PORT-AU-PRINCE (Haiz1)
MARDI. 31 MARS 1908.
QUOTIDIEN
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pan wois Une Gourd® D’'avance i , —
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« . 3 2m
Diranraemanes & EVRANGBR 5 REDACTION-4 TMINISTILA TIN | mois et sont payables d’avarce
praia dg postr ot ous | 45, RYE KOUZ, 48: | as reanuacrits insérés ou Bon Be sont pas remis.
ee nen ene en eS
Pyur tout ce qui concerne PAdmuinistration du Journal, s’adresser A Monsieur Arihur ISIRORE, 45, Rae Roux cu Bonne-Foi.
pial Aini hit ETE ES SI: RIOT RIOTS SS SD cram mmr lem aacrmurrammiceraseimaaas eee TS - FMP LT SET ta PK A NEE EE ETI EE HE i 21a oe aR eae
|points du pays. que les cireanstanees! yay! ‘hii ® “WARE
ont rendus déporit.ires de la supe! ATR, 4 Cy
riorité sociale, mabdiquent pas nine’ ai id 8 LID eS
déclinent, et que ceux que la jalousie
ou de respectibles susceptibilites rens |
dent ombroygeux, putssent Organiser.
la concurrence sorson terrain vérita-
wenn 8
5 ' = 3%
RRS
RENSEIGNEMENTES
METROROLGGU: QUES
APROPOS DES DERNUERS EVENEMENTS
A-t-on intérét & Semparer du pouvenr !
care eR Rage me ds ee elie i i Oh oer A Pee nooo eens aiilomieaeee naeathata ceeemeanaber ane opsanntinamndantien id repitnarnangiiradhiianeptantanaiaratiagtinalbinmpstaieimtaeenten ma plascelind AAR nel aaa Peep heme ene amenities hte ena CT A SL Pe Sot EEE Raiae Hractnee S ELEN Ce eae ee aces = *
= : — pn ag ann anemic
Ei maniére de conclusion a cette
dude. nous voyons done dans les
faits que nous venons d’observer une
frappurite confirmation dela these sou-
lenue et développée par M. Demolins
dans A (on intérét a s'emparer du pou-
tor ?
Les préaccupations politiques ont
afubli des nations bien plus forte-
hent constituées que la notre et nous
ne pouvons avoir la prétention d’6é-
Chapper aux conséyuences sociales
que hous aurons favorisées et pro-
Noquées par nos errements.
La plupart de nos écrivains se con-
suet a envi de notre malaise sovial
fareere Considération que notre si-
uscon économique est 4 peu pres ce
yueve etait Ala période de co'anisa-
Won Targaise ; dot al semblerait ré-
Verdue nous wave rs pis désdndrd
Moat week compte ie hotre popu-
hi het 2 AMVETOn doubie depuis un sie
le us sera en droit de sétonner de
Give wticbaite ee sheeiale dui se de
téinoisusee de ch onsidére comms
bosoumie eace pre Biess que la méme
de ce veaux rae Sse par la double
Xet de bras.
nytt se dire quasils déclin que
ete es constaté dans le No-d ne
tribwited produit et sila part con-
nme e celte région étaitrestée la
avait sugme plus forte raison si elle
&é 1éel) ente,— notre évolutioa ett
eve et bien plus accentnée.
tail†est la Creuse empreinte »
da Norqen, 2, formation historique
gion que ‘es hommes de cette ré
Romique. ae dépit de ce déclin éco
dérance Mien aent une prépon-
jaloux bho ique qui semble rendre
Si. a en d'autres points du pay >.
tion antibod dela derniére convul-
senlime Henne, it y a eu unpeude
tions ue de jalousie, les considé-
en revne € nous venons de_ passer
Selviront, je pense, a mon-
trer anx populations intéressées com- ;
bien leur jugement s’égare.
En matiére de changement social,
le terrain auque! il faut d’abord s’at-
taquer, c’est celui ds idées, et Vélé-
mentsur lequel l’effort doit s’»xercer,
ce sont les générations nouvelles. Or,
il est certaia que ja fiévre intellectuel-
lo a yagué le Nord et que 1a, comme
chacun
moyen de loc-
dans tout le reste du
pense 4 s’élever par le
cupation du pouvoir et
lion sur les foules.
Jusque Maittenant, iby a encore
cepead:nt dans le Nord ua plus gran
attachement des homies de piatyie
dA teurs habitations ; ceux qie Pexer-
eiee da pouvoir ne retient pos a Port:
au-Prince s’oceupent cies cux Ge Peu-
trelicn de leur domuine ravel el on-
tretiennent aias', bien qae pi la cose
trainte des choses, c@ gui teste d
Vancien enite dela vie privée. La su-
jétion a Pancienne formation sociale
pays,
de la domina-
se trabit on deépit de tout; sans von.
loir d®@ournerVattention, des person
nalilés dignes deia retenir, i! est te-
marqvable que deux des principles
usines suemeres dupays, O’gorimaret
Chateaublond, sont possédées et per-
s muellement ditigées par deux honm-
mes de cette formation.
désiniéresser de loccupxtion du pou-
;blement utile, yui est celui des_ inte-
-réts privés,— sous la sauvegarde de
ila paix ef de la jusiice.
| Pierrot a semblé étre
'contrastaient fort avec celles de cette
4 JeuncEse ardefte » qui a mene si
in-eme trouvé un Gcrivain pour jeter
‘Pironie et le sarcasine sur ‘lattache-
iment indéracinauble de ce patriarche
pour son habitation.
Au point d= vaeds cet attachement
qai de quadifiait essentichemim nt,
cet homie, que Son temps ma pas
ceanpriis, donualit cop ohdant au prys
hexemple personnel da gouvernenicnut
Cédaie dant presdue ia poh gee et ta
subordenuant aus sucvestions deca
vier pPHiVeed.
Je sullicefe, pour init, Palee iebfon
de omesconmipatriotes de toads les pois
dui pays sta les farts eb les ob erve
lions consigués dans cette etude,
One ceux de ces points quai deésirent
se melire on relief et daveun sipe-
rienirs & Gautres, tentent de refeves
leurs Vraies forces Suciaies ef non de
seinparer da gonvernenieot ii esl
opioidt an « fruit ddo mori. +
La lutte pour le pouvoir est, en elle.
seule dja, dé bi ifente ; je men veux
hat-
voir ? Loin de moi cette pensée qui ne!donts’i spire précisément celle étude.
serait
pays ; car to.t le monde le sent, ré-
'ement du Nord a relativemest appor-: |
té au pouvoir l’unité de direction et
la stabilité politiques.
Mais il serait a sonhaiter qe
occupants tu pouvoir, quels
fussent d'ailleurs, se pénélrassent de
celle vérité que le secret d+ la force
sociale est ailleurs que dans fe pou-
voir et ses attributs, et que Ic véri-| mie
|
les!
table homme de gouvernement doit
jouer son réle de telle facon que
hi juste bi méme atile pour le!
|
'
I
1
‘guerre pour avoir la
les pollique et aboutizssant a réduire la
qu’ils .
[Et a ceux qui,
ments uuiversels, voudraient des preu-
tre Athones et Sparte se faisant la
prépondérance
Gréce, affaiblie et impuissante, au
rang de province romaine.
Nous savons que la Rome moderne.
est dans le Nouveau Monde.... et que, |
ux que l’ancierne, et mieux que
par
garder les provinces.
un anachro-,;
nisme vers 1845, parce que les maeurs |
,et les idées de ce Vieiliard président:
mal nos aflaiies depuis 1843 et ils'est |
la conquéte, elie sait prendre et’
q@Vivoservexetoire
DU
NAiRE COLLEGE S:-MARTIAL
“ny
“a
ower
Tunpr 30 Mars
| Rarométre 2 midi “64 ™/"4
, .
TLOLLE Oi 19°,0
rhareat
Température) nagimuns 31° >
Moyenne diurne dela température 23°,2
Le ciel clair toute la matinée s'est cou-
vert 23 h du soir. La pluie a commencée
vers 3h, 20 nour reprendre avee plus d’in-
tensitéde 5 haSh 45 du soir. Votalro,3"™.
Rosce tres forte ce matin (31 mars )
Barométre on hausc
R, BALTENWECK
Faillites et fuites de banquiers
EN ALLEMAGNE
La Vossische Zeituag annonee qu'une fa-
biique importante de chaussures. les fréres
Kallmann, situce A Berlin’ et a4 Erfurt, a
suspendu scs peiements.
Le, Lokal Angeiger annonce qu'une grande
maison de cuirs. Baruch & Ce, a fait failli-
te A Steele. La Banque d’empire partic'pe
acette faillite pour 120,000 marks.
"La faitlite de Baruch a eu comme con-
tre-coup dewx autres faillites : celle de la
‘fabrique de tabac Stern et celle da bazar
‘}pour prenve locale ques bien des divi-i pinch
Thus % ir . ag . pve se: wen = yg7f Po ix * me 4 , . . : : .
Est-ce a dire qau+ le Nord doive se signs actue linent existan’és, et 4t-| “Deux banques d’Essen, la banque Hirs-
guére inconnucs, entre autres, celles: chland
avides d’enseigne- i
ct la Rheinische Bank, sont inté-
ress¢es A cette faillite.
La maison d’importation Lemke-Krase-
. . : t | -mann, de Steutin, a suspendu ses pate-
ves historiques, je citerai da lulte en-,
ments ; le passif s’éléve 4 250,000 marks.
La faillite fut provoquée par plusieurs au-
tres faillires antéricures.
La banque Leuchde-Munich a fait failli-
te ; le passif est important, suivant le ‘Ber~
liner Tageblatt
La Maison de confections pour hommes
Hartwig et Karger a faillite ; la maison
Grunberg, de Liebnick, a fait faillice ; Ie
passif est important.
Enfin on signale la faillite de Léopold
Cohn, propri¢taire de trois grandes mal-
sons a Berlin.
Post, le passif serait énorme et plusieurs
créanciers seraient engagés pour plus de
100,000 marks chacun.
L’entrepreneur de bitiments von Brofft,
Francfort-sur-le-Mein, a df suspendre ses
paiements et demander un moratorium a
ses créanciers ; il s’agit d’un_ passif de 2
millions 1/2 de marks.
Le passif de la maison Cogn, s’éléve 4 3
millions de marks.
Le passif de la faillite Schoenvald, 4 Cas-
sel, s’éléve A 1,300,000 marks.
A signaler encore a Berlin la faillite Nas-
se : 543,000 marks de passif, aucun actif;
la faillite Haake, r880,000 marks de passif.
A francfort-sur-le-Mein. la faillite de la
tabrique Degen et. A Mildenan, ta faillite
de la fabrique de onorcelaine Pertsh
840.000 marks de passif. A Berlin, la faillite
de la maison de confection Russ : 150 000
marks de passif.
Liancien directeur de la compagnie du
Kaiserhof Fréderic Eberbach. frére du své-
culateur Fherbach,. a été, 4 son tonr, décla-
ré en faillite. Il n’y a pis d’actif ; le passif
est trés important.
La maison de banque Marc Wartheimer
( grand-duché de Hesse ) a été mise en
faillite : les livres ont été confisqnés : la
Banque d’Empire participe 4 cette faillite ;
le directeur de la Banque. le conseiller de
cour Rothschild, est en fuite. On estime le
passif 4 800.090 marks.
Le passif de la maison de confections
Susskind s’éléve 4 500 000 marks. Enfin. on
signale une faillite de 300 000 marks a
Hambourg et la fuite du marchand Mar-
quasen, de Flensbourg, un associé du ban-
quier Friedberg, qui a pris la tuite en lais-
sant un passif considérable.
Si vous additionnez toutes ces faillites,
Vous aurez une assez jolie somme.
Un mandat d’arrét a été lancé contre le
banquier conseiller de cour, Rotschild,
propriétaire de la banque Wertheimer qui
a fait banqueroute.
Tribunal de Cassation
Audieuce du Lundi, 30 mars 1908.
SECTION CRIMINELLFE
Présidence de Mr le Président H. Le-
chaud.
Le tribunal prend siéye a dix heures et
demie du matin et entend définitivement
la continuation de Vaffaire des sieurs Mu-
cius Moliére et Aimé Toussaint, contre
une ordonnance de la chambre du_ conseil
de Port-au Prince.
Mé Léonce Viard est entendu en ses ob-
servations
Le Ministére Pablic, Mr Luc Domini-
ue, conclut Ala cassation, sans renvoi,
de Vordonnance attaquée.
Plus rien le siége est leve.
Tribunal Civil
Audience civile ordinaire du Lnndi 30 Mars.
Pré-idence du juge A. St Rome Minis-
tére Public : A. Thibault.
Affaire entendue
J. L. Piccioto contre Vincent
kiouf.
Puis le s:ége est levé.
L’Inspecteur en chef de la
Police
Annonce 4 qui de droit qu’un cheval
sous poil mélade, ciampé des lettres QNP,
avec selle anglaise, bride et schabraque ont
été trouvés par la police dans la soirée du
ue le propriétaire peut
ureaux avec piéces a
29 du courant ; et
les réclamer enses
Tappui.
Suivant le Berliner Morgen
G. Ma-
Une amélioration nécessaire :
Monsieur SimMONDS ¢t ses employés
Hier les employés de la maison Sim-
monds fiéres, de cette place, ont offert a
leur consciencieux patron un beau bouquet.
Voici dans quelles circonstances.
Avec la hausse du change les appointe-
ments des employés haitiens qui sont pa-
yés en gourdes diminuaient chaque jour.
Ce sorte qu’un employé qui gagne P.60. —
ou or P.to a 500 0/o le lundi matin, gagne
le mardi or P 8.— ainsi de suite. Cette
situation était devenue agagante pour ces
pauvres haiuens.
Monsieur Simmonds pére, de passage a
Port-au-Prince, ayant constaté que son
personnel qui est composé exclusivement
d’haitiens, ne le cédait en rien 4 celui de la
plupart des maisons qui ne se servent que
d’hommes... dorés, a pris une décision qui
meérite d’étre signalée ici. Ila comblé cette
lacune, dont il est question plus haut, en
portant les appointements de tous ses em-
ployés en or amér‘cain, dans la proportion
de 50 o/o.
Cette mesure tres légitime, prise 4 un
moment aussi critique de l’existence des
commis du bord-de-mer a produit un excel-
lent effet tant parmi les employés de la
maison Simmonds fréres, que parmi les au-
tres employés qui attendent depuis si long-
temns, une amélioration a leur sort.
Il faut espérer pour eux que cette excel-
lente mesure sera imitée par les autres pa-
trons, pour le plus grand bien des emplo-
yés haiiens dont le travail et application
ne laissent rien 4 désirer.
Fiangailles
Nous avons regu avec plaisir le faire-
part des fiangailles de Mlle Artce MicHaup
avec notre confrére Curistian Récutus du
Trait d' Union.
—Nos meilleurs compliments-
Nouvelles Erangere
Derniéeres Dépéches
— a
BerLin 29.—- Aprés avoir été informé de
impression que son refus d’accepter M.
David Amayne Hill comme ambassadeur
des EE UU. acausée surle président Roose-
velt et le peuple américain, |l’Empereur
Guillaume a changé de décision et a infor-
mé aujourd’hui le gouvernement ameéri-
cain qu’il serait heureux de recevoir M.
Hill comme ambassadeur.
ViENNE. — Le prince Bulow, Chancelier
de empire d’allemagne est arrivé ici au-
jourd’hui. Il vient rendre au baron d’Ache-
rental, le ministre des affaires étrangéres la
visite qu'il en a regue au mois de mai der-
nier. Au diner qui luia été offert ce soir
assistaient les représentants des puissances
étrangéres.
Bertin.— Le rapprochement franco-al-
lemand en faveur duquel Vempereur lui
méme emploie tous ses efforts a fait cette
semaine un nouveau pas en avant sous
’impulsion du baron de Mantentfel, prési-
dent de lachambre des seigneurs de Prusse.
Il est formé un comité composé de tout ce
que le monde politique, le commerce et
les arts comptent d’éminent dans le but
de faciliter une entente cordiale entre les
euples et le gouvernement frangais et al-
emand. Ce projet a l’appui du gouverne-
ment impérial.
a A A
Guyaquit ( Equateur ) 29. - Cent ma-
lades atteints de la peste bubonique sont
en ce moment en traitement ici. Le doc-
teur vaccine toute la population avec le
sérum Prophylactique.
IINEFKINE 29. — Tous les navires par-
tant de ce port sont soigneusement fumi-
gés avant leur départ.
Bertin. — Le ballon « Grandens » ayant
4 bord le lieutenant Mezel et trois autres
passagers est allé buter contre la chemi-
se du gazométre d’Allensiein e1 s’est abattu
sur le toit d'une maison. Ce n’est qu’a
grand'peine que les aéronautes ont été sau-
vés.
_Cneyne ( Wyonmig).-— On annonce que
55 470 personne sont péri dins les deux
explosions qui se sont produi-es hier dans
les minesde charbon n° 1 de l’« Union pa-
cific CoalCo » 4 Honna-Galveston. On a
recu de Marizanillo Mexique la nouve'l:
qu’un américain nommé John E.Phillips
qui avait organisé une expedit onpour re-
trouver le navire naufragé « Golden Gate »
avait été tué par les indigénes au com-
mencement de Feévrier.
St-PETERSBOURG 30. ~— Une dépéche
Liban annonce qu’une collision s’est pro-
duite entre les deux contre-torpilleurs
Moskvitiann et Dobrovoletz pendant des
manoeuvres dans la Baltique ; |l’amirauté
n’a regu aucune nouvelle de cet accident.
Berne 30. — Le tunnel dn chemin de fer
fedéral percé dans les montagnes Ricken
prés du lac de Zurich a été complété au-
jourd’hu‘; sa longueur est de cing milles.Le
travail du percement avait été commence
il y a quatre ans.
‘Tox1o30.—La gazeite officielle annoncera
demain que le 30 avril un remboursement
dc 20.000.000 de yen, environ 10.000.000
de dollars sera effectué par le gouvernemeut
reduisant d’autant la Dette nationale.
PHILADELHIE 30.— Le croiseur américain
Prairie. qui s’échoua samedi dernier dans la
rivicre de La Ware n’a pu encore étre ren-
floué ; ce croiseur se rendait 4 Guantanamo
( Cuba. )
Paris. — Rente franyaise 96,70
Havre.—Campéche Haiti Cap baches 4.30
Paris. — La Chambre des Députés
aprés avois renvoyé sur la demande du
ministre de l'Instruction publique A jeu-
di prochain une interpellation de M. Meu-
nier sur incident du « Foyer » et 4 ven-
dredi une interpellation de MV. Ferrette
et Cazeneuve sur les viandes avariées don-
nées aux troupes, valida l’élection de M.
Achimbaud pére 4 Dié. Elle commenca en-
suite la discussion du projet de loi sur
l’amnistie.
_ M. Barthou s’est rendu hier 4 Lyon of
il inaugura la nouvelle gare. M. Cruppi
s'est rendu 4 Reims ot il visita l’école ré-
gionnale des arts industriels et inaugura
les nouveaux batiments de l’école pratique
du Commerce et de |’Industrie.
M. Maujan inaugura hier aprés-midi le
groupe scolaire 4 Courbevoie ; il présida le
soir un grand banquet organisé par le co-
mite répnblicain des dixneuviéme et ving-
de
tiéme arrondissements.
M. Lardin de Musset, préf i-
re est décédé. Pretet de la Loi
ny
L’administration du « Matin »
rappelle aux abonnés de la Ca-
pttale qu’ils ne doivent rien ver-
ser, abonnements ou autres
que sur RECUSIMPRIMES et
signés de M. l’Administrateur
_Priére d’aviser l’admini -
tion de la moindre irrégularite
dans le service du«MATIN»
arn qu'il y soit de suite remeé.
nr cnr te tet eg rete nemanen—
Elector
_L’Application technique de ls
cité au traitement des mala
un procédé rationnel au plus
gré de la Science moderne
ce surtout dans les affections
spécialement 'es Kudométrites ip
trites, Catarrhes, Hémorrthagee’
leurs, Erosions, Cellulites alas
ces, Fongosités, Salpingites, Opt
suites de fausses couches on é
ches mal _ soignées, Déplapies
Polypes, Fibromes, etc, ; et
affections génito-Urinaires spée
Phomme.
Ce procédé, & part son efm
dans la cure de ces affectionsâ€
peu cotteux : il préserve les ma
des dangers inhéreuts ( Chlorote
Ether et les suites facheuses g
la mort aprés Popération chirurge
aux opérations chirurgicales
quées faute de savoir mieux pour
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re prendre les mesures a domicile.
Port-au-Prince ( Haiti ).
LA MAISON
J. COR DASCO
Inforine le public et ses clients en
particulier, qu’elle a transféré son
Etublissement de cordonnerie, de la
rue du Magasin de |’Etat, au Ne 153 de
la Grand’Rue, presqu’en face de l’Ad-
ministration des Postes.
Comme par le passe, la Maison pro-
met ases Gients, ainsi qu’atous ceux
qai voudront Vhonorer de leur con-
fiance, les memes soins et la meme
ponctualité qu’ellea toujours apportés
dans l’exécution des commandes.
Port-au-Prince, 23 Mars 1908.
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Nous avons) l’honneur d’aviser le
public et lecommerce en particulier
uve |’association PETOIA & SEPE a été
‘un commun accord dissoute.
Désormais la Cordonnerie Nou-
velle continue sous la direction de
G. B. Pétoia.
Port-au-Prince, le 22 Mars 1908
Perora & SEPE
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J’ai Vhonneur d’aviser le public qu’a par-
tir de cette date, je suis propriétaire de la
cordonnerie A /’Elégance, 42, Rue des
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L’établissement promet les soins les plus
prompts aux commundes qui lui seront
confiées. 5. SEPE.
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