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- Permanent Link:
- https://ufdc.ufl.edu/UF00081213/00321
Material Information
- Title:
- Le Matin
- Place of Publication:
- Port-au-Prince Haiti
- Publisher:
- [s.n.]
- Creation Date:
- April 28, 1908
- Frequency:
- daily
- Language:
- |||
Subjects
- Subjects / Keywords:
- Newspapers -- Haiti ( lcsh )
- Genre:
- newspaper ( sobekcm )
newspaper ( marcgt )
- Coordinates:
- -72.2803802891673 x 18.5142993036392
Record Information
- Source Institution:
- University of Florida
- Holding Location:
- Bibliothèque Haïtienne des Frères de l'Instruction Chrétienne
- Rights Management:
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- Resource Identifier:
- 000358166 ( ALEPH )
ABZ6468 ( NOTIS )
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Full Text |
e Année, No 325.
witha Bie - 0 ot eae |
peuxiem PORT-AU-PRINCE ( Haiti )
Po aE RA a RO ls AMO SSN ot of tallied ae dd AD) ae aa: - xed:
*
_*
QUOTIDIEN |
- ABONNEMENTS : DIRECTEUR :
f=
Clément Magloire,
REDACTION-ADMINISTRATION |
45, RUE ROUX, 45.
DEPARTEMENTS & ETRANGER :
Frais de puste en sus.
a
s’adresser
RR Oe = NS wane are
a
Pour tout ce qui concerne |’Administration du Journe!. Won
~~ Pula
OBSERVATIONS UTILES
Ala troisiéme partie de son analy-'ment M. Porsenna ne s’en est-il pas
ee (le Soir du I! Avril 1s, ) M. apercu ?
Porsenu: WL cect: « M. usruste .
Magloire. deplore Chaceremnent Pétat | Je pusse au second reproche, celui
Were de notre sociétéet soul site son de n avoir pas fait ressortir la _ cause
heminement vers les progrés réels, | déterminante du dédain prof:ssé chez
mais il ne s'arréte pas a la cause vraie | DOus a | egard ds travaux _manuels.
decet état d’étre, il n’analyse pas suf- | J? devrais presque dire qu’il y a lieu
ment notre milieu pour faire de el. sur ce reproche, car voyez
q F profess neue Loe tage tna Var présenté i désudtuds et l’a-
wels, reproche que nous lui avons| bandon qui frappent ch -z noas Vexer-
adressé déja. » cice d2c 5 truvaux réputés inférieurs
Je wanrais pas voulu clore ces q'tel-
,ques observations sans dire un mot
‘des « doctrines sociales » que mon
estimable confrére déclare trop avan-
icées pour étre adaptées au milieu hai-
jtien. Je le prie de remarquer que mon
jlivre s’est précisément proposé de dé-
nontrer que nous aspirons, sous pré-
itexte d’une civilisation mal entendue,
a un état social ott les aptitudes in-
tellectuelles sont céveloppées exagé-
rément et au détriment d’autres ap-
litudes plus positives et plus immé-
diatement utiles.
Je comprends donc difficilement ce
dernier reproche de M. Porsenna.
Quant a la valeur de ces doctrines
|sociales en elles-mémes, mon confré-
neo
peal
4 sdain en le-
D'apres mon confrére, je suis dou- quel nous. eet io tae don«,te me permeltra de dire que ce qui
Dement reprochable : 1° de n’avoir lagir ce dédain comme cause. Or,|distingue la science sociale actuelle, .
pas démélé la cause vraie de notre mon confrere désire que je déter.; dont nous essayons de propager ales’
Fey social ; ode n’avoir pas fait res- | mine la cause de ce dédain lui-mé- ésultats dans notre pays, et les di-
Borlir la cause délerminante du dédain | mo - je trouve en toute modestie Verses théories sociales qui ont été
professé chez nous pour les travaux ue e’est un peu exigeant, et si je ,émises acertaines époques de This-—
a or P 2 a toire générale, c’est que !es bases de’
manuels. 'voulais verser dans la rhétorique, je
crierais Ala pétition de princips :
nous avons peu de gout pour les me-
ifiers manuels et nous les pratiquons
‘peu parce que nouslcs tenonsen grand
idédain; nous les tenons en grand.
qt! existe entre la direction générate | dédain parce qu’on tes pratique peu
i notre éducation et les conditions ct que nous y avons peu, de gout....
vestence de notre société. La re-' Qu’y a-t-il 4 dire de plus ? dep ; Ly & (
herche deg conditions da. bonheur | Nai mon confrére m’a fait un vé- lurité par ceux qui, A des titres di-
Mocial est ane tache difficile et malai-|ritable proces surla recherche des vers, ont hérité de son génie,— au
» €n toas cas trés complexe. Cha-|Causes, car, dans cette méme partie. premier rang desquels il faut nommer
D Singéaie a présenter son petit|de sa critiqas, et envisageant « la si-) Henri de _Poarville, — est définitive-
boniment comme le seul salutaire |tuation contemporaine de I|'Etat es- | mentpourvae: de dune méthode d’anca-
83 lravagx de science sociale déja|pagnol et méme de I’Etat portugais », i lyse; 2° une mé'h de d observation
eo oplis par de puissants promo- |il dit qu'elle est « un effet, une con- |comparée; 3° d'une classification.
ows moat singulisrement servi a | Séquence dont il faut charcher la cau-,; Ce n’est certes pas le lieu de vider
a buider dans cette tache en‘raison |se et M. Magloire nsl’a‘oas fait, co qué} un débat scientifique de cette force,
a = COnsh de leurs données et | Rous:regrettens, ow c’eit été un en- mais jinvite tréa sincérement. mon
poe actéite scientifique des lois aux- |Seignement pour nous, c’edt été p'ds | intelligent confrére et les lecteurs avi-
‘notre « école » sont essentiellement
scientifiques, c’est que l'ensemble de
‘nos « doctrines » constitue incontes-
‘'tablement une science.
. Comme toutes les sciences phvsi-
ques et naturelles, la science sociale
-actuelie, grace aux germes fdconds
_déposés par Le Play et poussés a ma-
Yai 4répondre au premier repro-
he que je me suis efforcé d’expliquer
hotre état social actuel par notre
ormation etle peu de con-:ordance,
aclerminé par cette méme formation,
es ils ont abouti. rationnel. » | des d'études a se rendre compte, a ge
est sur . sos ge oir di-|/ point de vue, de la valeur réelle de
Hace! 2Ppui que j'ai fait; Je me rappelle copendant avoir di: Pea « doctrines sociales », et je me
érité auquel . °
oxposbs toe Dake « § pouvoirs publics'porte garant gu’ils n’anron! perdu
développés et a initiative privée res- Ml leur temps ni leurs effurts et que,
treinte », et avoir assez formellement par surcrolt, ils auront fait cevvre uti-
parlé de la décadence et de l’instabi- le pour eux et la societé haitienne.
lité singulizres qui caractérisent tes Oa ae a faire con
pays mili‘airement conquérants et qal les lois sociates.
coutrastent si fort avec «l’équilibre » ; 6. e SC
t& mes recherches, je|dont font preave les pays qui font de de pratiquer les conditions d’existen-
Mati du reproche d’avoir été/la colonisation agricole et pacifique. ce qu'il lui plait; il lui est souverai-
let cansee cee J'ai dit et détermind | L’état actuel de U Espagne s’axplique nement loisible d’attendre le progrés
“8 de notre état social. Com-/clairement &ce double point de vue. des esprits pour s’adapter, 4 quelque
Sea en étudiant,.sans idées précon-
ie "état de la société haitienne. Si
dang “2 toutce que j’ai_ ripporté
mad or et livre, il reste & m/’en per-
bos la A déterminer, d’autres fa-
alles cu. 188 causes autres que
tie ma Ssignalées, — soit que je
Smines M&connues ou que je les aie
Ms défen
nt tt an er here eee
a
i
Mardi, 28 Avril 1908
alin
LE NUMERO 10) CENTIMES
Les abonnements partent du 1° et du 15 de chaque
mois et sont payables d’avance
Les manuscrits insérés ou non ne seront pas rendus
a EE a nee
rsieur Arthur ISIDORE, «£5, KRue Roux cu Bonne-Foi.
‘inoment de son existence qui lui con-
vienne, les résultats les plus positifs
des observations sociales. Mais ce qui
ne dépend pas d’elle,— que I’élite de
la société haitienne se le persuade,—
c’est, telle ligne de conduite étant pra-
liguée, d’en modifier les conséquen-
ces et de les faire heureuses ou mal-
heureuses au gré des volontés.
On n’a jamais récolté de pommes
.surun poirier ni de poire sar un
/pommier.
_ EVOLUTION
MENTALITE
II
( Voir le N° du 24 Avril 1908. )
Si c’est lamémoire, cette imagina-
tion rétensive, les conséquences s’exté-
riorisent et deviennent moins cruelles
pour lindividu. C’est alors la société
quien soulfre. Cur derriéere cette fa-
-culté d'un ordre remarqnable, s’éléve
fout un groupe hommes ou verbe
‘haut et sonore, parlant de tout avec
/une stérile abondance ; mais sans pen-
‘sce profonde et maftresse de leur vie.
‘Ils sont remuants et tapageurs, peu-
vent ficilement captiver lattention des
simples par la variété des choses ap-
| prises et accumulées 4 fleur de cerveau;
jcependant allezau fond de ces fruits
| Vous n’y trouverez qu’une eau trouble
dont la Iégére transparence ne laisse
rien entrevoir. |
Ici donc comme dans la nature phy-.
sique, nous découvrons ‘influence de
la loi d’évolution. C’est en vertu de ses.
principes que se passe la progression
normale des facultés mentales. Il faut
un développement harmonieux du cer-
veau, .méme_ si ce développement
is’exécute dans une limite trés restrein-
te; en dehors de cet'e régla, la_menta-
{ lité individuelle s’éftectue dans le sens
aaissance avec d'une inquiétude morbide et l’oa ne
;saurait alors assisfer a cette floraison
Car enfin il est libre 4 toute société! d’une mentalité saine et forte, comme
c'est le cas pour quelques vieux peu-
ples d’Europes. oo
D’ailleura, cette thésa de la nécessitéde .
*harmonieet del’unité du développement
cérébial, vest pas nouvelle dans la seien-
ce, Ellea été soutenue par d’eminents
penseurs, Taine, Balmes, Bain, Ladd,
etce.... Taine et Balmeés affirment ** que
‘‘ le progrés de lintellig2nce hamaine,
** croituvec son pouvoir d'unification...
‘* Les trois quarts Ves gens †nous dit
le premier en quelques lignes nuancées
d’une ironie transcendante, ‘* prennent
* les conceptions d’ensemble pour des
spéculations oiseuses.— Tant pis
pour eux.— Pourquoi vit une na-
tion ou un siecle, sinon pour les
former? On n’est complétement
homme que par 1a. Si quelyue hibi-
tant d’une autre planéte descendait
ici pour nous demander ou en est
notre espéce, il faudrait lui montrer
les cing ou six grandes idées
que mous avons sur lesprit et
le monde. Cela seul lui donnerait fa
mesure de notre intelligence. Et
Péminent penseur Kepagnol Bilmes,
ajoule: ‘* Plus une intelligence est é-
‘+ levée, moirs elle a dWidees, parce-
que en peu d’idées une intelligence
‘ supérieure embrasse ce que Paultres
‘ plus bornées, répartissent sur des
notions en plus grand nombre... Les
hommes de génie ne se distinguent
pas parla grande abondance de leurs
idées ; il n’en retiennent que quel-
ques unes d’ot comme d'un centre
‘ils embrassent le monde.
Avons-nous besoin de dire que ce
déséquilibre du développement cére-
bral, nous le notons souvent = chez
VHaitien ? En ce sens, il ne répond
pas toujours au type normal que nous
avons essayé de trucer...., Notre me-
thode d’éducaliou suivant le mot de
Fouillée, considére ‘‘ le cerveau du
jeune homme comme un magasin a
remplir et non un organe 4 fortifier. â€
Pourtant le manque d’un long passé
efforts intellectuels chez ce tout jeu-
ue peuple, nous commandait des mé-
nagements dans la recherche du mieux.
Nous aurions da nous orienter, vers
une méthode d’éducation plus confor-
me 4 notre état mental. Suggestionnés
par les apparences équivoques dun ré-
sultat qui nest pas sincere, hous avons
cru. préparer une armeée de savants
alors que nouns créons avee anour une
classe Whommes inconsistints cl vains
qui sontune force d’inerlic pour notre
réel avancement. De 1i, une perpétuel-
le agitation, un continuel froissement
Wintéréts particuliers que des esprils
superticiels prennent pourdes signes
évidents d’une vie nationale.
[huitien{a un siecle de vie publique
et pendant ce sitcle, nombreuses sont
les causes qui sont venues contrarie:
sa sélection naturelle. Le temps lui a
manqué positivemeut— malgre la gra-
ve uccusation d’incapacité native qui
pése sur lui - pour lacquisition de
cette puissance cérébrale qui sert d-
base 4 la mentalité. Son imagination
vive, sa mémoire heureuse lui ont per-
mis sans dvute de posséder des con-
naissances étendvesx sur un. groupe
donnés de fiits ( Histoire, Belles let-
tres ). Mais dans l’ordre logique, quant
a coordonner ses idées, en tirer
toujours des deductions raisonnables ;
passer du domaine de la spéculation a
celui de la pratique, se créer surtout
une mentalité propre basée sur les étu-
des antérieures, il y a 1a, osons le dire,
une sorte de gymnastique a laquelle
il n’arrive pis toujours a p'ier son es-
prit. Trop souvent, il demeure |’écho
de tout ce qu’il alu. Ila la munie des
opinions toutes faites. Il suffit qu’une
pensée soit signée d’un grand auteur,
pour qu’il nous l’impose, en vertu d’u-
+6
46
e
‘
we
‘
oe
ae
ae
“
ne application parfois louteuse. De la
aussi va manie des cilulions, ce per~
pétuel besoin de s’appuyer sur un wrand
nom des sciences ou des Jeltres, comme
si Von était foreément obligt d’accep-
ter une opinion
qu’elie serait de Kant ou de Leibuitz.
Cette absence de personnalité psyche
que détroit Punité de fonctions de nos
faculteés
de la vie, crée des hommes de circons-
tances et non des hommes de princi-
pes. La preuve de tous ce que nous
avous dit peut se faire par Pétude des
wavies de pensées de no3 compatrio-
tes o§ Pon cherche parfois en vain Vi-
dée muitresse de la composition. 5i
oeuvre a une portée philosophyque,
Vauteur est évolutioniste ou positiviste
convaincu wu seuil de son livre pour
tomber plus loin dans toutes les exage-
rations d’un spiritualisme a voutrance.
Dans Vordre social, les conse suences
de ce développemont partiel de Pesprit
ne proiuisent pis moins d’otfets fa-
cheux. Liubsence Wunité dans la vie
psychiqnue particularise les tendances
et les convictions et les veviles socta-
les qui devraient) étre Universellement
acceptées ne trouvent pas de consensus,
Db J. CG. DORSAINVIL.
ae,
PIGS DIVER:
RENSEIGNEMENTS
MEYTEOROLCOGIQUES
Observatoire
DU
SEMINAIRE COLLEGE St-MARTIAL
Lunpi 27 AvRIL
Barométre 4 midi 362 1/™
minimam 21,5
Temperature maximum 32°,0
N.oyenne diurne de la tempéraiure 25°,6
Ciel assez clair le matin : nzageux Pa-
prés-midi ; couvert aprés 6 h. du soir.
A 7h. 25 pluie 2 8.37!"
du soir Direction S ; avec une legere
composante verticale.
R. BALTENWECK
Chambre des Députés
Séance du lundi 27 Avril
La Chambre forme une commission pour
la vérification des pouvoirs du députe An-
toine Simon his.
le Député Sturla Poulle revient) avec un
rapport concluant a leur validation. Le de-
pute A. Simon fils préte le serment cons-
titutionnel.
On passe ensuite a !a lecture de la cor-
respondance qui comporte une ~lettre de
Mme Vve Aug;Piquion demandanta la Cham-
bre une rente viageére , - et une recommanda-
tion du secrétaire Archiviste de la Chambre
en faveur de Mr Charles Azor comme secré-
valiére Cadet.
Le député Edner Hyppolite sollicite les
suffrages de ses collégues pour Ed-
gard Hyppolite. Apies lui le députe A.
cien camarade de bureau : Charles Azor
qui travaille 4a la Chambre depuis pres de
guinze ans et prie ses collégues de vouloir
bien récompenser le mérite et respecter la
hi¢rarchie.
méme erronnee, paree |
mentales et dans la pratique |
Arc-en-ciel A 6 h. ce matin, 28 Avril. .
Le barométre est 4 peu prés stauionnaire, |
Agitation sismique de 9 h 562 10h 15,
Le rapporteur de cette Commission, Mr |
taire-rédacteur en remplacement de M. La-!
Sambour recommande chaudement son an- ,
| Les huissiers distribuent des bulletins ;
les députés Sambour ct Hyppolite sont
| choisis comme scrutateurs,
; L’vurne dépouillec, la majorite est†bre
' Mr Azor avec 42 voix. Mr Edgard
Edmond Dupoux
‘nue par
Hyppoliteen avait 28, Ms‘
/6, Bristol 1,
tin nul.
' ordre du jour de la prochaine séance
allait tre) proclamé quand le député Sa-
vain demande de proceder immediatement
au remplicement de Mr Azor. Le Président
| de Assemblée renvole ectte élection a la
iscance de mercredi.
| Cost M. Bristol qui
hcette charge par M. Ganthier.
Tribunal Civil
Audience du lundi 27 Avril.
Les vacances de Pagues ayant pris {1,
Messieurs les Juges du Pribaunal civil ont
siegé hier.
Hen présence duo substitu. JA. Thibault,
affaires suivantes ont été entenducs |
—Les consor:s B. Riviere cone }y veu-
ive Pascher Le.pes j-— Florvit Nau ct con-
sorts contre Joseph Valérius;--les hertuers
| Louismidor Jean contre Moise Dautant 3 —
( Inseription en fiux )
| Le tribunala ensuite rendn
ce gui renvoie ies ¢poux Demosthene Sam
/( Divorce )
Les affaires suivantes ont did entameécs ct
Hrenvoyees :
| a= Pinganeau dmoert contre Aristide se
hdisant Imboit; + Philippe Curicl contre
ides succession et Communaute Fuscien De-
| pertre.
Consulat du Brésil
Nous enregistrons avec plaisir le choix
gui a été fait de notre excellent amt, M,
Alfredo de Mattéis, consul d’Italic, comme
cousul intérimaire du Breésil A Port-au-Prince.
Cette nouvelle distinction est le résultat
fdu tact «:de Vintelligence qepenses par
iM. de Matteis dans ses fonctions consulai-
res.
Nous lui presentons nos télicitations.
Inspectsur dela Police
Te Genera!
,cu les memes tonctions,
6éteé imstallé au Borcau Central
C en Igur a
en remplacement du Gal Hh. Maniyat.
comme homme da d2voir et st nomina-
ition adté bien accueiliie par la population.
/ == Tous nos compliments
Nouveaux Ponts
—w
nous signalions ici a été suivi.
Nousapprenons, en effet, que deux nou-
Veaux ponts en ter et magonnerie vont étre
-construits 4 langle des rues Férou et Eu-
gene Bourjolly.
L’entreprise est contice 4 notre ami
Mombrun E'ie qui n’est pas 4 son coup
d’essai et dont les travaux sont de vérita-
bles merveilles d’élégance et de solidiréd.
Il nous revient aussi que le gouverne-
ment est venu en aide a4 [initiative privée
afin de permettre 4 l’entreprise d’@tre rapi-
dement terminée.
Encore un succes pour linitiative privée
pet la bonne volonté! ..
| Nomination
| Par commission de S. E. !e Président
'd’Haiti, M. Léonce Brouard a été nommé
| comptable 4 administration des Finances
‘de St Mare,
: Se,
! A Vendre
Deux buss FELCHT en bon état.
our les conditions, s’adresser aux
bureaux du Matin
Nowell Eta
six bulletins blancs ct 1 bulle |
, fe t
a écé recoummande |
Sous la présidencs de A. Champagne et
les :
Vincent G. Maklouf contre J..L. de Piccioto. |
lordonnan-: |
'a audience publique du 18 Mai prochain. |
Paul Cameau gui a deja oc-
de ta Police .
Le Gal Camecau a deja fait ses preuves-
' . |
L’exemple de la maison Simmonds que
!
| Derniéres Dépéchg
| SIMLA 26. - Une force combinde |
troupes britanniques, et indigenes e
formation ence moment. [Le g0uve:
ment pense envoyer cette force pout
tier les tribus fanatiques qui dernigmnd
envahirent et mirent a sac plusieag 9
ges Sur la frontiére de Pespawaz.
On annonce que plusieurs milliers
ganistans se préparent A sejoindre agg
les dont le total is Cléverait 4 10.000 hg
mes. Les autorités sous les ordres de
’ . ?
mir Afganistan n’adoptentaucune ig
re pour entayer ce mouvemeet qui trogl
, sérieusement le gouvernement de IInd
WASHINGTON 26.— M. Sulzara prised
un projet de loi a la Chambre des Reg
-sentants proposant que les restes duri
ne » soient cnleves de la bale dela
ne ct que les cadavres des marins gu:
trouvent dans la cogue du navire x
; enterrés,
ST-PETERSBOURG 26. Le général Ly
ovitch, géneralissime des troupes russes
Mandchourie lors de la guerre TUSSO
naise est mort aujourd’hui,.
New-York 26.— Un téicyramme
aujourd hui dans cetre ville ct adresseil
‘Théodore Shonts annonce [i mort st
~A Paris de son beau-fils, le duc de Chiu
‘On se rappelle qu’il v a peu de temx§
edlébré dans cette ville le mariage dd
avce miss Théodora Shonts.
New-York — Le cyclone d’hier sj
états de la Louisiane (Mississipi) et Ai
ma aduré 12 heures et a fait de tres ga
ravages. j
On compte prés de 200 mors
blessés, tous noirs en partic. 4
A Purvis /{ Mississipi ) 8 sur 2004
sons sont restées debour, Les village
Amite en Louisiane, Accallum, Mica
et Winchester *en Alabama ont été ¢
pletement détruits ; beaucoup d’aate
été bien éprouves. |
Mosite. — Le village de Fort Depos
cté dévasté hier soir parle cycione. |
NEw Or.LtANs. Les communki
télegraphigues avec les Etts aw
solte sont trés difficiles. Les trans qg
1ivent apportent de terribles nouvelle
ces régions. On croit que le nomorca
‘victimes de ces pays s’élavera A plu “
: centaines.
“a
a -
}
fo
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tre ry errata : —— A
Priére d’aviser Padminis
tion de la moindre irreg 7
dans le service du«MATH
afin qu'il y soit de suite rem
dié. !
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Service Atlasâ€
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| Le vapeur « VE Vv ETIA 4M
quitté New-York, merer di 25
n,
pour Ie Cap-Hailien, Porl-des
naives, est atlendu ich Venn.
| Mai. Il partira probablemer Sad
soirée pour Jérémie, Jacmer ag
Marta et New-York, prenant *â„¢
frét et passagers. |
| vt
| â€
| Lainalle pour I’Etra ger pat
EB
|peur « PRINS BIteoy
| DRICH » ( via Jer es
mée a la Poste, vendted
6 heures précises 4 sol" .
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dM Amérique )
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Prince que dans tes autres: locall-
(qvil a transteré sa maison de
merce sise ch-devant a Pavenue
Marlin, Alarae RY pubicaine(Graad’-
) halle Ne 88. nou loiu de la ga-
da Nord.
Port-au-Prince, le 25 Avril 1908.
rs de Commeree
partir du commencement du mois
Mai up cours de Commerce sera
rtal’Institution St | ouis de Gonza-
cours coOmprendra Vétude de la
graphie, de la dasctylographie
Machine a écrire ), du commerce et
lacomptabilité proprement dite ;
era fait par un professeur diplomé
aie hatonale Hal
motnéinent aux instructions de
a etaire d’Etat des Finances
Maltin Preece Banque Nationale
eatia Uhonneur d'informer les in-
ntfs quils peuvent a partir de ce
ipelion ce ases guichets, par an.
tor Juillet To0e oe No 16, échéance
wm de la 1 JOS, des titres roses et
ree 1a Dette Intérieure.
pe. au-Prince, le 22 Avril 1908.
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OBSERVATIONS UTILES
Ala troisiéme partie de son analy-'ment M. Porsenna ne s’en est-il pas
ee (le Soir du I! Avril 1s, ) M. apercu ?
Porsenu: WL cect: « M. usruste .
Magloire. deplore Chaceremnent Pétat | Je pusse au second reproche, celui
Were de notre sociétéet soul site son de n avoir pas fait ressortir la _ cause
heminement vers les progrés réels, | déterminante du dédain prof:ssé chez
mais il ne s'arréte pas a la cause vraie | DOus a | egard ds travaux _manuels.
decet état d’étre, il n’analyse pas suf- | J? devrais presque dire qu’il y a lieu
ment notre milieu pour faire de el. sur ce reproche, car voyez
q F profess neue Loe tage tna Var présenté i désudtuds et l’a-
wels, reproche que nous lui avons| bandon qui frappent ch -z noas Vexer-
adressé déja. » cice d2c 5 truvaux réputés inférieurs
Je wanrais pas voulu clore ces q'tel-
,ques observations sans dire un mot
‘des « doctrines sociales » que mon
estimable confrére déclare trop avan-
icées pour étre adaptées au milieu hai-
jtien. Je le prie de remarquer que mon
jlivre s’est précisément proposé de dé-
nontrer que nous aspirons, sous pré-
itexte d’une civilisation mal entendue,
a un état social ott les aptitudes in-
tellectuelles sont céveloppées exagé-
rément et au détriment d’autres ap-
litudes plus positives et plus immé-
diatement utiles.
Je comprends donc difficilement ce
dernier reproche de M. Porsenna.
Quant a la valeur de ces doctrines
|sociales en elles-mémes, mon confré-
neo
peal
4 sdain en le-
D'apres mon confrére, je suis dou- quel nous. eet io tae don«,te me permeltra de dire que ce qui
Dement reprochable : 1° de n’avoir lagir ce dédain comme cause. Or,|distingue la science sociale actuelle, .
pas démélé la cause vraie de notre mon confrere désire que je déter.; dont nous essayons de propager ales’
Fey social ; ode n’avoir pas fait res- | mine la cause de ce dédain lui-mé- ésultats dans notre pays, et les di-
Borlir la cause délerminante du dédain | mo - je trouve en toute modestie Verses théories sociales qui ont été
professé chez nous pour les travaux ue e’est un peu exigeant, et si je ,émises acertaines époques de This-—
a or P 2 a toire générale, c’est que !es bases de’
manuels. 'voulais verser dans la rhétorique, je
crierais Ala pétition de princips :
nous avons peu de gout pour les me-
ifiers manuels et nous les pratiquons
‘peu parce que nouslcs tenonsen grand
idédain; nous les tenons en grand.
qt! existe entre la direction générate | dédain parce qu’on tes pratique peu
i notre éducation et les conditions ct que nous y avons peu, de gout....
vestence de notre société. La re-' Qu’y a-t-il 4 dire de plus ? dep ; Ly & (
herche deg conditions da. bonheur | Nai mon confrére m’a fait un vé- lurité par ceux qui, A des titres di-
Mocial est ane tache difficile et malai-|ritable proces surla recherche des vers, ont hérité de son génie,— au
» €n toas cas trés complexe. Cha-|Causes, car, dans cette méme partie. premier rang desquels il faut nommer
D Singéaie a présenter son petit|de sa critiqas, et envisageant « la si-) Henri de _Poarville, — est définitive-
boniment comme le seul salutaire |tuation contemporaine de I|'Etat es- | mentpourvae: de dune méthode d’anca-
83 lravagx de science sociale déja|pagnol et méme de I’Etat portugais », i lyse; 2° une mé'h de d observation
eo oplis par de puissants promo- |il dit qu'elle est « un effet, une con- |comparée; 3° d'une classification.
ows moat singulisrement servi a | Séquence dont il faut charcher la cau-,; Ce n’est certes pas le lieu de vider
a buider dans cette tache en‘raison |se et M. Magloire nsl’a‘oas fait, co qué} un débat scientifique de cette force,
a = COnsh de leurs données et | Rous:regrettens, ow c’eit été un en- mais jinvite tréa sincérement. mon
poe actéite scientifique des lois aux- |Seignement pour nous, c’edt été p'ds | intelligent confrére et les lecteurs avi-
‘notre « école » sont essentiellement
scientifiques, c’est que l'ensemble de
‘nos « doctrines » constitue incontes-
‘'tablement une science.
. Comme toutes les sciences phvsi-
ques et naturelles, la science sociale
-actuelie, grace aux germes fdconds
_déposés par Le Play et poussés a ma-
Yai 4répondre au premier repro-
he que je me suis efforcé d’expliquer
hotre état social actuel par notre
ormation etle peu de con-:ordance,
aclerminé par cette méme formation,
es ils ont abouti. rationnel. » | des d'études a se rendre compte, a ge
est sur . sos ge oir di-|/ point de vue, de la valeur réelle de
Hace! 2Ppui que j'ai fait; Je me rappelle copendant avoir di: Pea « doctrines sociales », et je me
érité auquel . °
oxposbs toe Dake « § pouvoirs publics'porte garant gu’ils n’anron! perdu
développés et a initiative privée res- Ml leur temps ni leurs effurts et que,
treinte », et avoir assez formellement par surcrolt, ils auront fait cevvre uti-
parlé de la décadence et de l’instabi- le pour eux et la societé haitienne.
lité singulizres qui caractérisent tes Oa ae a faire con
pays mili‘airement conquérants et qal les lois sociates.
coutrastent si fort avec «l’équilibre » ; 6. e SC
t& mes recherches, je|dont font preave les pays qui font de de pratiquer les conditions d’existen-
Mati du reproche d’avoir été/la colonisation agricole et pacifique. ce qu'il lui plait; il lui est souverai-
let cansee cee J'ai dit et détermind | L’état actuel de U Espagne s’axplique nement loisible d’attendre le progrés
“8 de notre état social. Com-/clairement &ce double point de vue. des esprits pour s’adapter, 4 quelque
Sea en étudiant,.sans idées précon-
ie "état de la société haitienne. Si
dang “2 toutce que j’ai_ ripporté
mad or et livre, il reste & m/’en per-
bos la A déterminer, d’autres fa-
alles cu. 188 causes autres que
tie ma Ssignalées, — soit que je
Smines M&connues ou que je les aie
Ms défen
nt tt an er here eee
a
i
Mardi, 28 Avril 1908
alin
LE NUMERO 10) CENTIMES
Les abonnements partent du 1° et du 15 de chaque
mois et sont payables d’avance
Les manuscrits insérés ou non ne seront pas rendus
a EE a nee
rsieur Arthur ISIDORE, «£5, KRue Roux cu Bonne-Foi.
‘inoment de son existence qui lui con-
vienne, les résultats les plus positifs
des observations sociales. Mais ce qui
ne dépend pas d’elle,— que I’élite de
la société haitienne se le persuade,—
c’est, telle ligne de conduite étant pra-
liguée, d’en modifier les conséquen-
ces et de les faire heureuses ou mal-
heureuses au gré des volontés.
On n’a jamais récolté de pommes
.surun poirier ni de poire sar un
/pommier.
_ EVOLUTION
MENTALITE
II
( Voir le N° du 24 Avril 1908. )
Si c’est lamémoire, cette imagina-
tion rétensive, les conséquences s’exté-
riorisent et deviennent moins cruelles
pour lindividu. C’est alors la société
quien soulfre. Cur derriéere cette fa-
-culté d'un ordre remarqnable, s’éléve
fout un groupe hommes ou verbe
‘haut et sonore, parlant de tout avec
/une stérile abondance ; mais sans pen-
‘sce profonde et maftresse de leur vie.
‘Ils sont remuants et tapageurs, peu-
vent ficilement captiver lattention des
simples par la variété des choses ap-
| prises et accumulées 4 fleur de cerveau;
jcependant allezau fond de ces fruits
| Vous n’y trouverez qu’une eau trouble
dont la Iégére transparence ne laisse
rien entrevoir. |
Ici donc comme dans la nature phy-.
sique, nous découvrons ‘influence de
la loi d’évolution. C’est en vertu de ses.
principes que se passe la progression
normale des facultés mentales. Il faut
un développement harmonieux du cer-
veau, .méme_ si ce développement
is’exécute dans une limite trés restrein-
te; en dehors de cet'e régla, la_menta-
{ lité individuelle s’éftectue dans le sens
aaissance avec d'une inquiétude morbide et l’oa ne
;saurait alors assisfer a cette floraison
Car enfin il est libre 4 toute société! d’une mentalité saine et forte, comme
c'est le cas pour quelques vieux peu-
ples d’Europes. oo
D’ailleura, cette thésa de la nécessitéde .
*harmonieet del’unité du développement
cérébial, vest pas nouvelle dans la seien-
ce, Ellea été soutenue par d’eminents
penseurs, Taine, Balmes, Bain, Ladd,
etce.... Taine et Balmeés affirment ** que
‘‘ le progrés de lintellig2nce hamaine,
** croituvec son pouvoir d'unification...
‘* Les trois quarts Ves gens †nous dit
le premier en quelques lignes nuancées
d’une ironie transcendante, ‘* prennent
* les conceptions d’ensemble pour des
spéculations oiseuses.— Tant pis
pour eux.— Pourquoi vit une na-
tion ou un siecle, sinon pour les
former? On n’est complétement
homme que par 1a. Si quelyue hibi-
tant d’une autre planéte descendait
ici pour nous demander ou en est
notre espéce, il faudrait lui montrer
les cing ou six grandes idées
que mous avons sur lesprit et
le monde. Cela seul lui donnerait fa
mesure de notre intelligence. Et
Péminent penseur Kepagnol Bilmes,
ajoule: ‘* Plus une intelligence est é-
‘+ levée, moirs elle a dWidees, parce-
que en peu d’idées une intelligence
‘ supérieure embrasse ce que Paultres
‘ plus bornées, répartissent sur des
notions en plus grand nombre... Les
hommes de génie ne se distinguent
pas parla grande abondance de leurs
idées ; il n’en retiennent que quel-
ques unes d’ot comme d'un centre
‘ils embrassent le monde.
Avons-nous besoin de dire que ce
déséquilibre du développement cére-
bral, nous le notons souvent = chez
VHaitien ? En ce sens, il ne répond
pas toujours au type normal que nous
avons essayé de trucer...., Notre me-
thode d’éducaliou suivant le mot de
Fouillée, considére ‘‘ le cerveau du
jeune homme comme un magasin a
remplir et non un organe 4 fortifier. â€
Pourtant le manque d’un long passé
efforts intellectuels chez ce tout jeu-
ue peuple, nous commandait des mé-
nagements dans la recherche du mieux.
Nous aurions da nous orienter, vers
une méthode d’éducation plus confor-
me 4 notre état mental. Suggestionnés
par les apparences équivoques dun ré-
sultat qui nest pas sincere, hous avons
cru. préparer une armeée de savants
alors que nouns créons avee anour une
classe Whommes inconsistints cl vains
qui sontune force d’inerlic pour notre
réel avancement. De 1i, une perpétuel-
le agitation, un continuel froissement
Wintéréts particuliers que des esprils
superticiels prennent pourdes signes
évidents d’une vie nationale.
[huitien{a un siecle de vie publique
et pendant ce sitcle, nombreuses sont
les causes qui sont venues contrarie:
sa sélection naturelle. Le temps lui a
manqué positivemeut— malgre la gra-
ve uccusation d’incapacité native qui
pése sur lui - pour lacquisition de
cette puissance cérébrale qui sert d-
base 4 la mentalité. Son imagination
vive, sa mémoire heureuse lui ont per-
mis sans dvute de posséder des con-
naissances étendvesx sur un. groupe
donnés de fiits ( Histoire, Belles let-
tres ). Mais dans l’ordre logique, quant
a coordonner ses idées, en tirer
toujours des deductions raisonnables ;
passer du domaine de la spéculation a
celui de la pratique, se créer surtout
une mentalité propre basée sur les étu-
des antérieures, il y a 1a, osons le dire,
une sorte de gymnastique a laquelle
il n’arrive pis toujours a p'ier son es-
prit. Trop souvent, il demeure |’écho
de tout ce qu’il alu. Ila la munie des
opinions toutes faites. Il suffit qu’une
pensée soit signée d’un grand auteur,
pour qu’il nous l’impose, en vertu d’u-
+6
46
e
‘
we
‘
oe
ae
ae
“
ne application parfois louteuse. De la
aussi va manie des cilulions, ce per~
pétuel besoin de s’appuyer sur un wrand
nom des sciences ou des Jeltres, comme
si Von était foreément obligt d’accep-
ter une opinion
qu’elie serait de Kant ou de Leibuitz.
Cette absence de personnalité psyche
que détroit Punité de fonctions de nos
faculteés
de la vie, crée des hommes de circons-
tances et non des hommes de princi-
pes. La preuve de tous ce que nous
avous dit peut se faire par Pétude des
wavies de pensées de no3 compatrio-
tes o§ Pon cherche parfois en vain Vi-
dée muitresse de la composition. 5i
oeuvre a une portée philosophyque,
Vauteur est évolutioniste ou positiviste
convaincu wu seuil de son livre pour
tomber plus loin dans toutes les exage-
rations d’un spiritualisme a voutrance.
Dans Vordre social, les conse suences
de ce développemont partiel de Pesprit
ne proiuisent pis moins d’otfets fa-
cheux. Liubsence Wunité dans la vie
psychiqnue particularise les tendances
et les convictions et les veviles socta-
les qui devraient) étre Universellement
acceptées ne trouvent pas de consensus,
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SEMINAIRE COLLEGE St-MARTIAL
Lunpi 27 AvRIL
Barométre 4 midi 362 1/™
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N.oyenne diurne de la tempéraiure 25°,6
Ciel assez clair le matin : nzageux Pa-
prés-midi ; couvert aprés 6 h. du soir.
A 7h. 25 pluie 2 8.37!"
du soir Direction S ; avec une legere
composante verticale.
R. BALTENWECK
Chambre des Députés
Séance du lundi 27 Avril
La Chambre forme une commission pour
la vérification des pouvoirs du députe An-
toine Simon his.
le Député Sturla Poulle revient) avec un
rapport concluant a leur validation. Le de-
pute A. Simon fils préte le serment cons-
titutionnel.
On passe ensuite a !a lecture de la cor-
respondance qui comporte une ~lettre de
Mme Vve Aug;Piquion demandanta la Cham-
bre une rente viageére , - et une recommanda-
tion du secrétaire Archiviste de la Chambre
en faveur de Mr Charles Azor comme secré-
valiére Cadet.
Le député Edner Hyppolite sollicite les
suffrages de ses collégues pour Ed-
gard Hyppolite. Apies lui le députe A.
cien camarade de bureau : Charles Azor
qui travaille 4a la Chambre depuis pres de
guinze ans et prie ses collégues de vouloir
bien récompenser le mérite et respecter la
hi¢rarchie.
méme erronnee, paree |
mentales et dans la pratique |
Arc-en-ciel A 6 h. ce matin, 28 Avril. .
Le barométre est 4 peu prés stauionnaire, |
Agitation sismique de 9 h 562 10h 15,
Le rapporteur de cette Commission, Mr |
taire-rédacteur en remplacement de M. La-!
Sambour recommande chaudement son an- ,
| Les huissiers distribuent des bulletins ;
les députés Sambour ct Hyppolite sont
| choisis comme scrutateurs,
; L’vurne dépouillec, la majorite est†bre
' Mr Azor avec 42 voix. Mr Edgard
Edmond Dupoux
‘nue par
Hyppoliteen avait 28, Ms‘
/6, Bristol 1,
tin nul.
' ordre du jour de la prochaine séance
allait tre) proclamé quand le député Sa-
vain demande de proceder immediatement
au remplicement de Mr Azor. Le Président
| de Assemblée renvole ectte élection a la
iscance de mercredi.
| Cost M. Bristol qui
hcette charge par M. Ganthier.
Tribunal Civil
Audience du lundi 27 Avril.
Les vacances de Pagues ayant pris {1,
Messieurs les Juges du Pribaunal civil ont
siegé hier.
Hen présence duo substitu. JA. Thibault,
affaires suivantes ont été entenducs |
—Les consor:s B. Riviere cone }y veu-
ive Pascher Le.pes j-— Florvit Nau ct con-
sorts contre Joseph Valérius;--les hertuers
| Louismidor Jean contre Moise Dautant 3 —
( Inseription en fiux )
| Le tribunala ensuite rendn
ce gui renvoie ies ¢poux Demosthene Sam
/( Divorce )
Les affaires suivantes ont did entameécs ct
Hrenvoyees :
| a= Pinganeau dmoert contre Aristide se
hdisant Imboit; + Philippe Curicl contre
ides succession et Communaute Fuscien De-
| pertre.
Consulat du Brésil
Nous enregistrons avec plaisir le choix
gui a été fait de notre excellent amt, M,
Alfredo de Mattéis, consul d’Italic, comme
cousul intérimaire du Breésil A Port-au-Prince.
Cette nouvelle distinction est le résultat
fdu tact «:de Vintelligence qepenses par
iM. de Matteis dans ses fonctions consulai-
res.
Nous lui presentons nos télicitations.
Inspectsur dela Police
Te Genera!
,cu les memes tonctions,
6éteé imstallé au Borcau Central
C en Igur a
en remplacement du Gal Hh. Maniyat.
comme homme da d2voir et st nomina-
ition adté bien accueiliie par la population.
/ == Tous nos compliments
Nouveaux Ponts
—w
nous signalions ici a été suivi.
Nousapprenons, en effet, que deux nou-
Veaux ponts en ter et magonnerie vont étre
-construits 4 langle des rues Férou et Eu-
gene Bourjolly.
L’entreprise est contice 4 notre ami
Mombrun E'ie qui n’est pas 4 son coup
d’essai et dont les travaux sont de vérita-
bles merveilles d’élégance et de solidiréd.
Il nous revient aussi que le gouverne-
ment est venu en aide a4 [initiative privée
afin de permettre 4 l’entreprise d’@tre rapi-
dement terminée.
Encore un succes pour linitiative privée
pet la bonne volonté! ..
| Nomination
| Par commission de S. E. !e Président
'd’Haiti, M. Léonce Brouard a été nommé
| comptable 4 administration des Finances
‘de St Mare,
: Se,
! A Vendre
Deux buss FELCHT en bon état.
our les conditions, s’adresser aux
bureaux du Matin
Nowell Eta
six bulletins blancs ct 1 bulle |
, fe t
a écé recoummande |
Sous la présidencs de A. Champagne et
les :
Vincent G. Maklouf contre J..L. de Piccioto. |
lordonnan-: |
'a audience publique du 18 Mai prochain. |
Paul Cameau gui a deja oc-
de ta Police .
Le Gal Camecau a deja fait ses preuves-
' . |
L’exemple de la maison Simmonds que
!
| Derniéres Dépéchg
| SIMLA 26. - Une force combinde |
troupes britanniques, et indigenes e
formation ence moment. [Le g0uve:
ment pense envoyer cette force pout
tier les tribus fanatiques qui dernigmnd
envahirent et mirent a sac plusieag 9
ges Sur la frontiére de Pespawaz.
On annonce que plusieurs milliers
ganistans se préparent A sejoindre agg
les dont le total is Cléverait 4 10.000 hg
mes. Les autorités sous les ordres de
’ . ?
mir Afganistan n’adoptentaucune ig
re pour entayer ce mouvemeet qui trogl
, sérieusement le gouvernement de IInd
WASHINGTON 26.— M. Sulzara prised
un projet de loi a la Chambre des Reg
-sentants proposant que les restes duri
ne » soient cnleves de la bale dela
ne ct que les cadavres des marins gu:
trouvent dans la cogue du navire x
; enterrés,
ST-PETERSBOURG 26. Le général Ly
ovitch, géneralissime des troupes russes
Mandchourie lors de la guerre TUSSO
naise est mort aujourd’hui,.
New-York 26.— Un téicyramme
aujourd hui dans cetre ville ct adresseil
‘Théodore Shonts annonce [i mort st
~A Paris de son beau-fils, le duc de Chiu
‘On se rappelle qu’il v a peu de temx§
edlébré dans cette ville le mariage dd
avce miss Théodora Shonts.
New-York — Le cyclone d’hier sj
états de la Louisiane (Mississipi) et Ai
ma aduré 12 heures et a fait de tres ga
ravages. j
On compte prés de 200 mors
blessés, tous noirs en partic. 4
A Purvis /{ Mississipi ) 8 sur 2004
sons sont restées debour, Les village
Amite en Louisiane, Accallum, Mica
et Winchester *en Alabama ont été ¢
pletement détruits ; beaucoup d’aate
été bien éprouves. |
Mosite. — Le village de Fort Depos
cté dévasté hier soir parle cycione. |
NEw Or.LtANs. Les communki
télegraphigues avec les Etts aw
solte sont trés difficiles. Les trans qg
1ivent apportent de terribles nouvelle
ces régions. On croit que le nomorca
‘victimes de ces pays s’élavera A plu “
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