Deuxiéme Année, Ne 389. PORT-AU-PRINCE ( Hats j Samedi, 18 Juillet 1908
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Le Watin
QUOTIDIEN
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ABONNEMENTS : | Dinecreur : | LE NUMERO 4 () GENTIMES
PURT-AU-PRINGE) Un Mois. . . G. 1. | Clément Magloire, _
MENTS OOo ~~ Les abonneinents partent du mf" et du rg de chaque
pEPARTEMENTS\ Trois Mois. . « 3.60 | AEDAGTION-ADMINISTRATION mois et sont payables d’avance
ETRANGER........ Trois Mots. . «4 6. 45, RUE ROUX, 45. Les mantuscrits insérés ou non ne seront pas rendus
SItDORE., 2s, Ree Focx cu Bonne-Foi.
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= oe
ne, a@& da premiere Oceanioih Voth ae, fhe dire des closes couvernementales,
. 2 it
" _ | faute daceeptation, Pee Voudrars pas aujoutdhiu deépo-
| lohistoi: des Etats docs. dias tee set la plume sans dite un mot du
Inent isstis dela dae se ahatgesaNer ee comtaste <1 nigra qui existe en-
de lite de oe the ore > ocontinnie tre la tortie couvernementale aMmeri-
j ~- peremptorement fersat eooagte ge ere et da forme crouvervementale
L ANGLETERR E ET LES ETATS U N IS Vieiis de dire sem oefelpor- des baees oth cidgise. Cotniment, pretut-on se de-
" particuiabistes, Gti trodver ie etic’ deianuder, ane deme race peut-elle
XIII — Massd susceptible de prope ied tian, oraniser. cer ie modeie te plus large
Le lecteur a bien voulu suivre ici] Ses ditigeantes ont pu souvent Nb ate a deni Duane corriy om trite tes derépublrgue qui artexisté, et la, da
lexpost des circonstances succeséi- | fer Pinditlérence de cette race pour pa coies publics? Noo piace deirdre gous stableet ie plus 1 -pectée des
ves au inilieu desquelles Vélément/les choses du youvernement. NOUS tion) atmmenicaine, joaces ube nation dvoistes ’ Comment surtout expli-
patticulariste, apres avoir priS nals- |avons vu cominent cette formation S@ Commeanautaire quctcor que, Cestet faerie oeette pace saccommoade,
sance dansle lieu norvegien, s‘est|manifestait de temps en temp. Pal dire une natiod avant conte a son aux hetats-loois, @administrateurs po-
instalié en Grande- Bretagne orn il se Vebsorption des éléments velite des vouvernement tout le souci des amuie- dliques trappers si essentiellement
trouva exposé &2 une série de remar- conquérants. La conquete normande liorations sociales et jusq “at la diree- corroimpus, tandis que, en Angleterre,
quables invasions. depuis celle des|ta pas fait exception et les) Net- tion des intéréts 'es plus diectemest te désintéresscinent et la probité po-
ates jusqu’a la derniere en dates,|mands peu a peu se fondirent dans jyipes, et vovez un pete par be pensee, htiques sont tels que les fonctions pu-
elle des Nortinands, conduite par la masse anelo-saxonne : ils se rallie- oy nent ere yer la oder esteat ord des bliques tes plus diaportantes ne sont
uilaume le Conqueérant. rent. feds dt gel poiot gett mater sera pas meme retobuees ef son exercees
Cu faitreste pour nous acquis dans Ivenseiznement défectucux de Phis- yvoude a babatardissement eta fa tua: honorliquement par les Anglais les
oute cette histoire, et il apparait aux|toire générale, lequel a consist’ juss pe! pous authentiques et les plus capa-
eux des moins clairvoyants, e’est que quiel a frapper uw -iquement notre at- (Pest meme le sentient exceed’ boost - ba foriattion purticutariste
¢ fond de la population anglaise, ré-ftention par les grands taits, — ve git’ du particularisme qui expliqy reetto esteedheac rprcbie ie cette double expli-
ément saxon s'est) Conserve absolu-|j'ai appelé ailleurs (1) « Phistowe ex- Goruption des pouvorrs pi ies otis ion ef esteetle surtout capable dex-
ent pur et inaltérabls sous letYet de|té@rieure r,— nous aide a garder long- picains : Pattachementexciusif aux ds poegier que be pouvolt COLrrompu et
gates les convuitises des classes do- | temps le souvenir des Oppressions pO- teréts prives, ep creéeant dans ce cap oenvabt par Cetran ter sort précise-
inattices: cet 6lément est resté es: [litiques qui ont pe-é sur le peuple frou Pinditférentisme ou Vabsentertin: toent da cote de cette fracthon de la
nellement paysan, dans le sens le] anglais, depuis les invasions que nous poiitique., a livre & Ja eupidite des tace @nplo-saxonune que nous venous
lus complet du terme : homme du/avons vues jusqu’aux Cromwell, aux fromiiaes de rae ieee ce ra spree docppeter une tte -
ays, Vivant exclusivement du domai-| Tudors et aux Stuarts, mais laisse pouvernementale. Qhat, da formation de la race expli-
@ rural, systématiquement dans Pombre Pétu. Vai dit: e¢ des hommes de race que tout cela en deax mots,
H de Tourville écrit: « Le pays est/de de la constitution essentieile de la ctrapeere o, car est unfait avere Le sentitinent pacticahartste, Patta-
esté jusqu’au milieu du \VIfle sic-|race, sans laquelle pourtant iLest dif- que VFiminense imgorite des poutt- chement aux interets prives explayue
les Presque enticrement rural..... ticile de concevoir que la nation ait: Gens ameériains se recrute paring les poutyuot, en Angleterre, les grands
*LAngleterre, en commangant a! pu constamment geandir et se deve- Allenmands, les Irlandais, les Ttahrens secigneurs, lex yeullenen, se tont dé-
etre plus aussi exclusivement agri-|lopper sans cesse, Sans wuere rece- ameéricani-és On sait d ailleurs combien lOpuer praturement 2 Vexereice des
€, ne cessa pas par 14 méme d’etre] velr de ces oppressions aucun effet est grande et facile Vacecssibilite de fonctions publiques, surtout des
uraie. L’industrie s’établit et se dé-|déprimant ; alors, au contraire, que tn nationalité américaine aux indivi- fonctions locales, pour /a plus sare
nous vovons toutes les autres races dus éllrangers et aussi a quel point sauccgarte de ces mémnes int’ré's pri-
Si Ce trait est reeonnu etre caracté-| 2OR particularistes suivre les desti- vélém ‘nt bataralise est, ux Itats- vis. Qui est-ce qui, par exemple, dans
que du peuple anglais, il faut bien nées de leurs gouvernements, pro-pe- Unis, assimilé a Velement natit: i} un comté anglais, est plus†intéressé
du Meme coup convenir que crest rer sous |’action des bons, pour re- n'y «a aucune différences entre les 4a la marche réguli¢re des choses que
ul qu'il faut s’expliquer la vigueur culer sous I’action des mauvais. Américauins au point ce vue de la tes grands propriftaires qui réstdent
faordinaire de vette race et sa for- « Les Anglvis, écrit le savant au- provenance de la nationalité ; et pla- dans ce coimtéâ€â€™ Qui est-ce qui estplus
'ésistaave A l'invasi t a Pop-| teur de U' Histoire de la forma‘ion par- sieurs présidvnts américains sont d’o- interesse que ces grands seigaeurs a
esion. asion e p liculariste, me cherchent yguerelle a rigine étrangere. ce que la loculiteé ou ts résident et ot
Vhistoirg de l’Angleterre, a partir leurs chefs que quand ceux-ci 1e5 You- L’indifférence, en tous cas, une tres ils ont leurs plus grands intérets, soit
Omphe de la féodalité. ovman- vernent autrement queux, Anglus, large tolérance pour les choses poli- bien représentée dans le Parlement ?
Fie pouvoir royal, démontre | le trouvent satisfaisant. » Or, ils tiques et de pouvernement, distingue — Et si vons voyez que, en Angleter-
, sont accoutumés a trouver « satisfal- donc particuli¢rement la race anglo- te, les affaires administratives et po-
Hoppa dans les campagnes. »
{ssi victor;
aS oO 2 . , . . . . ’
Mination et parieie comment sant » tout gouvernement qui n/atten-, saxonne, et ce sentiment cst un ef-litiques inarchent si bien, c’est que
pariois les turpitu- te pas a leurs intére's privés ou qui fet direct dela formation particula- ces affaires se trouvent précisément
tien pa contr eeantes n’ont Ja-| ‘ies surcharge pas d'impots exces- riste en vertu de laquelle l'individu expédiées par ceux qu'elles regardent
lle de la race a constitallon | ifs, Des queleur gouvernement ver: est disposé 4 resoudre les différents directemen!. Et la masse les laisse fai-
Ea ve . se dans ces exces, ils ne le soutien- problémes de l’existence en s’appu- re, parce qu'elle est persuadée que
rtu de 8a fo . ° | : : .
r@lle g’ rmation particula-|7 oy plus et il tombe ainsi de lui-mé- yant plus sur luicméme que sur la;les affaires ne peuvent étre mieux
Stranger est toujours préoccupée | 9° Pp communauté. | conduites que par ceux qui y ont le
et d’organiser ses affaires érament Haitien, pa- ri
; (1) Etude sur le Tempéra ropos de ce que nous venons plus d'intéret.
*t c'est pourquoi ces clas-! ge 155. A prop 4 P
Voila pourquoi, en Angleterre, i
existe une dynastie solide ct accep ée,
consti'uée par l'élite nationals — élite
au point de vue tetrien «ct non au
po nt de vue intellectuel,— et appu-
yée, en outre, sur limportance pilus
grande des intéreis ct étendue des
services rendus.
Le meme sentiment particacariste,
ce memwne attachement aux intere’s
privés, explique comunent, aux Ktats-
Unis, les individualités les plus émi
nentes, traditionnellement
tuées de Vexercice dit pouvorr,
Kent toute ieur @nergie dual cote deus
eautrep ises roadustricilis et agiicoles
de plus en plus vastes, en verti me-
me de la rude formation de ta race.
Et alors les besuogues attrayanres,
Celles qui sont exelusives de Uctfort
Intense, piarmi dJesquetles le soc¢i
dus athitres publiques, soat weeapa-
rees par des individus dautre forma
Hom ou par tes représentants les
moins Capables de la race.
La rapacité of ta concurrence entre
cette sorte de poiiticiens exciuenttou
te possililite de dvuaastie et cest
poutquol toute Ta imashine odminis-
trative Gia tricuime se trouve ere re-
houvelée tous les quatre aps, a cha-
que @lection presidentietle,
Quantan caractére d élite de cette
fraction de latraee unglo-saxonne, il
est suffisaminocnt tab par ce fait
dune aveloue ation dhommes — ar-
rivant, auiniieu de ce brigandage
des poltticiens, a& organiser, depuis
plus Wun siecle, la plus grande pous-
sce de progres que le monde ait ja-
Mats Conunue.
Gest le triommphe le plus complet
de la formation particulariste.
La Peste Bubonique
est-elle a Guragao ?...
Ea Desation dominiciaine areeu un
telSeramime disant qivon craint: que
lafjpeste bubonique ait. faitson appa-
tition a Curacao. On sait que cette
redoutuble epidemie exerce actuelle-
ment des ravaves a la Guayra ( Véné-
zuecla), port avec leqnel nous ne som-
Mes pas en relations.
Comme la ligne hollandaise
Inel en rapport: mensuecllement avec
Curacao, tes inesures sanitaires les
plus énergiques doivent ¢tre prises.
Nous
eee a ae -
PONLS DETAR
Contre toute attente, des le début de
Vaudience, Me Lézer Cauvin demande au
Tribunal acte de sacons‘itution comme
partie civile au nom de Mme Ve Méneélas
upuy, mere de teu Frédéric Dupuy.
C’est alors une série de conclusions et de
plaidoyers au cours desquels le procés est
presque plaidé dans ses parties les plus in-
téressantes.
Me Hudicourt conteste 4 la V"* Dapuy
le droit de se porter pariie civile n’ayant
aucun intérét au proces. Ce droit appar-
tenant a un fils naturel que Frédéric Du-
py eur de la Vv* Léon Latortue, née
auharnais Jn-Francois. Cet j,enfanc écant
venu a mourir, la Ve Latortue céda, par
un acte notarié. tous ses droits AM J. B.
Dupuy. Mme Ve. Dupuy, conclut Me Hu-
dicourt, n’a ni titre ni intéréc.
Me Cauvin répliqua uement en ex-
posant la ldgitimité de la présence au pro-
wu:
so te
a
ices de la mére de la victime, F. Dupuy, qui
deshab -!
Chitt-.
'
rr ee
était le principal soutien de la famille. Tex-
tes, jurisprudence, e’c, tout est mis acon:
ir: bution.
Le Substitur Coutard demande au Tri-
bunal d’accepter la constizution de Ja par-
tie civile et la cour se retire pour délibé-
rer vers 1 heure.
Ele délibére encore puisque 1 6 heures
15 minutes, on renvoya l’affaire 4... lundi
prochain ot lecture sera donnée du jugee
ment.
«
a8
A ola sutie de nul.c entrefilel concer-
nant le premise aud ence corsrerée a
Caff.ice dilen, nous avons re, le lelbre
SUivant: gue nous nous empressons de
publier,
Port-au-Prince, le 18 juillet 1908.
Au Directeur du Matin
En ville,
Monsieur !e Directeur,
Lrentr filet paru hier, dans 9 votre jour-
nal peut mettre dans Verreur le public de
Pori-au-P:inee, gui ne sait pas clairement
comment a été assas iv mon {rere Frédé-
ric, le 20 Janvier 1907 par le misérable Hen-
ry Allen. Vou, me permettrez done de faire
quelques remarques concernant cette atfaire.
En effet, comme Port dit les témuins,
Vinimitié entre H. Allen et mon frére du-
rait récllement deputs ryor, malgré la re-
conciliation fice par le général Jean-Ju
meau, sur la démarche expresse d'Henry
Allen, qui avait peur de se battre en duei.
Humilié en son orgueil, devant le public
des Gonaives gui connaissiit bien Vatfaire,
Henry Allen ( un anglais de préjuges et
plein de lureincme, ) nourrissait certaine-
ment le desscin de tuer son adversaire,
auqguel allait toute |’ dmiration des Go-
naiviens ; mair JAche, i! m2 pouvait l’a-
border en face. Aussi ce 20 janvier, aprés
sétre assuré que mon frére Frédéric n’avait
pas d’armes i! cn profita) pour exécuter
son dessein.
Leputlic cst averti, ct comprendra pour-
quoi Henry Accu pretere attaquer jiche-
ment son adversaire dans le noir (4 4
heurcs du matin, ) que de répondre a la
lettre-cartel A lui adressée par ce dernier
en rgor et au-si A celle A iui adressée en
1904 par M. EEmmantcl Pelissier.
Veuillez aprécr, Monsicur le Directeur,
mes respec iguses salutations.
J. B DUPUY.
Distribution de Prix
La distribntion des prix au Pensionnat
Nasional des Demoiselles aura lieu mercre-
dit 22 da courant, a 8 heures du matin.
Re NSEIGNEMENTS
METEORCLUSCGIQUES
Observatoire
PU
efits k® COLLEGE Ss-MARTIAL
VENDREDI 17 JUILLET
tascomeé gre tom “63, 37"
\mioimum 23. 5
-O: mperatird maximum 37-2
(moyenne diurne 29.1
Ciei clair le matin ; un peu naageux cn-
tre 3 h. ct 7h. da soir ; clair ensuite.
Le maximum 37.2 est le plus élevé jus-
qu’ici de l'année.
L’atmosphére est brumeuse depuis
quelques jours par suite, semble-t-il, de la
présence de fines poussiéres amendées par! bo
les grands vents d’est.
Eclairs NW et E entre 8 h. et 9 h. do
soir,
Rosée cc matin 18.
Le barométre est en hausse.
R. BALTENWECK
|
Revus du Marchs
La morte saison bat son plein. Cette se-
maine les transactions ont éré fort res-
treintes. Le taux de fermeture de la semai-
ne derniére n’a pas été atteint ; on a fait
quelques petites affaires 3 730/725 et ce
matin on demande a acheter 730 9°—
732°.
Les traites sur France ont été négo-
ciées 41/2, 1 3/4 °/o de prime contre or.
Les Chéques ster ‘Paris \ 4°).
Les Chéques sur Naw-York ne sont pas
demandés— le cours est. nominal 4 1/2
o/®
Le Cufé se matntient ferins Frs 42.
Le Cacuo a gagné un Franc, et on cst
& Frs. 54 contre Frs 53 de !a semaine der-
nigre. Tt faudra s’attendre 4 une hiusse de
uclques points sur cette denrde, le stock
isponible n’étint pas considérable.
Les arriv-ges de Port-au-Prince aug-
mentent chaque jour ; des cafés de Jérémie
ont cté veudus sur place 3 44/45 come
mes.
Po:t-au Frince, le 18 juillet
Decla; ation
Le Docteur Thomas croit devoir arnon -
cer au Paveur de VInstruction publique, au
Bureau de la Recette et de la Deépense et
nocamment aux Preneurs de Feuilles d’ap-
pomicments guil n’a pas escomptdéd wx
seul mow de ses appointements comme
Professeur A VEcole Nationale de Méde-
cine et de Pharmacie.
Si, par hasard, il devait
cette dure extrémité, il viendrait en
sonne contriacler,
Au cas contraire,
ponsabilites.
Port-au-Prince, le 19 Juillet 1908.
Décés
Nous apprenons la mort de Francois
STANISLAS Dereria, décédé hier, 4 1 heure
de laprés-mici, 4 l’4ge de 33 ans.
L’enterrement aura lieu aujourd'hui, s1-
medi, 4 3 heures précises de Vaprés-midi.
Le Convoi partira de la maison mortuaire,
sise de lautre coté du Portail de Léogine,
No. 50, pour se rendre 4 Véglise Ste-Anne.
Nous présentons a la familie du jeune et
regretté défunt l’expression de nos sinccres
condoléances.
Brevets’ Scolaires
Nous devons mentionner les suceés ob-
tenus derniérement pour Il’obiention de
brevets scolaires par des éléves de nss dif-
férentes écoles de demoiselles.
Pensionnat des Sceurs de St-Joseph de
Cluny :— Melles Lucie Eliz et Angelina
Cordasco, brevet supérieur ;
Soeurs de fa Sagesse : - Melles Lamer-
cie Racine, Alice Lafontant, Nativita La-
pierre, Germaine Coby, Felicia Feliu ;
Collége Bird :—Melles Velten et Moise,
brevet élementaire.
Bien de famille perdu
Un de nos amis frangais, personnage tres
remarquable, nous écrit de Chatillon-sur-
Loire pour nous demander de lui aider a
retrouver un portrait d’-homme du XViII¢
si¢cle répondant 4 la description suivante :
« Dimensions approximatives : O™ 55 a
0"65, homme, mi-corps, grandeur nature,
téte tournde 4 gauche, éclairage venant de
la droite ; figure rasée portant 45 ans, tres
en lumiére, le reste assez sombre ; bonnet
de velours sur la téte ; costume négligé
d’intérieur ; pas de col ; gilet ouvert mon-
trant le haut de la poitrine ; la main gau-
che appuyée sur un livre, lequel est de-
- D
OP aere dan Hombreax ¢v-nements
,ont cu lieu dans le pays, des erres
e l’indépendance jusqu’anjourd’hei,ce por-
trait, qui date de plus d'un sidcle, se re-
oo tse dans quelque collection publique
1908.
cure réduit a
per-
i] décline toutes res-
1 prid de nana'décrét modifiant
en aviser aux bureaux de journal. ,,:
rait débitru avec l'intéres Tes. condie®
auxquelles il pourrait are cédé. ™
Départ
Voici la liste des pa is hi
le Penuitens Passagers partis hier par
Santo Dom'nga: Jules Lizaire e:
fants.
Cayes : Franck Féthiére, R, Léon, AL
5 eh
phonse Benjamin, Ernst Emile et fy
Léon, Albert Claude, Orélie Nouv
G. Bauduy, Gaston Morisse:, Camille Le
porte, Grorges Augeraar.
Changemént d’adresge
Ms Ch César porte a la connais anceg
ses clients que son Inet est transfers
au N° 206 Grand’-Rue Musson Vee Per:
gord.
aa ee
a
Souscription
du Commerce
Deuxiéme Liste
Abraham Asbcun, G 25,"Btesh Cousis
too, Abraham Bacha 50, G A. Indoni
50, Etienne fils 200, Joseph Catimi 25, \,
Lemoyne ro, A. Ricco 25, Gabriel Abn-
ham 50, R. Gerlach 150, Emin. Moise 3}.
Louis Mevs 50 L. Peloux 100, Rober
Nortz 100, Stecher roo, Louis Lota 50,
Mme H. Clavier 10. Marius Lahens 5. 6.
H. Alaby to, R. Gordon 25. Tane.s Hi-
na 4, Boustros Lotty 3.— Total général:
12 232 gourdes.
ee ea e-em ee ae
Nouvelles Blragees
Derniéres Dépéches
Bertin 16 — Une dépéche de Casablas-
ca annonce’ gue dans la nuit do 8 juille
un courrier allemand a été arrété par des
soldats frangais. Malgré le frit qa’il 2 mos:
tré des papiers établissant son identité Ie
soldats ont fouillé sa valise et lai ont
donné de ne pas approcher des sentincis
trancaises sous peine d étre fusillé. Cire
dépéche ajoute que cet incident a prow
qué une protestation de la part da cons
d’Allemagne.
Paris al La premiére réunion de fa con
mission douanicre franco-américaine a .
lieu cet aprés-midi au ministére des af!
curangéres dansle méme salon ou Picea
letraité de Paris En l’absence de Me
la stance a été présidée par M. bon
Bruwaert. Un des comenissaires fra
Louis, sous secrétaires d'Etat aux . at
étrangéres, a souhaité la bienves! tie
commissaires américains. La sesst0 fet
jourd’hui a été principalement comma
dresser le programme des travaax.
Honotutu. — La flotte rasole
tlantique est entrée dans le
nolulu ce matin 4 11 h. 20.
Lonpres 17.— Le ¢ Daily
tend éatre a meme de me
Angleterre acherera les )
cadre qu'elle conmstruit en oe
pour’ le compte du Brésil.
Paris. — M. Barthou, mintstee "
vaux publics est partt hier po
Ni d’étude dans le
plir un voyage ion
Rhone, notamment dans la “8 uN Lr
noble; il était accompago C
rault, chet de son cabinet et oa
directeur des routes et de '4 les
Le Ministre étudiera sar place
tions soulevées par les forces
de cette région. ie
ot
ce
Le journal officiel ’
celui
relatif 4 organisation de l’enseigne-
maire ila Guyanne.
pent pr sseau Ullmo a
L’ex-enseigne de vai be
le steamer péni
bargué ce maiin sur le §
eatiaie « Loire » a destination de la Gu-
ne. ; _
— Une collision sest pro-
Quiec 17.
gaite hier soir entre
yngliis « Vinus » et © Russell »
pvires ont subi de léperes avaries.
sypxey ( Nouvelle Ecosse ) 17.
feutenant Perry a quitte ce port
qhui sur le « Roosevelt » en route
Pole Nord.
TEGUAGALPA 7.
les navires de gucrre
les deux
-- Le
aujour
pour le
— [.«s révolutionnaires
oat capture hier soir la ville de Porvenir,
situde sur da Cote Nord ct ont) auaque
agjourd’hui, inais sas succes Caiba, autre
rode VAtlantiqne situd do environ 50
milles 3!’Ouest de Trijitlo,;une autre bande
Vinsurscs a te mise ea déroute dans le
sud ct aurait passe la fronti¢re de Salva-
dor.
Harnox 17. — Les agents de « | Ameri-
an Steel Trust» ontpresqae comple:é leurs
cc be pouvernement russe
négocations av
pour la fivraisoy de dollars 25,000.00) de
ri's pour la nouvelle Ege de chemin de
fer Sibsrven.
—————
Tribure duo «Math. «
Saint-Louiy-du-Sud, 7 dealret 1s.
lecteurs duo Journal
Le « Mati: 0
Bien chers lecteurs,
En prenant la decision de faire inse-
rec daus ce Journal st recherche notre
humble adrcsse ouverfe a@ oon Ex. te
Préeident de la Republique, nous pen-
sions que V'ex-Commandant de notre
place et de notre Commune, Mr le Gal
Ckéron Labossitre, se ferait) plutot
Nimpdiieux devo de nous sSOmmer
(naturellement par la voie de la presse
aussi) Pénunisier au moins quelques -
Auy nombreux
|
Saint-Louis-du-Sud et qui, par consé | Bonne Récompense
‘yient, nows connaissent a fond, i! os!) .-
+ tstant que ladresse ouverte en yc notre collaborateur Constan v1 Mayard
‘ » ‘ “ - rt! a +e
'.t comporte, sans nous flatter. les Jt u cours du d-rvicr incendie entre
autres choses, un lot de livres qui, suppo-
i
— ~~
wus des actes abotinables et repugnan-
tes quil a conimis ici.
Malheureusement, uous tous étigns |
trompes.
En effet, loin de nous pousser a cette
extremilé vers laquelle, pourtaot, tend
lout notre but, le Gal Cicéron LL bos-
siere, dans sa lettre parue dans Le
«Matin » du 26 Juin dernier, n’a fail,
dabord, que de parler de son honneur
de soldat et de sa reputation Whonneéte
homme, qualités dont if wa jamais
donné la moindre preuve, tant aux An-
glais qu’a Siint-Louis duo Sud, deux
petites communes ot: les traces de ses
ravages, resteront toujours ineflagables ;
eusuite, il n’a fait, par sa réponse — si,
reponse, c’en cst une,— que de de-
montrer son impuissance, a nous jeter
, ‘fide tenir a notre parole: celle
€mettre le monde entier au courant
de ses pillages par suite desyuels la
patnune de Saint-Louis du Sad, sur-
( z fe trouve réduite A la derniére
Vous avez, chers lecteurs du « Matin »
de concepti doy "oi
say Conception, pour, a vol d’oi-
h le
on Labossiére, que cet audacieux
erché simplement qu’a s’échap-
par la langente, en déclarant
x. le Président d’Haiti
_bulle va
ee Point d’ey
Ce
eat
‘pou
ye pas voir, pour la lecture de, eae:
fe précitée du braaave Général | rique Champagne, Frédérique Cesssnt,
|
'
{
|
|
‘
ee : que | Renand Da . \
fen gnalaires de |’adresse ouverte 4! Josaphat, Micius Brun, Vallon Julien,
sont des! Charles Abellard, Mylt
leur, qu’il ne s’occu- | Henry Riché, A'phonse
xX; et, enfin, patati pa- | pompicrs.
ne hous déclarons, ici, est d'au-
§ vrai, chers lecteurs du Matin,
F tous ceux qui ont visité :
s ynatures des hommes compétent~. |
. En somme, loin de nous Vinteation
douveir une pol mique avec Mr Je Gal
Cieeron Labossiece 5 car, ce serait le
porter prendre, comme i} Pa fait, un
~coretctre qui finirait par le faire vider
q elyue peu et malgré lui, les STusses
se-tal, a pu dtre sauve. Parini ces Tivres se
travve une collection des couvres de Byron,
de Laboulaye, de Herbert Spence rde Gee-
the, de Tocqueville, de Jean Fiver.
Ie Matin promet une bonne +. compen-
sed qui fera retrouver tout ou rpe parte
de ces livres.
iaalles recouvertes de zine et rempli-s *
“tt re . . oe
de liifets d’émission et de pitces de a oe
nickel, deux choses si aimées et ado-|.. Ha été égiré une caisse contenant des
livres dont trois gros Dictionnaires Littié
et un :egistre noir marqué sur la couvertu-
re: « Distribution des Travaux »
HWoosera accordé une tres pénedreuse re-
compense a qui rapporicra ce caliuer aux
bureaux du Muto.
rées par lui— avec lesquelles ( malles )
ilest parti @ici au grand jour, grace
aumépris dont est digne tout homme
cousu de vices odieux et, partant, répu
dié par les honneétes gens.
Cependant, nous serions !es plus heu-
rex des mortels, si le Gal Gicéron | : —
abossicre nous faisant le defi de 7 » B “‘d Me i
conter ses actes . car, ce serail \ mn le ordeaun
me
pour:
nous i plus belle oecasion de te faire | ;
rele guer par tous les Gouvernement. 4 Le vin de
venir, soucienx, comme celur duo V-| fra@res de Bord. say
nere ened Nord Alexis, da honheur MrApp C:POLIN
eeneral du Pays. . tae
Nous sections, réegeftons-nous, dan. oe fee de la Gomponre
fant plos teureun que Hous unmbions SULEIMAN
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(yiiet ode dossier de cette allure ail ered, d: d ‘A: i ay
stns doute, he proie des flimines, | lors G GOURDES LA DOUZAINE
de tincendie qui, ea US s4, a0 di ttenit
OS prime ipales rues de cette ville.
Ku ovous priant, chers lecfeurs, de
nous excuser de ce que nous vous de-
tournonus de vos crandes ocenpations
poue vous enatreteniy d'un individu qui
ne porte que la figure @homine,
G7, Kun pu Macast> pe tkrar
See! be presen litre le WV. Bis i]
( GOoSIVES 3.
Chapeau °
“9 tr , t :
Chapeanx ):
Neus vous prions d’agréer Passuran-
ce de nos meilleurs sentiments.
Avilus Clermont,arpentetir, Jh. Jean-
Philippe, Mtienne Lafleur, Cyriaque V.
Guerrier, Joscph Délices, arpenteur,
Mercure Janvier, Jho Michael Nicolas,
Balizier
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hataire public UWéli Germain, ACCOUBEZ CHEZ
Poussaint, Phéophile Blaise, Auguste, . ;
Mavien Nicolas, Milias Nicolas, —dasti- LOSE \ \ \ YE } i {\
‘tutor, Josaphat Gassanmrajor, Jean Ko-' ¢ »Phs varia. SRE. \
bert, Missael Nicolas, Matheéam Petit, pose octet gum fe gus wpe t iva tes
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ro 116, au Ne 132 de la meme rue,
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La maizon informe aussi qu’elle a
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Liste des pompiers qui doivent se pré-
center a la Station Centrale durant la
semaine du 20 au 95 Juillet
GEORGES JACOB, consziller. -- Julien
Raymond, Léonce St-Surin. Léonce
Placide. sous-officiers — Auréle Bau-
duy, Auguste Toussaint Léopold Port-au-Piince, 30 Juin 1908.
Pierre, Bonacieux Bien-Aimé, Ciceron ? oe
Fleurian. Ilermann Chancy, Frédé- MARTINO & FERRARI
Avis
Linspecteur en chefde ta Police
Adwwinistrative de la Capitale annonce
aux médecins et aux particuliers qu'il
détient en 328) bureaux quelques vo-
lumes de médecine et d’autres ouvra-
ges anglais déposés en ses bureaux
lors des derniers incendies.
Georges Magloire,
Ruffin Champagne,
Philippe Delva. Anat.
Francois Michel,
Justin Camiile,
val,
jade Abeltard,
Louis Charles.
on
Port au-Prince, 18 Juillet 1908.
Le Commandant,
Louis ETHEART les réclamer contre recu.
Chapeanx !!!
Les propriétaires sont priés de venir
Ligne Hollandaise
Le steamer «Prins Willem III »
verant du Sud est attendu ici vendre-
di matin le 17 courant, il continuera
immediatement pour St) Mare et sera
de retourie: samedi pour repartir dans
la soirée ou bimanche matin pour
New-York.
Port-au-Prince, le 16 juillet 1908.
A. de Mattes eC"
Toutes les ¢Meances raves, discré-
| tes deus uites. des parfams @un char-
be tbe et de pcat. - Son Sou-
‘rire, Floramye, Vivitz,
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