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- https://ufdc.ufl.edu/UF00081213/00365
Material Information
- Title:
- Le Matin
- Place of Publication:
- Port-au-Prince Haiti
- Publisher:
- [s.n.]
- Creation Date:
- June 23, 1908
- Frequency:
- daily
- Language:
- |||
Subjects
- Subjects / Keywords:
- Newspapers -- Haiti ( lcsh )
- Genre:
- newspaper ( sobekcm )
newspaper ( marcgt )
- Coordinates:
- -72.2803802891673 x 18.5142993036392
Record Information
- Source Institution:
- University of Florida
- Holding Location:
- Bibliothèque Haïtienne des Frères de l'Instruction Chrétienne
- Rights Management:
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- Resource Identifier:
- 000358166 ( ALEPH )
ABZ6468 ( NOTIS )
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peuxiéme Année, No 369.
PORT-AU-PRINCE ( Haiti )
Mardi, 23 Juin 1908
ABONNEMENTS :
PORT-AU-PRINCE) Un Mois. . .
DEPARTEMENTS}\ Trois Mois. .
STRANGER........1| Trois Mois. .
“Beur tout ce qui concerne l’Administration au Jcurnal, 9a
QUOTIDIEN
C4 DinecTEvr : LE NUMERO 4 () CENTIMEs
7 3 Clément Magloire, =
« 3.60 Les abonnements partent du 1** et du rs de chaque
REDACTION-ADMINISTRATION mois et sont payables d’avance
« 6. Les manuscrits insérés ou non ne seront pas rendus
Le MATIN en impose-t-i i?
Cest ce que prétendent « Haiti lit-
linire et sociale » et M. Georges
a.
bisle début de nofre campagne so-
@ae, Hous n’avions pas manqué de
peer qu'un jour ou l’autre Voutre-
eridaace ot lo pédantisme, irrésistible-
Get aoculés, ne manqueraient pas de
ees projeizr sur la face un de ces
agpments de désespoir que les ad-
Wes irréconciliables réservent
per le moment des derniéres expec-
8.
Nl aous avait semblé, dans l’espéce,
@e, nous faisant en Haiti les pro-
~pteurs des conclusions de la scien-
@ sociale, il était pour le moins
wile et prudent de nous mettre en
fede pouvoir invoquer, le cas
t, rautorité et le patronage di-
mets des Mmaitree incontestés de cette
8. Aussi n’avons-nous pas man-
@é dattirer sur notre entreprise la
- attention de ceux qui, en Fran-
®, poursuivent constamment |’ceu-
esience penectionnement dont cette
eeptible mme toute autre, est sus-
. . e
Veocouragement nous est venu,
Peer ainsi dire & profusion, de la So-
Cent tonale de Scienc+ Sociale.
abord M. Edmond Demolins,
~ Fegrettée mémoire, qui, quelques
avant sa mort, nous dcrivait :
AV ai ogc pancoup d’intérét les
| m.... et je vous prie
Seerser toutes mes félicitations. P
7 «Vous avez as. o, ye .
%s de tei parfaitement compris l'ceu
. désireux de nous présen-
. +méme un modale qui, ae l’a-
t tou ps, lui était
modadle le
:« Vous pouvez
suivi per notre
programme
groupe du
1 45, RUE ROUX, 45.
dresser
oS AS NS
A Monsitur Actthur ISIUTORP, «5. Ree Rcux ca Bonne-Foi.
ae
_ -_- = -——
chaque jour un article inftéressant sur/des seules ressources de son omnis-
les études quit nous sont cheéres.... 'cience infuse, a 6té éplucher le volu-
« Les rédacteurs de ce journal ont; me @’Introduction a la Science "Sociale
compris quelle force ils pouvaient tirer | ot se trouve, entre autres publications
en vulyarisant les résultats d'une science avanttrait aux origines de cette scien-
Nous ponrsuivons ardeminent la|uouvell-ment constituée.
réalisation de ce vuwu et déja notre |
projet se précise et prend corps. ‘micr jouroal propaygeant nos idédes,
mais je crois pouvoir aflirmer que
west le premier qui ‘e fasse d’une fa-
@on auss! suivie vt aussi énergiqne,
Eremier également qui ne craigne
C’est ensuite M. Paul de Rouasiers, |
président de la « Société internatio- |
nale de Science sociale, » qui, six |.
mois plus tard et aprés qu’uue orien-| pis del: proctim r tout haut. est a
tation défiyitive avait été onée au! souhaiter que ce procédé se répande
Matin, nous dit, *époudant wisi aux! vo plus et quc Rous ne yoyions
difficultés dont nous lui avions fait laj plus nos idées propagées par des hom-
confidence et que dressaient sur nos|mes qui feignent aé'hous ignorer.
pas un groupe d’esprits remarquables :; Nous n’oublioas pas que aiti
I
de phus
vest «
que ce nouveau sillon a été creusé. »
« Je ne suis pas surpris devdifticul-!
tés que vous rencontrez 4 ¢dire péné-; Nous croyions ce patronage sufli-
trer les idées de la Science Sociale |sant pour imposer a tout le monde et
dans le milieu of vons vous tiouvez,! pour bien étublir les repports de fi-
mais ma propre expérience m’a sou-li:iion qui existent entre notre ceuvre
vent amené a constater que les per-| de propagande et l’école sociale qui en
sonnes les plus opposées parfois aux! cst linspiratrice.
conclusions que novs présentons re-| Mais ce qui suffit a ‘out le monde
coivent cependant une influence mar-|ne_ saurait satisfaire M. Geo-g:s Syl-
quée des travaux de Science Sociale... vain et ¢ est ainsi que sous Je titre de:
«Je me permets da vous donner, L:tire dun rural, et soas la signature
ces indications 4 litre dencouragemcnt| de : Speclator, notre adversaire en
et de bonne confraternité en souharitant' chet, celui que la campagne du Matin
le meilleur succés @ vos efforts ef enjempeche littéralement de dormir,
vous “ remerciant du concours quz vous, vieut de publier, dans « Hiati littéraire
voulez bien nous donner. » ,Ot Sociale », une sorte de turtine sur
‘la question sociale, laquelle finit ain-
C’est encore M. Paul Descamps. Si :
secrétaire de la ttevue La Science So- Comma tout cela ressemble peu
ciale, , qui, en nous félicitant’ d WOT sux theories étroites dont depuis
écrit | Ktude sur le Tempérament Hat- | quelque temps on nousrebat les oreil-
ften, ajoute : 'les ! Ni la méthode de Nemolins, ni la
doctrine de Le Piay ne méritent d'etre
" - 'ecompromis dans les aventures, o
vous témoigner loule ma symoathic oudrait les entrainer la secte sociolo-
au sujet dela campagne cle M Que | gique qui s‘abrite sous leur autorité.
vous avez entreprise dans le Matin, | A deires d'un dogmatisme nouveau,
d’Haiti. » soit ! Fondateurs a |’haitienne— d’une
, . , nouvelle école sociale, j’'y consens!
C'est enfin M. Armand de Préville, 'yt,i, disciples de Le Play et de De-
’éminent auteur des Sociétés africaines | molins. allons donc ! »
qui nous honore de « toutes ses féli- , -
Citations » et Ja Revue la Science So-| Voila donc M. Sylvain disposéenfin
ciale elle-méme qui a bien voulu nous | 4 faire dela science sociale, non passeu-
consacrer les lignes suivantes - lementavec nous, mais—ce qui est plus
| grave - contre nous ; c’est I’école mé-
« A Haiti, Jes idées et les conclusions!me de Demolins qu'il se propose de
dela Science Sociale sont vigoureuse-' defendre contre nous et dans cette
ment propagées dans le Matin de Port-/| nouvelle forme de ia lutte, M. Sylvain,
au-Prince. Ce journal... consacre' se doutant an peu qu'll doit se méfler
« Je profite de cette occasion pour |
ce, une étude de M. Edmond Bouchié
«Sans doute,ce n’est pas le pre-;de Belle sur « Frédéric Le Play, sa
méthode et sa doctrine. »
Nous félicitons M. Sylvain de com-
Mencer par le commescement, et
Demolins lui méme a recofnmandé de
commencer la lecture de la bibliothé-
‘que sociale par I’étude de M. Bouchié
A LUE pager
de Belle. Mais M. Sylvain donne 4 ce
précepte une intcrprétation trop limi. .
tative et un simple frottement avec
I’Introduction peut l’exposer 4 de re-
grettables aventures: c’est ainsi que
nous le surprenons a parler un peu
inconsidérément de la « méthode de
Demolins. »
Or, Demolins n’a pas créé de métho-
de. La méthode initiale et générale qui
a permis a Le Play de recueillir, sous
forme de monographies, ses précieu-
ses mais incomplétes observations
sogiales, a été l’couwre de Le Play lui-
meme. Mais comme son instrument
d’analyse datait de 1830, il s’est révélé
insoffisant aux mains des continua-
teurs de Le Play, et en 1885, Henri de
Tourville l’'a remplacé par la Nomencla-
ture nouvelle, grace 4 laquelle Demo-
lins, H. de Tourville lui-méme et tous
leurs collaborateurs ont acquis a la
doctrine de Le Play les importantes
contributions qui lui ont valu de pou-
voir se constituer en science véritable.
Que M. Sylvain, dans sa nouvelle
peau, substitue donc, a Part de bi
dire, celui de dire juste; les 6‘udes
sociales gu’il se décide enfin & abor-
der l’y aideront puissamment.
* Nous allons démonter avec la plus
grande facilité la grotesque batterie
dont « Huiti sociale et littéraire » s’est
laissé affubler par M. Sylvain, contre
nous. Mais auparavant il n’est pas
inutile d’ofirir 4 nos lecteurs un petit
croquis de l’évolation singuliére que
subit depuis quelqus temps notre
« Docteur &;-tout ».
It n’y a pas deux ans, M. Sylvain
faisait retentir sa voix de la facon
suivante, a l' Alliance francaise: «¢
bons apdtres qui ont fait cette curien-
se découverte sont les mémes
nous voyons, aprés Demolins, s’en
ler claironnant sur tous les tolts ‘la sa-
:
périorité de l'éducation angio saxon-
ne...A quoi ticatcettesupériurité? Me-
me quand on a lu le livre fameux qui
l’'a révélée au monde, on reste en pel-
ne de l’expliquer. »
Et nous faisons grace pour le mo-
ment des idées mémes répandues un
peu partout par M. Sylvain et qui sont
les plus directement Opposées aux
conclusions les plus certaines de) la
Science Sociale. . ;
lin’y apas un mois quapres aver ar:
rangéde ceite fagon « Detnolins » et les,
« bons apotres », Mo Syivain rectiliat
comme suit: « 1! ne men coute cepen-
dant nullement de déclarer... que
j’étais, bien avant lui, ( Atiguste Ma-
yloire ) des udmiratears dG’ Edmond De-
motins ». Relisez ci-dessus le lingave
de ladinirateur !
Agjourdhut, M. Sylvain acccntie
son évulution et c'est la science sro-
ciale elle-meémne quil se propuse de |
défendre contre nous.
Si cette évolution doit tourier ou
protit de notre camypagus sociale et
nous valoir le concours précieux de
la plume et de ta langue de M. Syl-
vain, ina foi, nous naurons vaucune
mauvaise gyrace & faire da paix avec
lui et neme a écarter pos rans pour
lui permettre de pousser droit | jus-
qu’a !a situation de chef de file qfivila
sr souvent exercée ou exploitée.
Mais si, contre notre atlente, M.
Sylvain nentend revetiv la livrée socia-
la que pour mieux essaver de nous
faire ¢chec et jouer dans nos rangs
le role usé du cheval de bois des
Grecs, nous le prévenons que nous ne
ja laisserons pas facilemenut coatinuecr
4 tondre les naifs moutons qu'il a pu
trouver dans le troupeau hatien ct
dont la laine a pu si longtemps servir
a entretenir son habituel trafic des
choses de l'esprit.
En attendatt, nous allone o:sayer de
discuter le petit boniment de « Haiti
sociale et lifléraire », puisque Gossi
bien, M. Sylvain nous accuse de « dé-
courager la contradiction. »
A nos Abonnes
Le Matin se voit dans la nécessite de
prévenir ses abonnés que, ¢tant dounde Ja
hausse exagérée; et persistante du change,
il se verra obligé, au cas of cette circons-
tance Economique menacerait de se perpé-
tuer, de‘ modifier le tarif de ses abonn-
ments.
Le Matin croirait faire injure 4 ses a-
bonnds en s¢etendant autre mesure sur la
Iévitimité de cette modification de son ta-
nf 4 un moment ot tous les articles d’im-
portation,y compris le papier d‘impression,
subissent une augmentation qui s'azcentue
de jour en jour.
Cependant, et en témoignage de sa bon-
ne volonté, le Autin essaie encore de
maintenir son tarif d’abonnement actuel,
dont le montant tout entier est absorbé par le
papier qui sert & son impression. Et dans le
cas ow il serait obligé de recourir 4 la me-
sure dont le présent avis fait part, il est
bien entendu que ce serait aStitre proviscire
et en attendant une amélioration dans la
situation du marché.
Saint Louis de Gonzague
Dimanche 28 juin courant 4 7 heures
du matin une messe sera chantée. dans la
chapelle de I'Insticution Saint Louis de
Go e a l'occasion de la téte patronale
de cet important établissementr.
€
x
FZ, UFR oF! ey
PANES DYYRRS
EN SEIGINEMENTS
METEOROLOGIQUES
LVPhoservatoire
pt
FR
SEMIMATS ES COLLEGE St-MARTIAL
Ltutxpr 22 Jers
‘Haromeir a midi 762, o7/*
| min:mam 21.8
Tem, ératur:;maxinum 35-5
“mm yenne diurne 25 7
Cicl presque clair le matin, couvert
;toure Uaprés-midi. Oras:
tinidi jo) Petite pluie vers th 20". Pluie
et orave 2 6 ho 45 du soir. Toal 3.477".
Le barométre assez bas dans la journée
est de nouveau remonte.
R. BAL PENWECK
Ci:an.vre des HKReprésentants
Séance du Lundi 22 Juin 1908
Apres la sanction d'un proces verbal ei
tla lecture de la correspondance qui com-
porte notamment: une lettrede M. Ber-
nateau, notaire, demandant une somme de
4.000 dollars pour donner publicité a un
ouvrage, et une petition de la paroisse du
Sacré-Cacur aux Cayes, sollicitant un sub-
side de 5.000 dollars pour Ja construction
Wune Eglise, MM. les députes C. Léon,
N. Lecerve ct Debuisson, respectivement
rapporteurs des comites des “Travaux Pu-~
biics, des Finances et de la Guerre, font
chacun le dépét d’un rapport.
Puis, deex propositions de loi sont dé-
po:ces par les députés St Aude et Charlot,
la promiére tendant 4 accorder un sab-
side de 1). oogegpyrdes ronr Pachévement
de lefelise de Port-de-Paix et la seconde
préevovant en faveur de Ja ville de Petir-
Goive une valeur de 20.0c0 gourdes pour
© Pachevement de son Eglise.
Boite aux lettres
Monsicur !2 Directeur,
[a peti.c biographic du sénateur Vin-
cent ainé pubiié dans un de vos dernier:
numeros contenait des erreurs je viens
la. completer comme suit: Voici les ditté-
rentes ¢tapes de la vie du nouveau séna-
teur :
IS7o A 1874. Eleve 4 la Douane du Cap;
1874-76 Emploveé de je classe au Trésor;
1876-78 « de 2éme « « «
1878 80 « detére « « «
1880-82 «de 2eéme « Administration
des tinances.
1882-84 Peseur 4 la Douane du Cap
84-389 Agent de Douane du Fort-Liberté.
1889-90 Chcf des mouvements de Port,
Port-au-Prince:
1890 93 Inspecteur de Douane du Cap ;
1893-96 Commandant de Place «
1896-1903 Peseur Ala Douane «
1903-1908 Commandant d’Arrondisse-
ment er 34
1908 Sénateur de la République.
Veuillez agréer, etc.
LecTEUR pu «MATIN»
Tribunal Civil
Audience civile du Lundi 22 Avril 1908.
Le Tribunal sous la Présidence du juge-
Doyen G. Joseph Janvier, assisté de M. A.
Thibault, Commissaire
a rendu les jugements suivants :
1°. -- Celui qui déclare non recevable
Vappel interjeté par Monsieur Najib Ha-
mady, contre le jugement du Tribunal
de Paix section Sud de Port-au-Prince,
rendu le vingteneuf Mai 1907, entre lui e¢
du Gouvernement !
Monsieur le Docteur Felix Armand, et
condamne le dit Najtb Hamady aux dépens
2°. — Celi qui fait droit ala demande
en péremption d‘instance formée par le
sicur Labédoyere Cauvin, déclare la dite
instance périmée et condamne la dite
dame Amélie Faubert aux frais de la pro-
cédure périmeée et aux dépens de la deman-
de en pérempzion, alloudés 4 la somme de..
3°. -— Celui qui rejettela demande en pé-
remotion d’instance introduite par le sieur
Quillaugni cortre le Docteur Léon Sé-
journé comme mal fondée en fait et en
droit, le) coodamne on ourre aux dépens.
4°. -- Celui guicondamne le sicur Geor-
ges Fouché a payer aux heritiers de feu
Léonce Montas: 1° la somme de cent dix
gourdes, montant du bon souserit le douz
Mai 1896 et celle de quatre-vingt dix gour-
aux environs dés des, montant de la feuille d appointements
u mos de janvier 1897, soit la comme de |
eux cents gourdes par ving cing}
gourdes par mois avec ico intéré: léyaux
a partic du jour de la demande, crdenie
Vexccuiion provisoire saus caution, vu
qu il y a promesse reconnue.
5°. — Celui qui regoit la dame Jutie Li-
rousse appelante du jugement du Tribv-
nai de Paix section Sud de certe ville ren-
du par défaut, conire elle le six mars mil
neut ceni sept, annule ce jugement par de-
faut, parceque la défenderesse n’a pas été
assignee comme Je veut la loi pour pouvoir
presenter sa défease, accorde A l’appelante
le délai de quatre mois, pour sez libérer de
la somine de cent trente sept gourdes qua-
rante six centimes dont elle sz reconnait
detitrice du sicur Georges Coby.
Composition du jour.
Le Tribunal sous la Présidence da juge
A.Champagne, assisté du Sub.titut A. Thi-
bault a rgndu les jugemenis suivants :
Celui qui rejette comme fal fondées en
fait et en droit, les exceptions de nullités
et ies deux premiéres fins de non recevoir
opprsdccs A la demaade en divorce contre
le siete Léandre Larencul avant dire droit,
donne ate au sieur Léandre Larencul de
ce qu'il Bricule ct offre de prouver les
taits suivants :
— Apres la wenature de lacte d’arpen -
tage par la demanderesse, Madame Lyncée
Oriol, mére de celle-ci. a demandé au dit
sicur Larencul de laisser Madame Laren.
cul avec elle, en ajoutant qu’il pourrait ve-
nir chercher sa femme le lendemain matin;
— Madame L. Larencul a éé depuis le
sept janvier 1908 en communication avec
son mari, soit directement, soit psr des
intermeédiaires;
Madame L. Larencul est allce y
{ oir son
mari le 27 février et le 3 Mars 1908. A
cette derniére date, elle lui a promis de
ne pas se présenter 4 l’audience publi
du 9 Mars 1908. “Publique
En conséquence autorise le sieur L. La.
rencul 4 faire la preuve des dits fairs par
témoins, admet Madame L. Larencul 4 faire
par témoins la preuve contraire, et fixe
Vaudience 4 huis clos du 13 juillet pro-
chain pour I’audition des témoins.
2° -Celai qui homologue la délibération
du conseil de famille des mineurs Justi-
nien et Altagrace Ricot.
Affaire entendue :
Normil Sanon contre Yi -
main ( défaut /, Ser Séné Ger
.— Démosthéne
( défaur ).
Le Tribunal a ensuite dispos¢é l
pour le huis clos des époux Thomas tan
dine et aprés quoi il a passé 4 l’audience
publique et renda lordonnance qui ren-
oie les parties 4 l’audienc i
six failler prochain, nee publique du
uis le siége est levé.
Sam contre son épouse
et principale
la Savoie
vicre l’Are ont emporté
truit les récolres,
ont fait déborder tous
Nord et du Nord- Oue<
%
hyve
Décés
Les funérailles de
cédd ce matin 47 SENET Yau,
Dessalines, 51, (pres de Ia Gare i
auront leu demain 3 8 heu .
4 l'Eglise St-Joseph. res da
Condoléances 3 Ia famille Vilatre
Avis Commeroig)
_ Monsieur Donato La Torr.
tir prochainement pour |
débiteurs de venir Solde
plus tdt possible.
Port-au
Nowreles Bane
Derniéres Dé pDéches
Man
; devant ;
Europe Prie s
r lears Comptes j
-Prince 11 juin 1908.
Paris 21.— Des dépéches
la France annoncent
tielles accompagnees i
inettent d’immenses d
du Sad-Eg ,
ue des pluies torm
€ forts Orages cog.
égats dans |g
ement dans le département
ou la rivicre I'Are est devenge
un torrent impétueux; les eaux de la te
4 plusieurs endrovs
fer, les ponts et d&
des maisons et des my
la voie du chemin de
nufactures.
Mapbkip 21.— Des Pluics torrentiells
les cours dean &
} t de 1 Espagne; i
Jusqu ad present pas eu de victimes
Paris 21.— Une dépéche de Rome
nonce que tous les dépurcs et sénness
trangais qui ont voté la loi de séparatioa
ont €té excommuniés Lata Sentence ;
que les évéques frangais doivent lew me
ser les obscques chreétiennes,i moms qa’ts
ne se repentenc avant leur mort.
_MiLan 21.—~ M. Léon de la Grange, l'»
Viateur ftrangais a continuc ses esses
jourd*hui en présence de 150.000 pene
nes parmi lesquelles se trouvaient M. Bet
ry Farman, l’aviateur anglais.
Lonpurs 21. — Favorisée par un temp
splendide la :nanifestatioa que les
gettes ont faite aujourd’ hu: 3 Hyde Pat
a eté un véritable succés. Au point dem
du nombre des
presque dire que Londres n’avait jamais"
jusqu’ici une manifes*ation politique sm
importante.
manifestants on poem
St-PkiTrRspourc 21. — Le général
hvotf, chef des cosaques a été iné be
d'un coup de fusil; le meurtrier s’est
Un homme et une femme ont été a
damnés 4 mort 4 Varsovie pour compte
dans la tentative d’assassinat contre le G
Skallon, gouverneur général de Varsort
Dix-sept condimnations 4 mort oat
Pprononcées aujourd’hui dans d'autres
de l’empire.
TANGER 21.— Les membres da
diplomatique ont reca de Moulai &
une le:tre circulaire annongant la eee
mation du sultan du sud 4 Fez. 1) Om
de a éire recunna par tes puissances
ministres etrangers n’ont pas répoads
communication; ils se soat bornés 4 a
mettre celle-ci 4 lears goaternemen®. —
Une dépéche recue de Marrakech
ce qa’une colonne des troupes tes
Had a été atraquée et batiue Pie ai
tisans d’'Abd El Aziz. Cette a)
plus sanglante que l'on ait vue
commencement des troubles au or
troupes de Moulai Hafid ont
et 150 blessés. .
St Erienne 22 — Neuf wisest
tués consécutivement 4 O0C hg
de grisou dans une mine v0 B
a3 — Us peas |
as)
w
St Phranssovure
bed avjourd-hui élevant l’indem-
. ementaire des membres de la Dou-
mi dix-mille cing cents francs. Une pé-
vo ade soixante francs cinquante centt-
pes seta appliquée pont chaque journée
tabeenk* 2 — Un engagement eut lieu a
GON 2 i
wane entre un détachement frangais_ et
ee aKONG 22—La ville de Du-Chow est
igondée A 1a suite du débordement de la
gece qui fit de nombreuses victimes et
de és importants dommages.
New yorK 22 — Baisse générale de un
43 points a la bourse.
Parts 22 — Rente 94.55- .
Havez —Cacaos Haiti: 58'72. Le « Prins
Willem II » est arrivé hier.
Paris — Ala Chambre aujourd'hui M.
Treigner adressa tine question au ministre
de la guerre au suet des cas d’insolations
wx manceuvres Anrés Ja réponse du Gal
Picquart incident fut clos. La Chambre
wprend ensvite la discu sion de l’impét
gr le revenur
Le Sénat continue Ja discussion du ra-
dat dee L’Ouest. » M. Cruppi de retour
fEspagne s'est rendu 4 Augneray ou il
iaxegura les écoles, linstallation munici-
pie des eaux et des tramways. Le soir il
mista i Lyon a un diner offert par la mu-
skipalité. Anjourd’hui le ministre visita
verses écoles professionelles.
Le Président du Sénat et Mme Dubost
client samedi un diner en l’honneur
és bureaux des chambres.
M. Scelfor:, radical. est dlu sénateur du
Nord et M. Fortin, conservateur sénateur
de Faistére.
_ Vmcatastrophe dont on ne connait pas
cass s'est produite au puits de Mont-
matre (St-Etienne ). Il ya huit mort et an
potzante mille viticulteurs réunis hier
Narbonne visitérent lecimetiére ou furent
emirdes les victimes de la crise de l’année
A vendre
Une propriéts, sise al’angle des
Mes St Honoré et de Ja Révolution
sede contenance de Trente quatre
a hye. Profondeur sur Vingt deux
roar les conditions s’udresser a Mr
Vere Alle, au bureau central du Té-
phe terrestre.
Port-au-Prince, le 23 juin 1908.
2,
Le Ce ae
en a ee
LA COMPAGNIE
DE
Développement de 1’Lle
| de la Gonave
| wise le Commerce et le public de
tieor Gre eces.en général, que Mon-
Seeréin STAVes'H. WERNER, ci-devant
Compa re et Trésorier de la susdite
lions ened étésuspendu deses fonc-
dou'4 Mme Secrétaire et Trésorier,
‘oni ne catir de cette date la Compa-
ME dettes responsable pour aucu-
ledit cue uessements contractés
lac MTA VES H. Werner.
| Pagnie de Développement
wai? se la Gonave », profite Ge l'oc-
Ren, Gar annoncer que Monsieur
lent on Here est son seul représen-
alti.
de la « Compagnie de
Le Président
Mloppement de Tie de la Gondve »
Port. Cuantes W. RUSSEL.
“0-Prince, 29 Mai 1908
Compagnie F.C. §
Devant renouveler
le 1° Juillet prochain
les cartes de libre cir-
culation, émises le 1°
Janvier 1908, la Direc-
tion prie les porteurs
de ces cartes de bien
vouloir les présenter
en ses bureaux, sis au
Champ-de Mars a par-
tir du 25dece mois,
afin de pouvoir en ef-
fectuer l’échange.
Port-au-Prince, 20 Juin 1908
LA DIRECTION.
Mcssieurs les Actionnaires de Ja
Compagnie des Chemins de Fer de
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Ne 5b.
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4° Rapport du Conseil d’Adminis-
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4° Divers.
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REDACTION-ADMINISTRATION mois et sont payables d’avance
« 6. Les manuscrits insérés ou non ne seront pas rendus
Le MATIN en impose-t-i i?
Cest ce que prétendent « Haiti lit-
linire et sociale » et M. Georges
a.
bisle début de nofre campagne so-
@ae, Hous n’avions pas manqué de
peer qu'un jour ou l’autre Voutre-
eridaace ot lo pédantisme, irrésistible-
Get aoculés, ne manqueraient pas de
ees projeizr sur la face un de ces
agpments de désespoir que les ad-
Wes irréconciliables réservent
per le moment des derniéres expec-
8.
Nl aous avait semblé, dans l’espéce,
@e, nous faisant en Haiti les pro-
~pteurs des conclusions de la scien-
@ sociale, il était pour le moins
wile et prudent de nous mettre en
fede pouvoir invoquer, le cas
t, rautorité et le patronage di-
mets des Mmaitree incontestés de cette
8. Aussi n’avons-nous pas man-
@é dattirer sur notre entreprise la
- attention de ceux qui, en Fran-
®, poursuivent constamment |’ceu-
esience penectionnement dont cette
eeptible mme toute autre, est sus-
. . e
Veocouragement nous est venu,
Peer ainsi dire & profusion, de la So-
Cent tonale de Scienc+ Sociale.
abord M. Edmond Demolins,
~ Fegrettée mémoire, qui, quelques
avant sa mort, nous dcrivait :
AV ai ogc pancoup d’intérét les
| m.... et je vous prie
Seerser toutes mes félicitations. P
7 «Vous avez as. o, ye .
%s de tei parfaitement compris l'ceu
. désireux de nous présen-
. +méme un modale qui, ae l’a-
t tou ps, lui était
modadle le
:« Vous pouvez
suivi per notre
programme
groupe du
1 45, RUE ROUX, 45.
dresser
oS AS NS
A Monsitur Actthur ISIUTORP, «5. Ree Rcux ca Bonne-Foi.
ae
_ -_- = -——
chaque jour un article inftéressant sur/des seules ressources de son omnis-
les études quit nous sont cheéres.... 'cience infuse, a 6té éplucher le volu-
« Les rédacteurs de ce journal ont; me @’Introduction a la Science "Sociale
compris quelle force ils pouvaient tirer | ot se trouve, entre autres publications
en vulyarisant les résultats d'une science avanttrait aux origines de cette scien-
Nous ponrsuivons ardeminent la|uouvell-ment constituée.
réalisation de ce vuwu et déja notre |
projet se précise et prend corps. ‘micr jouroal propaygeant nos idédes,
mais je crois pouvoir aflirmer que
west le premier qui ‘e fasse d’une fa-
@on auss! suivie vt aussi énergiqne,
Eremier également qui ne craigne
C’est ensuite M. Paul de Rouasiers, |
président de la « Société internatio- |
nale de Science sociale, » qui, six |.
mois plus tard et aprés qu’uue orien-| pis del: proctim r tout haut. est a
tation défiyitive avait été onée au! souhaiter que ce procédé se répande
Matin, nous dit, *époudant wisi aux! vo plus et quc Rous ne yoyions
difficultés dont nous lui avions fait laj plus nos idées propagées par des hom-
confidence et que dressaient sur nos|mes qui feignent aé'hous ignorer.
pas un groupe d’esprits remarquables :; Nous n’oublioas pas que aiti
I
de phus
vest «
que ce nouveau sillon a été creusé. »
« Je ne suis pas surpris devdifticul-!
tés que vous rencontrez 4 ¢dire péné-; Nous croyions ce patronage sufli-
trer les idées de la Science Sociale |sant pour imposer a tout le monde et
dans le milieu of vons vous tiouvez,! pour bien étublir les repports de fi-
mais ma propre expérience m’a sou-li:iion qui existent entre notre ceuvre
vent amené a constater que les per-| de propagande et l’école sociale qui en
sonnes les plus opposées parfois aux! cst linspiratrice.
conclusions que novs présentons re-| Mais ce qui suffit a ‘out le monde
coivent cependant une influence mar-|ne_ saurait satisfaire M. Geo-g:s Syl-
quée des travaux de Science Sociale... vain et ¢ est ainsi que sous Je titre de:
«Je me permets da vous donner, L:tire dun rural, et soas la signature
ces indications 4 litre dencouragemcnt| de : Speclator, notre adversaire en
et de bonne confraternité en souharitant' chet, celui que la campagne du Matin
le meilleur succés @ vos efforts ef enjempeche littéralement de dormir,
vous “ remerciant du concours quz vous, vieut de publier, dans « Hiati littéraire
voulez bien nous donner. » ,Ot Sociale », une sorte de turtine sur
‘la question sociale, laquelle finit ain-
C’est encore M. Paul Descamps. Si :
secrétaire de la ttevue La Science So- Comma tout cela ressemble peu
ciale, , qui, en nous félicitant’ d WOT sux theories étroites dont depuis
écrit | Ktude sur le Tempérament Hat- | quelque temps on nousrebat les oreil-
ften, ajoute : 'les ! Ni la méthode de Nemolins, ni la
doctrine de Le Piay ne méritent d'etre
" - 'ecompromis dans les aventures, o
vous témoigner loule ma symoathic oudrait les entrainer la secte sociolo-
au sujet dela campagne cle M Que | gique qui s‘abrite sous leur autorité.
vous avez entreprise dans le Matin, | A deires d'un dogmatisme nouveau,
d’Haiti. » soit ! Fondateurs a |’haitienne— d’une
, . , nouvelle école sociale, j’'y consens!
C'est enfin M. Armand de Préville, 'yt,i, disciples de Le Play et de De-
’éminent auteur des Sociétés africaines | molins. allons donc ! »
qui nous honore de « toutes ses féli- , -
Citations » et Ja Revue la Science So-| Voila donc M. Sylvain disposéenfin
ciale elle-méme qui a bien voulu nous | 4 faire dela science sociale, non passeu-
consacrer les lignes suivantes - lementavec nous, mais—ce qui est plus
| grave - contre nous ; c’est I’école mé-
« A Haiti, Jes idées et les conclusions!me de Demolins qu'il se propose de
dela Science Sociale sont vigoureuse-' defendre contre nous et dans cette
ment propagées dans le Matin de Port-/| nouvelle forme de ia lutte, M. Sylvain,
au-Prince. Ce journal... consacre' se doutant an peu qu'll doit se méfler
« Je profite de cette occasion pour |
ce, une étude de M. Edmond Bouchié
«Sans doute,ce n’est pas le pre-;de Belle sur « Frédéric Le Play, sa
méthode et sa doctrine. »
Nous félicitons M. Sylvain de com-
Mencer par le commescement, et
Demolins lui méme a recofnmandé de
commencer la lecture de la bibliothé-
‘que sociale par I’étude de M. Bouchié
A LUE pager
de Belle. Mais M. Sylvain donne 4 ce
précepte une intcrprétation trop limi. .
tative et un simple frottement avec
I’Introduction peut l’exposer 4 de re-
grettables aventures: c’est ainsi que
nous le surprenons a parler un peu
inconsidérément de la « méthode de
Demolins. »
Or, Demolins n’a pas créé de métho-
de. La méthode initiale et générale qui
a permis a Le Play de recueillir, sous
forme de monographies, ses précieu-
ses mais incomplétes observations
sogiales, a été l’couwre de Le Play lui-
meme. Mais comme son instrument
d’analyse datait de 1830, il s’est révélé
insoffisant aux mains des continua-
teurs de Le Play, et en 1885, Henri de
Tourville l’'a remplacé par la Nomencla-
ture nouvelle, grace 4 laquelle Demo-
lins, H. de Tourville lui-méme et tous
leurs collaborateurs ont acquis a la
doctrine de Le Play les importantes
contributions qui lui ont valu de pou-
voir se constituer en science véritable.
Que M. Sylvain, dans sa nouvelle
peau, substitue donc, a Part de bi
dire, celui de dire juste; les 6‘udes
sociales gu’il se décide enfin & abor-
der l’y aideront puissamment.
* Nous allons démonter avec la plus
grande facilité la grotesque batterie
dont « Huiti sociale et littéraire » s’est
laissé affubler par M. Sylvain, contre
nous. Mais auparavant il n’est pas
inutile d’ofirir 4 nos lecteurs un petit
croquis de l’évolation singuliére que
subit depuis quelqus temps notre
« Docteur &;-tout ».
It n’y a pas deux ans, M. Sylvain
faisait retentir sa voix de la facon
suivante, a l' Alliance francaise: «¢
bons apdtres qui ont fait cette curien-
se découverte sont les mémes
nous voyons, aprés Demolins, s’en
ler claironnant sur tous les tolts ‘la sa-
:
périorité de l'éducation angio saxon-
ne...A quoi ticatcettesupériurité? Me-
me quand on a lu le livre fameux qui
l’'a révélée au monde, on reste en pel-
ne de l’expliquer. »
Et nous faisons grace pour le mo-
ment des idées mémes répandues un
peu partout par M. Sylvain et qui sont
les plus directement Opposées aux
conclusions les plus certaines de) la
Science Sociale. . ;
lin’y apas un mois quapres aver ar:
rangéde ceite fagon « Detnolins » et les,
« bons apotres », Mo Syivain rectiliat
comme suit: « 1! ne men coute cepen-
dant nullement de déclarer... que
j’étais, bien avant lui, ( Atiguste Ma-
yloire ) des udmiratears dG’ Edmond De-
motins ». Relisez ci-dessus le lingave
de ladinirateur !
Agjourdhut, M. Sylvain acccntie
son évulution et c'est la science sro-
ciale elle-meémne quil se propuse de |
défendre contre nous.
Si cette évolution doit tourier ou
protit de notre camypagus sociale et
nous valoir le concours précieux de
la plume et de ta langue de M. Syl-
vain, ina foi, nous naurons vaucune
mauvaise gyrace & faire da paix avec
lui et neme a écarter pos rans pour
lui permettre de pousser droit | jus-
qu’a !a situation de chef de file qfivila
sr souvent exercée ou exploitée.
Mais si, contre notre atlente, M.
Sylvain nentend revetiv la livrée socia-
la que pour mieux essaver de nous
faire ¢chec et jouer dans nos rangs
le role usé du cheval de bois des
Grecs, nous le prévenons que nous ne
ja laisserons pas facilemenut coatinuecr
4 tondre les naifs moutons qu'il a pu
trouver dans le troupeau hatien ct
dont la laine a pu si longtemps servir
a entretenir son habituel trafic des
choses de l'esprit.
En attendatt, nous allone o:sayer de
discuter le petit boniment de « Haiti
sociale et lifléraire », puisque Gossi
bien, M. Sylvain nous accuse de « dé-
courager la contradiction. »
A nos Abonnes
Le Matin se voit dans la nécessite de
prévenir ses abonnés que, ¢tant dounde Ja
hausse exagérée; et persistante du change,
il se verra obligé, au cas of cette circons-
tance Economique menacerait de se perpé-
tuer, de‘ modifier le tarif de ses abonn-
ments.
Le Matin croirait faire injure 4 ses a-
bonnds en s¢etendant autre mesure sur la
Iévitimité de cette modification de son ta-
nf 4 un moment ot tous les articles d’im-
portation,y compris le papier d‘impression,
subissent une augmentation qui s'azcentue
de jour en jour.
Cependant, et en témoignage de sa bon-
ne volonté, le Autin essaie encore de
maintenir son tarif d’abonnement actuel,
dont le montant tout entier est absorbé par le
papier qui sert & son impression. Et dans le
cas ow il serait obligé de recourir 4 la me-
sure dont le présent avis fait part, il est
bien entendu que ce serait aStitre proviscire
et en attendant une amélioration dans la
situation du marché.
Saint Louis de Gonzague
Dimanche 28 juin courant 4 7 heures
du matin une messe sera chantée. dans la
chapelle de I'Insticution Saint Louis de
Go e a l'occasion de la téte patronale
de cet important établissementr.
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‘Haromeir a midi 762, o7/*
| min:mam 21.8
Tem, ératur:;maxinum 35-5
“mm yenne diurne 25 7
Cicl presque clair le matin, couvert
;toure Uaprés-midi. Oras:
tinidi jo) Petite pluie vers th 20". Pluie
et orave 2 6 ho 45 du soir. Toal 3.477".
Le barométre assez bas dans la journée
est de nouveau remonte.
R. BAL PENWECK
Ci:an.vre des HKReprésentants
Séance du Lundi 22 Juin 1908
Apres la sanction d'un proces verbal ei
tla lecture de la correspondance qui com-
porte notamment: une lettrede M. Ber-
nateau, notaire, demandant une somme de
4.000 dollars pour donner publicité a un
ouvrage, et une petition de la paroisse du
Sacré-Cacur aux Cayes, sollicitant un sub-
side de 5.000 dollars pour Ja construction
Wune Eglise, MM. les députes C. Léon,
N. Lecerve ct Debuisson, respectivement
rapporteurs des comites des “Travaux Pu-~
biics, des Finances et de la Guerre, font
chacun le dépét d’un rapport.
Puis, deex propositions de loi sont dé-
po:ces par les députés St Aude et Charlot,
la promiére tendant 4 accorder un sab-
side de 1). oogegpyrdes ronr Pachévement
de lefelise de Port-de-Paix et la seconde
préevovant en faveur de Ja ville de Petir-
Goive une valeur de 20.0c0 gourdes pour
© Pachevement de son Eglise.
Boite aux lettres
Monsicur !2 Directeur,
[a peti.c biographic du sénateur Vin-
cent ainé pubiié dans un de vos dernier:
numeros contenait des erreurs je viens
la. completer comme suit: Voici les ditté-
rentes ¢tapes de la vie du nouveau séna-
teur :
IS7o A 1874. Eleve 4 la Douane du Cap;
1874-76 Emploveé de je classe au Trésor;
1876-78 « de 2éme « « «
1878 80 « detére « « «
1880-82 «de 2eéme « Administration
des tinances.
1882-84 Peseur 4 la Douane du Cap
84-389 Agent de Douane du Fort-Liberté.
1889-90 Chcf des mouvements de Port,
Port-au-Prince:
1890 93 Inspecteur de Douane du Cap ;
1893-96 Commandant de Place «
1896-1903 Peseur Ala Douane «
1903-1908 Commandant d’Arrondisse-
ment er 34
1908 Sénateur de la République.
Veuillez agréer, etc.
LecTEUR pu «MATIN»
Tribunal Civil
Audience civile du Lundi 22 Avril 1908.
Le Tribunal sous la Présidence du juge-
Doyen G. Joseph Janvier, assisté de M. A.
Thibault, Commissaire
a rendu les jugements suivants :
1°. -- Celui qui déclare non recevable
Vappel interjeté par Monsieur Najib Ha-
mady, contre le jugement du Tribunal
de Paix section Sud de Port-au-Prince,
rendu le vingteneuf Mai 1907, entre lui e¢
du Gouvernement !
Monsieur le Docteur Felix Armand, et
condamne le dit Najtb Hamady aux dépens
2°. — Celi qui fait droit ala demande
en péremption d‘instance formée par le
sicur Labédoyere Cauvin, déclare la dite
instance périmée et condamne la dite
dame Amélie Faubert aux frais de la pro-
cédure périmeée et aux dépens de la deman-
de en pérempzion, alloudés 4 la somme de..
3°. -— Celui qui rejettela demande en pé-
remotion d’instance introduite par le sieur
Quillaugni cortre le Docteur Léon Sé-
journé comme mal fondée en fait et en
droit, le) coodamne on ourre aux dépens.
4°. -- Celui guicondamne le sicur Geor-
ges Fouché a payer aux heritiers de feu
Léonce Montas: 1° la somme de cent dix
gourdes, montant du bon souserit le douz
Mai 1896 et celle de quatre-vingt dix gour-
aux environs dés des, montant de la feuille d appointements
u mos de janvier 1897, soit la comme de |
eux cents gourdes par ving cing}
gourdes par mois avec ico intéré: léyaux
a partic du jour de la demande, crdenie
Vexccuiion provisoire saus caution, vu
qu il y a promesse reconnue.
5°. — Celui qui regoit la dame Jutie Li-
rousse appelante du jugement du Tribv-
nai de Paix section Sud de certe ville ren-
du par défaut, conire elle le six mars mil
neut ceni sept, annule ce jugement par de-
faut, parceque la défenderesse n’a pas été
assignee comme Je veut la loi pour pouvoir
presenter sa défease, accorde A l’appelante
le délai de quatre mois, pour sez libérer de
la somine de cent trente sept gourdes qua-
rante six centimes dont elle sz reconnait
detitrice du sicur Georges Coby.
Composition du jour.
Le Tribunal sous la Présidence da juge
A.Champagne, assisté du Sub.titut A. Thi-
bault a rgndu les jugemenis suivants :
Celui qui rejette comme fal fondées en
fait et en droit, les exceptions de nullités
et ies deux premiéres fins de non recevoir
opprsdccs A la demaade en divorce contre
le siete Léandre Larencul avant dire droit,
donne ate au sieur Léandre Larencul de
ce qu'il Bricule ct offre de prouver les
taits suivants :
— Apres la wenature de lacte d’arpen -
tage par la demanderesse, Madame Lyncée
Oriol, mére de celle-ci. a demandé au dit
sicur Larencul de laisser Madame Laren.
cul avec elle, en ajoutant qu’il pourrait ve-
nir chercher sa femme le lendemain matin;
— Madame L. Larencul a éé depuis le
sept janvier 1908 en communication avec
son mari, soit directement, soit psr des
intermeédiaires;
Madame L. Larencul est allce y
{ oir son
mari le 27 février et le 3 Mars 1908. A
cette derniére date, elle lui a promis de
ne pas se présenter 4 l’audience publi
du 9 Mars 1908. “Publique
En conséquence autorise le sieur L. La.
rencul 4 faire la preuve des dits fairs par
témoins, admet Madame L. Larencul 4 faire
par témoins la preuve contraire, et fixe
Vaudience 4 huis clos du 13 juillet pro-
chain pour I’audition des témoins.
2° -Celai qui homologue la délibération
du conseil de famille des mineurs Justi-
nien et Altagrace Ricot.
Affaire entendue :
Normil Sanon contre Yi -
main ( défaut /, Ser Séné Ger
.— Démosthéne
( défaur ).
Le Tribunal a ensuite dispos¢é l
pour le huis clos des époux Thomas tan
dine et aprés quoi il a passé 4 l’audience
publique et renda lordonnance qui ren-
oie les parties 4 l’audienc i
six failler prochain, nee publique du
uis le siége est levé.
Sam contre son épouse
et principale
la Savoie
vicre l’Are ont emporté
truit les récolres,
ont fait déborder tous
Nord et du Nord- Oue<
%
hyve
Décés
Les funérailles de
cédd ce matin 47 SENET Yau,
Dessalines, 51, (pres de Ia Gare i
auront leu demain 3 8 heu .
4 l'Eglise St-Joseph. res da
Condoléances 3 Ia famille Vilatre
Avis Commeroig)
_ Monsieur Donato La Torr.
tir prochainement pour |
débiteurs de venir Solde
plus tdt possible.
Port-au
Nowreles Bane
Derniéres Dé pDéches
Man
; devant ;
Europe Prie s
r lears Comptes j
-Prince 11 juin 1908.
Paris 21.— Des dépéches
la France annoncent
tielles accompagnees i
inettent d’immenses d
du Sad-Eg ,
ue des pluies torm
€ forts Orages cog.
égats dans |g
ement dans le département
ou la rivicre I'Are est devenge
un torrent impétueux; les eaux de la te
4 plusieurs endrovs
fer, les ponts et d&
des maisons et des my
la voie du chemin de
nufactures.
Mapbkip 21.— Des Pluics torrentiells
les cours dean &
} t de 1 Espagne; i
Jusqu ad present pas eu de victimes
Paris 21.— Une dépéche de Rome
nonce que tous les dépurcs et sénness
trangais qui ont voté la loi de séparatioa
ont €té excommuniés Lata Sentence ;
que les évéques frangais doivent lew me
ser les obscques chreétiennes,i moms qa’ts
ne se repentenc avant leur mort.
_MiLan 21.—~ M. Léon de la Grange, l'»
Viateur ftrangais a continuc ses esses
jourd*hui en présence de 150.000 pene
nes parmi lesquelles se trouvaient M. Bet
ry Farman, l’aviateur anglais.
Lonpurs 21. — Favorisée par un temp
splendide la :nanifestatioa que les
gettes ont faite aujourd’ hu: 3 Hyde Pat
a eté un véritable succés. Au point dem
du nombre des
presque dire que Londres n’avait jamais"
jusqu’ici une manifes*ation politique sm
importante.
manifestants on poem
St-PkiTrRspourc 21. — Le général
hvotf, chef des cosaques a été iné be
d'un coup de fusil; le meurtrier s’est
Un homme et une femme ont été a
damnés 4 mort 4 Varsovie pour compte
dans la tentative d’assassinat contre le G
Skallon, gouverneur général de Varsort
Dix-sept condimnations 4 mort oat
Pprononcées aujourd’hui dans d'autres
de l’empire.
TANGER 21.— Les membres da
diplomatique ont reca de Moulai &
une le:tre circulaire annongant la eee
mation du sultan du sud 4 Fez. 1) Om
de a éire recunna par tes puissances
ministres etrangers n’ont pas répoads
communication; ils se soat bornés 4 a
mettre celle-ci 4 lears goaternemen®. —
Une dépéche recue de Marrakech
ce qa’une colonne des troupes tes
Had a été atraquée et batiue Pie ai
tisans d’'Abd El Aziz. Cette a)
plus sanglante que l'on ait vue
commencement des troubles au or
troupes de Moulai Hafid ont
et 150 blessés. .
St Erienne 22 — Neuf wisest
tués consécutivement 4 O0C hg
de grisou dans une mine v0 B
a3 — Us peas |
as)
w
St Phranssovure
bed avjourd-hui élevant l’indem-
. ementaire des membres de la Dou-
mi dix-mille cing cents francs. Une pé-
vo ade soixante francs cinquante centt-
pes seta appliquée pont chaque journée
tabeenk* 2 — Un engagement eut lieu a
GON 2 i
wane entre un détachement frangais_ et
ee aKONG 22—La ville de Du-Chow est
igondée A 1a suite du débordement de la
gece qui fit de nombreuses victimes et
de és importants dommages.
New yorK 22 — Baisse générale de un
43 points a la bourse.
Parts 22 — Rente 94.55- .
Havez —Cacaos Haiti: 58'72. Le « Prins
Willem II » est arrivé hier.
Paris — Ala Chambre aujourd'hui M.
Treigner adressa tine question au ministre
de la guerre au suet des cas d’insolations
wx manceuvres Anrés Ja réponse du Gal
Picquart incident fut clos. La Chambre
wprend ensvite la discu sion de l’impét
gr le revenur
Le Sénat continue Ja discussion du ra-
dat dee L’Ouest. » M. Cruppi de retour
fEspagne s'est rendu 4 Augneray ou il
iaxegura les écoles, linstallation munici-
pie des eaux et des tramways. Le soir il
mista i Lyon a un diner offert par la mu-
skipalité. Anjourd’hui le ministre visita
verses écoles professionelles.
Le Président du Sénat et Mme Dubost
client samedi un diner en l’honneur
és bureaux des chambres.
M. Scelfor:, radical. est dlu sénateur du
Nord et M. Fortin, conservateur sénateur
de Faistére.
_ Vmcatastrophe dont on ne connait pas
cass s'est produite au puits de Mont-
matre (St-Etienne ). Il ya huit mort et an
potzante mille viticulteurs réunis hier
Narbonne visitérent lecimetiére ou furent
emirdes les victimes de la crise de l’année
A vendre
Une propriéts, sise al’angle des
Mes St Honoré et de Ja Révolution
sede contenance de Trente quatre
a hye. Profondeur sur Vingt deux
roar les conditions s’udresser a Mr
Vere Alle, au bureau central du Té-
phe terrestre.
Port-au-Prince, le 23 juin 1908.
2,
Le Ce ae
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| de la Gonave
| wise le Commerce et le public de
tieor Gre eces.en général, que Mon-
Seeréin STAVes'H. WERNER, ci-devant
Compa re et Trésorier de la susdite
lions ened étésuspendu deses fonc-
dou'4 Mme Secrétaire et Trésorier,
‘oni ne catir de cette date la Compa-
ME dettes responsable pour aucu-
ledit cue uessements contractés
lac MTA VES H. Werner.
| Pagnie de Développement
wai? se la Gonave », profite Ge l'oc-
Ren, Gar annoncer que Monsieur
lent on Here est son seul représen-
alti.
de la « Compagnie de
Le Président
Mloppement de Tie de la Gondve »
Port. Cuantes W. RUSSEL.
“0-Prince, 29 Mai 1908
Compagnie F.C. §
Devant renouveler
le 1° Juillet prochain
les cartes de libre cir-
culation, émises le 1°
Janvier 1908, la Direc-
tion prie les porteurs
de ces cartes de bien
vouloir les présenter
en ses bureaux, sis au
Champ-de Mars a par-
tir du 25dece mois,
afin de pouvoir en ef-
fectuer l’échange.
Port-au-Prince, 20 Juin 1908
LA DIRECTION.
Mcssieurs les Actionnaires de Ja
Compagnie des Chemins de Fer de
la Plaine du Cul-de-Sac sont convo-
qués en Assemblée générale Je mardi
28 Juillet 1908, 49h. 1;2 du matin au
Siege Social, sis aa Champ-de-Mars,
Ne 5b.
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4° Rapport du Conseil d’Adminis-
tration
2» Présentation des Comptes.
3e Renouvellement du Conteil.
4° Divers.
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