Le Nouvelliste ( January 22, 1935 )

LeU JV I 9PTWW8q& DUO Braiun'ir e 4, flaswa s u St* ttIC wan **** *js qsa* ***
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* de to pwqu pu U QUXITNS a public dans 4 numero du vier 196.
- utgtdrt pap. tendart c PLEBBISCf& #)1 Janider coram un intbresd.grer. le ntt tn nus ex- .onsieur le Pri'dent do
nte seret! pas IM l k n (nit Au no. d'Akr) trayons le paa suivant : Comit du Cinquantenaire d


I�KNDUM du 10 FrIer rPJ- f.igue-bna e people - condition premere Votre lettre du 14 county
chain,"quel quen sf r l "": de la stability pdfltique et de est en ma possession, mi nfortat, out ttey lear dil'af II nous faut done faire de l a paix durable. tous les ino- mnant quo votre Comite a fait ur des teMnxtes nu t ion" 'argent,. le plus d'argent p yens pour y arryr sont nor- choix de mo et de M. Clenets. sible, pour rencontrer au maux et dovent Mre approu- ment Magloire, pour nous ofSeere, eL moins nos besoins les lus ur- vs par e people 4taven. fir la presidence d'Honneur
s n42,Zw dro d ql"quadnsam ,,gent. Tou se ramhne i^eel, Donetw a l's ne pour les de Ia manifestation sportive,
:erontester, toutcomeIss tout, y compris mime le d& ,Pouoirs Spria * qui aura lieu en Fevrier proDputis signatairee e.t Uas. veloppement de notre instruc- chain, a l'occasion du Jile de
:un dront quear cwrntre tion publique, cheval de batail = "" r.'-nfr-- Monsieur le Directeur du Coldun~< droi - l.g Lovertre




ear quaIt de Reprenuts le sulaire de ces d6mago LvNTJ s onertured
dIrect4 du Pele. - gues impnitents, court de LEPRESIDENT Je suis honor de cette dpis.fMals comme 1 s eiweue rues pratiques, et qui ne grm A AIN u tinction et 'est avec paisir
iidente divergence de vues ' pent priodiqueIment sur cet- querJ'acepte anihnneur de prJ
nre eee deux gronpes.de te vieille haridelle fourbue' Depuis dimanche le Prisi- me iens entire ent a vote
Mandataires de la Nation, i que pour a trainer, de temps dent st Kenscof. On esre iotin etre a dte
Imported que, pour Les dtpar- en temps, a I'assaut de va- le revoir ici domain matinr dositionzpout udteue
- ENspo dun purptaedanepru







ager, intervienne anae Su- gues 6leeteurs non avertis. I C'est un re s ncessaire, vous .aurez Exe utterieureC'est.eu.-sot.s n'quessed e0-en. osesin







reme, en tespce: le Peuple, Ce n'est pas, en effet, avee des aprts les dernipres fetes de fin e pieo ear Mandant. Les ONZE S{ mots qu'on construira nos dense et A la veille des pr6- Je vous pi, Monsieur l
14 ot n a.o d-. fire d'an et a eilte dses pro- rsint, d'asure eit mi







teur out done, par lear De maisons d'4coles, qu'on rel- occupations inhrentes la t de mor sentiments les pius Iaration, Justl fi#la m~sire vera le salaire des institu- prochaine consultation natio- tdvoums et d'amer mes sa-! a Chf de l'Etat, cosa teurs, qu'on fra venir dans nale du 0 Fvtvriepchai Iu tatona distingurees.
conce npqurI Pe*dana epay le ee shieiensde Pen Nous lei renouveoeons. ex-l a sdne
Scornices, puque, d.- s.eignement dont le contours pression de nos sentiments de () Edouard ESTVE.
at actueltdts ceho, e'll exi" Jious est encore fleessaire, et d6vouement. e un A rbitre Suprme, feat qu'on mettra notre population e
en le Souverain, dent ee a seolaire A mprime de profiter de * - -
rits e sa aient servir Plducation primaire quo rE- (OMMENCEMEN T
n/eu danS la tte d&ew tat est te opde lui assurer. Ces certain nombre de mes bons aSen ses M andatairee choses-l& ne se font qu'avec mis du Cap, et que tout le mal
Certes, Jusqu'au nment oft de 'argent. Et tout progrts,en venait prcisdmnent de cette DINCENDIE
Sleur.adL itgavaitpo des questions d'trgent, A la uns tiraient leur petite pata- et demie, i r y eut un commelitit pour aux de garder valour des resources d'un te. cement dincendt a Rue St.
srnitdt qul moment ft des pays. C'est come cela, mes I y a eu, certainement, un Honorte. L'actif Comnanmbres d Corps pondtra chers amis, et nous n'y pou- malentendu, puisque c'est, au dant George. Ble so transur par excellence, e'et-d-di- vons ien. contraire, pour assurer la pa- porta Gediatement tsur as
e ne attitude ferme, et dl Et comme, malgrl une for- tate de tout le monde, et su- lioux avec s s intrsides porn, dominant en an mt lea, mule inexacte A laquele on a tout la patate mme du pays, pie e ns nt m
inements encours.Mad faith nagubre-un sort dans no- que mon Gouvernement a piers, et a ini on put ma trits a d cru devdr, ar eat tre milieu, il ne saurait y a- pris en mains, depuis plus de seu le retau. On a eur dplorer e eoric eanTnt su ezt Ies r'e ue










fe qtsie ont ren u pu voiru d'EtatF rieche dans un pays deux ans, I'affaire de la figue- fit une fiettes ciui a tu ransearer quis oce: Pent ue, pauvre, i s'ensuit que e'est banate pour en organiser, porte A lpial G 1nral
sition qu'Ls gardernt aS4- nplutOt la fortune des citoyens comme it convient, et la pro- Il
en dwpit dIe La volati qua qui faith celle de PEtat. Or, la duction et le commerce. C'est . . ,
Peuple eat appeal expri- fortune priv6e est en fon- ce malentendu que je vain esr I dane lt REFERENDUM tion de la production organi- sayer de dissiper devant vous. NOTRE
10 Ftvrler prociain, its ot' aee, diversifie, et intensified, C'est peut-tre l'occasion de tuellerment renone . lear de I'ehange normal des pro- souligner, en passant, un tra- CHRONIQUE SPORTIVE at. Et et prel ent duits, et des principaux fae- vers de hez nous qui ne sauqu'lls pensentrupe ttre, tours qui conditionnent, en g&- rait se perp6tuer sans consti- Un contretemps nous oblige ier, en disant den:s leanr U - nral, la production et '6- tuer, dans l'avenir, un dan- a renvoer domain a publiat ion que le peuple ne change, e'est-.dire Ia paix, get social et politique cation de notre Chonique ut pas reprendre les poU Pordreet la stability gouver- Trop de nos concitoyens, Sportive de cotte semaine. irs d1gues pour une perio- nementale. -piui veulent passer pour des iin Eile est fort copieuse, et nom
d atermine :-. .V . O'est un peu aussi, 'est me- fortateurs delairs et des cri- lecteurs ne perdront rien A at Croit-on vritablemenl quei me beatcoup, pour me permet tues averts, ne se donnent tendre. a people qu seffre tre d Vos raeler ces v6ri- m e eine d comren
seni.uvo nviue t a 4W pys, :tr es.e ous .a relta vri m .s e, I a ineem'en u


et depuis-i tlrngtemps, 5 t6s primordiatds que je suis dre les affaites parfois lesa ob ige d'accepiter I sort venu an Cap. Et, a ce sujet, plus importantes avant de por voudraitLi faire at., ff.it j'avas peut-�tre plus le d6ir ter leur jugement tranchant CERCLE
bre de togene, intut, de vous parlor que vous 'a- et san appel. Au moins, s'is PORT-AU-PRINCIEN
S-doute, nu. den i" viez certainmement celu*.i de cherchaitAt :a se renseigner A
t qu te.r.s seal t.i - meUitendre Un incident r& bonne source, ils sraient, en Dimanche, le Cerele Porteet, quo quelques intresses measure do counaitre la v6rit au4Princien. procedant au reo, .l nden ser pa inal .ont voulu grossir dmisur. et de s'y conformer.Certain nouvellement de son bureau.
donnan qsa Ie sailt a met, me paraissait justifier prtfrent les racontara' qu'ilt a r66lu-rar acclamation tou .a nuts l reux li Putilit de ma dimarehe. On reeueilknt de droite et de gau les 3membres du Comit sor
le erwuuutque des Prindl m'ravait pourtant dit - que he. D'autres ont, sans dout it. e, sent Me. Abel Lge' 4' droft contttinnmel no dit-on pas? - owrmavait intbr~t & fonder sinr les ragots nrdsident: le Dr. M nurir subordon retat mie rt d'ici: No vens e ur documentation supposed, Ethart. vicenrsident: P1
hidn du Referend um 'pat.: On You prepare, 'non- D'autres encore, colportent Thoby Mareeli, Secrtaire

rrii':t :-pas soulement ui aceueil gla. eux-mimes les fausses nouv jal Emile lBastion, trsnrior:
- ial, mais une bonse provi- le s qu'ils ont fabriques et Ies Georjes laussan. Pierre Eu
ksion do pommnes cuites. -on renseigements inexact qui gne 'do Lesinasse et Charcontrlr aoppplut d figues-bananes pour- : sont de leur ert, sans oublier, les N. Gaetjons, conseillers.
ries.O testpratt-l, ; .bien e tenu les petites ifa- 'Thus nos5 compliments.
-. .e signifier, ssette.forme.sagrmententl 'limentaire et en me eassanft totut. 0 '" ' e **-Rhnr weanht. - tut3esure ur lattes qu I,.re e te a lax late dei
:': "i::< .:. :,:: . :.:. ::::.~:.: .: s :: .si: ;:iii. : :::~ t~ ~:, a~:,.:. an~ :!; ~ ~ :,:::. :! s:.q :,l :~ n.d:1 Pil~ j .:. ::: r e :: B u s n P e r . . :-.:.
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a) Premiere circonscription, 1Fre section de vote.

Elle comprend Ia portion Nord-Ouest de ]a Ville et sa hanlieue, limited au Sud par Ia fagade Nord de la Rue Dantes Destouches, a aPEAL p-r la Rue de l'Egalite nrolongee Gar la nouvelle rou: do St. ,artin. Y sont comprises les sections rurales de tl're et 2Ume Varreux.
Les bureaux pour cette sec. tion de vote au nombre de 5 seront e"tablis dans les locaux ci-apres d esignes:
ter Bureau: Tribunal de Paix, Section Nord;
2e. Bureau: H6tel de Ville.
3e. Bureau: Kiosque du BelAir.
4e., Bureau: March&s Vallires.
5e. Bureau: K iosaue de la Saline.
b) Premiere circonscription, 2bne. Section de vote,.
Elle comprend ]a portion Nord Est de la Ville limited & 'Ouest par la Rue de I'Egalit prolongee jusqu' a a nouvelle route de St-Martin; au Sud par ]a facade Nord die la Rue DanttIs Destouehes continue e par iAvenue John Brown jusqu 'h la Croix St-Armand. Y sont comprises les sections rurales de St-Martin, 8e. et 40. Bellevue,
Les bureaux pour cotte section de vote au nombre dh 2 seront 6tablis dans les locaux e-apres.
1er Bureau: Tribunal de Paix Section Est, 2e. Bureau: Bureau des Archives Generales de Ia Ropuv blique,
2&me Circonscriptiomn, %@me Section de vote
Elle embrasse Ia portion Sud Est de la Vilie Iimit , 4 I'Ouest par la rue de PErK>, ta Nerd par la facade 4ud de la Rue Dantks. Destouches prolongee par IAveue o n Bro~ jusqu'A l ta Croix StArmand et comprend les see tions rurales de Turtteau et Meon PHoptal-.~/Lea bureaux pouir eotte see"o nan : ' ' "4Sa et"a:: "ime 'nan:::::- Y '" -:" ":""





































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fa~o, l dwfl royal no Ui qen jaM n auuen pagne Main atr-on itio n poupar pren re rade vant erecherche*p





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de ce prieti et quepr& de Zajet-e fahor. I n deu ritroy a dispanit que iaucune vieu. mn attrimoiae accident au




gri sox.
G.ENVE--- b.e C_;oneil de Ia S. I N. eUt ajournbirs au&.ir, FOeres-er:.,ant , do di~ciderA jourThui pr une explosion



dqui rust duite da Sarr une mi no die ifj nite pr'S de Zajetinter.ie oeuvriers a dispchar n



rapporteur rt. examiner le merar nais ti deeandant aue




prendre -oir dec rffugi~s. Le
GENE-,VE.-- L Conseil de



rap. rtN.ur oueettra ajourn hier
Se propstions dedidefir aes .a phrochaine e in du sortn. diI en "fu de mmle d a a queDans l'inter v11alle, ee a charge un rapporter a r examiner le metmora ;: rontiumreldu Gouvernement d frar a l danPemandant de t
rapporteur, ou baron A loy-, a


re~u ri~sion. r.gir, ; . en mrndiasellur prn s tionseux partdfinies. A .82 PJuAs, proch-aine reunion.


11 en dergus te deux paysnt porie don fire d Iraq et de la Aers---edans larmelle le rapprteuA-r. le baronlloysi, a reru mIso dpgr en midia. teu rntele deux parties.
,* LIe idubs des deux pays out promise de faire de leur


i ;. . . . :. . V . . - . . . : : :

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qu'elle vnait/ li a banre-snaleiet en vathOire de O " 4
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HONJ LULU. be cteoter
vheean es bignalC num avaits qui avalet servi au Versereet de la rai g.uipage ia chpargeur japonais ,flokumaru Le avie a e ahandnplm4 et





pout sombrer c'un moment l'aut re rire quand- le d fnHAsLiur de HaX- e ptmn a rdir qangelaie Vensit alaverdesb, en flameulements au large de se faire de, a






l anc# un 5. 0. S. qui a 6tk rea pbliar iviet dotenir an en-s. Tgageus smen d&pHchRent d oo.i pr&






tor *_ couars, .mais Jo plus rapproNhJ Lst L croi.ur britan-ter Ch elan 'a signal' quit avai"t





renique Yrobquipage du chi argeur japonais




the navire a n" aneuds et esre at. peur sombrcr d'un mome nt it

HALIFAX,- L e phrolier




teindau large Valverdes la Floride, avant



qu'il tie s.,it trop tr lanTOKI .un . O. quin annone que du pmain, Koki Havirsota, Minis-a. Tous se de~p"ehent de lui pre^tre des.cours, Affmaires Etrangpus rape prochei est le croiseur britanniqdu Japonbie, erq l'ouverture dhe a DI30 neud et espareation



tr~s irmportanto suir les futures relations sino-japonaise&. be Journal TOKIO.- On annonce que demain, Koki Hi1rota, Minis.tre des-Affaires Etrangebres !, du Japon, fera, -a fouverture


Chine te Ita colonize delaration u'y ot entrepristante lss puissancesfutures relations sine-japonaise&. Le Journal %Asahi;a berita ce sujet: ell est hautement de"sirable pour le Japon de pren. dre l'initiative de libbrer la Chine de la colonisation qu'y ont entreprise les poissancelS


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ko O-n ra.entequ.les.tre- B.-r Le.s journal ae Y.4e'S aponsies, Uten active. - amn r neeen d7que d es re
rnd lCha p lizmiie . g .uaniennes out t e
emp eer a s*tisation de mzs-es A Taroea pr&s de la d te ra-i etde elledeSin- fASHieGdue , uremking- limtrphe e oa Mon- p er ieavasion allemanWI
lire use Parnt de _ e- dedeMeme mentsH iroa alrL:- dLaJ politiqe fndamtae a n- SARRAGUE MINE -- 11 ci vernr I apona e et question de over des for
dVaENEr ue ductin radi- crs francisr darns ,a Sarre e.�e.m a .d.M.
al des ade en e arn- i i recter . de 75 ., oldsts o
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4Nxes dont Ie garnet contient 4 ,d
de mauvaises notes et inIite- IA 1 anur HITI Voy 7 S. no rnt leS parents A lea aider B partra de NeV York le 24 Ie pluttt qu'k les battre. 0a-ier 19Sdirectemnent pour et
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PARIS.- Des archologues ont dbcouvert, dans une fort de Bretagne, entre Ker'bo et Kerbernesse, de nombreuses s4pultures gauloises et celtes, !es restes d'un camp gaulois, 5 dolmens, une table de sacriflee da un alignement de pie ire polies. La trouvaille serait d'une grande importance


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Les ptincipes foidanenaux de laT n F present pour nous un mystbre diffick le& compreidre. Plus: nous
apprenons, et plus nous nous 4
rendons compte de notre igiorance.' 'Mais nous pouvons suivre le processus de la trans mAssioi radiophoique qui se 6roule, de 1i piration, par la transmissio4 (compositeur et interpretes) 'et par Ia teep t"on (Tamateur k Feoute) h r uveau vers''inspirationi. Ce ra est important, c'est le ded'exactitude avee sequel
b musique peut 'pre livree &'rnous A domici e, afin que
nesSage musical ait sa plei*
ro valeUr.
A present, ]a musique sympbonique ne parvient a Paudiditeur qu'incomplte et deforme. L'explication scientifique do cette situation est fort simpje. Le caracttre et la quality >e la sonorit' musicale d6pendent dans une large mesure de harmoniques ou ultrasons. Mais Ia plupart de ces ultra-sons ne peuvent paditre, t:-ansmis ni regus par la T. S.
iF. actuelle. Ainsi, on ne parvient pas a transmettre fiddle"
rfient le son de la trompette en
eornrdine ou du hautbois.
Le principe des ultra-sons
est facile ' comprendre. Lorsque vous chanted une note, vous nfentendez que cette noto que les musiciens appellent I harmonique fondamental.
Mais, en m~me temps, la m-&me note r6sonne une octave plus haut, mains fort; au-dessus do cette octave, cinq tons plus hatt risinne encore une note, 'puis tine autre, quatre tans plus ha ut, et ainsi do smuv tot. Ce sont les ultra-sons dont la sonorit6 caracterise pris6ment la quaite m&me et le


timbre .du son.
Un& transmission suffisanto. epharmonques de la musique orchestrale demande une ftkquence atteignant S12.000 oscillations par secon-


de
Au lieu des 13,000 oseillation pai r , second necessaires ::. pour la bdnne transmissionde la musique orchestrale, les au.diteurs de T. S. F. nobtien nent a present que 5.000vibrati.ns.par second. Toute la partie de la musique qu ext age de 5.000 a 13.000 vibratidis, est perdue pour le. s.an~-giliates.
Ce chiffre d&1&.00 oscillations n'a pas et xex ici earbitra m~u. A A ~4sute des ex.pT iences apprefondh faitesa PEW -Il. Dr. . Mr chef des Iaboratpires du e Bell I Telephone)) en collaboration avee plusieursassistants,: dont j'ai etd,.'
Pour obthn ir que. lesose. lations de 5,00 & 1800 par s conde sodent ::gaIment ttans. :mses, il convientdeprendre: trois amesures4 1 faut d'abondaspager 4evznvage les
langeur d'odesdes postes
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. . -.Ch.rli.e Chaplin .---------. N J. .4r~O
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. Gaston Jacquet dans R .,es! TeIlle LE 8088 �1
int dn pr-! ler et 2m&ne Episodes
. touts ls Entr.
.&. . . . . . . . . . . ._ . . .: . . .


Uv wnw tiiuaiqe fr UteUAn, ktop6ra oU ans la sale de 1 concert, de 85 decibels, pour pouvoir monter du .pianissi-I o it, la grade sonori -t4 des .tto. g
.L'intnsit potentielle varie selon:: les .alles, les thd& tres et .li:studios d'&mission, slon la: composition de iorchestre et mAme sg lon Ia personnalit&6 du chef d'orchestre.
.A I'heure actuelle, dans un orchestra qui radiodiffuse une symphonie, nous n'employons i (ue 80 decibels au lieu des 85 decibelsi qu'on emploie dans une salle de concert. C'est Fing6nieur prpos6 a P imission par T. S. F. qui comprime ainsi I'intensit6 du son, grace A des instruments qui lui permettent d'attenuer ou d'intensifier les sons. En rdduisant les passages <> et en accentuant les >, il permet ' l'auditeur de -ne pas 6tre accable par les passages bruyants et, d'autre part, d'entendre Ia raai sique de faible intensity sans qu'eIle soit couverte par les divers bruits produits au cours du processus d'6mission et, de reception, auxquels s'aioute le bruit de audience ]orsqu'il y a transmission d'un concert. Ce bruit du public programmes, toussotement, etc.,- est tres lev6. Perspective d'audition
Lorsqpe nous coutons la musique au theatre ou au concert, Ia masse des sons entre dans nos oreilles directement ainsi que par reflexion. Nous avons l'impression que la majorite' des sons entre directement. Mais il n'en est rien. Le son reflet6 est dans la plupart des salles riche et plein et se trouve 4tre plus intense que le son entendu directement. Inconsciemment, nos oreilles entendent des groupes de sons diffbrents parce que les percussions de droite et de gauche different rn peu entre elles aussi bien en temps-qu'en intensity, et nous comparons
- toujours inconsciemment
--les impressions revues de droite et de gauche. Cette com paraison nous donne le sentiment de la perspective auditive.


Le microphone est une sorto d'oreifle 6electrique. Lors de la radiodiffusion. le microphone cueille les sons qu'il en-vie ensuite A nos /oreilles. :Mais le microphone nest qug' ae seule oreille attach a an soul circuit. Pour queo' la musique transmise par T. S. F. ait_ la vraie perspective d'audition, nous de-vrions avoir un double circuit, ce.qui correspondrait a la perception avec les deux-drei les.

Atlante Montldy V%
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PANAMA RAILROAD.
qrrnn~ir cm'tw
BULLETIN No.115.
. S. tBUENAVEN URA de.1 ,Panama Railroad.
Se hip Line arrvera de
Cristobal C. Z. le MercredL2R Janvier 198 et partira le mOme jour directemet pour
ew'ork prenaut frA4 sue. .e 'a" , A.
Jas.L.C. VA& E,


Ot&lIat les services qu'elle wW jhd1i~ Ion a peut4tre
top dblaIst4, ces derinIes anbesla bonne vieile mdieae
a.~
.on par les plants. - Vous ouitlez vouts que Paune d'elles, oet vous eonnaissez tousla ieur savoureuse,. lus tard, les praticiens du KVIIIe sibcle disent que ce 'rre cultiv6 du chardon, et >dus exactement ses feuliles, )U sont concentrees les vertus iddicinales de la plante, sont ingulibres en decoction conre la jaunisse et P'hydropi Ae>. Au XIXe siclke, les plus brands speciatistes sont unaimes . reconnaitre que le sue le 'artichaut est urmAonique, In d6congestif et un r6gula:eur du foie. II aide a ia proluction de Ia bile et c'est, par surcroit, un excellent diur& ique. Le calomel est alors deaiss6 pour Ia feuille d'artithaut qui est couramment prescrite en d6coction ou en extrait, dans ]a jaunisse, les inflammations calculeulce du foie et dos reins, dans 'hy:ropisie, la goutte, Apres une longue eclipse, que de beaux succs rendent inexplicable, peut 8tre aussi parce qu'on n'tait pas paryenu & < ce medicament, les sues de l'artichaut rentrent de nouveau dans la midecine sous la forme d'une liqueur trbs efficace que ses createurs ont appelee H6pascol Frangois. C'est un extrait aqueux de feuilles fraiches d'artichaut, renforc6 par les principes actifg de differenteLs autres plantes diur6tiques, d4puratives, sudorifiques et toniques du Cur.
L'action de cet ensemble vegetal est tonnante de rapidit4, qu'il s'agisse d'insuffisance hepatique, de retention biliaire avec ou tans calculs de congestion du foie, d'abes du fole, de jaunisse, de eirrhosbe on de scl6rose. En une semaino, Ie foie est puryk, digorg. On peut, dans bien des cas, constater. jour par jour, sa diminution de volume cep endant qu'il devient compIftement andolore. Les selles re-


deviennent normales, les urines qui 6taient rares et fonches, abondantes et claires, Les conjonctives et le teint :)erdent 1ou coloration jaunitre; leas de6mafigeaisons cutanees cessent. La lassitude, les troubles nerveux et intestinaux, l'hypocohdrie disparais sent pour faire place Ai utin retour des forces et de l'app4tit. Dans d'innombrables cas medicealement contr616s, l'extrait d'artichaut, tel qu'il eat maintenant traitd, s'est reve14 comme un venrit.able r 4duateur lu foie. Son eiplol est d'autant plus prienx qu'il. est parfaitement OIntSfnsif atu tes leis doses # qt'1 ne eomat~~.U aCU -- contre-wndica,
imerillrx produit des, Laboraoirs de "d ascol pranqois *
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et a venter lahraceie S. eO.Olri 4Ote flro? ti "
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Roger Karl et Emmy Lynn dana LE VIETIGE vee Jaque Catelain
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SANS VA MILE
.e Episode -4 Parties).
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Henri Baudin et Olga Tehe-kowa clans
IZENFER DE L'AMOURl
Entrie 0.50

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Vo/ci un pneu qui se passe de presentation en tons pays, Lea grosses sculptures massires et saillantes d? so ade de roulement, terhant fermement laI route, son? d s symbo. les de security depuis les debuts de I'automnobile.
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'Gs I' e 19 Fiv., 1935
Crvle , le 26 FIv., 1935 Htu wflarisra, Ie 5 Mars 193 AntR, Jle 12 Mars 1P5
Gan.aqui, -Ie 19 Mars 1935 Cristobal, le 26 Mars 1935


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, le3 Fv., 198 nae dHait~acrpedans l'&- nemnatu re rco otat
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S.Vous imagnez-vous qu'elle nea pauvrea y envoient, dis, e 25 F~vt, 198~ ,est un bastion avance contre cr2tement, chtrcber un peu die
X e 3 Mars, 1935 Ilechbrmage qui s'&tond do fa- nourniture?
Itl 11 Mars, 1935 9on~ alarmante? Qu'une septiamhe enntine est
Ial 17 Mars, 198 Avei-vous calcule que Ies entnrtenue aux Cayes?
,Ia 25 Mars: 1935 Dorne Mille Gourdes de sun Avez-vous pens6 aussi qu'eL Itl 31 Mars, 1935 ler Cros Lot representent :e le pale uin Service de Pubielprix dhun pignon sur' rue? te. un Service de Reclamne, uin
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A:ionctionne1t a Prt-au-PrinU MONDE e, sur son conute: qu' ces i direcleur.
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k&:' H . V A N R EE.D ) gagnent le w vie 'a venft e ses <' la m arche desquelllts elle ii.;7 .77.~ 7 ; 7 .)7;ii7 7 ;! :.'17177:7 !:)7 : 7: :.i. 7 :i77::.i:. ) i:! :! : :! :: :::7 ::.r7:. :!. . . . .7:7!} :.7.i7.7.777i.:;) 1:7ifk!7
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;ii~~77i:iiii~~; ~~i ~ !~7 ~i.ii~i~iii i- . iii iii~iii~:i{ii~ Q u ' e -e r ei::7iTii iii '* P; a r tit d e s sub-s*- P re n d rez q ui :: : :::: t i::;i;'eiille co n s t:.:<::i: :<:: ::i< :: :i<: li :::: < litu e::: :: ::ii: : :: ii::;: :::;::: :; : ::7 :::;::::::: :;: ;:i:!:<
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Son'gt pao n esaire drre rich tpor satfkdire ses go0ts pour it voyuge. Let gens ~e condition rrsvenne peuent to parmettre Ce plois-tec i'4pacrgne. Les mindres dtpSts; grace & intbret compos at.t&t foit de consfituer une reserve Inf ttsitc, taisaobte o, beson.


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Place de la Paix


Rue Courbe et Rue du !Magasin de ('Etat


ACHAT D'ECAILLES DECAR.:T. VI1EIl, SMANTS, PERLEIS ET PI'RREPS PIR YS CIPS LES PTECES ARGENT ETOt, ONNI F. TES NATIONALITE A DES PRIX ABS I AVANTAGEUX.


( )J 1K>;. I) 12 DLII


S 1) IAVIE ILTOU MENT


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OK4Tc.V PAFFATTE
TOUX. RHUME% 8RONC&I P' S. ENROUEMENTS
INFLUENZA, AFFECTIONS DES POUMONS so
POPT-A'J-PRtNcl,. HAI l, ST ts S PROVINCZs.


Reconue tf par le
G enent t&a.

Port-auePrince, ce 19 Jan vier 1935;

DECLARATION

L- Conseil actual
on d association des
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:B:.oy Scoqts'Nationauex: dHMti .fit saoir itous eeuxT qie a question .intresse,. quil S.est :nulement - sa connaissanee . contrairement a certaines alitatiois contenues
-dans deux .:articles publids dans le qonotidien <, e 5e ot e 20 Deembre der nior et intituls et < qu aueune valour ait t& ver s,-e mensu-llenent ou anyeliment -- 'Association par aucun chef d'Etat ni -encaissee par aucun tides mcembres du ComitP3 e direction de ,a dite As sociation a aucun moment donne.


Emm. B. ARMAND, Prisident; Alphnse ST. CLOUD. C.ef Eecutif ielix DIAMBOIS, Seere'taire; Commissaire International. Ludovic J. O S M0 N ID.
Members: Chs. St. CLOUD, Lmile LAFONTANT. Rich4 K E N Is C (A"F
1KE~NSCO FF.

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NFUS IFUNE SKICURITE INCOMPARABLE D UN


CONFORT VIRAIMENT SUPERIEUR. LBS VOTURES OU CAMIONS IQUIPES A VEC D,S
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GENEBRAL:D U:RE:NT ::PLUS LONGTEMPS.
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FSSA YE IES <
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TREa.GR4CE ALEURBAS PRIXDLEURSUPERIORITH, LEUR CONFORM ETLSUlR SECURITE.

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- utgtdrt pap. tendart c PLEBBISCf& #)1 Janider coram un intbresd.grer. le ntt tn nus ex- .onsieur le Pri'dent do
nte seret! pas IM l k n (nit Au no. d'Akr) trayons le paa suivant : Comit du Cinquantenaire d


I�KNDUM du 10 FrIer rPJ- f.igue-bna e people - condition premere Votre lettre du 14 county
chain,"quel quen sf r l "": de la stability pdfltique et de est en ma possession, mi nfortat, out ttey lear dil'af II nous faut done faire de l a paix durable. tous les ino- mnant quo votre Comite a fait ur des teMnxtes nu t ion" 'argent,. le plus d'argent p yens pour y arryr sont nor- choix de mo et de M. Clenets. sible, pour rencontrer au maux et dovent Mre approu- ment Magloire, pour nous ofSeere, eL moins nos besoins les lus ur- vs par e people 4taven. fir la presidence d'Honneur
s n42,Zw dro d ql"quadnsam ,,gent. Tou se ramhne i^eel, Donetw a l's ne pour les de Ia manifestation sportive,
:erontester, toutcomeIss tout, y compris mime le d& ,Pouoirs Spria * qui aura lieu en Fevrier proDputis signatairee e.t Uas. veloppement de notre instruc- chain, a l'occasion du Jile de
:un dront quear cwrntre tion publique, cheval de batail = "" r.'-nfr-- Monsieur le Directeur du Coldun~< droi - l.g Lovertre




ear quaIt de Reprenuts le sulaire de ces d6mago LvNTJ s onertured
dIrect4 du Pele. - gues impnitents, court de LEPRESIDENT Je suis honor de cette dpis.fMals comme 1 s eiweue rues pratiques, et qui ne grm A AIN u tinction et 'est avec paisir
iidente divergence de vues ' pent priodiqueIment sur cet- querJ'acepte anihnneur de prJ
nre eee deux gronpes.de te vieille haridelle fourbue' Depuis dimanche le Prisi- me iens entire ent a vote
Mandataires de la Nation, i que pour a trainer, de temps dent st Kenscof. On esre iotin etre a dte
Imported que, pour Les dtpar- en temps, a I'assaut de va- le revoir ici domain matinr dositionzpout udteue
- ENspo dun purptaedanepru







ager, intervienne anae Su- gues 6leeteurs non avertis. I C'est un re s ncessaire, vous .aurez Exe utterieureC'est.eu.-sot.s n'quessed e0-en. osesin







reme, en tespce: le Peuple, Ce n'est pas, en effet, avee des aprts les dernipres fetes de fin e pieo ear Mandant. Les ONZE S{ mots qu'on construira nos dense et A la veille des pr6- Je vous pi, Monsieur l
14 ot n a.o d-. fire d'an et a eilte dses pro- rsint, d'asure eit mi







teur out done, par lear De maisons d'4coles, qu'on rel- occupations inhrentes la t de mor sentiments les pius Iaration, Justl fi#la m~sire vera le salaire des institu- prochaine consultation natio- tdvoums et d'amer mes sa-! a Chf de l'Etat, cosa teurs, qu'on fra venir dans nale du 0 Fvtvriepchai Iu tatona distingurees.
conce npqurI Pe*dana epay le ee shieiensde Pen Nous lei renouveoeons. ex-l a sdne
Scornices, puque, d.- s.eignement dont le contours pression de nos sentiments de () Edouard ESTVE.
at actueltdts ceho, e'll exi" Jious est encore fleessaire, et d6vouement. e un A rbitre Suprme, feat qu'on mettra notre population e
en le Souverain, dent ee a seolaire A mprime de profiter de * - -
rits e sa aient servir Plducation primaire quo rE- (OMMENCEMEN T
n/eu danS la tte d&ew tat est te opde lui assurer. Ces certain nombre de mes bons aSen ses M andatairee choses-l& ne se font qu'avec mis du Cap, et que tout le mal
Certes, Jusqu'au nment oft de 'argent. Et tout progrts,en venait prcisdmnent de cette DINCENDIE
Sleur.adL itgavaitpo des questions d'trgent, A la uns tiraient leur petite pata- et demie, i r y eut un commelitit pour aux de garder valour des resources d'un te. cement dincendt a Rue St.
srnitdt qul moment ft des pays. C'est come cela, mes I y a eu, certainement, un Honorte. L'actif Comnanmbres d Corps pondtra chers amis, et nous n'y pou- malentendu, puisque c'est, au dant George. Ble so transur par excellence, e'et-d-di- vons ien. contraire, pour assurer la pa- porta Gediatement tsur as
e ne attitude ferme, et dl Et comme, malgrl une for- tate de tout le monde, et su- lioux avec s s intrsides porn, dominant en an mt lea, mule inexacte A laquele on a tout la patate mme du pays, pie e ns nt m
inements encours.Mad faith nagubre-un sort dans no- que mon Gouvernement a piers, et a ini on put ma trits a d cru devdr, ar eat tre milieu, il ne saurait y a- pris en mains, depuis plus de seu le retau. On a eur dplorer e eoric eanTnt su ezt Ies r'e ue










fe qtsie ont ren u pu voiru d'EtatF rieche dans un pays deux ans, I'affaire de la figue- fit une fiettes ciui a tu ransearer quis oce: Pent ue, pauvre, i s'ensuit que e'est banate pour en organiser, porte A lpial G 1nral
sition qu'Ls gardernt aS4- nplutOt la fortune des citoyens comme it convient, et la pro- Il
en dpit de La vola. t quea qui faith celle de PEtat. Or, la duction et le commerce. C'est . . ,
Peuple eat appeal expri- fortune priv6e est en fon- ce malentendu que je vain esr I dane lt REFERENDUM tion de la production organi- sayer de dissiper devant vous. NOTRE
10 Ftvrler prociain, its ot' aee, diversifie, et intensified, C'est peut-tre l'occasion de tuellerment renone . lear de I'ehange normal des pro- souligner, en passant, un tra- CHRONIQUE SPORTIVE at. Et et prel ent duits, et des principaux fae- vers de hez nous qui ne sauqu'lls pensentrupe ttre, tours qui conditionnent, en g&- rait se perp6tuer sans consti- Un contretemps nous oblige ier, en disant den:s leanr U - nral, la production et '6- tuer, dans l'avenir, un dan- a renvoer domain a publiat ion que le peuple ne change, e'est-.dire Ia paix, get social et politique cation de notre Chonique ut pas reprendre les poU Pordreet la stability gouver- Trop de nos concitoyens, Sportive de cotte semaine. irs d1gues pour une perio- nementale. -piui veulent passer pour des iin Eile est fort copieuse, et nom
d atermine :-. .V . O'est un peu aussi, 'est me- fortateurs delairs et des cri- lecteurs ne perdront rien A at Croit-on vritablemenl quei me beatcoup, pour me permet tues averts, ne se donnent tendre. a people qu seffre tre d Vos raeler ces v6ri- m e eine d comren
seni.uvo nviue t a 4W pys, :tr es.e ous .a relta vri m .s e, I a ineem'en u


et depuis-i tlrngtemps, 5 t6s primordiatds que je suis dre les affaites parfois lesa ob ige d'accepiter I sort venu an Cap. Et, a ce sujet, plus importantes avant de por voudraitLi faire at., ff.it j'avas peut-�tre plus le d6ir ter leur jugement tranchant CERCLE
bre de togene, intut, de vous parlor que vous 'a- et san appel. Au moins, s'is PORT-AU-PRINCIEN
S-doute, nu. den i" viez certainmement celu*.i de cherchaitAt :a se renseigner A
t qu te.r.s seal t.i - meUitendre Un incident r& bonne source, ils sraient, en Dimanche, le Cerele Porteet, quo quelques intresses measure do counaitre la v6rit au4Princien. procedant au reo, .l nden ser pa inal .ont voulu grossir dmisur. et de s'y conformer.Certain nouvellement de son bureau.
donnan qsa Ie sailt a met, me paraissait justifier prtfrent les racontara' qu'ilt a r66lu-rar acclamation tou .a nuts l reux li Putilit de ma dimarehe. On reeueilknt de droite et de gau les 3membres du Comit sor
le erwuuutque des Prindl m'ravait pourtant dit - que he. D'autres ont, sans dout it. e, sent Me. Abel Lge' 4' droft contttinnmel no dit-on pas? - owrmavait intbr~t & fonder sinr les ragots nrdsident: le Dr. M nurir subordon retat mie rt d'ici: No vens e ur documentation supposed, Ethart. vicenrsident: P1
hidn du Referend um 'pat.: On You prepare, 'non- D'autres encore, colportent Thoby Mareeli, Secrtaire

rrii':t :-pas soulement ui aceueil gla. eux-mimes les fausses nouv jal Emile lBastion, trsnrior:
- ial, mais une bonse provi- le s qu'ils ont fabriques et Ies Georjes laussan. Pierre Eu
ksion do pommnes cuites. -on renseigements inexact qui gne 'do Lesinasse et Charcontrlr aoppplut d figues-bananes pour- : sont de leur ert, sans oublier, les N. Gaetjons, conseillers.
ries.O testpratt-l, ; .bien e tenu les petites ifa- 'Thus nos5 compliments.
-. .e signifier, ssette.forme.sagrmententl 'limentaire et en me eassanft totut. 0 '" ' e **-Rhnr weanht. - tut3esure ur lattes qu I,.re e te a lax late dei
:': "i::< .:. :,:: . :.:. ::::.~:.: .: s :: .si: ;:iii. : :::~ t~ ~:, a~:,.:. an~ :!; ~ ~ :,:::. :! s:.q :,l :~ n.d:1 Pil~ j .:. ::: r e :: B u s n P e r . . :-.:.
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a) Premiere circonscription, 1Fre section de vote.

Elle comprend Ia portion Nord-Ouest de ]a Ville et sa hanlieue, limited au Sud par Ia fagade Nord de la Rue Dantes Destouches, a aPEAL p-r la Rue de l'Egalite nrolongee Gar la nouvelle rou: do St. ,artin. Y sont comprises les sections rurales de tl're et 2Ume Varreux.
Les bureaux pour cette sec. tion de vote au nombre de 5 seront e"tablis dans les locaux ci-apres d esignes:
ter Bureau: Tribunal de Paix, Section Nord;
2e. Bureau: H6tel de Ville.
3e. Bureau: Kiosque du BelAir.
4e., Bureau: March&s Vallires.
5e. Bureau: K iosaue de la Saline.
b) Premiere circonscription, 2bne. Section de vote,.
Elle comprend ]a portion Nord Est de la Ville limited & 'Ouest par la Rue de I'Egalit prolongee jusqu' a a nouvelle route de St-Martin; au Sud par ]a facade Nord die la Rue DanttIs Destouehes continue e par iAvenue John Brown jusqu 'h la Croix St-Armand. Y sont comprises les sections rurales de St-Martin, 8e. et 40. Bellevue,
Les bureaux pour cotte section de vote au nombre dh 2 seront 6tablis dans les locaux e-apres.
1er Bureau: Tribunal de Paix Section Est, 2e. Bureau: Bureau des Archives Generales de Ia Ropuv blique,
2&me Circonscriptiomn, %@me Section de vote
Elle embrasse Ia portion Sud Est de la Vilie Iimit , 4 I'Ouest par la rue de PErK>, ta Nerd par la facade 4ud de la Rue Dantks. Destouches prolongee par IAveue o n Bro~ jusqu'A l ta Croix StArmand et comprend les see tions rurales de Turtteau et Meon PHoptal-.~/Lea bureaux pouir eotte see"o nan : ' ' "4Sa et"a:: "ime 'nan:::::- Y '" -:" ":""



































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Ji problem sde 'rnn
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Les ptincipes foidanenaux de laT n F present pour nous un mystbre diffick le& compreidre. Plus: nous
apprenons, et plus nous nous 4
rendons compte de notre igiorance.' 'Mais nous pouvons suivre le processus de la trans mAssioi radiophoique qui se 6roule, de 1i piration, par la transmissio4 (compositeur et interpretes) 'et par Ia teep t"on (Tamateur k Feoute) h r uveau vers''inspirationi. Ce ra est important, c'est le ded'exactitude avee sequel
b musique peut 'pre livree &'rnous A domici e, afin que
nesSage musical ait sa plei*
ro valeUr.
A present, ]a musique sympbonique ne parvient a Paudiditeur qu'incomplte et deforme. L'explication scientifique do cette situation est fort simpje. Le caracttre et la quality >e la sonorit' musicale d6pendent dans une large mesure de harmoniques ou ultrasons. Mais Ia plupart de ces ultra-sons ne peuvent paditre, t:-ansmis ni regus par la T. S.
iF. actuelle. Ainsi, on ne parvient pas a transmettre fiddle"
rfient le son de la trompette en
eornrdine ou du hautbois.
Le principe des ultra-sons
est facile ' comprendre. Lorsque vous chanted une note, vous nfentendez que cette noto que les musiciens appellent I harmonique fondamental.
Mais, en m~me temps, la m-&me note r6sonne une octave plus haut, mains fort; au-dessus do cette octave, cinq tons plus hatt risinne encore une note, 'puis tine autre, quatre tans plus ha ut, et ainsi do smuv tot. Ce sont les ultra-sons dont la sonorit6 caracterise pris6ment la quaite m&me et le


timbre .du son.
Un& transmission suffisanto. epharmonques de la musique orchestrale demande une ftkquence atteignant S12.000 oscillations par secon-


de
Au lieu des 13,000 oseillation pai r , second necessaires ::. pour la bdnne transmissionde la musique orchestrale, les au.diteurs de T. S. F. nobtien nent a present que 5.000vibrati.ns.par second. Toute la partie de la musique qu ext age de 5.000 a 13.000 vibratidis, est perdue pour le. s.an~-giliates.
Ce chiffre d&1&.00 oscillations n'a pas et xex ici earbitra m~u. A A ~4sute des ex.pT iences apprefondh faitesa PEW -Il. Dr. . Mr chef des Iaboratpires du e Bell I Telephone)) en collaboration avee plusieursassistants,: dont j'ai etd,.'
Pour obthn ir que. lesose. lations de 5,00 & 1800 par s conde sodent ::gaIment ttans. :mses, il convientdeprendre: trois amesures4 1 faut d'abondaspager 4evznvage les
langeur d'odesdes postes
os nt, 0aS OW


8 DI FO 4 A it'emt d da plWSi peSrsne

LA.1/.J.VRSL.R
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. . -.Ch.rli.e Chaplin .---------. N J. .4r~O
. . . . -----. . . .: . . .-----. .
eerediIs

. Gaston Jacquet dans R .,es! TeIlle LE 8088 �1
int dn pr-! ler et 2m&ne Episodes
. touts ls Entr.
.&. . . . . . . . . . . ._ . . .: . . .


Uv wnw tiiuaiqe fr UteUAn, ktop6ra oU ans la sale de 1 concert, de 85 decibels, pour pouvoir monter du .pianissi-I o it, la grade sonori -t4 des .tto. g
.L'intnsit potentielle varie selon:: les .alles, les thd& tres et .li:studios d'&mission, slon la: composition de iorchestre et mAme sg lon Ia personnalit&6 du chef d'orchestre.
.A I'heure actuelle, dans un orchestra qui radiodiffuse une symphonie, nous n'employons i (ue 80 decibels au lieu des 85 decibelsi qu'on emploie dans une salle de concert. C'est Fing6nieur prpos6 a P imission par T. S. F. qui comprime ainsi I'intensit6 du son, grace A des instruments qui lui permettent d'attenuer ou d'intensifier les sons. En rdduisant les passages <> et en accentuant les >, il permet ' l'auditeur de -ne pas 6tre accable par les passages bruyants et, d'autre part, d'entendre Ia raai sique de faible intensity sans qu'eIle soit couverte par les divers bruits produits au cours du processus d'6mission et, de reception, auxquels s'aioute le bruit de audience ]orsqu'il y a transmission d'un concert. Ce bruit du public programmes, toussotement, etc.,- est tres lev6. Perspective d'audition
Lorsqpe nous coutons la musique au theatre ou au concert, Ia masse des sons entre dans nos oreilles directement ainsi que par reflexion. Nous avons l'impression que la majorite' des sons entre directement. Mais il n'en est rien. Le son reflet6 est dans la plupart des salles riche et plein et se trouve 4tre plus intense que le son entendu directement. Inconsciemment, nos oreilles entendent des groupes de sons diffbrents parce que les percussions de droite et de gauche different rn peu entre elles aussi bien en temps-qu'en intensity, et nous comparons
- toujours inconsciemment
--les impressions revues de droite et de gauche. Cette com paraison nous donne le sentiment de la perspective auditive.


Le microphone est une sorto d'oreifle 6electrique. Lors de la radiodiffusion. le microphone cueille les sons qu'il en-vie ensuite A nos /oreilles. :Mais le microphone nest qug' ae seule oreille attach a an soul circuit. Pour queo' la musique transmise par T. S. F. ait_ la vraie perspective d'audition, nous de-vrions avoir un double circuit, ce.qui correspondrait a la perception avec les deux-drei les.

Atlante Montldy V%
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PANAMA RAILROAD.
qrrnn~ir cm'tw
BULLETIN No.115.
. S. tBUENAVEN URA de.1 ,Panama Railroad.
Se hip Line arrvera de
Cristobal C. Z. le MercredL2R Janvier 198 et partira le mOme jour directemet pour
ew'ork prenaut frA4 sue. .e 'a" , A.
Jas.L.C. VA& E,


Ot&lIat les services qu'elle wW jhd1i~ Ion a peut4tre
top dblaIst4, ces derinIes anbesla bonne vieile mdieae
a.~
.on par les plants. - Vous ouitlez vouts que Paune d'elles, oet vous eonnaissez tousla ieur savoureuse,. lus tard, les praticiens du KVIIIe sibcle disent que ce 'rre cultiv6 du chardon, et >dus exactement ses feuliles, )U sont concentrees les vertus iddicinales de la plante, sont ingulibres en decoction conre la jaunisse et P'hydropi Ae>. Au XIXe siclke, les plus brands speciatistes sont unaimes . reconnaitre que le sue le 'artichaut est urmAonique, In d6congestif et un r6gula:eur du foie. II aide a ia proluction de Ia bile et c'est, par surcroit, un excellent diur& ique. Le calomel est alors deaiss6 pour Ia feuille d'artithaut qui est couramment prescrite en d6coction ou en extrait, dans ]a jaunisse, les inflammations calculeulce du foie et dos reins, dans 'hy:ropisie, la goutte, Apres une longue eclipse, que de beaux succs rendent inexplicable, peut 8tre aussi parce qu'on n'tait pas paryenu & < ce medicament, les sues de l'artichaut rentrent de nouveau dans la midecine sous la forme d'une liqueur trbs efficace que ses createurs ont appelee H6pascol Frangois. C'est un extrait aqueux de feuilles fraiches d'artichaut, renforc6 par les principes actifg de differenteLs autres plantes diur6tiques, d4puratives, sudorifiques et toniques du Cur.
L'action de cet ensemble vegetal est tonnante de rapidit4, qu'il s'agisse d'insuffisance hepatique, de retention biliaire avec ou tans calculs de congestion du foie, d'abes du fole, de jaunisse, de eirrhosbe on de scl6rose. En une semaino, Ie foie est puryk, digorg. On peut, dans bien des cas, constater. jour par jour, sa diminution de volume cep endant qu'il devient compIftement andolore. Les selles re-


deviennent normales, les urines qui 6taient rares et fonches, abondantes et claires, Les conjonctives et le teint :)erdent 1ou coloration jaunitre; leas de6mafigeaisons cutanees cessent. La lassitude, les troubles nerveux et intestinaux, l'hypocohdrie disparais sent pour faire place Ai utin retour des forces et de l'app4tit. Dans d'innombrables cas medicealement contr616s, l'extrait d'artichaut, tel qu'il eat maintenant traitd, s'est reve14 comme un venrit.able r 4duateur lu foie. Son eiplol est d'autant plus prienx qu'il. est parfaitement OIntSfnsif atu tes leis doses # qt'1 ne eomat~~.U aCU -- contre-wndica,
imerillrx produit des, Laboraoirs de "d ascol pranqois *
0, Nts~rsA. laaeLorraine Bordeaux '
et a venter lahraceie S. eO.Olri 4Ote flro? ti "
.-. - P r.e :: . . .:: . . .


Roger Karl et Emmy Lynn dana LE VIETIGE vee Jaque Catelain
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SANS VA MILE
.e Episode -4 Parties).
E. e rne 1,00l


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Henri Baudin et Olga Tehe-kowa clans
IZENFER DE L'AMOURl
Entrie 0.50

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Vo/ci un pneu qui se passe de presentation en tons pays, Lea grosses sculptures massires et saillantes d? so ade de roulement, terhant fermement laI route, son? d s symbo. les de security depuis les debuts de I'automnobile.
Mime au ours des anntes d'adversilt qui rienncnt de 'teqoyler, ses ventes ont dtpase celles de tout autl;e pneu. quelqu'cn fit te prix.


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de ce prieti et quepr& de Zajet-e fahor. I n deu ritroy a dispanit que iaucune vieu. mn attrimoiae accident au




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rapporteur rt. examiner le merar nais ti deeandant aue




prendre -oir dec rffugi~s. Le
GENE-,VE.-- L Conseil de



rap. rtN.ur oueettra ajourn hier
Se propstions dedidefir aes .a phrochaine e in du sortn. diI en "fu de mmle d a a queDans l'inter v11alle, ee a charge un rapporter a r examiner le metmora ;: rontiumreldu Gouvernement d frar a l danPemandant de t
rapporteur, ou baron A loy-, a


re~u ri~sion. r.gir, ; . en mrndiasellur prn s tionseux partdfinies. A .82 PJuAs, proch-aine reunion.


11 en dergus te deux paysnt porie don fire d Iraq et de la Aers---edans larmelle le rapprteuA-r. le baronlloysi, a reru mIso dpgr en midia. teu rntele deux parties.
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qu'il tie s.,it trop tr lanTOKI .un . O. quin annone que du pmain, Koki Havirsota, Minis-a. Tous se de~p"ehent de lui pre^tre des.cours, Affmaires Etrangpus rape prochei est le croiseur britanniqdu Japonbie, erq l'ouverture dhe a DI30 neud et espareation



tr~s irmportanto suir les futures relations sino-japonaise&. be Journal TOKIO.- On annonce que demain, Koki Hi1rota, Minis.tre des-Affaires Etrangebres !, du Japon, fera, -a fouverture


Chine te Ita colonize delaration u'y ot entrepristante lss puissancesfutures relations sine-japonaise&. Le Journal %Asahi;a berita ce sujet: ell est hautement de"sirable pour le Japon de pren. dre l'initiative de libbrer la Chine de la colonisation qu'y ont entreprise les poissancelS


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Itl 11 Mars, 1935 9on~ alarmante? Qu'une septiamhe enntine est
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Reconue tf par le
G enent t&a.

Port-auePrince, ce 19 Jan vier 1935;

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L- Conseil actual
on d association des
::::.:.::i:. :::.:-::. : . :: .":. .: ".i~ :::. . :i .: - . . . . . . . : - . .
:B:.oy Scoqts'Nationauex: dHMti .fit saoir itous eeuxT qie a question .intresse,. quil S.est :nulement - sa connaissanee . contrairement a certaines alitatiois contenues
-dans deux .:articles publids dans le qonotidien <, e 5e ot e 20 Deembre der nior et intituls et < qu aueune valour ait t& ver s,-e mensu-llenent ou anyeliment -- 'Association par aucun chef d'Etat ni -encaissee par aucun tides mcembres du ComitP3 e direction de ,a dite As sociation a aucun moment donne.


Emm. B. ARMAND, Prisident; Alphnse ST. CLOUD. C.ef Eecutif ielix DIAMBOIS, Seere'taire; Commissaire International. Ludovic J. O S M0 N ID.
Members: Chs. St. CLOUD, Lmile LAFONTANT. Rich4 K E N Is C (A"F
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