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- https://ufdc.ufl.edu/UF00081213/00315
Material Information
- Title:
- Le Matin
- Place of Publication:
- Port-au-Prince Haiti
- Publisher:
- [s.n.]
- Creation Date:
- April 21, 1908
- Frequency:
- daily
- Language:
- |||
Subjects
- Subjects / Keywords:
- Newspapers -- Haiti ( lcsh )
- Genre:
- newspaper ( sobekcm )
newspaper ( marcgt )
- Coordinates:
- -72.2803802891673 x 18.5142993036392
Record Information
- Source Institution:
- University of Florida
- Holding Location:
- Bibliothèque Haïtienne des Frères de l'Instruction Chrétienne
- Rights Management:
- The University of Florida George A. Smathers Libraries respect the intellectual property rights of others and do not claim any copyright interest in this item. This item may be protected by copyright but is made available here under a claim of fair use (17 U.S.C. §107) for non-profit research and educational purposes. Users of this work have responsibility for determining copyright status prior to reusing, publishing or reproducing this item for purposes other than what is allowed by fair use or other copyright exemptions. Any reuse of this item in excess of fair use or other copyright exemptions requires permission of the copyright holder. The Smathers Libraries would like to learn more about this item and invite individuals or organizations to contact Digital Services (UFDC@uflib.ufl.edu) with any additional information they can provide.
- Resource Identifier:
- 000358166 ( ALEPH )
ABZ6468 ( NOTIS )
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Full Text |
Deuxieme Année, Ne 319. PORT-AU-PRINCF ( Hairt ) Mardi, 21 Avril 1908
a mo ~ . oS . - + —— —_—— a
~~ Le Matin ©
QUOTIDIEN
eden S = n pe . - TO ee ne mee ee awe Ta ‘ — ~ eee —
na \ EMNENTS : ‘R:
_ ABON | Directeur: LE NUMERO 4 () CENTIMES
Clément Magloire
urde D'AVANCE g ,
PAR MOIS Une Go rte = Les abonncincats partent du 1 et du rs de chaque
DEPARIEMENTS & ETRANGER : REDACTION-ADMINISTRATION mois et sont payables d’avance
Frais le poste en sus. 45, RUE ROUX, 45. Les manuscrits insérés ou non ne seront pas rendus
——— oe —
Pour tout ce qui concern? i’Administration du Journal. s’adresser 4 2!cnsisur Arthur ISIDORE, 45, Rue Roox on Bonne-Foi.
Premiére dentition composée de vingt dents dites
HYGIENE INFANTILE | dents de lait.
a Ie DU Dau 7¢ MOIS 2 incisives inférieures médianes
¢ (| f | .? aon Pirin] Qe 2 incisives supérieures médianes
VE Ade. llall dll | Opel b] et | Be 2 incisives latérales sup. ou inf.
7 | REPOS
Le sevrege est Vensemble des mo-|guand le savrage doit-il étre opéré, : | | Fin de la 1'¢ année | 4 premiéres petites molaires |
alivn$ apporlées dans lPalimenta-jcar, pour éviter des désordre3 par- |
des anfarts lorsqu'yu. veut_les 6é. | fois nrémédizbles, it-inyporta que lai REPOS
r défiaitivement du sein pour, en |transition ne soit ni trop brusque et | —__
Iniliant progressivement a Vali-|prématurce, ni trop tardive. - 8 .
otition qu’ils davront suivre pen- > rwemi ye ane , ve} au cours de la 2° année 4 canines
ntleur vie, les conduire & mener| D®ste premier cas, lenfant est'|_ {of EEE
e existence indépendante expo 6 adcs accidents sérieux, d’a- 6° , lai
i ‘ ° bor? parce que son développsinent ° + aulres molaires
Apres avoie hygiéniquement prépa- subit une véritab'e pause, puis parc ®
enfant comme je Vai enseigad PUUe ses orgines, nelant pas mudrs On voit done que les dents canines
us les articles précsdents, le mo- |Ppouw fa digestion des aliments nou- sont les pénultiemes a pousser et
aut Viento iL importe do [ui ap- | Ve#ux quien lui fera preadre, s’en qu avec elles enfant, ayant quinze
endre & Conquérir son indSpendan- trouvent si je puis dire toat é:onnés, Gu seize premieres dents caduques, a
e Vis-d-vis de la mamelle. sirtiten!, s’enfiamoisnt ; les vornisse- tourné la période la plus critique de|
' ; men's et la diarrhée enyent en scene !évolution dentaive. Je sais bien que beaucoup de mé-
© he connais pas d'épo jue plusfet la gastro entérits ( inflammations. Alors il ne reste Pius 4 surgir que /!es trouvent déja mon prochain arti-
ea dans la vic du b‘b3 que | des voies digestives)s instalic avec tout les quatre derniéres Molaires dunt ja‘ cle juutile et sont bien disposées a se
edé-hirementpour tut. Alors soo | eee ea riaguo et 10. plus -alscment dd mons | resbait que gi Fate’ nous opbrendee
- . rs s >. . on . ‘Isque S alsemen u monde. } res ‘A.
mpcrament se modifi ; il devient| 4. Enis, au moment de l'évolution Son tarde un peu trop a prati-| maintenant a sevrer nos enfante! Nous
to : . ire sai ien Ie nfants . . .
Bre. bil Chie Se démene, déses- co vabattent de “jours souffances sur quer le sevrage il peut advenir que|ne savions fraochement pas que c’é-
® S-ayamment dans les débuts ; {' " " tait chose si ardue, sevrer un bé-
| | : †Von éprouve de yrosses difficultés
buat uae révolic indigné2 contre In foree tie leurs jeunes « nt ds toate pour interrompre définitivement |’al-| bé!...»
ne use violation da « droit des! i, cuccion » et cost 1A qu’ils se con- #itement. L’eufant, avant d'y consen-| N’imporie, je les prie de m? lireâ€
0s». Pais at eepement il s'af- solent véritablement et s’endorment a ‘> peul s’y opposer avec une énergie quand méme et de penser sérieuse-
ancoliqne et ré- ments que souvent dans la vieon mé-
sBse, nélar nes |parfois tyrannique et d’ici Jail peut
raves wn petit air navrant de force dle se résigner. tomber en dézénérescence, faute iu- juge de son savoir.
Docteur C. PEARSON.
Aujourd’hui nous avons appris quand
il faut opérer le sevrage ; la prochaine.
fuis nous nous proposons d’apprendre
conmen tl.
bd ueeurmand devenu dyspepti-| Je conseille donc d’attendre, avant ne alimentation a la portée de son
it present ‘Cin impitoyable au-| de pratiquer le sevrage, que le tra- age.
iS ascig tous catte: A bt trial, par vail de la dentition, tire un peu yers,
eli nulal, @ tristementiga fin atie fixe volontiers cette -!
sine regard vague et la bouche que, chez les enfants bien portants, Quest devenu le tableau l UNION
On ne peut se défendre de a l’'Age de douze @ dix-huit mois. Enco-'
ERE ee? Ce Ee e2 =
usar aa rumine une douleur in-|ra faut-il y montrer de ladresse et. du celébre peintre Lethiére
MMent, dans agie du sein. Et] choisir toujours, pour sevrer les en- _—
de dela Do leone eoigaante atti-| fants, l'une de ces périodes d’accal- Oui est le vrai, owt ext le faux...
mdre on belieur Enfant ne pas le|mie qui s2 produisent entre deux __
we i Cc i 2 rf i S , a†. e ° e © ,
dle cay de dirai plus tard de “quel poussé “a fort bran dole. sujprimer D'aprés les renseignements qui nous|véritablement le chef-d’wuvre du
Moraes et de quelle sévérité lallait nt qu’d la sortie des de vs ca- SONt parvenus, deux tableaux pareils|yénial peintre Lethiére, tableau adpi-
a dU@ devront s'armer les meres allarlement qi ee a celui qui se trouvait derriére le{rable, d’une valeur de CINQUANTE
| tae Poor dévier l'effat qu'un nines. 4 grand-autel de la Cathédrale existent] MILLE DOLLARS?
ndra. pred peut Pour me faire bien comprendre je actuellement. L’un se trouve au Mu-|_ ,. .
fr f ve. duire sur leur vous offre 4 consulter le tableau sui- sée du Centenaire, aux Gonaives, vole oe eat ee mpose, afin de se
vant od j'ai schématisé pour vous I|’é- l'autre a Paris. ’
Agj . ,
“lourd’hat je veux seulement dire] volution dentaire : _ Lequel deces deux tableaux est}? @uvre.
Je ne sais pas trop ce que certains grin-
cheux révolutionnaires, ex-révolutionnaires
( pour cause ), cosmopolites, ont encore
contre le général Castro. .A_ les entendre,
et bien qu il ne puissent préciser la nature de
leurs griefs contre le grand capitaine qui a
dompté a jamais les guerres fratricides de
dévastation au Venezuela et qui y 4, par
conséquent, remis sur un piédestal l’aima-
ble dieu de la Paix, Castro est ceci et cela,
et cela et ceci. Le Venezuela sans la paix,
dieux du ciel, dites-nous ce qui en serait !
Dites-nous, rien que pour ce qui regarde
ootre réle d’a tisan de l'expansion com-
merciale belge au Venezuela, si sans l’exis-
tence de cette paix bénite, les affaires en-
tre lesdeux pays reprendraient,comme elles
reprennent de plus en plus, et sinous re-
cevrions, comme nous recevons souvent,
des demandes de renseignements de tant
de Be'ges désireux d’y émigrer ; dites-nous
si les négociants belges,frangais, anplais,al-
lemands, italiens,etc., établis au Venezuela
pourraient,tranquillement,sans cette bénite
paix, accomplir leurs engagements avec ies
manufactvres européennes ; dites-nous si le
gouvernement vénézuélicn aurait pu payer si
religieusement, si admirablemen:, toutes ses
dettes aux grandes puissances, plus de six
millions en quatre mois de temps rien
qu’d une banque de Caracas ; dites-nous
enfin si les ouvriers, si tous les travailleurs
des riches zones agricoles du Venezuela,
au lieu du labeur journalier qui est le pain
et la vie de la Nation, étaient recrutés a
coup de crosse parla révolution au lieud’étre
alignés sous les banniéres de la Loi,et sou-
mis au régime de haine de la guerre civile:
misére, raine et mort partout !
Voila donc ce que les grincheux — li-
sez : les imbéciles et sans patrie — ne peu-
vent ou ne veulent pas comprendre : cette
ceuvre de Castro quils renient ; la résur-
rection du Venezuela dans un éblouisse-
ment de Paix et de Travail ; une apo-
théose !
Aussi, ces grincheux, ils sont tout seuls
a aboyer, car l’immense majorité du pays
est avec Castro. La presse presque toute
entiére en fait foi. La Voz dela Nuacion, de
Caracas, 4 propos d'un anniversaire ,apporte
et en premiére page un grand portrait du
général Castro, aux cotés duquel. en
grosses lettres, ces pens¢es de justice et
de vérité :
« Avoir sauvé la nationalité de la Patrie,
« est la gloire la plus pure d’un Magistrat.
« Castro a conquis cette gloire, et pour ce-
« la tous les peuples honorent aujourd’hui
« son nom.
« Lorsque, dans l'histoire du Venezuela,
« on parlera de progrés et de régénéra-
© tion, on aura 4 consacrer toujours, 4 tra-
«vers les temps et les événements, un
« souvenir et un hommage au chef de la
e Restauration de la République : a Cas-
@ tro. «
( Revme Américaine )
a —————————————————————————_—_——
Etude
SUR LE
Tempérament Haitien
Sous ce titre, M. Fernand Porsen-
na, Directeur du Soir, a publié une
critique du remarquable ouvrage de
Rotre collaborateur M. Auguste Ma-
loire. Cette critique a paru en cing
ments dans le Soir et nous te-
nons particuligrement compte a M.
Porsenna des considérations qu'il
ee
a consciencieusement émises sur cet
ouvrage.
Nous regret
tuns de ne pas pouvoir,
|4 cause de son étendue, reproduire en
son entier l'analyse de M. Porsenna et
nous nous contentons de reproduire
ci-dessous les lignes par lesquelles
notre estimable confréreclot son exa-
i men.
Gependant nous publierons pro-
chainement quelques observations de
M. Agyuste Magloire sur un certain
nombre de points intéressants releveés
dans la critique du Soir.
L’auteur, tout imbu da sujet qu'il dé-
veloppe si brillamment, ne sest pas
préoccupé de. metire ses pensées en harmo:
nie avec la facon de les rendre, il était tra-
vaillé on dirait par le désir de s’épancher,
de communiquer au dehors ses acquisi-
tions : c’est pourquoi 4 de rares intervalles
on rencontre des taches, qui pourtant,
n’influent point sur le livre.
Lorsque l’on considére dans son ensem-
ble le travail présenté par M. Auguste Ma-
gloire, l'on ne peut s’empécher d’avouer
gue l’auteur a fait ceuvre qui vaille. qu'il
comnait le milieu haitien et désire le voir
arriver 4 un haut degré de perfectionnement
moralet social ; son ouvrage est bon, utile,
précieux et didactique.
Réver une
c'est faire acte te patriotisme. L’observan-
cereligieuse d’un plan bien congu, une ve-
ritable sincérité, un travail consciencieux, |
une Foi précoce, telles sont les qualités
qui nous ont frappé au cours de notre mi-
nutieuse analyse.
Si notre Démocrarie pouvait atteindre
Vidéal révé par M. Anguste Magloire qui
ne désire que le bien, notre République
serait une Républiguede gloire, de gran-
deur, de richesse telle que celle de la Ré-
pablique Eroilée offerte en exemple par
"auteur de « l’Erude sur le Tempérament
Haitien », et de notre vivant nous aurions
assisté 4 notre propre apothéose. C’est 14
l’impression que l’on éprouve en fermant
louvrage ‘d’Auguste Magloire.
Il ne s’arrétera pas en si beau chemin,
nous le pansons ; puisant la force et le
courage dans sa foi précoce, il continuera
sa tache et ne tardera pas 4 nous envoyer' ver Cutts & Co 5 ; Madame Clavier 3 ;
une nouvelle étude sur notre milieu social.
FernanD PORSENNA
PAIS DIVERS
RENSEIGNEMENTS
METEOROLOGIQUE
Observatoire
DU
SGMINAIRE COLLEGE Se-MARTIAL
Lunpi 20 AvriL
Barométre 4 midi
Temparature|nisinen
Moyenne diurne de la température 25°,
Ciel assez clair toute la journée.
Le soir 4 dix heuress un quart, pluie :
8,e"/*:
Depuis ce moment, le barométre est en
hausse.
R. BALTENWECK
Décés
Un télégramme arrivé hier scir annonce
lamort, 4 Jacmel, de Mile Amétre Crarr
sceur de Mr Barnave Craft.
f Nos condoléances aux parents de la dé-
‘unte.
Ss
randeur pour son Pays,
762 =/=|
son
Une maison qui s’e’fondre
Hier, vers 5 heures du matin, 4 l’ave-
'nue Ducoste, le toit de la maison cn mur
| appartenant 4 Mme Verna et habiicée par
IMr Joseph Geftrard s'est effondre, entrai-
nant dans sa chute, que:ques
-murail'es. .
Heureusement qu'il n’y avatt personne
(au premier ctage, les locataires ayant pAs-
js¢ la nuit au rez-de chaussée 4 cise de
ila pluie qui entrait ce soir LW, par des fis-
isures du toit en manvais ctat.
Done aucun accident de personne a en-
registrer. Mais on ne peut s'empécher,
[de songer sins frémir, aux graves conse-
uences qui pourraient résalter par suite
u retard apporté daus les réparations ur-
gentes que réclamait cette maison bitie en
1897, nous dit-on, par Jus‘in Bouzon.
Assemblée Nationale
C'est au Palais du Sénat que les Cham-
bres Léyislatives sz sont réanies ce matio
| pour procéder 4 ouverture solennelle de
‘la rere sessionde la NXNVIs Cégistature.
L’armee, sous le commandement du G? |
Jules Coicou, avait pris position dans tous
jles abords du Palais Legislaut ct les mem-
“bres du Cabiner,accompagndés de VErat-ma-
jor presidenticl ont été salues par une salve
dartillerie.
Le mestage présidenticl a été lu par M. |
EF. Marcelin, chargé du porte-feuille de P'In- |
téerieur.
A demain tous les details.
Pour les Pauvees
_ Liste de souscription en faveur des pauvres
de Ubospice St Vincent de Paul ( mois de fée-
-urier ).
| J. Déjardin Th. Luders & Co, P. 10;
Aug. Ahrends 10 ; Gerlach & Co 10; C.
; Lyon Hall & Co to ; G. Keitel &Co 10 ;
F.Herrmann &Cot1o ;Otto Beiber &Co 10;
L. ,Landgendonck 10; Simmonds fré-
‘res, 10 3 Banque Nationale d’Haiti, 25 5
‘Louis Lota to; Gaston Revest & Co § ;
J. Laville 5 ; Paul Painson 5 5 . Hep-
le 5 ; F. Coupet 5 ; Roux & Co 5 ; S.
‘jannis 5 ; A de Mattcis 5 ; Joseph Nadal 5
‘Henri Brisson 2; L. dEspinose 5 ; Oli-
Madame Maitre 5 ; St Aubir Belizaire 2 |
; Ernest Dalancourt 5 ; A.Villejoint 5 ; Ch. |
‘Fatton 2; Le Nouielliste 5 ; Légation Do-
iminicaine ro ; Roberts Nor:z & Co 10 ;
!'Mme Lagojanni..1 ; Un ami(B.) 1 ; Mille
|Maria Riobé 1 ; Lespinasse& Co 5 ; Un
‘ami (Ch. M.)t; A. L. Guérin et N.
Thomas 2 ; Usine Chaiteaublond 3 ; L.
Peloux &Co5; L. Jaccoux 2 ; i De-
:reix 5 ; Mme Vve Raoul Jn Baptiste r ;
'E. Robelin 5 ; Pharmacie D. Clermont 1;
‘Ch, Gauthier 5 ; C. F. Carvalho 2; Po-
ilynice 2 ; Albert Légitime 5 ; Ch. Per-
i val 1 ; Ed. Oriol 2 ; Monfleury fréres 5 ;
' Service Téléphonique 2 ; G. C.Régnier 5;
Madame Frenckel 2 ; Madame Hermance
|Alfred 5 ; A. Gabriel 3 ; Heurtelou 5.
M. N. Benoit, avocat.
| _—
| Derniéres Dépéches
St. PETeRspourG. -- Le lieutenant gé-
néral Linewith, ex-général ‘en chef de ar.
-mée de Mandchourie est gravement mala-
de de pneumonie.
_ Tirtts,- Dans le voisinage de Belo-
soua, un combat sanglant a été livré entre
Vexpédition militaire russe et les dépré-
ateurs kourdes, qui eurent 34 morts et 50
parties des} 4
;“ré de la Science moderne. tt¢
|
'M. Pierre 5 ; H. Pohlmann 5 ; A. Lago- |
blessés; les russes o oe
7 soldats blessés. nea aa ofc
elsouar et d’au iilag.
deétruits. tres willags om
Le gouvernement perse concent
portantes troupes pour extermine; *
es.
Wastinton. La commission de |,
bre sur la circulation monétaie
laisser sur le bureau de la Ch
projet de loi du sénateur Aldrich
reforme du systcine monetaire
I.a Commission du commerce ere;
demanda lautorisation au présiden
qu'il concéde en fermage pour 2; M
hectares de terrain p Opparicesey
zone du canal, 4 chaque famille gui
mande pour s'y établir.
On croit ainsi attirec une grande ims
gration qui peut-dire utilisée aux iny
u canal.
ey
Plexrohera
_T/Application technique de IE
cité au traiten) nt des maladie,
un procédé rationnel aw plus haat
ce surtout dans les affecliv:- ws
spécialeinent tes Kudométrites, les
trites, Catarrhes, Hémorthag:es.
leurs. Erosions, Cellutites et Adhé
ces, Fongosités, Salpingites, \van
suites de fausses couches ou de
ches imal soignées, Dépiacem
Polypes, Fibromes, etc, ; et dans
affections génito-Urinaires spéci
Vhomme.
Ce procédé, a part son e
dans la cure de ces affectiom,
peu codteux ; il préserve les ms
des dangers inhérents ( Chlorom
Ether et les suites facheuses §
la mort aprés l’opération chiro
aux opérations chirurgicales
quées faute de savoir mieux pout
isant guérir ces affections.
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Deuxieme Année, Ne 319. PORT-AU-PRINCF ( Hairt ) Mardi, 21 Avril 1908
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_ ABON | Directeur: LE NUMERO 4 () CENTIMES
Clément Magloire
urde D'AVANCE g ,
PAR MOIS Une Go rte = Les abonncincats partent du 1 et du rs de chaque
DEPARIEMENTS & ETRANGER : REDACTION-ADMINISTRATION mois et sont payables d’avance
Frais le poste en sus. 45, RUE ROUX, 45. Les manuscrits insérés ou non ne seront pas rendus
——— oe —
Pour tout ce qui concern? i’Administration du Journal. s’adresser 4 2!cnsisur Arthur ISIDORE, 45, Rue Roox on Bonne-Foi.
Premiére dentition composée de vingt dents dites
HYGIENE INFANTILE | dents de lait.
a Ie DU Dau 7¢ MOIS 2 incisives inférieures médianes
¢ (| f | .? aon Pirin] Qe 2 incisives supérieures médianes
VE Ade. llall dll | Opel b] et | Be 2 incisives latérales sup. ou inf.
7 | REPOS
Le sevrege est Vensemble des mo-|guand le savrage doit-il étre opéré, : | | Fin de la 1'¢ année | 4 premiéres petites molaires |
alivn$ apporlées dans lPalimenta-jcar, pour éviter des désordre3 par- |
des anfarts lorsqu'yu. veut_les 6é. | fois nrémédizbles, it-inyporta que lai REPOS
r défiaitivement du sein pour, en |transition ne soit ni trop brusque et | —__
Iniliant progressivement a Vali-|prématurce, ni trop tardive. - 8 .
otition qu’ils davront suivre pen- > rwemi ye ane , ve} au cours de la 2° année 4 canines
ntleur vie, les conduire & mener| D®ste premier cas, lenfant est'|_ {of EEE
e existence indépendante expo 6 adcs accidents sérieux, d’a- 6° , lai
i ‘ ° bor? parce que son développsinent ° + aulres molaires
Apres avoie hygiéniquement prépa- subit une véritab'e pause, puis parc ®
enfant comme je Vai enseigad PUUe ses orgines, nelant pas mudrs On voit done que les dents canines
us les articles précsdents, le mo- |Ppouw fa digestion des aliments nou- sont les pénultiemes a pousser et
aut Viento iL importe do [ui ap- | Ve#ux quien lui fera preadre, s’en qu avec elles enfant, ayant quinze
endre & Conquérir son indSpendan- trouvent si je puis dire toat é:onnés, Gu seize premieres dents caduques, a
e Vis-d-vis de la mamelle. sirtiten!, s’enfiamoisnt ; les vornisse- tourné la période la plus critique de|
' ; men's et la diarrhée enyent en scene !évolution dentaive. Je sais bien que beaucoup de mé-
© he connais pas d'épo jue plusfet la gastro entérits ( inflammations. Alors il ne reste Pius 4 surgir que /!es trouvent déja mon prochain arti-
ea dans la vic du b‘b3 que | des voies digestives)s instalic avec tout les quatre derniéres Molaires dunt ja‘ cle juutile et sont bien disposées a se
edé-hirementpour tut. Alors soo | eee ea riaguo et 10. plus -alscment dd mons | resbait que gi Fate’ nous opbrendee
- . rs s >. . on . ‘Isque S alsemen u monde. } res ‘A.
mpcrament se modifi ; il devient| 4. Enis, au moment de l'évolution Son tarde un peu trop a prati-| maintenant a sevrer nos enfante! Nous
to : . ire sai ien Ie nfants . . .
Bre. bil Chie Se démene, déses- co vabattent de “jours souffances sur quer le sevrage il peut advenir que|ne savions fraochement pas que c’é-
® S-ayamment dans les débuts ; {' " " tait chose si ardue, sevrer un bé-
| | : †Von éprouve de yrosses difficultés
buat uae révolic indigné2 contre In foree tie leurs jeunes « nt ds toate pour interrompre définitivement |’al-| bé!...»
ne use violation da « droit des! i, cuccion » et cost 1A qu’ils se con- #itement. L’eufant, avant d'y consen-| N’imporie, je les prie de m? lireâ€
0s». Pais at eepement il s'af- solent véritablement et s’endorment a ‘> peul s’y opposer avec une énergie quand méme et de penser sérieuse-
ancoliqne et ré- ments que souvent dans la vieon mé-
sBse, nélar nes |parfois tyrannique et d’ici Jail peut
raves wn petit air navrant de force dle se résigner. tomber en dézénérescence, faute iu- juge de son savoir.
Docteur C. PEARSON.
Aujourd’hui nous avons appris quand
il faut opérer le sevrage ; la prochaine.
fuis nous nous proposons d’apprendre
conmen tl.
bd ueeurmand devenu dyspepti-| Je conseille donc d’attendre, avant ne alimentation a la portée de son
it present ‘Cin impitoyable au-| de pratiquer le sevrage, que le tra- age.
iS ascig tous catte: A bt trial, par vail de la dentition, tire un peu yers,
eli nulal, @ tristementiga fin atie fixe volontiers cette -!
sine regard vague et la bouche que, chez les enfants bien portants, Quest devenu le tableau l UNION
On ne peut se défendre de a l’'Age de douze @ dix-huit mois. Enco-'
ERE ee? Ce Ee e2 =
usar aa rumine une douleur in-|ra faut-il y montrer de ladresse et. du celébre peintre Lethiére
MMent, dans agie du sein. Et] choisir toujours, pour sevrer les en- _—
de dela Do leone eoigaante atti-| fants, l'une de ces périodes d’accal- Oui est le vrai, owt ext le faux...
mdre on belieur Enfant ne pas le|mie qui s2 produisent entre deux __
we i Cc i 2 rf i S , a†. e ° e © ,
dle cay de dirai plus tard de “quel poussé “a fort bran dole. sujprimer D'aprés les renseignements qui nous|véritablement le chef-d’wuvre du
Moraes et de quelle sévérité lallait nt qu’d la sortie des de vs ca- SONt parvenus, deux tableaux pareils|yénial peintre Lethiére, tableau adpi-
a dU@ devront s'armer les meres allarlement qi ee a celui qui se trouvait derriére le{rable, d’une valeur de CINQUANTE
| tae Poor dévier l'effat qu'un nines. 4 grand-autel de la Cathédrale existent] MILLE DOLLARS?
ndra. pred peut Pour me faire bien comprendre je actuellement. L’un se trouve au Mu-|_ ,. .
fr f ve. duire sur leur vous offre 4 consulter le tableau sui- sée du Centenaire, aux Gonaives, vole oe eat ee mpose, afin de se
vant od j'ai schématisé pour vous I|’é- l'autre a Paris. ’
Agj . ,
“lourd’hat je veux seulement dire] volution dentaire : _ Lequel deces deux tableaux est}? @uvre.
Je ne sais pas trop ce que certains grin-
cheux révolutionnaires, ex-révolutionnaires
( pour cause ), cosmopolites, ont encore
contre le général Castro. .A_ les entendre,
et bien qu il ne puissent préciser la nature de
leurs griefs contre le grand capitaine qui a
dompté a jamais les guerres fratricides de
dévastation au Venezuela et qui y 4, par
conséquent, remis sur un piédestal l’aima-
ble dieu de la Paix, Castro est ceci et cela,
et cela et ceci. Le Venezuela sans la paix,
dieux du ciel, dites-nous ce qui en serait !
Dites-nous, rien que pour ce qui regarde
ootre réle d’a tisan de l'expansion com-
merciale belge au Venezuela, si sans l’exis-
tence de cette paix bénite, les affaires en-
tre lesdeux pays reprendraient,comme elles
reprennent de plus en plus, et sinous re-
cevrions, comme nous recevons souvent,
des demandes de renseignements de tant
de Be'ges désireux d’y émigrer ; dites-nous
si les négociants belges,frangais, anplais,al-
lemands, italiens,etc., établis au Venezuela
pourraient,tranquillement,sans cette bénite
paix, accomplir leurs engagements avec ies
manufactvres européennes ; dites-nous si le
gouvernement vénézuélicn aurait pu payer si
religieusement, si admirablemen:, toutes ses
dettes aux grandes puissances, plus de six
millions en quatre mois de temps rien
qu’d une banque de Caracas ; dites-nous
enfin si les ouvriers, si tous les travailleurs
des riches zones agricoles du Venezuela,
au lieu du labeur journalier qui est le pain
et la vie de la Nation, étaient recrutés a
coup de crosse parla révolution au lieud’étre
alignés sous les banniéres de la Loi,et sou-
mis au régime de haine de la guerre civile:
misére, raine et mort partout !
Voila donc ce que les grincheux — li-
sez : les imbéciles et sans patrie — ne peu-
vent ou ne veulent pas comprendre : cette
ceuvre de Castro quils renient ; la résur-
rection du Venezuela dans un éblouisse-
ment de Paix et de Travail ; une apo-
théose !
Aussi, ces grincheux, ils sont tout seuls
a aboyer, car l’immense majorité du pays
est avec Castro. La presse presque toute
entiére en fait foi. La Voz dela Nuacion, de
Caracas, 4 propos d'un anniversaire ,apporte
et en premiére page un grand portrait du
général Castro, aux cotés duquel. en
grosses lettres, ces pens¢es de justice et
de vérité :
« Avoir sauvé la nationalité de la Patrie,
« est la gloire la plus pure d’un Magistrat.
« Castro a conquis cette gloire, et pour ce-
« la tous les peuples honorent aujourd’hui
« son nom.
« Lorsque, dans l'histoire du Venezuela,
« on parlera de progrés et de régénéra-
© tion, on aura 4 consacrer toujours, 4 tra-
«vers les temps et les événements, un
« souvenir et un hommage au chef de la
e Restauration de la République : a Cas-
@ tro. «
( Revme Américaine )
a —————————————————————————_—_——
Etude
SUR LE
Tempérament Haitien
Sous ce titre, M. Fernand Porsen-
na, Directeur du Soir, a publié une
critique du remarquable ouvrage de
Rotre collaborateur M. Auguste Ma-
loire. Cette critique a paru en cing
ments dans le Soir et nous te-
nons particuligrement compte a M.
Porsenna des considérations qu'il
ee
a consciencieusement émises sur cet
ouvrage.
Nous regret
tuns de ne pas pouvoir,
|4 cause de son étendue, reproduire en
son entier l'analyse de M. Porsenna et
nous nous contentons de reproduire
ci-dessous les lignes par lesquelles
notre estimable confréreclot son exa-
i men.
Gependant nous publierons pro-
chainement quelques observations de
M. Agyuste Magloire sur un certain
nombre de points intéressants releveés
dans la critique du Soir.
L’auteur, tout imbu da sujet qu'il dé-
veloppe si brillamment, ne sest pas
préoccupé de. metire ses pensées en harmo:
nie avec la facon de les rendre, il était tra-
vaillé on dirait par le désir de s’épancher,
de communiquer au dehors ses acquisi-
tions : c’est pourquoi 4 de rares intervalles
on rencontre des taches, qui pourtant,
n’influent point sur le livre.
Lorsque l’on considére dans son ensem-
ble le travail présenté par M. Auguste Ma-
gloire, l'on ne peut s’empécher d’avouer
gue l’auteur a fait ceuvre qui vaille. qu'il
comnait le milieu haitien et désire le voir
arriver 4 un haut degré de perfectionnement
moralet social ; son ouvrage est bon, utile,
précieux et didactique.
Réver une
c'est faire acte te patriotisme. L’observan-
cereligieuse d’un plan bien congu, une ve-
ritable sincérité, un travail consciencieux, |
une Foi précoce, telles sont les qualités
qui nous ont frappé au cours de notre mi-
nutieuse analyse.
Si notre Démocrarie pouvait atteindre
Vidéal révé par M. Anguste Magloire qui
ne désire que le bien, notre République
serait une Républiguede gloire, de gran-
deur, de richesse telle que celle de la Ré-
pablique Eroilée offerte en exemple par
"auteur de « l’Erude sur le Tempérament
Haitien », et de notre vivant nous aurions
assisté 4 notre propre apothéose. C’est 14
l’impression que l’on éprouve en fermant
louvrage ‘d’Auguste Magloire.
Il ne s’arrétera pas en si beau chemin,
nous le pansons ; puisant la force et le
courage dans sa foi précoce, il continuera
sa tache et ne tardera pas 4 nous envoyer' ver Cutts & Co 5 ; Madame Clavier 3 ;
une nouvelle étude sur notre milieu social.
FernanD PORSENNA
PAIS DIVERS
RENSEIGNEMENTS
METEOROLOGIQUE
Observatoire
DU
SGMINAIRE COLLEGE Se-MARTIAL
Lunpi 20 AvriL
Barométre 4 midi
Temparature|nisinen
Moyenne diurne de la température 25°,
Ciel assez clair toute la journée.
Le soir 4 dix heuress un quart, pluie :
8,e"/*:
Depuis ce moment, le barométre est en
hausse.
R. BALTENWECK
Décés
Un télégramme arrivé hier scir annonce
lamort, 4 Jacmel, de Mile Amétre Crarr
sceur de Mr Barnave Craft.
f Nos condoléances aux parents de la dé-
‘unte.
Ss
randeur pour son Pays,
762 =/=|
son
Une maison qui s’e’fondre
Hier, vers 5 heures du matin, 4 l’ave-
'nue Ducoste, le toit de la maison cn mur
| appartenant 4 Mme Verna et habiicée par
IMr Joseph Geftrard s'est effondre, entrai-
nant dans sa chute, que:ques
-murail'es. .
Heureusement qu'il n’y avatt personne
(au premier ctage, les locataires ayant pAs-
js¢ la nuit au rez-de chaussée 4 cise de
ila pluie qui entrait ce soir LW, par des fis-
isures du toit en manvais ctat.
Done aucun accident de personne a en-
registrer. Mais on ne peut s'empécher,
[de songer sins frémir, aux graves conse-
uences qui pourraient résalter par suite
u retard apporté daus les réparations ur-
gentes que réclamait cette maison bitie en
1897, nous dit-on, par Jus‘in Bouzon.
Assemblée Nationale
C'est au Palais du Sénat que les Cham-
bres Léyislatives sz sont réanies ce matio
| pour procéder 4 ouverture solennelle de
‘la rere sessionde la NXNVIs Cégistature.
L’armee, sous le commandement du G? |
Jules Coicou, avait pris position dans tous
jles abords du Palais Legislaut ct les mem-
“bres du Cabiner,accompagndés de VErat-ma-
jor presidenticl ont été salues par une salve
dartillerie.
Le mestage présidenticl a été lu par M. |
EF. Marcelin, chargé du porte-feuille de P'In- |
téerieur.
A demain tous les details.
Pour les Pauvees
_ Liste de souscription en faveur des pauvres
de Ubospice St Vincent de Paul ( mois de fée-
-urier ).
| J. Déjardin Th. Luders & Co, P. 10;
Aug. Ahrends 10 ; Gerlach & Co 10; C.
; Lyon Hall & Co to ; G. Keitel &Co 10 ;
F.Herrmann &Cot1o ;Otto Beiber &Co 10;
L. ,Landgendonck 10; Simmonds fré-
‘res, 10 3 Banque Nationale d’Haiti, 25 5
‘Louis Lota to; Gaston Revest & Co § ;
J. Laville 5 ; Paul Painson 5 5 . Hep-
le 5 ; F. Coupet 5 ; Roux & Co 5 ; S.
‘jannis 5 ; A de Mattcis 5 ; Joseph Nadal 5
‘Henri Brisson 2; L. dEspinose 5 ; Oli-
Madame Maitre 5 ; St Aubir Belizaire 2 |
; Ernest Dalancourt 5 ; A.Villejoint 5 ; Ch. |
‘Fatton 2; Le Nouielliste 5 ; Légation Do-
iminicaine ro ; Roberts Nor:z & Co 10 ;
!'Mme Lagojanni..1 ; Un ami(B.) 1 ; Mille
|Maria Riobé 1 ; Lespinasse& Co 5 ; Un
‘ami (Ch. M.)t; A. L. Guérin et N.
Thomas 2 ; Usine Chaiteaublond 3 ; L.
Peloux &Co5; L. Jaccoux 2 ; i De-
:reix 5 ; Mme Vve Raoul Jn Baptiste r ;
'E. Robelin 5 ; Pharmacie D. Clermont 1;
‘Ch, Gauthier 5 ; C. F. Carvalho 2; Po-
ilynice 2 ; Albert Légitime 5 ; Ch. Per-
i val 1 ; Ed. Oriol 2 ; Monfleury fréres 5 ;
' Service Téléphonique 2 ; G. C.Régnier 5;
Madame Frenckel 2 ; Madame Hermance
|Alfred 5 ; A. Gabriel 3 ; Heurtelou 5.
M. N. Benoit, avocat.
| _—
| Derniéres Dépéches
St. PETeRspourG. -- Le lieutenant gé-
néral Linewith, ex-général ‘en chef de ar.
-mée de Mandchourie est gravement mala-
de de pneumonie.
_ Tirtts,- Dans le voisinage de Belo-
soua, un combat sanglant a été livré entre
Vexpédition militaire russe et les dépré-
ateurs kourdes, qui eurent 34 morts et 50
parties des} 4
;“ré de la Science moderne. tt¢
|
'M. Pierre 5 ; H. Pohlmann 5 ; A. Lago- |
blessés; les russes o oe
7 soldats blessés. nea aa ofc
elsouar et d’au iilag.
deétruits. tres willags om
Le gouvernement perse concent
portantes troupes pour extermine; *
es.
Wastinton. La commission de |,
bre sur la circulation monétaie
laisser sur le bureau de la Ch
projet de loi du sénateur Aldrich
reforme du systcine monetaire
I.a Commission du commerce ere;
demanda lautorisation au présiden
qu'il concéde en fermage pour 2; M
hectares de terrain p Opparicesey
zone du canal, 4 chaque famille gui
mande pour s'y établir.
On croit ainsi attirec une grande ims
gration qui peut-dire utilisée aux iny
u canal.
ey
Plexrohera
_T/Application technique de IE
cité au traiten) nt des maladie,
un procédé rationnel aw plus haat
ce surtout dans les affecliv:- ws
spécialeinent tes Kudométrites, les
trites, Catarrhes, Hémorthag:es.
leurs. Erosions, Cellutites et Adhé
ces, Fongosités, Salpingites, \van
suites de fausses couches ou de
ches imal soignées, Dépiacem
Polypes, Fibromes, etc, ; et dans
affections génito-Urinaires spéci
Vhomme.
Ce procédé, a part son e
dans la cure de ces affectiom,
peu codteux ; il préserve les ms
des dangers inhérents ( Chlorom
Ether et les suites facheuses §
la mort aprés l’opération chiro
aux opérations chirurgicales
quées faute de savoir mieux pout
isant guérir ces affections.
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