Citation
Le Matin

Material Information

Title:
Le Matin
Place of Publication:
Port-au-Prince Haiti
Publisher:
[s.n.]
Creation Date:
June 10, 1908
Frequency:
daily
Language:
|||

Subjects

Subjects / Keywords:
Newspapers -- Haiti ( lcsh )
Genre:
newspaper ( sobekcm )
newspaper ( marcgt )
Coordinates:
-72.2803802891673 x 18.5142993036392

Record Information

Source Institution:
University of Florida
Holding Location:
Bibliothèque Haïtienne des Frères de l'Instruction Chrétienne
Rights Management:
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Resource Identifier:
000358166 ( ALEPH )
ABZ6468 ( NOTIS )

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359.

PORT-AU-PRINCE ( Haitt )

M

QUOTIDIEN

- ABONNEMENTS : | Direcrevr: ,
PORT-AU-PRINCE) Un Mow. . . G. 4. Clément Magloire,
DEPARTEMENTS) Trois Mois. . « 3.60 ——- -—- ee Les abonn
| REDACTION-ADMINISTRA TPLON
ETRANGER........ Trois Mois. . « 6 45, RUE ROUX, 45. oe tin




Cest ude constatation dé lorable
arlavenir, pour le développement
potre pays, ques celle de ce tait
ge lesprit de Pilaitien ne se préte
pas a la discussion.

Cela peut se Constater méme dans

lasimple conversation ; chacun tend
d faire prévaloir son propre point de
vue et quelles que soient les bonnes
raisons que donne l'adversaire, on
Wet pas COnVaincu et souvent du
reste, of He les a pais entendues ; on
répoad sans entendre ; de la, de per-
phuels malentendus et des conllits
mans Cesse renaissants.
Quand nous) discutons, nous. ai-
mons beaucoup yu’on oppose des
wpgaments de valeur & ceux que nous
woos produits, inais rien n’est plus
Mconcertant que de voir notre pen-
the dénaturée comme a plaisir, de
Yer qu'on nous fait dire ce que nous
Htvons jamais dit mi pense. Nous
ions ce défaut, propre aussi au fran-
(is, de tout sactitier a l’elfet !

( que nous parlions, soit que
Mus écrivions, il] semble que nous
mw aaons une joulssunce§ ineffable
‘roulement dune vhrase harmo-
eee et que ce plaisir nous fait per-
me de la vérité. Ah! qui dira

mal que nous fait larhétori-
pe! Car les auditeurs ou les lecteurs,

plices inconscients subissent, eux

»4@charme du beau sophisme,

et ainsi que sont applaudis des
meas dec” font qu’enfonce. a grand

Wet de Portes ouvertes, ou qui ti-

brillantes conclusions des pré-
be del plus fausses. Le feu d’arti-

We le & fin sauve tout, on ne voit

Uquet, et l’on applaudit !

Considérations me sont venues
Chars bde la petite levée de bou-
Crary 1 2 e8t Opérée au sujet du dis-
le lene ami Vincent. Toute
tu er’ Vient d'un malentendu :

curs, les étudiants en droit

tat

a Ten tutre les lignes » du discours
lidve toutes sortes de choses,

cal Dent Ceci: Fermez les

oes roit et tout le monde aux
Magistrat n'a pas dit cela et

Ire

- MALENTENDUS

—

Pour tout ce qui conserne VAduinis







ration du Jourrai

ne pourrait: pas le dire. (est lai pre-
ter une idee dénuée de sens com-
man que de lui imputer celle-la. On
ne imagine pas une soeicté unique-
ment coimposee de laboureurs !

Ce qne Vincent adit, c’est ce que
nous ne cessons de dire nous memes
depuis la eréation de ce journal et
c'est pourquoi nous revenons nous
memes aur cett{a question, car lé pro-
ces des éfudiants en droit a été fart
autant au Magistrat Communal quan
Matin. Ges Messieurs mont pas mab-
qué de fairs remarquer que [le dis-
cours iecrimine était une consécra-
tion de notre cainpagne, ete...

Ce que nous disons, le voier:

Nous avons trop davogats, trop de
medeeins, les carreres liberates sont
encombrees. Quon se tourne un peu
vers les professions mianuelles, vers
Vayricalture, Vers Uindusteie. Un atte
san qui gage sob parm, Vaut migny
qwun avovat qui le mendre |

Ne sont-ce pas la des ver t&és lacon-
testables ? Est-ce que Pencombreimert
des professions Hbérales ne creve pas

jles yeux ?

Est-ce que tout le monde le sai!
pas que les derniers venus dais . |:
carmere ne vagnent pas leur vie. Noy-
a-t-il pas des avocats et des mee
cins employés dans des ministere:
ou d'autres bureaux publics ? kr:
n’est-ce pas une dérision ?

Messieurs Corvington, Sules et Au-
guste sont les premiers aen convent

Mais ce qui les fouette et les fait|
partir en guerre, c’est qu'il leur sem-!
ble que le Mitin et Vincent s’vnissent
pour leur dire: « N'allez plus a VE-|
co'e de Droit, prenez la béche et la
pinche ; l¢ salut industriel et le salut!
public sont 1a. » Jnde irae !

Leur indignation, dés lors, se com
prend ! Et nous comprenons Icur re-,
ponse :



)
|
\

allez au champs vous meme=;
d’abord, et nous vous y sulvrons. |
Laissez 14, vous, votre place de Mav |
istrat, vous, votre plume de_journa-
iste, et nous n’irons plus
Droit !

wedrassar



a l’Ecole de |

3

- awe fe.
We am et

ry.
ke
Qiu ahertan on!

PHP ofeit bien ques pavan pout dittce
la Gominane. ab frat des aver
faut) des journaltstes > nous
tous des rotates

srande? machine sociale, mous disots ,

. eal
v oo

Re DEUS, ESP PTET OR TS A ee

PAYDS DETERS

tates di
SOUUTTEE EE:

hese ssaibes dats hat RENSEIGN EMENTS

ercredi, 10 Juin 1908



Le Matin

LE NUMERU 10) CENTIMES

ements partent du rf et durg de chaque
mors et sont payables d’avance

Nuscrits inséres Ou non Qe seronut pas rendus



TOY deve ae tre Sou og Bonre-Fe,



METEGROLOGIQUES

sam plement que clracdum doit eviter! _
Wetve.. la ciuquaterie roue ! “Plorerwvotoire
Si, avoeat, vous tes content de ce Dt

que Vous #apnez, Sl votre
Vous Tapporte
diant en Droit, vous avez

profession ;
suflisamiment : si, étue;
la eeriitude

ISEMINALAR COLULGE Se-MASBTIAL

-_—

que votre leidemeen est assure. st. Mako: yg Juw
vous sepntez que vous portes eb VOU-- iar nyecce A midi 762, 1%
. vt whe s* 9
la phissance de pereer dans votre: min'mam 2". 2
se a I vA youn a6 ‘ ‘ y : .
branche et d occuper Un rang * onora | Température maximum 33.7
ble et... une position lucsative, ce! m..enne diarne 28 2

West pomt a@ vous que notre discourse:
Vadresse, vf Vous »oUVeZ passer votre,

chemin sans vous em @mouvuolr aufre-
ment.

Notre discours Sadresse sc ceux pat
me font prem. qnat attercdent cpa
Changedvent de Gaouverh gpent ayypeot
teun chanzement i leur
aux @fudiants eo Dror qr
atiratent dy som de retomroer ao leurs
Classes de vraiibere |e t te tates
est qae Mes. Sates. Corvinpber et
Notoge fa tos pers he een da
Qu sont des poedues gens Tenby
bles et eaters de prand avenir. areut
eru devia: vesou die qiupaad tous te
pacibots que cab. freses p fedehis.,

Ces diab rtendu - hey Totadtes
pe nous Giviseit a tea dacinent othe
eat sineécessaipe que toutes des ptelip
eoenuces sUnissent Gaus tore pattiott
que croisadk: Couto bos erpenmient. de =
yours posses. Gattis uber op tbat tte
predication du releveigenc more) du

=~ udresse

~ornt

os

sro!

peapie par fe travail, par iedlort ond i-

viduel.
Ne serait-il pas mieaux que Corsing-
ton, Salesiet Nugasts, ef totis ceux

qui nous eo vement Injustement, re-
conpaissent enfin VPopportanite de
notre campagne et se joiynent a
nos?

Dans le va-te champ de ia détres se
nationale qui s’éten dT devant nos yeux,
nous n’aurons jamais trop d’ouvriers,
et c'est ici un supreme ay pel qua nous
faisons atoutes les in'ellizences Sajnes,
pour l'union ct le groupement @@fini-
tif de toutes les forces vives du Pays
en vue de son relévement social !

toute la journée.

CQigh un peu nuageux
eouronnes lu-

Vy oh. du soir halo et
rab. res,
Le Daromeétre cot stathonnatre,
XR. RALTENWECK
Tribunal Civil
Aeadiocie cae Moris yp Jos pyo8
Teotr sunall ous la pres domes du Juge
AJst Rome, as cate duo Mounistére Puotie A.
Meoosta.o aren los eae, : IM

i Clu ie
fuegatiocth de tum
Totus Z.ophir.

2: Cclur gui coiwdamne sicur Pett
Jean Mitten a d¢nuerpir dos trots suarts de
euireau de icrre situes sur habitaron Dae
buisson dans les sint-guate heures de ia
Sonataion du jusze:nent sous peine d’une
astroume de vingt vourdes pir jour de re-
tari, ete. ete.ce: le condanine en outre 4
deux cens pourdes de dommages intéréts
et aux dépens allouds’ Me Foucard Rimpel.

3° Celui guidéc'are le sieur Cazeau Nou-
noute ma‘ tondé en son action, en consé-
quence dit gue ies syrnifications faites a la
rojucte de la demoiscile Eléna Joseph sont
rcpuheres ainsique toutes celles quis’en sui-
veront, condamne le dit Cazeau Nounoute
i cinguante gourdes de dommages-inté-
rets et aux dépens en faveur de Me Auguste
A. Heraux.

4? Celui qui condamne l’Etat a payer
aux sicurs John D. Merzper et C2 la som-
me de trois cent soixante sept pourdes cin-
quante trois centimes avec les intéréts lé-
gaux et declare en outre que le sieur Etien-
-ne Mathon n’est pas débiteur des sieurs
iJohn D. Metzger et C°, en conséquence an-

sitttatlon cote

Sune
Pec ration
Keng et

Med asta wb ok

nL Gus

iv


















nule l’opposition pratiquée sur ses hono-

raires au bureau de (Hotel commun Veo:
main du Receveur et condamne en ouire
VEtat aux dépens allouds 2 Me Leger

Cauvin.

5° Celui qui condamne la dame Eunhro-
sine Estéve a payer au sicur Rodeey Dov
ville la somme de deux cent) trente-huit
yourdes montant d'un bon ao tui vo aatt
e dix huit Mai mil neut cent quatre, pour
les quatre mois de lover de sa ‘auise. a
tre de locataire a dix-cept gourds. par mds
avec imtercts bepaux selon ia lot.

Atfaire toujours cn continuation.

Fernand Duroseau contr: oad cpouse
(Divorce).

Affaire entendue :

Télémaque St-Clair contre Emmanuel

Alexandre et Darius Thomas.
Puis le siege est leve.

N. Be— Lire dips le sonpte-rendu
Vhier duo Tribunal Corre tranecd : Coelui
qui condimine bos aicurs Nancas Ere ct
Emmanuel Robin abe a dea co 7 andes
de dommuageseintéreé.s au tion de deca

gourdes.
Tribunal de cassi.0on
Srobies Civic!
Andience fu many Doty
Présidence de M. Je Prcsident Hf. De ciaud
Le Tribunal prend sicze A dx
demie du matine: cutend ies

al oo
"r2Uresn ct

Slay

ATA -
vantes :
tO Paulena Gsaston

Lehoux.

Le quge P. Larague, Rapporteur Gone
lecture de son rapport

Me Leonece Viard, pour demandeu:
est entendu en ses cls. rvations.

Le Ministére Pubse M. Lue Dominigue
conclut a Virrecevasiaite de la demande a
prise a partic.

20 Madame Veuve Couba pere et con--
sorts contre Veuve Fabien Couba.

Le Rapporteur M. Ie juge Edmond He- |
raux, lit son pepper.

Me Arrault jeune
observations.

Le Ministere Pumic. Mr Luc Dominique
concluta la casaion du tugement: d

Juepacques contre

re

est emtendu en ses.

denonede

30 Mme Elda Beliicare, Veuve Michel
contre les consors Joseph Michel.

Le Rapportour, Mric jugs P. Laraqgue,.
donne lecture de con apport.

Le Minist¢re Pubtic, Lue Dominique,
conclut Ala déchéance duo pourver.

yo Mare Kdouar! Douge, ae
tant, contre Hego Joanser.

Mr le juge Edmond Hesiux,
teur lit son ripport.

Le Minist¢re Public, Mr Lue Domingue
conclut au reyet du pourvor.

50 Veuve Batimore coutre
Volmar.

Le Rapporteur, Mr le
lecture de son rapport.

Le Minis:cre Publig Mr Luc Domun:gue
conclut 4 la déecheance duo pourvor,

6o Euetne Pierre-Louis contre Colbert,
Symphorin Jasmin.

Mr le juge Emm Chaney, Rapporteur, |
{ait son rapport.

Vu Uheure avanede, le Tribunal renvoie
la continuation de l’atfaire 4 Jeudi; le sige
est levé.

Loiuen-

’ .
Rap, or-
fa dane |

‘rae Baron, donne

Le « Salvador »
Est parti hier avec les passigers suivants

pour :

Jérémie: M. ct Mme Joseph Dupoux,
Henry Dupoux, Abiaham Salime, Mme.
Féronie Torbeck et entant, Mme. Sido-

nie Thébaud, Brenor Phanor, L. Luis, Ré-
grard Sansaricq, Clémence Germain, M. et

me. Pétion Boncy, Rose Heureau, M.
Lescouflair, Emmanuel Jasson, Xavier
Lindor, Jacob Jaar, Henri Labossiére, Hilé-
nas Aubonrg.

a

Pgue depuis la preanere conterence qui eut





Spo de Cuba: Attida bigaro, Paulema ambassadeur,des Etats Unis a été requ au:
Audig’, Sémérami, Sauz, Mile Claire Sanz, | jourd hui en audience d’adieux par | Em-
Mme Wiltam Enerode, Pascal E Golcoe- | pereur Guillaume. _.
ehea, Jose, Duorte, 9 Wve - ‘exandre Li derni¢re dépeche ofticielle envoyce
Deuy. par l'embassadeur ‘Tower au département

Gaves TD. Bazile. Ernacio Ortega, “Pino | d’Erat annonce que |l’Allemagne est préte

1 les

ave

Gilles. |& negocier un traité d’arbitrage avec

Lopez, Eo J. Siaaords. Mme P. . eK
Exats- Unis.

Puerto-Plita i: Stu. Maria Cab cera eta

fille. Riva y.— Le roi Edouard et la reine
Officiers de lInstructi -n Alexandra se rencontrerent ce matin avec
"Publique le Tvar, la Tzarine ct la famille impériale
i ; a . russe au large de Rival. Le tzir monta sur

A YVocer ion de Vheurense cojeiuston

le | le yachtroyal « Victoria Albert » et ramena
- art > - . . .
commerciale Ties” souverains anglais sur le yacht impérial

| , -
| @ Standard » of leurs Majestés et teurs

Convention
Tos deux COMP ss4ires

de la haowuvecie
bronco dfavgenme,

PL oreayees wedges ; : oe Vos : ,

bhopren., Me pote to David Chancs ct Iu es | suites deicuncrent.
puroaire Vdaotyers mt de eee u 1 ear | HAVRE. — Le paquebot e Pérou » est afii-
vernement Francais le brewer dotheter) oe a pauiilae ce matin.

de I Instruction Publique. . oo, | Guadelou-
Nos compliments ct simcerves teen anons. ye pg
Vpe. 20. ; _. ,
D:zces | Panis. - Le Conseil des Ministres sest
nons tomort de ACale edge runt ce matin sous — la Présidence de M.
mitin 2 dix | Palicres, Il s'cccupa de l'incident des fron-

Cafe de Puerto-Cabello: 50.

Nous prs

en



me Noony Gator, decdee )
heures Vote dope ans. Les) taungrattes “teres du Tonkin ou des rézuliers chinois
ldront ole homes aoreeridi a trols heu- tucrons un oficicn ft amgais ct six miliciens
res, Fo Le gendral P cquart s’est, rendu a Tro-
Mic wort ate tree de Casernesches ves pour reprosenter wc Gouvernement dla
some ven Moe Mosrneben Leporest. yycceéte de yxymnastgue. br confédération
Condo eanece. ao lb tities eeneraic da “VPravall orgasdisa un mecting
Peo Soonpore. de considérer te oy marese Saimt-Pau pour protester con
Sroocotoavis Couene Hii VES EAN, tre des ane dents de Draveil. La soirde fut
ourrwor mavaerer vemocmmerent UO Een ds, iy cut deux violences ba
” ae vite tare (Te De nombrenx muanifestants furent
at | | Lat. | \f\| \\hk V Oica ds almost cue 13 agents Gont 5 BYle-

Le vem tt.
| La wreve de Drave.s continue dans le

Hotel-Bellevue | calme.

| Havig.— Le « Prins) Frédérick Hen

PLUS CONPORTARLE
Chase

LE drick » est arrivé ce soir.

Vi koAILLES M. Esnaul: Pelterie a cou-
vert aujourd’hui avec son acroplane une dis-
tance de 1500 metres 4 unejalutude tde 40
mctres etd une vitesse de 80 kilomeé:res 4
Vheure.

Par supe d'un atterissage trop rapide, une
de ses héiices s'est brisée et M. Pelterie a

Nouveiies Elrangeres

Derniéres Dépéches
WasHINGION — Le département d'Erat a

&

— Le eroiwur russe « Almay >: regu de Hamilton Bermudes des — nouveiles
- Officiclles annongant que ia loi interdisant
‘da circulation des automobiles dans ces iles
a cte signee par le vouverneur et qu’clie

Vaocntrer en vigueur.
Paxotr yg - D'apres des nouvelles regues
Bricis 8. — Dapiesce gue dixeat ich Moulai Hatie-marche sur Fez i la téte
dune arinée de 12000 humines; 20 Ovo Bar-

fournansx aliemaads. Dabcance Amico Rese po ‘oindre A. lui a ~
Ceova Gre prochanement cimentie par ie Dae vont se joliare ui. Mouiai Hafid

phe MARS



REvar 7.
part ce matin de Saint-Perersboury. ayant
bord ie premier ministre Mo Stolivpine
ministre des Atatre Ecrangeres. Iw ols-
hyoministre de la marine, Pamirar Disot,
estanive ach ce oir.

hes

tuapage dao aiand duc Michel, frere de | ena Mequink le a juin et le lende-
CEinaetecr avec a pricdesse Pardcha, ha, main il aurait annihilé comp!ctement les

rede'les de la tribu des Cheardebs; plusieurs
des fonetionnaires due Sultan Abd El Aziz
qui s‘etaient entuis de Rabat sont arrivés 4

char vantie die du duc de Connaush.
: ! . vy: . ’
Pena. laprooe hut preuve dune

Peta pus qi ordiaaire.

°

Parra,

1 .

}
aa

1) 2 OA Vouverture da Conare tae Mcquines, ,

Steno aterm Jo minut. duque: sont repre= fd, NAVARE HaLit 9 -- Neut personnes ont
seftes, ves bea Uns etrous ies Etats Eu- ele tues et 66 blessés a la suite d une ren-
rope ms. ME Roch Edward. pre ident de ML entre deux trains 4 Roccapictre.
bid edeaation des mienmcirs An wiats a dit, LNico g — Une rencontre sanglante eut

lieu la nuit derni¢re pres de Narnar entre
les bandits et les troupes rurales; le chef de
ces derniers et deux d’entre eux furent tués;
un des bandits fut blesse et le reste s’é-
chappa.

MARTINIQUE

A la tin du mois dernier, le 29 avril,
un drame terrible — le Matin l’annonga
—avait ensanglanté hotel de ville de
la capitale dela Martinique: Fort-de-
France. M. Siger, le maire de cette
cité florissante et importante — elle ne
compte pas moirs de 30,000 habitants
- avait été, nous cablait-on, assassiné
par des adversaires politiques.

Deja, a cette époque, M. Knight, sé-
nateur de fa Martinique, avait recu té-
iégraphiquement des renseiguements,

aeeoon Belgique dv a dix huic ans, les
svndicats de wineurs ont accomplt de gran-
das choses et gue les proures réalisés prou-
vent gue it classe ouvrcre na rien a ga-
gner ding une gue:re internauionale, mais
gu’clle a, au contraire, tout 4 gagner au
maintien de ia paix.

Avec une brise juste assez forte pour
rendre !a chaleur supportable, la grande
semaine a com:nencé hier avee le grand
« Steeple chase « d'Auteuil ». Cette
éprenve a é&é gaznce par « Dandolo » en-
traing par Vamericain Walias Davies et
apparteming od Vscurie Fischop. Suivant
lusage. aussitot apres la course, M. Fis-
chep 9’est rendu a la tribune présidenticile
pour y recevoir les felicitations de M. Fal-
lieres. ge

La celdbre tee des tleurs aeu lieu hier
au bois de Boulogne.

PostpaM 8.— M. Chalemagne Tower,



gre A A | ARBRE UI RR

a a a A mmm



desquels il résultait que la
lité du gouverneur de notre cologie,
Antilles était fort engagée. Et 4 .
ne cachiit pas son intention dat
peller le gouvernement sur ler
tragiques dont Fort-de-

d'etre le théatre. "France aq

_L’honorable sénateur dec la Mu
nique vient de prendre une initia
plos energique encore: hier, a
gné .'e Me Lémery, avocat de la eg
Wappel de Paris, ancien candidat
publicain a la Martivique, il seat rea
au ministére des colonies, ot il ad
mande le rappel immédiat du goure
neur M. Lepreux, responsable, d’
des renseignements nouveaux. de I's
sageinat de M. Siger. ,

Nous avons pu voir, a lissue
démarche, M. Knight et Me Lémeryy
le sénateur de la Martinique nows
fait les déclarations impressionnany
qu’on va lire:

— Oui! oui! s’éciie M. Knight jx
cuse formellement M. Lepreux den
seul responsable de la mort tragiqs
de notre ami, M. Siger. Je suis— ce
prouvé maintenant ! — qu’il aurait »
faire prévenir le maire de Forte
France qu’un danger grave le menagait
et il men a rien fait! Il ne la pas
méme protégé, alors qu’il le pourait,
alors qu'il pouvait empeécher un ass
sinat prémeédité de se commettre!

> Il n’est pas douteux que le gourer-
neur savait que, le 29 avril, cing jours
avant les élections maunicipales, des
troubles sérieux devaient se prodeir,
fomentés par le prrti réactioonaire d-
rigé par M. Libat, premier adjoint, qi
voulait s’emparer, codte que coite &
la maitie.

» IL le savait, puisque, contrairemel
4 son nabitude, il avait quitlé sa ra
dence d'été de Bellevue, qui se ireew
aux environs de Ja capitale, ave aah
en permanence a l'hotel du goatera
ment, gardé par un_ escadron de g@
darmerie coloniale! —

» Il le savait, puisque, huit joes
avan', il avait pris un arrété 10
sant tout attroupement!

» Il le savait, puisque vers dest
heures, le 29 avril, un rapport de pe
lice le prévint que les magasins ¢
fermés depuis midi et qu’! fallait se
tendre a des manifestations violeates!

» Neanmoins, M. Lepreux laissa®
former sous les fenétres de s00
a la barbe des gendarmes, des ad
pements considérables. Ce fut b
une foule de plusieurs Coa bd
personnes écoutant pérorer : dik
premier adjoint au maire, qui an
parlait de sang versé et 8 écrialt ¢
fallait détiuire la mairie jusqu’a ls
niere pierre.»

( La fin ad demain) —
Le Matin du 22 Mat

4

VENTE PAR VOIE paRgt

En vertu de lagrosseen forme d's ‘a

ation hypothécaire au 1a
Me Louis Etienne mond Ori “e
collégue, nozaires a Port-a0-Princt, "
te du dix janvier mil neuf cent ole
istrée et d’un jugement rendo par a
Bonal civil de Ora aD ig, 19
i e
Avril 1908, enregistr on composts







ra procédé le jeudi que
ze juin, 4 onze heures ca
et par le ministére de
notaire a Pore aa rn » ,
ue au plus offrant et dermict, .

sear d'une ropriété fonds ¢€ bi !
en cette ville, a l’endroit cona'
nom de Calin centime,

ae
Eimoad
a la vente









. -cing pieds de facade, soixan-

b cons au oats opposé 4 l'Ouest sur
ae ofondeur de cent vingt-quatre pieds
a a au Nord par Mr Léonce Viard,
‘ Sed par Mme Cécile Romane, a l'Est
. le chemin du Morne de I’H6pital et 4
r l’Etat; suivant plan et proccs-

veshal Parpentage de J. M. Viard, en da-
g da seize janvier mil-neuf-cent-cing en-
ved telle d’ailleurs que cette proprict¢

g poorsuit, comporte et s’étend sans aucu-
we exception ni rcserve sur la mise 4 prix
ie quinze-cent-cinquante-cing gourdes vingt

geatimes

Cyeeee ete G. 1555.20
A la requéte de Mr Edmond Coicou et
de Mme Edmond Coicou née Lucile Ho-

scant en leur qualité de co-tuteur et
girice de Mile Silvia Ducasse, propriétaires
demeorant et domicili¢es 4 Port au-Prince
ails ont pour avccat Me Foucard Rim-
coatre Joseph Celestin propriétairc, de-
meerant 3 Port-au-Prince.

Pour plus ampies renseignements s adres-
wr aM® Foucard Rimpel, Avenue Magloire
Ambroise No 12 ou 1 Me Edmond Oriol
Upositaire du cahicr des charges.
L’avecut poursutvant

FoucarbD RIMPEL.



Un homme
extraordinaire !...

Toat le monde a entendu parler du rout

|

4
i



AVIS

Messieurs les Actionnaires de la
Compapnie des Chemins de Fer de
ba Plaine du Cul-de-Sac sont convo-
dene eu Ass inblée générale le mardi
=8 Julict 4908, a9 h. 4/2 du matin au
Siege Social, sis au Champ-de-Mars,
No 56.

ORDRE DU JOUR :
4° Rapport du) Conseil dA fiuinis-
tration

20 Présentation des Comptes.

3° Renou ciemenut du Censeil.

49 Divers.

Port-au-Prince, le 8 Juin 1908.
Le Président, Le Secrétaire-général,

G. SCHWEDERSKI

een ee eee

KE. PREZEAU.

TT Leta,

Auguste MAGLOIRE

peuvent



loforme ses clents qatls

PSapdresser a tat, aux Bureaux du ACa-

fit, POUr fads Tormser se hom ahs came op.
hoanmt te fonelionn ment: fo des Latac-
pes it gazoline eta manchon; 2o des

)Allamoirs blectriques 5 30 des Lanternes

électrey tes a@& piles; — ainsi que pour

2s pieces fe rechange qui peuvent

pouvoir Miraculeux des grands ma-.jeup atro née ssaires.

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Capitvnb ty) OOO DOLLARS

Messieurs les Actionnaires sont con-
voqués pour l’Assemblée Générale ré-
glementu:re du Mardi 30> duo courant,
a3 heures tres) préeises de Vaprés-
midi, an Siége principsl, rue du Ma-
gasin de I’Etat.

L’ordre du jour comprendra :

4° Le rapport d’usage sur lescomp-
tes, la marche des affaires, etc, etc.

2° Proposition et discussion detoutes
mesures propres 4 assurer la bonne
marche de !’entreprise.

3° La formation du nouveau Conseil
d’Ad:rinistration.

M: ssieurs les Ac‘ionnaires qui, par
suite'd’empéchement,ne pourraient pas
assister al’Assemblée, devront s’y faire
représenter par des mandataires mu-
nis de pouvoirs en régle.

Port-au-Prince, le 2Juin 1908.

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LA COMPAGNIE

DE
Déve'oppement de l'Ile
de la Gonave

Avise le Commerce et le public de
Port-au-Prince, en général, que Mon-
sieur GUSTAVES H. WERNER, Ci-devant
Secréiuire et Trésorier de la susdite
Compagnie,a été suspendu deses fonc-
tions come Secrétaire et Trésorier,
et qu’a partir de cette date la Compa-
gnie ne sera responsable pour aucu-
ues dettes ou engagements contractés
par te dit GuSTAVEes H. Werner.

La « Compagnie de Développement
de I’Ile de la Gonave », profite de l’oc-
casion pour annoncer que Monsieur
Jenni GREGER est son seul représen-
tant en Haiti.

Le Président de la « Compagnie de
Développement de I'Ile de la Gondve »
CuHartes W. RUSSEL.
Port-au-Paince, 20 Mai 1908



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Cest ude constatation dé lorable
arlavenir, pour le développement
potre pays, ques celle de ce tait
ge lesprit de Pilaitien ne se préte
pas a la discussion.

Cela peut se Constater méme dans

lasimple conversation ; chacun tend
d faire prévaloir son propre point de
vue et quelles que soient les bonnes
raisons que donne l'adversaire, on
Wet pas COnVaincu et souvent du
reste, of He les a pais entendues ; on
répoad sans entendre ; de la, de per-
phuels malentendus et des conllits
mans Cesse renaissants.
Quand nous) discutons, nous. ai-
mons beaucoup yu’on oppose des
wpgaments de valeur & ceux que nous
woos produits, inais rien n’est plus
Mconcertant que de voir notre pen-
the dénaturée comme a plaisir, de
Yer qu'on nous fait dire ce que nous
Htvons jamais dit mi pense. Nous
ions ce défaut, propre aussi au fran-
(is, de tout sactitier a l’elfet !

( que nous parlions, soit que
Mus écrivions, il] semble que nous
mw aaons une joulssunce§ ineffable
‘roulement dune vhrase harmo-
eee et que ce plaisir nous fait per-
me de la vérité. Ah! qui dira

mal que nous fait larhétori-
pe! Car les auditeurs ou les lecteurs,

plices inconscients subissent, eux

»4@charme du beau sophisme,

et ainsi que sont applaudis des
meas dec” font qu’enfonce. a grand

Wet de Portes ouvertes, ou qui ti-

brillantes conclusions des pré-
be del plus fausses. Le feu d’arti-

We le & fin sauve tout, on ne voit

Uquet, et l’on applaudit !

Considérations me sont venues
Chars bde la petite levée de bou-
Crary 1 2 e8t Opérée au sujet du dis-
le lene ami Vincent. Toute
tu er’ Vient d'un malentendu :

curs, les étudiants en droit

tat

a Ten tutre les lignes » du discours
lidve toutes sortes de choses,

cal Dent Ceci: Fermez les

oes roit et tout le monde aux
Magistrat n'a pas dit cela et

Ire

- MALENTENDUS

—

Pour tout ce qui conserne VAduinis







ration du Jourrai

ne pourrait: pas le dire. (est lai pre-
ter une idee dénuée de sens com-
man que de lui imputer celle-la. On
ne imagine pas une soeicté unique-
ment coimposee de laboureurs !

Ce qne Vincent adit, c’est ce que
nous ne cessons de dire nous memes
depuis la eréation de ce journal et
c'est pourquoi nous revenons nous
memes aur cett{a question, car lé pro-
ces des éfudiants en droit a été fart
autant au Magistrat Communal quan
Matin. Ges Messieurs mont pas mab-
qué de fairs remarquer que [le dis-
cours iecrimine était une consécra-
tion de notre cainpagne, ete...

Ce que nous disons, le voier:

Nous avons trop davogats, trop de
medeeins, les carreres liberates sont
encombrees. Quon se tourne un peu
vers les professions mianuelles, vers
Vayricalture, Vers Uindusteie. Un atte
san qui gage sob parm, Vaut migny
qwun avovat qui le mendre |

Ne sont-ce pas la des ver t&és lacon-
testables ? Est-ce que Pencombreimert
des professions Hbérales ne creve pas

jles yeux ?

Est-ce que tout le monde le sai!
pas que les derniers venus dais . |:
carmere ne vagnent pas leur vie. Noy-
a-t-il pas des avocats et des mee
cins employés dans des ministere:
ou d'autres bureaux publics ? kr:
n’est-ce pas une dérision ?

Messieurs Corvington, Sules et Au-
guste sont les premiers aen convent

Mais ce qui les fouette et les fait|
partir en guerre, c’est qu'il leur sem-!
ble que le Mitin et Vincent s’vnissent
pour leur dire: « N'allez plus a VE-|
co'e de Droit, prenez la béche et la
pinche ; l¢ salut industriel et le salut!
public sont 1a. » Jnde irae !

Leur indignation, dés lors, se com
prend ! Et nous comprenons Icur re-,
ponse :



)
|
\

allez au champs vous meme=;
d’abord, et nous vous y sulvrons. |
Laissez 14, vous, votre place de Mav |
istrat, vous, votre plume de_journa-
iste, et nous n’irons plus
Droit !

wedrassar



a l’Ecole de |

3

- awe fe.
We am et

ry.
ke
Qiu ahertan on!

PHP ofeit bien ques pavan pout dittce
la Gominane. ab frat des aver
faut) des journaltstes > nous
tous des rotates

srande? machine sociale, mous disots ,

. eal
v oo

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ercredi, 10 Juin 1908



Le Matin

LE NUMERU 10) CENTIMES

ements partent du rf et durg de chaque
mors et sont payables d’avance

Nuscrits inséres Ou non Qe seronut pas rendus



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sam plement que clracdum doit eviter! _
Wetve.. la ciuquaterie roue ! “Plorerwvotoire
Si, avoeat, vous tes content de ce Dt

que Vous #apnez, Sl votre
Vous Tapporte
diant en Droit, vous avez

profession ;
suflisamiment : si, étue;
la eeriitude

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vous sepntez que vous portes eb VOU-- iar nyecce A midi 762, 1%
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ble et... une position lucsative, ce! m..enne diarne 28 2

West pomt a@ vous que notre discourse:
Vadresse, vf Vous »oUVeZ passer votre,

chemin sans vous em @mouvuolr aufre-
ment.

Notre discours Sadresse sc ceux pat
me font prem. qnat attercdent cpa
Changedvent de Gaouverh gpent ayypeot
teun chanzement i leur
aux @fudiants eo Dror qr
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est qae Mes. Sates. Corvinpber et
Notoge fa tos pers he een da
Qu sont des poedues gens Tenby
bles et eaters de prand avenir. areut
eru devia: vesou die qiupaad tous te
pacibots que cab. freses p fedehis.,

Ces diab rtendu - hey Totadtes
pe nous Giviseit a tea dacinent othe
eat sineécessaipe que toutes des ptelip
eoenuces sUnissent Gaus tore pattiott
que croisadk: Couto bos erpenmient. de =
yours posses. Gattis uber op tbat tte
predication du releveigenc more) du

=~ udresse

~ornt

os

sro!

peapie par fe travail, par iedlort ond i-

viduel.
Ne serait-il pas mieaux que Corsing-
ton, Salesiet Nugasts, ef totis ceux

qui nous eo vement Injustement, re-
conpaissent enfin VPopportanite de
notre campagne et se joiynent a
nos?

Dans le va-te champ de ia détres se
nationale qui s’éten dT devant nos yeux,
nous n’aurons jamais trop d’ouvriers,
et c'est ici un supreme ay pel qua nous
faisons atoutes les in'ellizences Sajnes,
pour l'union ct le groupement @@fini-
tif de toutes les forces vives du Pays
en vue de son relévement social !

toute la journée.

CQigh un peu nuageux
eouronnes lu-

Vy oh. du soir halo et
rab. res,
Le Daromeétre cot stathonnatre,
XR. RALTENWECK
Tribunal Civil
Aeadiocie cae Moris yp Jos pyo8
Teotr sunall ous la pres domes du Juge
AJst Rome, as cate duo Mounistére Puotie A.
Meoosta.o aren los eae, : IM

i Clu ie
fuegatiocth de tum
Totus Z.ophir.

2: Cclur gui coiwdamne sicur Pett
Jean Mitten a d¢nuerpir dos trots suarts de
euireau de icrre situes sur habitaron Dae
buisson dans les sint-guate heures de ia
Sonataion du jusze:nent sous peine d’une
astroume de vingt vourdes pir jour de re-
tari, ete. ete.ce: le condanine en outre 4
deux cens pourdes de dommages intéréts
et aux dépens allouds’ Me Foucard Rimpel.

3° Celui guidéc'are le sieur Cazeau Nou-
noute ma‘ tondé en son action, en consé-
quence dit gue ies syrnifications faites a la
rojucte de la demoiscile Eléna Joseph sont
rcpuheres ainsique toutes celles quis’en sui-
veront, condamne le dit Cazeau Nounoute
i cinguante gourdes de dommages-inté-
rets et aux dépens en faveur de Me Auguste
A. Heraux.

4? Celui qui condamne l’Etat a payer
aux sicurs John D. Merzper et C2 la som-
me de trois cent soixante sept pourdes cin-
quante trois centimes avec les intéréts lé-
gaux et declare en outre que le sieur Etien-
-ne Mathon n’est pas débiteur des sieurs
iJohn D. Metzger et C°, en conséquence an-

sitttatlon cote

Sune
Pec ration
Keng et

Med asta wb ok

nL Gus

iv















nule l’opposition pratiquée sur ses hono-

raires au bureau de (Hotel commun Veo:
main du Receveur et condamne en ouire
VEtat aux dépens allouds 2 Me Leger

Cauvin.

5° Celui qui condamne la dame Eunhro-
sine Estéve a payer au sicur Rodeey Dov
ville la somme de deux cent) trente-huit
yourdes montant d'un bon ao tui vo aatt
e dix huit Mai mil neut cent quatre, pour
les quatre mois de lover de sa ‘auise. a
tre de locataire a dix-cept gourds. par mds
avec imtercts bepaux selon ia lot.

Atfaire toujours cn continuation.

Fernand Duroseau contr: oad cpouse
(Divorce).

Affaire entendue :

Télémaque St-Clair contre Emmanuel

Alexandre et Darius Thomas.
Puis le siege est leve.

N. Be— Lire dips le sonpte-rendu
Vhier duo Tribunal Corre tranecd : Coelui
qui condimine bos aicurs Nancas Ere ct
Emmanuel Robin abe a dea co 7 andes
de dommuageseintéreé.s au tion de deca

gourdes.
Tribunal de cassi.0on
Srobies Civic!
Andience fu many Doty
Présidence de M. Je Prcsident Hf. De ciaud
Le Tribunal prend sicze A dx
demie du matine: cutend ies

al oo
"r2Uresn ct

Slay

ATA -
vantes :
tO Paulena Gsaston

Lehoux.

Le quge P. Larague, Rapporteur Gone
lecture de son rapport

Me Leonece Viard, pour demandeu:
est entendu en ses cls. rvations.

Le Ministére Pubse M. Lue Dominigue
conclut a Virrecevasiaite de la demande a
prise a partic.

20 Madame Veuve Couba pere et con--
sorts contre Veuve Fabien Couba.

Le Rapporteur M. Ie juge Edmond He- |
raux, lit son pepper.

Me Arrault jeune
observations.

Le Ministere Pumic. Mr Luc Dominique
concluta la casaion du tugement: d

Juepacques contre

re

est emtendu en ses.

denonede

30 Mme Elda Beliicare, Veuve Michel
contre les consors Joseph Michel.

Le Rapportour, Mric jugs P. Laraqgue,.
donne lecture de con apport.

Le Minist¢re Pubtic, Lue Dominique,
conclut Ala déchéance duo pourver.

yo Mare Kdouar! Douge, ae
tant, contre Hego Joanser.

Mr le juge Edmond Hesiux,
teur lit son ripport.

Le Minist¢re Public, Mr Lue Domingue
conclut au reyet du pourvor.

50 Veuve Batimore coutre
Volmar.

Le Rapporteur, Mr le
lecture de son rapport.

Le Minis:cre Publig Mr Luc Domun:gue
conclut 4 la déecheance duo pourvor,

6o Euetne Pierre-Louis contre Colbert,
Symphorin Jasmin.

Mr le juge Emm Chaney, Rapporteur, |
{ait son rapport.

Vu Uheure avanede, le Tribunal renvoie
la continuation de l’atfaire 4 Jeudi; le sige
est levé.

Loiuen-

’ .
Rap, or-
fa dane |

‘rae Baron, donne

Le « Salvador »
Est parti hier avec les passigers suivants

pour :

Jérémie: M. ct Mme Joseph Dupoux,
Henry Dupoux, Abiaham Salime, Mme.
Féronie Torbeck et entant, Mme. Sido-

nie Thébaud, Brenor Phanor, L. Luis, Ré-
grard Sansaricq, Clémence Germain, M. et

me. Pétion Boncy, Rose Heureau, M.
Lescouflair, Emmanuel Jasson, Xavier
Lindor, Jacob Jaar, Henri Labossiére, Hilé-
nas Aubonrg.

a

Pgue depuis la preanere conterence qui eut





Spo de Cuba: Attida bigaro, Paulema ambassadeur,des Etats Unis a été requ au:
Audig’, Sémérami, Sauz, Mile Claire Sanz, | jourd hui en audience d’adieux par | Em-
Mme Wiltam Enerode, Pascal E Golcoe- | pereur Guillaume. _.
ehea, Jose, Duorte, 9 Wve - ‘exandre Li derni¢re dépeche ofticielle envoyce
Deuy. par l'embassadeur ‘Tower au département

Gaves TD. Bazile. Ernacio Ortega, “Pino | d’Erat annonce que |l’Allemagne est préte

1 les

ave

Gilles. |& negocier un traité d’arbitrage avec

Lopez, Eo J. Siaaords. Mme P. . eK
Exats- Unis.

Puerto-Plita i: Stu. Maria Cab cera eta

fille. Riva y.— Le roi Edouard et la reine
Officiers de lInstructi -n Alexandra se rencontrerent ce matin avec
"Publique le Tvar, la Tzarine ct la famille impériale
i ; a . russe au large de Rival. Le tzir monta sur

A YVocer ion de Vheurense cojeiuston

le | le yachtroyal « Victoria Albert » et ramena
- art > - . . .
commerciale Ties” souverains anglais sur le yacht impérial

| , -
| @ Standard » of leurs Majestés et teurs

Convention
Tos deux COMP ss4ires

de la haowuvecie
bronco dfavgenme,

PL oreayees wedges ; : oe Vos : ,

bhopren., Me pote to David Chancs ct Iu es | suites deicuncrent.
puroaire Vdaotyers mt de eee u 1 ear | HAVRE. — Le paquebot e Pérou » est afii-
vernement Francais le brewer dotheter) oe a pauiilae ce matin.

de I Instruction Publique. . oo, | Guadelou-
Nos compliments ct simcerves teen anons. ye pg
Vpe. 20. ; _. ,
D:zces | Panis. - Le Conseil des Ministres sest
nons tomort de ACale edge runt ce matin sous — la Présidence de M.
mitin 2 dix | Palicres, Il s'cccupa de l'incident des fron-

Cafe de Puerto-Cabello: 50.

Nous prs

en



me Noony Gator, decdee )
heures Vote dope ans. Les) taungrattes “teres du Tonkin ou des rézuliers chinois
ldront ole homes aoreeridi a trols heu- tucrons un oficicn ft amgais ct six miliciens
res, Fo Le gendral P cquart s’est, rendu a Tro-
Mic wort ate tree de Casernesches ves pour reprosenter wc Gouvernement dla
some ven Moe Mosrneben Leporest. yycceéte de yxymnastgue. br confédération
Condo eanece. ao lb tities eeneraic da “VPravall orgasdisa un mecting
Peo Soonpore. de considérer te oy marese Saimt-Pau pour protester con
Sroocotoavis Couene Hii VES EAN, tre des ane dents de Draveil. La soirde fut
ourrwor mavaerer vemocmmerent UO Een ds, iy cut deux violences ba
” ae vite tare (Te De nombrenx muanifestants furent
at | | Lat. | \f\| \\hk V Oica ds almost cue 13 agents Gont 5 BYle-

Le vem tt.
| La wreve de Drave.s continue dans le

Hotel-Bellevue | calme.

| Havig.— Le « Prins) Frédérick Hen

PLUS CONPORTARLE
Chase

LE drick » est arrivé ce soir.

Vi koAILLES M. Esnaul: Pelterie a cou-
vert aujourd’hui avec son acroplane une dis-
tance de 1500 metres 4 unejalutude tde 40
mctres etd une vitesse de 80 kilomeé:res 4
Vheure.

Par supe d'un atterissage trop rapide, une
de ses héiices s'est brisée et M. Pelterie a

Nouveiies Elrangeres

Derniéres Dépéches
WasHINGION — Le département d'Erat a

&

— Le eroiwur russe « Almay >: regu de Hamilton Bermudes des — nouveiles
- Officiclles annongant que ia loi interdisant
‘da circulation des automobiles dans ces iles
a cte signee par le vouverneur et qu’clie

Vaocntrer en vigueur.
Paxotr yg - D'apres des nouvelles regues
Bricis 8. — Dapiesce gue dixeat ich Moulai Hatie-marche sur Fez i la téte
dune arinée de 12000 humines; 20 Ovo Bar-

fournansx aliemaads. Dabcance Amico Rese po ‘oindre A. lui a ~
Ceova Gre prochanement cimentie par ie Dae vont se joliare ui. Mouiai Hafid

phe MARS



REvar 7.
part ce matin de Saint-Perersboury. ayant
bord ie premier ministre Mo Stolivpine
ministre des Atatre Ecrangeres. Iw ols-
hyoministre de la marine, Pamirar Disot,
estanive ach ce oir.

hes

tuapage dao aiand duc Michel, frere de | ena Mequink le a juin et le lende-
CEinaetecr avec a pricdesse Pardcha, ha, main il aurait annihilé comp!ctement les

rede'les de la tribu des Cheardebs; plusieurs
des fonetionnaires due Sultan Abd El Aziz
qui s‘etaient entuis de Rabat sont arrivés 4

char vantie die du duc de Connaush.
: ! . vy: . ’
Pena. laprooe hut preuve dune

Peta pus qi ordiaaire.

°

Parra,

1 .

}
aa

1) 2 OA Vouverture da Conare tae Mcquines, ,

Steno aterm Jo minut. duque: sont repre= fd, NAVARE HaLit 9 -- Neut personnes ont
seftes, ves bea Uns etrous ies Etats Eu- ele tues et 66 blessés a la suite d une ren-
rope ms. ME Roch Edward. pre ident de ML entre deux trains 4 Roccapictre.
bid edeaation des mienmcirs An wiats a dit, LNico g — Une rencontre sanglante eut

lieu la nuit derni¢re pres de Narnar entre
les bandits et les troupes rurales; le chef de
ces derniers et deux d’entre eux furent tués;
un des bandits fut blesse et le reste s’é-
chappa.

MARTINIQUE

A la tin du mois dernier, le 29 avril,
un drame terrible — le Matin l’annonga
—avait ensanglanté hotel de ville de
la capitale dela Martinique: Fort-de-
France. M. Siger, le maire de cette
cité florissante et importante — elle ne
compte pas moirs de 30,000 habitants
- avait été, nous cablait-on, assassiné
par des adversaires politiques.

Deja, a cette époque, M. Knight, sé-
nateur de fa Martinique, avait recu té-
iégraphiquement des renseiguements,

aeeoon Belgique dv a dix huic ans, les
svndicats de wineurs ont accomplt de gran-
das choses et gue les proures réalisés prou-
vent gue it classe ouvrcre na rien a ga-
gner ding une gue:re internauionale, mais
gu’clle a, au contraire, tout 4 gagner au
maintien de ia paix.

Avec une brise juste assez forte pour
rendre !a chaleur supportable, la grande
semaine a com:nencé hier avee le grand
« Steeple chase « d'Auteuil ». Cette
éprenve a é&é gaznce par « Dandolo » en-
traing par Vamericain Walias Davies et
apparteming od Vscurie Fischop. Suivant
lusage. aussitot apres la course, M. Fis-
chep 9’est rendu a la tribune présidenticile
pour y recevoir les felicitations de M. Fal-
lieres. ge

La celdbre tee des tleurs aeu lieu hier
au bois de Boulogne.

PostpaM 8.— M. Chalemagne Tower,



gre A A | ARBRE UI RR

a a a A mmm



desquels il résultait que la
lité du gouverneur de notre cologie,
Antilles était fort engagée. Et 4 .
ne cachiit pas son intention dat
peller le gouvernement sur ler
tragiques dont Fort-de-

d'etre le théatre. "France aq

_L’honorable sénateur dec la Mu
nique vient de prendre une initia
plos energique encore: hier, a
gné .'e Me Lémery, avocat de la eg
Wappel de Paris, ancien candidat
publicain a la Martivique, il seat rea
au ministére des colonies, ot il ad
mande le rappel immédiat du goure
neur M. Lepreux, responsable, d’
des renseignements nouveaux. de I's
sageinat de M. Siger. ,

Nous avons pu voir, a lissue
démarche, M. Knight et Me Lémeryy
le sénateur de la Martinique nows
fait les déclarations impressionnany
qu’on va lire:

— Oui! oui! s’éciie M. Knight jx
cuse formellement M. Lepreux den
seul responsable de la mort tragiqs
de notre ami, M. Siger. Je suis— ce
prouvé maintenant ! — qu’il aurait »
faire prévenir le maire de Forte
France qu’un danger grave le menagait
et il men a rien fait! Il ne la pas
méme protégé, alors qu’il le pourait,
alors qu'il pouvait empeécher un ass
sinat prémeédité de se commettre!

> Il n’est pas douteux que le gourer-
neur savait que, le 29 avril, cing jours
avant les élections maunicipales, des
troubles sérieux devaient se prodeir,
fomentés par le prrti réactioonaire d-
rigé par M. Libat, premier adjoint, qi
voulait s’emparer, codte que coite &
la maitie.

» IL le savait, puisque, contrairemel
4 son nabitude, il avait quitlé sa ra
dence d'été de Bellevue, qui se ireew
aux environs de Ja capitale, ave aah
en permanence a l'hotel du goatera
ment, gardé par un_ escadron de g@
darmerie coloniale! —

» Il le savait, puisque, huit joes
avan', il avait pris un arrété 10
sant tout attroupement!

» Il le savait, puisque vers dest
heures, le 29 avril, un rapport de pe
lice le prévint que les magasins ¢
fermés depuis midi et qu’! fallait se
tendre a des manifestations violeates!

» Neanmoins, M. Lepreux laissa®
former sous les fenétres de s00
a la barbe des gendarmes, des ad
pements considérables. Ce fut b
une foule de plusieurs Coa bd
personnes écoutant pérorer : dik
premier adjoint au maire, qui an
parlait de sang versé et 8 écrialt ¢
fallait détiuire la mairie jusqu’a ls
niere pierre.»

( La fin ad demain) —
Le Matin du 22 Mat

4

VENTE PAR VOIE paRgt

En vertu de lagrosseen forme d's ‘a

ation hypothécaire au 1a
Me Louis Etienne mond Ori “e
collégue, nozaires a Port-a0-Princt, "
te du dix janvier mil neuf cent ole
istrée et d’un jugement rendo par a
Bonal civil de Ora aD ig, 19
i e
Avril 1908, enregistr on composts







ra procédé le jeudi que
ze juin, 4 onze heures ca
et par le ministére de
notaire a Pore aa rn » ,
ue au plus offrant et dermict, .

sear d'une ropriété fonds ¢€ bi !
en cette ville, a l’endroit cona'
nom de Calin centime,

ae
Eimoad
a la vente






. -cing pieds de facade, soixan-

b cons au oats opposé 4 l'Ouest sur
ae ofondeur de cent vingt-quatre pieds
a a au Nord par Mr Léonce Viard,
‘ Sed par Mme Cécile Romane, a l'Est
. le chemin du Morne de I’H6pital et 4
r l’Etat; suivant plan et proccs-

veshal Parpentage de J. M. Viard, en da-
g da seize janvier mil-neuf-cent-cing en-
ved telle d’ailleurs que cette proprict¢

g poorsuit, comporte et s’étend sans aucu-
we exception ni rcserve sur la mise 4 prix
ie quinze-cent-cinquante-cing gourdes vingt

geatimes

Cyeeee ete G. 1555.20
A la requéte de Mr Edmond Coicou et
de Mme Edmond Coicou née Lucile Ho-

scant en leur qualité de co-tuteur et
girice de Mile Silvia Ducasse, propriétaires
demeorant et domicili¢es 4 Port au-Prince
ails ont pour avccat Me Foucard Rim-
coatre Joseph Celestin propriétairc, de-
meerant 3 Port-au-Prince.

Pour plus ampies renseignements s adres-
wr aM® Foucard Rimpel, Avenue Magloire
Ambroise No 12 ou 1 Me Edmond Oriol
Upositaire du cahicr des charges.
L’avecut poursutvant

FoucarbD RIMPEL.



Un homme
extraordinaire !...

Toat le monde a entendu parler du rout

|

4
i



AVIS

Messieurs les Actionnaires de la
Compapnie des Chemins de Fer de
ba Plaine du Cul-de-Sac sont convo-
dene eu Ass inblée générale le mardi
=8 Julict 4908, a9 h. 4/2 du matin au
Siege Social, sis au Champ-de-Mars,
No 56.

ORDRE DU JOUR :
4° Rapport du) Conseil dA fiuinis-
tration

20 Présentation des Comptes.

3° Renou ciemenut du Censeil.

49 Divers.

Port-au-Prince, le 8 Juin 1908.
Le Président, Le Secrétaire-général,

G. SCHWEDERSKI

een ee eee

KE. PREZEAU.

TT Leta,

Auguste MAGLOIRE

peuvent



loforme ses clents qatls

PSapdresser a tat, aux Bureaux du ACa-

fit, POUr fads Tormser se hom ahs came op.
hoanmt te fonelionn ment: fo des Latac-
pes it gazoline eta manchon; 2o des

)Allamoirs blectriques 5 30 des Lanternes

électrey tes a@& piles; — ainsi que pour

2s pieces fe rechange qui peuvent

pouvoir Miraculeux des grands ma-.jeup atro née ssaires.

gétiseurs, bien que, jasq’ici, au-!
can homme de lu célébiite de
Federico Garcia, |
Graded, diplomé et médaillé de PInstitut
X. Lawortg SAGE, Rochester. — New-York, |
mee sot offert pour permettre a.
tesde mettra ses talents a I’épreu- |
jm Garcia étonné du scepticis-
| MeManifesté par tant de personnes

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fea ire qui a donné des centaines

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‘ai, voulez-vous réussirdans fa vie ;.

Vous connalire les secrets de;

qui vous haissent, les piéges:

We vous devez éviter, |

wi ptrissent vOoS maux, adressez- |

an Professeur Garcia, Grand’ ;

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‘lités actuellement & Port-au-Prince.

'Secrétaire d’Etat des Finances et dt
‘Commerce, la Banque Nationale d’Hai-
tia 'honneur d’informer les intéres-
sés qu’ils peuvent, a partir de ce jonr,
se présenter a ses guichets pour tou-
cher une dix-neviéme Répartition sur
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4% du 1 Juillet au 31 Aout 1908 .
Emprunt Gouvernement d' Haiti 3 ofo
4/2 /o dui Juillet au 31 Aout 1908 ;
Contre recus et sur présentation des

bons.

Port-au-Prince, le 8 Juillet 1908.

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SOGIETE ANONYME
Capitvnb ty) OOO DOLLARS

Messieurs les Actionnaires sont con-
voqués pour l’Assemblée Générale ré-
glementu:re du Mardi 30> duo courant,
a3 heures tres) préeises de Vaprés-
midi, an Siége principsl, rue du Ma-
gasin de I’Etat.

L’ordre du jour comprendra :

4° Le rapport d’usage sur lescomp-
tes, la marche des affaires, etc, etc.

2° Proposition et discussion detoutes
mesures propres 4 assurer la bonne
marche de !’entreprise.

3° La formation du nouveau Conseil
d’Ad:rinistration.

M: ssieurs les Ac‘ionnaires qui, par
suite'd’empéchement,ne pourraient pas
assister al’Assemblée, devront s’y faire
représenter par des mandataires mu-
nis de pouvoirs en régle.

Port-au-Prince, le 2Juin 1908.

GRANDE HALLE A LOUER

146, Rue Republicaine, 146.
S"ADRESSER A Mr Catinar FOUCHARD.
TATRA PAA ES

LA COMPAGNIE

DE
Déve'oppement de l'Ile
de la Gonave

Avise le Commerce et le public de
Port-au-Prince, en général, que Mon-
sieur GUSTAVES H. WERNER, Ci-devant
Secréiuire et Trésorier de la susdite
Compagnie,a été suspendu deses fonc-
tions come Secrétaire et Trésorier,
et qu’a partir de cette date la Compa-
gnie ne sera responsable pour aucu-
ues dettes ou engagements contractés
par te dit GuSTAVEes H. Werner.

La « Compagnie de Développement
de I’Ile de la Gonave », profite de l’oc-
casion pour annoncer que Monsieur
Jenni GREGER est son seul représen-
tant en Haiti.

Le Président de la « Compagnie de
Développement de I'Ile de la Gondve »
CuHartes W. RUSSEL.
Port-au-Paince, 20 Mai 1908
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de New-York, ’ P

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New-York,

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