Le Nouvelliste ( January 11, 1935 )

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Par Arrdti en d-t . .a 81 pkcembn '1934.ubitg " Moniteurn.da 7 Jwwir eoz raut, SoniExellenc It PrM. dent Vlntel d dan an ~7.k4 reux iia ewur, a:acornhi gre p-ln et: enire e
droits des 'tiers rtservi, t du1quante nezd tondamnts, . des p~eiftes clivrses; q cor
mate en relic de vinyf we, la peidue rt pro f centre vinyt sept autre, et tcoimue ausst a ntwtvau* a dlx ants de trrraux f orcis;eelle de deux autres eond arus e moral el enfin en clk de# 5 ft !0 ant4 dune quarantse d'autres, condamnsi, soit--a perpituit, soil t des pines, varint entre dix.fi quinze anntes de travaux forces.
Ce geste sublime de pardon du Chef deF rEtd, eot une notWle preuve de to grante pioi tie qui renvai, dis q 'U& troupe en pr te lamis


res ent 4' H .- .
a u#e decette prfi negative



grtiwflnmlr, t L'4mq.erd new uhrew d'eommw e no, tre4oswsc* ea.in



me is retv , de. giraw: j uste rmevtwnaitS2ed* an a faltl, fordt wid, degs
cnim i nt nconucienft Qton ne s'tonne tt nc pit a l grand nombre p ertax,

os utmenn comndation, de Peine;leIts adres, cde grdre,




tuerroyante Cet en peril la tianquSoi publique et dlarr ue ndeies dsit eo tou tuzt rtnecawn eute ageit&

montre gint 0ee, pacifiqu, mfmew quand t'oasion y e" bet, par des mesures de tern.
ritat ion qu'dlle considtre omine au ceptibles de fare. impression sun des ceurs aparemment endurcis SC'ent, scion n ote, ette Iet on quliw dkgage de 'A rrt!
cGrder', qul van! plies quet len ae 1s ut IreSSURIS,


L'ETAT DE
LINGENIEUIR .JEANNOT
S'A MELIORE

Nous avons t t heureux do gnstater aucoursd'une vi, dte ne nous lIi avons rendue .H6pital 06nraIl hier que 'Ingl6nieu .Jeannot se remet .lus en-.plus. [,Nous. cryans avoiV .qu'::iI e. l-9 autoris6 par son :m* ieci de retotirner -a .tte i1 imnortant . service de ia
Q T. P., avant aon.com, )lt rtilsement;.:,:. I faut esp6rer. u'il se col??The ra actcre oinianda-: 04 .d'autant piu queclut i Y'y: remplae, htg'n neur. nrabD ois(ers, ] masre ato. nirbl qT GamaTh Ab.


X I:T:.:


De quelques. decoupures de journaux amiricains que nous Venonsde reeevolr, il ressort WUil s'est c6mmencA aux hEtatsUnis ie pui s quelque temps, .-et- parmi . les -ame. cams eux-memes, un mouvement important pour le dfgr&'vement partiel du rhum haitien A son entree chez nos voisins.
Dans .on numero du 11 Dcembre, le% New-York Daily News. signale qu'un M. Georges be Boutillier, vice president de la compagnie de Themins de fer de Long Island, ayrotestk, avec l'appui du Ministre Blanchet, centre des droits de W50 o,'.o quil a dtt payer sur deux gallons de rhum rapportks 8par lui d'un voyage en Haiti. Le journal ajoute gue M. Blanchet a exprime I espoir qu'une revision perunettra bient6t de ramener ces droits ' 50 ojo ad valorem.
Le Journal of Commerce de New-York signale, de son c6t6, qu'au nona de -2.000. im:ira.r=AL� v.M: nsgn, "G
Shaw, psident ctt Comit4 Lgslatif de I'Association dee Importateurs de Breuvages Alcooliques, a demand officiellement 'a Thomas Walker Page, president du ComitA des informations de reclprocit de la Commission
Douahiere Americaine,-de faire le n4eessaire pour que soft portee A 250 par gallon ]a taxe douaniere de 5 dol. qui frap pe le rhum d'Haiti et qui ajoute ' une taxes interne f6drale de 2 dol. et une autre taxe interne, variant suivant les 6tats de 1 h 2 dol. t1 na pas hesit6 "d delarer que des droits aussi M1eves ktalient un obstacle au commerce et ine prime a la contrebande.
Nous voyons d'un bon ceil ces d4marches qui montrent combien notre rhum est appr~ei& it I'Ptranger, et nous esperons qu'on en tiendra compte, autant que die nos r~elamations, ai nous, clans [l'6ahoration dui nouveau trait& commercial am~rieano-haitien.


m s m . . . i n.


UN RECORD


te Joural Officiel. de la R6publique

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Dans son numejo du 7 D&lcernbre, le"-New, -Yk Herald Tribune, en anniqant le depart pour.PortS'adPrince du Consul d'Haiti Benjamin Vincenl, rapporte U'1 #.tait a eompagre-dun gr6upe de flnanciers et d'agromomes qui projettent de travailler au dveloppement des resources agricoles et minlrales de note pays. Ce sont, d'apr's cet organe: M. Henry Tippenhauer, de New-York; M. :L. Corey, expert agricole; M. Alexander Eisemann, appartenant it la maison de courtage du meme nom, et son frere L6o Eisemann. Ces diffrents personnages auraient eonstitue une compagnie , brevet pour exploiter immldiatement les ressources agricoles de I'le. Plus tard. elle s'occupera des ressources min'rales. D'apres M. Tippenhauer, le groupe financier compte consacrer immediatement 5.O0,000(101lars & ta construction des dp6ts, de wharfs, etc., qui serviront i. &on plan-d'achats coo_p~ratlifs. . " .
C'est I' -n tr s beau plan, et tout en f6liitant M. Benjamin Vinicent, qui a eu le mrtrite de diriger ces capitalistes vers notre pays, nous sobaitons qu'iI se ralise.


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lOSES 1/AITIENNES
L'ETRANGER


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la gnande revue franaise (andide)> pubi ie ces jours-ci, parmi beaucoup dtautres, in r6eit, < Certes, le portv'ait quo autour browse du Premier des Noirs 6tonnerait beaucmp dhaitiens, et, pour cause, nes t pas de. plu; [d1tIles. Mats on note, di1 moM dars les fragments qui nous sont passes. 0o84 le~s ye1X, (et warnmi beaucoup d'inexactitudes). un s o it c I de documentation, ine svnmpathie de I ,ecrivain pour le h4ros et pour son pays, qul sont tout nouveaux, (lu rnitrn,-lans cette classe de littvrature, Iorsqu lle t.itaite d'Haiti.
Nous le signaons vec I)Iaisr. A CLPE


LE DRA ZILIA N CLWPPE R


acr mene' neux I 5e-1 pa Ce matin, vers les huit hieumaine, sans avoir eu Un seul !rAs. -1aPan-American AirNo.du lundi et du samedi rou- waf, an moment o ' AirIt -au- w , au m.': ,. oment O yo e-. nisf lomme Ma arvat au- nait de donner aux passagers [tri *e Ie signaI d'embarquement, Ie
ten jrius ii nous a et don- 4e moteo. A gauche: dugigan� on lir dis exemplaires de
aie s. , . � - te.e apparel a, pris feit.
.2 1age, i ,:estunre. .6taent I' sang-roid. et.
ron. rcnvre. i' e t6ebd
-r .**oucapa e esi fieeerdo h
PAn Anericanh iwaso
Strop . . .auraite apot4trd er dplmnr'I rppP rer ungrandtna heur'
.aBVesI ene y'frkdes Ii


MOEERCIAL
AM ERICANO-HAITEN


POUR LES RAI)IOPHILES

Ce soir, d 6 heuics 30 hl 7 henu 'e:4, ufle conferences'. - mm u
14Hailti ser'a rad iodiff,'iee par Dom i.ngo!i,f t-{ H 4 1)de %nto1.)oni i ng�o.


LA Crc-tN atE SEL


o- c pr~este-cmt.re rl-aPc et te odmnu:.de ptkn qu&avec ut orAr .:.:. 4.1". 4m R . .o
tir nploi dana Ioeaatiore d


)Ies4 ehez qui Ia pasln d- L'etude deviendrait ,i d6vonYraTf. qu lle eutrait tilt pat, by, pothe'so, ququ rdit pour la sant& dw corps!
liOn t dc" urtd 'x i
si lo;s soubt n. al7k taient le 6 eves et si la corn ception meme- des programre et ila mani6dre ees en.seigner n'-t.aient poutitn dans un tel tat de ehoea
L'on sest auss.i d1ua11rI d'auire part comment ii goe IaU que tant de sUjeta, qui pourltanit oti=us e lo1p)(1s anines leur. eulottes su PM banes du coll*g, n'alent pour finir quune mentalt$ de � " ,'i - A -- AA ._ ,. _ . " -.


Selon les dernieres nouvelles recues ce matin, on egt en I trained mettre la derniere main a Ia conclusion du Trai" te Comnei'eial entre Haiti et ies Etats-'Unis.
Les 30urnau7( ainericains qui suivent attentivenento la rn-arehe. des negociations en p a I e1n t avec optilirisnme. 1ie nolinfs (IHon pui$sc, e dire est que. ie ce TruirtP 1. c r It o n n t des avalltages lcipr-oques pour nous et nos r i c h e s partenai.es, et Ou'il en resultera les plus heureux eftets pour notre situation econornique et cornrno'ciale.
Maintenan, ii i s'agit plus poLr1 IueS 1)veductcetrs qu de s'appliquer a presenter, pour in crisomm~nation ext&Pietfl' des }x)UdUitS do chOIX, repontlant ZUSI aii t routes les exigenes d'une e pk),'tation de grantie envergure.
Ce seIa, d'ailleurs, tout pro fit pour eux et pour it pays.


UNE GRACIEUSETE
DR LA aLYK.ES LINED.

(e inatin. oat ttP embarO100 1 b)INI du nviYe (AlmohIa L.vke>, (e Ia qxLvkes Linex., 16 caisSes de produits hal tiens repr'sentant a participat ion de notre pays it ]'ex position dc Tampa, en Floride, pour 3 aquelle Gouveinement a prsi tout recenninent un airt t de crdit.
Nous avonls aippri, plai.ir (u tla cIvkie~ts Line)1 a eu ]a gracieusete de se Thargl sans f r a jIs de Jeul, triansprt, et 0)$ DouS faib sons un devoir de signaler au public ce geste d16g"a t die son, CeI'OSQe .L Iort-au-Princc.


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"Illsom Will" PIONIMPIr REAM


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ParleSteamerPastorado 14 Janvier cout-ant est attsndu ici Mr. Raymond Doret ieenci# ts lettres de 1'Universli t de Paris 9ui vient mettre sa belle et forte culture au service de son pays, - aprMs as!ze annees pas(ls en France et deux annes h Tunis conme Professeur de philusoph ie. M. Raymond lD.ret cst tils et neveu de no W mis Feieie et Hermann Doret. En lul souhaitant in sympathk.ir Well come uous pren(nm&pLwisir repr(Aluire pour nts l.teur I'aticle ctdeswus egW public aetuetlen nt nrtre conf rove QLa petite Rrie sYous sa signaturei'

LA REACTION CONT RE
L'ENSEJGN EMENT
LJVRESQUR FT LE
PSITTACISME DANS LkS
('LASSES SLY'OX,DAIJWS
N 'es t"- i p a u
surprenant de constdttr Ic
)Cu d'inttlrtt que Ia plupart ties jeunes rwns apportcnt it leurs #Akudes. La joiv: de connaitre n'esuttle done qu"in vain rnt L uk %1
Lota c Ur4,o i ,!
501 de comprendrc ,sont po'ur tant, nous dit-on, lune des ca.ract~ristiques es, en tiell1es de Pespe humane: :'anial n'a point d'ap itt' qui dC pa.wnt la it pureflent rYg'anique. Corrment hi f tiU
done que .si c.eralcment Ie travaux de iole apparaisent F iacloiesccnt cIm Co unecorvee don't on se (1 . rait voldntier- s 'on n'v 6tait 'ontraint? . pnurruoi k professeur, Apw t quelque. ('xeptions honorable, est-il habitueliernent regard&- cotnnw I'ternei rabat-jote., Ia nuahino a~ distribuor Ie: 4-ros 4t t~ WTI8 nU.,S. l'(pa:uvxn.tail, I enem pour tout dimt,

uu Ie ilc e ahle
(piirce quil faut b e 'be nir pour" acc&:ee aL (trtaitws fonctional' 'omp ies,-t'on de commarer he ouquins,, common de.harr-asse do' , nvtuvais souvenirs! (ThCes: le cas ,,ont po:u ncanbreux %( I rruaitre doive iflti'rnh' 9001r rncod rep l'ardeur de dlise-


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do'Ia eux~meaudene n our00 ollar ehcue sntt' pa-o votants qualifout
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lii avlt jamis rend visit fon alep la Joniliner'H Commiss qisocueteI
Ltmin na dit aui gr non. alres1 quir 4ti echech par Saire pour y fendre es inT-eillv 'est kclar auine-s .Os daolce, I'66 ene, et a-tt, Ias Geran Breanl'


Charles Picouiet


228 Rue ,Roun. -Porlvau-F
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:Gh::G dhi est.em. train aie I lexp rionce d La. paroe sa-. : 0Zui.:.! ftapepar Erp e :I
tour nommnyCS hansu:nderj protestant-contre. une nouvelle or ganisation des ven.tes qui sup.? prime les revendeurs et autres inteormdiaires, voulai r2Ilier Gandhi sa cause, mais IC Mahatma s'y refusa. Shamsunder s'est instalS devant sa porte, et a dklare, malgre routes les objurgations du Saint Honme, qu'il n'absorbera aucun aliment tant jue Gandhi n'aura pas
-promis de. Ie soutenir. Depuis pros d'une semaine que dure cette grave de la faIm, le Mahatma est sur des, eharbons ardents.

P LEMINGTON,- La d6fense de Bruno Hauptmann, aecuse6 du meurtre du fiis de I Lindbergh, coute 50.000 dollars, a annonc6 Reilly, son
principal defenseur. Haupt-n ann ne paye, de cette srmme, que la bagat*eIle de 2.W00 dollars, le reste des frais eLant Ia charge des 4 avocats qui essayent de le saver de la chaise 'leetrique.


Jntd es dents trchs- 4lv tsnent rst.,v*Bnt Ltu Lar kc 'ir nALLUReih.
S, Mi vr~ts YU nl aXlle e(-A vflyt- K y
".4 . ur l- l ef. .- a ' tIrolrqu
viornt , Votre s fuire,
NO LYNO$ S
-.CREME D-NTFRJC


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des Viltes de Port-au-Prince et du Cap-I14aitien present


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avec tout ce qu'il peut y avoir de plus perfect


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Rritannliquoa quo ReDue 4

a :erachever lur Insdo.
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LOS ANGELESi-En $ rmi nute", is JugsoBeM Linsay sur le tkmoignaa d'EIizabeth
Lewis e do mary
Lewis, seerataire 0 ao Pickford, a prononci l. divarce de celed cWave Douglas
Fairtrnk% pour ertandt


UEJW' . RIVBM EN TS
M. Medoit Anthrnny (%"-t doit, M. Joftph L_,lio Grindoit, Mine. Eug. Granduit e% ses enfants, M. et Mine. Pi-. lippe A. Btisaire ot leurs emfanta, Mle. Anastasi Grardoit, Mme. Vve. Numa Knatpp, M. et Mine. Joseph Cammri Grandoit et leurs e nfantA, M. Idom6ne' Grandoit et e en fants, M. Joseph &t.adus Grandoit et ies enfant-s, M. et Mine. M. red.n,
Vales et se":'erfanlt'-' , .e t MnIce, Fuviec" Valhs �. i,-.rs enfants, Mine, Vve. Ciitus Grandoit et s ezntfants. M. Aurel Larrieux cti s enfantMme. Vve. Meichoir bltr, et ses enfunt, M. et Mme. Edward Bonneau tKt leur enfant. M. et Mine. Justin Fortir, les families Grajidoit, BPI.ist.aie, Bonneau, V aL&& Uarrieux, mJ. Guillaume, Gibo.s-se, page, 'cvr,, Charlot ai-si qne tsux I('; i& 111tres paren ts%-. nilt'6s,
de sympathie qui Tuvr ontete manifesis i Icnsb'air tie Ia nort (1e
iacqzwts-Marie C randit


cItur ve og i,, t tvtptr I) ~ 4 , fr re o.flC, et cflu5Zifl e.. . 'tbt ' 1 r , rf -, In e Ut Yfcy,:b P" drrnl jufe(t.t i'e .norb5 n sinMremrnt I. 1 Doyen dui T'ribunal (ivil d C'ayves. N. le 1h4puto Etienine MorailIes, M. tLopold A. Itoumer et tous le& autres arnis tat de 1iA Capitale qo tte dI. Prtwince et les parent de croire 1 eur profon de gratitude.. I _ . . . . . . . . . . . - - - -


REMKRCIEMICXTS
I_,es families Nau, florchotn'ieux, Poisson, Bai, "tI'6& rnanque,(Couiici. Camifle et 441 tres alIis, ti& sc Nis au'o marques de sympathie q t.ldle; ont. reues "' 1occasign de i mort die la-u reg'-rettbe Vvv

A rjslhbnes JBerthoeumieux

,rieve a Tur affettiow Ie :er. Jttfvier eoiiratut, rmet'd!ient bien sincrenet1- c P. ident do Ia R6pwblique e ous les amis qui les ont aistees en cette occasion. Elles lea prient, en retour, do efmire A leur profotdo gratitude.


CAFE RESTAURANT
BERINER U#OF
Is . dLt af4. Uetaurai~w $*> liner Hof4,. st %tnrn sl al (AMlP d-e-Marsden w. Carde 4 RAiE L'ouvrtur .au ra lieusamedi. "
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S.:: men ri t riv::au 1.ndeman:&
i6ments donertants, onS fondahtp hmre et le'permanent,.1,accidentel et le capital, iH e t pen qui re-teS rout.
On n'en saurait dire autant
- d'une etude de M. Edmond
Vermeil qui inaugure une non velle collection, d'une irproehable presentation. Ce petit livre, f!1 condense ou si Von veut en moins de deux cents pages, trTs clairewent, l'6volution allemande
pendant plus de cent annees.
L'auteur eonsid're l'histoire politique en fonction deI lhistoire sociale et, explique celle-lit par celle-ei: "est a mei]leure mth ode pour percer le secret de la'ralit. Corn me urIude une indispensable rude psychologique du
peupieallemand.
L'AI emand, dIt I'auteur,
est 6pris du labeuv mthodi- I
q(Le et. rgulier, da"ns un ca(hre fix6 par nvttice et ss une dweUton k-ntibrerent aut 'itai.re. I i {t. ---xcelent patriote, wnsi no, =-e soucie pas de dirig-er 1cs e(stin~es de cette pat-aO i 81Pe. Ii Conilere q ue I-i Tirectin ties affaire;.rmnbiioues est un m6ts33 (:,me n a1 t u- dese cgUX lflt3:U8>2Vie- 0ti S',V

S 1;~s n" vsen}t destin&. oar d]es etudes
" speoia~~s A' iS_-:0 5e partis
sornt-: s de.s g;'oiwements (finter. ihiite mw n}n floetn,-nai yes.
Or, la rvcoiutlion industrielle du XIXe si'ele qui s'accomplit en Allernagne suivant un rvthme pi-eipit6 risquait doppose 10 nri aux autre>_, vioeinaent, .ces groupements d'inttr -s. Toute I'habileta des gouvernantIs et en particulijer
S de Bismarck: fut- d'5pens~e it
rechercher >5s comprwnis petr-. . genres des nouvelles class.es soaht;e . bourgeoisie mancip{ e et. surtout prokdtariat-tout en rnhageant les classes'


ju-ue 1k prponderantes: aristoerat es et grands proprie.taire. Ainsi, le DeuxieIn e creation bismarc-


.:i:.


. uus-.I-ts.deux

U ent
em,
le's VMS ;con*a . de. 'Han- OV


Ien s rep t aeLiesembe-g- -qul r"a

:ples i ons oaiee- hpartird-ed emain,

quler, I. .ten d a. ts1

priess&tie rrnpreae hoet corns
taes impfensp~rrdm
btson : SeI uin es clsstes aud azsmd, i4h

dirigeantes d'autrefois, hobe- res, au ParetLeconte, match raux, grands patrons et ban- de Zime cat~gorie entre L'Oquiers, avec les classes moyen- tum et tePetit Racing nes etle proleriat. Mais Club. peut-il amener des 6ldxMents Entr6e generale: 0,20 ets. aussi divers a une synthese Voitures: 0,50 cts. i vraiment organique et vivan- Dimanche apres-midi, Ia te - cette synthese dont le mme heure, grand match de drame de j'Allemagne est de lre catigorie entre L'Olyrn'avoir to fjours ignore? Au PAW et le Club Sportif Lousurplus, le national-social- verture. me est-il sincere quand il dit Entrte generale : 0,25 ets. qu'iJ ny aura plus ni patrons (Ct Est) , ouvriers, mais dans un 0,50 cts (C6t-Ouest avec
Reich vraiment uni, seule- place aux tribunes.) menit des tfl1tailleurs ale- Voitures: 0.50cts. mands? xxx
On a bien le droit de se de- A VIS: La Federation a par wander si, bneficiant de la tag6 le Pare en deux parties: galvanisation due 'a une dm- C6ti Est pour ceux-lI qui ne tresse collective sans nor, d- paieront que 25 centimes et tresse don't is sont directe- C&t Ouest avec place aux trinent responsables, les diri- bunes pour les personnes qui geants d'autrefois, tout en achteront i-ticket de 50 cenconsentant pertains sacrifices, times. ne s emparent pas J)Our la con
dui-e, at leur gre et ]a faire f. -_servir l'a leurs fins, d'une jeu- VINS!
nesse ardente, mais d6pourvue
('esprit politique, tandis quo
le reste du peuple, toujours MAISON A. C. MCGL'FFIE tie'de, morne et amorphe se m
laisse entrainer par un nmou- -te ursadea ixos y| fates an tour ala nqnv"Iali i.f vemert dolnt 61an st deve- :4Mn A. C. ' e No_. nu uVr1distiblee ! at
On voit que pour M. Ed- 'U lti Ma 40do0tCta t
m ond Vermeil le national-So- a cot6 des o0 Ghapeax.
Vows trouverez leg Citdte'
eialisme pourrait bien n'&tre BordeaUx le us Uts qu'une immense duperie. dc-i! pour terminer. Vers la zeresonvnd pafb arpaix dans le travail ou vers la !jis gallons t bouteires. guerre, c'est-d-cre verse une ixdfattuecnre-I catastrophe oPf l'Allemagne ,. hitl6rienn( sombrerait aus-_________________si suirement quo I'Allemna- ====

tourmente de 1914-1918.>>


. . . ." T.
LAQUID .tABLU'TTgS, 9 UE
COTTSS ),,OUR bE NEZ
Arrt Ia malaria en 3 Jeurs,
ko rh ennIljotr
leg man e e e I s nitsfries AMt3 O minutes
TONtQYE ET LAXATIF
EXCELLENT,


- . (Extrait). .


1) VAilemagne du Congrs de Vienne d la rtvolw tion hitl~rienne, par Edmond Vermeil, professeur i' 'Universit de Strasbourg. Editions de Cluny, Paris.


p in. . .
Ucwanof, Gert d.a
(v*e CIClary et )MaxNud l*In

Lacihepiecev_(,t.e. deCApe&6
ant Ren: e : 6iblt :tLuc ien alse EFT
Henri.Baudin.
dap.
Le beau flm
SANS FAAMILLE�:
____.- 2. - Episode (4 Partiesb
__ __.-- Entr : .


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ifl~A4 JASK ad' COPELVE.TOLtS t RAX

TOUX, RHUMi,; RONC!ltES, ENROUE
INFLUENZA, AFFECTIONS DES POLJM(
POR~T- At-PR!hC 141HA! I. iT LRS POVINCZMi


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ai P reR AmMWn I ve cenite
okii un pneu qui se passe de prTsenta/ion en taus Les gro eo se.dplures mauires el saillaniesd e
de roulemerit, tenant fermerment In route, son! deasyb les d u6 c1itt depuis les dibuts de 'automobile. A! an rours des am,-esd'adverite qui iennete s . venues on di celles de tout azUre
qua 4w (lle. le.Prix. .


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Mars 1936, Mars 1935,


1 f1iJn.,
. . . . .Ja n .
." l.a. . lliF.,

1e'25 : 'bt-F~v,

It . Mars, . 1 Mars, le 17 Mars, le 25 MUars, ie 31 Mars,


JAS. H, C. VAN REED, Chir AEgent


PIC. .5. . . . . -


7,
7


LE" T UR DU MONDE
'o po n#essgiratw ti he powh sU4orla *ass goOt pour li voyQt Los ams do condilhon a- enn, pt*2v4t 1s pnntr".ce pllsljIecs'6pargntLot moindtit dtp t4 grbcs 0 ItrtcrntCOMpWA, ontb-t fait d t0oltur U n. rwtrv Inthressonte, r6aots Ito u bosem,


B-ANQU E


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RY ALE


DU CANADA


A; .- 4' ~ -~


Les


GENERAL nax


EN HAITI, (GMMR.E PARTOUT A ILL E J 12$ IPNEUS GENERAL ONT CON QUIS LE MARCHE., "NEUS. IUNE SECURITE.INCOMPARABLE _D' U N CONFORT rRAIMNT SUPERIEUR. LES VOITURES: LWCAMONS EQUIPES A v:*.RS e GENERAL.PU R.N T. PLUS LONGTRMPS, ESSA YEt B:SGENERA LS .T_ VOUS.SaDo
. . . . .' ' . . . . ' :" .-- . " ". . ' - . ' . . . :
TW~aZ, :GRAtCE A L ::t/I?: 84$8 f:iL ,:L /k $UflRI#ORITE, LEVRB.COMORTuT LEVISECURITE
J~t EL UR : ON F ' " ': . " :::::: ": :: ::"":; T : :$ U TE. ': ::: :": : : " :." .- - : ". . . .



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Cnal. us exactement
lace " qu .e ia.Loterie Natio. 111y "d'Haiti. ocupe dans- P6ccnomie nationale?
Vous imaginez-vous qu elte est un bastion avanc4 centre )e ch61nage quis'6tei tie fa9on alarmante?
Avez-vousl caleulti quo 103 Douze MlCe Gourdes de son lei Gros Lot reprsentent le prix d'un pignon sur rue? Savez-vous que Deux Cents peres ou soutiens de famille gagnent leur vie a vendie ses Billets? .
Que huit families du ersonnel dependent de sqn'sort?
Qu'elle repartit ts subsides mensuels auvROeuvres sui. vantes: Cr&ehP de Port-auPrince, DaMns de St-iranois de Sale lort-au- Prince. Pupillexe St-Antoine, Port-auP rice, Association Corps En ,,eignant, Port-au-Prince, Socite Histoire et G6ographie d"Haiti, Port-au-Prince, Muuaiit6 'Scolaire du Bel-Air, Port-au-Prince, Cr he de Port-de-Paix, Oeuvr'e , Jacmel, Cotllge N. D. di I . S., Cap-Haitien, Ecole des FrUres de I'Instruction Chi'tLienne, Cap-Haitien, Oeuves Paroissiales de la Cure d Plaisance, Fanfare Petit-GoatVe.


Que six can'tines scolaires fonctionnent a Port-au-Prince, sur son compte: qu'a ees


6.kdt tctte ell11. occasofferte

Aw d e i"p '' : . .,-, ,: . ,,, :. . . . . . . . . . . . . . .: , r 0 '. . /:::
par KM l ' dIrivau pour 7 i lkjusqu'ii flY 0en s!R6pblique tknbdaine mphwv d .l son. d s: # ar, ., .ia. d. c nImeixenpro. ointee M p Pr i {na,:retla turtOutafinde
garatirIa ~euittde,
disp~son dotbus1.4 x11%si I Vvlent:profiter d i arL tin
ONA1DHATIISJanvier, tinr ol
cantines deux cents petite ain, ain & UfSon n0uveaucai-mtcte y trouvea.t Quotien. imiun.'iey-Partout, rntkteU hesi w- repase0.� foiltant. a- o derfier modle, en C1It 1i i iIS atiOfn depuits setlement di vies-1t"es 3' envoieut, dii oUrius. crctcrno"t, ehercher un pe e! I le.s pvie eli outife de hien ]tolit-ien vripuloi paser au (arag
Q u'unte septi!rne ctine est i Chrysler-PlaceCeifrard. rvteentretenue aux Ces nir eurs laces A Fuvanee,
Avez-v.u p --s6 aussi qu'el- TOlus los Nurs te S h. A. M. i le pale uni ,tvice d ePublici- 5 1 P.-M. oN do tcl6pblonei' tP, un tyice de Reclarne, u an No, 3341. Se.vic4 doe Propagande: an-, t artdentrepris-s haitiennes >Aiia marche desquelles elle I . SERVICEE NAT7IONVAL contribue? S
De'pouit-10A.4vous de tout es- DEL tR-D(TO
pt le partnpris et vousc omprendrez quelle Constitue AGRICOLE,
une force. et un prestige national.
Grtce 'a tontl ETJ)EL'ENSEIGNEMKNT
ne1 lui aceorlez-v u pas a .' . - RURAL 1)1,63 rei e sur ;es Io 1 Ies exo , utoues Surb.i.)to. que pas tin de sosCOI})UlS o s ved hrs II v. aura 'D Po.rt-de-Paix, le
1 e.< (101OI , 1-1' [0 ZSe \elid hors 'I-Haiti. lEe so heurte, ail4 12 janvwe a 10 a. in. mm ccml .til 'al 11 _11.1,i SV t'fmati- CU I \ViL 8111 VIt- mt n din-titut - I eS u 1"lr CC
- ,tti'iotique ne notIs cornniandf-t-il p ade faire rle n5- I.es pesonnes en m P1te on sa favur? a ce corners
I--aiLiens et Etr-aingers amis, 4civent etre runes di ertiicat de fin d'ktudes prirnav a)'cr: ne pen-,e Chiuceur
pour I Lolerie Nationcde yes et d'un ertificat tie bond'ailiu' sign6 du mlni


Money GOURGUE,


Direcleur.


Paix de ia commulle.
Pour tous renseignements ;u o.ple1mentaires, .Ma(lra s h? u Monsieur Marcel D e h s.
Sl.peorvisout" d11 i)i.tI.iet C(e PorIt-cle-Paix, ; anI n,:orit do l'i:;.si{'iu:t:,nn. t:nral Lt ITrnien.
.:= :.= : . . .


A VIS


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"" } n t .t . �_. (UCL>I'ntie I.'~ ~ t& fI -t , O U) i {('t I f j,' .k. ".


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Contre lesu de te


et. lgrippe
prenx dosute


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pr pdsBAER"sntI moilleurs


1.,e Vap P:\STORES \ely. t43( 8. B. partir'a doe New< Yorvk Je 10 Janvier 198 direete> rnront pour Purt-Au-Prince oi PS -.t attend It 14 Janvier
-:.e, 1n rout le mme Tr. "4 lheues P. M. poiw Kings7 ton Ja., Puerto Colombia, Car 'tagena. et Cristobal.C. ,., ;pre.mant fret, pasagers--t alt4 i' be VapOeur MIARTTNIQUE !Vo. 13 5. B -e nant do N#W York via lo ports.du Nrd s% .atte.tdu: a.Port-aitPrnre _t ia1 Y.an ie? 193.�� en Vo'ute. I. 4" �n -jour-pour-Petit-Goave et l]es- autres ports du.-Sud.


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La mi m'oire, a-vtn 4J cor, coweti q, ai e qqe
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Iigenc, t~e~~&dreIs ugo j ostnotn r ani Ber~bn



inventk Une expression sugges phin en est le Manager. 1I Setire pour designer ces contre- ra, par les risultats, Iarge faons de Ia:pense que ion ment reompens de ses peiobserve parfois: tel individu. nes et de son beau devouequi passe pour avise, dans les ment Je ne retiendrais que le affaires privies ou publiques, titre de Diredeur-- -et pour n'a jamais su que *n.citer, le partager avee Rochefort des lemons apprises par caur, - Joseph-, cominme moi ConseiWa ]a maniere de nos jackol; j ler du C. S. L., - si nous n'eeest ee qu'lls appelentdu tions pas dtj& designs de Ia apsittacisme>: l'tymologie: denonjination de Membres de

du mot comme on s3en apper- la Cofnnission Sportice.
goit fit d'ailleurs allusion au Que les dieux nous soient perroquet, en grec, psittacos, propices, chest sans maifenChacun peut retroruver dans tation que nous passerons
sa m AmWire quetque exempted Place Louverture, en rendant Cie Cos repart.ies par~fatemnent 1 hommage di-scretement a C edesadap $es,~ dont Peffet co- hii donti5patronage nous est
mique es i esistible et qu I bien cher.
faut mettre au compte du Pas trop de bi-uit autour du
Psi ttkcisintt C S. LMais qu'est-elle au just Toujours Wen vJtre
c tte caricature de la pensee
sinon under manifestation en- P.DISSEK.
tre beaucoup d'autres de la tendance, helas! si naturelle,
au mtnhe effort Le geai qui Ingttiur.
s'avise un beau jour de s'affubler sans plus de faqons des
l)lumes dU paor na-t-il pas FAL A dVIRGINIA HARD trouv, la solution &conomi- I y aura grand Bal demain que, sinon Ia plus 6Iegante. soir par 1'orchestre aOriginai
Ne pouvant demander aux Jazz eompos6 de Guignard,
bambins de V&cole primaire C-sar, etc.
un continuel effort de juge- Henri Roche, propri-aire merit, Fon s"est vu forc6 de de (Virginia Ban>. fait tous leur fire apprendre par les preparatifs pour assurer eeur> leurs 1eons; lon con- Ie sue'.s de eette belle f-te du
vient en outre d'accorder les Populo.
meilleures notes 'a ceux qui ------ _ ---savent le mieux ces Iegons, Avis
c'est-h-dire qui peuvent les reproduire de memoire aussi fi- Ce qui permet ft Pierre CodWlement que possible etdans ea d'avoir une si grande clienI; t-rn-es - -nes de eur ma- t1 e, cest qu sa coupe a tine
nuels. Queuies que SOi~nt los l~gance parfaite.
critiques quo l'on puisse for-- Pierre fates
muler, at qui-ont &t6 Lormu- raninr,
l~es en Thit, contite une telle j ngle des Rues du Centre 4t
m~thode n.,.me en ce qui COn-W Bonne-Fol,
. c.me P'6cole primaire on p eut
y voli r cependant--un-.n a n& . . - :;=::= :- -=: .
cessa ire dans certains ens, par
"exetipie (ans l* ude do Ia ta- i
ble do mu]Liplication, etc.
SgraveO fet lieu plus inquir~tant.sh rt


We-- (i un voit. conser- I
ees LAan 1'ton
ver dans -a preparation IaUX {4.au baccalaur' at; (e prucedes A macml
Poi"e acc pal"es pour le tertificat d'ktudcs, L1 sm "Wow


(4. suirre ) I
Itaymfond DORET,


tieenei5 i-L~ettres de itmL.Tversit" de Paris.


-ERVIL.MIC' EL


. . :.Nntre. ami :Carl 'Brouiard.est
pas.en. nos.bureaus, pour nous -demander .-e etifier
'e r .:: . . . . . "i .i l i .
.ine erreur glissdS.e tins Ia:: 1is
te~ ~s prsonunes qui ont or-, g a n. . . . A o n .
es derni*resr Jdefind ar u.40 en ce qui, concerne tout

W~ ~iwqueiqu vo4


Muami . . - L


. .s.m.l. . .


BULLTINnb

LeObareussont yrisde .notekr.quo4.eS. S i'cCISTI BAL* esttt.endu ia: Port-auPnnce,'H�IaitI venaut ie Cristobal :Q t JeoMereredi 16 Janvier 19 . :
Lfes permis d'embarquement seront: dilivres pour le fret a destination de NewYork et des Ports-Europens sur demand fate ' ce buM~aulk
Ce Steamer partira le me'me jour directement pour New-York prenant frt, malie et pasqagers.s

Ja H. C. VAN REED,


4 pen (:t rat.


POMMADE 29.
Grattelle, Demangeaison.
Eckna, Tiche-.
Phie. St.-Francois Dr. V. MATHURIN
GdRue P-au-Pce.


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Psychologie de 1'aou
Mthode pratique d'autu-wsuggestion4
Education de la Parole.~
Le pouvoir4 do]hivoiont6

E D1.TIONS DE LII XLK

Daude .-".:Sapho . . 101
Raudelaire - Los fleacurs o a! .* Samain - Le char iot &or Symphonic h eoi0TqueAux f ne o .v e." . . . .


Roger Vercel-LeUapituinc Cnan . .G:
Le fyliolkhaeide Laeaion cs(-urer/ciw I lo w.Ips.:Jsaud le'dinwn eel leIt und? apre'vmidL,
AOL.
-A . tde pratdtoeigb tm: v :i:i, ~i:


Place de la ['ix


Rue Courle N Rue du Magasin de .1Elat


ACHAT D'ECAILLE& DECARiTh VI.E.IL OrI. DIA ANTS, PERLES ET PIERRES tFECIEUSES, ViEI LES PIECES ARGENT ETOR, MONNAE DE TU( TES NATIONALITES, A DES PRIX ABSOLUMEN' AVANTAGEUX,
~ - ._ �_.


I,


M SE A e�t D .S:.2. rtI l#FS" fn~tz r


PARFAIrE


* tWh fatt.mt.~- rwgnj LNI(VVMLN INFLUENZA. AFFECTIONS DES POUMONS.
PORT-AtPPRINCt.HA: CL . S psPROVrnCn.


L'ordonnance par excellence
suivre au voucher du Soleil
Au.cot'.ht'du "t.L:a. 'tne:'""d:
travail a o.idu d"
travil uici on&exrcice Violent, 1'ordonannaIa pus rfrakiisanre es tinlgan
-d .e. V . � . . _ d - .:-.:::: .ii.i. . ii
ver. Hone Whisky k. eau dii
soafpp&.M
Ls Whit.ee Hone Whiky supp ze 1* faiu 4 - t cr isngussnj Sea qua
Me miconnue:sdcv sortmen dan son pays
d'og~i siaiqu&SAra:r
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Par Arrti en date .au 81 pkcembne 1934, pubtfi a "dloniteurn dau7 Jwwier eons rant, Son .eellence lt PrdM.dent Vlnteed, dans an gdk, reux ilan dU emar, a accord grde plne ot entire, tse droits des tiers rtservis, ft einquante nezd tondam'ns a des peites d iverses; a com mat en cell de vinf we, la pdune det mort pro noe centre vinyt sept autres, et comnmue ausst a notwenaa &a dlx ans de travaux fores,eelle de deux autres cond amnts i mort el en/in en cellk de 5 ft 10 ants, d'une quarantsigxe d'autres, condamns, softi per ptuit, soil t des peines, variant entre dix.*4 quinze anntes de traraux fords.
Ce geste sublime de pardon du Chef de ndEtat esae nonedle preuve de I granite pi. tid qui renuahll, dis qu'Ul& rouve en prstncet de Ia misre morate 4l'es,--. .a au de ete :ri negative cnsgtitutionneli, f L4qrd dune clasw d'homunwsgue no tre osnwsc*Wdrte a.s inr justemntd eretwten S4es *



nubree Sde, noaneet debt } on a falt, fort' souved, des crimi nels inconucients. Qiton nel'tonnedttone point'an grand nombre, pamr teax, 0ondanfle, ent co 6alfictd les unte, d'nne commendation det peine; Ies padres, det grdee, pteine et entire: Ce West qa'ine fornw bienfadsanti'de Justice Sociale. S'l est da r aue ncessilt que CautoritW s'ttablisaMe fermernent, pars tout tune conduite agit&, guet rroyante met en grit la 'tranqufliti pulique et La si& curitie it 'ttat, ii est tout aussi n~cessai~re qd'elle ae montre gintrewce, -pacifique, mflmw quand t'occasion y ebhet, par des measures de term. perisa ion qu'elle considered: ommre anceptibes de faire. impression sur des cers apparemment endurcis Cent, seion nous, cette ltGon qul w dkgage de A ritd de Order. qul cau! phae que ea onnael leaus pressants,S


L'ETA T DE
LINGENIEI( .JEANNOT
S'A MEf f RE.

Nous avons 6t4 heureux de anstater au course d'une vie ite one nous lui avons rendue
-H6pital 06nral hier que 'Ing6nieur Jeannot se remet le ulus en plus.
Nous croyons savoir qu'il 'et lfa s autoris6 par son ab ieci, d.e retourner A la tte le 1Pimnortant service de ia .QG T. P., avant aon com,)l1st rttbljspement. 11 faut espirer qu'il se con?rmera a cette recommandason, d'autant piu que colui mi. Yy rempla , tIngnieur radois (eorzes, assure adt' nirablemeqnt la marche Abr.
natle du; Rta~nreinaA1sa.


M " IA


De quelques d~eoupures de journaux am~rieains que nous Venons de recevoir, it ressort qu'il s'est commencA aux EtatsdUnis de pui a-quelque temps, et parmi les amercams eux-mimes, un mouvement important pour le d~grbvement partiel du rhum haiP tien i son entree chez nos voisins.
Dans son numbro du 11 D&eembre, le signale qu'un M. Georges Le Boutillier, vice prisident de la compagnie de Themins de fer de Long Island, a protest, avec l'appui du Minstre Blanchet, contre des droits de S60 ofo qu'il a d payer sur deux gallons de rhum rapport par lui d'un voyage en Haiti. Le journal ajoute gue M. Blanchet a exprime I espoir qu'une revision permettra bientht de ramener ces
droits a 50 ojo ad valorem.
Le de New-York signale, de son c6t6, qu'au nonm de 2.000 im:ir.= �.L, vnsgn, "G
vtat.y"," . . .ua, . �
Shaw, president U Comit4 L4gislatif de I'Association dee Importateurs de Breuvages Aleooliques, a demand officiellement A Thomas Walker Page, president du ComitA des informations de rei procit~ de la Commission Douanire Ambricaine,-de faire le n4eessaire pour que soft portbe A 2.50 par gallon la taxe douaniere de 5 dol. qui frap pe le rhum d'Haiti et qui s'ajoute A une taxes interne fcberale de 2 doL. et une autre taxe interne, variant suivant les etats de 1 a 2 dol. 11 n'a pas hesit6 A clearer que des droits aussi Mleves 6taient un obstaele au commerce et une prime A la contrebande.
Nous voyons d'un bon ceil ces d4marches qui montrent
combien notre rhum est appreci& I'6tranger, et nous esperons qu'on en tiendra compte, autant que de nos r~elamations, a nous, dans ['.lahoration du nouveau traits commercial ambrieano-haitien.


m s m . . . i n.


UN RECORD


Le Journal Officiel de la R6publique

lIEN mumAll


Dans son numbto dviu 7 Dcernbre, le "New-Ytrk Herald Tribune, en annoiqant le depart pour Port~ad-Prince du Consul d'Haiti Benjamin Vincent, rapporte cu'll #tait aecompagre d'un grbupe de tinanciers et d'agrnomes qui projettent de travailler au developpement des reSsources agricoles et minerales de note pays. Ce sont, d'apres cet organe: M. Henry Tippenhauer, de New-York; M. L. Corey, expert agricole; M. Alexander Eisemann, appartenant it la maison de courtage du meme nom, et son free Leo Eisemann. Ces difftrents personnages auraient constitute une compagnie a brevet pour exploiter immediatement les ressources agricoles de Pile. Plus tard. elle s'occupera des ressources minbrales. D'apres M, Tippenhauer, le groupe financier compte consacrer immediatement 5.000,000 dolars & la construction des dp6ts, de wharfs, etc., qui serviront i. son plan d'achats coo_p~rat ifs.
C'est 1i un tres beau plan, et tout en flicitant M. Benjamin Vincent, qui a eu le mtrite de diriger ces capitalistes vers notre pays, nous soubaitons qu'iI se ralise.


C


HOSES HAITIENNES
L'ETRANGER


A


La grande revue frangaise Candides publ ie ces jours-ci, parmi beaucoup d'autres, un reit, Certes, le portrait que autour browse du Premier des Noirs 6tonnerait beaucoup d'haitiens, et, pour cause, n'est pas de= plus [idtles. Mais on note, du moin dans les fragments qui nous sont passe. sons les youx, (et parmi heaucoup d'inexactitudes). un souci de documentation,
vine sympathie de Ierivain pour le h4ros et pour son pays, qui sont tout nouveaux, (lu rntdans eette classe de littirature, Iorsqu'elle t raite d'Haiti.
Nous le signalons avec plai-) sir.


LE BRAZILIAN CLIPPER


tcre menet neux fos par "' Ce matin. verse les huit beumaine, sans avoir eu un seul res .-La Pan-American AirNo. du lundi et du samedi r6u- waifs, au moment o A'i renis, comme Mea armvt au- nait de donner aux passagers trefois. , , Ie signal d'embarquement, Ie
TBien jrus, ii nous a ete don- 4e motor A gauche dui gigana.e d'e. ire de. exemair de tesoue apparel a pris fei, .pages, ee qu,. est un vt- 6tN'taient I0 sanglroid et
tbl recor ans son nre. acvit es members e " .uipa .g apae et dui flireeteur do lPan-Amierican Airways on
Strop iy aurait au, pout4tre, A d.plo-mentre In grippe rerun grand mnalheur'

Bavs It Bara reen o pyre 'ifl(We di's it-


LE T AITIE
COMERCIAL
AM ERICANO-HlAITIEN


POUR LES RAI)IOPHILES
Ce soir, de 6 heuies 30 it 7 henure:, ume conference s m'. Haiti sci'a radiodiff'sie par Th 90'1i,,n Ht H 4 1) de Ranto1)onnigo.


LA GCrtIN a SEL


-- Se protest comntre lrarr.tc, et n so ia de ptkon qu'avec us ortre 4'nnploi daaIo e. hatrs do


pls ehez qui Ia passltn de Ldtude deviendrait Ai d6vora t qu elie entrainr it par bypothbso qudque donunagI pour la sant& du corts~s
lion Jest dcmatd? p m fil si los soub. respon.alk 5talent les eleves et si la corm ception mime des programres et la manibre eles enseigner n'6t.aient pour rien dans un tel tat de ehosea
L'on

Selon les dernieres nouvelles revues ee matin, on est en I train de mettre la derni~re main a Ia conclusion du Trai" te Commereial entre Haiti et ies Etats-Unis.
Les journaux amiericains qui suivent attentivements la marchee des negotiations en par I en t avec optinisme, L4,e mOins q(u on pu se o u dire est tque. de ce Trai-tP resu ! tera t .r n t des avantages reciproques pour nous et nos riches partenai res, et qu'il en resulttera les plus heureux efiets pour notre situation economique et commerciale.
Maintenant, i1 no s'agib plus pour nohS prvoducteu rs que de s'appliquer a presenter, pour ia c nsommation ext&rieure des pr)Uduits de choix, repondlant aussi a toutes les exiger ces dune e:portation de grantie envergure.
Ce sera, d'aillieurs, tout pro lit pour eux et pour le pays.


LNE GRAEJEUSETE
DR LA RLYK.FS LINE

C natin. out tte embarO110e& 1 b)rd du na.vie (Almohia Lvke>, de Ia 'xLvkes Line>>, 16 caisses de produits hal ties representant la participat ion ue notre pays it l'exposition de Tampa, en Floride, pour 3aquelle Gouvenement a pris tout recemnent un anrete de credit.
Nous avonls a ppru avee plaiir que l < a en Ia gracieusete de se charger sans frais de Jeurv tanspoirt, et nus nous faib sons un devoir de signaler au public ce geste $legan t de son Vr)'OsenLant ii Port-au-Prince.


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'"'l~~"~~';'~~xl~ L~--~-i-~ LLTXII*LXIXIWYUP^UIYI~ ~I ~-mP~---~C~r


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~I~~-.L. _;E~;=~;t~e~Pii~;e~=Z


I
Par leSeamePastora do S14 Janvter, coutat est attsn.
dii AMr: Raymond Doter, U'eenei# s lettres de 1'Universi tk de Paris qui vient mettre sa belle et forte culture (u service de son pays, aprs aeze annbes panebes en Franee et deux annes h Tunis cormme Professeur de philosoph ie. M. Raymond Dohret est tils et neveu de noS amis Freievie et Hermann Doret. En lui souhaitant un sympathique. Well comes nous prenons pLisir i reprc uire pour nts lee.teur I'article ctdes-us que public aetuellemnt nr-tre confrore <.La Petite Revues sous sa signature:

LA REACTION CONT RW
L'ENSEJGN EMENT LIVRESQU ET L&
PSITTACISME DANS LE ('LASSES SE'OND.AIWS
N'est-i pa q u u pou surprenant de constattr Ic peU d'intlret que !a plupart dies jeunes gerns apportcent it leurs 6tudes. La joiv de cnnaitre n'e t-lle done qu"in vain mot? La eurioi% 14 5oif de comprendr , ont po'rtant, nous dit-on, lune den ea.ract#ristiques essentielles de Pesp&e humane: 'animal n'a point d'appit qui dC pas~nt Ia vit purement 7ganique. Comment ie fait-il done que si ac bralement Iet travaux de i'-tole apparaitsent f_ iadoiescent cmme une corvee dont on se,.se rait volontiers si 'on n'v 6tait contraint? - pnurnuoi lo professeur, A pwt quelques r xceptions honorables, est-il habitueliement r-gard eonnw I'ternei rabat-jite., la mahine a distribuor le? ars et ~e pnsumS. l'(pauvxntail, Pennemi pour tout dime? Pourtiuoi done, tune lis obtenu le dipl6m de bacheber (parce qu'il faut bien Yobtenir pour accede' ~L (trtaines fonetions) s'ompres~e-ton de bazarder ses bouquinsv, comme on so debar-asse do nvuvais souvenirs? Cete les eas ,ont pou nombreux %ft le mmitre doive intervrnir 90c1 rmodiver lardeur des dise>


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XX Indbeqgh attir sur lul Pat
LA HAVANE Le gr- tentIQn pub iquei. ' SARfRIBUCK.- Le calVes et les d4sordres Internnst me tgne dans la vall6e de la
out pris une inteunMt t pat LEIGHTON.- Apuis !W Sarre, bien qu'un soul jou
cuibre A Cuba ajour'hui tre enfui avec 1700 dollars,: s4pare la population de :la da. :e Gouverement ayant re- deux jeune:s bandits out en- to du pltbiscite. Tout est fus~ de revenir sur la rvocaw ferm dans in coffre-fort de prt pour le vote. Les autotion de trois employs de: 6-::- :ia banque agricole locale le mobiles et les motocyclettes pital municipal, Pus les m& caissier Vanderlinden et son des forces internationales tidecin se sont mis en grve, assistante. A Ia decouverte du r'es des arme6es anglaises, itase solidarisant avee les inter- coup, il a fallui 10 minutes lienne, su&doise et hollandaines :t Ie .infirmires. uatre pour ouvrir le cofire et Iibi- se ont 6t4 r6parties sur tout: n&ldeins et pris d!une centa% rer les employes. le territoire sarrois de fagIon
ne d'autres personnes ont 4t4 A pouvoir intervenir rapide-"
arr4ks. j CHICAGO. - Ex posant ment au moindre trouble. Le
:x ' qu'ils out attrap6 la tubercu- Haut Commissariat a d4menFLEMINGTON.- Edward lose en travaillant sans mas- ti que 2.000 nazis allemnands se Reilly, 1'avocat de Haupt- ques au milieu de gaz d46lkt- .soient introduits dans la Sarmann, n'a pas paru ibranl, res, 11 ouvriers de la dillinois re pour repandre Ia terreur outre mesute par t14 dposi- Steel Corporation? out inten- parmi les adversaires du r6tion du Dr. Condonfsi d6fa- t6 A la compagnie des actions gime de Hitler. La frontibre vorable a son client. Au course en dommages intArts de est fermie a tous ceux qui ne de' ia deuxieme audience con- 25.000 dollars chacune. sont pas des votants qualifies. sacree - 'interrogatoire de nx, xxx
Condon, i lui a montre une 1 CHICAGO.-- Cette semai- BERLIN.- Pensant que
photographie et Jui a deman- ne a commeneb le jugement I'Allemiagne malgr6 son d6de s'il connaissait cette-per- ' de Louis Piquett, avocat et part de la S. D. N. 'a l'occasion sonne. Condon a r6pondu que ancien procureur public de de la limitation de ses armenon. 11 lui a demand si elle Chicago. 11 est accuse d'avoir ments, aiinerait a singer a la lui avait jamais rendu visite, fourni asile A John Dillinger Commission qui s'occupe de la Le timoin a dit aussi que non. alors qu'il 4tait recherche par Sarre, pour y defendre Lses in.Reillv s'est d4clar6 alors trbs Ia police, I'6t6 dernier, et d'a- tirits, la Grande Bretagne I'a


Charles Pi oulet


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Gandhi est en train de fire
. . . . . . .

l'expbrience de la parole sacrbe: < p Mrira par lepeeir Un colporteur nomnm6 Shamsunder, pro testant contre une nouvelle or ganisation desventes qui sup~ prime les revendeurs et autres inrtermdiaires, voulaik rlier Gandhi A sa cause, mais le Mahatma s'y refusa. Shamsunder s'est install devant sa porte, et a declare, malgr4 toutes les objurgations du Saint Homnme, qu'il n'absorbera aucun aliment tant jque Gandhi n'aura pas promis de. le soutenir. Depuis press d'une semaine que dure eette grave de la faim, le Mahatma est sur des charbons ardents.

FLEMINGTON,- La de6fense de Bruno Hauptmann, accuse du meurtre du fils de SLindbergh, coute 50.000 dollars, a annone Reilly, son principal defenseur. Hauptnmann ne paye, de cette somme, que la bagatelle de 2.900 dollars, le reste des frais etant i Ia charge des 4 avocats qui essayent de le sauver de la chaise lectrique.


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tres u s rIs ttm oig a o
de sympathie qui thr ont et manifesitis !'L c casibn tie Ia wort (1

Jacqzws-Marie randtil
1.,"'0",d"t"


c, frre. On'lc et cfu:Zitn eneba lAra .WeCt.on le 28 noeymfL brte d rni r f, rIemeor io-t b5en sin'rern n . 10Doyen du 'Tribunal (ivil deos Cayes. M. le 1put Etiennie Morailles, Al. L opold A. toumer et tous les autres am)is tant de ia Capital que dte la Prtwvince et les prient de croire 1 ,eu- profon de gratitude.Tihtu'o I"N2S )4c-'enxbre
. . . . . . .



REMfERCIEMIENTS
Les families Nau, Borthoumieux, Poisson, Hair, T&6& manque,Conils. L amile et au tres alIi&s, tr snsibles au marques de sympathie qu'eles ont rqeues A 1'occasign de a mort Ae leur reg'rettee VN.


it::tt::
A risthanes Jerthoumieux

urievve a leur affection, Ie et. Janvier courant, rumerdient bien sincrement le Pr4. ident do la R6pi-blique et ous les amis qui les ont aistees en cette occasion.
Elles-lea prient. en retour, de croire A leur profodo gratitude.


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cOmpA gme


















. . .



Dinnbrabs outrage
ette consacrs depuis deux
A PAIemage Hiivement merits au lendemain d& v6tuements dbeoncertants, cone fondaht.Ptph mbre et le permanent,. 1aecidentel et le ca.
pital, iH en est pen qui reste
rout
On nen saurait dire autant
d'une etude de M. Edmond Vermeil qui inaugure une non velle collection, d'une irrpro.
chable presentation. Ce petit livre; (1) condense on si Von veut en moins de deux cents pages, tires claire.
ment, l'evolution allemande
pendant plus de cent annees.
L'auteur considbre l'histoire politique en fonction de lhistoire sociale et explique celle-li par celle-ci: e'est la mel leure rnt.hode pour per eerile secret de la'ralit#. Corn me prIude, une i udi spensa ble eude psychologique du
peupieallemand.
LAI lemiand, dIt I auteur
est 6pris du labeur mthodi(J hux f no nree qu S
sent destire ar des ftudes specuaes. AuSsi :es partis sont-:s g;o a iuements intIrets, r lises mais nion Cotrnai res.
Or, Ia revolut ion industrielle du XIXe sisele qui s'accomplit en Allernagne suivant ur; rvthme preipit6 risquait d'opposer le unis aux autre>, violemmaent, ces groupements d'inttrets. Toute I'habileth des gouvernantS et en particulijer de Bismarck fut de5pensee a rechercher le compromnis perrnettant de atsfaire aux exigences des nouvelles classes sociates --- bourgeoisie emancipee et surtout proletariat-tout en mrnhageant les classes'


jusque 1k preponde'rantes: aristocrates et grands proprietaires. Ainsi, le Deuxiu me Reinc creation bismarc-


&I


tos sdeux a. de 'Haupt"


le B6 ftun
hiralt dodle; ire out Vgr1 Wmnn, le raii seur du Bibie t . 4& ~i lop' ' d :::.:: ': . .:: ::.~ :::'':: m t a f '
lments reprsetat Lindbergh, qul sertmt affk
purles mleaux onuire a e h-partirdedemain, 12


bsoti suein, fsione est aes rSS mi
bauete. Ereura a ie b -et .Janvi. quiet ouar deae povo- rd R n



q er la cte dnleia sytmi ,ib - - Y^
Le Troisirme Reich qui se
biti sur ses ruines S'est Enemt g�r-le" 0
press de rompre ave le comi-, promis et les liaisons occiden. Chasn a deFootbalt tales. II pretend operer dans son sein, la fusion des classes Samedi aprs-midi, a 4 hew dirigeantes d'autrefois, hobe- res, au Pare Leconte, match raux, grand patrons et ban- de 2ime cat6gorie entre L'Oquiers, avec les classes moyen- Am q et t lePetit Racing nes et le proleriat. Mais Club. peut-il amener des Mnlements Entre genrale: 0,20 ets. aussi divers a une synthese Voitures: 0,50 cts. vraiment organique et vivan- Diimanche apres-midi, a te - cette synth se dont le meme heure, grand match de drame de j'Allemagne est de ere catgorie entre L'Olym'avoir to fjours ignore? Au PAW et le Club Sportif Lousurplus, le national-socials.- veylrtue. me est-il sincere quand il dit Entrte gnerale: 0.p5 cts. qu'il ny aura plus ni patrons (C6t Est) tm ouvriers, mais dans Un 0,50 et& (Ctt Ouest avec
Reich vraiment uni, seule- place aux tribunes.) ment des tflfailleurs alle- Voitures: 0,50 ets. mands? xxx
On a bien le droit de se de- AVIS: La Federation a pari wander si, bn sficiant de la tag6 le Pare en deux parties: galvanisation due ai une d& C6t Est pour ceux-la qui ne tresse collective sans nom, de-- paieront que 25 centimes et tresse don't ils sont directe- C6te Onest avec place aux trinmnt responsables, les diri- bunes pour les personnes qui geants d'autrefois, tout en -aced eront on -ticket de 50 cenconsentant certains sacrifices, times. ne stemparent pas pour la con . e -,
duire, a leur grie et la faire servir a leurs fins, d'une jeu- VINS!
nesse ardente, mais d6pourvue (esprit politique, tandis que MAISON A.C. MCGUFFIE le reste du peuple, toujou-rs tiede, more et amorphe se Amateurs de bons Vi fi
laisse entrainer par un mou- favemert lont 1'61an est deve- tes un tour A la notlv . nu irresistible. : A. C. l No
On voit que pour M. Ed- ue du Ma 4 de tEtat
mond Vermeil le national-So- a cot6 des 10 Ghap~x.
V ous trouve ez les de
cialisme pourrait bien n'&tre ous trouveres les t 8e qu'une immense duperie. guerre c As--e uix dfiant touted concurrenguerre, c'est-i-dire vers une
catastrophe oP l'Allemagne , hitl6rienne sombrerait aus- .- , 4 ,
si sfurement que I'Allemagne wilhelminienne lors de la tourmente de 1914-1918.> >6


T. tr ( al).


(1) L'Allemagne du Con. grbs de Vienne a la rivolwution hitlrienne, par Edmond Vermeil, professeur a 'Universite de Strasbourg. Editions de Cluny, Paris.


'nfl,
LAQUIDE tABLTnIS, 9GUENTI,"
GOUTTES POUR LE NEZ
Arrte la malaria en 3 jourst, le riesenI jotr
les manx de e etes ntrgies
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6 Mrre* 1 La cibre pikee de CharlP: M&r6 12 PRIA CE JEAN avec Renee Heribel et Lucien Dalsaee < ET
-Henri Baudin dans
Le beau film SANS FAMILLE
2e Episode (4 Parties) Entr e: 0.


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TOUX, RUMiUM BRONCMtES, ENROUE
INFLUENZA, AFFECTIONS DES POiJM{:
PORT-A-PRIMNc7"t. HAILTI.i LRS PROVINeCZ


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fai p re e
Voici un pneu qui se passe de pr sentation en ts s Les gro s.e seudptures massires et saillanies de We de roulemernt, tenant fermement nla route, sont des syik les dqL euiti depuis les debuts de 'automobile. MAe an. cours des ames d'adversit e qui rvennet d c- e, ses venues on ddpass celles de tout aUtre A que4we fItz le prix.


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Le fai sz.sabe
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$ .S.BAseqd,:. ". le 19 S.M Cristrat, le 5
S.S.unaentua,1e5 3S. Aneon, 0le12:
s.S; utnlui eo19 S. Croistobal, le 26


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Jan., 198,


Man. 196, E~v., 1985i, F~v., 1935, Fly., 195, Mars 19 ,
Mars 1985, Mars 198$,
Mars 1986,


le14 Jan., e . 28 .Jan.,
S. e a Fv., .
leall Fiv., S 18 flv.,
It 1 Mars,. S le 11 Mars, le 17 Mars, le25 1Ars, le 31 Mars,


JAS. H, C. VAN REED,

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1981
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Laritre Spiciate

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Ift $rkasWdI4 tre vewndu ant . . . .x .- - - -- = .
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Con aise-vous exactement laace qu e ia Loterie Natio-. 1a11y d'Haiti occupe dans -P6conomie nationale? Vous imaginez-vous qu elle est un bastion avanee contre le ch6mage quis'tenid tie fa Que huit familles duPersonnel dependent de sqn'sort?
Qu'elle repartit ts subsides mensuels au.-euvres sui. vantes: Cr&heh de Port-auPrince. DaMnes de St-Francois de Sale /lort-au-Prince. Pupillexde St-Antoine, Port-auP rite, Association Corps En +eignant, Port-au-Prince, Societe Histoire et G6ographie d'Haiti, Port-au-Prince, Mut.ualite Scolaire du Bel-Air., Port-au-Prince, Crche de Port-de-Paix, Oeuvre , Jaemel, College N. D. d F. S. Cap-Haitien, Ecole des Frres de 'Instruction Chretienne, Cap-Haitien, Oeuvres Paroissiales de la Cure (de Plaisance, Fanfare Petit-Goa_Ve.


Que six cantines scolaires fonetionnent ak Port-au-Prince, sur son compte: qu'a ees
rw "'" " " r


w Ausi perso.ne nd vou.ra ar
-2 .des. / : ter cette be occasion offerte



� :.: . . . . ., . . P"t"-"r" M 'Iv * " . .
Spar A id Loiseau, pour
7 " glter, jusqu'i flyguey, Repu- blique Dominamie, unplrer ais dIet Iaz.son d o charge, la isratorde de cette Zele mnme prix en province. otteetr Ce.
S Pour cela, et srtout t afin de fgarantir a 'Weuritt des
sagers, LM Loiseau me a disposition do tus u qui violent profited d IparL du


cantines deux cents petite tion, ains pue son ouveau Caiaouches y trouvent QuotideI miorn 'ey-Partout, mkteur ienit u repas veconfortant Fa odernie roodte, en cir



Qu'une septime ei tine est i Chrysler Pace (efrarl.rleteentreneue aux C'es? nir eurs places A Favance,
Avez-vu peye aussi qu'el- t-us les jour-s de S h. A. M. it
]e pale un Sei-vice de Publici- 5 b. P. M. on do tel phonoi' te, un ty ice de Reclane, an au No, 341. Semvie dte Propagande: autat dentreprises haitiennes > tina arch e desquelies le SCEA AL
contribute? '~Jt4rg
Dpouiullez-vous de tout es- LA PRODUCTION
prit de parti-pris et vous comprendrez quelle constitue GRICOLE
une force et un prestige mational,
t l. ET DE LE SEIGNEI EX
Grice a ton t ce la, pourl VO T)LFNEGEK' ne li aceorlez-vu pas la R
p1)rleirene sutr es to series exo R
ues Snt uIt que pas un deI
ses coupons no se vend hours ,I aura . Port-de-Paix, le
d'Haiti. Ele se heurte, ail 22 janvberi, a 10 a. mn., un comout . 8au m]6_,I. s.,t6mati- Cmurs en Hue I 811v



guei patriotiqu e ne nous corn- district. ntando-t-il p I- de faire c n- Ies pesonnes qui e ent me g::te on sa faveur? TonvT e part a ce concurs
aiYtins et Etr-agers amis, oivent 6tre munies du certill E nfeat de fin d'tudes primaiayons une pensee du eceur
- vrti-ittiunucertinca decbon

pour a L-oterie Nationa e yes et un certicatue bond'ai noes meut'rs sign6 du Magis-


Money GOURGUE,


Direcleur.


t.t ommnn1nal t du Juge dte I'aix de la commune.
Pour tous renseignements ;. upermentaires, .'adlr&asTh? Monsieur Marcel Dcarnehs, Splnv\isour dt d1)i.tiiet de Port-dl e-Paix, on au ralnt dernind n u


ROYALE


DU CANADA


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[Thit'{-anu-I tilier, V " 1 ,iltit I,' �0I);.


EN HAITI, COMMEI PARTOUT A ILL ELU I ?S LES PNEUS ,GENERAL)1ONT CONQUIS LE MARCHE. "NEUS . I'UNE SECURITE INCOMPARABLE D' U N CONFORT VRAIMENT SUPERIEUR. LES VOITURES :OU CAMoNS EQUIPES AV t DES
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L.,e Va per rPAST ORE S \vy. t _ . p. �rtir. e.Je 10 Janvier 1985 direete rrnt pour Port-au-Prince o ii ost attend le 14 Janvier ~el5, en route le m4me jour a 4 heu'es P. M. poir Kin7
on Ja., Puerto Colombia, Car 'tagena et Cristobal C. ., premant fret, passagers -t mal4l. i bLe Vapeur MARTINIQUE !VoY. 133 S. B. tenant d eNW York via leos ports du Nrd s~s% attend a Port-atPrine I 13 anvie? 1985. en Voute t 4ge me .jour pour -Petit-Goave et les autres ports du- Sud.


W.E.BLES.,


PANAMA RAILROAD STEAMSHIP LINE,


LE" T URDU MONDE
S po nkessgire, dtwe rkhe pour
isfaire*assgoOn pour le voyLeas gen do condition wrenno pfuvent ;*o permoett.cepl .,olsec s'6porgnoe. et 'moindtras dp6ts ; grOce 0 i t6trt cornpos, enttflt deto n0owtuar Ue rwerve Inthressante, r6aoilsabte ou bosei.,


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rtout f artdapre dn . do tion d
ire; 1a m od -Iintdecondition te tre e ax sani -e Se-i peut en drer. AuSSi La em6moire a-ton dit con, conientril de aire quelqIues tre.fait dnmirablement intel-a petites mins a s point

net; mais perfeis aussi se Malette qui est President du montre galerie. Les psychologues out L'infatigable Matrel Dauinveut aune expression suggest p l en est le Manager 1I se tire pour designer es contre- ra, par es r4sultats, Ionarge faon d a pense que eon ment rcompens .de sos peides legons apprises par teur, Joseph-, com e noi Conseia la maniere de nos jackos; leir du C. S. L.,- si nouIs n'ee'est ce qu'lls ap peilent du tions pas dtjA dbsignis de la psittacisme>w etymologie dnoj ination de Membres de du mot come on s3en apper- La Gofninion Sportive. coit fait d'ailleurs allusion au Qu les dieux nous solent perroquet, en green, psittacos. propices, e'est sans manifn Chacun peut ret r uver dans nation que nous passerouns sa m6moire quetque example Pl ace Louverture, en rendant de ces rpartises parfaitement hommage disritement & Ceadesadapties>s dont effet co- hui dont"patronage nous est mique est irresistible et qu'i bien cher. faut mettre au compete du Pas trop de brunit autour du
psittacisme. C. S. L.
Mais qu'est-elle au juste uos ie re
cette caricature de la pensee ojo sn
sinon une manifestation en-, U sse
tre beaucoup d'autres de la P. DUSSEK.
tendance, hilas! si naturelle, .
an minhe effort Le geai qui Ingerieur.
s'avise un beau jour de s'af. . fubler sans plus de faPons des
plumes du paon n'a-t-il pas: FAL A dVIRGINIA BARD trouve la solution conomi- Il y aura grand Bal demain que, sinon Ia plus 6lgante. soir par 'orchestre Ne pouvant demander aux Jazz compose de Guignard,
bambi'ns de V'cole primaire ,Csar, etc. un continued effort de jug en Roche, p ropritaire
merit, l'on s'est vu orc6 do eVirginia Bar. faith tous
leur faire apprendre epar les priparatifs pour assurer ecur+ leurs legons; Von con- le suees de cette belle fte du vient en outre d'accorder les Populo. meilleures notes ceux qui . .
savent le mieux ces Ieons, a g
'est-h-dire qui peuvent les reproduire de memoire aussi fi Ce qui permet a Pierre Cadlementi que possible et dans .e d'avoir une si grande elienes termes setmes de leur ma- te, 'est que sa coupe a tusne nuels. Quelies que soient les lgance parfaite. critiqueS que l'on puisse for- Pierre Catles
muler, et qui ont te formu- rainier,
16es en feit. contre une telle TAngle des Rues du Centre 4t m ceme P6cole primaire on peut y voir cependant un mal n& 'r-. cessaire dans certains eas, par exenmple dans itude de la ta- Aa i
ble de multiplication, etc.
LA ofl labus devient plulubrit;td grave et lieu plus inquietant.sh rt


et -quand i'on voit. conserver dans Ia preparation aux A8 Se * . n4ss I
baecalaurat- eeS proceds a qi e h
pine aceptables pour le certificat d'ktudcs. L1 E S $ ses a


(4 suire) I
Iaymond DORET,


Liceneid ia-Lettres de Tintversite de Paris.
a .
-.


-ER VIL MIC'EL

rFT &BuTiFIEK

Notre ami Carl Brouard est pass . en nos bureau, pour nous -demander de r.tifier
+er " .:: . . . . . "i .i l i .
ine erreur glissd e tins Ia:: Iis
t4 dqs personnes qui ont or.gais des daa. A oc asion des derni *res f de fi d'an u&e0 en ce qui, concerne tout particulibtr4ment M. Bervil, IWichel qu eique Mvou4 ao Cnnnenent n'a reena anet-


amp qu'Al 4 .+t

ma IML.


et malle.
. .


BULLETIN Nb.

Lea cbargeurs sont yris de noter que le S. S cCRISTOi BAL* est attend a. Port-auPrince Haiti, venant de CrisStobal C:. Z le::Mereredi 16 Janvier 1985.
Les permis d'embarque. ment seront dilivres pour le frt A destination de NewYork et des Ports Europtens sur demande faite ' ce bureau.
Ce Steamer partira le mPme jour directement pour New-York prenant fret, malSle et passagers .

Ja. H. C. VAN REED,


4 pent (.#rat.


POMMADE 29
Grattelle, Demangeaison,
Eczrnma, Tiche-S.
Phie. St.-Frangois Dr. V. MATHURIN
GdRue P.-au-Pce.


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S - . . . . . . . .
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Ssuivre au coucher duii soleil
A u. . . 5 .d u: �ot.:'--.
u coached du soleil apres une journS de.
travail assidu on d exercise violent,. 1ord:.onana a plus refraichisante et un grand
ve .e White Horse Whisky k .:'eau.: de.ii
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M co anu dev sprtsmen dans son pays
dorigi, saio qu& '*raocr


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