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- https://ufdc.ufl.edu/UF00081213/00166
Material Information
- Title:
- Le Matin
- Place of Publication:
- Port-au-Prince Haiti
- Publisher:
- [s.n.]
- Creation Date:
- October 18, 1907
- Frequency:
- daily
- Language:
- |||
Subjects
- Subjects / Keywords:
- Newspapers -- Haiti ( lcsh )
- Genre:
- newspaper ( sobekcm )
newspaper ( marcgt )
- Coordinates:
- -72.2803802891673 x 18.5142993036392
Record Information
- Source Institution:
- University of Florida
- Holding Location:
- Bibliothèque Haïtienne des Frères de l'Instruction Chrétienne
- Rights Management:
- The University of Florida George A. Smathers Libraries respect the intellectual property rights of others and do not claim any copyright interest in this item. This item may be protected by copyright but is made available here under a claim of fair use (17 U.S.C. §107) for non-profit research and educational purposes. Users of this work have responsibility for determining copyright status prior to reusing, publishing or reproducing this item for purposes other than what is allowed by fair use or other copyright exemptions. Any reuse of this item in excess of fair use or other copyright exemptions requires permission of the copyright holder. The Smathers Libraries would like to learn more about this item and invite individuals or organizations to contact Digital Services (UFDC@uflib.ufl.edu) with any additional information they can provide.
- Resource Identifier:
- 000358166 ( ALEPH )
ABZ6468 ( NOTIS )
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Re
ge ANNEE, N° 163
cot a
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LS Soe ee et eee Se eS
gest BS OT
ABONNEMENTS :
DIREOVE
pra MOIS ine Gourde © avaNnie
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DEVAL TAMANTS & Berane, REDAG Le ixear.y.
PORT-AU-PRINCE (nait1)
Chlewnr: 2.6 os
VENDREDI, 18 OCTOBRE i907.
a
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LE NUMERO 10 CENTIMES
IRE
Lagiocire,
Les abour: vets partert du rer. et du rs de chaque
recy et sont payables d’avance
sew!
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1aWVid) RA i itn
fre de poste en sus. AZ, FUE a LX, b4b0 Lea manusccita insdess ou nou Ge scout pas remis.
swt ST a Pa et "Armia TOSS Mr ema ec. OPM CELTS? it Sto tas eee. tte pa cere oN Seaman vo aes coma Soap pgs see ree oan oat
Pour tout ca qui concerne lS .iministraticon du Journal, sajicc3ser A Monsieur Arthur ISITIORE, 45, Rue Roux ou Bonne-Foi.
aa aa aoa aaa ae cena a ema tare SRT SRR AES 2 ws € SHO LP NA Oe sae Penns an re nergy oa _
w : . ~ s . . ' soe wae . ° ~ ;
i dAnglo-Saconrs p was ZLS8 et suiveees. psociété haitienne au revard de cellibérales. Et quand, 4 Vachévement
Si pour rendre sensible ma dSimouas-}vella devrait étre, je la représente-]de leurs études, ils ne réussissent
, (ation, Js veux, moi aussi, recourit| vii par les deux tableaux ci-contre ol}pas a forcer l’a ces d’un de ces
~ . a ° . .
SUR LE batkmeme procédé pour faire voir quel:
‘le est, an point de vue des conditions
feérament Haltien "Se
V
Legrand cxutoire, Chez nous, je Vai
@intes fois répété, ce sont les fonc-
fens adininistratives et militaires «
pisce sont, en observant ordre dé-
eMiasant @eucumbrenient, les profes
sions libérales d'avocuts, de niédecins ;
—
+
eet ee oe emcee,
r
2 ot ee
figarent, chacun
cial, les divers éléments que je
de considérer.
"Kreableau I
DECLASSES |
[ronetions administrativesect militaires
PROFESSIONS LIBERALES
dans un tracé spé-
rectangles et que leurs cfforts dévient,
viens
‘est rarement vers les rectangles in-
f'rieurs représentant le commerce,
Vindustrie ou Vagriculture, et c’est
presque toujours vers 'e rectangle su-
peérieur, celui des Déclassés.
Si nous recensions un peuce der-
nler, nous y trouverions la grande
masse de nos poétes et littérateurs
ratés, augmentée, au surplus, par la
contribution fournie par les fonctions
adiministratives et les professions libé-
rales res sartes d’accnnatinne offr
des loisirs qui permetten eo ssentres
tenir avec les Muses.
ks fonctions commerciales, celles de | — ri 5
fiedustrie sous ses divers’s formes! COMMERCE | Cest aussi dans ce rectangle des
enfin ceies de agriculture. Mais, | te Déclassés que se trouve le quartier-
@ mary de toutes ces fonctions, vi- | | INDUSTRIE général des politiciens et de cette sor-
vaaten parasites de chacune detles, | SDESER te de rebuts sociaux qui ne peuvent
@trouvent Ja grande catégorie CHa}
heas, candidats A toutes les ya |
gqalées, quelle qu2 soit la spéciali-
des fonctions en jeu, véritables |
feevaliors Qindastrie et Mailres-Jac- |
RS Universels, |
Edmond Dsmolins, dansl’étude com- ;
ee dupersounel politique qui forme :
*cOmposition de la Chambre des dé-;
frang tis 25 et calle da la Cham-'
® des Gommuies d’Angleterre, a!
: de readra sa démonstraticis |
la Vaide (aus réprésentation |
Waphique consistant en un tableiu, |
™Mp03S de tracés s9 rapportant cha- |
LL
AGRICULTURE
"K'ableau It
DECLASSES
FoncTioxs ADMINISTRATIVES ET MILITAIRES
PROFESSIONS LIBERALES
vivre que de nos bouleversements po-
litiques et qui se préoccupent sans
cesse d’appeler les événements nou-
veaux qu’ils arrivent parfois, en temps
de paix, 4 hater et a précipiter par
une propagande des plus démoralisan-
tes, et que, en temps de troubles, ils
réussissent, avec quelque art, a éter-
niser, pour leur seul profit et au
grand dommage du Pays.
Ceux denos publicistes qui atten=
dent de l’Etat qu’il organise le travail
pour ceux qui n’en ont pas ou qui
paraissent Me pas en avoir, peuvent
voir, par ces considérations, combien
c_semese
aap ae ils t é , S-
ae oun des éléments considérés. | | COMMERCE | Us font etrangement erre plutot. uu'en
; ese . a - tt }
onic ax d da tabieau, pov: etre bar — exhortast chacun a sa réforme propre
Ma assiso s ers, une pYeo ame, INDUSTRIE | et personnelle. Ce genre d’exhortation
ur sa base ; et Col “| peut seul atteindre l’affreux rectangle
= &33embié2s politiques de chaque!
§ doivent étre l'image réelle de la}
ate dont il s'agit de représenter et |
s4éfendre les intéréts, et que d’au- |
eT
| AGRICULTURE
et resserrer, en lamoindrissant de
plus en plus, le cadre de ses éléments
nuisibles et dangereux.
Ii m’en couterait énormément de
zm Part, lagriculture, lindustrie, le;
sfce sont reconnus le foundement.
i
cy
“3 naturel des socidtés, — I’émi- ayant une composition
. Créateur de la Science Sociale n’ai gage sar da prospériteé :
de peinas a faire ressortir, ‘est parfaite
la: haitienne te
E éette comparaison graphique
bnlé, au point de vue du per: |
Ml politique, de la Chambre des.
aA
woes anglaise sur la Chambre n’ i
l'image d’une p
MMcaise des Députés.
ar
ot
de mes lesteurs que cette sarticu
0 peut tenter peuvent lire, ‘replacées dans un ordre quelconque
et, le chapitre I du livre If de qui |
4 quoi tent Ja supériorité des’ nent
Dans I tableau (1) est représentés
la société haitienne bien é quilibrée et
qai so9it un
la pycamide
et solide; c’est la société
He qu’elle devrait étre.
Dans le tableau (ID), c’est la société
de nos jours, vacillante sur si base,
harmonieux e! offrant
yramide que l’on a dé-
léa et dont les parties ont été
ayant rien d’
maintient dans un stat perma-
@instabilité et de mobilité. C’est
‘a pyramide totalement renversée et
je ne saurais plus exactement mettre
ea relicf la vérité saisissante d’Ed-
mond Paal quand il écrivit que la so-
ciété haitienne était née la téte en bas:
«lle a donc conservé sa malformation
congénitale. ..
Que l’on pense aprés cela a Villogi-
que de notre syatéme d’éducation qai
gcandit et entretient en chacun de
nos jeunes concitoyens le désir d’al-
ler enfler davantage les rectangles de
notre tableau II réservés aux fonctions
admioiatratives et aux professions
penser que Haiti puisse avoir la vertu
spéciale de produire spontanément
une société ainsi constituée et man-
quant essentiellemont aux lois d’une
normale constitution sociale.
C’est donc notre formation sociale
quiest responsable de notre malaise
national et, il ne faut pas le perdre de
vue, cetls formation a été longue et
remonte audela de Il’acte de notre ia-
dépendance politique. Le sol méme
de Saint-Domingue, aussi loin que l’on
vouille remonter dans les orjigines, n’a
jamais conn .que le spectacle: des bou-
leversements qaiomar quent ke vie et
qai traduiscnt Veltfort s@sutaire des 50-
ciélés COlMUG dates.
Gertes, nous pourren , tae acdre
fois, mettre enorely -f bisa des figures
historiques qui font comtiaste dans ta
valerie des p teotmiuaues qui ont erdéé
notte fistoies. as que pouriant il
NO reste tonposrs val qre notre ile,
abe sho isi'e ftbee Douiters quad
Peimerodir pt 0 obec tous dos pays
qui tui foutsub sar outlet qui cons-
ttuent beocortia nt oanridianaal du
NouvVevdbevloned ort did victimes de
eethe Pence Pda cat does le grat poe
Weonaort est de tos jis si Vigouped
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HeUN So adreh ah atiN Cond debons patio.
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Wotbet ee bess sar boise Otve
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Paigs DITaM
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Jruot 17 Ocrosri:
rom tre: “61.3
ADO Gn 21,8
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yenne a lot de Ya rCaposratin 27.2
We Clel esto wrt.
yest COUVGTE Pontement apres 4 hh.
falo ct couroane lunaires 4S he
tuie ag h. 30m. marguant au pluvio-
‘re 2.9 millimetres.
e barometre est en baiss..
J. SCHERER
Nouveau livre precieux
sur Haiti
wns de seul but d’aider tes Américain:
former un jugement jusce et impartial |
on pays, M.J.N. LiGre, Envoyé Extra- |
naire et Mivistre Pileniporentiaire d’Haie |
ix Etats-Unis a éerit un livre du plus |
nterec. MAE LéGER est membre du Con- j
de Dircetion du Burau International |
<épubliques Ameéricaines, et pendant sa!
ve carricre en qualité ds représentant |
iu prés le Gouvernement des Etats- |
, ila sdrieusement et efficacement tra-'
$ au miaintien des relations amicales
existent depuis longtemps entre les
ays. Dans cet ouvrage, intitulé -
‘t1, Son Histoire et ses Détracieurs, »
aos 4 chur jusgaa 3 he‘ eres bien acquittés de leur délicate
4q
| cusé a donc été acquittée et mis en liberté. |
s
auteur est anime du plus grand désir de
faire micux connaitre ct apprécier les con-
ditions d Haiti dans le passé et dans le pre-
sent. La premiére partie traite de Histoire
de Lile de Saint-Domingue, de son asser~
vissement tour 4 tour par les Espagnols et
ks Frangtis, ainsi que de la révolte des in-
digenes qui, sons la direction de chefs dont
il fair voir héroisme et l’ardent patriotis-
ne s’cs' si heureusement terminde par Pin-
dépendance. Dans la deuxiéme il étudic
Phistoire naturelle d’Haiti, expose son sys-
tome d’instruc:ion, explique sa forme de
vouvernement et montre les manicres et
cou umes du pays, tout cela afin de faire
disparaiire un grand nombre d’ideé2s fausses
qed ead steut our les sof-disant principes bare
bares gui subsisteraint encore dins fa vie
indigene Ce volume, qui est publié cn
frangus ct en anglais par Nvare & Cin, N-
Srauitesecditeurs. 1907 ( NE.EE PUBLisiive
Company J, cst Pouvrage le plus recent et
infor.né en da maticre.
| ( Monthly Bulletin. )
| Ligne Hollandaise
|
!
jac mMicux
Prins Willem Vest entrées heer
. Y
Dies passavers suivants venant de New-
ys
Leu's Eisenstein, Jacques Liverani. P.
| Kavanagh, C. Miot, Mlle. Misr, Alice
Longehwariz,
' best repard aves les passagers suivants
(pours
© Saint-cMare + Monsas, Pere Primer, Dan-
eon Satntelteur, Murat Fievre, Orius Paul-
‘rire et deus enfants, J. Cantave, Mme. Vv° |
Honerius, Mme Can- |
3) Mare. Mie. E. Théeodule, Mereia Guile |
Joseph, Paui¢hormicr,
hume. Phiomene Isidore, Mme. Keénol,
Lasore, G. Philippe Auguste, Louis Colt-
nnon. Mere. Enile Miot, M> Reneaud.
I Goyaives : Frangois Adfdor, E. d’Huin,
hp) DD. Jacques, Lys Lator:tse.
Triounal Criminel
enn toe aid Mr cred 16 Octobre LYO7
b Ce sour. tes aceusés Guilboure Maxi et
Jh Jn Bep ice ont compara devant a
Cour ous dinculpaioad: vol dune vache
A Vaide do fiax-pisseport au picjudice de
Melehiscdech Cantave,
La deétense est présente
Jn Jacques ci Lamy.
[ie Jory est présidé par Me Charles Mil-
lery.
Le.deébats, quoique inte essaiuts par Ics
belles plaido:nies des avocits de li defense
nont pas ce longs.
Mo oAstrel
pir
Le chef du Parquet, Me I. Mo Pierre sou ,
ticnt vivenent accusation.
Mais la convie ion du Jury s'est vite for-
'meée par Vinsuflisance de preuves.
Les avoca’s de la défense se sont aussi
sion, Tout particuli¢rement Me Lamy a
sa defense.
Le verdict du jury a
Suivant : acquittement de
condamnation de Jh Jn Baptiste a 3 ans
d’em risonment,ce dernier béneficiant de la
loi Lespinasse a été également mis en li-
berté.
Audience du Jeudi 17 Octobre
A comparu devant la Cour 4 audience
de ce jour le nommé Dondon Dorcé accusé
d’avoir donné la mort au citoyen Dessalines
Titi. Ila été défendu par M° Elie Génesté.
L’accusation est soutenue par le chef du
Parquet.
Malgré le
donne
oids lourd de I’accusation,
le Jury, présidé par Mr Femonde Océan |
Ulysse, a répondu négativemont, vu le |
manque de preaves convaincanies. L’ac- |
3 @
Aujourd’hui passe l’affaire de la Poste,(vol
IIS= |
été bri lant ec d’une profonde sagicisé dans |
Te révuleae |:
Guilboute Maxi '
ete eee
pour la session parleme oe
souvrir: £ > un projat den
ciliter Vathibution de fa
des églises aux CommMinnes. €8
projet de loi pour la réforms dege
seils de guerre, et 3° un Projet dig,
sur le revonu. ‘4
Les inondations continugegs; ‘4
BARCELONE. — Les inondations dima
le vuisinage de cette ville contim
a étre trés graves. Jusqu’d
y a eu cing noyés, et trente
sonnes ont dQ interrompre tege
vail. La riviere Guadalmédina ¢
nouveau déborde et dans cette '
plusieurs vieillards ct des enfants gg
sont malheureusement noyés,
Le secrétaire de la guerre Taft
MANILLE. -- Lo secrstaire de ty
guerre Taft est arrive ici avjourd’hal
A quatre heures dia soir, venant é@
Hlong-Konog. Hoa regen un accueil ege
thousiaste.
Exésutions capitales
Sr-PETERSROURG. — Trente-quatre
territoristes furent exécutés dans te
eourant de Septembre.
Nouvelles divcrses
Pants. — Li situation est la mémg
au Maroc.
Lespluies et orayes continuent dans
le Midi, oft les dégats sont de plus ea
plus considérables.
Un urave accident s'est passé a
bord de la « Bretayae » pendant la
prise du commandement du capitaine
le vVaissean Laurent. Six mousses
sont tombss d'une vargue quia cédé
sous leurs poids, dars une embatce
tion longeant le batiment. — 3 fareat
transportés A Vhopital; leur état est
tres grave.
Mr Maurice
lObservatoire de Paris,
Institut, est décédé.
Le paquebot « Martinique » est af
rive hier & Bordeaux.
WASHINGTON, — Une violente 8
cousse de tremblement de terre a 66
enregistrée entre neuf heures 4¢€
de Aug. Ahrends.)
d'etre assez inidres-
de cheque au prejudice
Les débats pro netient
sants.
Tribunal de Cassation
SECTION CIVILE
Audience du jeudi, 17 Octobre 1907.
Présidence de Mr le Vice-Président Ernest
Bonhomuine.
Le Tribunal prend si¢ge 4 dix heures et
demie du matin et prononceles arréts sul-
vants : ;
1. — Celui qui casse et annule le juge-
ment da Tribunal civ. de Saint-Mare, du
7 Feévricr ryg06 contradictoirement rendu
entre Ja dime Destinctte Brienne Gilles
et Julien Sager 5 -- renveie Pathe par de-
vant le Tribunal civil des Gonaives et con-
damne Jatien Saget au depens.
Cetul pai déchare VE déchue de
Nourse? foarndé contre te jegement du
ta Cap-Hhitien, en date du
3h judi: rjo6, contradictoirement rendi
entre lui et tos sicurs © Czaykoski et Ce ;
condimiae | Rear aux dépens.
Pais or cntend Jes atlaires de :
re-— Post Pepa Intel Augusin contre
Dutrev Ye Morcaey.
Le Joge P. Laraque donne lecture de
son rapport.
Me Cain dtc Larortuc. Vun des avecits du
défendeur co tcotendu en ses observations
Le Ministere Public, Elie Curiel, conciut
au reject du Pourvoi
aoe Noes et Eas Moussalem contre
Madame Jh. Vilate.
Le Rapporteur, le Juge P. Laraque, lit
son rapport
Le Minisere Priiic, Keie Cartel, conclat
a Virrecevabiidé da porrvet,
| Mu Vheare avande, fe oidge est loved.
Flaiti l.ttcraire et sociala
i
{
2°. --
“son
Wt
Wi. VG
—
i
La Revee parait demain avec le somun.al-
Iunvy, directeur de
membre de
| re suivant.
Un diner chr z le howrrgan By édAy ir Frh-
Pores Covurs brisdés, Ferdinand Brissette , Poé-
‘siest L’Eventtil, Carl IPolff . Repro-
‘che, Jehor de Nocyece; Doux reproche,
eddrien Carrnird; A J Goditrev, ‘Burr-
Raywauds Co conventr de VEmoire, Lynx:
La chaarese magiiae, MA S05, Un conven-
‘tionne’ «> Elis: Bilaud Varenne, S Reu-| neuf vingt ce matin. ;
ster Vy ve ye et uy quate boutons S. R.; VIENNE. — Le Reisthag a repris 88
Nore Coted: 2 Souvenirs récrospcedfs, | Sessious aujourd’ hut.
ON: Qe rier. fe cass vieiWards). Antoine | New-York. — La greve des télegres |
Leferest: Exoosiius, AL L. Petites notes.| phistes continue , ses effets se font .
Bib iograyhic, C Le Monde, Homme et les tir 4 Chice |
Sciences, ) Lous Joseph Janvier.
plus parliculi¢rement sen
gO.
New York.— Forte baissea la Boute
z 1 se des valeurs.
_ & .
qr ° levu, Les Evéaements du Maroc
| _ Paris. — Lecorrespondan! du Me
OOILOUNER DB OF RE tin» dans une dépeche venan :
? . 18 OVTOBRE Rabat, dit que la_ situation du suites.
SPSDRRRTINR et POG COREE CFR ONT SPO Le
——
t
——
s Ld
Mica’ 2 Mita Ab lel-Aziz est plus désespérée ques,
Pra: G 209 ne le croyait d’abord. Il n’a d'argem |
Piss feet que pour 3 jours, et si la France 8¢
Marinade 4 la Financiére lui fournit pas de secours pécuniaies
Fricasssée de lambis res, il sera forcé de rendre son =
Filet mignon aux pommes et de s’enfermer dans Rabat. Un wf:
Haricots rouges en sauce - | éyvénement aussildt connu des partis,
Riz blane A PHaitienne sans Moulai-Hafid, aurait les conebe:
Giteau de patate quences graves. Ceux-ci viendraiest
Figues probablement assiéger le sultan
Café del-Aziz 4 Rabat.
1/2 Vin Une dépécha de Tanger du co
weemememe |pondant du « Petit-Journal » dit
"arméede Moulat-Hafid, forte de 5%
hommes. marche sur Casablanca Pee
attaquer. L.e général Drude, CO®
mandant les troupes francaises de &
sablanca, pousse activement es
vaux de défense. il
Les tribus qui ont attaqaé,
Le Cabinet devant le Pariement pen de semps, une colons
Panis. — Le cabinat a décidd de | former et de préparer une
placer 4 la téte de son programme! attaque.
Nouvelles Etrangere
DEPECHES RFCUES CE MATIN
——
ais. — Une dépéche recue du
; Drude, commandant les trou-
rancaises au Maroc, dit qu’on lui
ale que Parmée de Moulai-Hatid
est dans le voisinage de Casablan-
ge disperse.
fF Lempereur Frangois-Josech
F- wenne. — Les médecins ont exa-
Hef co soir le souverain et onl publis
balletin suivant: état général ds
ae ur est trés favorable ; le ca-
fm, otia fievre diminuent.
Frenne. - La condition de l'Empe-
; un peu ainéliorée.
[IGNe {OLLANDAISE
: Le S/S « PRINS WILLLEM V »
atendu de Sat nt-Mare et de Gonai-
ws Dimanche matin, 2Jcourant
e continuera le meémne jour a|
Midi, pour Petit Goave, Cayes, |
Aquin, Jacmel, Curacao, etc.
cau-Prince, le 18 Octobre 1907,
GERLACH & C® AGENTS. |
Oe Tuts
Attention !
Lidemoiselic Exwire Dupois, soussigneée,
want cn sa cualité de nicce er Aheéritere
& feu la Vve Saint Léger Pierre Jean Louis |
gnonce ct fait sivotr au public et au coim-
mrceenvendral ef notamment a Mes- |
feus 2s acOdaIS. otatres, eb arpenteurs
pablics quill existe entre elle ct les sicurs
Madamcs Whitty depuis Je 7 mai 1g06, de- |
le Tribunal civil de Port-au Prince, |
waproces reat a tanulicé des deux Tes-
penis faits par ia Wve Saint Leger Pierre
yn Louis, concernant deux propriétés lais-
Wes par celle-ci, A savoir:
.— Un imm.uble sis A Pori-au-Prince,
Ree Répablicaine, en face du marche Val-
fe, mesurant douze pieds deux pouces
e sur quitic-vingt deux pieds de
poiondeur borad avoir : au nord par les
ames Madeleine et Thérése, au Sud par
Omé Marcelin cr Mme Vve Lafontanr, 2
Vuest par la Rue Républicaine.
tcet immeuble cst construite une
en maisgonnerie couverte en toles,
aatle Nv r29 . dans la cour il existe
chambre constru‘te cn bois et couverte
thles 3 ¢t 2° un autre immeuble sis en
ville, Grand’Rue, attenant 4 lancien-
qropricxé Capré Stacco ;
cet immeuble est construite une
g00 basse en bois ;
8 conséquence il est fait défense for-
aux notiires publics et 1 tous ceux
‘Sappartiendra de passer toute vente cu
Mion quelconque relative A ces deux
tes qui sont actucllement en lit'ge.
| Port-au-Prince, 17 Octobre 1907.
Ecmire DUBOIS.
Liquidation!
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Si pour rendre sensible ma dSimouas-}vella devrait étre, je la représente-]de leurs études, ils ne réussissent
, (ation, Js veux, moi aussi, recourit| vii par les deux tableaux ci-contre ol}pas a forcer l’a ces d’un de ces
~ . a ° . .
SUR LE batkmeme procédé pour faire voir quel:
‘le est, an point de vue des conditions
feérament Haltien "Se
V
Legrand cxutoire, Chez nous, je Vai
@intes fois répété, ce sont les fonc-
fens adininistratives et militaires «
pisce sont, en observant ordre dé-
eMiasant @eucumbrenient, les profes
sions libérales d'avocuts, de niédecins ;
—
+
eet ee oe emcee,
r
2 ot ee
figarent, chacun
cial, les divers éléments que je
de considérer.
"Kreableau I
DECLASSES |
[ronetions administrativesect militaires
PROFESSIONS LIBERALES
dans un tracé spé-
rectangles et que leurs cfforts dévient,
viens
‘est rarement vers les rectangles in-
f'rieurs représentant le commerce,
Vindustrie ou Vagriculture, et c’est
presque toujours vers 'e rectangle su-
peérieur, celui des Déclassés.
Si nous recensions un peuce der-
nler, nous y trouverions la grande
masse de nos poétes et littérateurs
ratés, augmentée, au surplus, par la
contribution fournie par les fonctions
adiministratives et les professions libé-
rales res sartes d’accnnatinne offr
des loisirs qui permetten eo ssentres
tenir avec les Muses.
ks fonctions commerciales, celles de | — ri 5
fiedustrie sous ses divers’s formes! COMMERCE | Cest aussi dans ce rectangle des
enfin ceies de agriculture. Mais, | te Déclassés que se trouve le quartier-
@ mary de toutes ces fonctions, vi- | | INDUSTRIE général des politiciens et de cette sor-
vaaten parasites de chacune detles, | SDESER te de rebuts sociaux qui ne peuvent
@trouvent Ja grande catégorie CHa}
heas, candidats A toutes les ya |
gqalées, quelle qu2 soit la spéciali-
des fonctions en jeu, véritables |
feevaliors Qindastrie et Mailres-Jac- |
RS Universels, |
Edmond Dsmolins, dansl’étude com- ;
ee dupersounel politique qui forme :
*cOmposition de la Chambre des dé-;
frang tis 25 et calle da la Cham-'
® des Gommuies d’Angleterre, a!
: de readra sa démonstraticis |
la Vaide (aus réprésentation |
Waphique consistant en un tableiu, |
™Mp03S de tracés s9 rapportant cha- |
LL
AGRICULTURE
"K'ableau It
DECLASSES
FoncTioxs ADMINISTRATIVES ET MILITAIRES
PROFESSIONS LIBERALES
vivre que de nos bouleversements po-
litiques et qui se préoccupent sans
cesse d’appeler les événements nou-
veaux qu’ils arrivent parfois, en temps
de paix, 4 hater et a précipiter par
une propagande des plus démoralisan-
tes, et que, en temps de troubles, ils
réussissent, avec quelque art, a éter-
niser, pour leur seul profit et au
grand dommage du Pays.
Ceux denos publicistes qui atten=
dent de l’Etat qu’il organise le travail
pour ceux qui n’en ont pas ou qui
paraissent Me pas en avoir, peuvent
voir, par ces considérations, combien
c_semese
aap ae ils t é , S-
ae oun des éléments considérés. | | COMMERCE | Us font etrangement erre plutot. uu'en
; ese . a - tt }
onic ax d da tabieau, pov: etre bar — exhortast chacun a sa réforme propre
Ma assiso s ers, une pYeo ame, INDUSTRIE | et personnelle. Ce genre d’exhortation
ur sa base ; et Col “| peut seul atteindre l’affreux rectangle
= &33embié2s politiques de chaque!
§ doivent étre l'image réelle de la}
ate dont il s'agit de représenter et |
s4éfendre les intéréts, et que d’au- |
eT
| AGRICULTURE
et resserrer, en lamoindrissant de
plus en plus, le cadre de ses éléments
nuisibles et dangereux.
Ii m’en couterait énormément de
zm Part, lagriculture, lindustrie, le;
sfce sont reconnus le foundement.
i
cy
“3 naturel des socidtés, — I’émi- ayant une composition
. Créateur de la Science Sociale n’ai gage sar da prospériteé :
de peinas a faire ressortir, ‘est parfaite
la: haitienne te
E éette comparaison graphique
bnlé, au point de vue du per: |
Ml politique, de la Chambre des.
aA
woes anglaise sur la Chambre n’ i
l'image d’une p
MMcaise des Députés.
ar
ot
de mes lesteurs que cette sarticu
0 peut tenter peuvent lire, ‘replacées dans un ordre quelconque
et, le chapitre I du livre If de qui |
4 quoi tent Ja supériorité des’ nent
Dans I tableau (1) est représentés
la société haitienne bien é quilibrée et
qai so9it un
la pycamide
et solide; c’est la société
He qu’elle devrait étre.
Dans le tableau (ID), c’est la société
de nos jours, vacillante sur si base,
harmonieux e! offrant
yramide que l’on a dé-
léa et dont les parties ont été
ayant rien d’
maintient dans un stat perma-
@instabilité et de mobilité. C’est
‘a pyramide totalement renversée et
je ne saurais plus exactement mettre
ea relicf la vérité saisissante d’Ed-
mond Paal quand il écrivit que la so-
ciété haitienne était née la téte en bas:
«lle a donc conservé sa malformation
congénitale. ..
Que l’on pense aprés cela a Villogi-
que de notre syatéme d’éducation qai
gcandit et entretient en chacun de
nos jeunes concitoyens le désir d’al-
ler enfler davantage les rectangles de
notre tableau II réservés aux fonctions
admioiatratives et aux professions
penser que Haiti puisse avoir la vertu
spéciale de produire spontanément
une société ainsi constituée et man-
quant essentiellemont aux lois d’une
normale constitution sociale.
C’est donc notre formation sociale
quiest responsable de notre malaise
national et, il ne faut pas le perdre de
vue, cetls formation a été longue et
remonte audela de Il’acte de notre ia-
dépendance politique. Le sol méme
de Saint-Domingue, aussi loin que l’on
vouille remonter dans les orjigines, n’a
jamais conn .que le spectacle: des bou-
leversements qaiomar quent ke vie et
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enn toe aid Mr cred 16 Octobre LYO7
b Ce sour. tes aceusés Guilboure Maxi et
Jh Jn Bep ice ont compara devant a
Cour ous dinculpaioad: vol dune vache
A Vaide do fiax-pisseport au picjudice de
Melehiscdech Cantave,
La deétense est présente
Jn Jacques ci Lamy.
[ie Jory est présidé par Me Charles Mil-
lery.
Le.deébats, quoique inte essaiuts par Ics
belles plaido:nies des avocits de li defense
nont pas ce longs.
Mo oAstrel
pir
Le chef du Parquet, Me I. Mo Pierre sou ,
ticnt vivenent accusation.
Mais la convie ion du Jury s'est vite for-
'meée par Vinsuflisance de preuves.
Les avoca’s de la défense se sont aussi
sion, Tout particuli¢rement Me Lamy a
sa defense.
Le verdict du jury a
Suivant : acquittement de
condamnation de Jh Jn Baptiste a 3 ans
d’em risonment,ce dernier béneficiant de la
loi Lespinasse a été également mis en li-
berté.
Audience du Jeudi 17 Octobre
A comparu devant la Cour 4 audience
de ce jour le nommé Dondon Dorcé accusé
d’avoir donné la mort au citoyen Dessalines
Titi. Ila été défendu par M° Elie Génesté.
L’accusation est soutenue par le chef du
Parquet.
Malgré le
donne
oids lourd de I’accusation,
le Jury, présidé par Mr Femonde Océan |
Ulysse, a répondu négativemont, vu le |
manque de preaves convaincanies. L’ac- |
3 @
Aujourd’hui passe l’affaire de la Poste,(vol
IIS= |
été bri lant ec d’une profonde sagicisé dans |
Te révuleae |:
Guilboute Maxi '
ete eee
pour la session parleme oe
souvrir: £ > un projat den
ciliter Vathibution de fa
des églises aux CommMinnes. €8
projet de loi pour la réforms dege
seils de guerre, et 3° un Projet dig,
sur le revonu. ‘4
Les inondations continugegs; ‘4
BARCELONE. — Les inondations dima
le vuisinage de cette ville contim
a étre trés graves. Jusqu’d
y a eu cing noyés, et trente
sonnes ont dQ interrompre tege
vail. La riviere Guadalmédina ¢
nouveau déborde et dans cette '
plusieurs vieillards ct des enfants gg
sont malheureusement noyés,
Le secrétaire de la guerre Taft
MANILLE. -- Lo secrstaire de ty
guerre Taft est arrive ici avjourd’hal
A quatre heures dia soir, venant é@
Hlong-Konog. Hoa regen un accueil ege
thousiaste.
Exésutions capitales
Sr-PETERSROURG. — Trente-quatre
territoristes furent exécutés dans te
eourant de Septembre.
Nouvelles divcrses
Pants. — Li situation est la mémg
au Maroc.
Lespluies et orayes continuent dans
le Midi, oft les dégats sont de plus ea
plus considérables.
Un urave accident s'est passé a
bord de la « Bretayae » pendant la
prise du commandement du capitaine
le vVaissean Laurent. Six mousses
sont tombss d'une vargue quia cédé
sous leurs poids, dars une embatce
tion longeant le batiment. — 3 fareat
transportés A Vhopital; leur état est
tres grave.
Mr Maurice
lObservatoire de Paris,
Institut, est décédé.
Le paquebot « Martinique » est af
rive hier & Bordeaux.
WASHINGTON, — Une violente 8
cousse de tremblement de terre a 66
enregistrée entre neuf heures 4¢€
de Aug. Ahrends.)
d'etre assez inidres-
de cheque au prejudice
Les débats pro netient
sants.
Tribunal de Cassation
SECTION CIVILE
Audience du jeudi, 17 Octobre 1907.
Présidence de Mr le Vice-Président Ernest
Bonhomuine.
Le Tribunal prend si¢ge 4 dix heures et
demie du matin et prononceles arréts sul-
vants : ;
1. — Celui qui casse et annule le juge-
ment da Tribunal civ. de Saint-Mare, du
7 Feévricr ryg06 contradictoirement rendu
entre Ja dime Destinctte Brienne Gilles
et Julien Sager 5 -- renveie Pathe par de-
vant le Tribunal civil des Gonaives et con-
damne Jatien Saget au depens.
Cetul pai déchare VE déchue de
Nourse? foarndé contre te jegement du
ta Cap-Hhitien, en date du
3h judi: rjo6, contradictoirement rendi
entre lui et tos sicurs © Czaykoski et Ce ;
condimiae | Rear aux dépens.
Pais or cntend Jes atlaires de :
re-— Post Pepa Intel Augusin contre
Dutrev Ye Morcaey.
Le Joge P. Laraque donne lecture de
son rapport.
Me Cain dtc Larortuc. Vun des avecits du
défendeur co tcotendu en ses observations
Le Ministere Public, Elie Curiel, conciut
au reject du Pourvoi
aoe Noes et Eas Moussalem contre
Madame Jh. Vilate.
Le Rapporteur, le Juge P. Laraque, lit
son rapport
Le Minisere Priiic, Keie Cartel, conclat
a Virrecevabiidé da porrvet,
| Mu Vheare avande, fe oidge est loved.
Flaiti l.ttcraire et sociala
i
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2°. --
“son
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Wi. VG
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La Revee parait demain avec le somun.al-
Iunvy, directeur de
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| re suivant.
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Pores Covurs brisdés, Ferdinand Brissette , Poé-
‘siest L’Eventtil, Carl IPolff . Repro-
‘che, Jehor de Nocyece; Doux reproche,
eddrien Carrnird; A J Goditrev, ‘Burr-
Raywauds Co conventr de VEmoire, Lynx:
La chaarese magiiae, MA S05, Un conven-
‘tionne’ «> Elis: Bilaud Varenne, S Reu-| neuf vingt ce matin. ;
ster Vy ve ye et uy quate boutons S. R.; VIENNE. — Le Reisthag a repris 88
Nore Coted: 2 Souvenirs récrospcedfs, | Sessious aujourd’ hut.
ON: Qe rier. fe cass vieiWards). Antoine | New-York. — La greve des télegres |
Leferest: Exoosiius, AL L. Petites notes.| phistes continue , ses effets se font .
Bib iograyhic, C Le Monde, Homme et les tir 4 Chice |
Sciences, ) Lous Joseph Janvier.
plus parliculi¢rement sen
gO.
New York.— Forte baissea la Boute
z 1 se des valeurs.
_ & .
qr ° levu, Les Evéaements du Maroc
| _ Paris. — Lecorrespondan! du Me
OOILOUNER DB OF RE tin» dans une dépeche venan :
? . 18 OVTOBRE Rabat, dit que la_ situation du suites.
SPSDRRRTINR et POG COREE CFR ONT SPO Le
——
t
——
s Ld
Mica’ 2 Mita Ab lel-Aziz est plus désespérée ques,
Pra: G 209 ne le croyait d’abord. Il n’a d'argem |
Piss feet que pour 3 jours, et si la France 8¢
Marinade 4 la Financiére lui fournit pas de secours pécuniaies
Fricasssée de lambis res, il sera forcé de rendre son =
Filet mignon aux pommes et de s’enfermer dans Rabat. Un wf:
Haricots rouges en sauce - | éyvénement aussildt connu des partis,
Riz blane A PHaitienne sans Moulai-Hafid, aurait les conebe:
Giteau de patate quences graves. Ceux-ci viendraiest
Figues probablement assiéger le sultan
Café del-Aziz 4 Rabat.
1/2 Vin Une dépécha de Tanger du co
weemememe |pondant du « Petit-Journal » dit
"arméede Moulat-Hafid, forte de 5%
hommes. marche sur Casablanca Pee
attaquer. L.e général Drude, CO®
mandant les troupes francaises de &
sablanca, pousse activement es
vaux de défense. il
Les tribus qui ont attaqaé,
Le Cabinet devant le Pariement pen de semps, une colons
Panis. — Le cabinat a décidd de | former et de préparer une
placer 4 la téte de son programme! attaque.
Nouvelles Etrangere
DEPECHES RFCUES CE MATIN
——
ais. — Une dépéche recue du
; Drude, commandant les trou-
rancaises au Maroc, dit qu’on lui
ale que Parmée de Moulai-Hatid
est dans le voisinage de Casablan-
ge disperse.
fF Lempereur Frangois-Josech
F- wenne. — Les médecins ont exa-
Hef co soir le souverain et onl publis
balletin suivant: état général ds
ae ur est trés favorable ; le ca-
fm, otia fievre diminuent.
Frenne. - La condition de l'Empe-
; un peu ainéliorée.
[IGNe {OLLANDAISE
: Le S/S « PRINS WILLLEM V »
atendu de Sat nt-Mare et de Gonai-
ws Dimanche matin, 2Jcourant
e continuera le meémne jour a|
Midi, pour Petit Goave, Cayes, |
Aquin, Jacmel, Curacao, etc.
cau-Prince, le 18 Octobre 1907,
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& feu la Vve Saint Léger Pierre Jean Louis |
gnonce ct fait sivotr au public et au coim-
mrceenvendral ef notamment a Mes- |
feus 2s acOdaIS. otatres, eb arpenteurs
pablics quill existe entre elle ct les sicurs
Madamcs Whitty depuis Je 7 mai 1g06, de- |
le Tribunal civil de Port-au Prince, |
waproces reat a tanulicé des deux Tes-
penis faits par ia Wve Saint Leger Pierre
yn Louis, concernant deux propriétés lais-
Wes par celle-ci, A savoir:
.— Un imm.uble sis A Pori-au-Prince,
Ree Répablicaine, en face du marche Val-
fe, mesurant douze pieds deux pouces
e sur quitic-vingt deux pieds de
poiondeur borad avoir : au nord par les
ames Madeleine et Thérése, au Sud par
Omé Marcelin cr Mme Vve Lafontanr, 2
Vuest par la Rue Républicaine.
tcet immeuble cst construite une
en maisgonnerie couverte en toles,
aatle Nv r29 . dans la cour il existe
chambre constru‘te cn bois et couverte
thles 3 ¢t 2° un autre immeuble sis en
ville, Grand’Rue, attenant 4 lancien-
qropricxé Capré Stacco ;
cet immeuble est construite une
g00 basse en bois ;
8 conséquence il est fait défense for-
aux notiires publics et 1 tous ceux
‘Sappartiendra de passer toute vente cu
Mion quelconque relative A ces deux
tes qui sont actucllement en lit'ge.
| Port-au-Prince, 17 Octobre 1907.
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