Le Nouvelliste ( January 4, 1935 )

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Coinme cel a. rv.u. aul
Sgramm publi ., et se. on . .

t&nce, le P~ietd aRpublique entourt des hauts fonetionnrresl de son Cou vernemett reeevait le 31 D&cembet derrder les Corps Di-' plImatique et Consulare, Ile President du Tribunal de Cass-tion et les membres du Corps Judiciaire, .s. hautS grads dte a Garde d'Hati, Mgr4 I'Arehevque et le personnel du tiClerg, ls Direed I. uncime, ament Pr


. : . . . - :. :, : .,.

NOMINATION
. . .
'


Nous enregistrons avec plaisir, la nomination de M. Charles de Delva que nous avions announce avant mAme son installation, qui n'a eu lieu qu'hier matin.
Le Chef de lEtat a eu la mam heureuse en appelant a IPimportant poste de Directeur des Contributions,, un homme de Fint4grit et ade P6nergie de M. Charles de Del'va.
Nos neilleurs compliments.


te ur g "Z ":S d Na
fesionnel et du Seivice Na.9- re de lArchevch& Pus ce fut tiunal .de ia Production Agri- :e TeDeas entonn4 par Son cole;, 'Administrateur Gen&. Excellence Mgri. Le Gouaze, val des Portes, lp Corps Ensei- tandis qu'une salve de 21 gant, les Directeurs des Jour oups de canon, saluait ia naux, dfretGrande Date. La B 6ndiction Aux different discours, em- du Saint Sacrement cltura preints de eordialit.4 qui l Ia ceremonie. ftirent adresses, le President La sortie du President a FE r~pondit avec cet propos, glise se fit dans le meme ordre qfon lui cornWit qu'a son arrive ,
Dans sa r4ponse au discourse Pendant que le President prononce au tom de la Presse, fait une tourne en vile, la par M. Candelon.Rigaud, Di- foule envahit le Champ de re~rdfu M itar,le Prsi- Mars ou doit avoir lieu la dent Vincent ne manqua pas grand e Revue de a Garde d'exprimer ses sentiments sur d'Haiti. Un moment aprbsrar:e te du journalistequi peut, . rive le Prsident Vincent qui a-t-l i t, faire beaucoup de prend place ' la Loge officielbien isa ssi beeoup e dsTribunsie . La foule ne
Dmatn . Ip 'md e Cat- arhanda point s es applau-Dains Papres-midi, Une Gar--- dissements quand elle Avit dden-party' runissait au Pa. filer, I'air martial, les diff& lais de la Prbsidence de nom- rents corps de notre force pubreux reprtsentants de toutes blique. les couches sociales qui ve- (Cette revue fut un succes nalent apporter ' notre illus- pop yrle Gouvernement et pour tre chef leurs soxlaits de -bon- es hauts grades- de la Garde heur et de ~es dans ses en. dHaiti. Apres la revue le Pr-treprises"a I easiin duNot sident se rendit su Mau se e velfAn. .- . de Dessalines et Ption et deposa une gerbe de fleurs er.
XXX s'inclinant queques minutes&
. xxx
XxX XX X

A Minuit un coup de canon ans so ls ftes se
r6veillait la p'pulation dans poursuvalent au Champ de
Tar- MR de CocagneI , &
la jole, et les f&tes- recommen-I Mars: MAt de Coeagne, Cin eerent et durbrent jus u'h i'au mapopulsiare, Concert, Retrai rore de tan4 nouvefr. toe au flambeau. Au cours de
Das les Eiss, a Messe ces fates le Pr&4ident epruuDans. lei Egtli-.cs, la Me a -IP. eil ~ y P ri
dle 4 heares di matin., attirait vait tin reel plaisir A y part tine foule, e fid Is solicitant 'i-per, et faisalt le tour du
-n . ha"rn . de- n, acam'f 6
les graces du tr s haut pout -Chamt-de-Mars acclam6 fre1985. nttiquement pay une fouled en
xxx detire.
A huit heures du matin. le I e lendemain, 2 Janvier, le Fort National, par une salve Pr6sident de la R pubtque de 21 coups de canon, annon-! aceompagne de sa mason miga le 116me anniversaire de litaire a 6te deposed aux pieds notre Independance. A huit t des monuments de Toussaint heurs et demi., le Prsident et de Dessalines quelques fait son entre A ta Mdtropo-, flours en signe de veneration le, oPf il est requ par le Cure, pour les deux Grands Aeux. 1. Rtv, PreTP hiard. 11 prend C'est sous ces heureux auspiplace dans le Cheur, entour6 ces que nous avons franchi a des Sec. d'Etat, du Sous nouvelle ann6e. Secrbtaire d'Etat, du Chef L'atmosphere de joie deli
de son Cabinet particulier et rante qtu a marque ces deux de sa maison eivile ea militai- 9joemiers jours de 1'annee ure. Leos Archev4quos Le Goua- dique bien que le Peuple croit ze et Conan sont A leurs' fernement que le President trbnes respeetifs. 1renaient Vincent ne -reculevas pas degaliement place o -dans le vant les difficulty de sa peni chceur, les membres dui Corps ble et lourde t che et 3u'i Ia. Dinlnmatinu t Cnsulaire . potrsuivra ans dfaii ane


les-membres-des:. bureaux du S4nat et de1Ia Chambre des D6.--- 4
atbs, les miembas des Tribz naugx.le ?rifet le Magis ShopDay
'trat Communal at son i Conseil, contre Ie painw et d'autres Cors aConstitu.s - -.-.
PLe mess $tut dite par le R4v. Ruvez le Rham ieGorenginger, di la Con Aix Ro *
e-ation du .St. Esprit;. le .-. --.~* 'r
iermo dk eireonst4We est Lire en ke page to lte es I' fait nar 10 PZard Wio iieeritab wars e la Lhlnffle Noerkt&


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BuEtler, k 'm4moteut dans Un
pantalom &vnA la faneuse expression qu ss fareh

de la eorv&. tan.n home qi tr ker toujo r- le nwan Pamr tapagusnment original i. nstruct ion, i'orthle entre parnthbe, West pas son fort, 8 nest pas moinsu fort inteUtIent pour cela et je me permit de donner Lin coup de eanif (mon prew.4r) au Azeermt professionnel pour rapporter une historiette on i a dpoy6 ime ruse assz fine pour s Tfire po.r pXur compttmt en une matiehre on i tait parfaitement ignorant, Chef ade in GeTWarmerie, it recut un jour une comm-nication wispa1e du Secr6taire dt a Marine q u i i i demandait titte per o dmwi de
renseignemcnt d'prdre l.utot tcdnique sur !a R pabique d'Haiiti. 0 en navait pas encore ache' a Ie.a ture qu'll 'adressait a son Chef d'Etat-Majer qui 6 it akIrs 1e C#naral Alexander 0. WRliamns ,,Oh;' A!ex. vo'.ic:i quque chose qu remde o vls attrbutions. Vous :eat es asez eomp&tent pour r-poindre comnme i faut A ce paper R&Iigez-moi le rapport, ,t faivtel dac&tylographier pr votre seeertai. re. En attendant j fzads un tour des postes h du parternent. Ne m'&ttendez p as ear jo stir d navoir


Pour les Haitiens, e'est New York, la Ville formnidablk, et Paris la Ville agr'fable. Pourtaid la premiere Vile au A)onde tant par sa grandeur et sa population c'est Low-. dres; elleest aussi la premie're patr la finance, et les affai, res en general.- Les Haitiens doi ent suivre ce qui se paseo. dans ee Grand Pays. - C'ee pour cete raison que nous ditachons dWune ltire pr iree que notre Di)recteur a &rite i son ami Henri Elie narrant brivcement ei i bdtons roa-r. pui; le recines feles d la Court de St. James lors du nmriage de la Pric Marina
aver lt Prince George, les puseages auvant a que nous inlitulons: Viion RosRvae s et Ma rage de Prince.
Le pluas fonne de cete in.
discr#i on seiratrhoire Directeur, qui croit seun tmenat donner s s impression. a 8on am Henri lie, ex-Lordonnien,au temps - d'ag:eurs & inain de sa ieunease. Voici ce pas sage :


. .


ge est une idylle d'amour, ea que ni 'intrigue poitique, ni les considerations de Dynaltie ou de Cour n'y (ot joui aueun r6le.
--- C'est parce que le Prince George quoique quatriemne fits du Roi, peut sueelder h sn pere; puisque le Prince de Galles n'a pas Fair de vouloir r& gner, ni le Due d'York, ni le Due de Gloucester.
Dans un tel 6tat d'esprlt e t avec deg supposition de la sort.e, on conoit les commrentaires qui soulignaient Pas'pect special de ce Mariage.
La supposition "a plus Togique L mon avis, c'est, que t1 Prncesse Marina par sa beaut et sa grce, est d'une popularity exceptionnelle, de meme que lte Duc de Kent, et qu'ensuite La ('our d'Angleterre, qjui est le sanetuaire des traitions Royales Brit.anniques, a voulu profittr d est" te occasion pour diplyer ses splendeurs, restreintes depua Aott 1914.-La premiere ftre ,n l'honneur de ]a Princes.e Marina fut donnb an Palai d Bur gingham par Je Roi et Ia Rein- d'An gietf.v'e, I 3ardi :7 N ovori et., is 9 ]cu m 1 .i. SCO-i }P.
C est 1. . bord .( Arlainm qui invite d'ordre d Leurs Majestes (Commanded by their Majesties).- Au ba de Invitation, il est spbelf4 le costume qu'n doit port-ter. (Ce soir-l, il n'y avait rien & fair, c'Ytait ]a culotte court et les us dIe soie noire (Knee B ec - ". -A-.ve c .t I Vita tiol , on .e .it Une carte nim:)o'(the qltoll ',u.s CIumP1 exactdrfent heuie a Ilaquetille vou (devez VU- trlouverY & ntrei .nt.ieure du Palas. Puis une SecCnde. cart bari-, c t " souhe qui Vou- -'ti_.qt par rinUeIIe Ibarrire voie P t& o Uil va & entrer dans la Cour clu Palais, et devant quelle rorte oile duir s'arreter.-- Au miIieu de ValIIe d'entr&. un ofticier )rend tdu cha utfotw cette deuxime carte, garcel e tuIon et remet Fautre par"e--La carte tI . . ret numroth est remise en entrant A Pint-


rieur dip Palais.
On passe dans deis couloirs tree's itroits et asse longs, avant d'arriver au milieu du Palais ou se trouvent les eca. hers monumentaux. Po u r .quon neo soit pas. qteni de prendre une mauvaige direction, des valets et larbins 'a perruques lourdes, sans mot dire, vous indiquent le chemin a prendre par un mouvement de le s hallebarde. On arrive aussi aux e.ealrsf monumentaux, sous des lust res incom parables, rnarchanl , les plus bhe4ux tapis d'Orent. Par le mouvement de la hallebarde du larbin, on sait quel

(Voir suite en 4e pae)


_Pas y -chamr t.i a Le basard a voult que jare fat mPun des apports les pla rie a Londres quauee so lumineux que jmaie vu erire par i maines avant luverture (1i Gtrhral Williams, an documnit Parlement Anai- , et la crelement bien bti. A ue het Ibration du o.ariage du oDle Williarms s'en altla. me laissant seal de ent t . LI u Ta i An.eat Qtuwrtivr G6nrul pour fair I trr., iVf l P C.-l e411 - Muagner a piace a Butder t !'expeier. na, de Grce.celi-ci se preenta $tune hee et .oiia exactc 11 -1nt inY1 n 1 demie et tant a&sur# que son ue la Ca nl'e (" U RtoumeChef d'Etat-Maorw4tait rent che Uni n'avait )aS v. de fCUes iH, il se mit. 5 recopier Ne rapport h ROyaIes a -ssi s .mptutnses -t la maim. faio4ant de ci de l qucae- aussi inoats. En eff. raturc-., maiS on conservant tex- epul en 191 tuellement !a r6dactiomn quil avait (iour de St. Jams av.it att .souA les yeux. 'i y mit b-,en dux nue pletOU. do ISe gr"mheaires, aj>ut tt pt tscrifIt.u diiOSPes (. .m.,es, 1 " a fa-~c ----- --.-------itr ~g [ . {tf- ,. .(' .; . .-rour (xpliquar qui ativait1r6dg ;a ' . p. Ptfit 11
pRe._t a m ha.: ,-.rn i a t met 1 u .u ; .ur . .tO S (' .
0o25 AIn pp9 W O ir' cs:aig a- tI> I ij I e-m" non. s:nont a tuAt tO.L-i ies'.ge-i 4.- mis 1 & in t*ret (ii"o"4i4a i. , v, le
t' rigt t: ;" " ' v"al,;:t .i i ,.t-: tli l ('t.
lO cus, >:. c.e , in: it-il, --n putU .t n , . e . eI_ t (> . partal. r. prit ao.1. voitu- cot n _ (1n1 lT a ,. t : " :. . .: . anuc moi A la ca]in: u gresse. Janu i Fitine ne se vit en Tp)-a 1 -e:it,. v _ i Duc o. sKion d'Vi- ted ,e qtuntit do t ib. Kent et a a Prince1s1e ,in
Jparie qu patr dV ct jour-, de comIpre eC malaive d. vInt i opimon a' , 1n avahit au i D par- -- . t n. . . 1. i. Se tmont tdo at .Marine tur k valur des fastes do }adi.iatellectu"t: dt- Dutol z e ai cir .omme I e Xl.uenV e m11 en1tt .1 g- P t Ia ire . - -- 4 ij --K-. e Peupe. An lai onut a-pp
cia trk peu dO tPzps prP d'unt te Le M 'arile on ent} .)vsa.-avain -ement tfoudroyanrt. i me tout speiai et tun ap-para (qui iv:lise s-ule!ent e.
MAINO. celul du jubiIe de la Rein; Victoria en 1887, tout un cha-C---n------ eun se demandait pourqui ?
Ce Y'est pas seulement en
LE NOUVEAU }aiti que Vimagination )opulaire se donne libre course et.
(fWEF DU PROTOCOLE fait mille suppositions. Par-o tout dans le Monde il. en et C'est n6tre ami Turenne ainsi.- Devant 1'ampleur des,
es oteaW en. .--"e" - �. out.
Carrl, one le Prsident de ja pr6paratifs du pariage, tout Rpublioue a choisi pour rem- un ehacun atsi batissalt sa plit4les d6licates functions de petite srupposition : Chef du Protocole; -.-- Cst qpe leR fsdu ROi.
Ctt nomintion est fen. po'tte le nom deo, son pet, i! ralement bien aecuellHlie, a' & le Pn.ceO g' , vec raison, ear ,4a: ses qualh est paree qu'i pouse
d'homme idu monde Turenne une Princesse alor-s cue les a.uCari joint celles d'un ami lo- trees enfant; du Voi GeorgesN yal et .4vou. n'ot pas onus d.e Pri.cesNous lui yenouvelons os so on. de Prcee.
tPlus sincher*eompiments. C'est ptree quUe Ce manian


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.ident . Commission la ft Quterwma at4"
(',''a *M Rault; eI aif-qul ce -, laa t' ,
glais de Montra4 M;. St et partout.
SnI.s::; tr:isim:: 6tait ir. :.ft:l es imitation. I rne Wilton .des des diplmatiques angais, et le qua* , ."
tridme president, actuelle< ment en. fnctions, eat M. ep ndant offert une loyal i Knox, haut fonctionai bri- collaboration : tannique, romputi itoutes les - Je vots hais, lui repo embebes du m4tier et qui, de dit le maitre de forges. puis prIs de dix ats, a su me- --Je vous comprends, r ner . Ie tAche dtlieate avec cal partit le president, mala
a: cotirae. Quand on ae name pas quton me le dise. J promine tdns. Sarrebruck, suis un gentleman. ccapitale>> de la Surre, on va Et M. Roeehling se l'est V de 'toiite h4cessit6 vers le chfi- nu pour dit. Mais M. Knox .teau majestueux, place~ sur connu la puissance de son ad in e eminence et o jadis veu- versaire qui n'a cess- de It rent fes officers frangais, les susciter les plus grosses diff nces d Nassaucultis. Une a une, M. Knox
ries de Nassau-Sarrecre sans va
ruck. C'est la quie l'minent d es vaincre, sans vain president Knox retoit ses vi- mots, sans cats, avec une ti siteurs avec une courtoisie at- nacit4 qui a arrach a son ar tentive, tagoniste ces mots:
Dans une pose famiire, - elui-I est trs fort! E carre dans son fauteuil, les or v vu
mains croisees sur la poitri- dunox a point drue moral. Car ne, le president de la Commis- Knox a pour instrument d'at torit une drisoirepolied
sion de la Sarre vous 6eoute, toith une d6risoire police patiemment, longuetnent, ses mie hommes, q~u.-e trahi yeux clairs manifestant par sent, et pour fonctionnaire eur vivacity intermittente des gens qui l'espionnent, lu Svolent au besoin ses dossiers qu'il suit parfaitement votre raisonnemenit ou votre expos, enfin des juges qui rendent d
C'est sans doute, dans am plus la justice en s'inspiran
me attitude e t avec la mime des mots d'ordre de la propa gani qu pid gande du docteur Goebbels.
onganimit quee prcommissien I est toutefois certain qu
Knox dirge a commission ]a collaboration de M. Rhode Jdont ii a Ia presidence. Norm un Suedois, designed, ommi me par ia Societe des Nations, un Sudois, d M. Knox a oublie, depuis qu'il president de la Commissio: Sdu plIbiscite- est parfaite est h Sarrebruck, qu'it es ci- ment loyale. Et les deux horn toyen de I'Empire britanni- mes s'efforceront de rendre I
q:scrutin correct.
--- Je me suis faith une ame scruin corrc.
Je me suis faith tne ame - Knox et moi, nous sorm vraiment international, con- f -- Knox et moi, ns so e-til marfoiss des s intutres, assuait r 1 cemment M. Ihode" A l'un d( cuteurl qui s'dtonnent de sa mment M Rhod ln
re6tsite et surtout de son inal- nos confr t.rable 6galite d'esprit. La seule question de l'ordr,
sel nr (Ir as nd


xxx


CarM. Knox a quatre collaborateurs en la personne du dmt&gu&. sarrois (M. Skossmann), idu delegue' frangais S.M. Moize, utin diplomate luii aussi de premier rang, ancien universitaire .e collaborateur
- di president Rault), du del. --c:-be g,.- ot--du----d-61 -" tc
d-n-&beige atdu dI6gu&ktdae cos-lovaque. 11 sagit done pour lui, A chaque nouvelle question de convaincre ces quatre
Srep.r4septants dont les ((onsi.gnes variant selon les positions.,respectives. prises par - lurs gouvernements. La ta.
che essentielle de M. Knox qui a vt. ses pouvoirs confirm;r a, u;: dbut de cette annee .par la Soei6ti des Nations-:a &te .le maintien de l'ordre -en Sarre - redoutable probl&.me qui se posa, dBs 1927, apres .l'vacuation des troupes franSgaises ui avaient jusque-l
- . assre ia-seeurit6 de la population du bassin houiller.
-A cette thche ot it a s mon
:trer une fermet6 exemplaire, M. Knox s.'est naturellement a quis de solides ennemis, au premier -rang desquels- it faut placer le grand industrial sart Srois-Roechling, A 'qui it avait


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C'est pourquoi dans ses communications et demandes a ]a Soucit -des Nations, M. Knox rcl amv I renforcement du corps de police mis A sa disposition par un recrutement immediate d'elements Ptrangers au territoire. Ces Iments pourraient etre choisis d'abord .dans les pays memrnbres de Ia SocietE4des Nations ou la langue allemande est repandue.
- It me faut une police neutre!
Tel est le theme des suggeseons de M. Knox, qu'au demeurant cette question depasse et qu'il a appartenu A ]a Society des Nations de tran-


Devenu la ab4te noiret de la presse allemande - et malheureusement d'urre partie de la presse anglaise, le prsident de la Commission de gouvernement de la Sarre sait qu'il joue une rude partie st que, dans le cas de desordres, c'est lui qui serait desavoud. Mais cet impassible fonctionnaire, eot honnete homme n'en
(ok sutsen ame page)


feyreux qui comme Ulysse afait un beau voyage, O comme ::eelui-l qi bonquit A to0son Et puis est retourne plein 'tge et de raison vivre ontre ses parents le .re~ de son e. IV.ais, plus haureux en:ore hui qui come le Dr. DAY
- .iddouvert d e Quhuys lea J ere de ia flore Ef pudis ans un dosage habie a donine la goutte d'or Quj'' supple A i T t- Ptorsa Day.
�1 D O.*-: o . . : . . : -: . " . . . :.:.:: . ; ."!:. :. ir . . . � . . . ,


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DE:.
4chel- Chancelier du Reich Adolf
Mars Hitler a exhort tons les alemoigelle, comment tu Pis fureur rnier hal mondain, sans le savoir. Tu les conversations substiles.
rie-s. e comprend blen, jen'acheite: chine Unis et imprimes, mes crepe res soieries, mes organdys gauffre. eries ainsi que ,mes differentes Lviologne, Potgre, etc. que chez : rON 1.SABA & Co.
aa cousine a conquis 1a beaut par s Rayos de Finesses de la maison o., allons done faire nos emplette; it de Tismss Saba on so rend chic, et me sourira.
c'est une idde. puisqu'il estun p u I


disparition tu beta. S blant d'&oUo, e t :le ren pliS de larm es, ele

at son tkmnoignag 'aest n4 par Itdentlflcatiou chemise dbehirke et tic sang qui fut trouveSm davre de enfant.- . Lindbergh,.il ados& e e . directees et.:- condi aussi praises qqe poss a udmis qu'il avait ente bruit comparable - cehl s par la rupture d'une le dan-s la nmilt du let




.C'est 6patant, Mad parmi los invit s di dei etais Ie sujet de toutes
Ah, ma Tante Chb
Mes Or&pes de Bamboo et aut mes has et Hug
tions; Eau de
ANT
Maman, puisque n ses toilettes achet6es de: ANTON L SABA & C( chez Saba. En s'habillar sarement le Bhonheur .Ma fille Chrie, ;a,


P P~a WW4.~Y#44


contntemnt de eure de 'et sat m~re, la prnj seMisanp quiat Urs A 1Ptran- ne, femmae dlivorete d~u Roil
geU I*16s a une rkw Carol, sont arriv~s jeudi k
nion b644)der id parti, et Plorentce veaant de Ple Brioa~ affrm! quil n'y a aucun ni, dans IAdriatique, oii its
change nt pe tive .4taient.al.6s en vacances.
. . . . .









dans le parti ou dansaegu ,
. . . . .
_. . . . . . . . . . . . . . . . YN. . .
s.; - - - - , . . . . . . . . . . .:,ii: i u , l
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verneme t 11 a menace d'ex. I PARIS,- La Ministre des. eutin somrnaire s enneis Affaires Etrangres Pierre.
di Reich qui. recourent .t de Lava! eat parti paree chemmin teis moveu ~ios .advrsai- de. for pour Rome, jeudi. I va
res, a - i dit vent qu'il est conf&rer avee Ie PEmier Musfatal do p&cu r sur lIa tra- s olini axu sujet d'une entente. ditionnelle 4su ion alleman- par laquelle la France et 1'1de.is ldoilvent;savoir qu'ils -talie doivent garantir Vindouxt affaire, noW pas . un soul pendance autrichienne. d'entre nous, Sais 6 toute la
nation allemande, unie centre xx X
eux pour adfense de son NOUVELLE ORLEANS.
honneur, deapaxix et d ses .-. Le Snateur Huey Long a
intrts vitaux. Leur mot annoned que L1niversitC de d'ordre, t'est que les menson- Louisiane a decouvert uri traige se rdpandent plus vite que tement du cancer et qIu'ells a la vrit. Aushi mentent-ils achetA 100.000 dollars une sta-n toujours, avee espoir qu'iI en tion de radiodiffusion qui iui restera toujours quelque cho- servira a le faire connaitre au se.Ces menteurs _&trangersont monde entier. II n'a pas dontoujours fix4 pr~matur4menv ni de details sr la dieouverla date de .effondrement de to, mais a dit qu'il en pareI'Aliemagne. Qu'ils a placent ra au Sthat lundi. au 14 Janvier, pour ne pas s'exposer au dimenti du p- ORANGE, Conn. Franbiscite de laSarre, ou au 15 klin Roosevelt jr., ills du PrJanvier, cela ne.peut les aider sident, a &td ineulpP en cette beaucoup. car ii faut que nos ' ville pour exces de vitesse et .fres, tireux de retourner s ora jug samedi,
a Ia mdre-patrie apres 15 ans
de couageuse distance, sa- LA HAVANE.-- Los ichent quils reviennent a es fidlesa Geuvernement. e mmunautndie en df aut i a eont annonce I arrestationee})Cthtt.U Aucunene 3ifficultte









forte centre v di, de 12 homes impliqu
ra pus foreque notre on- e dans n compot tenant ren t, notre foi, notre unmn o verser e r6gime de Mendieta noee collaboration.t msare ro n u sont
reteatoi rsqeqe hv ei'r t t arecna Itea


XNIX
CITE VATICANE.- Un
ordre de police a interdit aux automobilistes de faire usage de leurs trompes dans los limites de la Cite Vaticane sous peine d'amende. Une interdiction analogue a 4t6 raise en vigueur a Rome ii y a que1que ternmps.


4.,-.-


sa tte. A la tdte du mouvement seo trouvait, d'aprs eux, Antonio Guiteras?, ministre sous la preisidence de Grau San Martin, On Ic recherche ~ Cuba, mais on croit qu-il s'est enfui aux Etats-lUTnis. Les !eaders politiques et ouvriers you lent faire le front commun avec les 6tudiants contre le President Mendieta.


- ,aasb~sll~a~~as~k~is~frl nu an~MJ~Cwfl


PASFIT


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SROME.Wa ranepetfVI.
tale content 6largfr lepae. to des quatre pulsanesR et y fare adhIrer ta RusiMe ainut que la Petite Entente. Musuoi mi considre ce project comme Pun desImllieurs moyon d'assurer une paix permanent te t I'Eutope au mots your une priode de 10 an6, e&det a ce sujet qu'll va confn6er k la fin do cette semaie ,ee he Minlstre ies Affaires Et
gbres frangals Pierre L3avI Les quatre puissances qul ot dejt sign le pacts sont to Grande Bretagne, Ia Fra.nce, 1PAllemagne met italIe.
Xxx
MADRID. - Le Comit* permanent du parlentnt a 4& cide Jeudi de naltenir Ia kd martiale sur tout le tcrritore espagnol pour une nouvelIe p0 riode d'un mois. Elle est en s4gueur deputs Ia dernikre v4volution esialiste,
PAR IS.--On annoney th mort, 1 76 ans, dtEmile MoralJ ancien president de la FMkl& ration des Eglises proteatan tes franqaises.


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d CaoT1 t ll~~u dant aux entres, ab libre: Le Roi et 1a I partr : l'extremit. sp -e t+i x l e
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benDtzeou un programme6omi
qued'industrie et d'agriculintres. 1I ture a excuter. n'en etait enters point alas. Leurs portespiaseries, feuiles n coteaen pasepar eaux, les Ils.affabhssament e ay par
iees, l .ignorance.
" dco. La politique de compression.:: Ses pla- finanCile de la 2me legiasahacun de' ture, ayantbalaye-les eneast le ong swes, les economies de chaeun lons-co" au profit de quelques-uns) a
ausenL ete mauvaise,A de .parei.les.
nt - gens ne peuvent point mriter t.en- de la patnie, malgre' les lauunitorme .
lnsirn riers. qu on leur. a si triste les fem- , s
Sent tressw.6s On est all jus; ut des o qu'a recommander eette ptI- 1 trained, et 1 che de bi- tique, a jamais nefaste, aux ibres des jeunes generations et '. leur
uresd. - dire de marcher sur les traces leurs dI.*4 r&ieues de ceux qui les pr $wnisaint reeieuses. --� tA la suite de tous ees tripo.:
Stages et de ces dvastations, conversqa-w-eN >ux cest Ie Gouvernement de Nissage . I.on par- a disparu. Arrive Michel Do.- FO mingue. Ce Gouvernement at-il ete aussi mauvais comme �men.t, seaa se e on le repre'sentre, en conside-.
rs e lais- rant I'esprit mesquin de 1'po: Que? ,+
rrespon- Le retrait tait neessaire solunent.
ine n pour ramener la stability Viennent dans les affaires. 11 fallait un
la Reine etaldi argent comme monet 1t Re-- , naie nationale. Pour arriver i_.et a eette tin, on devait prendre et
Sale temps necessaire et retraiKS.n auI ter convenablement. On auvY ie . u s. . .9
t tu l rait agi pinquement; Haiti e pe- n alurait point connu tant da. c CasImes ventures.
S' 4r- Pendant I e; quelques mois t sder- -.
zg_. Son i a dur5 s Ie Gouvernement
Sde Michel Domingue 'ordire ie ias a commene4 renaitrer les
urquo It I Anglais. vcls des rues ont eonplet-1UU et .me ctse& La bours ot Ia
_.< ds m iu, qu' les 1o.yageurs. -ea G con- * de . e t: sur leu, .passa . - dispat tous lVes ' S ae.n.a- -Iace! :
~raxssakenz ckeji. Ces violence;
excessives. ess desordres e t, en m . 0. i . v - . .
ourie. a. tsient multinplies avec penqi o. on dant le despotisme et la tyV 11 ranme du. Parlement pour e sau s arreter sous Michel Domin- j
u saluent: -:. " . . . .,,S init&guex puV reprendre avec plus g.- j>.: ,e force pendant Io Gouverde l at nement de Boisrond Canal riverence II faut que Ia nation sace . 'n +. i aujourd u si le Gouvernenutexi}on : . ; ". . .
ain't Sa. rment de phsiomnomie qt l
des: r :N, - - - ge- . " e -
pa" ts a-a i. y a un fait que nul te Sp t peut. pas dmentir Ia grande

I misre qui savissait avee Nis-


NAE sage S'aget tait plus ou moins '
amelore, I
S Y a-t-il eu une the sousiD I
�" minguae .' .!.
ran Ces questions merttent r&Sponses pour solutionner hen j " ::ft des problem Doiingue-.Rameau. sont-ils :pluto t vica-. ursot i mes d'une
re ompTd' e arila dorie en ser-1
1R .[:1- . . . % . " . . . : , :. ". . . . :.I . . .
. . SA '. @ .o t n . . . . . . . 1 .

inouslavons tlelib6. raliamefti n'est n poit propre au
.,., tem-ramen an O earactreit
uain.~.non encore form4
dupeuplehaitien.aitioest
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tn _ _le


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mae-iuee q .l avnitac.he . . Jetta Go.d
tYe d men fereErntstj.'. Endra e .


n;.':-i "::::~ abven r::.au. ." . V rno-. ":. -:'. .-.-.:., . !
mempresse e vous anne . .er
que,1vIesdnersrenseigne8 here5


q ut I e IUI . .r.i.e. .i.l. . . . .
mentque4 aireusdemes pan: Henri gaudin rets, e vao ns retire toute an-- dans
torisation de pouuite centre Le bean film
. sus it se. SANS FAMILLE
Mon frheire Ernest Jean a- Te. Episode (4 parties)
vait proed# t la vente .e la IET. mason pour subvenir aux Suzy Vernon
frais mortuaries de ma mere, et
et pour cov t certaines pe- Willy Fritsh
tites dettes.qu'ele avait con- daIs
tractkes de son Vivant, LA DERNIERE VALSE
-8( Parties)


Cordialement vbtre


Entr~e 0.50


S . . .
. . . . . . . . . . . . _


AnitaJEAN


mrrc-.w-r t )'wrrttr


TROCADERO


Ce soir grand diner dansant. Entric dear gourde&
Samedi grand bal avec Forehestre cSonorax. Cbitroi gmzrdes. Dimanehe grand th-dansant pour feter les Rois; cornme I'ann6e dernilre, la direction offriraA ses clients le gateau surprise, Entr6e dea ugourdes.
T0 "-1 4'"""


REMERCIFMEN TS


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Vefee14hA-ri
Ils ies priest de trouver ilei leurs meilleurs ,entiments de reconnaissance.
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Fv., Fev.,
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Mars, Mars,
Mars, Mars, Mars,


JAS. H. C. VAN REED,


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K~kQ772 z- - ' ne unte enspation pu accuse
de son beau vsagt .grav.
dOkt 4 " A Ainsi M. Knox aura-tdl we
eSpeiateZ 7 ' " lontairement rbalis6 le type
mime dui grand fonetionnaf'
enant les ftnia de 1ivrmnson Ce sa char ge, re ipternationalyespbee now venda ase mntnw prix en gtrovinre. ,velle. et telle qu'avait pu Ia
-'-' - .-- -- . que fut Woodrow Wilson. O
&TAVK AUAl i 7 e ot :'ka eepton






NlAIIU0NAL . All.u'n"r&det celn i
?mie Drummond, qui rest
excitement cantines dou1X cents petites plus de deux lustres la t8 erie Natio- touches v trouvent Qutidlen t dul seeritariat goAimal de s dans. I'. nement un repas vecontovtant la Socitt des NationS Mais ?1 et one bieuwdes familles voisi- Sir Erie n'avait quo des fonxe. I V A .d. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . i- U. -. . . �. . . .-. . . . a- m : : . . . . .
. . . . n U . i!: i!! J!} :711 :;;; 7 !7; : 111.!: ! . i .N lsgk.g 7! . .;:! .)',':711 . 7 ! p ] !i .
T O ::._-n i:i = : :7 iiii:g r i ;i!':iii i~~i i? ::ii: i=i:iit! i~ ~ ~~ii~ i i!!i iii:i


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!:i:,:iii i~ l:; : iti: ."1 | tie'i~i: j: - e -Tv it ':C : X p i n e

en dans f.-.1 f-Jimet ras o rSt .a .oeit .de.Nation.
tet nd iends mile tos- i rellaat u esfre


VoUs s imaginez-vous qu elle est un bastion avanc6 contre le chbmage qui s'tend de faqon alarmante?
Avez-vous calcule que Ies Douze Mille Gourdes de son ler Gros Lot reprisentent le prix d'un pignon sur rue?
Savez-vous que Deux Cents peres ou soutiens de famille gagnent Icur vie i vendre ses Billets?
Que huit families du Personnel d4pendentde son sort?
Qu'elle repartit des subsides mensuels aux Oeuvres sui. vantes: Crbche de Port-auPrince, Dames de St-Franqois de Sales, Port-au.Prince, PupiIle de St-Antoine, Port-aurince, Association Corps En seignant, Port-au-Prince, Soci4t" Histoire et G6ographie d'Haiti, Port-au-Prince, Mutualit6 Scolaire du Bel-Air. SPort-au-Prince, Crche de Port-de-Paix, Oeuvre <>, Jaeme], Colle'ge N. D. du F. S., Cap-Haitien, Ecole des Frtres de Instruction Chretienne, Cap-Haitien, Oeuvres Paroissiales de la Cure dc Nsisance, lnfare Petit-Goave.


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nes paUVr(, y 6nyoient, discletement, chercher un peu de noulrriture?
Qu'une septilme cantine est entretenuel aux Cayes?
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-t cUn S>e rvice de 'eclame, unv Service de Piopagande: autant dentreprises haitiennes a la marche desquelles elle contribue ?
DpouiIIez-vous die tout esprit de parti-pris et vous compreondrez qu'efle constitue une force et un prestige national,
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leurs au mepris systematiquement organize. N otre orguel pCtr*uite n nou.s commande-t-ih pas de faire Ie meLe geste en sa faveur'>
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PANAMA RAILJ4D STEAMSHIP LINE,


Apg-A h n
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DESAUJOV HU-. VENEZ C


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INCENDIE


Hier soir, a Thor,. le feu a dclatP dans une maisonnette qui a "t" entiUrement consumee avant I'arrivee des Pormpiers.


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vua par. Le: Matin,pled d'Feure).


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(matriax i


e 'a ww V mvwvvwAntr * ouvr de relvement nation, a qepoursuit Ie Chef de

)Nous li renouvelons nos souhazits de prosp6rtk et de, ~sueeks continut


CARLO LITEN A HAITIANA

Lerecital que Carlo Liten devait donner " Haitiana le jeudi 3 janvier a 4td remis au samedi 5 Janvier a 5 heures de 1aprbs-midi, Au programme, Andromaque (Fureurs d'O reste) de Racine, des Fables de La Fontaine, la Cathedrale de Reims, de Verhaeren, etc., etc. Prix populaires de I gourde pour les Loges et de 0,50 ets. pour les Fauteuils. e - - ' = - - :










SOMMAIRE DU DERNIER NUMERO DE L'A LLIANCE

Bonne Annie! Bonne Annie. Le Colonel CalixtQ h
Pantalbon Guilbaud et le chomage.
Lue Jn. Baptiste. Loterie Nationale, Femina.
Carnet de la mne de famille. Podsies. Feuiles et RevesI Seigneur, lorsque.viendra Hier et Avant--Hier. Le Balcon.
Chronique de Petion-Ville. Indications m6teorologiques. , . e


vu par PaAction Nationaie, qui pourtant lui demande ad'achevera.


GRA VE COLLISION
Une grave collision entre les autos Nos., 3,224 et 3.304 a eu lieu aujourdhui vers une heure de l'aprts-midi ' 'angle des rues du Peuple et des Miracles en face du dipSt Nazon,
L'auto 3.224 a 4t6 renvers~e les quatre roues en 'air Les deux passagers ont eu ]a vie sauve miraculeusement. En attendant que les responsabilit6s soient fixes, les chauffeurs ont 6td acheminds a la Gendarmerie.


. . . . . . . . . . . . .
r .ii.!i. I


,Baleine parfumne. dents
brillantes avec le
COLGATE
VJOULRZ.VOUS des dcnts aTanVches et briantes . .et Issurance qutowatre baleine est pa U mrine' Alors, employez 1 Colgate,
Le Colgate netf oie les dents par. faitement-chque fissurechaque crevasse. n 1>s embeiltt parce qu'il comment ta m&rnme poodre de poiissagc que'-Its deutisies cmplodent- La saveur du Colgate est d'icicusement rafraichissam e - - tk laisse la bouche pure et parfumee. ^


,.:_


ae a j in

e - . _r :++.- .::+


Voici un pneu qui se passe de entation rentfe Les grosses sculptures masive saillantes de roulement, tenant fermenenta route, sOnt de4 le de iacurite depuis les dbuts aL'auuto'moe I MAfne au cours des an es d'adrsitl qui .EN g' ecouler, ses renes ont dtpass c es de td ua qnelqu'cn fl le pritx.


r, - f f-- l a - - . . I, .- _ - .


Y/cI


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7ja Biere COURONNE donne n meleur got ala'nourriture-nous en buvons tous les jours"


Le simple, repas devient un festin et les aliments les mndleurs ont encore un meilleur goOt accompagn6s de que1iques verres tentants de BiCre Couronne.
Come son go6t agrbable qui rappeli c lui do Is- oix, i guise 'app tit! Cost fge de is bire qui en esat cause. Car, tandis que les mois skecoulent, los tonneaux dan les cave rtif igrs de la Couronno d veloppent une maturatioo mno saveur qui donnent on gofit nouveau i tout adment.
i plupurt dOs gna sieres to bikre CourCe toos les .our�.-Vous #uies d& en faire atat. .
.'. ' . , . + � . - .: .'. . : . . . . . . '4 -.3 '


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Coinme cel a. rv.u. aul
Sgramm publi ., et se. on . .

t&nce, le P~ietd aRpublique entourt des hauts fonetionnrresl de son Cou vernemett reeevait le 31 D&cembet derrder les Corps Di-' plImatique et Consulare, Ile President du Tribunal de Cass-tion et les membres du Corps Judiciaire, .s. hautS grads dte a Garde d'Hati, Mgr4 I'Arehevque et le personnel du tiClerg, ls Direed I. uncime, ament Pr


. : . . . - :. :, : .,.

NOMINATION
. . .
'


Nous enregistrons avec plaisir, la nomination de M. Charles de Delva que nous avions announce avant mAme son installation, qui n'a eu lieu qu'hier matin.
Le Chef de lEtat a eu la mam heureuse en appelant a IPimportant poste de Directeur des Contributions,, un homme de Fint4grit et ade P6nergie de M. Charles de Del'va.
Nos neilleurs compliments.


te ur g "Z ":S d Na
fesionnel et du Seivice Na.9- re de lArchevch& Pus ce fut tiunal .de ia Production Agri- :e TeDeas entonn4 par Son cole;, 'Administrateur Gen&. Excellence Mgri. Le Gouaze, val des Portes, lp Corps Ensei- tandis qu'une salve de 21 gant, les Directeurs des Jour oups de canon, saluait ia naux, dfretGrande Date. La B 6ndiction Aux different discours, em- du Saint Sacrement cltura preints de eordialit.4 qui l Ia ceremonie. ftirent adresses, le President La sortie du President a FE r~pondit avec cet propos, glise se fit dans le meme ordre qfon lui cornWit qu'a son arrive ,
Dans sa r4ponse au discourse Pendant que le President prononce au tom de la Presse, fait une tourne en vile, la par M. Candelon.Rigaud, Di- foule envahit le Champ de re~rdfu M itar,le Prsi- Mars ou doit avoir lieu la dent Vincent ne manqua pas grand e Revue de a Garde d'exprimer ses sentiments sur d'Haiti. Un moment aprbsrar:e te du journalistequi peut, . rive le Prsident Vincent qui a-t-l i t, faire beaucoup de prend place ' la Loge officielbien isa ssi beeoup e dsTribunsie . La foule ne
Dmatn . Ip 'md e Cat- arhanda point s es applau-Dains Papres-midi, Une Gar--- dissements quand elle Avit dden-party' runissait au Pa. filer, I'air martial, les diff& lais de la Prbsidence de nom- rents corps de notre force pubreux reprtsentants de toutes blique. les couches sociales qui ve- (Cette revue fut un succes nalent apporter ' notre illus- pop yrle Gouvernement et pour tre chef leurs soxlaits de -bon- es hauts grades- de la Garde heur et de ~es dans ses en. dHaiti. Apres la revue le Pr-treprises"a I easiin duNot sident se rendit su Mau se e velfAn. .- . de Dessalines et Ption et deposa une gerbe de fleurs er.
XXX s'inclinant queques minutes&
. xxx
XxX XX X

A Minuit un coup de canon ans so ls ftes se
r6veillait la p'pulation dans poursuvalent au Champ de
Tar- MR de CocagneI , &
la jole, et les f&tes- recommen-I Mars: MAt de Coeagne, Cin eerent et durbrent jus u'h i'au mapopulsiare, Concert, Retrai rore de tan4 nouvefr. toe au flambeau. Au cours de
Das les Eiss, a Messe ces fates le Pr&4ident epruuDans. lei Egtli-.cs, la Me a -IP. eil ~ y P ri
dle 4 heares di matin., attirait vait tin reel plaisir A y part tine foule, e fid Is solicitant 'i-per, et faisalt le tour du
-n . ha"rn . de- n, acam'f 6
les graces du tr s haut pout -Chamt-de-Mars acclam6 fre1985. nttiquement pay une fouled en
xxx detire.
A huit heures du matin. le I e lendemain, 2 Janvier, le Fort National, par une salve Pr6sident de la R pubtque de 21 coups de canon, annon-! aceompagne de sa mason miga le 116me anniversaire de litaire a 6te deposed aux pieds notre Independance. A huit t des monuments de Toussaint heurs et demi., le Prsident et de Dessalines quelques fait son entre A ta Mdtropo-, flours en signe de veneration le, oPf il est requ par le Cure, pour les deux Grands Aeux. 1. Rtv, PreTP hiard. 11 prend C'est sous ces heureux auspiplace dans le Cheur, entour6 ces que nous avons franchi a des Sec. d'Etat, du Sous nouvelle ann6e. Secrbtaire d'Etat, du Chef L'atmosphere de joie deli
de son Cabinet particulier et rante qtu a marque ces deux de sa maison eivile ea militai- 9joemiers jours de 1'annee ure. Leos Archev4quos Le Goua- dique bien que le Peuple croit ze et Conan sont A leurs' fernement que le President trbnes respeetifs. 1renaient Vincent ne -reculevas pas degaliement place o -dans le vant les difficulty de sa peni chceur, les membres dui Corps ble et lourde t che et 3u'i Ia. Dinlnmatinu t Cnsulaire . potrsuivra ans dfaii ane


les-membres-des:. bureaux du S4nat et de1Ia Chambre des D6.--- 4
atbs, les miembas des Tribz naugx.le ?rifet le Magis ShopDay
'trat Communal at son i Conseil, contre Ie painw et d'autres Cors aConstitu.s - -.-.
PLe mess $tut dite par le R4v. Ruvez le Rham ieGorenginger, di la Con Aix Ro *
e-ation du .St. Esprit;. le .-. --.~* 'r
iermo dk eireonst4We est Lire en ke page to lte es I' fait nar 10 PZard Wio iieeritab wars e la Lhlnffle Noerkt&


14 G 64 Darlington
BuEtler, k 'm4moteut dans Un
pantalom &vnA la faneuse expression qu ss fareh

de la eorv&. tan.n home qi tr ker toujo r- le nwan Pamr tapagusnment original i. nstruct ion, i'orthle entre parnthbe, West pas son fort, 8 nest pas moinsu fort inteUtIent pour cela et je me permit de donner Lin coup de eanif (mon prew.4r) au Azeermt professionnel pour rapporter une historiette on i a dpoy6 ime ruse assz fine pour s Tfire po.r pXur compttmt en une matiehre on i tait parfaitement ignorant, Chef ade in GeTWarmerie, it recut un jour une comm-nication wispa1e du Secr6taire dt a Marine q u i i i demandait titte per o dmwi de
renseignemcnt d'prdre l.utot tcdnique sur !a R pabique d'Haiiti. 0 en navait pas encore ache' a Ie.a ture qu'll 'adressait a son Chef d'Etat-Majer qui 6 it akIrs 1e C#naral Alexander 0. WRliamns ,,Oh;' A!ex. vo'.ic:i quque chose qu remde o vls attrbutions. Vous :eat es asez eomp&tent pour r-poindre comnme i faut A ce paper R&Iigez-moi le rapport, ,t faivtel dac&tylographier pr votre seeertai. re. En attendant j fzads un tour des postes h du parternent. Ne m'&ttendez p as ear jo stir d navoir


Pour les Haitiens, e'est New York, la Ville formnidablk, et Paris la Ville agr'fable. Pourtaid la premiere Vile au A)onde tant par sa grandeur et sa population c'est Low-. dres; elleest aussi la premie're patr la finance, et les affai, res en general.- Les Haitiens doi ent suivre ce qui se paseo. dans ee Grand Pays. - C'ee pour cete raison que nous ditachons dWune ltire pr iree que notre Di)recteur a &rite i son ami Henri Elie narrant brivcement ei i bdtons roa-r. pui; le recines feles d la Court de St. James lors du nmriage de la Pric Marina
aver lt Prince George, les puseages auvant a que nous inlitulons: Viion RosRvae s et Ma rage de Prince.
Le pluas fonne de cete in.
discr#i on seiratrhoire Directeur, qui croit seun tmenat donner s s impression. a 8on am Henri lie, ex-Lordonnien,au temps - d'ag:eurs & inain de sa ieunease. Voici ce pas sage :


. .


ge est une idylle d'amour, ea que ni 'intrigue poitique, ni les considerations de Dynaltie ou de Cour n'y (ot joui aueun r6le.
--- C'est parce que le Prince George quoique quatriemne fits du Roi, peut sueelder h sn pere; puisque le Prince de Galles n'a pas Fair de vouloir r& gner, ni le Due d'York, ni le Due de Gloucester.
Dans un tel 6tat d'esprlt e t avec deg supposition de la sort.e, on conoit les commrentaires qui soulignaient Pas'pect special de ce Mariage.
La supposition "a plus Togique L mon avis, c'est, que t1 Prncesse Marina par sa beaut et sa grce, est d'une popularity exceptionnelle, de meme que lte Duc de Kent, et qu'ensuite La ('our d'Angleterre, qjui est le sanetuaire des traitions Royales Brit.anniques, a voulu profittr d est" te occasion pour diplyer ses splendeurs, restreintes depua Aott 1914.-La premiere ftre ,n l'honneur de ]a Princes.e Marina fut donnb an Palai d Bur gingham par Je Roi et Ia Rein- d'An gietf.v'e, I 3ardi :7 N ovori et., is 9 ]cu m 1 .i. SCO-i }P.
C est 1. . bord .( Arlainm qui invite d'ordre d Leurs Majestes (Commanded by their Majesties).- Au ba de Invitation, il est spbelf4 le costume qu'n doit port-ter. (Ce soir-l, il n'y avait rien & fair, c'Ytait ]a culotte court et les us dIe soie noire (Knee B ec - ". -A-.ve c .t I Vita tiol , on .e .it Une carte nim:)o'(the qltoll ',u.s CIumP1 exactdrfent heuie a Ilaquetille vou (devez VU- trlouverY & ntrei .nt.ieure du Palas. Puis une SecCnde. cart bari-, c t " souhe qui Vou- -'ti_.qt par rinUeIIe Ibarrire voie P t& o Uil va & entrer dans la Cour clu Palais, et devant quelle rorte oile duir s'arreter.-- Au miIieu de ValIIe d'entr&. un ofticier )rend tdu cha utfotw cette deuxime carte, garcel e tuIon et remet Fautre par"e--La carte tI . . ret numroth est remise en entrant A Pint-


rieur dip Palais.
On passe dans deis couloirs tree's itroits et asse longs, avant d'arriver au milieu du Palais ou se trouvent les eca. hers monumentaux. Po u r .quon neo soit pas. qteni de prendre une mauvaige direction, des valets et larbins 'a perruques lourdes, sans mot dire, vous indiquent le chemin a prendre par un mouvement de le s hallebarde. On arrive aussi aux e.ealrsf monumentaux, sous des lust res incom parables, rnarchanl , les plus bhe4ux tapis d'Orent. Par le mouvement de la hallebarde du larbin, on sait quel

(Voir suite en 4e pae)


_Pas y -chamr t.i a Le basard a voult que jare fat mPun des apports les pla rie a Londres quauee so lumineux que jmaie vu erire par i maines avant luverture (1i Gtrhral Williams, an documnit Parlement Anai- , et la crelement bien bti. A ue het Ibration du o.ariage du oDle Williarms s'en altla. me laissant seal de ent t . LI u Ta i An.eat Qtuwrtivr G6nrul pour fair I trr., iVf l P C.-l e411 - Muagner a piace a Butder t !'expeier. na, de Grce.celi-ci se preenta $tune hee et .oiia exactc 11 -1nt inY1 n 1 demie et tant a&sur# que son ue la Ca nl'e (" U RtoumeChef d'Etat-Maorw4tait rent che Uni n'avait )aS v. de fCUes iH, il se mit. 5 recopier Ne rapport h ROyaIes a -ssi s .mptutnses -t la maim. faio4ant de ci de l qucae- aussi inoats. En eff. raturc-., maiS on conservant tex- epul en 191 tuellement !a r6dactiomn quil avait (iour de St. Jams av.it att .souA les yeux. 'i y mit b-,en dux nue pletOU. do ISe gr"mheaires, aj>ut tt pt tscrifIt.u diiOSPes (. .m.,es, 1 " a fa-~c ----- --.-------itr ~g [ . {tf- ,. .(' .; . .-rour (xpliquar qui ativait1r6dg ;a ' . p. Ptfit 11
pRe._t a m ha.: ,-.rn i a t met 1 u .u ; .ur . .tO S (' .
0o25 AIn pp9 W O ir' cs:aig a- tI> I ij I e-m" non. s:nont a tuAt tO.L-i ies'.ge-i 4.- mis 1 & in t*ret (ii"o"4i4a i. , v, le
t' rigt t: ;" " ' v"al,;:t .i i ,.t-: tli l ('t.
lO cus, >:. c.e , in: it-il, --n putU .t n , . e . eI_ t (> . partal. r. prit ao.1. voitu- cot n _ (1n1 lT a ,. t : " :. . .: . anuc moi A la ca]in: u gresse. Janu i Fitine ne se vit en Tp)-a 1 -e:it,. v _ i Duc o. sKion d'Vi- ted ,e qtuntit do t ib. Kent et a a Prince1s1e ,in
Jparie qu patr dV ct jour-, de comIpre eC malaive d. vInt i opimon a' , 1n avahit au i D par- -- . t n. . . 1. i. Se tmont tdo at .Marine tur k valur des fastes do }adi.iatellectu"t: dt- Dutol z e ai cir .omme I e Xl.uenV e m11 en1tt .1 g- P t Ia ire . - -- 4 ij --K-. e Peupe. An lai onut a-pp
cia trk peu dO tPzps prP d'unt te Le M 'arile on ent} .)vsa.-avain -ement tfoudroyanrt. i me tout speiai et tun ap-para (qui iv:lise s-ule!ent e.
MAINO. celul du jubiIe de la Rein; Victoria en 1887, tout un cha-C---n------ eun se demandait pourqui ?
Ce Y'est pas seulement en
LE NOUVEAU }aiti que Vimagination )opulaire se donne libre course et.
(fWEF DU PROTOCOLE fait mille suppositions. Par-o tout dans le Monde il. en et C'est n6tre ami Turenne ainsi.- Devant 1'ampleur des,
es oteaW en. .--"e" - �. out.
Carrl, one le Prsident de ja pr6paratifs du pariage, tout Rpublioue a choisi pour rem- un ehacun atsi batissalt sa plit4les d6licates functions de petite srupposition : Chef du Protocole; -.-- Cst qpe leR fsdu ROi.
Ctt nomintion est fen. po'tte le nom deo, son pet, i! ralement bien aecuellHlie, a' & le Pn.ceO g' , vec raison, ear ,4a: ses qualh est paree qu'i pouse
d'homme idu monde Turenne une Princesse alor-s cue les a.uCari joint celles d'un ami lo- trees enfant; du Voi GeorgesN yal et .4vou. n'ot pas onus d.e Pri.cesNous lui yenouvelons os so on. de Prcee.
tPlus sincher*eompiments. C'est ptree quUe Ce manian


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sww ws ismons->.epremier e rwe a u
.ident . Commission la ft Quterwma at4"
(Mak~agah:M Rault; Ie. agiftqul eche, la atrs
second -ft un 'Canadien. an; ,4ea oa ches Ie B6 glais de Montria4 M. St4 , fet partout.
peIns;::e troisibme 6tait Sir aftissle y :s imitations.
::: ::imittion
Ernest Wilton des e des di- .
plomatiques angais, et le qua* , ." . tridme president, actuelle< ment en fonctions,- eat M. epndant offert une loya Knox, haut fonctionana bri. collaboratin:. tannique, rompti itoutes les - Je vots hais, ui repo
embtebes du m4tier et qui, de dit le maitre de forges. puis prIs de dix as, a su me-. - Je vous comprends, r
ner nIe tAche delicate avec cal partit le president, male a :cotirae. Quand on ae n'aime pas quon me le dise. J promine dns. Sarrebruck, suis un gentleman. capitall> de la Surre, on va Et M. Roeehling se l'est V de 'toite h4cessit6 vers le chi- nu pour dit. Mais M. Knox .teaxu majestueux, place sur connu la puissance de son a in e minence et oP jadis veeu- versaire qui n'a cess de It rent l'fes officiers frangais, les susciter les plus grosses diff es d Nassau- r cults. Une a une, M Knox
prifees de Nassau-Sarre d
uck. C'est la que l'mitnent da tes vaincre, sans vain president Knox retoit ses vi. mots, sans clats, avec une t nacitk qui a arrache a son an siteurs avec une courtoisie at- nacit gui a arrac son a tentive, tagoniste ces mots:
-tentie. i Iie"-r Celui-th' est tres fort'.
Dans une pose families, r- elui st trs fort, on veut. E carre dans son fauteuil, les mains croisees sur la poitri- du point de vue moral. Car M ne, le president de la Commis- Knox a pour instrument d'au torit une drisoirepolied
sion de Ia Sarre vous 6oute, it ne drisoire police patiemment, longuemnent, ses mie homes, .-e trahi
yeux clairs manifestant par sent, et pour fonctionnaire
leur vivacity intermittent des gens qui l'espionnent, lu volent au besoin ses dossiers qu'il suit parfaitement votre en esoes der
raisonnement ou votre expos, enfin des judges qui rendent d C'est sans doute, dans Ja m plus la justice en s'inspiran Vest sans doute, clans ]a me' me attitude et avec la meme des mots d'ordre de la propa
I dent gande du docteur Goebbels.
Konganimitg que e prcommissioen II est toutefois certain qu Knox dirge la commission ]a collaboration de M. Rhode Jdont ii a Ia presidence. Nomr aun Suedois, designe, commi me par la Societe des Nations, un Sudois, dsign omm NM. Knox a oublie, depuis qu'il president de la Commissio: Sdu plIbiscite- est parfaite est 6Sarr~ebruck, qu'il est clest marrebruck, qu'i est C ment loyale. Et les deux horn toyen de I'Empire britanni- es s'efforceront e rendre mes s'fforceront de rendre li que"
quo:scrutin correct.
-.- Je me suis fait une ame srincret
Je me suis faith tne ame - Knox et moi, nous sorm vraiment internationale, con- fe oi nsso
ftie-t-il parfois . ses into, mes des neutres, assurait r
1 1+ comment M. IRhode" A l'un d(
-cuteurl3 qui s'dtonnent de sa mment M Rhod l'un
relsite et surtout de son inal- nos confres. table 6galite d'esprit. La seule question de l'ordr
se nr Awn ats n


xxx


CarM. Knox a quatre collaborateurs en la personne du dl&gu& sarrois (M. Skossmann), (duI delegue frangais .M. Monrize, utin diplomnate lui aussi de premier rang, ancien universitaire e't collaborateur - dii president Rault), du del&1 . c e-b l, - v-u---- "egne tcb-h
d-n-&beige atdu dI6gu&ktdae cos-lovaque. 11 s'agit done pour lui, A chaque nouvelle question. de convaincre ces quatre r ep.r4skentants dont les (consi.gnee~ variant selon les positions.xrespectives -.p rises par - leurs gouvernements. La ta.
che essentielle de M. Knox qui a vU. ses pouvoirs confirmes au dbut de cette anne
.par la Soei6ti des Nationsa &te le maintien de 'ordre -en Sarre - --redoutable probl&.me qui-se posa, d0s 1927, apreis .l'6vacuation des troupes franSgaises jui avaient jusque- 1A -- . assur ia-seeurit6 de la population du bassin houiller.
-A cette thche ot it a su mon
:trer une ermet6 exemplaire, M. Knox s'est naturellement acquis de solides ennemis, au premier rang desquels- i faut placer le grand industriel satr-* Srois Roechling, A 'qui it avait


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poU e~i' one, et1 avect forceX,
C'est pourquoi dans ses communications et demandes a ]a Socih -des Nations, M. Knox reelamv ei renforcement du corps de police mis A sa disposition par un recrutement immediat d'elements Ptrangers au territoire. Ces ements pourralent etre ehoisis d'abord dans les pays membres de Ia Socit des Nations ou Ia langue aIemande est repandue.
- 11 me faut une police neutre!f
Tel est le theme des sugge;s4ens de M. Knox, qu'au demeurant cette question depasse et qu'il a 'appartenu A ]a Society des. Nations de tranchef. .


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a Ia mdre-patrie apres 15 ans
de couageuse distance, sa- LA HAVANE.-- Los ichent quils reviennent a es fidlesa Geuvernement. e mmunautndie en df aut i a eont annonce I arrestationee})Cthtt.U Aucunene 3ifficultte









forte centre v di, de 12 homes impliqu
ra pus foreque notre on- e dans n compot tenant ren t, notre foi, notre unmn o verser e r6gime de Mendieta noee collaboration.t msare ro n u sont
reteatoi rsqeqe hv ei'r t t arecna Itea


XNIX
CITE VATICANE.- Un
ordre de police a interdit aux automobilistes de faire usage de leurs trompes dans los limites de la Cite Vaticane sous peine d'amende. Une interdiction analogue a 4t6 raise en vigueur a Rome ii y a que1que ternmps.


4.,-.-


sa tte. A la tdte du mouvement seo trouvait, d'aprs eux, Antonio Guiteras?, ministre sous la preisidence de Grau San Martin, On Ic recherche ~ Cuba, mais on croit qu-il s'est enfui aux Etats-lUTnis. Les !eaders politiques et ouvriers you lent faire le front commun avec les 6tudiants contre le President Mendieta.


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gbres frangals Pierre L3avI Les quatre puissances qul ot dejt sign le pacts sont to Grande Bretagne, Ia Fra.nce, 1PAllemagne met italIe.
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mentque4 aireusdemes pan: Henri gaudin rets, e vao ns retire toute an-- dans
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Cordialement vbtre


Entr~e 0.50


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t 1984,

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Mars, Mars,
Mars, Mars, Mars,


JAS. H. C. VAN REED,


GnEral Agent


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Ino


nstitut tippen u


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1934 1934



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Connaissez-VOUs la pl cque la �41 Rn e'aiti occup conomie national


bLY*p# tmonre fr so#le &kclin e n* lais die paraltr.A peln if~if kitiiifehonues meesonsl# # dcsew un peuv plus de mbl~anc&lls san rhs ax pat~ sadvant.: dans se yeux mobiles; Ii91
K~kQ772 z- - ' ne unte enspation pu accuse
de son beau vsagt .grav.
dOkt 4 " A Ainsi M. Knox aura-tdl we
eSpeiateZ 7 ' " lontairement rbalis6 le type
mime dui grand fonetionnaf'
enant les ftnia de 1ivrmnson Ce sa char ge, re ipternationalyespbee now venda ase mntnw prix en gtrovinre. ,velle. et telle qu'avait pu Ia
-'-' - .-- -- . que fut Woodrow Wilson. O
&TAVK AUAl i 7 e ot :'ka eepton






NlAIIU0NAL . All.u'n"r&det celn i
?mie Drummond, qui rest
excitement cantines dou1X cents petites plus de deux lustres la t8 erie Natio- touches v trouvent Qutidlen t dul seeritariat goAimal de s dans. I'. nement un repas vecontovtant la Socitt des NationS Mais ?1 et one bieuwdes familles voisi- Sir Erie n'avait quo des fonxe. I V A .d. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . i- U. -. . . �. . . .-. . . . a- m : : . . . . .
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en dans f.-.1 f-Jimet ras o rSt .a .oeit .de.Nation.
tet nd iends mile tos- i rellaat u esfre


VoUs s imaginez-vous qu elle est un bastion avanc6 contre le chbmage qui s'tend de faqon alarmante?
Avez-vous calcule que Ies Douze Mille Gourdes de son ler Gros Lot reprisentent le prix d'un pignon sur rue?
Savez-vous que Deux Cents peres ou soutiens de famille gagnent Icur vie i vendre ses Billets?
Que huit families du Personnel d4pendentde son sort?
Qu'elle repartit des subsides mensuels aux Oeuvres sui. vantes: Crbche de Port-auPrince, Dames de St-Franqois de Sales, Port-au.Prince, PupiIle de St-Antoine, Port-aurince, Association Corps En seignant, Port-au-Prince, Soci4t" Histoire et G6ographie d'Haiti, Port-au-Prince, Mutualit6 Scolaire du Bel-Air. SPort-au-Prince, Crche de Port-de-Paix, Oeuvre <>, Jaeme], Colle'ge N. D. du F. S., Cap-Haitien, Ecole des Frtres de Instruction Chretienne, Cap-Haitien, Oeuvres Paroissiales de la Cure dc Nsisance, lnfare Petit-Goave.


Que six cantles scolaires fonationnnlt a Port-au-Prine, sur son compte: qua' ces


nes paUVr(, y 6nyoient, discletement, chercher un peu de noulrriture?
Qu'une septilme cantine est entretenuel aux Cayes?
Avez-vut pense afiussi qu'el!e pale un e vice de Public
-t cUn S>e rvice de 'eclame, unv Service de Piopagande: autant dentreprises haitiennes a la marche desquelles elle contribue ?
DpouiIIez-vous die tout esprit de parti-pris et vous compreondrez qu'efle constitue une force et un prestige national,
Grace Ia tout ct:-ia, pourquoi ne Iui accordez-vous pas la prefieece sur les loteries exo tiques? Surtout que pas un de S es coupons ne se vend hors d'Haiti. Elle se heurte, ail.
leurs au mepris systematiquement organize. N otre orguel pCtr*uite n nou.s commande-t-ih pas de faire Ie meLe geste en sa faveur'>
IIaitien- et,"travgers anis.
.C -Jtr a c ke r a n 1,
ayons uric pensce du cceur pour la Loterie Nationale d'Haiti


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tionnaires a administrer; fonetionnaire, M. Knox dolt veiller a la tenue correct d'une population sollicitee par la plus massive des propagandes.
Mille homes de plus Mile hommes s'LIrs, et M. Kno;* se fait fort qu'aucune urne, enj&nvigr prochain, no sera -tah6e de sang .
(LE MOIS).
N.D.L.R.- On pourra vor oue peu, expose eus notre galerie I photographic de Mcnsieur Knox et des autres membres de 'a Commnssion de Gouvernemen de la Sarrm.

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DESAUJOV HU-. VENEZ C


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INCENDIE


Hier soir, a Thor,. le feu a dclatP dans une maisonnette qui a "t" entiUrement consumee avant I'arrivee des Pormpiers.


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vua par. Le: Matin,pled d'Feure).


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e 'a ww V mvwvvwAntr * ouvr de relvement nation, a qepoursuit Ie Chef de

)Nous li renouvelons nos souhazits de prosp6rtk et de, ~sueeks continut


CARLO LITEN A HAITIANA

Lerecital que Carlo Liten devait donner " Haitiana le jeudi 3 janvier a 4td remis au samedi 5 Janvier a 5 heures de 1aprbs-midi, Au programme, Andromaque (Fureurs d'O reste) de Racine, des Fables de La Fontaine, la Cathedrale de Reims, de Verhaeren, etc., etc. Prix populaires de I gourde pour les Loges et de 0,50 ets. pour les Fauteuils. e - - ' = - - :










SOMMAIRE DU DERNIER NUMERO DE L'A LLIANCE

Bonne Annie! Bonne Annie. Le Colonel CalixtQ h
Pantalbon Guilbaud et le chomage.
Lue Jn. Baptiste. Loterie Nationale, Femina.
Carnet de la mne de famille. Podsies. Feuiles et RevesI Seigneur, lorsque.viendra Hier et Avant--Hier. Le Balcon.
Chronique de Petion-Ville. Indications m6teorologiques. , . e


vu par PaAction Nationaie, qui pourtant lui demande ad'achevera.


GRA VE COLLISION
Une grave collision entre les autos Nos., 3,224 et 3.304 a eu lieu aujourdhui vers une heure de l'aprts-midi ' 'angle des rues du Peuple et des Miracles en face du dipSt Nazon,
L'auto 3.224 a 4t6 renvers~e les quatre roues en 'air Les deux passagers ont eu ]a vie sauve miraculeusement. En attendant que les responsabilit6s soient fixes, les chauffeurs ont 6td acheminds a la Gendarmerie.


. . . . . . . . . . . . .
r .ii.!i. I


,Baleine parfumne. dents
brillantes avec le
COLGATE
VJOULRZ.VOUS des dcnts aTanVches et briantes . .et Issurance qutowatre baleine est pa U mrine' Alors, employez 1 Colgate,
Le Colgate netf oie les dents par. faitement-chque fissurechaque crevasse. n 1>s embeiltt parce qu'il comment ta m&rnme poodre de poiissagc que'-Its deutisies cmplodent- La saveur du Colgate est d'icicusement rafraichissam e - - tk laisse la bouche pure et parfumee. ^


,.:_


ae a j in

e - . _r :++.- .::+


Voici un pneu qui se passe de entation rentfe Les grosses sculptures masive saillantes de roulement, tenant fermenenta route, sOnt de4 le de iacurite depuis les dbuts aL'auuto'moe I MAfne au cours des an es d'adrsitl qui .EN g' ecouler, ses renes ont dtpass c es de td ua qnelqu'cn fl le pritx.


r, - f f-- l a - - . . I, .- _ - .


Y/cI


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7ja Biere COURONNE donne n meleur got ala'nourriture-nous en buvons tous les jours"


Le simple, repas devient un festin et les aliments les mndleurs ont encore un meilleur goOt accompagn6s de que1iques verres tentants de BiCre Couronne.
Come son go6t agrbable qui rappeli c lui do Is- oix, i guise 'app tit! Cost fge de is bire qui en esat cause. Car, tandis que les mois skecoulent, los tonneaux dan les cave rtif igrs de la Couronno d veloppent une maturatioo mno saveur qui donnent on gofit nouveau i tout adment.
i plupurt dOs gna sieres to bikre CourCe toos les .our�.-Vous #uies d& en faire atat. .
.'. ' . , . + � . - .: .'. . : . . . . . . '4 -.3 '


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