Citation
Le Matin

Material Information

Title:
Le Matin
Place of Publication:
Port-au-Prince Haiti
Publisher:
[s.n.]
Creation Date:
May 29, 1908
Frequency:
daily
Language:
|||

Subjects

Subjects / Keywords:
Newspapers -- Haiti ( lcsh )
Genre:
newspaper ( sobekcm )
newspaper ( marcgt )
Coordinates:
-72.2803802891673 x 18.5142993036392

Record Information

Source Institution:
University of Florida
Holding Location:
Bibliothèque Haïtienne des Frères de l'Instruction Chrétienne
Rights Management:
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Resource Identifier:
000358166 ( ALEPH )
ABZ6468 ( NOTIS )

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peuxie




ar



(Ear

~—s ABONNEM
?ORT-AU-PRINCE) Un Mos. .





DEPARTEMENTS Trois Mots. .

ETRANGER......+-



Pour tout ¢

——_————



LES PRETENDU

me Année, No 349.

ENTS :

Trois Mors. . |

a ne a

PORT-AU-PRINCE ( Haitt )

Vendredi, 29 Mai 1908








e Wali

~ QUOTIDIEN









G4 . DIRECTEUR : LE NUMERO 4 () CENTIMES
sae Clément Magloire, a
« 8.60 Les abonnements partent du 1 et du 15 de chaque
REDACTION-ADMINISTRATION mois et sont payables d’avance
€

an






Les manuscrits insérés ou non ne seront pas rendus



ee a TREE ES ART eee ARR

wWonsieur arthur ISIDORE, 45, Rue Roux on Bonne-Foi.



S TROUBLES

Dansl’ Arrondissement de Jacmel |

Des bateaux de guerre sont partis!...

Tentendais dire: « Il y a des troubles
ais Parrendissemant de Jacmel, il y
udu grabuge 4 Bainet, 4 Cdtes-de-
et; Borrouet a fusillé du monde en
ase. |e Gouvernement a envoyé
bn batean ds guerre pour apporter
les munitions et continuer la répres-
10D. »

Deux jours aprés, le courrier de
mel arrive sans aucune nouvelle
pe rdinaire. Tout est caime 1a-
as





lapropagande s’appuie souvent sur
Welque chose, elle veut toujours
lonner aux canards qu’elle lance un
ur de vraisemblance. Il y a eu, en
tlt, deux bateaux de guerre “partis,
has ils n’étaient chargés que de mu-
nitions... de bouche.

ot le monde a lu dans le Matin
epee de M. Rodolphe Alexandre,
i acmel, sur la famine qui sévit en
yw Moment dans les campagnes de
Vues surtout dans la section de la
i dnlagne,

ne une section particuligrement
tems Soit que le sol y est plus
noine rott que les habitants en soient
te aborieux ou plus imprévoyants.
: pee Sécheresse de l’année der-
vaya: et prouvé quelques parties du
boat, ne eeuse naturellement plus de
Des pelts section dela Montagne.
COifirme tk que nous avons recues
re Lee « € rapport de M. Alexan-
Dontris qunbagnards, aprés s’étre
flés nui to8es Sires deviennent
vant : Puls foitrinaires, et n’en pou-
tone mov Pour chercher le soutien
la ville on ne vie, descendent vers
ftenrant, Lachamee lamentable et
| & soulager de Publique ne suffit
ites, ails norms 2OmMbreuses mi-
ade sur les

galeries, des femmes

meurent d’inanition, dans
0
Nnant de touts petits enfants

Les causes ds ce départ

auxquels le sein maternel desséché par
les privations, n’a plus une gautte de
lait 4 donne».

Le récit de cet état “de choses a
ému le coeur du Président Nord ; il
fit venir une grande cargaison de
vivres, produits de ses champs dans
le Nord; il en a chargé un bateau et
a envoyéce secours au Magistrat
Communal de Jacmel pour étre dis-
tribué aux pauvres. Le Président de
la République ne s’en esk- a5, tenu
la: toujours 4 ses frais, il a chargé
un autre bateau de biscuits et de pro-
visions alimentaires 4 destination de
Jacmal.

Au lieu de demander des fonds aux
Chambres, pour soulager la famine,
au lieu de faire dresser des ordon-
nances, qui sous un autre Gouverne-
ment rempliraient plutét les poches
de deux ou trois et n’iraient pas sou-
lager la souffrance des gueux, le géné-
ral Nord, une fois de plus, répéte le
geste dont il est coutumier ; il ouvre
sa bourse, et c’est de sa cassette pri-
vée que tombe la rosée bienfaisunte.

Il n’est pas nécessaire de louer le
Géné:al Nord pour un tel acte, car il
faudrait le louer chaque jour.. Le Pré-
sident de la République est une
main toujours ouverte ; pas de jour
qu’il n’oblige quelqu’un ; pas de
souffrance qu'il ne veuille sou!’ ser,
et ilest A ce point de vue, pius un
pére de famille qu’un Chef d'Etat.

Cette bonté toujoursen éveil da
Général Nord est une des causes de la
force prodigieuse de son Gouverne-
ment. . .

Ses ennemis qui vivent loin de lui
ou sur la terre é6trangére, qui nen-
tendent et ne veulent entendre que la
cloche du dénigrement de parti-pris,
la cloche de la propagande malveillan-
te, se le représentent et le represen-



tent au monde comme uo Chef d’Etat RHC UE TH
odieux et détesté de fous. Dans cette )

croyance, ils Vatlagqueit et sont tout

surpris de la solidité, de la robustes- ~~



se du chéne qu’on leur avait repré-; Les aimabtes sieurs Corvington,
seuté comme vermoulu, prétachoir;Salés Valés et Auguste, se di-

a la premiére secousse. Oui la force|Sant étudiants en droit, ont cru de-
du général Nord n’est pas seulement | Voir faire assavoir au bon public —
dans le dévouement admirable de sesj@fin que nul n’en n’ignore — qu’ils
lieutenants, elle est aussi dans |’a-|prenaient position dans un débat dont
mour populaire. Le peuple connait}un discours du sieur Sténio Vincent,
la bonté de cceur du patriarche quipré-| en sa qualité de Magistrat communal,
side a .ses destinées, et les bienfaits |scrait le prétexte, et qu’ils disaient,
présidentiels quqjque accomplis dans a telles fins que de raison, leurs
Yombre, portentau grand jour des|« opinions définitives», qu’ils pre-
fruits étonnants de reconnaissance et |naient des conclusions, sur _ les
d’attachement. élranges propos d’icelui quiles ont
Non, le Général Nord n& pas be-jalarmés, parce que les dits propos
soin d’étre loué et si nous rapportoas}ont été tenus au peuple et a l’armée,
ici le geste de commisération patrioti-; au lieu de se trouver « dans un livre
que qu’il vient de faire, c’est pour;ou dans un article économique.»
montrer comment les meilleures ac- Le soussigné, avocat d’office du dit
tions prétent le flanc 41a propagande,/sieur Sténio Vincent encore tout
comment les ennemis du Gouverne-| Meurtri du coup de massue des sus-
ment se servent d2 tout pous essayer ,dénommés, expose ce qui suit:
de laffaiblir ! Attendu que Valés Salés, Auguste et
La modestie du Président dela Ré-|;Corvington, au lieu de lire le discours
publique s’offusquera presque A se, dont il s’agit, ce qui eut été plus sim-
voir louer pour ce qu’il estime « peu’ ple et plus naturel, déclarent lavoir
de chose, » pour ce qu'il estime son lu extre les li.nes, complication d’ail-
devoir ; il n’est pas partisan de lajleurs fort inu ile ;
réclame brayante, et c’estlui faire; Attenduque, entre les lignes il n’y a
violence que de dénoncer au peuple; que du blanc; qu’on peut par ‘consé-
ses bienfaits cachés. ;quent y mettre tout ce que |’on veut;
I! se plait a faire du bien sans; qu’on s’explique dés lors aisément
bruit ; il sait que « d’autr-s bouches | que Auguste, Corvington et Salés Va-
dirovt .un jour sur sa tombe ot fut|lés aient pu faire dire a Vincent que
entoui son trésor. » Il sait que le jour) celui-ci : srecommande tout uniment
oti ilne sera plus 4 cette place tant|de fermer les écoles de droits;
convoitée, ses ennemis eux-mémes! Attendu qu’en réalité Vincent n’a
proclameront bien haut son intlégrité, | pas dit cela; que tous ceux qui ont
sa bonté, sa générosité. |is son discours ( Corvington, Salés
Notre seul mérite, 4 nous du Matin| Vales et Auguste malheureusement
ceserade n’avoir pas aitendu qu’il ne|2e sont pas parmi ceux-la, car «ayant
soitplus pour lui rendre justice, ce se- |4¢ Ja culture et du bon sens », ils ne
ra d’avoir été la voix sincere qui ne | S@vent lire qu’entre les lijnzs) ont bien
cesse de le proclumer grand, devan-|COmpris qui s’élevait contre la mul-
cant ainsi le jugement de impartiale |tiplicité des écoles de droit et qu'il
postérité, .s inguiétait, dans un intérét pure-
;ment socia!, ‘de la tendance trés net-
aa <== |tement accusée d’en avoir une dans
L’administration du « Matin »'! chaque chef-lieu de juridiction; qu’il
_|trouvait que c’était trop, alors sur-
rappelle aus abonnes de la Ca ‘tout qu’il n’y avait encore presque
pitalequ’ils ne doivent rien ver- pas d’écoles professionnelles, de fer-
ser, abonnements ou autres mes-écoles et autres évoles pratiques;

{ ' . , t ;
'que la p!éthore d’avocats ne ferait ni
que sur REGUSIMPRIMES et j'aiaire desindividus ni celle ducorps





——

isignés de M. l’Administrateur ‘social ;






a ee a

Attendu cuw’il est vraiment par trom] date

da 7 Peévricr 1907, contradictoire-

commode, pourle besoin dic Cau-} ment rendu entre les sicurs De Lain et

se, quelque respectable quelic puisse
étre, da forger soi-in®:nae un testa, da
Pattribuer a autrvi cz steidra ia-
dessus en dinextrisidics ef tricmpta-
les gloses ; que ce precé is, pou dine
du talent de Vales Seles, Corvineton
et Auguste, révéle en ex

a,

cepondant
de précoces avocats, --- deja! — yrvon
voit bien que ces appronits sot etn
passe de devenir « maitres » ;
Attendu que, ce fuisunt, iis ont ou-
vertement violé l’une des p'as_ belles
parmi les lois qwils ont formulées, —
celle de « Véquivaleuce fratarnelle ; »
Attendu, au surplus, que Vincent
n’a pas pu se targuer d'avoir inventé
quol yue ce soit, puisqiVil a pris sein
de dire lui-méme quw’il ne faisait que
« rappeler que'ques idées es entiel-

les » ; que, 4 cet égard, Anguste, Sa-
lés Valés et Corvirgton peuve.t tre

tranquilles ; que Vincent ne troublera
leur sommeil par aucuue découverte ;
qu’il n’a jamais rien invent, et sure-
ment, n’inventera jamais rien, rien et
rien,— par meme des « jineges vir-
tuelles », pas méme des « pvophsties
eschatologiques » ;

Attendu enfin qu'il est pacfaite mre nt
indiflérent & Vincent que, duns ta Cite
de Corvington, Vales Satés ct Auguste
tout le monde soli avowat, - que, me-
me pour mieux y développer la fibre
juridique, on dvane aux nourrissons
du jus de papier timbré en biberon,
quwils fassent joujou avec des iactes
d’ajournementet, qu’onleurconfection-
nede petits bonnets avec descédules;

Par ces motifs, it plaira au Public
de faire bonne justice des gricfs dont
font état Auguste, Corvington et Sales
Valés.

“Dont acte.

Me Z.

vaues DIV



ae

aye
ms
q

RENSEIGNEMENTS
METEORGLOGIQUES

tn re

Observatoire
DU

SEMINAIRE COLLEGE St-MARTIAL
Jeupt 28 Mal

Barométre 4 midi 762,47”

minimum 23°,2

Tempeérature{maximum 340

diurne 25°,0
et d’alto stra-

WINoOyenae
Ciel chargé de cirro stra‘us
tus, toute la journée.
Halo solaire le matin.
Le baroméire est en hau3se.
RX. BALTENWECK

Tribunal de Cassation
_. « Seerion CIvILE
Audience.du mardi, 26 Mai 1908

Le Tribunal sous la présidence de Mr le
Vice-président Ernest Bonhomme, pread
siége A dix heures et demie du matin et

rononce l’arrét qui rejette le pourvoi de
Messienrs Pierre et Pé:ion Faubert contre le
jugement da Tribunal civil de Port-au-
Prince en date du 8 Octobre 1906, contra-
dictoirement rendu entre eux et la dame
Lorina Pinchino.

La composition du jour entre en sicge
sous la présidence de Mr le président H.
Lechaud qui prononce les arréts suivants :

— Celui qui casse et annule le juge-
ment du Tribunal civil des Gonaives en

Richardson ctla dame Veuve Joseph E.
Lebretoa, renvoig Palfaire au Tribunai ci-
vii de Saluit-Mare.

— Celui qui casse ct annul: Vordon-
nance deréfré rendue le 9 Octobre 1906
par le juge A. Povial, du Tribunal civil
de Port-:.-Prince entre les consorts Van-
bias Guichier et la dame Amélie Faubert,
renvoie l’effaire devant le juge de réicre
du Tribunal civil de Jacmel.

— Celut ani déclare inadmissible la ré-
g

cusation en masse proposée par les sicurs

A. Evers:nann Jacquin et Co et P. Rigaud |

contre ics juges du Tribunal de commerce
de Port-au Prince déclare, Manzer et fi-s
non recevables, quant 4 présent en Ia récu-
sation proposée par eux contre le méme
Tribunal.

La Seciion civile fiir placeaux Sections-
réunics qui prononcent Uarrét qui rejetie
la demande de John D. Metzger et Co re-
lative A la preuve par témoins, condamne

! rondissenicnt

i

1
‘
|



ee eee oe

ies dits Joh: D. Me-zger et Co a payer saus |

délai, par tontes les voies de droit, méme _

par corps Ala dame D. L. Vabre.née Alex-

andrine Bourgeois et a la demoiselle Jean- |

ne Bourgeois

la somme de P. 816. 70 or

américain avec les intéréts idgaux, fixe ena |
cas de non paiement, la durée de Ia con-.

trainte par corps a une année,
dommages-intéréts réclamés par Jehn D.
Metzger et C° contre les Bourgeois.

Puis entendent l’affaire du steur Ulysse
Mondon contre les sicurs Massoni et Co.

Le juge Emm Chancy, Rapporteur, don-
ne lecture de son rapport.

Mes Solon Ménos, pour le demandeur,
et J. L. Domin‘gue, pour les défendeurs,
sont entendus en leurs observations.

Le Ministére public, Mr Elie Curiel, con-
clut A Virrecevabilité de la demande recon-
ventionnelle de Massong et Co

Vu Vheure avancée le siége est levé.

Tribunal Givil

A. St Rome assisté
bauit a entendu Vaffaire suivante :
—~ LEtat contre Stecher ( Défanut 3

levé le sitge en signe de deuil 4 cause de
la mort du pére de Me Borgella Camille.

Fiancailles

Nous avons recu de Jacmel, le faire-part
des fiangailles de Mile Lirra Tatuy avec
Mr AcBerr ROUSSEAU.

—- Compliments.

Arrivage

Ce matin est entré le steamer cAltain

avec les passagers suivants venant de ;

Tonem, Siriaque Cleérié.

Cap-Haitien. -- Mlle A. Behrman, M.
Durand, Mile M. Décayette.

Port-de-Paixr -- A. Boutin, C. Charle-
magne, B. Gautier et famille, Mr et Mlle
William, L. Augustin, C. Bien-Aimé, C.
Sévard, D. Witty et fils, M. Pamphile.

Gonaives.— L. Guilbaud,- Melle Barber,
E. Emile, E. Désir, Cora Descroit, L.
Philippe, C. Sam, A. Magny.

L’affaire Flesrmann & Cie

L’affaire Herrmann est définitivement ré-
elée par suite d’une transaction acceptée

mand.

Herrmannn & Cie remettent au Gouver-
nementhaitien 343.448.31 dollars en titres
consolidés 6 o/o (ancien 12 o/o ) Le gou-
vernement n’a plus4 donner les 220.000
en tiures, Véquivalent en espéces dd par
Herrman ayant été admis en réglement de

en ar tt
et RR RR RL A

}¢ompte, d’aprés accord.

rejette les’ 4

' presse francaise.

Audience avile du Mercredi 27 Mai 1908 -
be Tribanal sous la présidence du juge |
du Substitut A. Thi-:

Le Tribunal sur la demande de Me Bar-'
reau, secrétaire du conseil de disciptine a_

New-York. -- Mr R. Ramirez et fils, W..

par les’ Gouvernements Hairien et Alle- | Gal Bagdani, commandant en chef des détectives de Nueva

fet Sandaire.

'sénateurs de POucst.



offert par le prince de Gal
un bal offert 4 Buckingh
d’Angleterre. Ce matin le
gu le chef des missions du ¢
tique, le premier ministre de
que diverses municipalités,
suite 2 un banquet offerte au
e lord maire et les membres
Londres.

Hier Ja chambre nomma
sion du budget dont M. Bert

E ettions Senatoviales

A la stance de mercredi, !a Chambre des
représentants a él cduateurs MM P. Pail
lére, Adrainistrateur des Finances de l’Ar-
de Nippeset Candelon Rt-

acement de MM Jules Justin

les et ensuite}
aM par |e TO.
Président ate
orps diplons.

I
Nepaul,
Tl assist
Guildhall

| de la Cité de

ing

2 te

gaud en rempl
Les élection seront probablemeat termi-
nés taujoard hui par [dlection des quatre

Une commis
€aux tut nom.

Sse eS eS time président. |
Hasna le P dunn > nae Prochaine séance vendredi.
PoP Oe as! Lapua yey TONDRES 2 Sir Edw
Bul iyak ‘ i Ail "| f LOnDRES 27. — Sir Edward | Grey, le se
FEU diets THe GUE j AR} jcrctaire des Affaires etrangeres a donnée
_ s soir un diner en Vhoaneur da Présiden
oa ée la République Frangaise. Parmi Ies j
wi 4 YEO An ky mo “8 . . TE armi les in.
Niernieres Depecn 25 vires sc trouvaicnt, le prince de Galles, lg
—— ambassadcurs de France et de Russie ct

1. .
Loxpris 26. — Au grand banquet don-|ics membres du Gouvernement, I]
né en Phonneur du Préecident Fallicres au] pas_ca de discours.

Palais de Back’peham, le roi Edouard dans; En sortent du- Ministére des Afhirs

son toast de bienvenue a dit qu'il espérait} Etrangeres, M. Valliéres est allé assister j

nya

, Do ponedeostation;n da oj
de rout cogar que Ventiente cordiale enire | ia Fepresentatioa de gala au « Covent Car.
VAngieterre et la France serait permancn: den Opera ”, La saile offrait un coup
te parce qu'elle cst mécessaire an bien-c:re | devil splendide. Au moment ou M. Fy

des deus ptys et an! li¢res et les membres de la famil'e sont en
M. Falli¢res| tres dans leur loge, tout le monde ses
levé et l’orchestre a joué la « Marseillaises

et Ada prosperite
maintien de la pix générale.
a dit en réponse quil était convaincu que cl
Vavenir ee ferait que resserrer Jes liens en- Le Président est cutré le premier day
ire les deux prys Les discours échingdés | la _loge royale, derriére iui se tenaientl
Londres enire le Président Falliéres .et} Koi, la Reine, le prince et la princesse de
roi Edouard ont a:tiré Vattention de Ja | Galles etles autres membres de /a famille
Le «Temps» de ce matin} royale. Tous les spsctateurs ont remarqat
dit qu'il croit que le momen: est venu de; que M. Falliércs paraissait trés fatigue.
substituer a Pemente actuelle Vallinnce} Il est resté silencieux pendant la majeur
angto- francaise, pourvuque Varmeée anglai-j| partie de la representation.
se soit réorganisée radicalement de fagon| Le spectacle se composait de sélection
‘A Ja rendre capable dune action énergique | des « Pécheurs de perles » de
isur le continent. « Faust » de
| Lonpres 26.— [Le Président Fall'éres est}
"un visitcur trés pepulaire ; une foule im: |
,mense se rassemble partout ot il est pos-|
sible de le voir passer et les: acclamations!
qui lacu@illent partout sont .exceptionnel-
| lement enthousiastes. °

Lonpres 26 — Un grand bil officiel a
éid donné ce soir au Palais de Buckingham

.

|

>

i



ont elles été chaleureusement

A Vissue de la représentation| les specte;:



tés débout pendant le départ
roya.e et de-son hote.
Lonpres 27.— Le Présiden

t+ Falliéres a.





en Vhonneur d: M. Fuallitves. La soi-)| teu des mains du roi Edouard la grande
‘réeoau Palais de Buckingham a été, croix de lordre Victoria. Le Président a ea
des plus brillantes. Les -hétes du roi, suite décore le roi du grand -ordon de kt
Ise sont réanis daus Ja salle du Tione, des Légion d’Honneur qu'il a également Cot
trompettes ont annoncé leur entrée dans féré 4 Pamiral Lord Beresford. Apres avolt
lasalle du bal gni était magnifiquement teu a Vambassade frangaise les principilt

décomerts Chee ours. Le roi Bdouard et la résidents de Ja colonie frangaise, 'e Prist
reine Alexandra accompaignés de M. Fal- ‘dent rendit visite aux princesses Louise &
liéres et de la suite royale ont défilé dans Henri de Battenberg pour s: rendre enstle
toute la salle entre deux rangs d'invités qui te 4 Portman Square y rendre visite ai
saluaient respectucusement. ‘princesse royale, puis au _ palais St-jamt

Paris 26.— Une dépéche regueicide Tan- 0 il fut regu par le prince de
ger dit que Vinfluence de Moulai Hafid A trois heures en compagnie d
s’éiendant de plus en plus couvre mainte-. reine, du prince et de la prinassse de fit
‘nant tout le nord du Maroc. Seule la peur les et de la princesse Victoria i] se reo ;
‘des représailles de la part des francais, dit du palais de Buckingham 4 Pexposition 0
ila dép&éche, empéche les habitants de Tan-

le prince de Galles lui souhaita la bienve
ger et d'autres ports marocains de se décla- nue, aprés quoi il visita les differents e
irer pour lui. ;

i villons.
Le Sénat discuta le projet de rachat du
{
|
|

lu roi, de

ant en chef

| Parts — Une dépéche de
chemin de fer de l’ouest et s’ajourna 4 que le caid Bagdani, command
Vendredi.

_PEKIN 27. La ville de Ho-Kord, pro-

vince de Shausi a été recapturée par les ‘mde a été reduite par les dese

troupes impériales chinoises. Cette ville | Gann ( Beigique ).— -M.

était tombée au pouvoir des rebelles, il mann, l’aeronaute anglais a.

y a quelques semaines. ‘jourd’hui ave lane i
est.

et qu

rtions.

‘pleine retraite sur Rabat

avec son aero
Datias 27. ~La riviére Trinité a baissé de 1600 métres chacun.
de 4pieds au courant de la nuit derniére.' gue distance qui ait encore ¢t
Les craintes sont moins graves. icn ligne dreite. wo
Mequinez. — Les partisans de Moulai- | La HavanE 25.— Le maire,
Hafid pillérent aujourd’hui la maison du le chef de la police, six police
paz, provin
s hier sous.

plus

en et tro.
e de la

| troupes du sultan, Ad El Aziz et empri-; vane ont été arrété
,Sonnerent les membres de sa famille. de corruption et de
| Beri 27. - Une compléte ententeau; Datzas ( Texas ).—
sujet du Maroc serait intervenue entre les' moins cent personnes on
i deux gouvernements francais et allemands. | majorité des femmes et des ¢

PARIS 27. — Renie: 96.27. 'gu’a présent les dégats sont eva}

Hier M_ Falliéres visita l’exposition de ooo dollars. Dans la soiree
Londres. I! assista le soir a4 un banquet que l’eau continue 4 monter

On a oveesy
to eats [us
és 4 209
anno
ri que,









teurs se sont de nouveau levés et sOnt te.

le la famille,
|
|

j

Tanger di:

Henry er!
exécuté airs
deux vores ©
Jone
été convent |
. “4

‘le rrdsorictr..

Paccusatio® j

concussion: at i

B.



Bizet et de.
Gounod. MMmes Telbae
Tetrazzini qui tenaient les principaux role -
ont chanté d’urie fagon splendide. Ausij

applaudies





3

|





Connaught. 3

ides troupes du Sultan Abd-El-Aziz este
e son a.





4
a









———

nais encore arrive, Peau est
50 pieds au dessus de son
Un pew avant midi une
u « Texas and Pacific rail-
Sur les quiaze hom-
anisy (rouvarent. Six ont été noyés.
WssuflNTON. L’ambassadeur de Trance
ine Jusserand pattiront le 15 Jain
of Chicago, cu ils assisteront au séan-
de Gonvension nationale repu licaine.
nombreux projets ont clapores pour
fer dans cette ville, ou ils resteron'
opi ja veille de leur départ pour Fran-
rag aura tice fe 25 Juin. .
int PETERSHOC RG 28. 7 Le _CUIrIsse
ge sPierre le Grand» est ala cote dans
Cots de Finlande pres de Rével. Son
jot est creve; cerendant si le temps con-
hue a étre favortble on pourra crolt-on,

irenflouer.
Lospres 28. — Le
aluit le aux de son ese
ademi pour cet.
Cossrantixopce 28 — L
de Samos sonten rebellion contre le
ne et le gouvernement de Vile depuis
iors. Des rencontres sanglantes entre
sont produites

+ q'etait ja!
jgienant 2
tad norm.
je du pont d
uy ; '
wie est eflondree.

e
ay

a Banque dAngleterre
ompte de 3 4

es habitants de















Trib

DSCOURS prononcé par Mr Arthur
pu, Magistrat Communal de ‘Pétion- Ville

une du ‘“* Matin ”

scm

tecasion dela jete du rer Mai.













i

|

nert vous promettre monts et moers:'l!s
cn cherchant a vous entrainer dans !a r ’ Prodi \
vente et Panarchie.

Reésistez-leur énergiquement et niuban |
donnez pas, peur courir a des luites ine |
sensees, vos armes p.cifiques qui sont les
instruments de votre art élevé et qui sents,

,

y







Recemmandés pour \

€n creusant les sillons de ves champs, 3 GR
peuvent assurer la prospérité nationale e: 45 BEARGHIR, RDOUCIR D



le bizn-¢ re de vos famulles.
Criez avec moi, citoyens agriculteurs :










aqiae’y saqne



















Port-au-Prince, en date, du onze janvier res qui veulert avoir un teint

mil neuf cent sept,enregistrée a Port-au-

Vive le Piés dent Nord Alexis, régénéra- a CEES Ge
teur de la Pare. ge Sei l8, 60, Fevbeurg ot-iartia, PARIS
vine Agriculture ! ey BE Us Be Ba SS Ba oO a S Rw as ~
<7 EFS an Bes Se B is FS ree ,
Vive le Travail ! 7 RPE SE AOL ORE ASN ND
Er yay ee adoreit iépiderme auquel elle
= = ot == 2a, BOs N donne une soupiesse et un ve-
VENTE SLSR ERLE lo utd incomparable en lui com-
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REDACTION-ADMINISTRATION mois et sont payables d’avance
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an






Les manuscrits insérés ou non ne seront pas rendus



ee a TREE ES ART eee ARR

wWonsieur arthur ISIDORE, 45, Rue Roux on Bonne-Foi.



S TROUBLES

Dansl’ Arrondissement de Jacmel |

Des bateaux de guerre sont partis!...

Tentendais dire: « Il y a des troubles
ais Parrendissemant de Jacmel, il y
udu grabuge 4 Bainet, 4 Cdtes-de-
et; Borrouet a fusillé du monde en
ase. |e Gouvernement a envoyé
bn batean ds guerre pour apporter
les munitions et continuer la répres-
10D. »

Deux jours aprés, le courrier de
mel arrive sans aucune nouvelle
pe rdinaire. Tout est caime 1a-
as





lapropagande s’appuie souvent sur
Welque chose, elle veut toujours
lonner aux canards qu’elle lance un
ur de vraisemblance. Il y a eu, en
tlt, deux bateaux de guerre “partis,
has ils n’étaient chargés que de mu-
nitions... de bouche.

ot le monde a lu dans le Matin
epee de M. Rodolphe Alexandre,
i acmel, sur la famine qui sévit en
yw Moment dans les campagnes de
Vues surtout dans la section de la
i dnlagne,

ne une section particuligrement
tems Soit que le sol y est plus
noine rott que les habitants en soient
te aborieux ou plus imprévoyants.
: pee Sécheresse de l’année der-
vaya: et prouvé quelques parties du
boat, ne eeuse naturellement plus de
Des pelts section dela Montagne.
COifirme tk que nous avons recues
re Lee « € rapport de M. Alexan-
Dontris qunbagnards, aprés s’étre
flés nui to8es Sires deviennent
vant : Puls foitrinaires, et n’en pou-
tone mov Pour chercher le soutien
la ville on ne vie, descendent vers
ftenrant, Lachamee lamentable et
| & soulager de Publique ne suffit
ites, ails norms 2OmMbreuses mi-
ade sur les

galeries, des femmes

meurent d’inanition, dans
0
Nnant de touts petits enfants

Les causes ds ce départ

auxquels le sein maternel desséché par
les privations, n’a plus une gautte de
lait 4 donne».

Le récit de cet état “de choses a
ému le coeur du Président Nord ; il
fit venir une grande cargaison de
vivres, produits de ses champs dans
le Nord; il en a chargé un bateau et
a envoyéce secours au Magistrat
Communal de Jacmel pour étre dis-
tribué aux pauvres. Le Président de
la République ne s’en esk- a5, tenu
la: toujours 4 ses frais, il a chargé
un autre bateau de biscuits et de pro-
visions alimentaires 4 destination de
Jacmal.

Au lieu de demander des fonds aux
Chambres, pour soulager la famine,
au lieu de faire dresser des ordon-
nances, qui sous un autre Gouverne-
ment rempliraient plutét les poches
de deux ou trois et n’iraient pas sou-
lager la souffrance des gueux, le géné-
ral Nord, une fois de plus, répéte le
geste dont il est coutumier ; il ouvre
sa bourse, et c’est de sa cassette pri-
vée que tombe la rosée bienfaisunte.

Il n’est pas nécessaire de louer le
Géné:al Nord pour un tel acte, car il
faudrait le louer chaque jour.. Le Pré-
sident de la République est une
main toujours ouverte ; pas de jour
qu’il n’oblige quelqu’un ; pas de
souffrance qu'il ne veuille sou!’ ser,
et ilest A ce point de vue, pius un
pére de famille qu’un Chef d'Etat.

Cette bonté toujoursen éveil da
Général Nord est une des causes de la
force prodigieuse de son Gouverne-
ment. . .

Ses ennemis qui vivent loin de lui
ou sur la terre é6trangére, qui nen-
tendent et ne veulent entendre que la
cloche du dénigrement de parti-pris,
la cloche de la propagande malveillan-
te, se le représentent et le represen-



tent au monde comme uo Chef d’Etat RHC UE TH
odieux et détesté de fous. Dans cette )

croyance, ils Vatlagqueit et sont tout

surpris de la solidité, de la robustes- ~~



se du chéne qu’on leur avait repré-; Les aimabtes sieurs Corvington,
seuté comme vermoulu, prétachoir;Salés Valés et Auguste, se di-

a la premiére secousse. Oui la force|Sant étudiants en droit, ont cru de-
du général Nord n’est pas seulement | Voir faire assavoir au bon public —
dans le dévouement admirable de sesj@fin que nul n’en n’ignore — qu’ils
lieutenants, elle est aussi dans |’a-|prenaient position dans un débat dont
mour populaire. Le peuple connait}un discours du sieur Sténio Vincent,
la bonté de cceur du patriarche quipré-| en sa qualité de Magistrat communal,
side a .ses destinées, et les bienfaits |scrait le prétexte, et qu’ils disaient,
présidentiels quqjque accomplis dans a telles fins que de raison, leurs
Yombre, portentau grand jour des|« opinions définitives», qu’ils pre-
fruits étonnants de reconnaissance et |naient des conclusions, sur _ les
d’attachement. élranges propos d’icelui quiles ont
Non, le Général Nord n& pas be-jalarmés, parce que les dits propos
soin d’étre loué et si nous rapportoas}ont été tenus au peuple et a l’armée,
ici le geste de commisération patrioti-; au lieu de se trouver « dans un livre
que qu’il vient de faire, c’est pour;ou dans un article économique.»
montrer comment les meilleures ac- Le soussigné, avocat d’office du dit
tions prétent le flanc 41a propagande,/sieur Sténio Vincent encore tout
comment les ennemis du Gouverne-| Meurtri du coup de massue des sus-
ment se servent d2 tout pous essayer ,dénommés, expose ce qui suit:
de laffaiblir ! Attendu que Valés Salés, Auguste et
La modestie du Président dela Ré-|;Corvington, au lieu de lire le discours
publique s’offusquera presque A se, dont il s’agit, ce qui eut été plus sim-
voir louer pour ce qu’il estime « peu’ ple et plus naturel, déclarent lavoir
de chose, » pour ce qu'il estime son lu extre les li.nes, complication d’ail-
devoir ; il n’est pas partisan de lajleurs fort inu ile ;
réclame brayante, et c’estlui faire; Attenduque, entre les lignes il n’y a
violence que de dénoncer au peuple; que du blanc; qu’on peut par ‘consé-
ses bienfaits cachés. ;quent y mettre tout ce que |’on veut;
I! se plait a faire du bien sans; qu’on s’explique dés lors aisément
bruit ; il sait que « d’autr-s bouches | que Auguste, Corvington et Salés Va-
dirovt .un jour sur sa tombe ot fut|lés aient pu faire dire a Vincent que
entoui son trésor. » Il sait que le jour) celui-ci : srecommande tout uniment
oti ilne sera plus 4 cette place tant|de fermer les écoles de droits;
convoitée, ses ennemis eux-mémes! Attendu qu’en réalité Vincent n’a
proclameront bien haut son intlégrité, | pas dit cela; que tous ceux qui ont
sa bonté, sa générosité. |is son discours ( Corvington, Salés
Notre seul mérite, 4 nous du Matin| Vales et Auguste malheureusement
ceserade n’avoir pas aitendu qu’il ne|2e sont pas parmi ceux-la, car «ayant
soitplus pour lui rendre justice, ce se- |4¢ Ja culture et du bon sens », ils ne
ra d’avoir été la voix sincere qui ne | S@vent lire qu’entre les lijnzs) ont bien
cesse de le proclumer grand, devan-|COmpris qui s’élevait contre la mul-
cant ainsi le jugement de impartiale |tiplicité des écoles de droit et qu'il
postérité, .s inguiétait, dans un intérét pure-
;ment socia!, ‘de la tendance trés net-
aa <== |tement accusée d’en avoir une dans
L’administration du « Matin »'! chaque chef-lieu de juridiction; qu’il
_|trouvait que c’était trop, alors sur-
rappelle aus abonnes de la Ca ‘tout qu’il n’y avait encore presque
pitalequ’ils ne doivent rien ver- pas d’écoles professionnelles, de fer-
ser, abonnements ou autres mes-écoles et autres évoles pratiques;

{ ' . , t ;
'que la p!éthore d’avocats ne ferait ni
que sur REGUSIMPRIMES et j'aiaire desindividus ni celle ducorps





——

isignés de M. l’Administrateur ‘social ;



a ee a

Attendu cuw’il est vraiment par trom] date

da 7 Peévricr 1907, contradictoire-

commode, pourle besoin dic Cau-} ment rendu entre les sicurs De Lain et

se, quelque respectable quelic puisse
étre, da forger soi-in®:nae un testa, da
Pattribuer a autrvi cz steidra ia-
dessus en dinextrisidics ef tricmpta-
les gloses ; que ce precé is, pou dine
du talent de Vales Seles, Corvineton
et Auguste, révéle en ex

a,

cepondant
de précoces avocats, --- deja! — yrvon
voit bien que ces appronits sot etn
passe de devenir « maitres » ;
Attendu que, ce fuisunt, iis ont ou-
vertement violé l’une des p'as_ belles
parmi les lois qwils ont formulées, —
celle de « Véquivaleuce fratarnelle ; »
Attendu, au surplus, que Vincent
n’a pas pu se targuer d'avoir inventé
quol yue ce soit, puisqiVil a pris sein
de dire lui-méme quw’il ne faisait que
« rappeler que'ques idées es entiel-

les » ; que, 4 cet égard, Anguste, Sa-
lés Valés et Corvirgton peuve.t tre

tranquilles ; que Vincent ne troublera
leur sommeil par aucuue découverte ;
qu’il n’a jamais rien invent, et sure-
ment, n’inventera jamais rien, rien et
rien,— par meme des « jineges vir-
tuelles », pas méme des « pvophsties
eschatologiques » ;

Attendu enfin qu'il est pacfaite mre nt
indiflérent & Vincent que, duns ta Cite
de Corvington, Vales Satés ct Auguste
tout le monde soli avowat, - que, me-
me pour mieux y développer la fibre
juridique, on dvane aux nourrissons
du jus de papier timbré en biberon,
quwils fassent joujou avec des iactes
d’ajournementet, qu’onleurconfection-
nede petits bonnets avec descédules;

Par ces motifs, it plaira au Public
de faire bonne justice des gricfs dont
font état Auguste, Corvington et Sales
Valés.

“Dont acte.

Me Z.

vaues DIV



ae

aye
ms
q

RENSEIGNEMENTS
METEORGLOGIQUES

tn re

Observatoire
DU

SEMINAIRE COLLEGE St-MARTIAL
Jeupt 28 Mal

Barométre 4 midi 762,47”

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Tempeérature{maximum 340

diurne 25°,0
et d’alto stra-

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tus, toute la journée.
Halo solaire le matin.
Le baroméire est en hau3se.
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Tribunal de Cassation
_. « Seerion CIvILE
Audience.du mardi, 26 Mai 1908

Le Tribunal sous la présidence de Mr le
Vice-président Ernest Bonhomme, pread
siége A dix heures et demie du matin et

rononce l’arrét qui rejette le pourvoi de
Messienrs Pierre et Pé:ion Faubert contre le
jugement da Tribunal civil de Port-au-
Prince en date du 8 Octobre 1906, contra-
dictoirement rendu entre eux et la dame
Lorina Pinchino.

La composition du jour entre en sicge
sous la présidence de Mr le président H.
Lechaud qui prononce les arréts suivants :

— Celui qui casse et annule le juge-
ment du Tribunal civil des Gonaives en

Richardson ctla dame Veuve Joseph E.
Lebretoa, renvoig Palfaire au Tribunai ci-
vii de Saluit-Mare.

— Celui qui casse ct annul: Vordon-
nance deréfré rendue le 9 Octobre 1906
par le juge A. Povial, du Tribunal civil
de Port-:.-Prince entre les consorts Van-
bias Guichier et la dame Amélie Faubert,
renvoie l’effaire devant le juge de réicre
du Tribunal civil de Jacmel.

— Celut ani déclare inadmissible la ré-
g

cusation en masse proposée par les sicurs

A. Evers:nann Jacquin et Co et P. Rigaud |

contre ics juges du Tribunal de commerce
de Port-au Prince déclare, Manzer et fi-s
non recevables, quant 4 présent en Ia récu-
sation proposée par eux contre le méme
Tribunal.

La Seciion civile fiir placeaux Sections-
réunics qui prononcent Uarrét qui rejetie
la demande de John D. Metzger et Co re-
lative A la preuve par témoins, condamne

! rondissenicnt

i

1
‘
|



ee eee oe

ies dits Joh: D. Me-zger et Co a payer saus |

délai, par tontes les voies de droit, méme _

par corps Ala dame D. L. Vabre.née Alex-

andrine Bourgeois et a la demoiselle Jean- |

ne Bourgeois

la somme de P. 816. 70 or

américain avec les intéréts idgaux, fixe ena |
cas de non paiement, la durée de Ia con-.

trainte par corps a une année,
dommages-intéréts réclamés par Jehn D.
Metzger et C° contre les Bourgeois.

Puis entendent l’affaire du steur Ulysse
Mondon contre les sicurs Massoni et Co.

Le juge Emm Chancy, Rapporteur, don-
ne lecture de son rapport.

Mes Solon Ménos, pour le demandeur,
et J. L. Domin‘gue, pour les défendeurs,
sont entendus en leurs observations.

Le Ministére public, Mr Elie Curiel, con-
clut A Virrecevabilité de la demande recon-
ventionnelle de Massong et Co

Vu Vheure avancée le siége est levé.

Tribunal Givil

A. St Rome assisté
bauit a entendu Vaffaire suivante :
—~ LEtat contre Stecher ( Défanut 3

levé le sitge en signe de deuil 4 cause de
la mort du pére de Me Borgella Camille.

Fiancailles

Nous avons recu de Jacmel, le faire-part
des fiangailles de Mile Lirra Tatuy avec
Mr AcBerr ROUSSEAU.

—- Compliments.

Arrivage

Ce matin est entré le steamer cAltain

avec les passagers suivants venant de ;

Tonem, Siriaque Cleérié.

Cap-Haitien. -- Mlle A. Behrman, M.
Durand, Mile M. Décayette.

Port-de-Paixr -- A. Boutin, C. Charle-
magne, B. Gautier et famille, Mr et Mlle
William, L. Augustin, C. Bien-Aimé, C.
Sévard, D. Witty et fils, M. Pamphile.

Gonaives.— L. Guilbaud,- Melle Barber,
E. Emile, E. Désir, Cora Descroit, L.
Philippe, C. Sam, A. Magny.

L’affaire Flesrmann & Cie

L’affaire Herrmann est définitivement ré-
elée par suite d’une transaction acceptée

mand.

Herrmannn & Cie remettent au Gouver-
nementhaitien 343.448.31 dollars en titres
consolidés 6 o/o (ancien 12 o/o ) Le gou-
vernement n’a plus4 donner les 220.000
en tiures, Véquivalent en espéces dd par
Herrman ayant été admis en réglement de

en ar tt
et RR RR RL A

}¢ompte, d’aprés accord.

rejette les’ 4

' presse francaise.

Audience avile du Mercredi 27 Mai 1908 -
be Tribanal sous la présidence du juge |
du Substitut A. Thi-:

Le Tribunal sur la demande de Me Bar-'
reau, secrétaire du conseil de disciptine a_

New-York. -- Mr R. Ramirez et fils, W..

par les’ Gouvernements Hairien et Alle- | Gal Bagdani, commandant en chef des détectives de Nueva

fet Sandaire.

'sénateurs de POucst.



offert par le prince de Gal
un bal offert 4 Buckingh
d’Angleterre. Ce matin le
gu le chef des missions du ¢
tique, le premier ministre de
que diverses municipalités,
suite 2 un banquet offerte au
e lord maire et les membres
Londres.

Hier Ja chambre nomma
sion du budget dont M. Bert

E ettions Senatoviales

A la stance de mercredi, !a Chambre des
représentants a él cduateurs MM P. Pail
lére, Adrainistrateur des Finances de l’Ar-
de Nippeset Candelon Rt-

acement de MM Jules Justin

les et ensuite}
aM par |e TO.
Président ate
orps diplons.

I
Nepaul,
Tl assist
Guildhall

| de la Cité de

ing

2 te

gaud en rempl
Les élection seront probablemeat termi-
nés taujoard hui par [dlection des quatre

Une commis
€aux tut nom.

Sse eS eS time président. |
Hasna le P dunn > nae Prochaine séance vendredi.
PoP Oe as! Lapua yey TONDRES 2 Sir Edw
Bul iyak ‘ i Ail "| f LOnDRES 27. — Sir Edward | Grey, le se
FEU diets THe GUE j AR} jcrctaire des Affaires etrangeres a donnée
_ s soir un diner en Vhoaneur da Présiden
oa ée la République Frangaise. Parmi Ies j
wi 4 YEO An ky mo “8 . . TE armi les in.
Niernieres Depecn 25 vires sc trouvaicnt, le prince de Galles, lg
—— ambassadcurs de France et de Russie ct

1. .
Loxpris 26. — Au grand banquet don-|ics membres du Gouvernement, I]
né en Phonneur du Préecident Fallicres au] pas_ca de discours.

Palais de Back’peham, le roi Edouard dans; En sortent du- Ministére des Afhirs

son toast de bienvenue a dit qu'il espérait} Etrangeres, M. Valliéres est allé assister j

nya

, Do ponedeostation;n da oj
de rout cogar que Ventiente cordiale enire | ia Fepresentatioa de gala au « Covent Car.
VAngieterre et la France serait permancn: den Opera ”, La saile offrait un coup
te parce qu'elle cst mécessaire an bien-c:re | devil splendide. Au moment ou M. Fy

des deus ptys et an! li¢res et les membres de la famil'e sont en
M. Falli¢res| tres dans leur loge, tout le monde ses
levé et l’orchestre a joué la « Marseillaises

et Ada prosperite
maintien de la pix générale.
a dit en réponse quil était convaincu que cl
Vavenir ee ferait que resserrer Jes liens en- Le Président est cutré le premier day
ire les deux prys Les discours échingdés | la _loge royale, derriére iui se tenaientl
Londres enire le Président Falliéres .et} Koi, la Reine, le prince et la princesse de
roi Edouard ont a:tiré Vattention de Ja | Galles etles autres membres de /a famille
Le «Temps» de ce matin} royale. Tous les spsctateurs ont remarqat
dit qu'il croit que le momen: est venu de; que M. Falliércs paraissait trés fatigue.
substituer a Pemente actuelle Vallinnce} Il est resté silencieux pendant la majeur
angto- francaise, pourvuque Varmeée anglai-j| partie de la representation.
se soit réorganisée radicalement de fagon| Le spectacle se composait de sélection
‘A Ja rendre capable dune action énergique | des « Pécheurs de perles » de
isur le continent. « Faust » de
| Lonpres 26.— [Le Président Fall'éres est}
"un visitcur trés pepulaire ; une foule im: |
,mense se rassemble partout ot il est pos-|
sible de le voir passer et les: acclamations!
qui lacu@illent partout sont .exceptionnel-
| lement enthousiastes. °

Lonpres 26 — Un grand bil officiel a
éid donné ce soir au Palais de Buckingham

.

|

>

i



ont elles été chaleureusement

A Vissue de la représentation| les specte;:



tés débout pendant le départ
roya.e et de-son hote.
Lonpres 27.— Le Présiden

t+ Falliéres a.





en Vhonneur d: M. Fuallitves. La soi-)| teu des mains du roi Edouard la grande
‘réeoau Palais de Buckingham a été, croix de lordre Victoria. Le Président a ea
des plus brillantes. Les -hétes du roi, suite décore le roi du grand -ordon de kt
Ise sont réanis daus Ja salle du Tione, des Légion d’Honneur qu'il a également Cot
trompettes ont annoncé leur entrée dans féré 4 Pamiral Lord Beresford. Apres avolt
lasalle du bal gni était magnifiquement teu a Vambassade frangaise les principilt

décomerts Chee ours. Le roi Bdouard et la résidents de Ja colonie frangaise, 'e Prist
reine Alexandra accompaignés de M. Fal- ‘dent rendit visite aux princesses Louise &
liéres et de la suite royale ont défilé dans Henri de Battenberg pour s: rendre enstle
toute la salle entre deux rangs d'invités qui te 4 Portman Square y rendre visite ai
saluaient respectucusement. ‘princesse royale, puis au _ palais St-jamt

Paris 26.— Une dépéche regueicide Tan- 0 il fut regu par le prince de
ger dit que Vinfluence de Moulai Hafid A trois heures en compagnie d
s’éiendant de plus en plus couvre mainte-. reine, du prince et de la prinassse de fit
‘nant tout le nord du Maroc. Seule la peur les et de la princesse Victoria i] se reo ;
‘des représailles de la part des francais, dit du palais de Buckingham 4 Pexposition 0
ila dép&éche, empéche les habitants de Tan-

le prince de Galles lui souhaita la bienve
ger et d'autres ports marocains de se décla- nue, aprés quoi il visita les differents e
irer pour lui. ;

i villons.
Le Sénat discuta le projet de rachat du
{
|
|

lu roi, de

ant en chef

| Parts — Une dépéche de
chemin de fer de l’ouest et s’ajourna 4 que le caid Bagdani, command
Vendredi.

_PEKIN 27. La ville de Ho-Kord, pro-

vince de Shausi a été recapturée par les ‘mde a été reduite par les dese

troupes impériales chinoises. Cette ville | Gann ( Beigique ).— -M.

était tombée au pouvoir des rebelles, il mann, l’aeronaute anglais a.

y a quelques semaines. ‘jourd’hui ave lane i
est.

et qu

rtions.

‘pleine retraite sur Rabat

avec son aero
Datias 27. ~La riviére Trinité a baissé de 1600 métres chacun.
de 4pieds au courant de la nuit derniére.' gue distance qui ait encore ¢t
Les craintes sont moins graves. icn ligne dreite. wo
Mequinez. — Les partisans de Moulai- | La HavanE 25.— Le maire,
Hafid pillérent aujourd’hui la maison du le chef de la police, six police
paz, provin
s hier sous.

plus

en et tro.
e de la

| troupes du sultan, Ad El Aziz et empri-; vane ont été arrété
,Sonnerent les membres de sa famille. de corruption et de
| Beri 27. - Une compléte ententeau; Datzas ( Texas ).—
sujet du Maroc serait intervenue entre les' moins cent personnes on
i deux gouvernements francais et allemands. | majorité des femmes et des ¢

PARIS 27. — Renie: 96.27. 'gu’a présent les dégats sont eva}

Hier M_ Falliéres visita l’exposition de ooo dollars. Dans la soiree
Londres. I! assista le soir a4 un banquet que l’eau continue 4 monter

On a oveesy
to eats [us
és 4 209
anno
ri que,









teurs se sont de nouveau levés et sOnt te.

le la famille,
|
|

j

Tanger di:

Henry er!
exécuté airs
deux vores ©
Jone
été convent |
. “4

‘le rrdsorictr..

Paccusatio® j

concussion: at i

B.



Bizet et de.
Gounod. MMmes Telbae
Tetrazzini qui tenaient les principaux role -
ont chanté d’urie fagon splendide. Ausij

applaudies





3

|





Connaught. 3

ides troupes du Sultan Abd-El-Aziz este
e son a.





4
a






———

nais encore arrive, Peau est
50 pieds au dessus de son
Un pew avant midi une
u « Texas and Pacific rail-
Sur les quiaze hom-
anisy (rouvarent. Six ont été noyés.
WssuflNTON. L’ambassadeur de Trance
ine Jusserand pattiront le 15 Jain
of Chicago, cu ils assisteront au séan-
de Gonvension nationale repu licaine.
nombreux projets ont clapores pour
fer dans cette ville, ou ils resteron'
opi ja veille de leur départ pour Fran-
rag aura tice fe 25 Juin. .
int PETERSHOC RG 28. 7 Le _CUIrIsse
ge sPierre le Grand» est ala cote dans
Cots de Finlande pres de Rével. Son
jot est creve; cerendant si le temps con-
hue a étre favortble on pourra crolt-on,

irenflouer.
Lospres 28. — Le
aluit le aux de son ese
ademi pour cet.
Cossrantixopce 28 — L
de Samos sonten rebellion contre le
ne et le gouvernement de Vile depuis
iors. Des rencontres sanglantes entre
sont produites

+ q'etait ja!
jgienant 2
tad norm.
je du pont d
uy ; '
wie est eflondree.

e
ay

a Banque dAngleterre
ompte de 3 4

es habitants de















Trib

DSCOURS prononcé par Mr Arthur
pu, Magistrat Communal de ‘Pétion- Ville

une du ‘“* Matin ”

scm

tecasion dela jete du rer Mai.













i

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nert vous promettre monts et moers:'l!s
cn cherchant a vous entrainer dans !a r ’ Prodi \
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—_— contre le Hdie, ios pices @ineestas at ies érupuoens de la peau.

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spt-Sil- Prune

cés-verbal d’arrentage de Jules Doffeuil
Rimpel, suivi de son plan en date du
mil neuf cent six, enre-

a

e

dix-neuf juin

istré.

to ney se en . ? . .
peuple et les troupes Se -?|Priuce le douze janvier mil neuf cent rr
fale ranitala } ad ssidarimerleé - : 5 QAYOYrlilt2 “iba
uly apia's de Tile, La gendarmerie) 50.1, folio 403/490 Vo Case 1973 du Re- | Favorite — + ass de Gréme Simon
nk avoir fait cause COMMUN. ay toistre R No 3 des actes civils | aot Core el low Sneines
sles, La cause de cette rebellion sera t|? oy, rie 3 os i > prepare oseron tes PrmNcipes
pats. La Sn see < , Ii sera procédé Je mardi dcux juin} ak Pos alge serioifenxs de Vhyyie
aiun confit entre fe gouvernement Ko-|,; . Vs feo plas soripmeux det nbygicne
Fe ae eh mil neuf cent hnit, en étude et par le | ; jacdedo oC} un certain degré
«iz Firendi ct le Sénat. Des renforts de] oo. ys -. a i sie Th oun certain degre
i DNR ete , pinisiére de Me Kleber Vilmenay, ne- | as des dilaliieés bi cafaisectes et p peaippiees de fa Cre Si - il
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ion dans Ia province de Pangasinan et reste de la propriété et feu Clément GE, Mae du Magatce seb Brot, ito
bi dans | . vevince de Ca Be Lafontant, au sud et a l’est par feu Clé- | 2 er ee a 2 nn Se
- prow Piz. ment Lafontant et 4 l’ouest par le che- T R ALAR DD CBee vTpraiceirate

Sa ween | in de la Grande Ravine, suivant, pro- 1 | \ | ag an 1 mb Lee (EERE | i a
“a , se} SIR: LB ee ‘ g % 3
DD



















Yi

| Cioyens avriculteurs,

Chaguc annce, 4 pareille date, vous étes
FUsici par icitet d'une prescription
pisitutionnelle pour célébrer la féte de
it fe cette bonne terre inépuisable
4 eee et nous nourrit et qui, plus
x, rn tr sepuliure en empruntant
i cnsemencement nouveau
Pitls cénérations A venir.

LE ete fete est véritablement la yran-
Ff nationale, car cette terrea bu le
f copies confondu avec celui de
blll urs et, depuis, nous ne cessons
Crendsnt, de notre sueur.

i ne pond oes agriculteurs, le ré-
basis Choe pas jusqu’ici aux efforts
rst de nes qui ne sufit, ni de ces ef-
beater le tende bonne volonté pour aug:
bi: il Gat « ement du territoire mnatio-
beur des eTtouR Savoir se mettre 4 la
bh science neyeees toujours nouvelles
Jeme han : pi procédés de culiure.
OS teint i ire que le reproche ne
Sst aus ade 8, Cltoyens agriculteurs, car
hai Ments| supérieurs de la nation

hye a . eos

in a il appartient de diriger vo-
ee v8 bias dans la culture mé-
is € DOs terres.

ce qu'il vy; i
ma etl vous appartient essenticl-

tealiser| ae
aliser, ce sont les conditions

a la propagation et a la
tm et eficaces procédés de
aes rang de ces condi-

intien de la paix publi

dant mieux,

conci je
eae toyens agri

done de vous ex-

eUrs, P
trier 32 cen
mer loreille 4 ceux qui vien-

(errr earner rear t
aQ

Tel d’ailleurs que cet immeuble se CAL ACHTE 508 SEAETX DAR IGUR
poursuit, comporte el s’étend. EN ve
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s’adcesser &€ Me Luc Théard, avocit
poursuivant ou 4 Me Kiéber Vilmenay,
notaire, déposilaire du cahier des char-
ges. ;
Port-au-Prince, le 29 Mai 1908.

Luc THEART, — Avocat:

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vesau et Co déclarée en faillite, sont in-
[vifés 4 se présen’er ou sa faire repré-
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gné, dans lea déiai de quarante jours, a
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ou Aen faire le dépot au Greffe du
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