Citation
Le Matin

Material Information

Title:
Le Matin
Place of Publication:
Port-au-Prince Haiti
Publisher:
[s.n.]
Creation Date:
September 30, 1907
Frequency:
daily
Language:
|||

Subjects

Subjects / Keywords:
Newspapers -- Haiti ( lcsh )
Genre:
newspaper ( sobekcm )
newspaper ( marcgt )
Coordinates:
-72.2803802891673 x 18.5142993036392

Record Information

Source Institution:
University of Florida
Holding Location:
Bibliothèque Haïtienne des Frères de l'Instruction Chrétienne
Rights Management:
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Resource Identifier:
000358166 ( ALEPH )
ABZ6468 ( NOTIS )

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Full Text
qn ANNEE, N° 152

PORT-AU-PRINCE (nuit!)

ee |

——— ee,
———e

MUTILATE



LUNDI, 30 SEPTEMBRE i907.



)

Le Matin

QUOTIDIEN

.
.
—.





ABONNEMENTS: || TT
| DimEcTeEur:
paR MOIS Une Gourde D'avVANCE Clément Magloire,



: DEPARTEMENT? & ETRANGER : REDACTION-ADMINISTRATION

|
vrais de poste en sus. 45, RUE ROUX, 45.
SS eee

Pour tout ce qui concerne l’Administration du Journal

Amin nn
VARISTOCRATIE BIEN

Un mot s’est glissé dernitrement
wus ma plume et a, parait-il, fort in-
bigué quelques-uns de mes lecteurs ;
cest le mot « aristocratie » et il a d’au-
hat plus intrigué que je l'avuis fait sui-
tre des mots « bien entendue ».

Que peut donc étre cette « aristocra-
te bien entendue » ?

La Rivolution francaise est venue et

‘soufilé, ou, pour etre plus exact, < aller
(ra soumer suF toutes 168 MeLHt Git oie’ GE SY MPA ee, Pius loin, dis-
tations. Le Tiers-Etat des Etats-Géneé-|¢yuivoque qu’a pu creer ie terme

« aristocratie » et je veux dire que je

nox de 8Y a illustré une des plus gi-
potesques poussées démocratiques|n’ai pas entendu parler de Paristocra-
eacomplétementrenversé, au moins |tie intellectuelle.

théoriquement, I’échafaudage social) Ente déclarant, je ne saurais éton-
des temps antérieurs. ner personne, car on connait deja
Depuis, la démocratie est devenue|imes idées et celles de ce journal sur
un dogme qui a, rendons-lui cette jus-|lavraie signification sociale des mani-
tee, tres peu rencontré d’bérétiques. |festations intcllectuelles. Si l'on veut
Pourtant peu a peu, la question so-|tenir compte des conséquences qui
dale, absolument indépendante, qu’on|duivent se dégager de tout ce que
venille bien le retenir, de la question|nous avons dit sur les caracteres
politique, s’est reformée sur un aulre/récls de lasupériorité sociale, on n’an-
lrrain et un des bienfaits de lalra prs de pene Ase convainere que
ocratie a lorgtemps consisté, con-|laristocratie que j'ai en Vue est celle
encore en France, en ce que I’ac-| (qui est ¢tablie sur la possession de la

6 des honn:urs et de I’éiévation|terre : c'est Pavistocratie terrienne.
tt ouvert aux représentants de i’ii- Celte uristocratie existait a St Do-
Wellectualité pure, et la formule una-|mingu? avant qu’elle fat devenue ter-
re libre : il est grand dommage que

Ment acceptée est : « a chacun

Q ses Capacités. » ta colonisation frangaise ait alors éte

Nous nous sommes montrés, ace souillée par la pratique de lesclavage
tde vue, les dignes héritiers de | et que ta Révolution franvaise, en Sup-

“ tradition politique francaise et le primant celui-vi, ait été impuissante

Ret ronflint de démocratie rend ici le}? Conserver sur ses ruines une aris-

mé tocratie terrienne restaurée. Peut-etre

me son qu’en France ; et comme





ee



oe mee



a.









a

ENTENDUE

tend de la possibilité pour les hum-
bles de s’élever ala fortune et aux
honneurs officiels par la seule acti-
vité intellectuelle.

Cest bien la, n’est-ce pas, de l’or-
thodoxie sociale ; est-ce cependant
bien 1a que git la vérité ?
















Sais allusion it

cette inission ?

ce, atort oua

*
x *

tention da

sociale frafleaise.

















planteurs :

veglon.

faire fortane,

ett précédé l'indépendance politique
par une logique et préalab’e dépos-
sesion territoriale.

L2 vrai et impérissable sentimen
patriotiqie vient, en effet, de la terre.
C’est bien la le véritable patrim>ine Ié-
guépar nos péres etle territoire que le
titre de propriété vient consacrer en-
tre les mains de chacun de nous mar-
que bien la mesure de son attache-
ment au sol national.

Les grands propriétaires, qul sont
les plus importants détenteurs de ce
sol sont, dans la méme mesure, de re-

e, dit libéral, s’est constitué, il a
wacré, comme étant un de ses

, plus capable, telle est,
aveu autorisé d’Edmond Paal, la
bemale irréductible inscrite sur la
niére du parti. °

tale cComparant la hiérarchisation so-
lation (auelte & celle d’avant la Révo-
dean TAncaise, il apparait hors de
Reavet 0° Varistocratie créée par le
tetle Ordre de choses est intellec-
et que ja démocratisation s’en-

affaires locales.

:

conjonctures,







s’adresser a Monsieur Arthur ISIDORE, 45)

Marquabies facteurs de l’évolution du
Pays , et quand j’écrivais l'autre jour:
« aristocratie bien entendue, » je fai-
ceux d’entre ces fac-
teurs qui peuvent étre 4 la hauteur de
leur vrale mission sociale.

Est-il nécessaire ie redire quelle est

Les révolutions ont abattu en Fran-
a raison, la puissance
politique des aristocrates,
Ont éle assez peu soucieux de leur ro-
le pour abdiquercette mission sociale
dont je viens de parler. [ls ont trop
Fite. Qiubjié ss pe.eriieanchlegsa.ooap-
pelé le souvenir d’un grand domaine
et que, uvant toute chose, elle rendait
manifeste et visible pour tous ‘la pré-
seiyneur & une parcelle
du sol de fa nation.

Avec leur puissance politique,
ont abdiqué ta gestion des intérets de
leurs localités et c’est la une des cau-
ses les plus sensibles de la décadence

*
as

Nous avonsen Haiti quelques grands
iis ue suffisent pas. Qu’ils
wuugmentent leur nombre et, en meme
temps, leur influence sociale gui leur
peruiettra de prendre la téte de leur

Quis ne s’y installent pas unique-
ment pour exploiter les
inais aussi pour deve-
nir, 4 tous les points de vue, les per-
sonnalités les plus importantes et les
plus indispensables Qu’ils y habitent
avec leurs familles et offrent person-
oellement a Vimitation

il sous enten . ‘+g|que la prospérité de Tile n’ent alors} leur confortable et ¢ e
tle la puissance dot reserve les droits pas connu si prompt déclin et peut-|dance privée. Que rien nese décide
ussi bien, quand le parti ‘progres- étre aussi que |l’indépendance sociale | dans la région sans eux et,

vérilables, qu’ils inspirent jusqu’aux
actes officiels eux-mémes.

Le pays pour eux sera leur région
et aucune importance ne sera, a leurs
yeux, plus grande que celle de leurs

C'est la pratique la plus claire de la
décentralisation et le meilleur moyen
de décharg.r le pouvoir central.

Les progres sociaux auront ainsi
chance de s’établir progressivement
au gré de l'aptitude et de l’activité de
chaque centre, et dans les grandes
la nation saufait natu-

Le RR SY ete,

_ - - ee, ee
— - —



SSS SSR

LE NUMER 10 CENTIMES.



Les abonnements partent da ier. et da rs de chaque

mois et sont payables d’avance

Les manuacrits insérés ou non ne sunt pas remis.

eee





>.

a ee
Rue Roux ou Bonne-Foi.



rellement trouver sa boussole et) ses
représentants les plus naturels et les
plus Iégititines,— sans se laisser gri-
ser par l’elfervescence des grands
mots qui sont, sous le couvert d’un
patrioltisme ma! entendu, la fatale ca-

ractéristique de l’aristocratie intel-
lectuelle.





























et ceux-cl

LA TUBERCULOSE ?

JURE

wn

( Voirles Nes dex 25, 26 et WSeplembre )

Altention ' M. Calinetle nous
dimportants consei/s pratiques.

« Vous étes bien, mon cher maitre,
Yun des promoteurs de la theorie nou-
velle : vous pensez que hi tuberenlose

—Certes'! nous dit M. Calmette. A
mon avis, les bacilles gue nous « respi-
ronsene dépassent pas le« laivnx» > un
spasme instinctif mous fait ramener et
rejeter constamment les poussiéres qui
s’accumulent a Ventrée de nos bronches.
Au contraire, non seulement nos repas,
mais notre perpetuel mouvement de sa-
livation et da deshiatition du bol salivai-
re font passer dius notre cwsophage les
bacilles eutrés dns la bouche. Et ceux-
ci descendent le long du tube digestif,
d’ot ils gagneront, par le chemin que
vous savez, les ciapillaires de nos pou-
mons.

— Et vous en concluez ?

—J’en conclus que, plus que jamais,
il faut surveiller nos aliments, éviter les
mets crus, faire bouillir le lait. Plus que
jamais, il faut apprendre au peuple a
se laver les mains avant les repas, 4 se
rincer fréquemment la bouche. Plus
que jamais, il faut lutter contre la dis-
sémioation des bacilles qui, malgré le
chemin détourné*qu’ils prennent, finie-
senttoujours par envahir notre poumon.
« Et pour cela, le combat doit conti-
nuer contre les poussiéres ( & vous au-
tomobiles ! ) contre les balayages 4 sec,
contre les mouches, contre les étubles
malproprez, contre le: laiteries douteu-
ses, contre les taudis, enfin et partout
coatre le funeste crachiat....

—Mais, objectons-nous, vos exzpérien-

danne

ils

habitants et

Vexemple de
de leur indépen-

notables





ces sont faites sur des animaux. Les
conelusions que vous en tirez sout-elles
également valables pour Phomme ? »

Wun ton tres résolu, lo docteur Cul-
mette répond a notre question :

—Tout porte a le croire ; en effet, les
theories tirées des efudes sur des hétes
expliqnent &@ merveille Le nature de Pine
vasion tuberculeuse chez | homie.

« Sachez, (ailleurs que les siavants
croient de plus en pis al « units de la
tuberculose 9, clust-a-dire a Pidentite
du bacille gai rend tubercalenx Uhoms
me et certains animany, par exemple te
bueuf. Jestime @ 3% pore cent fe num-
bre de tuberenluses iotuatifes caus ces
parle dait de vache: Or, vous” saves
qu'il meant, chagere atin ce. en Pirtiaee,
80.000 enfants deb aS ans, Geet done
au moins DU.00) vietimes ruil faut im-
puter au fait) tubercnteux ‘
contagion, ce passage dune de
alétre humein, (ous ces fats, el dau-

tres encore, nous auioriscent a applppuer:

a Phomme lestésalitts fe nos ee uedes sar
Panmimal

e &

Â¥*
L: Docteur Calmette a dja obtenu
othdon.

Vimportacds r&ultate.
— Comment avez-vous ele
chercher un Vaecimn contre
culose
-— Voici. Nous avons observe ce epi
se passe chez certtins
Porganisme se defend = imieux contre
Vintection cl finit par premdve Te dessus

omene a
la tuber-

a ee SS a EN TO

/Gouverneinent



LS



°

faite, la famille prie les amis de \
bien considérer cet avis Comme en
lieu.

ouloir

tenir duplicata, dix titres roses
pour en obten plicara, ’ tenant

Nes 28976 A 28985, dectares trauduleux,
annules et livrés aux flammes, ainst que
Vvatteste le procés-verbal de brilement dres-

Le « Prins Willem V >»

s¢ pir la commission de liquidation da! Co streamer est entré hier avec les pas-
Procés de la Consolidation, | procés-verbal sagers suivants veuant de:

: foe vey > o . . .

inséré dans le Moniteur Nv 82 du 13 Mie Cayes: Joseph, Henri et Christian La-

Duret, Alfred Ledan, Emm.
les, B. Dufanal et fille, L.
onguefosse, Franck Pres-
C. Mars, Victoria Thé-
Aricia Noiél,

tobre 1906. _
Por:-au-Prince, le 26 Septembre 1907.
L’ Officiel
ce Moniteur de samedi pubdlie dans sa
mimaire suivant :

noue, Florestan
| France, Ida Gil
Jeannot, Camille L
soir, José Malfran,

I
venin, Vve Charles Chauvet,

partie offf.cielle le so

Avis ministérigls ; Loi autorisant la ré-; C. Glodéus, Carmélia Exantus, Mme Du-
jour Joseph, Charlot Matis, L. Edouard.

ewlaristdon de certinys valeurs et ouvrant
des eredits suppiémentairesaus ditcrents Dé-
pariemiets onainistérich. Exeretee 1906-
t907 2 Leure du Commissaire spéeial da

res ta Bangue Nativnale |
des Finances 5

Saint-Mare 2 H. Labrousse, Em. Co'is-
non, Antoine Férut, Emma Ménard, A.
Lubin, Assad Elias, Cécile Lacoste, Gesner
Philippe Auguste, Philoméne Gressean,
Jean-Marie.

i
1
\

bP ;
VHaiti au Seerétaire dE

Senat -- Seances des 28 Juin et 2 janes aLe« Prins Willem Vix est parti dans la
; 19O7 3 Chamore. ~_ Seance du 7 Seplenore srate Qerecte nent pour New-Â¥ ork avec 2

Ia béte

itheevidas, dont ;

sur le bacille. Ges Iésions, une fois puece’

ries, iminanisent te supet contre: tes ie
fections futures : il est. por ainsi dire,
«Vaccine » natureiiement par cebte pres
mitre atteinte. La solution du proble-
me doit done consister a obtenie chez
tous une « vaccination » preveative cine
tre le mal.

~E rr, PO ca cere dat tc, Rade
fot avee das bicitles tragtics ef attenneés
par certtbus reactits. tantet oot surtout
avec des baeiles miodices - pois i
SUNS u tacs o— par ide chalerr de 702
(-etjye vous rappelle que les bacilles
tues ol atte oames se conduiseet danas

"Olre oOrstnesime absolument com ae des

bacilles normiux ef vivants ). Or, de
cette facon, nous avons eu de beaux
résultats. »

Lia belle et sonriante audace du Dr.

ralmette couvenerait les plas inerd.tu-
Us.

En remerciant Je Dro Calnette

de.

son accueil syinpachique, nous dat avons |

promis de tearsmetire ad nos lechours
ses precienx conseils, West chose faite.

( La fin ad demain 3

A. CHARLEUN.

ee ee ee ee ee:



a



eee?

QUES DUTRRS

--

Secrétairerisa d' Brat des Finan-
ces et du Commerce.

En cas de perte d’obligations de la Dette
Intérieure, des titres provisoires ne pour-
ront désormiis etre délivrés, aprés les for-
malités exigées par la loi, que sur le vu
d’un certificat du Commissaire du Gouver-
nement présla Banque Nationale d’Haiti
attestant que les dites obligations sont va-
lables.

Cette mesure est prise pour prévenir bien
des fraudes et empécher a l'avenir le retour
du fait auquel lamaison F. Herrmann &(Co
s‘est livrée en annongant, par un avis pu-
blié dans le Journal officiel’ des 12 au 06
Jain et 6 au 34 Juillet 1907. avoir perdu,

‘

|
!

Mawis-

sre
tm

passe Commandint Benito Sylvain et

/Raphac’ Marte.

Administration Postale
SERVICE INTERIEUR

ches recommandées en souffrance

rg06. ( Suite et cotta. ) Avis du
thit conmnunal de Port-au-Prince.
Un faux suicite

Hier vers lew 7 heures du sotr, un net:

‘ ry :
me Atbert atenté de se sutcider, en se-

pendant aun gacnépler au hint fen pus Nacius #yrame, Charles Stephen, G7
Pavec, dans les envi sde la Plice da Pan- | ‘ vo? . “4
Pave, dans les environsde la Plice da Pane | Alexandre Benoit, Mme Louis Geu vin,

Mme Maria Dossain, Mile Léonie Morale,
Muurina Pierre.
SERVICE EXTERIEUR
Carmen Lahera d2 Feranisio, Mime Vve
Wily Dewendrt, Commandant A. Ceéles-
tin, Ralf Ben¢rice.
Port-au Prince, le 30 Septembre 1907.

Nouvelles Btrangeres

DEPECHES RECUES CE MATIN

ed

Les évene ments du Biaroc

Mais la corde se cassa et le taux sutete
dé Sabatrit sur le sol avec un erand eri,
ce gu) attira des vorsins et passants qul lut!
yuckqaes soins.

Sur les centr. ftites intervinrent desagents

r: tt Leeengdr @
de police qui conduisirent le désespéré en

orion ou iia cté place sous la surveillance
Bulletin Officiel

Nous venons de recevoir leNo de Juidet,

du Baifetin officiel de PAgceculture et

VIndastrie . gui contient la loi relative a la

consirgctien du chemin de fer du Cap-Fhai-

snr les

do wierent «





ue

tien A Por.-au-Prince, et dos notes
abeiiles auisi que sur Velevage du Jovre.
a Eee Mouvelle, Bayye.- Reile GASABDANCGA.— Les chefs des trois
wero vale quio’ddite aa Cap Hai-: tribus qui se soul rendues, ont eu
them cry cogent dieses Tontes amt ivres ) hier une tongue conférence avec les
Eine” Reve, it Redaction, Les Morts, autorités francaises pour trouver le
Mystericass: Tousstint Loacoriars, Oi Victor; moyen @amener les trois tribus des
Boyer ; Pramyoisse dd Sowoeir, Jacques | Chaonias qui Wont pas encore accep-
Morlac 2 --Podstes? Proous Boot; De 1 Ethé- té les conditions de paix, & déposer
fique dats les “Races, Virice Mars. i|les armes.

Nous recommiaindoas ce numero nos |

woud

remy pee a

leur identité, ils furent internés a Da-
relinayzen, maison du pacha.

Le Sultan Abdel Aziz invita M.
gaaull a venir le voir a Rabati. L3 tni-
nistre de France a Tanger prendra des

, yOu t Paris — L’'amiral Philibert télégra-
weleuy4rs. i ‘ i ©
. phie que de nouvelies tribus font des
RENSE(GNEMENTS démarches pour obtenir Paman.
M . sont arrivés au consul! de France a
CO bservatoire Casablanca. Apres létubli-sement de

DU
EMIAQAIRE JOLLEGS $:-4ARTIAL

, y
aite

DIMANCHE 30SEPTFEMBRE

| Barometre 4 midi 761,0 instructions de son Gouvernement,

Loo avant de se rendre a cetts invitation.
Température} imam 23 1 Ballon dirigeable allemand

35,1 BERLIN.—On assure que t’ascension

Moyenne diurne de la température 28,0 du comte de Fermaud Zeppelin avec

‘ . . n dirigeable a été tres ssi. L’aé-

Le ciel a ét¢ assez clair le matin, nuas| roctat Gui a fait le tour da ag to

geux et mé.ne couvert dans l’aprés-midi.
Orage au Sud a 6h.
Couronne lunaire.

Le barometre baisse trés lentement.

Constance, est res:4 4 heures et 17
Minutes dans lair. I! se dirigeait avec
la plus granda facilité. Sa vitesse était
de 33 milles a VPheurs et il distangait

J. SCHERER tres facilement les bateaux pleins da
. spectateurs qui Ssuivaient l’ascension
Nécrologie sur le lac.

Nous avons regu le f2ire-part de la mort
de Saprac Hyppo.ire, ancien ‘Directeur de
la Douane de Port-au-Prince, ancien Tréso-
rier de la République, décédé hier matin.

Ses funérailles auront lieu cet aprés-mi-
di.4 l’Eglise Baptiste.

Nos condoléances aux parents du regretté
défant qui laisse le souvenir d’ane nature
droite et honnéte.

—Aucune invitation spéciale n’ayant été

Violente tompéte

St.-JEAN ( Terre-Neuve ) — Une tem-
péte violente a ravagé les cdte3 de
Terre-Neuve le 19 courant; 76 em-
barcations ont été perdues. |

L’cscadre éri
amen que.’ dans le

WASHINGTON. - On a pris connais-
sance aujourd’hui des propositions
faites par des fournisseurs de char-

L., Re

MUTIL

a

bon pour l’aprovisionnement q |
cadre américaine qui doit se . ro
dans le Pacifique en Déeombr e
chain. ° Pre
Ce charbon devra @re livré sup @
. ‘ ‘sur
férents points des Antilles et g r
mérique du Sud. eth
Lopz. — Le nouveau
fait fusiller aujourd’hui 2 soldats prt
avaient attaqué et volé différentes -
sonnes dans les rues. * Per.

Les aventures d'une princesse

VIENNE. — La princesse Montign
épouse divorcée du roi de Saxe dot
accoucher prochainement et gs re
marier avec un chef d’orchestre non-
iné Toselli. — On assure qu’un array.
ment a, Gté pris entre la cour d@&
Saxe et la princesse qui devra remet-
tre a Dresde !a petite fille qu'elle a oq
avec le roi; en échange Louise de
Montigmoso recevra une forte pension
qui pourrait tres bien étre supprimée
si ¢lle donnait suite 4 ses projets de
;Mariag >.

BRUXELLES. — On annonce que |e
mariage de la prince3sse de Montignoso
‘avec M. Toselli vient d’étre célébré,

Un paquebot coule a pic

GENES. — Le nouveau — paquebot
;transatlantique « Princesse Yolandes
acoule & pic au moment de son la
cement. IL my a pas eu de victimes,

I.es su'‘tes @d’un assassinat

Lopz. — 7 ouvriers et une jeune oa-
veiére des ateliers Marcus Silbersteia
accusés d’avoir assassiné leur patroa
ont été fasillés sans qu’aucun juge
nent Wait préecédé leur exécution. Le
nouveau gouverneur militaire a déci-
dé que pour punir tout le personnel
des usines Silbertein, coupable de
he pas avoir empéché l’assassinat, il,
déportera un tiers des 800 ouvriers.
tee 2 pustutiuos caront addcidées pal
la sore.

_ Toute la famille de M. Silbersteina
dtu s’enfuir 4 cause des menaces de
mort ae lui adressaient les terroris-
es.

Nouvelles diverses

_M. Briand ira & Saint-Chamond le
29 pour assister au Congrés socialiste
M. Sylva, ex-dévuté de St-Julien ( Haa-
te-Sivoie ) ancien Consul général &
Lisbonne et le Marquis de Ferron-
nays, député royaliste d’Ancenis, sont
décédés.

Panis. — Oa annonce officiellement
que le Commandant Dreyfus se retire
de l’'armée pour cause de santé.

ST-PETERSBOURG. — Le gouvernte
ment russe a décidé de recevoir aves
beaucoup d’honneur le Secrétaire Tat
a Son passage en Russie.

New-York. — M. Root, Seerefatré
des Affaires Etrangeres des Hials-Ua's
est parti pour le Mexique ; on tul pre
pare de grandes fétes.
REED

yrotel 3 eCllevis,



DEJEUNER DU 30 SEPTEMBRE
Mipl A 2 HEURES
Prix: G. 2.50
Be cé
"Rodis
Avocat
Morue a la Béchamel |
Langue de veau Parmentier
Filet Mignon aux pommes
Haricots rouges au lard

Riz blanc au s
Créme a la

Fruits
Café
1/2 Vin



ATED

ES

Electrothérapie
Docteur C. GAVEAU,
Diplémé del Universtté de Harvard
( Etats-Unis d’ Amérique. )

CABINET :

Coin des Rues Férou et du Censre,
vis-a-vis de I’ Hédtel Communal.

De 7 hrs. a 11 hrs. du matin.
De 2 hrs. dG hrs. de Vaprés-midi.

—— ee

TRAITEMENT DES MALADIES par les

en vogue en Europe et en Amérique.
4o-— Las affections SPECIALEs de la

femme.
%— Des affoctions CHRONIQUES
nérales ou locales.

doLes MALADES doivent savoir qu’au- '
jourd@’huiils Peuvent étre GUERIS sans
opération chirurgicale, par l’Etectro-!
prliquée |

thérapie scientifiquernent a
dans 1a plupart des maux dont sonf-
fre "humanité. Et le médecin inéme

est appelé, dans Vintérét de ses mata- |
Voir.

des, 2 les encouraver et A des
guérir sans une opération chirurgicale
‘délabrante et dont Ics suites
souvent les plus graves.



ee ee

ALEXIS BENOIT |

Distillateur-Liquoriste

63, RUE ROUX, 63. |

CI-DEVANT, RUE BONNE-For.

ES
De EDMOND HERAUX |

Revenu de son voyage aux Etats-:
us d’Amérique, le Doclteur Edmond |
raux se tieut ala disposition de SOs |
ents etdu public, 34, Rue des Ca-
nes.
Pourvu d’appareils électriques per- |
ttionnés apportés des Etats-Unis et
bduisant I'électricité statique, les
yons X, les courants de hante fre:
lence, les courants de haute tension,
4 COurants sinusoidaux, les courants
fadiques et les courants continus, le!
Edmond Héraux entreprendra, d’a- |
8 les principes et la technique de!
fSonval, d’'Oudin, de Tesia, de Du-
Reymond, de Morton, de Mon.
,Goelet et de Massey, !e traitement
4 Maladies suivantes: |





Cancer, Lupus, NEURASTHENIE, N&E-
IE, HysTerigz, HyYPoconpRir,
LYSIE, ATAXIE LUCOMOTRICE, RUU-
“BME, GOUTTE, SCIATIQUE, ARTHRI- |
DEFORMANTE, - CHOREE, PARALYSIE |
PANTE. ASTHME, EPILEPSIE, ECZEMA,
MPELE, DYSPEPSIE, DILATATION DE
OMAC, DIARRHEE CHRONIQUE, Ic-

% TROUBLES FONCTIONNELS DU
R,ARTRRIO SCLEROSE, IMPUISSANCE
SALE, PHTHISIE, GOITRE EXOPHTAL-
DiaBkre, CHLOROSE, OBESITE,
Bnicut, ELEPHANTIASIS, HEMOR-
S, AMANORRHEE, DYPMENOPREE,
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Pour tout ce qui concerne l’Administration du Journal

Amin nn
VARISTOCRATIE BIEN

Un mot s’est glissé dernitrement
wus ma plume et a, parait-il, fort in-
bigué quelques-uns de mes lecteurs ;
cest le mot « aristocratie » et il a d’au-
hat plus intrigué que je l'avuis fait sui-
tre des mots « bien entendue ».

Que peut donc étre cette « aristocra-
te bien entendue » ?

La Rivolution francaise est venue et

‘soufilé, ou, pour etre plus exact, < aller
(ra soumer suF toutes 168 MeLHt Git oie’ GE SY MPA ee, Pius loin, dis-
tations. Le Tiers-Etat des Etats-Géneé-|¢yuivoque qu’a pu creer ie terme

« aristocratie » et je veux dire que je

nox de 8Y a illustré une des plus gi-
potesques poussées démocratiques|n’ai pas entendu parler de Paristocra-
eacomplétementrenversé, au moins |tie intellectuelle.

théoriquement, I’échafaudage social) Ente déclarant, je ne saurais éton-
des temps antérieurs. ner personne, car on connait deja
Depuis, la démocratie est devenue|imes idées et celles de ce journal sur
un dogme qui a, rendons-lui cette jus-|lavraie signification sociale des mani-
tee, tres peu rencontré d’bérétiques. |festations intcllectuelles. Si l'on veut
Pourtant peu a peu, la question so-|tenir compte des conséquences qui
dale, absolument indépendante, qu’on|duivent se dégager de tout ce que
venille bien le retenir, de la question|nous avons dit sur les caracteres
politique, s’est reformée sur un aulre/récls de lasupériorité sociale, on n’an-
lrrain et un des bienfaits de lalra prs de pene Ase convainere que
ocratie a lorgtemps consisté, con-|laristocratie que j'ai en Vue est celle
encore en France, en ce que I’ac-| (qui est ¢tablie sur la possession de la

6 des honn:urs et de I’éiévation|terre : c'est Pavistocratie terrienne.
tt ouvert aux représentants de i’ii- Celte uristocratie existait a St Do-
Wellectualité pure, et la formule una-|mingu? avant qu’elle fat devenue ter-
re libre : il est grand dommage que

Ment acceptée est : « a chacun

Q ses Capacités. » ta colonisation frangaise ait alors éte

Nous nous sommes montrés, ace souillée par la pratique de lesclavage
tde vue, les dignes héritiers de | et que ta Révolution franvaise, en Sup-

“ tradition politique francaise et le primant celui-vi, ait été impuissante

Ret ronflint de démocratie rend ici le}? Conserver sur ses ruines une aris-

mé tocratie terrienne restaurée. Peut-etre

me son qu’en France ; et comme





ee



oe mee



a.









a

ENTENDUE

tend de la possibilité pour les hum-
bles de s’élever ala fortune et aux
honneurs officiels par la seule acti-
vité intellectuelle.

Cest bien la, n’est-ce pas, de l’or-
thodoxie sociale ; est-ce cependant
bien 1a que git la vérité ?
















Sais allusion it

cette inission ?

ce, atort oua

*
x *

tention da

sociale frafleaise.

















planteurs :

veglon.

faire fortane,

ett précédé l'indépendance politique
par une logique et préalab’e dépos-
sesion territoriale.

L2 vrai et impérissable sentimen
patriotiqie vient, en effet, de la terre.
C’est bien la le véritable patrim>ine Ié-
guépar nos péres etle territoire que le
titre de propriété vient consacrer en-
tre les mains de chacun de nous mar-
que bien la mesure de son attache-
ment au sol national.

Les grands propriétaires, qul sont
les plus importants détenteurs de ce
sol sont, dans la méme mesure, de re-

e, dit libéral, s’est constitué, il a
wacré, comme étant un de ses

, plus capable, telle est,
aveu autorisé d’Edmond Paal, la
bemale irréductible inscrite sur la
niére du parti. °

tale cComparant la hiérarchisation so-
lation (auelte & celle d’avant la Révo-
dean TAncaise, il apparait hors de
Reavet 0° Varistocratie créée par le
tetle Ordre de choses est intellec-
et que ja démocratisation s’en-

affaires locales.

:

conjonctures,







s’adresser a Monsieur Arthur ISIDORE, 45)

Marquabies facteurs de l’évolution du
Pays , et quand j’écrivais l'autre jour:
« aristocratie bien entendue, » je fai-
ceux d’entre ces fac-
teurs qui peuvent étre 4 la hauteur de
leur vrale mission sociale.

Est-il nécessaire ie redire quelle est

Les révolutions ont abattu en Fran-
a raison, la puissance
politique des aristocrates,
Ont éle assez peu soucieux de leur ro-
le pour abdiquercette mission sociale
dont je viens de parler. [ls ont trop
Fite. Qiubjié ss pe.eriieanchlegsa.ooap-
pelé le souvenir d’un grand domaine
et que, uvant toute chose, elle rendait
manifeste et visible pour tous ‘la pré-
seiyneur & une parcelle
du sol de fa nation.

Avec leur puissance politique,
ont abdiqué ta gestion des intérets de
leurs localités et c’est la une des cau-
ses les plus sensibles de la décadence

*
as

Nous avonsen Haiti quelques grands
iis ue suffisent pas. Qu’ils
wuugmentent leur nombre et, en meme
temps, leur influence sociale gui leur
peruiettra de prendre la téte de leur

Quis ne s’y installent pas unique-
ment pour exploiter les
inais aussi pour deve-
nir, 4 tous les points de vue, les per-
sonnalités les plus importantes et les
plus indispensables Qu’ils y habitent
avec leurs familles et offrent person-
oellement a Vimitation

il sous enten . ‘+g|que la prospérité de Tile n’ent alors} leur confortable et ¢ e
tle la puissance dot reserve les droits pas connu si prompt déclin et peut-|dance privée. Que rien nese décide
ussi bien, quand le parti ‘progres- étre aussi que |l’indépendance sociale | dans la région sans eux et,

vérilables, qu’ils inspirent jusqu’aux
actes officiels eux-mémes.

Le pays pour eux sera leur région
et aucune importance ne sera, a leurs
yeux, plus grande que celle de leurs

C'est la pratique la plus claire de la
décentralisation et le meilleur moyen
de décharg.r le pouvoir central.

Les progres sociaux auront ainsi
chance de s’établir progressivement
au gré de l'aptitude et de l’activité de
chaque centre, et dans les grandes
la nation saufait natu-

Le RR SY ete,

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rellement trouver sa boussole et) ses
représentants les plus naturels et les
plus Iégititines,— sans se laisser gri-
ser par l’elfervescence des grands
mots qui sont, sous le couvert d’un
patrioltisme ma! entendu, la fatale ca-

ractéristique de l’aristocratie intel-
lectuelle.





























et ceux-cl

LA TUBERCULOSE ?

JURE

wn

( Voirles Nes dex 25, 26 et WSeplembre )

Altention ' M. Calinetle nous
dimportants consei/s pratiques.

« Vous étes bien, mon cher maitre,
Yun des promoteurs de la theorie nou-
velle : vous pensez que hi tuberenlose

—Certes'! nous dit M. Calmette. A
mon avis, les bacilles gue nous « respi-
ronsene dépassent pas le« laivnx» > un
spasme instinctif mous fait ramener et
rejeter constamment les poussiéres qui
s’accumulent a Ventrée de nos bronches.
Au contraire, non seulement nos repas,
mais notre perpetuel mouvement de sa-
livation et da deshiatition du bol salivai-
re font passer dius notre cwsophage les
bacilles eutrés dns la bouche. Et ceux-
ci descendent le long du tube digestif,
d’ot ils gagneront, par le chemin que
vous savez, les ciapillaires de nos pou-
mons.

— Et vous en concluez ?

—J’en conclus que, plus que jamais,
il faut surveiller nos aliments, éviter les
mets crus, faire bouillir le lait. Plus que
jamais, il faut apprendre au peuple a
se laver les mains avant les repas, 4 se
rincer fréquemment la bouche. Plus
que jamais, il faut lutter contre la dis-
sémioation des bacilles qui, malgré le
chemin détourné*qu’ils prennent, finie-
senttoujours par envahir notre poumon.
« Et pour cela, le combat doit conti-
nuer contre les poussiéres ( & vous au-
tomobiles ! ) contre les balayages 4 sec,
contre les mouches, contre les étubles
malproprez, contre le: laiteries douteu-
ses, contre les taudis, enfin et partout
coatre le funeste crachiat....

—Mais, objectons-nous, vos exzpérien-

danne

ils

habitants et

Vexemple de
de leur indépen-

notables


ces sont faites sur des animaux. Les
conelusions que vous en tirez sout-elles
également valables pour Phomme ? »

Wun ton tres résolu, lo docteur Cul-
mette répond a notre question :

—Tout porte a le croire ; en effet, les
theories tirées des efudes sur des hétes
expliqnent &@ merveille Le nature de Pine
vasion tuberculeuse chez | homie.

« Sachez, (ailleurs que les siavants
croient de plus en pis al « units de la
tuberculose 9, clust-a-dire a Pidentite
du bacille gai rend tubercalenx Uhoms
me et certains animany, par exemple te
bueuf. Jestime @ 3% pore cent fe num-
bre de tuberenluses iotuatifes caus ces
parle dait de vache: Or, vous” saves
qu'il meant, chagere atin ce. en Pirtiaee,
80.000 enfants deb aS ans, Geet done
au moins DU.00) vietimes ruil faut im-
puter au fait) tubercnteux ‘
contagion, ce passage dune de
alétre humein, (ous ces fats, el dau-

tres encore, nous auioriscent a applppuer:

a Phomme lestésalitts fe nos ee uedes sar
Panmimal

e &

Â¥*
L: Docteur Calmette a dja obtenu
othdon.

Vimportacds r&ultate.
— Comment avez-vous ele
chercher un Vaecimn contre
culose
-— Voici. Nous avons observe ce epi
se passe chez certtins
Porganisme se defend = imieux contre
Vintection cl finit par premdve Te dessus

omene a
la tuber-

a ee SS a EN TO

/Gouverneinent



LS



°

faite, la famille prie les amis de \
bien considérer cet avis Comme en
lieu.

ouloir

tenir duplicata, dix titres roses
pour en obten plicara, ’ tenant

Nes 28976 A 28985, dectares trauduleux,
annules et livrés aux flammes, ainst que
Vvatteste le procés-verbal de brilement dres-

Le « Prins Willem V >»

s¢ pir la commission de liquidation da! Co streamer est entré hier avec les pas-
Procés de la Consolidation, | procés-verbal sagers suivants veuant de:

: foe vey > o . . .

inséré dans le Moniteur Nv 82 du 13 Mie Cayes: Joseph, Henri et Christian La-

Duret, Alfred Ledan, Emm.
les, B. Dufanal et fille, L.
onguefosse, Franck Pres-
C. Mars, Victoria Thé-
Aricia Noiél,

tobre 1906. _
Por:-au-Prince, le 26 Septembre 1907.
L’ Officiel
ce Moniteur de samedi pubdlie dans sa
mimaire suivant :

noue, Florestan
| France, Ida Gil
Jeannot, Camille L
soir, José Malfran,

I
venin, Vve Charles Chauvet,

partie offf.cielle le so

Avis ministérigls ; Loi autorisant la ré-; C. Glodéus, Carmélia Exantus, Mme Du-
jour Joseph, Charlot Matis, L. Edouard.

ewlaristdon de certinys valeurs et ouvrant
des eredits suppiémentairesaus ditcrents Dé-
pariemiets onainistérich. Exeretee 1906-
t907 2 Leure du Commissaire spéeial da

res ta Bangue Nativnale |
des Finances 5

Saint-Mare 2 H. Labrousse, Em. Co'is-
non, Antoine Férut, Emma Ménard, A.
Lubin, Assad Elias, Cécile Lacoste, Gesner
Philippe Auguste, Philoméne Gressean,
Jean-Marie.

i
1
\

bP ;
VHaiti au Seerétaire dE

Senat -- Seances des 28 Juin et 2 janes aLe« Prins Willem Vix est parti dans la
; 19O7 3 Chamore. ~_ Seance du 7 Seplenore srate Qerecte nent pour New-Â¥ ork avec 2

Ia béte

itheevidas, dont ;

sur le bacille. Ges Iésions, une fois puece’

ries, iminanisent te supet contre: tes ie
fections futures : il est. por ainsi dire,
«Vaccine » natureiiement par cebte pres
mitre atteinte. La solution du proble-
me doit done consister a obtenie chez
tous une « vaccination » preveative cine
tre le mal.

~E rr, PO ca cere dat tc, Rade
fot avee das bicitles tragtics ef attenneés
par certtbus reactits. tantet oot surtout
avec des baeiles miodices - pois i
SUNS u tacs o— par ide chalerr de 702
(-etjye vous rappelle que les bacilles
tues ol atte oames se conduiseet danas

"Olre oOrstnesime absolument com ae des

bacilles normiux ef vivants ). Or, de
cette facon, nous avons eu de beaux
résultats. »

Lia belle et sonriante audace du Dr.

ralmette couvenerait les plas inerd.tu-
Us.

En remerciant Je Dro Calnette

de.

son accueil syinpachique, nous dat avons |

promis de tearsmetire ad nos lechours
ses precienx conseils, West chose faite.

( La fin ad demain 3

A. CHARLEUN.

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ces et du Commerce.

En cas de perte d’obligations de la Dette
Intérieure, des titres provisoires ne pour-
ront désormiis etre délivrés, aprés les for-
malités exigées par la loi, que sur le vu
d’un certificat du Commissaire du Gouver-
nement présla Banque Nationale d’Haiti
attestant que les dites obligations sont va-
lables.

Cette mesure est prise pour prévenir bien
des fraudes et empécher a l'avenir le retour
du fait auquel lamaison F. Herrmann &(Co
s‘est livrée en annongant, par un avis pu-
blié dans le Journal officiel’ des 12 au 06
Jain et 6 au 34 Juillet 1907. avoir perdu,

‘

|
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Mawis-

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passe Commandint Benito Sylvain et

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ches recommandées en souffrance

rg06. ( Suite et cotta. ) Avis du
thit conmnunal de Port-au-Prince.
Un faux suicite

Hier vers lew 7 heures du sotr, un net:

‘ ry :
me Atbert atenté de se sutcider, en se-

pendant aun gacnépler au hint fen pus Nacius #yrame, Charles Stephen, G7
Pavec, dans les envi sde la Plice da Pan- | ‘ vo? . “4
Pave, dans les environsde la Plice da Pane | Alexandre Benoit, Mme Louis Geu vin,

Mme Maria Dossain, Mile Léonie Morale,
Muurina Pierre.
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Carmen Lahera d2 Feranisio, Mime Vve
Wily Dewendrt, Commandant A. Ceéles-
tin, Ralf Ben¢rice.
Port-au Prince, le 30 Septembre 1907.

Nouvelles Btrangeres

DEPECHES RECUES CE MATIN

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Les évene ments du Biaroc

Mais la corde se cassa et le taux sutete
dé Sabatrit sur le sol avec un erand eri,
ce gu) attira des vorsins et passants qul lut!
yuckqaes soins.

Sur les centr. ftites intervinrent desagents

r: tt Leeengdr @
de police qui conduisirent le désespéré en

orion ou iia cté place sous la surveillance
Bulletin Officiel

Nous venons de recevoir leNo de Juidet,

du Baifetin officiel de PAgceculture et

VIndastrie . gui contient la loi relative a la

consirgctien du chemin de fer du Cap-Fhai-

snr les

do wierent «





ue

tien A Por.-au-Prince, et dos notes
abeiiles auisi que sur Velevage du Jovre.
a Eee Mouvelle, Bayye.- Reile GASABDANCGA.— Les chefs des trois
wero vale quio’ddite aa Cap Hai-: tribus qui se soul rendues, ont eu
them cry cogent dieses Tontes amt ivres ) hier une tongue conférence avec les
Eine” Reve, it Redaction, Les Morts, autorités francaises pour trouver le
Mystericass: Tousstint Loacoriars, Oi Victor; moyen @amener les trois tribus des
Boyer ; Pramyoisse dd Sowoeir, Jacques | Chaonias qui Wont pas encore accep-
Morlac 2 --Podstes? Proous Boot; De 1 Ethé- té les conditions de paix, & déposer
fique dats les “Races, Virice Mars. i|les armes.

Nous recommiaindoas ce numero nos |

woud

remy pee a

leur identité, ils furent internés a Da-
relinayzen, maison du pacha.

Le Sultan Abdel Aziz invita M.
gaaull a venir le voir a Rabati. L3 tni-
nistre de France a Tanger prendra des

, yOu t Paris — L’'amiral Philibert télégra-
weleuy4rs. i ‘ i ©
. phie que de nouvelies tribus font des
RENSE(GNEMENTS démarches pour obtenir Paman.
M . sont arrivés au consul! de France a
CO bservatoire Casablanca. Apres létubli-sement de

DU
EMIAQAIRE JOLLEGS $:-4ARTIAL

, y
aite

DIMANCHE 30SEPTFEMBRE

| Barometre 4 midi 761,0 instructions de son Gouvernement,

Loo avant de se rendre a cetts invitation.
Température} imam 23 1 Ballon dirigeable allemand

35,1 BERLIN.—On assure que t’ascension

Moyenne diurne de la température 28,0 du comte de Fermaud Zeppelin avec

‘ . . n dirigeable a été tres ssi. L’aé-

Le ciel a ét¢ assez clair le matin, nuas| roctat Gui a fait le tour da ag to

geux et mé.ne couvert dans l’aprés-midi.
Orage au Sud a 6h.
Couronne lunaire.

Le barometre baisse trés lentement.

Constance, est res:4 4 heures et 17
Minutes dans lair. I! se dirigeait avec
la plus granda facilité. Sa vitesse était
de 33 milles a VPheurs et il distangait

J. SCHERER tres facilement les bateaux pleins da
. spectateurs qui Ssuivaient l’ascension
Nécrologie sur le lac.

Nous avons regu le f2ire-part de la mort
de Saprac Hyppo.ire, ancien ‘Directeur de
la Douane de Port-au-Prince, ancien Tréso-
rier de la République, décédé hier matin.

Ses funérailles auront lieu cet aprés-mi-
di.4 l’Eglise Baptiste.

Nos condoléances aux parents du regretté
défant qui laisse le souvenir d’ane nature
droite et honnéte.

—Aucune invitation spéciale n’ayant été

Violente tompéte

St.-JEAN ( Terre-Neuve ) — Une tem-
péte violente a ravagé les cdte3 de
Terre-Neuve le 19 courant; 76 em-
barcations ont été perdues. |

L’cscadre éri
amen que.’ dans le

WASHINGTON. - On a pris connais-
sance aujourd’hui des propositions
faites par des fournisseurs de char-

L., Re

MUTIL

a

bon pour l’aprovisionnement q |
cadre américaine qui doit se . ro
dans le Pacifique en Déeombr e
chain. ° Pre
Ce charbon devra @re livré sup @
. ‘ ‘sur
férents points des Antilles et g r
mérique du Sud. eth
Lopz. — Le nouveau
fait fusiller aujourd’hui 2 soldats prt
avaient attaqué et volé différentes -
sonnes dans les rues. * Per.

Les aventures d'une princesse

VIENNE. — La princesse Montign
épouse divorcée du roi de Saxe dot
accoucher prochainement et gs re
marier avec un chef d’orchestre non-
iné Toselli. — On assure qu’un array.
ment a, Gté pris entre la cour d@&
Saxe et la princesse qui devra remet-
tre a Dresde !a petite fille qu'elle a oq
avec le roi; en échange Louise de
Montigmoso recevra une forte pension
qui pourrait tres bien étre supprimée
si ¢lle donnait suite 4 ses projets de
;Mariag >.

BRUXELLES. — On annonce que |e
mariage de la prince3sse de Montignoso
‘avec M. Toselli vient d’étre célébré,

Un paquebot coule a pic

GENES. — Le nouveau — paquebot
;transatlantique « Princesse Yolandes
acoule & pic au moment de son la
cement. IL my a pas eu de victimes,

I.es su'‘tes @d’un assassinat

Lopz. — 7 ouvriers et une jeune oa-
veiére des ateliers Marcus Silbersteia
accusés d’avoir assassiné leur patroa
ont été fasillés sans qu’aucun juge
nent Wait préecédé leur exécution. Le
nouveau gouverneur militaire a déci-
dé que pour punir tout le personnel
des usines Silbertein, coupable de
he pas avoir empéché l’assassinat, il,
déportera un tiers des 800 ouvriers.
tee 2 pustutiuos caront addcidées pal
la sore.

_ Toute la famille de M. Silbersteina
dtu s’enfuir 4 cause des menaces de
mort ae lui adressaient les terroris-
es.

Nouvelles diverses

_M. Briand ira & Saint-Chamond le
29 pour assister au Congrés socialiste
M. Sylva, ex-dévuté de St-Julien ( Haa-
te-Sivoie ) ancien Consul général &
Lisbonne et le Marquis de Ferron-
nays, député royaliste d’Ancenis, sont
décédés.

Panis. — Oa annonce officiellement
que le Commandant Dreyfus se retire
de l’'armée pour cause de santé.

ST-PETERSBOURG. — Le gouvernte
ment russe a décidé de recevoir aves
beaucoup d’honneur le Secrétaire Tat
a Son passage en Russie.

New-York. — M. Root, Seerefatré
des Affaires Etrangeres des Hials-Ua's
est parti pour le Mexique ; on tul pre
pare de grandes fétes.
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