris d’une conscience 100F
gynée. ae
Nous ne pouvons pas reproduire ict 10g
tes ces declaraions contradictoires qu) on
rempli l’espace de ce Tribunal ou a
nous manqua:t barid par tous
étres humains venus li pour _colorer Go
vérité gu’ils ne veulent pas dive et 46
ne diront jainiis — Elle est peut-eure
de la responsabilité de ceux qui Om! Fe,
re de | mblabies et davow
ge de juger leurs semb ar
se prononcer, en dernier ressort .
compte. Dieu leur pardonnera 4
ment dernier.
Le Tribunal se
prochaine.
"Ligne Hollanais
proncera 4 I's
Le steamer ¢
venant de New-
ives, sera ici dimanche mato,
courant. It repatira dans la jou
pour Petit-Goave, Cayes,
Curagao
Port-au-Prince, 19 a ’
GERLACH
|
Full Text |
Peuxieme Année, No 442. PORT-AU-PRINGE ( Haitt )
Samedi, 19 Septembre 1908.
- Abonnements: Dinecreur : or
ves Un Mors. . . G. 200 ns , loi
PORT-AU-PRINCE Trois Mos. . « 5.00 Cilément Miagioire,
MENTS) Ux Mors. « 2.20 -
DEPARTEMENTS Trois Mois . « 6.00 REDACTION-ADMINISTRALION
ETRANGER.......- Trois Mors. . « 8.00 45, RUE ROUX, 45-
ce qui concerne l’Administration du Journa..
Pour tout
——< —— —— =
wed: 8889. 5 oy onsi-ar Arthur ISIDORE, 45, Kae Roax ou Bonve-Foi.
{ e« Les eredits de la chaloupe du
.
IV
Apres a Gocnincmine, explorons .. | Memeremaryue que pour Jao Co
Cambo3y-, chinchine a légard des maison; d»
Daosc? pa.s Soumis au profecto-|jeux t « Au Caibodge, le jeu sevis-
ntfrangais, la Fiance a commence’, !sait avec dautant plus de fureur. (que
@ledéout, i excspérer les popula- | nous avous organisé le protectorat et
tos, témovns ces lines caractéris-}les finances du Cambodye, de telle
| fques : sorte, que les jeux sont a peu pres la
PeleCimbode> a été soumis par s‘ule source de revenus laissée par
tats Je ixit Aun régime de pro- {nous au roigpour payer les dépenses
leclorat asses wine. mais des actes dle sa cour ct de Vadministration in-
fbséquents. poss au roi Norddom | digene. » (De Lanessan ). «@ Depais
Acouroinées pir un teait® de 488%, /lors, le scandale est devenu tel quan
sat intervenus dans fa but de ores- {a obligé No:Oofom a fermer ow ne
wrernotre oe sur de pays. fl en, ement les tripots. » (CL. Poinsard).
Wrélié la vaste insurrection de 5S! « Eo Annam, au Gambodge, au } aos
Votha, qub ives deux ans et ocea-tnous exergons des†protectora's. I:
!
'
tn a
paune petiie ati. %e de 6.000 hom-! faut voir comment nous ,protégeais |
Ms. En Issn, on sembla vouloir! Nous devions protéger le Cambo Ize,
tandonnes Is nouveau régime, Jes {le Laos contre le Siam. D'un trait de
Woupes fires! rtoapoides, et aussttdl lafplume, nous avons abandonn' at
Mz oseorcuhls: weile-eméme. Nous|siam, par le dernier traité Dele assé,
W018 réussi neanmoims, en pesant|deux provinces des plus cheres) aux
Wr le souverain. «\ nous emparer des|Cambodgiens, nous avons livré au
WVicas pubaes tes plus importants, | Siam une tive du Mé-Kong laoticn.
amnzat de lt perception des im [It suffit: davoir approché queiyues |
Met de Pa dusuistration de la jus-]|instants Norédom et Zaccharine, [es
entre Euroncens et entre Euro-| deux rois défunts, pour avoir éé le!
ns etindiye-nos. Hen est résulté un| confident de leur dégoat, quils reve-
Siis presque immédiat, » (L Poin-|laient & tout visiteur. » (Jean Ajal-)
mi . bert. ) ;
En résumé, vien ne ressemble} « A mon dernier voyage, il y avait
$a un protectorat que le régime] la un Résitent supérieur, noté cuom-—
Ul nois avons soumis le Cam-|me des plus actifs et des plus intel-
We: financiérement, c’est Uex-|ligents.... Mais un Rési
sclonnaires de la Cochinchine; ad-|de ne pas etre le premier personage |
Hativem ut et politiquement, jet le plus représentatif : le rot ne vint,
@ désordre ut anarchie. » (De| qu’apres. Notre résident, pour rehaus-
aL a ser son prestige, avait créé une com-
‘“unilé nous asservit beaucoup] pagnie de lanciers et ne sortait plus!
in avant... Notre budget nous a|sans escorte.... Mais les budgets sont
P9384 sans phrases, a coups. de |!imités ; qu’a cela ne tienne t Iby a:
tout eos 4 Paris... Régie, j 1s-| moyen de les augmenter en rolissant:
ious a epeni de la Cochinchin>. {sur la liste civ:ile du roi, qui ne la
tnous wu? om nt pris toullargent|jama s touchée...
Miter par lt) Pu disposer pour
ar lee tt situation, sans nous|de son argent, et 3es :
ts que charges: lucueuses et nui-|singuligrement rétrécis par des
> la Govchiuchine et la mé-| neeuvres
frangais, établi ri
*s li A Pnom-Penh, tain’a pas d argent qu’importe,
*). ‘est bien 1a pour 30.000 piastres.....
le avira: ie
nous imposent. » ( Un rési-|dent veut créer un groupe scolaire ; 'sée,
le roi. ceinte de tleurs fralches. Vers , quinze une destinée sortable, deux voies s’ou-
pendant plusieurs vrent devant lui; c’est, ou bien un
° ’ ° ,
( ) Mhsident sont épaisés trois mois
‘pdutot, Sous prétexte de je ne sais
hqaelle fete, of) le roi sera invite sur
— da chaloape, it devra participer a la
-dépens:), et fon devine jque sa_ part
vera prepondérante... Bref, on ba re-
prend la majeure pute de ce qui lui
est alioué sur les reveuus qu'on lui a
Combisgresce..
« West le Résident qui commande
fs galas otliciels, 4 sa guise, au Pa-
leis, ott il invite torte la colonie fran-
caise, O . le roa bien le droit, chez
ui, de fixer la hiérarchie etles con-
venances & sa guise. M. le Résident,
sa dame et 31 demoisell2 sont cho-
yués quela reine ne 6oit pas, tou-
‘ours La meme. Pour les visites, c'est
NUMERO 15 CENTIMES
Les abonnements partert du 1 et da rs de chaque
mois et sont payables d’avance
Les manuscrits insérés ou non ne seront pas rendus
jours, des cérémonies religieuses,
compliquées, précédent le rasage des
cheveux sacrés. TH faut choisir la sal-
son favorable, les jours propices pour
les retraites, les processions, les cé-
rémonies domestiques ou publiques
qui précedent ou suivent... Bref, c’est
une féle rituelle de premier ordre, & la-
quelle préside le roi, entouré de tous
les grands des religieux et dignitai-
res... Et le roi opére lut-méme...
| « L’année derniére, aux sons de la
Murseiliaise, |e Résident supérieur
gravit Vestrade, s’empara des ciseaux
et coupa la houppe d'un jeune prince...
« Sans doute, il pensait| agir pour
le plus grand bien dela République,
dont il est un haut fonctionnaire...
« Cela pourrait n’étre que ridicule ;
Fea eccmmode, en eflet. Mais enfin, |cest aussi tres grave, autant qa’‘inu-
' rot devrait bien tre laissé libre.
Kno réahteés ii est peisonnicr, Pb ne re-
tile... . et tout A fait francais! »
ne Jean Aljabert. )
coit personne qui ait une fettre|
Voila comment la France « protege »
daud:ence de la Residence. Et, sous: les Cambodyiens et leur roi , qu’on jue
ty nom de censenr, un administra-, ys de quelle fagon elle les « affran-
feareedloer a été installe au Palais. chit. »
Ii Voccupe de tout: a! verifie les cae
deaux qe le roi fait a ses femmes,
cee gut boat, ce quil marge. Je don-
‘ne comme authentijues les deux faits
rulivants.
« Le toi avait commandé du chaim-
‘pagne a an w’pociant., Le censeur re-
Mtournales uisses, sous le prétexte que,
Wihabitude, cu palais, on buvait une
autre iarque. Le roi manifeste sa
yréférence. N'importe, il estcondamné
par le censeur & telle boisson Mous-
seuse. Ailledurs, fe roi avait demandé
24 bouteilles de Porto ; une Caisse fut
dent suptrieur/renvoyéee : le roi ne pouvait comman
aio’ ruiueuse du ptys pac les |en pays de protectorat n’accepte pasjder que 12 a fa fois...
« G2 sont de menus fails; ils
indiquent a quel genre de_ tracas-
series le successeur de Nordiom
peut-étre soumis, de la part d’un Ré-
sident supéri-ur, actif et intelligent.
« A coté ds ces mille vexations
quotidiennes, il faut noter des attein-
tes plus graves.
a Jusgqivici on ne s’était pas immis
« Le roi n’a pas la libre dispo
revenus sont’ Kolon « fet» dela coupe de la \Houp-. pousser vers le grand Cap de I’existen-
ma-'pe. » Jusqu’és li p-berté, les princes.
comme celle-ci: le Heéxi- let princesses, au inilieude la téte ra
gardent une houppe, toujours
| ans, seize ans,
Mais voyons, pour tinir, ce qui se
passe en Annam et au Tonkin.
Ee
“Ta Question du Jou
(Vest ainsi que, a4 cdoté des nombreux
sujets de valeur, qui percent avec ow
‘suns parchemin, quifont honneur a la
France dans les iet res, les sciences ou
les arts, — on a ence pays la longue
‘série des ratés, les « fruits secs du
'bacralauréat, «se réclamant trés fort
dun dipléme qui ne prouve rien en
leur faveur, sinon que le temps qu’ils
font perdu a lobtenir, — ils Poussent
imieux employé en l’employant a faire
‘autre chose.
| Mais entin, de fagon ou d’autre, le
;jeune homme a traversé lépreuve : le
led daps les cérémoni2s suprémes de! voila bachelier. Aprés qu’on I’a aidé a
‘franchir ce promontoir, il reste a le
ce, qui devient un fameux cap des Tem-
pétes, par le fait méme de l’ambiance,
Pour accomplir ce grand voyage vers
GRAND PRIX
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MEMBRE
1881. Exposition a’Haiti
( Mention Honorable )
188 Exposi:ioi d' Haiti
Médaille de I classe
i8s3 Exposition d’Amsterdam
Médaille d'or
1385 Exposition d'Anvers
Médaille d’or
1885 Liverpool
Médaille d’Argent
1887 Havra
Meédsille d’ Argent
1389 Paris ( Exp. Universelke >
Médaille d'Argent
ik9l Kingston ( Jamaryue )
Diplome d'honneur
1891 Médaille d'Or
Paris Hors Concours
{| Membre du Jury
18903 Chicago
Meédaitle @Arvent
1895 Bordeaux
Meédailie d@Atvent
IX%))6~-FRouen
Medauille dQ:
Hors Goucours, Membre du Jury
Madame Vegve BARBAN COURT, seale dépositaine de da
Buarbaneourt et senie
DU JURY
S907) EL beuf
Medarve d Qt, Hors Concours
Membre da Jarv-Grind Prix
{SOX Paris
Meédaille d Or, Metmnbre du Jury
1808-99 Faris
Diplome Hors Concours
1899. Philadelphie
Mention Honorable
101 Buffalo
Meédaitle d'Or
1902. Paris
Diplome de Grand Prix
1904. St-Lojiis
Medaillle @Or
1G Sp.
Me daitle Or
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> PONS es wan AVEGCK a) ct ade y aruda
Ausrrarn. © Tountial Burord. srouver-
pgeur de SN ia occtdes ale a passe
tre revue de sj eo sotdars densi pe Tes
mrinsd: Pecube americaine. Do. mil-
lets de scr oun. oo: oistatent 2 da revue.
New-Yous. -- Avtaro Arsemcio, pretre
athohgne veaatt de Siinto-Domingo, a
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New-York [ioavarr ga une bille dans ta
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nee du 1* Dimanche de Juill t
& maior; Loe
djorité étant régulidrement consta-
Da rds est ouverte.
» ON procéde Ata sinction du
Ver : :
du sroal ue la s¢ance da tec diman-
modifeai Juin qui est sanctionné
‘ation. Ensuite, au dépouille-
, Ci Correspondance.
. ai, obit dent’ du membre D: mes-
Porte le C. f se tenir a Por.-au-Prin-
ion en dig 4 connaissance de l’As-
Commune i nt que si son absence dans
¢ Léosane l'empéche d’étre
ac i ’ . . e
tif de Association, i} ne sera
Park 35
1 ‘ , . .
Pe vrai qu : Port-au-Prince ou il} blanes nous avaient laissé. Avec la bonne
correspondant D’ lee cle t de mombre vw conté nous y parviendron., car il ne
voyant ce - Dailleurs le réglement pié- "tis manque pas le pénie meee saire pour
5 ces membres correspondan y cans ar ver a bonne fin. A ia section rurale de
routes les villes de la République. L’ Asso: | lt Grande Riviére, je p ins aussi, dit le
Membre Corres a M. Demesmin Tests | conseiller, que'ques j unes qui me tras
3° Crest tne ey ort-au-Prince. j vai'lent pes: soccupant exelustvemeut du
MEG & Coa Ne vonaison Squer combat de cogs Liassve auion deplore ¢et-
1 I’ Association low qui efivole | te situation et regretie qu ifnyv ait pas
un catalogue de tous lesfune bonne police dius nos cunpagnes
wus cn machines quelle confectionne. | pour rappeler a fa raison les y ones gens
pres eon iris lecture de cette lettre, les! ga se seatengines days Lt manus ise vole.
le cata! ° te norgnent leur regret de ce que Le Conscisler de Merne Chandelle dé-
gaat 20k cco anya ese [lar gue see ans ya uh Ta
ni ne P -TIp sant{coron, mauviise récolte de caté par le fait
comprenant !’anglais, cependant ils| des plures ga’on y avait en Décembre et
ne sont pas moins flattés de la gracieuse | Janvier. Petit Boucan — Beaucoup de pe-
qhrention de icrmeenra Waneven arena tit-mille, de manioc, la plantation du
remerciement et de te icitat ‘ ettre de cacao se poursu't. Mauvaise récolte de ca-
S tement et de te.icitation 1 Monsieur | fé, Pas de pluie, beaucoup de voleurs.
>quer toten lui disant que les agricul- | Pargues. — Tout y marche bien, seule-
culteurs de Léogine seraient bien heureux | ment le vent de ob manche de rnier a don-
d’entrer en relationavec son important éta- | né beaucoup de déyats « Citronniers ».
riblssement si celui-ci vorlait bien leur] —pes voleurs dcevolent les habivants tra-
poten a a4 catalogue en frangais. vailleurs. Gros Morne — [5 hibitants ont
fassant ad autre point, le président té- | perdu leur récolte de mais, pas de pluie
molgne le regret qual éprouve de Vabsen- [a récolte du) pois est nulle. A Fond’ oies.
cu du trésorier car, dit le président, on va] Tyés maavaise récolre dit le conse'ller, 3
perc faire les elections et le trésorier Petit-Harpon. Tout marche bien, mais la
Hee ee ee ca done ve sécheres.e y reygne en veritable tyran, les
ccssuite oe [ (eit cree ene ned. arbres protectcurs des caféiers tombent et
guchee au tiéeorier “IL ee docidé te \e éerasent ces catclers. Ie président dit. que
tresuricr sera invité. par | we q c'est par 11 faute des cultivateurs qui au-
POSOFIST Seta TYNIE, par int re, & presenter | raient dai détruire ces arbres ma.ades avant
when eae Ala prochaine séance. Le pré-] de les laisser tomber sur les catélers, car
sident parle ausst da relachement qui exls- | sarge gue par le faitde ta maladie ou de la
ic dans la correspondance qui devait exis- | vycillesse ces arbres menacent les cafeiers
tc . . . z + ' ‘ , 1 : : . ‘
wr cnr ie ’ssoclaons, de l’Arrondisse-] gi its protegent i taut les emonder ct les
ty ie . penne: etait nf chose i CS jabrire pour ne pas leur talsser le temps
1 > ) - y . . -
Ch ora ie, ct,augue 1 merite e por de tomber A leur fulse, ces arbres
doivent @tre déiruits. Fond-de Boudin.—
Les voleurs y sont terribles ct surveiilent
les travailleurs plus que ceux-ci peuvent
les surveiller, ils dévastent les champs, le
vent de dimanche dernier y a fait beau-
coup de dégits. On a planté bearcoup de
mais. Un des membres z aussi parié des
revendeurs, de ces femmes des champs qui
ter remede.
Le membre Labissitre observe que cet
éiat déplorable de choses cst la consé-
quenc? du mauvais vouloir ou de la mau-
vaise volonig de ceux qui sont appelés a
faire exister cette correspondance qui est
si nécessaire dla bonne marche de l’Asso-
ciation, si chacun faisant son devoir, si
ve fs . 1 > ° . : .
i, v tres bien, mais en y meitans Ua peu! laissent leurs occupations pour prsse leurs
e bonne volonté toutes les choses mar- journcées au marché faisant le métier de
cheraient 4 souhait. La responsab.hité, tou-! pevesdcuses. Il est décidé que |’ Associa-
bs la responsabilité ingombe 4 ceux QUINE | tion s’en plaindra au Consenl Communal
eee ls eur sbi Dien queen ayant ae- pour qu'il y puisoe porter re méde.
“ope - } _ . - . , : '
cope Ha espons 2D ILE Lo, , P.us rien n’déiane a ordre duo jour, ia
On passe cn revue la situation de VA-) ceince est levde
griculture dans les sections rurales. Dar Sone: A. Bénddiet, plantear, N.C
phe: A. Bénédict, plantear, oN. .
bord, cest le conseiler de la Grande-Ri-
viere qui parle des travaux d importance |
qui ont etd cthectués par les autorités milt- |
taires dans la section de la Grande-Rivie-
re. Ainsi, continue-t-il,en face de Moman-
ce, il existait, par le tait de fortes averses,
de véritables tondri¢res qui menacaient
d'eng!outir J chaque instant les voyageurs
Gaéijens, trésoricr, Justin Séraphin, B. Al-
fred, M. Payen, T. Lechard, MM. La-
bisstere, N. Innocent, A. Colin, M. Dau-
triche, Jolius Jolicwu. et B. Bercy.
A Vendre
que la nuit surprenait dans ces parages.; Un buysy Feitch reparé en neuf.
La route défoncée encet endroit a te lit S'adresser uu bureau du Journal ou
ala « Carross:crie Haitienae », rue du
Champ-de-Mars, (chez Alexandre
| Brie: et Desdures ).
ey
Attention !...
téralement arrangée. Cependant 2 laGran-
de-Rivicre on se plaint du manque d’eau.
Le président observe que c'est tres difficile
et impossible méme que tous les petits
proprictaires exigent qu ils aient de l’cau
en abondance. Quand la dis ribution d’eau
a été établie, 1 y a de cela fort longtemps, |
Monsieur Antaur BALMIR
on avait es:imé un canal par habitation, == Aytiste-icco ‘deur, réparateur de pta-
c’est-’-dire que chaque propriétaire @ha-!
nos.
bition avait un canal pour sa culture, |
. os 4. tio \ eas -
mais aujourd’hui que tout¢s les habitations ! Déclare au pub'ic et a ses honora
sont amorcelées, 11 yaen moyenne 50 4° bles clients, en particulier,qu'il ma ja
’
elo a oe Te “eae resis . il
too propriétaires par habi ation, chacun de Malis Fenonce a sa profession et qu
; ‘bt9i ir lla se tient, comme toujours, a leur en-
ces petits propriétaires me peut avoir ere dic.osition
prétention d’avoir de Peau comme autre- | GIS 105 . _
fois unique propriétaire du canal, puisque PRAVAIL SOIGN& EL GARANTI
c'est la méme disrribution d'eau que nous S'udresses au No91, Rue du Peuple.
avons, ce que nous souhaitons, RS
nous tous cultivateurs nous mettions de dtel Bellevue
e
la bonne velonté nécessaire pour avoir un
autre systeme de distribution d’eau, car il) Le mieux situé, le plus con-
n’cst pas dit que nous devons rester avec fortable.— Champ-de-Mars —
le méme bassin de distribution que les Cuisine renommée.— Vue sur la mer-
| le partage, COMM
Bougies de Stéarine
Nous apprenons que la Fabrique de
'Pongies de Port-au-Prince confection-
ne sas bougies avee de la stéarine de
« Gouda» et qu'elle tient ala dispo-
sition de ses clients n’importe quelle
quantité de bouyies de 16 et 20) par
poches,
anque Nationale d Hai
Conformément aux instructions du
Secrétaire d’Etat des Finances, la Ban-
que Nationale d’Haiti a VPhonneur
dinformer les vorteurs de Bons de
Coupon et de Bons fractionnaires de
la Dette intérieure convertie et Cconso-
lidée, «ils penvent se présenter a
ses puichets pour toucher une sixie-
me répartition ( 67 ) de dix pour cent
(10°. ) sur le montant du (Coupon
No 16 contre recu et sur présentation
des Bons.
Port-au-Prince, 10 Septembre 1908.
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S’adresser AM. SIMEON EuG. DUBOIS.
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Port-au-Prince
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Ia soussienée, déctire aux notaires
et arpentenrs de la juridiction de
Port-au-Prines, quelle s’oppose for-
d’ar-
mellernent a toutes opérations
pentage et de vente, des terres de
habitation « Colaré » dela Se sec-
tion rurale de la Gascoyne ( commu
be et arrondissement de Mirebalais )
jusqu’s co qne la justice en ordonne
biens provenant
feue Nicole Cola-
de fla sireeession de
dont
ré, dame Veuve J. B. CHAUVET,
elle est uns des héritieres
Mine L. A. VIEU
nea BauNnerrr HENRY CADET.
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quam - = => See
JULIEN FLORUS
Ancien éléve de la 26* Compagnie
Qouvriers A Artillerie ( Lortent )
Se tient a fa disposition du public
pour to.s travaux de FORGE, et d’a-
JUSTAGE, de REPARATION de coftre-
forts etc. etc. 4 de bonnes conditions.
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sem eb ge pete Pb meas oth apadte
upc fteb athe at pete Sets eb ts
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brett, cb Penn Get tease ae pa tet
Ges codes, or bartopetesd ty Seep ase
a fore pet ete yey ocef oe ates Pats pits
hae athete beads Gee tes tai te
fobs pele testo: Doontte dene ce
pus tat eee etre coda aticetil pee tlie
Vinccedix neabetances adveree. kr tes
Chanees fe protecthen ots plas oon
Inoites des men s poets todas me debe
cent pas oltts tae bien seuscble me:
gure les chances de succes.
Rtoem coat cae a fk outet tem paste
Plee ode ce que est qavobteare aoe
protection 7 Thy a be certes une bere
sae dafiar agent ophrs eats, Hit trois
pour part ume certara digatte. gees |
teaassad dep as preniide 7
‘situation da peuple frangais dans le
ptionde, — tecrivaitil pis dernerenient
othabsition » ? -—- Qie peut
fier
(le vieux DAomo:
Paeredbbom, .
ab ane sifualion
ol Voth eitart a tame alib pay ses
Vo eet Pow og poet de Pine
depen taice. de vedi tse Palyon dhe:
Peete addes ethorts deyesiets. de lao sues
répandue.
deoobeneas tit bicptretmage a da
serrate bette, Pheoaktrable de ha
Frotece bets de chou ia oo setem tlh pe
Hitteraire eb arfistrypme. car de Pateene ay
duaoridicule, Bobet dee peep itnstste
Sub ce popat os Phe oe ds pees ee gies
je pn tynetais ed beter ow Ta Pratiee,
comme fe pretend te Poetear Nemours
Aticuste. —
ket en tout cas, sb
quae deo soutema abe
les pouples ot uo saNenes out
elle une av urbe radeler,
ge woete suafttisanpaesc tattle doyjtpor
déminents aeye His ftoatee cbs. et ort vats
najouterait pos un ton, aim dei ton,
nin qiueart fe ton acette tote venerale
de dénigrement.
Mais est-ce bien la ravaler,
en employant ce terme, en a-t-il
sdirerre
’ so.
che Tt
Jaw raviler op
OTP p beet,
pruids
ba diese
at
i
tettasd se
etle Dr
bien
(1) Malheureusement cette abondance de
Vargent disponible n'est point due unique-
ment au travail national; cle provient en
artic de causes tactices, qui ne sauraient agir
icn longtemps encore, et, pour tout dire, de
causes qui sont plutot un symptome de déca-
dence qu'un symptome de prosperite, ~
Cette abondance de Vargent est Wabord ac-
crue chez nous par te fan dune econoniie
Wenfants. Ono sait tropsque tao natalite en
France vaen diminuant presque @aunee en
annéc, ct que, Wapres le dernier recense -
ment, les décées Vemporlent sar ites natssin-
ee., phenomene qui se produit tres) rare-
ment dans Vhumanité , actuellement, if est
spécial 4 la France et la place apres toutes
les autres nations. -— Ed Demolins, — A quoi
tient la Supériorité des Anglo-Saxons.
/Pegession ?
lopouton dept cutee sur des a: iversités
Dtbang bss) pe eons quvon
toove La sigaification ? Ne serait-il pas a
la hiaterr de comprendre que cette
gronde nation frangatse est pourvue
Se via
dune satlisunte surface pour n’éire en
tien diminuée par des eritigques mot:
vees dont veut él Vobjet soa systeme
education 2?
Au surplus, voyez avec quelle élo-
démontrer Vin-
[cio ® angle saxonne dans tous les
hecunapaes > dilfeéraire, commercial, in-
ts aniieate, colonial, -ete., ele.,
ele, Eet-c+ que vous vous vantetiez par
host d Vavoc ainsi ravalé les peuples
litpio saNnone 2 Pens) z-vous qavil puiss2
-ufline da sive a panache dun puis-
sant ecevain, pouc démolir a coups de
phrases fa puissance anglo
saxoone? Mas revenons a li France.
Le grand domm ace pour elle, cvest
juecdins Porte des supériorités par
oll Saitesicat be foree, La paissance, la
vitiulife dain pease, elle toccupe js-
du regretté défunt qui: fur un rude travail-
leur et un honneie homme.
2ENSEIGNEMENTS
METEOROLOGI JUES
—_— ——
LIbhbaervatoire
DU
SEWMINAIRE COLLEGE S.-MARTIAL
—— ae
Vexprept 18 SEPTEMBRE
Barometre ’ midi “61, 74%/™
minimum 22.2
Température maximum 35-6
meysnne diurne 27. 6
Ciel clair le main ; nuayeux Vapre -mi-
dis clair) 8 h. da soir. Nombreux éc!airs
tu nord a7 bh. du sor.
L: barométre est remonte.
R. BALTENWECK
Revues du Marché
Depuis nos derniers avis, la prime pour
trai des ccteaptes. des fettres et dea], oo : : Looe
arts Masece qartahete admirablemeit | 6 OF américain a continué 2 oalsser. De 735
Oodommate, eestqae, a La minute; taux de fermeture de samedi dernier,
‘ ot ’ t ‘ . . . ay . . '
prectescu be De Augiste steseriime a nous ouvrons cc matin L650 Mee
. Nous avons dit derni¢rement que les
tein aire: qavetieesten possession de
Uperoritts sans exception,
Hos Weuts de Frome nous
foutoentea tre combien i ese tronipe d.
teas des Francais qai pensent sout
(hanes a reconmitre que cette gran
deareion dest aecomplir un supréme
edlort, pou tatraper la distance qui fa}
Seconotabpuement deoses nivale s. |
' ‘
ebtes g
fords j te.
te
whol ge
bin Hatieme, le vieas Democe tte
boa Paeiteateur a9 — potre confrere en
un loonie tres do-
Atagtho s INonES ee,
li veritable
Cunemte ef bres verse® ser
état de
siyni-
»
eal
bien
une decliration si citegoriypue
rite en be faiscrt, a-t-il
Voulu gonstiler autre chose que le tra-
Wil adouel se livrent les frames, en
Varo de pisser bane fieatian mee tise
menleure? Autrement,
Vaccompiinueat-ils pas un travail de
gue: - @¢ La France est
Pe tpn eu reveuir a votre
’
povure
niaurait
pas besota te lear « donner de Pair, »
thodes nea minqaiient print; qual
me sebu porit oe cessaire dec ne pas
tes Veelei au seules speculations de fa
pare B, si elles n’étaient
seraees aces suecalations-lay» — que ce
nooseroatvades dapeine « d’élargir les
le ormoditiee des prugcama ss,
eux efudes pratiqaes une part
Sites cntin, -si les cadresn’ét rent
veooutus trooelroits, si les programmes
Pepouditents dtoas bas desiderata de la
Societe inederde oo, - st ba nart faite
ta Noe rinides pratiques était déji sufli-
Sta Pare,
FLeuny FEQUIFRE
pasansee eras oye
PAINS DIVERS
Déces
avons rega le
ry 4
~Aat at
ode!
Le tine
x
———— ——_ —
Nous fiire-part de la
no:rt de
Jews Procipee Saint) Louts GEORGES.
Ceombre-sondatenr et ancien conseiller de la
Compagnie des Pompiers Libres
de lua Cupitale
dicddé hier 404 heures de l'aprés-midi.
‘Senterrement aura lieu cet aprés-midi, en
i'Egt-se Saint-Joseph.
Nos meilleures condoléances 4 la famille
no nr a Ee rr ne NN A Steerer
ec wu
a ee SPenapinpeee
népociants du Bord-de-Mer allacent baisser
les prix de marchandises en proportion de
cet deart considérable dins le Change ;
mas rien n'a été faic parait-il — et ces n¢-
wciants gui vendent sur la base de go0%/¢
depuis trés longtemps — ne veulent pas
comprendre qu'il y va de leurs propres in-
tdre's de diminuer lours prix. Nous espd¢-
Irons gue Ja semaine prochaine nous cons-
taterons cett: balsse tant les
Sons yMimateuLs.
Leencaisse d’or des Banquiers a été vite
épuibsdée par suite de ces ven‘es qvils ont
du faire toute la stmaing, ce qui a mieesst-
té quelques ventes d: trauesd des taux re-
‘itivement bis ; on a vendu du Himbourg
Paris 21/2 9/9 et du Paris direct 2 °/%.
Les Cheques sue Paris sont demandés a
1 2
Les Cheques sur New-York Arey,
Le Cacao est 1 Frs 56 ct le Cifé a Fes.
44:
Les livraisons de cctie dernicre
ONE attcint 2000 sles envire:.
Port-au-Prinrve, le ry Septemtre 1908.
Alfced Gardere
Notre sympathigue ami A‘tred Gardére
ayant jugé discourtuis c¢ rains termes
emptovés dins notre compte-sendu de jeu-
di dernier de Vaudience duo Tr.bunal de
Paix, section Nord ou il eut 2 présenter
les ctrconstances intéressantes de latfiire
Barthe-Monbeleur, nous nous faisons le
devoir de déclaver gu’il n’a jamus été dans
nos intentions de porter attein-c’ lhono
rabilité d'un de nos concitoyens les plus
estimés et les plus respectés.
St quelques propos ont paru icyers ou
vailleurs A notre confrére ~Altred Gardére,
conme on le sit, écrit partois d’étincelan -
‘es et humoristiques chroniques signées
Alfgard — nous le prions de n'y voir que
la manifestation dcs sentiments d’amitié
que nous professons 4 son égard et qui
nous ont suggéré quelques plaisanteries fa-
ciles.
Au surplus, nous serions heureux de le
voir convaincu de toute notre estime pour
ui.
désirée par
wow
3
denrée
.
Vol
Hier matin, 4 six heures, en l'absence
de Madame Elie Mcénos, un voleur a pé-
nétré dans son salon et a enlevé une
lampe en porcelaine rose sur sa table cen-
trale.
Eile donne avis 4 la police et au public
pour qu'elle soit renscignée de toute offre
de vente qui serait faite du meuble en
question.
ees |
Justin Lauture
Nous avons eu le plaisir d avoir
quelques jours parmi tious notr
sieur Justin Lauture, Ad
Finances de Jacmel. Il lai
la Capitale pour reyipner
Nous lui sohaitons une
sée,
Otre ami, New
Ministratear
SS¢ aujourd’ hg
SON poste,
heureuse travep
Fuangailles
Nous avons regu, de Paris, le fai
des flangailles de Medemoiselle Na
Jean-Josepu, fille du Ministre d "Haiti, ange
Morsieur J Avupry,
Chaleureux compliments aux fianeds
aux tamilles Jean Joseph et Aubry,
Arrivage
ze matin est entré le s]s « Altals ag
les passagers suivants venant de:
Port de*Paix : Mile E Madiou, P. Ap
bry, S. William, Pere Lavain, Moevan, §
Pépin, A. Fouché.
Cup Haitien > C. Dejvie, S. Prin, &
Rousseau, Vornaret, Bloncourt, S. Benjy
MmIp.
Gonatiws: EL Ro cor. Buauharnais Jo
Frang vis, Pére Richird, A. Meze et ee
trait, Mr P. Maurice.
Caup-Fattien » Be Sévere.
Chronique des Tribuniux
TRIBONAL DE PAIX
SECTION NORD
Riboul-Ginéus
Foule hier au Trbunal de Paix oi dee
vait se vider (atfiise Riboul-Cinéus, 4 pro
pos de vente ou de lousge de cheval. Une
enguéte avait été décidee 4 la dernidee
audience avec audiscon des témoins,
Ceux-ci se sunt présentés en nombre,
| Ls ne vont rien dire de clair, rien capee
ble d'asseoir la conscience des juges. Ils
sauront et ne sauront pas, aiternativement
mais dans ce méli-.né!o de paroles cone.
ses et vagues, il faut que la vérité sorte @
u’une décision suit prise. Oh ! ta femme,
ans tout, comme dit Duinas, chercher-4e
Elle restera toujours un émigme an oe
variant. Louise Duchemin, femme de
néus, déclare que son martavait réellemest
achetéiecheval; d’un autre coré, Louisioa qa
estla chére moiti¢e de Riboul,’ maintient, #
firme, ed: meme juré que son mar n aval
pas vendv, mais bien loué pour plusiears
semaines con cheval 4 M Cineus.
Entre ces deux femm.s en présence pir
nait une cer'aine suspicion que pooval
bien Iépuimer leur étrange situation. Elles
ont chacune 14 leur amour, leur affects
x défendre au prix du plus grand mensow
ge et contre le§ cris d’une conscience 100F
gynée. ae
Nous ne pouvons pas reproduire ict 10g
tes ces declaraions contradictoires qu) on
rempli l’espace de ce Tribunal ou a
nous manqua:t barid par tous
étres humains venus li pour _colorer Go
vérité gu’ils ne veulent pas dive et 46
ne diront jainiis — Elle est peut-eure
de la responsabilité de ceux qui Om! Fe,
re de | mblabies et davow
ge de juger leurs semb ar
se prononcer, en dernier ressort .
compte. Dieu leur pardonnera 4
ment dernier.
Le Tribunal se
prochaine.
"Ligne Hollanais
proncera 4 I's
Le steamer ¢
venant de New-
ives, sera ici dimanche mato,
courant. It repatira dans la jou
pour Petit-Goave, Cayes,
Curagao
Port-au-Prince, 19 a ’
GERLACH
|
|