Le Nouvelliste ( December 24, 1934 )

- .a- r----.44.

"t Aw- A a am w a n% a woomma0punow ns1#
- , . j . _ . . . . . . . . . . . . . . . . . .w.4. .).m. .
R . . . U " I.



i - : ' . . . . . .


8 *8 t K


ANDI'
:.::[!i::. W:.' 7. .".:. r: n .


: . "7 " i" Y i 7 " . . . . .
24 . . D ECE BR. 93. 4 . .
. .,. . .- .
24 DERCM1%RE 19M4


a.ta.n.nam u .en.a., , w e e s tr

No 13479
. . . . . . . . . . .i
. .". . . . . .; .
. . . . . . . . . . . . . . . . "' "'
.== = : : : : : : : : : : : : : : : : : : : - : . : . : . : :.: -


79 de. la Consti

dbrant que, par suite ion de Messieurs tires d'Etat, iy a urvoir a la nominadurs remplaqants.

ARRETE.

er.- Le citoyen Jous est nomm6 Secr& EZtat de tInt6rieur et 40ie; ien Yreek Chitelain, est nomm6 Secretai.t des Finances et du
iyen Lucien Hibbert me Secttaire d'Etat tions Exttrieures et
tesen FIesmin EtienODmm6 Secrtaire ETravaux Publics; oyeven L&o Liautaud m4 Secrtaire d'Etat uection Puhlique, de ture n tu Travail. Z-Le prsent Arrte abthe au Moniteur. Mau Palais National, mbre 1934,an 131tme Wndance.


xx <


le Cabinet est eonsS.tne semaine d'hyS. plus ou mains int.t fixte sur les choix ens appelts & asu.le ('Chef de Etal laa eponsabilitt de diriatin"es de la Rtpu:eux qula ont eu, aee t de la rie nattonale, tUx honneur d'ftre Sour continue Fehdt Programme de re 0:cnomique et finanap que Monsieur le SVincent poursuit Vide courage, de perpe ret de patriotisntc, i-anciens collabora il a dija appredee SI'inlelligence, le di et tle sacoir faire. dress, nous roulons
*rer, (trnt des pabus des nicessits Wsta, uront, avec une
*prthension des beSpeuple, se mettre au ma Pays, qui, d&e auI les ye fixessur end d'eux le maxidisf action. Itnouvelle ann e qui Scommencer, souar notre Patrie si mal e diu fait Is tira rleintrigues tie oI'Ere des gr ea usable Rcs

tlgouvernants
nous alo, ts
e pme d e.1 ae, donnemr
itnal pour. Vll
S i ti::e n frC: .

Sr,-4,4, ~t


_ � : . , . . . . . . . . . . . . . . . . . . ._. . .
. . . . . . . . . . .

. . . .!.


Plusieturs de nos confreres out rpandu ici la rumeur d'un attentat eontre Hitler. Nous nous plaisons a remarquer parmi eux certains organes qui nous avaient reproche d'avoir rapport, (quoiqu'avec toutes les reserves neeessaires), les bruits d'un attentat centre le Prsident Trujillo, publi4s par un confr-re cubain.
Comme aucun de ces confreres, si pointilleux en ce qui concerne les informations des autres (ce qui n empeche pas pertains de les copier servlement au besoinm niu.rfi de renseignements detaill s sur le pritendu attentat, malgri6 tout le temps que nous leur avons laisse a dessein pour Ie faire, nous allons y obvier.
La nouvelle de eet attentat a 4te public pour la premiere fois par un journal de Linz (Autriche), le Vuiia ce que nous savons (iu prtendu a ,tentat, e qu a$cun journal haitien n'a crit avant nous.


dent Vincent a con cit se' zIoureatux claborateurs. Cette tdehe leur est d'autant plus difficile qu'ils sucetdent a des citogens lmonorables, dont on est oblig de saluer le depart du Minist&re avee unie profonde ,ympahie.


3:NI S 1. ME. Pi .
La goAlette ta moteur Nan
: . . . :.x . .:. :" " . . . . :.:. :: ." 1
nette , a; P. :miseconepietement hors de sevice A a suite d'une expos iwsene en pleine mer. Elle revenit du 'Sud avece un fort chargement de caf, trente six personnes equipage comprise.
Selon nos. informatios, ce et que miraculeusdnent que les passagers o tIa vie sauve. GrAce a une habi manceuvre, 1e capitaine a pu 6chouer le bateau. en flammes, au carnage de Petit4(&ive. SEt les passagers, dans tn etali piteux, out pu gagner la:ville. A leur arrivee, les authorities locales et la population Se sont empressees de les assister,
Parmi les passagrs .nous
e'.- ; gr4- .s

citm;ron notre charmant ami, M. Arthur D. A-llen et M'adame, Mile. Jeannette Pierre. Madame Lue Malebranche. ,a femme du Magistrat Communal de Corail et deux enfans en has fie etc., etc.
I v a de nombreux bless&s. Le passazers oat tout perNou.s d.plorons amovement ee: aceent qu,"i pnive notre petit sabotage dune voie de emnunl''i(~ On q i 'endait de v-bels services.
LUn etnseil: i v , intei'ct pour lea'fnnateus 1adopte'" les Dieslis laur bord, parce que ces rlachcines brulent une hu0e ourde oti est inflan&n be. Les dangers dincen s et. .totalemenrt eIimines.
Par exempie, il y a actueilenment le voillier <<(St Jojeph qui a pour port d'attache Baii e
net. son proprietaire M. Paul J.Laguevre. Cehui-ei l'a pourvu d'un Super-DieLsel S--I4 P. 11i Aile euf neuds ia lI'houre. L'installation a ot5 rdalise par des ouvriers haitens, sous Ila direction de M. Marcel Assad, technicien au Service do l'Enseignement Professionnel. Nous avons visited ia ibe!le installation du -

I;


- -- 4-A -


N


DECES


Nous apprenons avec peine Ic dc& s deO
Fernand Dorans,
d -ieco midi.
ueCuc At CO 1111d1 Lenterrement aura lieu dema apres-midi, ct la chapelle adventiste du Bas Peu de Chose
Nous presentons nos bien sinc&res condoIances a la famille, et en particulier i Padministrateur de < 4 -


RECLAMEZ VOTE NUMERO DE NOEL


- Oi don transportez-vous t b. ch? sa beatmre.
- t- . i atir viant.


Nos abonin6s sont pribs de r6clamer, en meme temps que L Nouvelliste du jour, notre Numdro Sp6cida de No.

S- s p Da
Contrad14- W W O.


Ri .ponse d M. Prike Mars

air ke No. de Verndrtedi)
N" ""

ut par des products de proxvenan(Crle nouvele et este bien
1e moins qfue nous oflrirous les ntres en echante. iLe prin
cipal dientre eux, e cafe est pen connui stur les marehe d'Extrelme Orient obi Ie th6 lui est substitue. Si Ie Br6sil nous devance probablement plans Futilisation de ces nouveaux debouches, nous pourrons toujours rem plir ici se mime rd~le que nous remplisons ?a ce
point de rue en Europe. Je veux ire que notre cafe^ servira a amehliorer. les pieces (I aute. pays. Pour v obtenir queIques succes, nous n auruns "ua employer les nermes n6thodes de propagande et de reclame dont nos grands voisiS. ,es Etatts-lUnis_ de IVAmnei(ue du. Nord nous offrent los mode(es accomp is. J ai .rle tu caf( et j'en profite ]pour at irer Iuttention . encore une fois et apres tant d'autes . sur Ile ( danger de la monocutue. ,Je n'insiste pas, tant convainen de rallheri-" i unouInIite de 1 opinion publi one Idess. Di ilours I .,n 't lte de notre ,ol~ < t i d reu. tiers ont encore en 'iche on ovr i'a ue
cult l ,. nous donne 'oe ~it '1'nviu-a.ler ]'aveni " r a i.: cot '
p It.;<-. .o i i
a eri . I e ichesse, ii
. . m tt e ] I c .,ton en preDaihles econmnist'es signatn a envi q,, la production c ;nnr'e 1>me'u:aine ne suf1fittptu a1 In consomm-iation mI o(. lit) et t . p n t , Ion . ipoe.m.out.e on.: violente dles pay.
la(fricains amenant des population; _ritmit ves: 5 la vie
, . " . ,. - () i\9 plus oxn s einuse n
peut -.u ae4: ce nument. Jentends Ien que (1.' notables el:npise.a de ilanta t ions cotomniCVS ont lainenta


blment ,eeou. Cola provient "rn hImbah!emwent A'tune acclimation incompite du eo. ouonier am ricain sur notre sol ou de la destruction de ]a plante par queue parasite. Car les especes mdignes . inferiene ; . uant :ux quallte- de leurs fibres . sont con.nues pour le 11esistance et lemur facilit6e dentretien. En tout cas, ces ech.ecs ne doivent point d'ecourager nos agriculteurs. 11 est urgent au Scontraire que le gouvernement en fasse 6tudier au plut.t les causes afin de preconiser les moyens d'en 6viter le retour. C'est bien le moins que le Departement de ltAgriculture justifle une fois sa reason d etre.
Mais ii ne suffit pas de varier nos prodluits ii faut en intensifier la culture. Ni Cuba, ni la Dornminicanie n'ont attendu Ia menace du dehors

(voir suite en 6page)


. . . . . . . . . . . .< . . . . . . � . � . . . .: _ . ;

.r .-. Lt-.
(. oi leNne a.rn . .Led4u.V rur fi,6be 4," ":t ITfl . (Voir tNo. te Surndi)


A cWt dies torts qu'on peu reprocher au Gouvernement de Jn, Pierre Boyer, il y a aus si nombre do mesures venue de son Gouvernement ui le mettaient it alepoque dline uin rang superieur a celu de certain autres qui se partageaient les Am6riquc&. Boyer, est-il le soul qui a vouly une forme partriarchale A la R6publique d'Haiti? Cette te hantise est national. Toun nos Gouvernemrents, sur et point, du premier au dernier, out cuncourru A ila mort de Opinion; ils ont tous cr6 la forme, cadaverique actuelle. L'absolutisme des Chefs, Ia terreur comme moyens d'administration ont tu# le eitoyen., La nation elle-m6me devient inconsciente, ce qui est malheureusemnient constat6e dans toutes les couches soeiales, Ia pretendue lite comme la masse. Quant aux Gouvernements qui ont sucel& i celui de Jn. Pierre Boyer, Rivibre Hrard, Philippe Guerrier, Louis Pierrot et Jn. Baptiste Richt, -- peut-on r6ellement enumerer les calamitks que ces Chefs d'Etat ont provoqubes. Peut-on, avec de6cence, donner une part de responsabilit6 A ces inconscients? Parmi les hommes qui dirgeaient les bvnements de 1843, Fable Geffrard est le seul qu comprenait les ncessites du pays. Geffrard ftait done le seul revolutionnaire, parce que, devenu president, il sut se conduire en home d'Etat. Si un silence complete dolt regner sur les successeurs de Boyer, les 6claira, les politiciens pedants et pretentieux de lpoque peuvent repondre a I'histoire de. leurs fautes multiples, des cal itis qu'ils ont provoquies le pays. Leurs influences nt &t pernitieuses. Haiti subit encore les consequences de
leur 1~geret6. Quand its seront questions sur leurs missions respectives et leur influences, leur rle sera blamable: Is out purement transmis at leurs fils un h6ritage de mauvais aloi. L'Elite d'aujourd'hui et lite dliler
commettent les mdmes actes, x se servent des emes moyens pour d6molir et jouir. Dans


cette courte excursion que nous faisons 5 travers la priode de 1844 a,1859, un mot bienveillant doit 4tre plac eon faveur de Faustin Soulouque, malgre le flot de sang qui a arrose nwtre pays. Soulouque a maintenu le pays dans un sen timent eIev&. Soulouque cornme Boyer ont 6t6 jaltoux. Dans leurs moindres actes, its vou laent une Haiti triomphante de tout. Ils voulaient aussi I'aisance dans le pouple: I1s 6taient patriotes, on gardant le Pouvoir.
LAVENTURE, u.
. (a) . tf or


. . .: .:. : . . .


-. . . . . . . . . .L~~d~da ~


k*m










rpidet ns ertn arnvera e toScourp 6heel e~"A cAii- al C.E. le mereredi 26 D& que mnite, c:est un- pe de eemre 1934 et partira le m8- f notrnix p e.sbietretement . pourU' spn NewY k, pregnant frt senfaisons vers I ltvi'.be tom- leient.'. b et pourtant nous ass&s- xT N
t-.i-lik& #bl A . .- -' ^r E" TIN- " No1160


� : . .


poil - VerA J.le gouffie" de, }' Adresse, Bois-Verna en face ntrt.- aptwns -imnA6rtalit Ed4, Esteve.
en i.aissalt aprevnous nnoM. Telephone 3773. grand et, . put

., ,.- - -.
O LO AI


. - ._ . . s . d .
.*Q I ,st4 dest btt._:u .i- Le Vapeur PAST ORES
te-:qiftA iootr frt :entre Voyv. 35 N. B partira de Ne w te 28 e emte Prohaiet t a&Varit York le 20 Decembre 19:4 di------19 ". . -. : t rectement pour Portau-Prin
ys .kyet-t . ,c ce o i est attend lu. le 24 De.m":sh- t. er eehibre 1934, en route le .me.tfplt . . . &Me jour a 4 hrs. P. pouri
.t.-. &. -. .fM ,ar$ Kingston Ja., ,Puirto Colon,.
� . .C .b .Crta na et Cristoba, . . . f la.riwrz. prenant fr&, passagers, et
I -kAwn:
. e. Vapeur Haiti. Vo" 35'
-h. N. . deo. retoui des ports Co-,
n-h - Mar lonibtens, de6 Critbl CJ e,,
.a- 4i . a Port.au-Prince le 27 DecemSo1) Ubre i9a4 ets tdite le mnie
� . . . � . . .: .: .- : ::: . + . :. .- . .:- . . . . . . 7 . . . o e . .
.e .our. ,hs, P. M poor New . unseo 2'o~oo or, itnt �atpassagers
4~#4ril3 A
hod W.f EBLEOS,
. . - - - - - .
++i: i: :: :+ .:+ :;::. : :i:! :::i:::; :: :+=. . . o . ': :.i!: :+ +!:1:.::.:.i: +++ +.S ": :::.::; i :+ i~i:: r . : ; :: -::-.:::.:i ::i. 7 ." " -'-.


1 A.


'*4 t~v~
- '.1


Nol


Etul alumif
. . . . . . . . . . . . . . .


'*4q gi g# :A.t AM . #r.


. .
hitfeif' Par cause deoraration, e
Fi g viutor- IL tANCON> sera ici le

noise dde. m6m t pour emnbre 41984 1a - lieuede -Dicoeid . Yee -cin parcou- nancld itcti184I
rW ouvelle
pitqwaes aaoia i sui- ZA IL &'vM l *;K
. .1 -"- w v A N
yr e.
Le Roindre coup d'aceil rf- gnt Ge4n ral
trosdittitjet6m sur ile ,ps.e
nous montre et parfois pre- f- .
sents jusqu' aPhallucination,
nos moments de joie et d'Wamer VINS!
t Ats a~' "+" + r ,AISON A. C. MCGUFFIE
t'99il WmaAmeW.em. q4
htae Wildohfirota t ia syi.erean d, hosvins, riini7ttThzitittrlk! ~~zminite .& tes un -tour a la douvelle M iflat te flThai'! ' .2:: ' an C. ( C. 1cGtiuffie No. 1825 t i-Aertulte:qte laisb~e'e .4- ru. du Magasin 'de BEtat vo&ni d'amis thersperihssur I&e6t . des 10.000 Chapeaux.: a route, ,d'espe tancs.*fau . Vous trouverez les cus de clhEes et d461ans endhkndsU.': Ifordeaux les plus rv6puts Ma, e r:etour surtlepass6 sutirtout la g:rande Marqtie soait 4hgulitranent-in-tile, Se i g red. On' veMd ar barsVA~us P&4,W effoi�4 34 0,;n arbr
si sA!s i 6 4d11 efforgids :d16" riques,. gallons et bonuteilles. d&piste, n s ? dfaillanteslet Prix dtiant toute concurrenle-rrYese''' " ce., A Vtibs-qfous 5tOtLjotuP co,-'
p i-t '11minldnte dignitbde - -- " - . "t.d co ndit tio n d'horMnes? POUR VOTRE SANTE Dams' i conduite d ;notre vie, "
avon-nr6us 'eu -toiujotrs. Si vous souiffrez de 1'appapdlui: bonssole cette ide que' reil di estif, ou si voCus sen-tez si ta taurea est faith portre= une d ilite queleonque dans atider la. terre etobeir a la florganisme ne ratez pas -o oi inp.rativede.sespassioii> casion de vous metre i'euiimme es.t rn'pourvegardev - .age de la Farine aqCUISQUEles-astey 't diepliner ss de YA (uintessence de ia banasirs - ne Trogiodytique) ou banane
Ritn des fois, ue nous somn . Grand Vineent
m-taous pas 6gostment Tre- Madame, n'oubliez pas que frigis a -ns i i inditiditi '- la farinm Quisqueya est ui' meoitrancieebrnme da sa agent actif qui excite Ila c.w.s'
cer? qui votdratrit liguer
les-eergies. canalisbr les c -- -- -- - tivitZs? 1 Nf'avon s-nous pas trop sou LE CENTRE D'ETUDES ve pex)rdu notre- teamps adeg UL'NIVERSITAIRES I
leaturer faciins : et dissoIlav
te', alo qtte " nous auri . Mine. Etienne Bourand. Dipf.rzft ex!employer daps tle ritrtice du Centre d'Etudes co itercek d&eriails-.: qt1 Universitaires, "annonee au fft ho etr'de humanity? public qu'un registre est ou? a-&;f e "vie jusgu'ici TWa vert au local de son Etablispasrt&comform&h la raison, sement, sis au Bois - Verna, A p6tPann e 4ui va C'uvrr, t toute les pbrsonnes qui ve-ii nausdevcois prendrej rsoj lent s'ihscrire soit pour des lutoipr d-n opbrer. th-fiouvel coturs classiques, soit pour des aigritlage-:::Lxstene ;de cours facultatifs (Espagnol. iho~me .doit pid uhe ascdev Anglais, Stinographie, Dacsig ncbbinue vers.Is Beau~t tylographie, Cour de coupe, let]heMa. t- . . . . de diction; de dessin, d'ameuenps passe aSvet 'Pampe- bldmerit,, darts managers; de tuc t d.h euve at iouseem- .solfge,de piano ou de chant


quft s'en Iouer. Legons particuliUres de Let.' tres, de Sciences et de Langues vivantes.
Cours sp6ciaux de SteInoDactylographie" 'et' We Cotitabilikt .
Les inscriptions se -reaivent tous les jours ouvrabes. Pour tons a s rensee. nents, sadresser'an Col yge" Sinon .Bolivar, ; d. 366l
-, I " 't . .4,


HE IN NTINE LUMIERE
. - % . , ; . >. .- . . � .
Spbeifiqu, efficacy Contre les -- leatintaghies,. Ecoul, me-its--Ma]adiea des Reifs. Ibe procfuit pr6seite' 4us iforiie de ragees est facile A pren ;dre.
Ne n6c6ssite aucune pricau_ . a macze
Roy -Rie du Centre. SEthez F.Lavelafiet, Dup s;.Swce. : .
178&RedE a ~ \
Te E7ie lptat

A - ". . st ' ' ++::+: -.:; + " -i5 . .


E NTRPOT


FRIIGORIFIQUR


Noa e.atit ,frgjdes ant 4 & $ceenwpe* isx pofpt
et Ip te* O

ti
tnv it A visiter not A t a inspecter nos .mod&is d , lacieres 'et de suorbeti re ans notre Salle de vente, Consommer de la gleiee. e'er fair doi t'4AnwAm - -


A VIS .
Ce.qirt .perm etl. Pis.#( "es diwEl r ung si grAd tFle. e's que Ato ~ .1.gance afaitCev+'
&crI*W5~


- " , . -- , - -----u ." . - lf1 2

"M AA
: , , . . . . ., . . , . . . . : . , . . . . : . . . ,


*4.41

z.%






Pnnes vwtre pr~p omp abl en oAynn to
Compts do. Qhbque aI atinque 1Kadio a dd
RkItpublhqtedilsqtit
. . . . . . . .
" " " - 'l = . . . . . " . . . " " :: :" !:" -- : " ! ":. .






-W4' 4t't .1 1

4 AIM ,4




COLLEGR wae~tae

MIMQN BOLI VAR 6?r aatite
Etablissement.








d'Easignement Pri7t ?abrictttldr t I ' '44
et Secondoire. meilleur: qiit& " ."
< d / Livraison.rapidset&
InterneteTEternal quctidiennementft par nos O4Tou/es 1es Clases. maionsepeilts qu blane deat de la 12e &cii Philosophie' troutes les direfrial doPo
Rue M1agny, No.1148 auWPrWph ey di P oV
(Petit-Four)IGL IjE.

r Nus .avona toulW&
main les, dernlers mnodb ei d Pr~etde Etde: . Chlsr glacitres en at er h 'partir Je or .25.00 et an-dessus, vynd ment ,au
tnt & f ~ his ave fd df'C
. . . . Lo. . '" ". . . .- �I .' " . - " . . . = .




















Leas glaciiere3: leg. pius e. reg et lealus Geopomiques.r
Le College Simon Boliuar, CRCEMB GLAUA! .ondl4 en Janvtier Z933, a dbj& - UP$ LArIfl2 u vtnyt succm aux examena ."
du Blaccalaureat, chjffre assen Un product somesU ti E earquabe si 1'oph egnsidbre l et deean rie auineheurn es diftncultes de tous ordres' mzrpes deray 4Eidore Rue confronted actuelexnent eu d'Ame4qUe s be t
Euseignement PrivK Ccsu .lC public haitien :&s sont dus au serieux deE- Glace dePort-awuPrice, dt ablissement et &s la comp&. tes qette dIicietthq erbye, 4 fence des pro!fesseurs. %Qus seraesdeVir .
Dans les diff~rentes classes Faites unagr hhe pinr14 a preparation deslives est, se, 4 vote farnille et 3pt obje dun soin tait,de a trane Ga S
Aussi les resultat~ssavdrent. geradives potuirj y desrv ts de plus en plus satisfgI4Tousn rlffolea', . .Iants et Ies parents Wont-il, , �~ t-, ngt iu. .examen.
-,I. Ba c l u .';. t, ch"if. U.i. pr::.uit *touve+ ."



-,e g n m n � r. . 'iv - . - ,. ; .: - " . . .; h. . . ,.,s ~ n du~'a s"rlu" Ga e Pot-ac " "" .

� .-. + . e a, ]ate .e . 6 9 0,
.CM ~ ,- ' 1, * z


: m

gle.des :Ruesdu Cen tr ; L Bnsttn i t mere umel nk
$t .t
. .:: : . + +::+;+i:i+;:!:i+.i:+:+i+ii/


a,; k.


-: Servtn&





Ruba_, paie a. , e, :. c .at,
C4al:w de iJWAS

S:i!: :Grof: it .
Se . 4 . - .:


Rubans, papieral

Fai.e o� .c

'S
ous*aie? yeur N6i, et
Yenez voir~ beaux jo uis
pes ona wages; ,Ame. pees, chevaux aI. etc., etc., etc. iT brication natioS choix de jouets SEtrerns .e nes filleset eaotax t totte


. 4&." -. '
illeS I




CLIENT
-:.1.

titre d'btre

pps $ucg. eM

exe.'ttsivertn+ I

*A
lo es ebvesph


e et .il






Gratteblec
� s ; . . ;:,*,W' :.! : :.:: :;. .'
-a. t


f
e
r
l


t
t



i
s


T

















R~w wfl% -" fl " ""IifatonjJ ue W oOkers>* R~mlit- ilu$s0ilm ~tywD te1ste SUOr n1n an a 9 uu n a que#I&n yflvyws a
4 tedamn etex eti 4od est p~resqupe vide. Mais refus4 lear6parations de Porn Sinateur ambritaia Tydings, tif belliqueux d'unl cot on d
flxx> tout Ben rehnt les person- pereur d'Ethitopie Haile Se-s en i:6elamant Pind4pendance Vautre. La frontiere West pa ASINtTON- Depu se atrit&s A la suite du lassie iA occasion do Pincib i tout prixL to S~nateur les a encore dffinitivement dblim
fatr, le Fr~sidenlt 4o- centre Dolifuss, le dent de frontibres dans le- mis en garde contre les 4iffP the, et~ de plus, les rivibrs 4 regoit, souhaits1 eam 'Gouvenent continue A sur 3uel 150 soldats ont 6ti tt2bs cults qui attendent un gou- la reion changent fr&quer e4t visites de Noel a uneo veiller les conspirateurs, et e part et dwautre. Paffaire vernement philip pin ind~pen- ment do course. Les n4gocis cpent-6tre suprieure nta pas suspend~ les raids de enst toujoirs devant la s. D. N. dant qui. do totes fagonIS, no tions du transfert du Chemi
.00par jourenregis- police comments une quinzai Pendant ce terps, des ren pourra &tre organism& avant de for Oriental chino tot
1'annee derniee ne do ours contre' nazis et forts et des mnirtions ne ceS- une annee. chant it leur fin, les fonetion
ARURR OK commrumistes. . ent d4arriver dans Ja Somna- naires japonlais croient qv
OnernationK.d In L'art :OSC0U9 ~ie et 'Erythr~e italiennes.4 DETROIT. to LeNPre Cou- les relations ruxsso-japonaise
4inentonaleosuds deonar MOSOU. 1paitqueosea Une mnissionl beige entraime ghlin, e4l0bre par les ailu- ht russo-mnandchoues W'ont Ja
comose. d sudoi, d nepouantimpiqur ls la-fi#vreasement les troupeo; sions pulitiquts do veos son' mais 6Lb plus amicales quo c~
adais, d'anglais et d'ita- diers opposants Zinoviev et ethiopicnnez, gui son pour- mnus, a acus6 Cous le.< pr& jours-ci. ~, est. au complete, Depuis Karnenev dans Fassassinat 4e vues da canons, de tanks. de sidents amefricains de Wilson arrive, presque~toutes les Kirov, le Gouvernement so- mit raiileuses et dXacroplanes. it Roosevelt dWavoir facilit6 ht i i'ons out arhor6 des insi- vi6tique, contrairement aux zxG L sovidtisation dui Mexique et La AVIS
is nazis, malgr6 P ordire ntouvelles do Varsovie, soecon- SAN PEDRO, Gl :Sur le conquete du pays par .les Unz Nouveau Testmnent's
usel do la S. D. N. tentora de les: dtportor, coam- 4Luiie, Amelia Earhart < xx> me if Pa d4jk. fait pour Trotz- est partie pour Honotulu avec .a eadatuepygp
OS ANGELES. -- Une hy. Mais ii est question de fu- Paeroplane W bord duquel elle TOKIOC-- Bien que los di- possidant pas les l4Wrt E son do placement a regu stiller 7 do leurs partisans ar- co mpte faire le mais prochain tails manquent, les autorrtes criturese yph9b trbs puissante en- retes en rneme temps qu eux. l a traverse du Pacifique do de ilsingking et de Tokio n'ac Stadrrsser A Monsteur 2 pee commne un cadean de xxx V'Est Li i'Onest. cordent pas beaucoup do gra- Alfred Pearce~i rort-detFab
W'est par miracle qu'el- BELGRADE, -Le nou-_fa.t explosion. vau cabinet du Premier Bo x
Txxgo~jub Jevtie a annone~ same- BRUGES.- Un juge etaon-* :ARBIN. -L e changement di son intention d'ouvrir une nce a reyu aujourd'hui un pa-a ours dune riviere menace e&re nouvelle dui parlemnenta- (uet soizneusemnent fiee, provoquer Sin grave acev n me yougosiave. covenant 10 doigts humans
t de frontibres russo-mand FxApres Phorreur des premiers 0
A s foes inandehoueQ BERLIN.-Le GalO Werner Inrtants, is magtrhat se sonsqnvironne un fort soviet& Ycn Blomberft pliold la xint qu'ii avaitidemande &i un ie, an secourts duquel deu Difense du Rech a dement i gad commun~al do Viisselets ont etc envoys en puoliquement Ipour la pemi chen a ni enoyer' los e n- I
;e hate. Des abropianes de ye foi> oue I A.emagne inu print diaitaies d'un nOVC,5 bardemnent rushes ont d5- porte ~embemn;t dies air corprit quo celuni-, pour
V'" o ne m : an atr, vL
_6dun dzanedokiom QN'tws_ )*2( .27V.tiC await tout

















, sans eependant execu-' ministre de Ia D~fense. fl 'Au2 codav.AS
ilbmadmnt i ul precnise etae Voici n pun pui so passe de presentation en lous pay~
d,6 hob remet wit
















xxx m litaire unIVer$e pur 6 Lea grosses sculptures mousires et sailianie de so
:ANAUA. Unesecus.rempace famee de met ier 1)DRS YO>iO aW5o de routemnent, tenant fermercnt ha route, soul des sgmbi
:ANAGUA.-le UneseO sicle-v

















smique d'environ 15 secon actuailk Et quo le SeUVIce (o I f gation japonase a les de drcurit6 de ptes les c7/t ls de l'automobile4
a jet6 la panique en cette travail (e10$ vupcs od'asxmtuat dscuzer avec les an Mtme an cours des arm 't d'adversida qui riennent a
tale, sanis causer de per- peat tuourn it une ar:e do a~~ po~SSibil itO d'un com8- i'deouler, es renties ont deprwse celles de tout autre pnei
Vie. cunscritS RU bS at ifon la 1 nR J n4 n1>5 i _ sop l'a base Cles qutqu'cn id le prix&
i:G : i G I ~ iG~ :G: ; . . 1- 411" L lii B i i :10 ; -ii :!i i;ii!:: : : i: i: : : :::: :i::::: i iifi~ ! :ii: ii: i ~ i ::ii:ii i [ i:!:~ i [: i;:. :lii : i i : : : i i i i= :::: ::::::::i:i:i:i;!i ;:ii: : : : i: ~ :i::ii: :i:i:i: t:ii i
.~~~~3 I _.]. . . .l i.e . . . . i : . :: . . . . "t-: F 111. -: r= ================================== ===============U= ====================== ====== .i, . :: . . . . . . . . .::: : : :: :. :. .:.:.: .::.:. . . :::. .::.:: .:::::::::.: :: ::::
i - .-- .* .: .1. 4k. . . -- . . --- . t g- -0. .14. . . . � .L .e L E . C,___: . . ,* ,-- , . .* : . . . . . . . . . . .
!i: :~i!i !:~iIi~~:: ::i':~ ::%"i;::ii': :::'-: . i:.i~::i.::?::ii.:.:iii.i:: i: : i.?i: .i: .::.i::.::. :: ': [!:iiiil!:i[~il~i:~ii iiii:il~[)i~~[ iii ii!:!iii~~~i~ii iii :i:! ii:~i i::~ . 6 ji]:i]~ii : .~i!~iii~ !! i~ ~iii~~~i.~ i i I~ i: . :.i. - i.:_.:"- .-. .: -. .- i.::.i~iii.ii~:.:
r -:,% :::v~ !::::, :i ::i ::'-:: ':"'sit"e s:,!:ii- .46 - : ::: . ::: :: : ::.::: :::: :: ::::. .::::.:: : :.:::. . :.::::: :. .: : . ::. :: :: :: .:. :.:.J ::.: ;:]:: i ; < % .? ::):: : .:#:: -b e l a :::.ne: ::: .::. Ve .:.f.r 4F 0 S : : .:: n
, g $: . : . ::: .S : :::: :::.::::.s.:,: ::,:-.:. p.il X:: n :.: .::.: .: . e:: e:.: s .:: .::: :.: :: . : ::[ s: :I :: .
iii .: �:: i):" "":::::":':' !i: ! iS ! : ::ii~ e ~i~:. :i!ii iii n ~i-i:. i. .i~i . . .:il .:.i:.--.::.-.: .:.?.- .:ii! --.-.i . -hi: )::i):: *ilil~i!::i :i !. i::i:!:. ! .i:::.::: !:i[})il.i~i i. ! :e !!lil~ii: -~i~~i~~i~~i: ~i~i: -i~~i~~i~~i)i~iiii)::)-i i~~i~i- ~i.: i :i- j- :i:-i:; i~i;: ~i i-i - : p .
. ie:u.t :.:: ::. t r. -. : : s pe r ._k . .::-.-.: . . ::.:.:.:v ut ::::v:- .:.: : :.:::.:.: :: ::::.:; :: : . . : > : : .:-: . , ::v : .- < r < . . : .:. .: ::::: -.::: : :: :. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .: . .O l:t :','",
i -i id e rn'',;;i(. ;: ~:' . ; i ie:re e 7 T . .; . .;. . . .:. .;',;:.;.; :,,: '':.':; : ;; '; :;':'.ii,;::i,;:i : m iu i :;:: ~ i.: iii:!i'::'' .:i .'',' '. '::;iii.'::: ~::: . ;.; :::;:;:;:,;:: : :; ; - - , : ; :: .: ::;: ,;: :.: i. ,:, " : ::' ,' ,
= = = = = == ======== ==================== ==== == ======================================================================= = ====================================4===============s=================== = = ===== =========== = = = = ======*======= ===4_=== = = = = ======= I M T1===== = == = = =========== = =====
:-::-:: :.- : :::::: :: ::/::: .?:i .:. ::.:# ?i::i. : ::::: :: : ::% :.:. / . :i:::" - .: - i:i::.ii)::: :.:.::: 1::.:.: " ? ::::'' " i::::ii :i :ii:::i::::::i :.:i :: :::: .:: ::i :. ;; :.::: ; ,i ::: :.'/ .::: L T. :.i::T 1 11:: . i. :: :u :1 0 :. .::.I -1 : :.:i:L :i :. :,.::e: ::.:.:
-. . r a m ~ t . --.l -:;S : . O S: . . . . n :., , .-. . : .,. . . :,,, ,. . . -ler t . . sa , . le f"n he n . n .
:: : : : : : : : .:::: . ::: :: ::::: . : ::: ::::: ::::::: :::: . . : : : : : : ::::::::::::::::: : : : ,a :: : : :: : : : / : : : ::: :: : :::: ? ::::' ::? : :7 :: . :: : := V : :: : T : . . : : : ] I L : : " : : : :/ : : :: : : :: . . . . . . . . .x: :: : :.
: o e i:::_ ;>?iii}::-:}_::.:::-:i. :.:: ,i.i.:::i - . --:-- -EE==O - - -- -- - - -- : ::=- -- - - :i.:i:[:i::::ii. ~- .i: ~ -~ .:::Ii:i::.i.:. .i:: e 0 MM::::-ii?:iiii:::i. ::}::::::::. ::i .:i:i I :s : eai:!:-:::;)::i: ::: :: :.i.:.:i:. .: . : :. : : ::: :
. .::.: : _:! . : .: . .: !. ! ! ! :::!;.:.:!.:: !::.U::?.:!:.:? ?. !:.K., . . . . . .!. :: .:.: ::!.:! :. : : . .! !. . . . . . : . t . . : : : ! . : . : . ! ! 7 . . ! ! 2 . -. . $ i : . !! !! .:! .� :� :./ ! !. ! * : x . : : .? : . . . : : $: . . . . : . . . . . . . : . : : . : :j



::. deplaemet .a.~u ::I, . e turspait s :i . ope I fe e mm:roeha t d111,g ing n e.e Tk:ca.'1:&" .:Sadrbir Monhu
M. V� - ' - I' "U ('. odn a et U"d. r :lf~':~ el otd-a
. . . . . . . .:.i::. ::.-. . . .
BPlak e.'ta (rs ! . S.c.e Untg. to-� �-. ".
.:
111" 1SS:a T t e V.I. 4. . . . I.I f.I. . . .
�, : e: I� : � ._,10V n R P.
murs'unerivire mnace&'e ouvete d pa:]emnta-(,.e sogneu em.t. ee.,.
o:-: :.::::-.- .es:::in:,s - ic*t . fl op " . t:.
ide.front~res.russomand iqi .:: -ntx Apts .esprmirs - ._ . . e,.,
":.~ . .- -.:.aiswvn_.u::-: " ot.svcVnoobrd avitq'ia.at. enad i n., . . par:i
.:i.-" ; '. . . . . . r o n D " RZ ." " a. ],d :: P y

AN EnS.e e .ues.-( -- . .- . �
Ilht.De.arpa~e ee Xfa s ii "A ~ . de ifu- .p;-le ~:t:': :es d un ne I
ac metarrduei fe . e -,, Y . . . I 1,s, rn,.arloo, nt: eesi-ei, p ur t- .
.i estefu-n e s.n de i e e -a.it.L5.,C e.a0.A
:pusas-e endle U X .-e.:aiiu nlrn
omadme nt. eau d t ,: :Kc:ie]e;,i:-< clIet~poi i u pe'u qui Se ps eposnato n ,
S parG mirae qel- E" L " .1R.,N A D tnat ereen1lro-e ntnosui
fait ex. " .-ei dui P: -: - r-B
mmu d enrvieor1 een a .e , Ut e. t so-,.gnuvse m
Mva r n rae ce-"-ip" " ig.''nan 1 ,tsh-a
j-.t.".- n-ne_.u. .ov.- ,o.n ,,o-.er-N_'(ie'r11a V ti. Uetinnt.,
le :".is.i e oula panique n dte taaD . J .u(le V1:1, i s. e -:' ., .- ]--,*ravcle nMee .-~r~ 'sa:'".
,e, an cu-.rdepe- c.:: % }I:: ::? t::;,,? e :?-i:? _.:: ps~iiit duncon- 'bo hrsa cni .e du. I ecl 1 '4tulaur #n.
&.fts, on.t : e if"tt. ,en :v kve > .".e'nipour "la:-- p r'e n j "; 1"i. .er p ov r I eb s e,eI P. � t -e


,:::.::. ASH I INGTON.----- :Le CoS natota~l denqUIte a do d'investiguer sur les acLs'des hanqxiers interna-. [ux en temps 'de- guer-.' 6hose int6resse. surtout la son Morgan; les compan navigation, a m.taI.
tetes~ industrie chimji, LL
OKIO - Le Japon a not
fficiellement aux EtatsA- son intention d"abroger raitP de Washington en


ENEVE.- Les dIe6gu6s his ont aeeus$ la Norvtge a Belgique d'avoir enit*t'oecasion de la guerChaeo, embargo sur les ditions d'armements.- Ilsemand4 desesanctions con .es deux pays.


draft une im a.~,a -e
.4
BA.GDAD.-- ies 7 victimes do int eataLoph :e :aion
com.rc l hoLndAis uIver a t UtOTeteri-Qs cans le peUtt cmeti1e IItannfique( de eette vile.


. . ." " x xx
. .o iO . .? .
ZAGRuB.-- Sur Forn .
pres du glent L Paul, et du Premie Yevtitca,, le Dr. V}aci aIaLte Lio. 17mIc d .DueJ I co.anaio it
lit .,11a-t ,T,
arts doe %YI'i5Oi poOP SOS 8WeIces attonOmifstes.
. .
SARREBRUCK.- Avee un enthousiasme qui contraste avee l'aceueil fait aux troupes internation ales. 25 000 sar.'ois out. souhaite une bienve11ue tumnulteu 45 ) conCII'toyens vemus de 'Amerique du


i uge.ti.: bitaInques dun
S- . tait de limitation de's ,r memunts. La Grande Eretagne a reconnu seuler. "n pr'inCipe Pegalite du J a"on, et. ceuvel-ci ne parait pa dispose i~ renoncer a sa .inanCe. primitive d'egalite de, - Tnae. Le nouveiles con: �:o sign ifient pas
i in- conference recommence. Les s-cussionS officeiuses dure ront pUSieus senaiines, et le J aon vent simplement
ell , 'Cj
mpaintent les clmses en etat 2usu1c panftclmps.
_-NE. Le Gouvernegy ' uvo:t de forts to e pissants explosif.
da s"la ill K Bade Is nt, 0m sa raj , cOn tO de chase . " Up ci . -anois Josep -q edemps, 1a monarsuLe. . nat onaux socialiste. . . 6a retes.


Ift-rr Mttn~sMJWAPIITPkftP)' p 84r' ,.,.-- 2~~


ail e i.ncon





at aqainte ire varuMes SZL� tnrritoir
::::t1 1- r
.:.ii:.:::::"i.1 . . . .0. . . .,. . � : : ._ . :.:1 _ J E


test ab e � S T4E


.- . . : . . � : :


El


e
s
$i



e




.
S











L
. . . . . . . . . .
. . . . . . . . .
. . . . . . . . . . . . . . . . . .
. . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . .
r i:



o iiiiii[ii:~~
- . i
. ii i i i~iiii i, (







e:

:eii~ii~iii
. . . ., :.


dt


euiss''- esii

Irs.


iaujua is ce Maisn

es ~ ~ , . . .
:::: -V : ~i< :._.: ! : :. :% ::.: .;. .< ::-. . ! :. = . :: . . . . . : . . . . ". 0 : . . . . . . .� - .: . - . . . " � �. . ." . . . . . . . . . . -. . . . .".". . .
--43,
PrtceqIr h i son i,7I aronie',, ,:, ::,: . .,� ':"


;;;;;; Q G R 'P Z . ;;;*.;;;;: ;: 1 '::Z:i: ::4-:::-:._~i!,::i!: o m p r cz.; . .:::.:.-.b::. ." �.:-. . . . .


SOCIwr I/A ITIENNE AUTOMOBILEL$ .ALERANCHE. .ENTIL, BGAT & :e
Port-au-Prine, aw


:-,::, ., .
a::: :--


_____1


i . -, I - .


.: . :


:;I i


isence, des


ca nes i
















.

.If CONTES BAIS11
CHRONIQUES PARL&S


Tel est le titre de outrage qui vient dienrichira Bibio* thique haitienne, avec une, bri llante preface de. Monsieur PNul Fils-Aim6. L'Auteur est Monsieur Victor Mangonws. La dc6dicace est admirable d'intention et touchante d'expression. La voici: cA mes Filles Luciennes, Denise. C'est & vous, mes cheries que je. dedie ce ivre, Pourquoi? Ia raison en est simple. Sur cette mer houleuse de la vie, lorsque ma frile barque sera heur tee et ballotee entre les vagues furieuses, e'est vers Vous que je ferai voile, vos deux axeurs m 'attirant comme deux phares.


Victor MANGONES.


Le dixi me cnte est intitul6:

Nous avouons, en toute sincrite, qu'il a magistralement reussi. 11 est vrai de dire, aussi, toujours pour son compte, qu'il est un charmant conteur qui posshde 'habiletA de fair entendre les choses les plus os6es sans se dpartir du scru pule de ne pas blesser les jeu-


%1 .j~t.a.
DU DBi.PANfWMENT D)
CON 0fBBC
Par d pache en date dq Dcembre courant, le D6164 des Finances du Capflait a inform le D4partement Commerce que Ie . S. W
A t irs n. h .rAa


nnsni a ci
4.139 regime na es.


CINEMA
Demain soi la Noe i ly. a pulaire A 6 he tians, offert ment de Pl'Int De beaux fi


'C
T~ I


a a pOur un RanC oa; ae M a de Figues-Ba-* qul feral us
8 t erla N#
Assiettesfr ides & ole.
ftPunh ancapgne, o
r . ~ z . I -- .a.
PPLA IRE . "
r A l'occasion de. ura Cinema Po- A VI IMPORANT.
,ures devant Hai par le Dtparte- , rPeneat ther: d noe erieur. Directwe rmut G. Chatet
nlms seront exhi- o mDirection de t Ria d tion:


b6s IA la joie de tous. Le beau film Sureead, qui est annonc6 en matin6e, commencera A heuares premises.


LOTERIE NATIONALE YD'HAITI
AVIS IMPORTANT
La Loterie ne mettra en cir culation ses nouveaux billets que si les Placiers de la Capitale s'empressent d'acquitter


leurs comptes.


La Direction


FIANCAILLES

NoTus avons appris avec infiniment de plaisir les fiangailles de
Mile. Simone Paqzwt


avec
M. Philippe Thoby Marcelin.
Noutis leur adressons nos plus vifs compliments&


o.t
du Journal est con d Mr. MartreanDisinor et FAdmb nistrtion Odadrate du aNonvllde* demear entre te
mains exchasees de M. Bret Bonhowne.
Port-awPrinee, 27 Septembre I9Mg
EGLIS ETHORISTE
RUE DU CENTRE
Le Cult. de Veille de Nol wmmencernl e.Tndi 24 Dcembre au soir, ' 10 heures p.m.
Une collect sera fate ~ ila fin du service
ATTENTION!
Le M6 Deenabre au soi r, vsnez voir I'Ecle4 Ste. Trlni Le R ve du Vieux Nol, des tableaux vilo de la Nativit, avec poes et muique appropri6es.
Entr6e Gale: G. 1.00
On dansomrs.


tha r es Pw~oul


nes 1mes.
lie canto on la nouvelle eat 228 Kie 'Roux P rwuprm ce
un genre litteraire qui est d&- Vins Rouge et Blane
fini par Paul Bourget: moment decoup6 sur la trame BORDEAUX ORDINAIRE "
inde"finie du temps.> 11 est ap- Zrix speial par 5 gallons
preci' par Anatole France en Vente en Gros par barrique t demi-bar iqe.
ces termes charmantes: le conte ou Ia nouvelle est de Ses Vins Fins en Bouteilkla
meilleur goQt que le roman! Son Vouvray Mousseux . Que e'est un moyen plus d6li- Ses Champagnes, Liqueurs
cat, plus diseret et plus sufr Se Bonbons en Boites Fa6iie.
de plaire aux gens d'esprit, Grand Assortiment d Epicorie
dont Ia vie est occupee et qui Parfumerie, Bisuit ee.
_.--- savent le prix des heures! La Biscuits etc.
premiere politesse de l'4eri- " ----- .
vain, n'est-ce point d' re bref! La nouvelle suffit 'aR tout. On peut y renfermer
beaucoup de sens en pen de .C'est 4patant, Mademoiselle, comment tu fia fureur
mots. Une nouvelle ben fate parmi les invites du dernier hal mondain, sane e savoir. Tu
est leJ regal des connaisseurs itais le sujet de toutes le conversations substiles.
et le-contenteniment des diffici-: .Ah, a Tante Ch6rie, case comprend bien je n'achte: les. C'est l ixir et la qui- M es Cr8pes de chine Unis et imprim&, mes r s
essence, '::est 'onguent pre Bamboo et autres soleries, mes organdys gauttr,
Cibaeux .me s . .bas et lingeries ains que mes diMfretes Lo.
A.prslalect echaque."~tns, Eau de Cologne, Poudre, etc, que chez :
conte, nous avons 4erit nos r- ANTON I.SABA & Co.
flexions quoe: nous: publierons ::.Maman, puisque ma cousine a conquis la l1eaut* par an fur et W measure. see toildttes achetts des e es de Pas de la mason
Tous nos compliments A M. :: ANTON I. SABA & Co., a ions done faire nos emplettes
Vic tor Mangones. ebe Su& n ' habllant de Tissa Saa on we rendche, et
sturement le SAkakeur me sourira.
S J. LAMBERT. .Ma fl.lh e Cri, a, e'est un ide. P-isu' est un p
tard, 4tus depe~ndrons do bpnre hours domain, voir;Tes* ;dhss \- MA'ppa de Ikiease do Anten.~ Scaba & A7. n'rpie?
4!. W --v . r . . I. a e.: . :. : :"::"::" :. . .d o - 0 " " . .: h u e" . . . dt. n o.' .W e.i.:"I s: is ' . .

/ St ~~powe eseas it es sg ouio soiv~p cos 6art. C lain. t s ote te.
-.� Inst ip Tnehsr Jotez tn cou~p dsil cheat &,C I
deea exclt
~^yz.,.aeatowedlfft . A0 4 If&.
. . . . . . .iii;ii~ii~i~i~ii~~ !~: i ::: fe Ilea. . . i e : < : . . ; ::;
t! :!!!! !!!;i~iiiiii!iiiili i iii~l!, ,, i: :i:ii ::i:! :: ! i i i : :! ,: : i: ,i~ ii:::: ::: ::
1C w I&:> i: :' '!''i'ii' ; ;? ;/ ; ? J 7 :/ 4 ? -,:/,: :: �: :::/ !:::, �:�F;?i(:;::i ::: # :: !::!: i; ��: /

: : ': ; .::!:::;: :: ; : ;;;:; ; ;; : ; :; ; ;; ; ; :: : ;: :: :/:::::: :: :; : : : : : ;::i::!i::i:::(: :~ije t ii ,!!i:!:::::: u e sii:ii~ii ii:i;


I . - :i ::i I iiiii::i :-iiii i -iii -i i: i::: i
: ::::::::::::::I .-::::::::::::: :.:. ? :


LtL-


7/


EN &AITI, COMME PARTOUT A IL L
. . . . . : : ' :': : i : i :. . . . . .i ii

PNEBUS EGENFRAL O:INT CONQUIS L ES DUNZ SECURITY INCOMPARA CONFORT VRAIMENT SUPEIIUR. LES VOITURES OU CAMIONS EQUIP "GENERA L >DU RENT -PLUS kONG ESSA YEZ LES GENERAL ET ::VOU TEREZ, GRACE A LEUR BAS PRIXt:, LE RITE, LEUR CONFORT ET LEURI: SCUA


Haitian Motors


S: A
. . . . . .


Dit~ributeurs,


Phone 2379.
- - - - - *4-d4.4%-4w'. *-. . S � #.1S


Tai- e

Biles Occasion sp1
Venez

L e c

Rue COu Les' Articles a&moil


our. la.Fintd
voir enez ~s than
b, NoA73 1i6 . .px:7 ie pr)x .


Soisette americaine de G. de 15 a 10 Gdes.I 1.25 A 1.00. Drill fantals
Foulardine sup-rieure, 2.50 i 1.7.
1.50. , Khaki: jaue s
Toile de laine de .2.00 A 100. 2.00.
fOrgandi a mitre 1.50 a- 1.00. Toile Sup. I iRatine de 1.50 A 1.00. chemises hom Divorce amricain, grande 2.00.
alrgeur de 1.25 A 70 ets. Sa A mains:
N ppes frangaises de 5.00 a de '7.50i 4e0
So Simlicouleu
� . . . . C ra a . . .
Damass6 A Feur pour Ma- 1.25.
telas de 4.00 It 3.00. Cravates Jers
Bazin pour costumes en, 2.50.
fants, de 2 .50 a 1.50. Cravates ROp
Voile A fleurs de 1.00 a 0,6 : de 2.00 A 1.50:
cts. Cravates Pot.
Voile couleur A barres de ::2.:00.
sole, de 1.50 1 1.00. Cravates pou .s.
Tapis de table .Sup& i00.50 et.:
rieur de 250 A 1.75. Ceinture# a 24
Drill couleur pour infants CheiseS ln ii
. . . . : - - " - : -:- : . .: :t i:: : ! !!::.!i! !!:i:! :!.i~i:- .-;:. -: :5 : : :: i :: ::. . > :f
de 2.00 a 1.25. me200
Drill tussor A barres de 250 Chemiath6tt
- ,1.50.2 .0 - .
Drill tuassor double largeur, ' Chemises i
. . .V. . . .W. .



LIQUEURS, SI OS BAY. R., . Tews produdts dlat metiear qalw GROS:~ AIL
etSudrNttatdulor.e.
WON ONTAINJO


.:.:.:.













Zu , leto a an. . 1985- et 8181
(148 steaflrl an4 e e hmr

AQMAQ' ~ Z6M ~ A
) ,- le 4 t)$. 94 e9Die.
agentura, ole 11 ne.,t 1984. le 17 De.
l, l 18Die, 1984, le23 Die4, aui, le 24 fme., 1934,. 1 4
kubai, Ie 2 Jan., 1985, 1e 7 Jan. ventura, te 8 J4an., L
le 15 Jan., 1l a ht
ll, 1e 22 Jan., 1935, ) e 28 JaRn
, le 29 Jan., 1935, 'le 3Sdv
nektra, le 5 F~v., 1980, le 11 Flv.,
le 13 F4v., 1985, Je 1$ Fwv.
'L,A I e19JAv. , e 25 v
veniura, le Mai'se12 as'
,l 12 Mars 193$, le 17 Mars, quiL, 1e 19 MarsJ19 i .ie 25 Mars, ba, Le 26 Mars 1935 l J 31 Mars,
ixA kAILOAD STEAMSHIP LINK,


e.-.


d




La LA 1984 .*-0


1985
1935


4* 4 ' 1
-. " .", : . 4 . - -. , * : :. . - - . - i. t "4" .
I,,,;,,


r


4-' ,,,,,


. en auer
. A t At

1587 ae Lamarre1 MAO"p a ll,
IM Adasissins daBACCALAUBBATS
.




Iitsemest dblt the k a Ipie ,w
e mtthode d'ehstigheminent, & so bone et large orion. Pensionnat incomparable, Pension pour & 5h 12, Cors elasskmue 6ra1, ns pa u K- Coors de St~no-Daclto eM aI
Allemand, Pr6paraionAEcole de Gn
eiablissement garantit tous secours et forms d ,m .for et eosienttOM P, A.s ourfn


d.


54W


LE TOUR DU MONDE
II n'est pas nesisoire dtre rich ur safisfoire ts gotos pvr e oyge. eOs decondltion r '*ens peuvent '.
mpindres d&p6ts; grace 6 n 1rtkmt coma pe, ontt falta de const+tr u n e r&erve intirensnto, r6betsable av beson,


~-rt C-''~


.i., tt +)


BAN Q U E R 0 YA


DLi


4, 1


CA NADA


.441 .%.11 � . . , - . i .lM-O.


noed7Haiti occupe dans P&conomie national
VOus ima g:i9osqu4e est un bastim avane. contre le ch6maige qu i'tMedt d~ f-. tg0n alarrhaute?
Avez-vous P 4cuIP que les. Domuze MUle*Gourdes deson 1er Gros Lot representent le prix d'un pig~6n asur rue? Savez-vou4 que Deux Cents pvres ou soutiens ile -familhe gagnent leur vib a vendre ses Billets?
Qua huit familUe__ du Personnel dipendent11$esont siort?, Qu'elle rpartief es sub'sides mensuels aux Oeuvres suivantes: Crche .de, Port-au.Prince. Dame z d&StvFranols de Sales, Port-au-Prince, Pupile de St-Antoine, Port-auPrince, Association Corps En eignantla -RrmiPnee- So-.
ci4te Histoire et Giographie d'Haiti, Port-au-Prince, Mutua.te Scolaire du Bel-Air.

P fkw efSiloem
SCa Haitien Ecoe des
F rss a14 tIMrid oir&rti r,%e. C m-itin ,Oeuvres P .issite :dpzla 'Cure de Sisan eetattae Petit-Gotvede
Que six cantwnes scolaires fonetionnent, a Port-ayqPrin4e, snr ;on compte: qu'i ces


I . .4.


cantines deux bouches y trouvent nement tin repas rkconfor :t quo bien des fanjilev nes peasuvres y rvoient, ;~ ~ 1-r.-.4e+ .111':
crterment, chercher llje nMMriture?
Qufune :septiterne cantin entretene: aux Cayes
Avez vous pens# aussi q Ie paie un Service de Put th, un Service doe' Reclam Series do Propagande: tant d'entreprises haitie i Ia marche desquelles contribute?
Dpouillez-vous de tou prit de.parti-pris et vous, prend rez qu'elle const une force et un prestige tional.
GrAce a tout cela, pour ne lui accordez-vous pa preference sutir les loterie tiques? Surtout que pas u ses coupons no se vend::., d'Haiti. Elle se heurte, leuris, au m6pris syst& quement organise. Notr guetft pat riotique ne n0fs mande-t-il pas de faire I1 me geste en sa favour?
Hait jens et Etrangers ayons utine pens6e du pour )a Laterie NifI d71siti.


MXlecey GOTUR(


Directeur


r -2C%--Y '., ~ U~a zsF


Pour le-iioisde 0 04
reseti ellie+



Grand Rabai de soxante paur cent

tigd rttrr i tOur les proprietaires de voitu
-thrysde>, Soto, Plymouth,de me ttre neuf leur voit pour les f6tes de tin d'ann6e, ia maison FRANC(K J. MA 'IN accepte a faire une diminution lde cit) o i le p ties aies et radiateur des sus Pits imod es.

of .ibpa Que la naison vend

Pikes de rechange de routes sortes pour VoiureS ('hr ler - De Soto - Plymouth et pour camionzs Fargo - In ,r( iplfpevA ileavyDuty> Fisk pour camions u-t al Peitdtyre pmour au o <>. Toie Capole ( ,e4 et diire). 4vertisque electrique (kaxur). Si in
ph t & aeessoi divers.


FRA VCK J. MA RT7'IN


. I es PaJa eet Magasin de 'Etal.





' T-T'bE MONDE SE- DIRIGE VERS LtO)TEL

r ? .1 ,-*. PALACKPOURQUOI?.

La raison en est bien simple: Des mrdIlicieusk i un' prix raisonnable, De la bi6re giratuite a chaque repas, D-egtlaces -wquises' et assorties. SSre a ia pressio, bian geeeQ et proprement servie, Sa iwiches a n'importe qu~ e heure. Rad-io-Phonographe
- Tsbtec e biladM"


Tout ee qui peut procurer une soiir6e agr6able.
:- -- LA - C EHATE


*1* 4
V,-v.


. . . . . ._ . . . . . . . . . . . . . - . .:.,:. :: .: : :: :
At



. . . . . . :. i -i. . i.i .:. i.-. .). "::!!: .?
. .d.de.P. op.f.e

. .- .-.-. .:::.+ :.i~ !i.:i:
. .:. :
ft I #W

. . . . . . �: . > - : : : . . I :i :: i

. . . . . . . .
I�at des Makedk s.:. Certtaxines maladIe Snt
g i geU.ase$J lle que la petite 4 ,
0role, la fl.vre aue , l a pk.et I l aecho6ra, etc.? apparamentW
t~o toi at :
, subitoent dansts pp
tit@ tios a aspvopaent~ vitt. dftU test plBr centaines qzi ratt ,t!n compter - quelrefVl - ,l
oais mortahit& qudeste es ccasio dina nrentdhdu to* Al a Um ,
flhr uxJ tendent *leoarhas e eat ges, es, r iervcu psaltatite
ainaV que leSt aiftrs Me:wvic< u es- pub ie eMtr d#bord4 .t bbe- tr u vivnnet cw pde tiun rie. C, Itomment expligerau- spontaneit# de ler eklio a nnes la rapidit& dk Jour dwop el e m ont!. Comment le o . at
m de !es: aladis: outh %W-7 q~e
tre, arrder enit propagation
rn. eieux encore conEtt les COMr- "prenir, les emp ber die titue produire m 11t y a personnel, na- aujourdhui, parmi lsn p sies conscients et organdsmtr
quoi qui ne sache A qul'oien tenir s Ia au sujet de ces questions eotexo rants d'hygie publique. n de Ces maladws pidmiques
hors viennent- en gendral di de al- hors. C'est pourqui I'Etat 6mati- tablit sur les frontires de ter





i-pahudisme, le pilt) a dpwoeor- re et de mer et sur les charp cor- datterrissage des avions, des mE-. services rnulier s dermtlIe
sanity air.s
amhi, Mais d'autres maladieweeCbW eOi tagiouses, talls quo a tuberr lose, la fibvre tyuphoide, e paludisme, le pian1 la dysenterie, la lpre sentt encre puga redoutables, prtee quo eour UE.' ciosion no se tfat pas de Moi
en loin et avec fracas, mis . chaque jour, sans arr&, siw
eieusemernt, g'agnant de proe"" he en proche, comme uneth
che d'huile, tout-es les couehM&
d.os Is socld4s, dora ls mei$bres sont peu i peu frappbs do mort ou de di&char.ce physque et mentale. (>s-+. der.il+re4; maladies e nraeirn*ee dan To


serin do notre ptpl mrt rit en danger la vita.lite mome ide t Ia race.
11 faut apprendre 4 connaies tre leurs causes et leuri efure lfets. lwur. mode .4'clbsion ct LR- d'extensionl les mayer; indirix viduels .,tationatx. .--, tnujours couteux - propreS a nous en_ . pl-nseet Q v.t i ,s
combattre.
La diffusion de,. -cti o ys- d'hygine dans les 6eles. et. t. les Tnassos populaires -st i
S devoir social de la plus haug, to importi'nce sUr !eu et iL i convient dattirer fortemen{ 'attention des famillo, des corps eonsttitu6s et de% Org atnisations ;ducationnells.


TRINTURERIE
MODERNS


Tout enencourageant une initiative tr&smtritalie, vous. ferez une bonne affaire o~ co-m fiant vos commands 'IOovrotr des Dames de A*q tion de St. rantos ci 8!ke.
A la -Teltimrie MAodsrAce tout est remis ? nuf, tisUS ou vtements usages en menme tem s que nettoyag h see, remallage.,
passage. dtgralssa e et lrTravaux de Y toyornes tous
nre, pour endeaux de finm dann&. .;:
Prot4 Cie& t e itat
tris avanta euses.
S'adre k Mm. Whitew . .Can ' . us L,: fl.-: " . i
1 P::.
. . u o : ' , , i


:!.!':'


. ". :x+-:.
+ .2: > -


A-wrl


Af


VAi~.













',:i:::: :,.% i,/. ::i: '


tfll 914<, A1AAtW 1 V41V441 411& rv611s iineale ulab es riches .ses de note soi.l, 11 ree 'amtesb matires premires qu neua mtallure rbe ame,
.fe pays a ndustri in teisive Wtels que les EtatsUnis; le Japon, %P'A ngl'eterre. Lemintent est 'ven u dO pousser notr e activit dans cette direction.
Mais, j'y songe, pour rali ser' corenablement ces des sns et en fare profiter la riassee neotre peupple, avonsnot 4les' ouivriers dresses, les condtteurs de travaux PU hes;les malecoamies, les agro nomyes pi'atiques, 1e haut 6tatmiajor teclchnique - tous agents conscents oin mconscients de cotte transformation social n6cessaire an sait -du Paxs? Hdlas V eest ii1 qu'apparait lecte 1 plIus.an-' goissant di problem-. Nous avons gc nos ressources en des guerres fratricides ou en des entreprises d'u-tilit6 con-i tes table, ncus nous somino", , oc croches I un system de ma'> gnn'cttniewpu }~
ImritznU qie u uts; JC!Uw'
yea�s deC notions 110 Vnpol>.it [Je 1(> t,0% lODS (1nconipat avee les exigences de a 1i moderne et voici quau -n� -. NIllet nU E.US U I'S .-.1



d ue d(I~-~ISI duSQ e

man p 110 efS 11gn -' i nn. Les scntions e e iitf10o Ph US luL \'r P K



(ap s en i"ei 1 farie.a 1 n

)etiStr i C n e 1ut 02
1 de s. idlt I ai.l ;I e man The PpCbS I, e)once> N' " neo ILes ntw( s t~:nv~i -:::? paS~ ( 5 un your" et nu: v ,

gi~oti (d e f)Ie l1I' " '. K" it in ne . ,11C e ~I t c CTh) ' t .

rnombri. 11 faut vivpe, i fhu: d6'6ce agi r.

." (A suirre)


'A

L'ordonnance par excellence
a: suivre au coucher du solei
. . . . . . ."
Au coucher diu soleil, aprs une joam& do travail assidu on d'exercice violent, Pordon.
naMce la ph.u ref raichissante .et u.n gand verre de White Horse Whiiky Peanu de
soda frappe."
Le White Horse Whisky supprime la fatigue et ressuscite Pnergie. ianguissante. Se qua, it&s r6paratrices et sa valeur digestive ony bien connues der, sportsmen dan son pays
d'oriIite i~nsi qu'h V&tranger.
,low
Isp" O S


4 '- - ------ ----MOBL!NO#LI


' UT
p t it e . . .

C At e. endea:': iddal._. .- . .
I I, R =- , ) :. . . . . . . . . . . . . .





IZ

at



' RuewCourb etlE&duM Matn41e8lst

ACHAT IYSCAILLES DV CARE. VIEILW MANTS. PERLJES ET ?IERRES PRECIEUSE. LES PIECES ARGENT ET OR, MONNAIE I
. . . . . . . . . . .





� i . . i " " : . . . .: . . .�.�.
- . . . - . : . . . . . .


. . CAsET

TES NATIONALITES, A DES ETPRI.X AB
. . N.
IAVANTAGEIJX.

MOW- . 0.v ".4. -. 4- - - - -,�.


-'44


Mardi a 4 heures -


.


TO


4444'4 V11'' -L-4
Ta! i L t EUCALYP'WL '&'
- 4 . R^TCO PARFAITE
:1 BR o' NCMITES. ENROUEMEN
. . CTON S DES POUMONS
-. , . .:% 4' . ' .-. . . .r.rs 'w zv__


8 here 1P


Mercredi


4eudi
Andr6 Roanne


avec Dolly Davis


Vendred


dans un grand film


4'45
4*'


� p . .:.


iSU COUp


Zntr6e {


Entrd e0.50


44'


VICTOR FRA NCEN
parlant
LA FIN DU MONDE
iEntr6e 100.


:&:-c ? . ;;: : s'' :." - 4-s - �


LES VOJES 'NIQ '(S


LIS RS


.Hier soir, sans e sang froid
d'un chauffeur qui descendait lAvenue Ducoste on aurait eu i.pd6plorer un tres grave ac-, cident. Comme on le sait, cet-tVo'ie unique estextrmement.etroite,c est a pemine si une se iule.auto peut y passer facile6inent. Cependant utin h abitant.du -quartier a eu Iimprudence de stationner sa machnea-.ur endroit ou jouaient des enfants. L'auto qui descendait d4t forcment prendre sa gauche juste au moMentm. ou.en. face de celle stationnoe sortait .Iune dame. Celle-ci fatvidemment heurt&e.
I "importe done que Pon fasso 44~nnse de garer une mac.i. fp. dans ette vole dangereuse.et .dan.s toutescelles qui


''A
sojtuniques.



ON DEMANPE 4

.Onaeinde &t acheter'un
manipulateur de T. S. F.
.'adreser' a Blureau dua
J ial- 4.
=============== .===.===. . .:.::. :::.:.# :;: : .:: :.:. . . . . ::.<. .
� "4. : 4 : 4.: 4 4:.- .- 4 4 .4. : i: :.i: :::. ::::; : .::� ' ::. .: . : : . .

:- --.:!ii :::! !:: i :4} :.:: - . . .-:-.i::iiii @ :~~ :iii :.:4:i: ::i!:i ~ :: -i. :. :?::i


'4%
(.- :: .p., .r.:. 4
.'4 "4 4:" 4.44-- -. , .:
'4 4 _: i: ? . .' 44 4
"'4,. 4 ' ,0~ .4 -. 444 :. -!.


Elet. .!


na


OUIS OFFRE POUR SUPPORTtR LES FORTES CHA-


tLEURS DE CETTE ANNEKNOUS


4


PROCURANT.


. ' . .


'nP-PAGNIk MET SES VENTIL
) E TOUTED LES BOURSES

. ?ITES DE PAVEMENT,


NOTRE SALLE


SrsEX P


ATEJJRS A ET ACCOR.



0�S : / : . :: . . i

. . . . . . . . .
-' . .'A :. . � . : . . . . . . . . . . . . : . . . . .
& T I O N. :.:: � ."::.i." ?.i.:.:::!. : ;i( .ii7 :~~


ELECTriqu8#


CAt4AITIqN


SOUS LE SOLEIL MAROCA IA
Entr.e 1.0 0.


L AIGLONN E.


Entree Oi


LE FAUTEUIL 47


.DOIVENT ETRE


TOUJOURS


S/iales


. . . . . . . .


S ' SEICEZ CONVAINCUS.

. -.4 -. :4 . . - . :
SCOM PA GNIW D'kCLAIAGE

PORK - RINOR so. : u :'':


Hai


I


i


dA


;x. :6;


''"'


I V.
H I SKY


que la


'Eclaira e

- .a- r----.44.

"t Aw- A a am w a n% a woomma0punow ns1#
- , . j . _ . . . . . . . . . . . . . . . . . .w.4. .).m. .
R . . . U " I.



i - : ' . . . . . .


8 *8 t K


ANDI'
:.::[!i::. W:.' 7. .".:. r: n .


: . "7 " i" Y i 7 " . . . . .
24 . . D ECE BR. 93. 4 . .
. .,. . .- .
24 DERCM1%RE 19M4


a.ta.n.nam u .en.a., , w e e s tr

No 13479
. . . . . . . . . . .i
. .". . . . . .; .
. . . . . . . . . . . . . . . . "' "'
.== = : : : : : : : : : : : : : : : : : : : - : . : . : . : :.: -


79 de. la Consti

dbrant que, par suite ion de Messieurs tires d'Etat, iy a urvoir a la nominadurs remplaqants.

ARRETE.

er.- Le citoyen Jous est nomm6 Secr& EZtat de tInt6rieur et 40ie; ien Yreek Chitelain, est nomm6 Secretai.t des Finances et du
iyen Lucien Hibbert me Secttaire d'Etat tions Exttrieures et
tesen FIesmin EtienODmm6 Secrtaire ETravaux Publics; oyeven L&o Liautaud m4 Secrtaire d'Etat uection Puhlique, de ture n tu Travail. Z-Le prsent Arrte abthe au Moniteur. Mau Palais National, mbre 1934,an 131tme Wndance.


xx <


le Cabinet est eonsS.tne semaine d'hyS. plus ou mains int.t fixte sur les choix ens appelts & asu.le ('Chef de Etal laa eponsabilitt de diriatin"es de la Rtpu:eux qula ont eu, aee t de la rie nattonale, tUx honneur d'ftre Sour continue Fehdt Programme de re 0:cnomique et finanap que Monsieur le SVincent poursuit Vide courage, de perpe ret de patriotisntc, i-anciens collabora il a dija appredee SI'inlelligence, le di et tle sacoir faire. dress, nous roulons
*rer, (trnt des pabus des nicessits Wsta, uront, avec une
*prthension des beSpeuple, se mettre au ma Pays, qui, d&e auI les ye fixessur end d'eux le maxidisf action. Itnouvelle ann e qui Scommencer, souar notre Patrie si mal e diu fait Is tira rleintrigues tie oI'Ere des gr ea usable Rcs

tlgouvernants
nous alo, ts
e pme d e.1 ae, donnemr
itnal pour. Vll
S i ti::e n frC: .

Sr,-4,4, ~t


_ � : . , . . . . . . . . . . . . . . . . . . ._. . .
. . . . . . . . . . .

. . . .!.


Plusieturs de nos confreres out rpandu ici la rumeur d'un attentat eontre Hitler. Nous nous plaisons a remarquer parmi eux certains organes qui nous avaient reproche d'avoir rapport, (quoiqu'avec toutes les reserves neeessaires), les bruits d'un attentat centre le Prsident Trujillo, publi4s par un confr-re cubain.
Comme aucun de ces confreres, si pointilleux en ce qui concerne les informations des autres (ce qui n empeche pas pertains de les copier servlement au besoinm niu.rfi de renseignements detaill s sur le pritendu attentat, malgri6 tout le temps que nous leur avons laisse a dessein pour Ie faire, nous allons y obvier.
La nouvelle de eet attentat a 4te public pour la premiere fois par un journal de Linz (Autriche), le Vuiia ce que nous savons (iu prtendu a ,tentat, e qu a$cun journal haitien n'a crit avant nous.


dent Vincent a con cit se' zIoureatux claborateurs. Cette tdehe leur est d'autant plus difficile qu'ils sucetdent a des citogens lmonorables, dont on est oblig de saluer le depart du Minist&re avee unie profonde ,ympahie.


3:NI S 1. ME. Pi .
La goAlette ta moteur Nan
: . . . :.x . .:. :" " . . . . :.:. :: ." 1
nette , a; P. :miseconepietement hors de sevice A a suite d'une expos iwsene en pleine mer. Elle revenit du 'Sud avece un fort chargement de caf, trente six personnes equipage comprise.
Selon nos. informatios, ce et que miraculeusdnent que les passagers o tIa vie sauve. GrAce a une habi manceuvre, 1e capitaine a pu 6chouer le bateau. en flammes, au carnage de Petit4(&ive. SEt les passagers, dans tn etali piteux, out pu gagner la:ville. A leur arrivee, les authorities locales et la population Se sont empressees de les assister,
Parmi les passagrs .nous
e'.- ; gr4- .s

citm;ron notre charmant ami, M. Arthur D. A-llen et M'adame, Mile. Jeannette Pierre. Madame Lue Malebranche. ,a femme du Magistrat Communal de Corail et deux enfans en has fie etc., etc.
I v a de nombreux bless&s. Le passazers oat tout perNou.s d.plorons amovement ee: aceent qu,"i pnive notre petit sabotage dune voie de emnunl''i(~ On q i 'endait de v-bels services.
LUn etnseil: i v , intei'ct pour lea'fnnateus 1adopte'" les Dieslis laur bord, parce que ces rlachcines brulent une hu0e ourde oti est inflan&n be. Les dangers dincen s et. .totalemenrt eIimines.
Par exempie, il y a actueilenment le voillier <<(St Jojeph qui a pour port d'attache Baii e
net. son proprietaire M. Paul J.Laguevre. Cehui-ei l'a pourvu d'un Super-DieLsel S--I4 P. 11i Aile euf neuds ia lI'houre. L'installation a ot5 rdalise par des ouvriers haitens, sous Ila direction de M. Marcel Assad, technicien au Service do l'Enseignement Professionnel. Nous avons visited ia ibe!le installation du -

I;


- -- 4-A -


N


DECES


Nous apprenons avec peine Ic dc& s deO
Fernand Dorans,
d -ieco midi.
ueCuc At CO 1111d1 Lenterrement aura lieu dema apres-midi, ct la chapelle adventiste du Bas Peu de Chose
Nous presentons nos bien sinc&res condoIances a la famille, et en particulier i Padministrateur de < 4 -


RECLAMEZ VOTE NUMERO DE NOEL


- Oi don transportez-vous t b. ch? sa beatmre.
- t- . i atir viant.


Nos abonin6s sont pribs de r6clamer, en meme temps que L Nouvelliste du jour, notre Numdro Sp6cida de No.

S- s p Da
Contrad14- W W O.


Ri .ponse d M. Prike Mars

air ke No. de Verndrtedi)
N" ""

ut par des products de proxvenan(Crle nouvele et este bien
1e moins qfue nous oflrirous les ntres en echante. iLe prin
cipal dientre eux, e cafe est pen connui stur les marehe d'Extrelme Orient obi Ie th6 lui est substitue. Si Ie Br6sil nous devance probablement plans Futilisation de ces nouveaux debouches, nous pourrons toujours rem plir ici se mime rd~le que nous remplisons ?a ce
point de rue en Europe. Je veux ire que notre cafe^ servira a amehliorer. les pieces (I aute. pays. Pour v obtenir queIques succes, nous n auruns "ua employer les nermes n6thodes de propagande et de reclame dont nos grands voisiS. ,es Etatts-lUnis_ de IVAmnei(ue du. Nord nous offrent los mode(es accomp is. J ai .rle tu caf( et j'en profite ]pour at irer Iuttention . encore une fois et apres tant d'autes . surI le dangerr de la monocutue. ,Je n'insiste pas, tant convainen de rallheri-" i unouInIite de 1 opinion publi one Idess. Di ilours I .,n 't lte de notre ,ol~ < t i d reu. tiers ont encore en 'iche on ovr i'a ue
cult l ,. nous donne 'oe ~it '1'nviu-a.ler ]'aveni " r a i.: cot '
p It.;<-. .o i i
a eri . I e ichesse, ii
. . m tt e ] I c .,ton en preDaihles econmnist'es signatn a envi q,, la production c ;nnr'e 1>me'u:aine ne suf1fittptu a1 In consomm-iation mI o(. lit) et t . p n t , Ion . ipoe.m.out.e on.: violente dles pay.
la(fricains amenant des population; _ritmit ves: 5 la vie
, . " . ,. - () i\9 plus oxn s einuse n
peut -.u ae4: ce nument. Jentends Ien que (1.' notables el:npise.a de ilanta t ions cotomniCVS ont lainenta


blment ,eeou. Cola provient "rn hImbah!emwent A'tune acclimation incompite du eo. ouonier am ricain sur notre sol ou de la destruction de ]a plante par queue parasite. Car les especes mdignes . inferiene ; . uant :ux quallte- de leurs fibres . sont con.nues pour le 11esistance et lemur facilit6e dentretien. En tout cas, ces ech.ecs ne doivent point d'ecourager nos agriculteurs. 11 est urgent au Scontraire que le gouvernement en fasse 6tudier au plut.t les causes afin de preconiser les moyens d'en 6viter le retour. C'est bien le moins que le Departement de ltAgriculture justifle une fois sa reason d etre.
Mais ii ne suffit pas de varier nos prodluits ii faut en intensifier la culture. Ni Cuba, ni la Dornminicanie n'ont attendu Ia menace du dehors

(voir suite en 6page)


. . . . . . . . . . . .< . . . . . . � . � . . . .: _ . ;

.r .-. Lt-.
(. oi leNne a.rn . .Led4u.V rur fi,6be 4," ":t ITfl . (Voir tNo. te Surndi)


A cWt dies torts qu'on peu reprocher au Gouvernement de Jn, Pierre Boyer, il y a aus si nombre do mesures venue de son Gouvernement ui le mettaient it alepoque dline uin rang superieur a celu de certain autres qui se partageaient les Am6riquc&. Boyer, est-il le soul qui a vouly une forme partriarchale A la R6publique d'Haiti? Cette te hantise est national. Toun nos Gouvernemrents, sur et point, du premier au dernier, out cuncourru A ila mort de Opinion; ils ont tous cr6 la forme, cadaverique actuelle. L'absolutisme des Chefs, Ia terreur comme moyens d'administration ont tu# le eitoyen., La nation elle-m6me devient inconsciente, ce qui est malheureusemnient constat6e dans toutes les couches soeiales, Ia pretendue lite comme la masse. Quant aux Gouvernements qui ont sucel& i celui de Jn. Pierre Boyer, Rivibre Hrard, Philippe Guerrier, Louis Pierrot et Jn. Baptiste Richt, -- peut-on r6ellement enumerer les calamitks que ces Chefs d'Etat ont provoqubes. Peut-on, avec de6cence, donner une part de responsabilit6 A ces inconscients? Parmi les hommes qui dirgeaient les bvnements de 1843, Fable Geffrard est le seul qu comprenait les ncessites du pays. Geffrard ftait done le seul revolutionnaire, parce que, devenu president, il sut se conduire en home d'Etat. Si un silence complete dolt regner sur les successeurs de Boyer, les 6claira, les politiciens pedants et pretentieux de lpoque peuvent repondre a I'histoire de. leurs fautes multiples, des cal itis qu'ils ont provoquies le pays. Leurs influences nt &t pernitieuses. Haiti subit encore les consequences de
leur 1~geret6. Quand its seront questions sur leurs missions respectives et leur influences, leur rle sera blamable: Is out purement transmis at leurs fils un h6ritage de mauvais aloi. L'Elite d'aujourd'hui et lite dliler
commettent les mdmes actes, x se servent des emes moyens pour d6molir et jouir. Dans


cette courte excursion que nous faisons 5 travers la priode de 1844 a,1859, un mot bienveillant doit 4tre plac eon faveur de Faustin Soulouque, malgre le flot de sang qui a arrose nwtre pays. Soulouque a maintenu le pays dans un sen timent eIev&. Soulouque cornme Boyer ont 6t6 jaltoux. Dans leurs moindres actes, its vou laent une Haiti triomphante de tout. Ils voulaient aussi I'aisance dans le pouple: I1s 6taient patriotes, on gardant le Pouvoir.
LAVENTURE, u.
. (a) . tf or


. . .: .:. : . . .


-. . . . . . . . . .L~~d~da ~


k*m








rpidet ns ertn arnvera e toScourp 6heel e~"A cAii- al C.E. le mereredi 26 D& que mnite, c:est un- pe de eemre 1934 et partira le m8- f notrnix p e.sbietretement . pourU' spn NewY k, pregnant frt senfaisons vers I ltvi'.be tom- leient.'. b et pourtant nous ass&s- xT N
t-.i-lik& #bl A . .- -' ^r E" TIN- " No1160


� : . .


poil - VerA J.le gouffie" de, }' Adresse, Bois-Verna en face ntrt.- aptwns -imnA6rtalit Ed4, Esteve.
en i.aissalt aprevnous nnoM. Telephone 3773. grand et, . put

., ,.- - -.
O LO AI


. - ._ . . s . d .
.*Q I ,st4 dest btt._:u .i- Le Vapeur PAST ORES
te-:qiftA iootr frt :entre Voyv. 35 N. B partira de Ne w te 28 e emte Prohaiet t a&Varit York le 20 Decembre 19:4 di------19 ". . -. : t rectement pour Portau-Prin
ys .kyet-t . ,c ce o i est attend lu. le 24 De.m":sh- t. er eehibre 1934, en route le .me.tfplt . . . &Me jour a 4 hrs. P. pouri
.t.-. &. -. .fM ,ar$ Kingston Ja., ,Puirto Colon,.
� . .C .b .Crta na et Cristoba, . . . f la.riwrz. prenant fr&, passagers, et
I -kAwn:
. e. Vapeur Haiti. Vo" 35'
-h. N. . deo. retoui des ports Co-,
n-h - Mar lonibtens, de6 Critbl CJ e,,
.a- 4i . a Port.au-Prince le 27 DecemSo1) Ubre i9a4 ets tdite le mnie
� . . . � . . .: .: .- : ::: . + . :. .- . .:- . . . . . . 7 . . . o e . .
.e .our. ,hs, P. M poor New . unseo 2'o~oo or, itnt �atpassagers
4~#4ril3 A
hod W.f EBLEOS,
. . - - - - - .
++i: i: :: :+ .:+ :;::. : :i:! :::i:::; :: :+=. . . o . ': :.i!: :+ +!:1:.::.:.i: +++ +.S ": :::.::; i :+ i~i:: r . : ; :: -::-.:::.:i ::i. 7 ." " -'-.


1 A.


'*4 t~v~
- '.1


Nol


Etul alumif
. . . . . . . . . . . . . . .


'*4q gi g# :A.t AM . #r.


. .
hitfeif' Par cause deoraration, e
Fi g viutor- IL tANCON> sera ici le

noise dde. m6m t pour emnbre 41984 1a - lieuede -Dicoeid . Yee -cin parcou- nancld itcti184I
rW ouvelle
pitqwaes aaoia i sui- ZA IL &'vM l *;K
. .1 -"- w v A N
yr e.
Le Roindre coup d'aceil rf- gnt Ge4n ral
trosdittitjet6m sur ile ,ps.e
nous montre et parfois pre- f- .
sents jusqu' aPhallucination,
nos moments de joie et d'Wamer VINS!
t Ats a~' "+" + r ,AISON A. C. MCGUFFIE
t'99il WmaAmeW.em. q4
htae Wildohfirota t ia syi.erean d, hosvins, riini7ttThzitittrlk! ~~zminite .& tes un -tour a la douvelle M iflat te flThai'! ' .2:: ' an C. ( C. 1cGtiuffie No. 1825 t i-Aertulte:qte laisb~e'e .4- ru. du Magasin 'de BEtat vo&ni d'amis thersperihssur I&e6t . des 10.000 Chapeaux.: a route, ,d'espe tancs.*fau . Vous trouverez les cus de clhEes et d461ans endhkndsU.': Ifordeaux les plus rv6puts Ma, e r:etour surtlepass6 sutirtout la g:rande Marqtie soait 4hgulitranent-in-tile, Se i g red. On' veMd ar barsVA~us P&4,W effoi�4 34 0,;n arbr
si sA!s i 6 4d11 efforgids :d16" riques,. gallons et bonuteilles. d&piste, n s ? dfaillanteslet Prix dtiant toute concurrenle-rrYese''' " ce., A Vtibs-qfous 5tOtLjotuP co,-'
p i-t '11minldnte dignitbde - -- " - . "t.d co ndit tio n d'horMnes? POUR VOTRE SANTE Dams' i conduite d ;notre vie, "
avon-nr6us 'eu -toiujotrs. Si vous souiffrez de 1'appapdlui: bonssole cette ide que' reil di estif, ou si voCus sen-tez si ta taurea est faith portre= une d ilite queleonque dans atider la. terre etobeir a la florganisme ne ratez pas -o oi inp.rativede.sespassioii> casion de vous metre i'euiimme es.t rn'pourvegardev - .age de la Farine aqCUISQUEles-astey 't diepliner ss de YA (uintessence de ia banasirs - ne Trogiodytique) ou banane
Ritn des fois, ue nous somn . Grand Vineent
m-taous pas 6gostment Tre- Madame, n'oubliez pas que frigis a -ns i i inditiditi '- la farinm Quisqueya est ui' meoitrancieebrnme da sa agent actif qui excite Ila c.w.s'
cer? qui votdratrit liguer
les-eergies. canalisbr les c -- -- -- - tivitZs? 1 Nf'avon s-nous pas trop sou LE CENTRE D'ETUDES ve pex)rdu notre- teamps adeg UL'NIVERSITAIRES I
leaturer faciins : et dissoIlav
te', alo qtte " nous auri . Mine. Etienne Bourand. Dipf.rzft ex!employer daps tle ritrtice du Centre d'Etudes co itercek d&eriails-.: qt1 Universitaires, "annonee au fft ho etr'de humanity? public qu'un registre est ou? a-&;f e "vie jusgu'ici TWa vert au local de son Etablispasrt&comform&h la raison, sement, sis au Bois - Verna, A p6tPann e 4ui va C'uvrr, t toute les pbrsonnes qui ve-ii nausdevcois prendrej rsoj lent s'ihscrire soit pour des lutoipr d-n opbrer. th-fiouvel coturs classiques, soit pour des aigritlage-:::Lxstene ;de cours facultatifs (Espagnol. iho~me .doit pid uhe ascdev Anglais, Stinographie, Dacsig ncbbinue vers.Is Beau~t tylographie, Cour de coupe, let]heMa. t- . . . . de diction; de dessin, d'ameuenps passe aSvet 'Pampe- bldmerit,, darts managers; de tuc t d.h euve at iouseem- .solfge,de piano ou de chant


quft s'en Iouer. Legons particuliUres de Let.' tres, de Sciences et de Langues vivantes.
Cours sp6ciaux de SteInoDactylographie" 'et' We Cotitabilikt .
Les inscriptions se -reaivent tous les jours ouvrabes. Pour tons a s rensee. nents, sadresser'an Col yge" Sinon .Bolivar, ; d. 366l
-, I " 't . .4,


HE IN NTINE LUMIERE
. - % . , ; . >. .- . . � .
Spbeifiqu, efficacy Contre les -- leatintaghies,. Ecoul, me-its--Ma]adiea des Reifs. Ibe procfuit pr6seite' 4us iforiie de ragees est facile A pren ;dre.
Ne n6c6ssite aucune pricau_ . a macze
Roy -Rie du Centre. SEthez F.Lavelafiet, Dup s;.Swce. : .
178&RedE a ~ \
Te E7ie lptat

A - ". . st ' ' ++::+: -.:; + " -i5 . .


E NTRPOT


FRIIGORIFIQUR


Noa e.atit ,frgjdes ant 4 & $ceenwpe* isx pofpt
et Ip te* O

ti
tnv it A visiter not A t a inspecter nos .mod&is d , lacieres 'et de suorbeti re ans notre Salle de vente, Consommer de la gleiee. e'er fair doi t'4AnwAm - -


A VIS .
Ce.qirt .perm etl. Pis.#( "es diwEl r ung si grAd tFle. e's que Ato ~ .1.gance afaitCev+'
&crI*W5~


- " , . -- , - -----u ." . - lf1 2

"M AA
: , , . . . . ., . . , . . . . : . , . . . . : . . . ,


*4.41

z.%






Pnnes vwtre pr~p omp abl en oAynn to
Compts do. Qhbque aI atinque 1Kadio a dd
RkItpublhqtedilsqtit
. . . . . . . .
" " " - 'l = . . . . . " . . . " " :: :" !:" -- : " ! ":. .






-W4' 4t't .1 1

4 AIM ,4




COLLEGR wae~tae

MIMQN BOLI VAR 6?r aatite
Etablissement.








d'Easignement Pri7t ?abrictttldr t I ' '44
et Secondoire. meilleur: qiit& " ."
< d / Livraison.rapidset&
InterneteTEternal quctidiennementft par nos O4Tou/es 1es Clases. maionsepeilts qu blane deat de la 12e &cii Philosophie' troutes les direfrial doPo
Rue M1agny, No.1148 auWPrWph ey di P oV
(Petit-Four)IGL IjE.

r Nus .avona toulW&
main les, dernlers mnodb ei d Pr~etde Etde: . Chlsr glacitres en at er h 'partir Je or .25.00 et an-dessus, vynd ment ,au
tnt & f ~ his ave fd df'C
. . . . Lo. . '" ". . . .- �I .' " . - " . . . = .




















Leas glaciiere3: leg. pius e. reg et lealus Geopomiques.r
Le College Simon Boliuar, CRCEMB GLAUA! .ondl4 en Janvtier Z933, a dbj& - UP$ LArIfl2 u vtnyt succm aux examena ."
du Blaccalaureat, chjffre assen Un product somesU ti E earquabe si 1'oph egnsidbre l et deean rie auineheurn es diftncultes de tous ordres' mzrpes deray 4Eidore Rue confronted actuelexnent eu d'Ame4qUe s be t
Euseignement PrivK Ccsu .lC public haitien :&s sont dus au serieux deE- Glace dePort-awuPrice, dt ablissement et &s la comp&. tes qette dIicietthq erbye, 4 fence des pro!fesseurs. %Qus seraesdeVir .
Dans les diff~rentes classes Faites unagr hhe pinr14 a preparation deslives est, se, 4 vote farnille et 3pt obje dun soin tait,de a trane Ga S
Aussi les resultat~ssavdrent. geradives potuirj y desrv ts de plus en plus satisfgI4Tousn rlffolea', . .Iants et Ies parents Wont-il, , �~ t-, ngt iu. .examen.
-,I. Ba c l u .';. t, ch"if. U.i. pr::.uit *touve+ ."



-,e g n m n � r. . 'iv - . - ,. ; .: - " . . .; h. . . ,.,s ~ n du~'a s"rlu" Ga e Pot-ac " "" .

� .-. + . e a, ]ate .e . 6 9 0,
.CM ~ ,- ' 1, * z


: m

gle.des :Ruesdu Cen tr ; L Bnsttn i t mere umel nk
$t .t
. .:: : . + +::+;+i:i+;:!:i+.i:+:+i+ii/


a,; k.


-: Servtn&





Ruba_, paie a. , e, :. c .at,
C4al:w de iJWAS

S:i!: :Grof: it .
Se . 4 . - .:


Rubans, papieral

Fai.e o� .c

'S
ous*aie? yeur N6i, et
Yenez voir~ beaux jo uis
pes ona wages; ,Ame. pees, chevaux aI. etc., etc., etc. iT brication natioS choix de jouets SEtrerns .e nes filleset eaotax t totte


. 4&." -. '
illeS I




CLIENT
-:.1.

titre d'btre

pps $ucg. eM

exe.'ttsivertn+ I

*A
lo es ebvesph


e et .il






Gratteblec
� s ; . . ;:,*,W' :.! : :.:: :;. .'
-a. t


f
e
r
l


t
t



i
s


T















R~w wfl% -" fl " ""IifatonjJ ue W oOkers>* R~mlit- ilu$s0ilm ~tywD te1ste SUOr n1n an a 9 uu n a que#I&n yflvyws a
4 tedamn etex eti 4od est p~resqupe vide. Mais refus4 lear6parations de Porn Sinateur ambritaia Tydings, tif belliqueux d'unl cot on d
flxx> tout Ben rehnt les person- pereur d'Ethitopie Haile Se-s en i:6elamant Pind4pendance Vautre. La frontiere West pa ASINtTON- Depu se atrit&s A la suite du lassie iA occasion do Pincib i tout prixL to S~nateur les a encore dffinitivement dblim
fatr, le Fr~sidenlt 4o- centre Dolifuss, le dent de frontibres dans le- mis en garde contre les 4iffP the, et~ de plus, les rivibrs 4 regoit, souhaits1 eam 'Gouvenent continue A sur 3uel 150 soldats ont 6ti tt2bs cults qui attendent un gou- la reion changent fr&quer e4t visites de Noel a uneo veiller les conspirateurs, et e part et dwautre. Paffaire vernement philip pin ind~pen- ment do course. Les n4gocis cpent-6tre suprieure nta pas suspend~ les raids de enst toujoirs devant la s. D. N. dant qui. do totes fagonIS, no tions du transfert du Chemi
.00par jourenregis- police comments une quinzai Pendant ce terps, des ren pourra &tre organism& avant de for Oriental chino tot
1'annee derniee ne do ours contre' nazis et forts et des mnirtions ne ceS- une annee. chant it leur fin, les fonetion
ARURR OK commrumistes. . ent d4arriver dans Ja Somna- naires japonlais croient qv
OnernationK.d In L'art :OSC0U9 ~ie et 'Erythr~e italiennes.4 DETROIT. to LeNPre Cou- les relations ruxsso-japonaise
4inentonaleosuds deonar MOSOU. 1paitqueosea Une mnissionl beige entraime ghlin, e4l0bre par les ailu- ht russo-mnandchoues W'ont Ja
comose. d sudoi, d nepouantimpiqur ls la-fi#vreasement les troupeo; sions pulitiquts do veos son' mais 6Lb plus amicales quo c~
adais, d'anglais et d'ita- diers opposants Zinoviev et ethiopicnnez, gui son pour- mnus, a acus6 Cous le.< pr& jours-ci. ~, est. au complete, Depuis Karnenev dans Fassassinat 4e vues da canons, de tanks. de sidents amefricains de Wilson arrive, presque~toutes les Kirov, le Gouvernement so- mit raiileuses et dXacroplanes. it Roosevelt dWavoir facilit6 ht i i'ons out arhor6 des insi- vi6tique, contrairement aux zxG L sovidtisation dui Mexique et La AVIS
is nazis, malgr6 P ordire ntouvelles do Varsovie, soecon- SAN PEDRO, Gl :Sur le conquete du pays par .les Unz Nouveau Testmnent's
usel do la S. D. N. tentora de les: dtportor, coam- 4Luiie, Amelia Earhart < xx> me if Pa d4jk. fait pour Trotz- est partie pour Honotulu avec .a eadatuepygp
OS ANGELES. -- Une hy. Mais ii est question de fu- Paeroplane W bord duquel elle TOKIOC-- Bien que los di- possidant pas les l4Wrt E son do placement a regu stiller 7 do leurs partisans ar- co mpte faire le mais prochain tails manquent, les autorrtes criturese yph9b trbs puissante en- retes en rneme temps qu eux. l a traverse du Pacifique do de ilsingking et de Tokio n'ac Stadrrsser A Monsteur 2 pee commne un cadean de xxx V'Est Li i'Onest. cordent pas beaucoup do gra- Alfred Pearce~i rort-detFab
W'est par miracle qu'el- BELGRADE, -Le nou-_fa.t explosion. vau cabinet du Premier Bo x
Txxgo~jub Jevtie a annone~ same- BRUGES.- Un juge etaon-* :ARBIN. -L e changement di son intention d'ouvrir une nce a reyu aujourd'hui un pa-a ours dune riviere menace e&re nouvelle dui parlemnenta- (uet soizneusemnent fiee, provoquer Sin grave acev n me yougosiave. covenant 10 doigts humans
t de frontibres russo-mand FxApres Phorreur des premiers 0
A s foes inandehoueQ BERLIN.-Le GalO Werner Inrtants, is magtrhat se sonsqnvironne un fort soviet& Ycn Blomberft pliold la xint qu'ii avaitidemande &i un ie, an secourts duquel deu Difense du Rech a dement i gad commun~al do Viisselets ont etc envoys en puoliquement Ipour la pemi chen a ni enoyer' los e n- I
;e hate. Des abropianes de ye foi> oue I A.emagne inu print diaitaies d'un nOVC,5 bardemnent rushes ont d5- porte ~embemn;t dies air corprit quo celuni-, pour
V'" o ne m : an atr, vL
_6dun dzanedokiom QN'tws_ )*2( .27V.tiC await tout

















, sans eependant execu-' ministre de Ia D~fense. fl 'Au2 codav.AS
ilbmadmnt i ul precnise etae Voici n pun pui so passe de presentation en lous pay~
d,6 hob remet wit
















xxx m litaire unIVer$e pur 6 Lea grosses sculptures mousires et sailianie de so
:ANAUA. Unesecus.rempace famee de met ier 1)DRS YO>iO aW5o de routemnent, tenant fermercnt ha route, soul des sgmbi
:ANAGUA.-le UneseO sicle-v

















smique d'environ 15 secon actuailk Et quo le SeUVIce (o I f gation japonase a les de drcurit6 de ptes les c7/t ls de l'automobile4
a jet6 la panique en cette travail (e10$ vupcs od'asxmtuat dscuzer avec les an Mtme an cours des arm 't d'adversida qui riennent a
tale, sanis causer de per- peat tuourn it une ar:e do a~~ po~SSibil itO d'un com8- i'deouler, es renties ont deprwse celles de tout autre pnei
Vie. cunscritS RU bS at ifon la 1 nR J n4 n1>5 i _ sop l'a base Cles qutqu'cn id le prix&
i:G : i G I ~ iG~ :G: ; . . 1- 411" L lii B i i :10 ; -ii :!i i;ii!:: : : i: i: : : :::: :i::::: i iifi~ ! :ii: ii: i ~ i ::ii:ii i [ i:!:~ i [: i;:. :lii : i i : : : i i i i= :::: ::::::::i:i:i:i;!i ;:ii: : : : i: ~ :i::ii: :i:i:i: t:ii i
.~~~~3 I _.]. . . .l i.e . . . . i : . :: . . . . "t-: F 111. -: r= ================================== ===============U= ====================== ====== .i, . :: . . . . . . . . .::: : : :: :. :. .:.:.: .::.:. . . :::. .::.:: .:::::::::.: :: ::::
i - .-- .* .: .1. 4k. . . -- . . --- . t g- -0. .14. . . . � .L .e L E . C,___: . . ,* ,-- , . .* : . . . . . . . . . . .
!i: :~i!i !:~iIi~~:: ::i':~ ::%"i;::ii': :::'-: . i:.i~::i.::?::ii.:.:iii.i:: i: : i.?i: .i: .::.i::.::. :: ': [!:iiiil!:i[~il~i:~ii iiii:il~[)i~~[ iii ii!:!iii~~~i~ii iii :i:! ii:~i i::~ . 6 ji]:i]~ii : .~i!~iii~ !! i~ ~iii~~~i.~ i i I~ i: . :.i. - i.:_.:"- .-. .: -. .- i.::.i~iii.ii~:.:
r -:,% :::v~ !::::, :i ::i ::'-:: ':"'sit"e s:,!:ii- .46 - : ::: . ::: :: : ::.::: :::: :: ::::. .::::.:: : :.:::. . :.::::: :. .: : . ::. :: :: :: .:. :.:.J ::.: ;:]:: i ; < % .? ::):: : .:#:: -b e l a :::.ne: ::: .::. Ve .:.f.r 4F 0 S : : .:: n
, g $: . : . ::: .S : :::: :::.::::.s.:,: ::,:-.:. p.il X:: n :.: .::.: .: . e:: e:.: s .:: .::: :.: :: . : ::[ s: :I :: .
iii .: �:: i):" "":::::":':' !i: ! iS ! : ::ii~ e ~i~:. :i!ii iii n ~i-i:. i. .i~i . . .:il .:.i:.--.::.-.: .:.?.- .:ii! --.-.i . -hi: )::i):: *ilil~i!::i :i !. i::i:!:. ! .i:::.::: !:i[})il.i~i i. ! :e !!lil~ii: -~i~~i~~i~~i: ~i~i: -i~~i~~i~~i)i~iiii)::)-i i~~i~i- ~i.: i :i- j- :i:-i:; i~i;: ~i i-i - : p .
. ie:u.t :.:: ::. t r. -. : : s pe r ._k . .::-.-.: . . ::.:.:.:v ut ::::v:- .:.: : :.:::.:.: :: ::::.:; :: : . . : > : : .:-: . , ::v : .- < r < . . : .:. .: ::::: -.::: : :: :. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .: . .O l:t :','",
i -i id e rn'',;;i(. ;: ~:' . ; i ie:re e 7 T . .; . .;. . . .:. .;',;:.;.; :,,: '':.':; : ;; '; :;':'.ii,;::i,;:i : m iu i :;:: ~ i.: iii:!i'::'' .:i .'',' '. '::;iii.'::: ~::: . ;.; :::;:;:;:,;:: : :; ; - - , : ; :: .: ::;: ,;: :.: i. ,:, " : ::' ,' ,
= = = = = == ======== ==================== ==== == ======================================================================= = ====================================4===============s=================== = = ===== =========== = = = = ======*======= ===4_=== = = = = ======= I M T1===== = == = = =========== = =====
:-::-:: :.- : :::::: :: ::/::: .?:i .:. ::.:# ?i::i. : ::::: :: : ::% :.:. / . :i:::" - .: - i:i::.ii)::: :.:.::: 1::.:.: " ? ::::'' " i::::ii :i :ii:::i::::::i :.:i :: :::: .:: ::i :. ;; :.::: ; ,i ::: :.'/ .::: L T. :.i::T 1 11:: . i. :: :u :1 0 :. .::.I -1 : :.:i:L :i :. :,.::e: ::.:.:
-. . r a m ~ t . --.l -:;S : . O S: . . . . n :., , .-. . : .,. . . :,,, ,. . . -ler t . . sa , . le f"n he n . n .
:: : : : : : : : .:::: . ::: :: ::::: . : ::: ::::: ::::::: :::: . . : : : : : : ::::::::::::::::: : : : ,a :: : : :: : : : / : : : ::: :: : :::: ? ::::' ::? : :7 :: . :: : := V : :: : T : . . : : : ] I L : : " : : : :/ : : :: : : :: . . . . . . . . .x: :: : :.
: o e i:::_ ;>?iii}::-:}_::.:::-:i. :.:: ,i.i.:::i - . --:-- -EE==O - - -- -- - - -- : ::=- -- - - :i.:i:[:i::::ii. ~- .i: ~ -~ .:::Ii:i::.i.:. .i:: e 0 MM::::-ii?:iiii:::i. ::}::::::::. ::i .:i:i I :s : eai:!:-:::;)::i: ::: :: :.i.:.:i:. .: . : :. : : ::: :
. .::.: : _:! . : .: . .: !. ! ! ! :::!;.:.:!.:: !::.U::?.:!:.:? ?. !:.K., . . . . . .!. :: .:.: ::!.:! :. : : . .! !. . . . . . : . t . . : : : ! . : . : . ! ! 7 . . ! ! 2 . -. . $ i : . !! !! .:! .� :� :./ ! !. ! * : x . : : .? : . . . : : $: . . . . : . . . . . . . : . : : . : :j



::. deplaemet .a.~u ::I, . e turspait s :i . ope I fe e mm:roeha t d111,g ing n e.e Tk:ca.'1:&" .:Sadrbir Monhu
M. V� - ' - I' "U ('. odn a et U"d. r :lf~':~ el otd-a
. . . . . . . .:.i::. ::.-. . . .
BPlak e.'ta (rs ! . S.c.e Untg. to-� �-. ".
.:
111" 1SS:a T t e V.I. 4. . . . I.I f.I. . . .
�, : e: I� : � ._,10V n R P.
murs'unerivire mnace&'e ouvete d pa:]emnta-(,.e sogneu em.t. ee.,.
o:-: :.::::-.- .es:::in:,s - ic*t . fl op " . t:.
ide.front~res.russomand iqi .:: -ntx Apts .esprmirs - ._ . . e,.,
":.~ . .- -.:.aiswvn_.u::-: " ot.svcVnoobrd avitq'ia.at. enad i n., . . par:i
.:i.-" ; '. . . . . . r o n D " RZ ." " a. ],d :: P y

AN EnS.e e .ues.-( -- . .- . �
Ilht.De.arpa~e ee Xfa s ii "A ~ . de ifu- .p;-le ~:t:': :es d un ne I
ac metarrduei fe . e -,, Y . . . I 1,s, rn,.arloo, nt: eesi-ei, p ur t- .
.i estefu-n e s.n de i e e -a.it.L5.,C e.a0.A
:pusas-e endle U X .-e.:aiiu nlrn
omadme nt. eau d t ,: :Kc:ie]e;,i:-< clIet~poi i u pe'u qui Se ps eposnato n ,
S parG mirae qel- E" L " .1R.,N A D tnat ereen1lro-e ntnosui
fait ex. " .-ei dui P: -: - r-B
mmu d enrvieor1 een a .e , Ut e. t so-,.gnuvse m
Mva r n rae ce-"-ip" " ig.''nan 1 ,tsh-a
j-.t.".- n-ne_.u. .ov.- ,o.n ,,o-.er-N_'(ie'r11a V ti. Uetinnt.,
le :".is.i e oula panique n dte taaD . J .u(le V1:1, i s. e -:' ., .- ]--,*ravcle nMee .-~r~ 'sa:'".
,e, an cu-.rdepe- c.:: % }I:: ::? t::;,,? e :?-i:? _.:: ps~iiit duncon- 'bo hrsa cni .e du. I ecl 1 '4tulaur #n.
&.fts, on.t : e if"tt. ,en :v kve > .".e'nipour "la:-- p r'e n j "; 1"i. .er p ov r I eb s e,eI P. � t -e


,:::.::. ASH I INGTON.----- :Le CoS natota~l denqUIte a do d'investiguer sur les acLs'des hanqxiers interna-. [ux en temps 'de- guer-.' 6hose int6resse. surtout la son Morgan; les compan navigation, a m.taI.
tetes~ industrie chimji, LL
OKIO - Le Japon a not
fficiellement aux EtatsA- son intention d"abroger raitP de Washington en


ENEVE.- Les dIe6gu6s his ont aeeus$ la Norvtge a Belgique d'avoir enit*t'oecasion de la guerChaeo, embargo sur les ditions d'armements.- Ilsemand4 desesanctions con .es deux pays.


draft une im a.~,a -e
.4
BA.GDAD.-- ies 7 victimes do int eataLoph :e :aion
com.rc l hoLndAis uIver a t UtOTeteri-Qs cans le peUtt cmeti1e IItannfique( de eette vile.


. . ." " x xx
. .o iO . .? .
ZAGRuB.-- Sur Forn .
pres du glent L Paul, et du Premie Yevtitca,, le Dr. V}aci aIaLte Lio. 17mIc d .DueJ I co.anaio it
lit .,11a-t ,T,
arts doe %YI'i5Oi poOP SOS 8WeIces attonOmifstes.
. .
SARREBRUCK.- Avee un enthousiasme qui contraste avee l'aceueil fait aux troupes internation ales. 25 000 sar.'ois out. souhaite une bienve11ue tumnulteu 45 ) conCII'toyens vemus de 'Amerique du


i uge.ti.: bitaInques dun
S- . tait de limitation de's ,r memunts. La Grande Eretagne a reconnu seuler. "n pr'inCipe Pegalite du J a"on, et. ceuvel-ci ne parait pa dispose i~ renoncer a sa .inanCe. primitive d'egalite de, - Tnae. Le nouveiles con: �:o sign ifient pas
i in- conference recommence. Les s-cussionS officeiuses dure ront pUSieus senaiines, et le J aon vent simplement
ell , 'Cj
mpaintent les clmses en etat 2usu1c panftclmps.
_-NE. Le Gouvernegy ' uvo:t de forts to e pissants explosif.
da s"la ill K Bade Is nt, 0m sa raj , cOn tO de chase . " Up ci . -anois Josep -q edemps, 1a monarsuLe. . nat onaux socialiste. . . 6a retes.


Ift-rr Mttn~sMJWAPIITPkftP)' p 84r' ,.,.-- 2~~


ail e i.ncon





at aqainte ire varuMes SZL� tnrritoir
::::t1 1- r
.:.ii:.:::::"i.1 . . . .0. . . .,. . � : : ._ . :.:1 _ J E


test ab e � S T4E


.- . . : . . � : :


El


e
s
$i



e




.
S











L
. . . . . . . . . .
. . . . . . . . .
. . . . . . . . . . . . . . . . . .
. . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . .
r i:



o iiiiii[ii:~~
- . i
. ii i i i~iiii i, (







e:

:eii~ii~iii
. . . ., :.


dt


euiss''- esii

Irs.


iaujua is ce Maisn

es ~ ~ , . . .
:::: -V : ~i< :._.: ! : :. :% ::.: .;. .< ::-. . ! :. = . :: . . . . . : . . . . ". 0 : . . . . . . .� - .: . - . . . " � �. . ." . . . . . . . . . . -. . . . .".". . .
--43,
PrtceqIr h i son i,7I aronie',, ,:, ::,: . .,� ':"


;;;;;; Q G R 'P Z . ;;;*.;;;;: ;: 1 '::Z:i: ::4-:::-:._~i!,::i!: o m p r cz.; . .:::.:.-.b::. ." �.:-. . . . .


SOCIwr I/A ITIENNE AUTOMOBILEL$ .ALERANCHE. .ENTIL, BGAT & :e
Port-au-Prine, aw


:-,::, ., .
a::: :--


_____1


i . -, I - .


.: . :


:;I i


isence, des


ca nes i














.

.If CONTES BAIS11
CHRONIQUES PARL&S


Tel est le titre de outrage qui vient dienrichira Bibio* thique haitienne, avec une, bri llante preface de. Monsieur PNul Fils-Aim6. L'Auteur est Monsieur Victor Mangonws. La dc6dicace est admirable d'intention et touchante d'expression. La voici: cA mes Filles Luciennes, Denise. C'est & vous, mes cheries que je. dedie ce ivre, Pourquoi? Ia raison en est simple. Sur cette mer houleuse de la vie, lorsque ma frile barque sera heur tee et ballotee entre les vagues furieuses, e'est vers Vous que je ferai voile, vos deux axeurs m 'attirant comme deux phares.


Victor MANGONES.


Le dixi me cnte est intitul6:

Nous avouons, en toute sincrite, qu'il a magistralement reussi. 11 est vrai de dire, aussi, toujours pour son compte, qu'il est un charmant conteur qui posshde 'habiletA de fair entendre les choses les plus os6es sans se dpartir du scru pule de ne pas blesser les jeu-


%1 .j~t.a.
DU DBi.PANfWMENT D)
CON 0fBBC
Par d pache en date dq Dcembre courant, le D6164 des Finances du Capflait a inform le D4partement Commerce que Ie . S. W
A t irs n. h .rAa


nnsni a ci
4.139 regime na es.


CINEMA
Demain soi la Noe i l y a pulaire A 6 he tians, offert ment de Pl'Int De beaux fi


'C
T~ I


a a pOur un RanC oa; ae M a de Figues-Ba-* qul feral us
8 t erla N#
Assiettesfr ides & ole.
ftPunh ancapgne, o
r . ~ z . I -- .a.
PPLA IRE . "
r A l'occasion de. ura Cinema Po- A VI IMPORANT.
,ures devant Hai par le Dtparte- , rPeneat ther: d noe erieur. Directwe rmut G. Chatet
nlms seront exhi- o mDirection de t Ria d tion:


b6s IA la joie de tous. Le beau film Sureead, qui est annonc6 en matin6e, commencera A heuares premises.


LOTERIE NATIONALE YD'HAITI
AVIS IMPORTANT
La Loterie ne mettra en cir culation ses nouveaux billets que si les Placiers de la Capitale s'empressent d'acquitter


leurs comptes.


La Direction


FIANCAILLES

NoTus avons appris avec infiniment de plaisir les fiangailles de
Mile. Simone Paqzwt


avec
M. Philippe Thoby Marcelin.
Noutis leur adressons nos plus vifs compliments&


o.t
du Journal est con d Mr. MartreanDisinor et FAdmb nistrtion Odadrate du aNonvllde* demear entre te
mains exchasees de M. Bret Bonhowne.
Port-awPrinee, 27 Septembre I9Mg
EGLIS ETHORISTE
RUE DU CENTRE
Le Cult. de Veille de Nol wmmencernl e.Tndi 24 Dcembre au soir, ' 10 heures p.m.
Une collect sera fate ~ ila fin du service
ATTENTION!
Le M6 Deenabre au soi r, vsnez voir I'Ecle4 Ste. Trlni Le R ve du Vieux Nol, des tableaux vilo de la Nativit, avec poes et muique appropri6es.
Entr6e Gale: G. 1.00
On dansomrs.


tha r es Pw~oul


nes 1mes.
lie canto on la nouvelle eat 228 Kie 'Roux P rwuprm ce
un genre litteraire qui est d&- Vins Rouge et Blane
fini par Paul Bourget: moment decoup6 sur la trame BORDEAUX ORDINAIRE "
inde"finie du temps.> 11 est ap- Zrix speial par 5 gallons
preci' par Anatole France en Vente en Gros par barrique t demi-bar iqe.
ces termes charmantes: le conte ou Ia nouvelle est de Ses Vins Fins en Bouteilkla
meilleur goQt que le roman! Son Vouvray Mousseux . Que e'est un moyen plus d6li- Ses Champagnes, Liqueurs
cat, plus diseret et plus sufr Se Bonbons en Boites Fa6iie.
de plaire aux gens d'esprit, Grand Assortiment d Epicorie
dont Ia vie est occupee et qui Parfumerie, Bisuit ee.
_.--- savent le prix des heures! La Biscuits etc.
premiere politesse de l'4eri- " ----- .
vain, n'est-ce point d' re bref! La nouvelle suffit 'aR tout. On peut y renfermer
beaucoup de sens en pen de .C'est 4patant, Mademoiselle, comment tu fia fureur
mots. Une nouvelle ben fate parmi les invites du dernier hal mondain, sane e savoir. Tu
est leJ regal des connaisseurs itais le sujet de toutes le conversations substiles.
et le-contenteniment des diffici-: .Ah, a Tante Ch6rie, case comprend bien je n'achte: les. C'est l ixir et la qui- M es Cr8pes de chine Unis et imprim&, mes r s
essence, '::est 'onguent pre Bamboo et autres soleries, mes organdys gauttr,
Cibaeux .me s . .bas et lingeries ains que mes diMfretes Lo.
A.prslalect echaque."~tns, Eau de Cologne, Poudre, etc, que chez :
conte, nous avons 4erit nos r- ANTON I.SABA & Co.
flexions quoe: nous: publierons ::.Maman, puisque ma cousine a conquis la l1eaut* par an fur et W measure. see toildttes achetts des e es de Pas de la mason
Tous nos compliments A M. :: ANTON I. SABA & Co., a ions done faire nos emplettes
Vic tor Mangones. ebe Su& n ' habllant de Tissa Saa on we rendche, et
sturement le SAkakeur me sourira.
S J. LAMBERT. .Ma fl.lh e Cri, a, e'est un ide. P-isu' est un p
tard, 4tus depe~ndrons do bpnre hours domain, voir;Tes* ;dhss \- MA'ppa de Ikiease do Anten.~ Scaba & A7. n'rpie?
4!. W --v . r . . I. a e.: . :. : :"::"::" :. . .d o - 0 " " . .: h u e" . . . dt. n o.' .W e.i.:"I s: is ' . .

/ St ~~powe eseas it es sg ouio soiv~p cos 6art. C lain. t s ote te.
-.� Inst ip Tnehsr Jotez tn cou~p dsil cheat &,C I
deea exclt
~^yz.,.aeatowedlfft . A0 4 If&.
. . . . . . .iii;ii~ii~i~i~ii~~ !~: i ::: fe Ilea. . . i e : < : . . ; ::;
t! :!!!! !!!;i~iiiiii!iiiili i iii~l!, ,, i: :i:ii ::i:! :: ! i i i : :! ,: : i: ,i~ ii:::: ::: ::
1C w I&:> i: :' '!''i'ii' ; ;? ;/ ; ? J 7 :/ 4 ? -,:/,: :: �: :::/ !:::, �:�F;?i(:;::i ::: # :: !::!: i; ��: /

: : ': ; .::!:::;: :: ; : ;;;:; ; ;; : ; :; ; ;; ; ; :: : ;: :: :/:::::: :: :; : : : : : ;::i::!i::i:::(: :~ije t ii ,!!i:!:::::: u e sii:ii~ii ii:i;


I . - :i ::i I iiiii::i :-iiii i -iii -i i: i::: i
: ::::::::::::::I .-::::::::::::: :.:. ? :


LtL-


7/


EN &AITI, COMME PARTOUT A IL L
. . . . . : : ' :': : i : i :. . . . . .i ii

PNEBUS EGENFRAL O:INT CONQUIS L ES DUNZ SECURITY INCOMPARA CONFORT VRAIMENT SUPEIIUR. LES VOITURES OU CAMIONS EQUIP "GENERA L >DU RENT -PLUS kONG ESSA YEZ LES GENERAL ET ::VOU TEREZ, GRACE A LEUR BAS PRIXt:, LE RITE, LEUR CONFORT ET LEURI: SCUA


Haitian Motors


S: A
. . . . . .


Dit~ributeurs,


Phone 2379.
- - - - - *4-d4.4%-4w'. *-. . S � #.1S


Tai- e

Biles Occasion sp1
Venez

L e c

Rue COu Les' Articles a&moil


our. la.Fintd
voir enez ~s than
b, NoA73 1i6 . .px:7 ie pr)x .


Soisette americaine de G. de 15 a 10 Gdes.I 1.25 A 1.00. Drill fantals
Foulardine sup-rieure, 2.50 i 1.7.
1.50. , Khaki: jaue s
Toile de laine de .2.00 A 100. 2.00.
fOrgandi a mitre 1.50 a- 1.00. Toile Sup. I iRatine de 1.50 A 1.00. chemises hom Divorce amricain, grande 2.00.
alrgeur de 1.25 A 70 ets. Sa A mains:
N ppes frangaises de 5.00 a de '7.50i 4e0
So Simlicouleu
� . . . . C ra a . . .
Damass6 A Feur pour Ma- 1.25.
telas de 4.00 It 3.00. Cravates Jers
Bazin pour costumes en, 2.50.
fants, de 2 .50 a 1.50. Cravates ROp
Voile A fleurs de 1.00 a 0,6 : de 2.00 A 1.50:
cts. Cravates Pot.
Voile couleur A barres de ::2.:00.
sole, de 1.50 1 1.00. Cravates pou .s.
Tapis de table .Sup& i00.50 et.:
rieur de 250 A 1.75. Ceinture# a 24
Drill couleur pour infants CheiseS ln ii
. . . . : - - " - : -:- : . .: :t i:: : ! !!::.!i! !!:i:! :!.i~i:- .-;:. -: :5 : : :: i :: ::. . > :f
de 2.00 a 1.25. me200
Drill tussor A barres de 250 Chemiath6tt
- ,1.50.2 .0 - .
Drill tuassor double largeur, ' Chemises i
. . .V. . . .W. .



LIQUEURS, SI OS BAY. R., . Tews produdts dlat metiear qalw GROS:~ AIL
etSudrNttatdulor.e.
WON ONTAINJO


.:.:.:.











Zu , leto a an. . 1985- et 8181
(148 steaflrl an4 e e hmr

AQMAQ' ~ Z6M ~ A
) ,- le 4 t)$. 94 e9Die.
agentura, ole 11 ne.,t 1984. le 17 De.
l, l 18Die, 1984, le23 Die4, aui, le 24 fme., 1934,. 1 4
kubai, Ie 2 Jan., 1985, 1e 7 Jan. ventura, te 8 J4an., L
le 15 Jan., 1l a ht
ll, 1e 22 Jan., 1935, ) e 28 JaRn
, le 29 Jan., 1935, 'le 3Sdv
nektra, le 5 F~v., 1980, le 11 Flv.,
le 13 F4v., 1985, Je 1$ Fwv.
'L,A I e19JAv. , e 25 v
veniura, le Mai'se12 as'
,l 12 Mars 193$, le 17 Mars, quiL, 1e 19 MarsJ19 i .ie 25 Mars, ba, Le 26 Mars 1935 l J 31 Mars,
ixA kAILOAD STEAMSHIP LINK,


e.-.


d




La LA 1984 .*-0


1985
1935


4* 4 ' 1
-. " .", : . 4 . - -. , * : :. . - - . - i. t "4" .
I,,,;,,


r


4-' ,,,,,


. en auer
. A t At

1587 ae Lamarre1 MAO"p a ll,
IM Adasissins daBACCALAUBBATS
.




Iitsemest dblt the k a Ipie ,w
e mtthode d'ehstigheminent, & so bone et large orion. Pensionnat incomparable, Pension pour & 5h 12, Cors elasskmue 6ra1, ns pa u K- Coors de St~no-Daclto eM aI
Allemand, Pr6paraionAEcole de Gn
eiablissement garantit tous secours et forms d ,m .for et eosienttOM P, A.s ourfn


d.


54W


LE TOUR DU MONDE
II n'est pas nesisoire dtre rich ur safisfoire ts gotos pvr e oyge. eOs decondltion r '*ens peuvent '.
mpindres d&p6ts; grace 6 n 1rtkmt coma pe, ontt falta de const+tr u n e r&erve intirensnto, r6betsable av beson,


~-rt C-''~


.i., tt +)


BAN Q U E R 0 YA


DLi


4, 1


CA NADA


.441 .%.11 � . . , - . i .lM-O.


noed7Haiti occupe dans P&conomie national
VOus ima g:i9osqu4e est un bastim avane. contre le ch6maige qu i'tMedt d~ f-. tg0n alarrhaute?
Avez-vous P 4cuIP que les. Domuze MUle*Gourdes deson 1er Gros Lot representent le prix d'un pig~6n asur rue? Savez-vou4 que Deux Cents pvres ou soutiens ile -familhe gagnent leur vib a vendre ses Billets?
Qua huit familUe__ du Personnel dipendent11$esont siort?, Qu'elle rpartief es sub'sides mensuels aux Oeuvres suivantes: Crche .de, Port-au.Prince. Dame z d&StvFranols de Sales, Port-au-Prince, Pupile de St-Antoine, Port-auPrince, Association Corps En eignantla -RrmiPnee- So-.
ci4te Histoire et Giographie d'Haiti, Port-au-Prince, Mutua.te Scolaire du Bel-Air.

P fkw efSiloem
SCa Haitien Ecoe des
F rss a14 tIMrid oir&rti r,%e. C m-itin ,Oeuvres P .issite :dpzla 'Cure de Sisan eetattae Petit-Gotvede
Que six cantwnes scolaires fonetionnent, a Port-ayqPrin4e, snr ;on compte: qu'i ces


I . .4.


cantines deux bouches y trouvent nement tin repas rkconfor :t quo bien des fanjilev nes peasuvres y rvoient, ;~ ~ 1-r.-.4e+ .111':
crterment, chercher llje nMMriture?
Qufune :septiterne cantin entretene: aux Cayes
Avez vous pens# aussi q Ie paie un Service de Put th, un Service doe' Reclam Series do Propagande: tant d'entreprises haitie i Ia marche desquelles contribute?
Dpouillez-vous de tou prit de.parti-pris et vous, prend rez qu'elle const une force et un prestige tional.
GrAce a tout cela, pour ne lui accordez-vous pa preference sutir les loterie tiques? Surtout que pas u ses coupons no se vend::., d'Haiti. Elle se heurte, leuris, au m6pris syst& quement organise. Notr guetft pat riotique ne n0fs mande-t-il pas de faire I1 me geste en sa favour?
Hait jens et Etrangers ayons utine pens6e du pour )a Laterie NifI d71siti.


MXlecey GOTUR(


Directeur


r -2C%--Y '., ~ U~a zsF


Pour le-iioisde 0 04
reseti ellie+



Grand Rabai de soxante paur cent

tigd rttrr i tOur les proprietaires de voitu
-thrysde>, Soto, Plymouth,de me ttre neuf leur voit pour les f6tes de tin d'ann6e, ia maison FRANC(K J. MA 'IN accepte a faire une diminution lde cit) o i le p ties aies et radiateur des sus Pits imod es.

of .ibpa Que la naison vend

Pikes de rechange de routes sortes pour VoiureS ('hr ler - De Soto - Plymouth et pour camionzs Fargo - In ,r( iplfpevA ileavyDuty> Fisk pour camions u-t al Peitdtyre pmour au o <>. Toie Capole ( ,e4 et diire). 4vertisque electrique (kaxur). Si in
ph t & aeessoi divers.


FRA VCK J. MA RT7'IN


. I es PaJa eet Magasin de 'Etal.





' T-T'bE MONDE SE- DIRIGE VERS LtO)TEL

r ? .1 ,-*. PALACKPOURQUOI?.

La raison en est bien simple: Des mrdIlicieusk i un' prix raisonnable, De la bi6re giratuite a chaque repas, D-egtlaces -wquises' et assorties. SSre a ia pressio, bian geeeQ et proprement servie, Sa iwiches a n'importe qu~ e heure. Rad-io-Phonographe
- Tsbtec e biladM"


Tout ee qui peut procurer une soiir6e agr6able.
:- -- LA - C EHATE


*1* 4
V,-v.


. . . . . ._ . . . . . . . . . . . . . - . .:.,:. :: .: : :: :
At



. . . . . . :. i -i. . i.i .:. i.-. .). "::!!: .?
. .d.de.P. op.f.e

. .- .-.-. .:::.+ :.i~ !i.:i:
. .:. :
ft I #W

. . . . . . �: . > - : : : . . I :i :: i

. . . . . . . .
I�at des Makedk s.:. Certtaxines maladIe Snt
g i geU.ase$J lle que la petite 4 ,
0role, la fl.vre aue , l a pk.et I l aecho6ra, etc.? apparamentW
t~o toi at :
, subitoent dansts pp
tit@ tios a aspvopaent~ vitt. dftU test plBr centaines qzi ratt ,t!n compter - quelrefVl - ,l
oais mortahit& qudeste es ccasio dina nrentdhdu to* Al a Um ,
flhr uxJ tendent *leoarhas e eat ges, es, r iervcu psaltatite
ainaV que leSt aiftrs Me:wvic< u es- pub ie eMtr d#bord4 .t bbe- tr u vivnnet cw pde tiun rie. C, Itomment expligerau- spontaneit# de ler eklio a nnes la rapidit& dk Jour dwop el e m ont!. Comment le o . at
m de !es: aladis: outh %W-7 q~e
tre, arrder enit propagation
rn. eieux encore conEtt les COMr- "prenir, les emp ber die titue produire m 11t y a personnel, na- aujourdhui, parmi lsn p sies conscients et organdsmtr
quoi qui ne sache A qul'oien tenir s Ia au sujet de ces questions eotexo rants d'hygie publique. n de Ces maladws pidmiques
hors viennent- en gendral di de al- hors. C'est pourqui I'Etat 6mati- tablit sur les frontires de ter





i-pahudisme, le pilt) a dpwoeor- re et de mer et sur les charp cor- datterrissage des avions, des mE-. services rnulier s dermtlIe
sanity air.s
amhi, Mais d'autres maladieweeCbW eOi tagiouses, talls quo a tuberr lose, la fibvre tyuphoide, e paludisme, le pian1 la dysenterie, la lpre sentt encre puga redoutables, prtee quo eour UE.' ciosion no se tfat pas de Moi
en loin et avec fracas, mis . chaque jour, sans arr&, siw
eieusemernt, g'agnant de proe"" he en proche, comme uneth
che d'huile, tout-es les couehM&
d.os Is socld4s, dora ls mei$bres sont peu i peu frappbs do mort ou de di&char.ce physque et mentale. (>s-+. der.il+re4; maladies e nraeirn*ee dan To


serin do notre ptpl mrt rit en danger la vita.lite mome ide t Ia race.
11 faut apprendre 4 connaies tre leurs causes et leuri efure lfets. lwur. mode .4'clbsion ct LR- d'extensionl les mayer; indirix viduels .,tationatx. .--, tnujours couteux - propreS a nous en_ . pl-nseet Q v.t i ,s
combattre.
La diffusion de,. -cti o ys- d'hygine dans les 6eles. et. t. les Tnassos populaires -st i
S devoir social de la plus haug, to importi'nce sUr !eu et iL i convient dattirer fortemen{ 'attention des famillo, des corps eonsttitu6s et de% Org atnisations ;ducationnells.


TRINTURERIE
MODERNS


Tout enencourageant une initiative tr&smtritalie, vous. ferez une bonne affaire o~ co-m fiant vos commands 'IOovrotr des Dames de A*q tion de St. rantos ci 8!ke.
A la -Teltimrie MAodsrAce tout est remis ? nuf, tisUS ou vtements usages en menme tem s que nettoyag h see, remallage.,
passage. dtgralssa e et lrTravaux de Y toyornes tous
nre, pour endeaux de finm dann&. .;:
Prot4 Cie& t e itat
tris avanta euses.
S'adre k Mm. Whitew . .Can ' . us L,: fl.-: " . i
1 P::.
. . u o : ' , , i


:!.!':'


. ". :x+-:.
+ .2: > -


A-wrl


Af


VAi~.











',:i:::: :,.% i,/. ::i: '


tfll 914<, A1AAtW 1 V41V441 411& rv611s iineale ulab es riches .ses de note soi.l, 11 ree 'amtesb matires premires qu neua mtallure rbe ame,
.fe pays a ndustri in teisive Wtels que les EtatsUnis; le Japon, %P'A ngl'eterre. Lemintent est 'ven u dO pousser notr e activit dans cette direction.
Mais, j'y songe, pour rali ser' corenablement ces des sns et en fare profiter la riassee neotre peupple, avonsnot 4les' ouivriers dresses, les condtteurs de travaux PU hes;les malecoamies, les agro nomyes pi'atiques, 1e haut 6tatmiajor teclchnique - tous agents conscents oin mconscients de cotte transformation social n6cessaire an sait -du Paxs? Hdlas V eest ii1 qu'apparait lecte 1 plIus.an-' goissant di problem-. Nous avons gc nos ressources en des guerres fratricides ou en des entreprises d'u-tilit6 con-i tes table, ncus nous somino", , oc croches I un system de ma'> gnn'cttniewpu }~
ImritznU qie u uts; JC!Uw'
yea�s deC notions 110 Vnpol>.it [Je 1(> t,0% lODS (1nconipat avee les exigences de a 1i moderne et voici quau -n� -. NIllet nU E.US U I'S .-.1



d ue d(I~-~ISI duSQ e

man p 110 efS 11gn -' i nn. Les scntions e e iitf10o Ph US luL \'r P K



(ap s en i"ei 1 farie.a 1 n

)etiStr i C n e 1ut 02
1 de s. idlt I ai.l ;I e man The PpCbS I, e)once> N' " neo ILes ntw( s t~:nv~i -:::? paS~ ( 5 un your" et nu: v ,

gi~oti (d e f)Ie l1I' " '. K" it in ne . ,11C e ~I t c CTh) ' t .

rnombri. 11 faut vivpe, i fhu: d6'6ce agi r.

." (A suirre)


'A

L'ordonnance par excellence
a: suivre au coucher du solei
. . . . . . ."
Au coucher diu soleil, aprs une joam& do travail assidu on d'exercice violent, Pordon.
naMce la ph.u ref raichissante .et u.n gand verre de White Horse Whiiky Peanu de
soda frappe."
Le White Horse Whisky supprime la fatigue et ressuscite Pnergie. ianguissante. Se qua, it&s r6paratrices et sa valeur digestive ony bien connues der, sportsmen dan son pays
d'oriIite i~nsi qu'h V&tranger.
,low
Isp" O S


4 '- - ------ ----MOBL!NO#LI


' UT
p t it e . . .

C At e.endea:': iddal. _. .- . .
I I, R =- , ) :. . . . . . . . . . . . . .





IZ

at



' RuewCourb etlE&duM Matn41e8lst

ACHAT IYSCAILLES DV CARE. VIEILW MANTS. PERLJES ET ?IERRES PRECIEUSE. LES PIECES ARGENT ET OR, MONNAIE I
. . . . . . . . . . .





� i . . i " " : . . . .: . . .�.�.
- . . . - . : . . . . . .


. . CAsET

TES NATIONALITES, A DES ETPRI.X AB
. . N.
IAVANTAGEIJX.

MOW- . 0.v ".4. -. 4- - - - -,�.


-'44


Mardi a 4 heures -


.


TO


4444'4 V11'' -L-4
Ta! i L t EUCALYP'WL '&'
- 4 . R^TCO PARFAITE
:1 BR o' NCMITES. ENROUEMEN
. . CTON S DES POUMONS
-. , . .:% 4' . ' .-. . . .r.rs 'w zv__


8 here 1P


Mercredi


4eudi
Andr6 Roanne


avec Dolly Davis


Vendred


dans un grand film


4'45
4*'


� p . .:.


iSU COUp


Zntr6e {


Entrd e0.50


44'


VICTOR FRA NCEN
parlant
LA FIN DU MONDE
iEntr6e 100.


:&:-c ? . ;;: : s'' :." - 4-s - �


LES VOJES 'NIQ '(S


LIS RS


.Hier soir, sans e sang froid
d'un chauffeur qui descendait lAvenue Ducoste on aurait eu i.pd6plorer un tres grave ac-, cident. Comme on le sait, cet-tVo'ie unique estextrmement.etroite,c est a pemine si une se iule.auto peut y passer facile6inent. Cependant utin h abitant.du -quartier a eu Iimprudence de stationner sa machnea-.ur endroit ou jouaient des enfants. L'auto qui descendait d4t forcment prendre sa gauche juste au moMentm. ou.en. face de celle stationnoe sortait .Iune dame. Celle-ci fatvidemment heurt&e.
I "importe done que Pon fasso 44~nnse de garer une mac.i. fp. dans ette vole dangereuse.et .dan.s toutescelles qui


''A
sojtuniques.



ON DEMANPE 4

.Onaeinde &t acheter'un
manipulateur de T. S. F.
.'adreser' a Blureau dua
J ial- 4.
=============== .===.===. . .:.::. :::.:.# :;: : .:: :.:. . . . . ::.<. .
� "4. : 4 : 4.: 4 4:.- .- 4 4 .4. : i: :.i: :::. ::::; : .::� ' ::. .: . : : . .

:- --.:!ii :::! !:: i :4} :.:: - . . .-:-.i::iiii @ :~~ :iii :.:4:i: ::i!:i ~ :: -i. :. :?::i


'4%
(.- :: .p., .r.:. 4
.'4 "4 4:" 4.44-- -. , .:
'4 4 _: i: ? . .' 44 4
"'4,. 4 ' ,0~ .4 -. 444 :. -!.


Elet. .!


na


OUIS OFFRE POUR SUPPORTtR LES FORTES CHA-


tLEURS DE CETTE ANNEKNOUS


4


PROCURANT.


. ' . .


'nP-PAGNIk MET SES VENTIL
) E TOUTED LES BOURSES

. ?ITES DE PAVEMENT,


NOTRE SALLE


SrsEX P


ATEJJRS A ET ACCOR.



0�S : / : . :: . . i

. . . . . . . . .
-' . .'A :. . � . : . . . . . . . . . . . . : . . . . .
& T I O N. :.:: � ."::.i." ?.i.:.:::!. : ;i( .ii7 :~~


ELECTriqu8#


CAt4AITIqN


SOUS LE SOLEIL MAROCA IA
Entr.e 1.0 0.


L AIGLONN E.


Entree Oi


LE FAUTEUIL 47


.DOIVENT ETRE


TOUJOURS


S/iales


. . . . . . . .


S ' SEICEZ CONVAINCUS.

. -.4 -. :4 . . - . :
SCOM PA GNIW D'kCLAIAGE

PORK - RINOR so. : u :'':


Hai


I


i


dA


;x. :6;


''"'


I V.
H I SKY


que la


'Eclaira e