Citation
Le Nouvelliste

Material Information

Title:
Le Nouvelliste
Place of Publication:
Port-au-Prince
Publisher:
[s.n.]
Creation Date:
December 17, 1934
Frequency:
Daily (except Sunday)
daily
normalized irregular
Language:
French
Physical Description:
v. : ill. ;

Subjects

Subjects / Keywords:
Newspapers -- Haiti ( lcsh )
Newspapers -- Port-au-Prince (Haiti) ( lcsh )
Genre:
newspaper ( marcgt )
newspaper ( sobekcm )
Spatial Coverage:
Haiti -- Ouest Department -- Port-au-Prince -- Port-au-Prince

Notes

Dates or Sequential Designation:
Began publication in May 1896.
General Note:
"Journal quotidien, commercial, agricole, litteraire et d'annonces."

Record Information

Source Institution:
University of Florida
Holding Location:
University of Florida
Rights Management:
The University of Florida George A. Smathers Libraries respect the intellectual property rights of others and do not claim any copyright interest in this item. This item may be protected by copyright but is made available here under a claim of fair use (17 U.S.C. §107) for non-profit research and educational purposes. Users of this work have responsibility for determining copyright status prior to reusing, publishing or reproducing this item for purposes other than what is allowed by fair use or other copyright exemptions. Any reuse of this item in excess of fair use or other copyright exemptions requires permission of the copyright holder. The Smathers Libraries would like to learn more about this item and invite individuals or organizations to contact Digital Services (UFDC@uflib.ufl.edu) with any additional information they can provide.
Resource Identifier:
000471641 ( ALEPH )
12544054 ( OCLC )
ACN6482 ( NOTIS )

Full Text










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LFMJT AGIR .BORALD.UA I
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rien compr�hensible,

rfois mme d.s r. Notre excellent confrre bre 1934.
t Po' dU r: ( On s'e r L in� D'::: : s�+::

affoles pour c M onser �Le Matin� a publi� aujour Monsieur Marceau D�si- n
poste, asi modeste soi d'hui un �ditorial fort :int- :Directeur du Snwmaliheureusement , Nous pensons, nous aussi, Dans une lettre p$rtic oni, c'est le Sens de� que au tournant actuel de no- � caract� re prih #4 en �bilts. Nou le di. ; tre existen�e de peuple, tous du 6 Juin .19, de N�w-Y rece que nous croyons, ive n it comprendre que. 1mance du Doctetir Il temps '-ue nous v. �dans la pratique de la vie po- mond Cabeche, dcede.
:r ic
e personne n'a int�r� litique, une r�gle, �ragle toute livr�e � la. publicite d fIutruche, en se met- de sagesse et de v�ritable v- � Le Nouvelliste, du �te sous l'aile pour ne. alisation : 'opportunisme� �coul�, il m'a �t� donn� de


grellemend il n'est pas dre que l'on se laisse fJeagration. Au con it vaudrait toujours f de garder une petite Smod�ration en tout. 4Out compte fait, on doit es choses comme elles i me�illeures, ni pires ��ne sont. Ai imt dot,4 gu de demander e�ux.tle levier de comman. :.- de ne point exciter
nefs, mais ils doivent ta sentir la neMssit� rr de 'e:pece de lI�tar_fait douter de leur\a. de rendement�. \
nem ple: u Vrenons de receroir une .de At;sc-�-Foleur, o il it ceci:
S.tes qudcques mots se tl plus �loquente preu'
me d�p.orahie lhargie crtains fonctionnaires. f ne se conroit pas que. Mnoent o� tant d'efforts �loy�s par Son Excelle Pr�sidetd de la R�pu.pour tirer des ten�bres .rance, et nos masses #, et assurer le trans. nos denr�es, par la Onde routes et de sen.de sections rurales d'ut me soient d�pourEcole.:4 et que des denY p erdent,f aute de voies

qui aract rise surtout ltharpie de la plupart rigeants,~~t c'est le laisser-. de ceux pr� pos�s � e.x�leurs instructions. Pen W�e! Autrefois, alors Ittxistait pas les muracies de visiter presAta les points de la R�, l'on pourait se conr tes rapports officiels gesR administratifs de
*ince, bien qu'ils ne P$ foujours lkxpres'e de la v�rit. Mais fltr.que le probl�me �tne est rsolu de. fa


mettre un concrle
tles ministres, eux se demnu derpourrc:e des ser vies
a. ~d �pl~acen-ls

. .u.a Il.leur


est une attitude (ue commandent souvent le circonstances qui ::t plus fortes que les hommes, plus fortes que leurs
plus belles theories.
Et c'est pr�cis�ment la doctrine Gambettist si intelligemment pr�sent�e par notrecher confrer

au c�s o�h ils ne pour'raieni pas se d�placer, ddl�guer lewurs chefs de division ou de bureau?
SIl y a actuellement, pour les Eles rrrrales' par xemrple, un serrice sp�cial d'Enseignement rural � la Direction Gn�raie du S. A. P. A.
Ceui qui en a la direction est un jeune, actif et intelli gent. Mais toutes ces qudalit�s dispensent-elles le Ministre int�resj� de 1'obligation, soit d'aller personnellement en tourn�e, au moins une fois l'an, aaec les Inspecteurs 7; � n�raux de 'Enseignemrt Rural?
D'autre part, le Ministre des, Travaux Publics ne devrait-il pas, lui aussi, fortifier iactoiin de l 'ne rg�que Ing�nieur en Chef. en inspectant les chantiers o� s'ex�cutent au moins tles plus importants tracau.x?
Le l Ministre de l'Agriculture, n'a-t-il pas aussi pour deuOir, � instar du Chef de l'Etal, d'aller apporter aux laborieuses populalions des camprgnes les r�conforlantes paroles d'encouragements, des conseils sur la n�ecessilt� d'intensifier, le plus qu'ls peucent, leurs diff�rentes culitw res?
Si ton se plaint, avec quelqu'apparence de raison, de la tranquillit� dont font preuve tes honorables Chefs de D�parlemerds Minisil�riels comp tents et d�vou�s quand, en r�alit�, leur pr�sence est sollicitle sur plus d'un point du pays, et le plus sourent pousible, e'est parce qu'on pense qu'il ont clmhaque jour devant eux lrexemple du Chef de 'Etat, que ne rebutent pas les plus longs voyages � travers le pays, et par n'importe quelle s ion. d�s qu'il s'agit du bien public.


'lnstitut Tippenhaer. demeure une excellente. �tle
avesnir n4�rr�pto


. . .Comi Nal mi de S pr t s
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r'e unt appr�ciation - d6sobigeante. non fond�e, fmis pa:L mon ancien coll�gue, l regrett� Docteur, � I l�gard deI
-M. Gation, Ep lropos Pour ceux que cela put n co-e int�resser, je veux iap)peer que le sort de' bien de actes et d�p�ches envo 's, :E-pogue,1 so.it au Senat Am-ricain, soit au D�partement d'Etat, n'a jamais �t� nettement fix�.
Aucun doi e n e peut donce �tre l�gitimement fo umi� ouu retenu, sur Le compte de M Gation, entirement �tranger a tout ce quk so faisait ici, e dout I'indiscutable honorabilite ne pouvait que garant la s&curite de tout envoi fait aux Etats-Unis � son nom.
Recevez, mon cher D)irectour, la nouvelle assurance de mues meilleurs sentiments.

Camille J. LEON.


(.R. 21UE DISENT LES (ONFWEIRES

in nouveau conftree. �L'Ere Nouvelle�, vient de paraitre. Notre ami Piou, I)�put� au Corps L�gislatif, en est le Directeur. Cela suffit pour qu'on se reede compte me les questions � l'ordre du jour o'nt trouver leur plein dev,oppeniment dans les colonnes de I�Ere Nouvelle�. celui qui1 le dirige �tant un ,homme iune inlassable activit�.
D�j�, il a consid�re, avec son sens des r�alit�s, laquestion de R��lection.,
Notre int�ressant confrre �L'Action Nationale�, qui dor dinaire n'y va pas par quatre chemins, d'ajouter comme commentaire de l'art�cle de Sl'�Ere Nouvelle�:
�Mais il faut qu'on puisse voir clair dans le jeu. Il faut surtout, que, sortant de cette r�serve qui d�courage, le Chef du Gouvernement du 18 Novembre affirme sa volont� propre.�
On ne saurait mieux dire. Aussi, il n'est que d'attendre maintenant
t- e - . . - - .,--
Sirop Day
contre la grippe
- -gn -s- .nR h u -m
Raqc le? Rhum
. Ee


pas �t� augment� d'une ma nime�re sensible. Donc, il n'y a pas eu surproduction che nous, d'une fa�on g�n�rale. Et si les vivrels aimentaire sont � un bas prix, la cau. en est au manque de numeraire - autrement dlit -- �ia l chert� de l'argent; notre circulation mon�taire �tant r�duite depuis le d�piart des amerlicamns. Nous voulon , bien admettre que la suppression de la libert du commerce dans les campagnes serait une injustie criante � l'endroit des paysans qui ont autant de droits � la chose publique que les citadins, et que leurs droits doivent �tre res-


(voir suit e on e page)


Voil�. la question de mareh�s ruraux qui revient sur le tapis, cette:: fois la eontrover:e s'engage ent re le chroni queur de la Revue le �Temps� et Me. Burr-Reynaud
Dou�s iun. et. V 'autre de br ilan tes qualit�s litt�raires, ils ont p�n�tr� fort avant dans ies. moindr'es d�tails de la questionr, et que: tous deux ont montre une �gale arcderi dans la recherche de la vi&. Mais !uand Hippocrate dit bui, Gealien dit non. A qui c(:ol re? Nous sun me:t do.e un fac'e d on < d'&ai C[:'1.1 et d'un �ouL :'ti foile. Le(uel des deux svst'mes est pr�f�able A autre? Thar i: ihe question, pou paler. comme I'anciai:. Nous apportons donc dans le d�bat un �coui d ea ti�de �ue nOus QroV.n plus p.):at-i�ue par1ce que le garde le juste miieu, �eta ni chaude ni froide. Certes. nou s summes pa.t'ti sans de la ibert6 du co+mmerce et de toutes les libert�s; mais la libett� dans ''or re., la 1 liert� bien comprise quel le qu'e.e sot Nous sommes hen .ersuadc e.e, . OU le commfelce ' ,es il Le . u I lib;vr il sera toujous le plus '� et le plus en r i -.ant t. o 'te i '".rt on garce. La lihei't du (to'mfeice e.t un prire :e'c :omie politique ,u co(nduit L- su)primer on a :t -�Jire notablem1ent les. ent ave- quellequt elles soient douani�es, fiscaes ou autres, qui empechent la libert� les �changes entre les pays ou entre les provinces d'un mtme pays. Per-sonne ne peut s'inscrice en faux centre ce p'incijpe ;-i-mi. dIns tous les contres a\'ances. M li prodlamer pleino.: et e:at ib.re la l ibet fl'cm
ict'e, rural serait un Car. ,emaq .uez-Ie bien I 'a-han)an ce? de: den res ailm n ta'res oe nous constatons depuis oti�.ei.e tems i n est uas un ait .nnrmai, un phenomune f.tmosphe.i.u.:e inatten du peut se 1roduire sanS irace. Une schj'esse prolong�e, pa' exemple, serait de nature a amener un chan'g'emenL dans la production. Quan; : aux principales denr�es d'E -: portation telles que: caf�, ceton, cacao, etc. le volume n'a


(vlr suite efl So puge)


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A la lecture du proe�-verbal de la s ance de constitution du Comit� National dles Sports, on peut se rendre compte d.(le e que doit realiser la Direction Sportive Nationale. La Croisade est Iancee par ce Grand Etat-Major qui, seul, contr�le, au point d4� vue int�rieur, l'education,'ad m�nstration, I'organoisat-lon, laissant bien entendu au mit� Olympique Haitien ses attributions sportives �nt.>rnationales et aux F�d�ratior qui en d�pendent leurs pouvoirs techniques. Jamais innovation dans les Sports n'a �t6 si heureuse. L'on est unar nime a acclamer ce nouvel Organisme et � vanter le choix des personnalites qui le composent. Le prestige du Sport Haitien est d&sormais saUvegard�.

Au Parc Lecotrde
kY .
L'entrain renait, l'animation des beaux jours d'antan. Seize �quipes (1�re et 2�me) cat�gories se sent engag�es dans le championnat national de P.-au-Pce.Allez les voir cha
que apr�s-midi �voluer sur le land. Quelle joie chez les p& tits! Quelle fierth chez les grands! Les fervents du BaJIon rond, les fid�les visiteurs du Parc, ne m�nagent pas leurs propos. Cocasses les r�flexions entendues. Les curieux, les admirateurs de Phito, anxieux de savoir s'il jouera ou pas, {myst&re} demandent de ses nouvelles. L'As national, r�p�te-t-on, est-il compl�tement gu ri. Et bien, nous sommes en mesure d'affirmer que bientot le publie verra son idole. Il se pr�pal'e.

Coupe St�nio VinTenI

En Province cette Coupe attise tous les espoirs. Gonaives qui la d�tient voudrait encore la garder cette annie. L'Artibonite, confiante en sa force, a des espoirs. Le Nord declare :�A nous le T'ro ph�e, cette saison. Et lPort-au-Irince calme, ne dit mot. Attendons.

Frandin Roosevelt �eld.


Au Franklin Roosevelt field (c'est le nom par lequel le eamarade Chevallier digne le vaste champ de golf du Pont Rouge) quantit� de �,jeunes vieux� vont prendre chaque apres-midi leu.rbol.d'air et se d�lasser les jiambes en arpen.tant la pelouse. Ils sont gais comme des enfants et chantent les bienfaits du Sport. Pas de lourdeur chez eux, et' surtout pas de rhumatisme. En face, au Stade Dessalines, athl�tisme, basket-ball, Volley bail, exercices physiq es; tirs � 'arc, r�unis sportsmen et sports girls. Les Doys $outs du P�re Bouilaguet, plus nom. breux chaque semaine, y pr�i











MedamesrIM�ssleurs, Vas chsaunsuree
.u v. . .s.m.
Quelle mis.hion plus d4ficfr * la Cordornnerlez t0:p1, $nible qu celle de Mon*C.arsel
W � -i,,ii: i �_ : W : " '::: .aiii i:;ii! ; :ii:!i,::!:!, i .
dire adieu ~p U jours un Gn d'Rue . No. 1721
ami,�kibompagnon de mal T412182
. " :.}.". .
heur, & un fr�re. HYPPOLITE> JEUDY
Celui que ups conduisons Propri�taire,
aujourd'hti � sa derni�re demeure, d�s son plus jeune age, s'�tait- r�v�l un caract�re.
�~~l i � : �. i.:;;. ." :":�. . .Jamais il n* perdait Ioceasion de se signaler a ses amis. i :frz apa:: . S vos sufre4z"de l'ppa-�
Sa figure simple et sympa.thi ril digestif, ou si VOUS sente que, non sourire sec:: etaent, une d�biit quelconque dans pour nous,- lexpresson de .,la rg.:a m ne ratez ps::: o smine�rit et de la loyaut�. Son . raim n rt a '
Caso de: vous.mtr lu
d�vouement, sa constance, sa cageo dea vouie I u-" foe de volont�, son zele dans a e d laF ei e l badIQUE ., . ., , . .: z � :�quintessence :�e 1 :& b, l accomplissement de ses de ne Tro lodytiquedoU bana ! voirs, son enthousiasme me- n rn d ea. ,
me, etaient autant de vertus Madame, n'oublie pas que . . .< : , : Madame, n Oulez p as.:u-::
qui le rendlaient d'un commer- la farine Quisquega eat 'm
�~ ~ ~ ~ ~~~~l - farin .#41wa est. . , ., ; . r -.*
ce charmant. 41
ce cal luimqa agent actif qui exeite la cth.
Aus SI; cZelui. qui regardat. sance des os chez les B�b�s. attentivement la vie et les ac- En vente partout. tes de Gesner Guillou, voyait Refusez les imitations. se dresser devant lui la majestueuse figure d'un homme . . . .dont le'nom �tait un program mne de labeurs pour la r�ali- PANAMA RAILROAD
sation des principes esentiels de la politique et de la STEAMSHIP LINE soci�t� et dont le pass� servira d'exemple h l'�mulation Balletin No. 1156
pour le triomphe du droit. Les chargeurs sont pri�s de A i-je besoin de demander i, noter que le S. S. �CRISTOdes souvenirs de notre exis- BAL� est attendu � Port-autence les grandes heures ou Prince, Haiti, venant de Crisles grandes choses que lui aus- tobal C. Z. le Mercredi 19 D�st, il a fait tomber dans l'his- cembre 1934 toire? Non, Les faits sont Les permis d'embarqu
Les permis d'emnbarqU:,�
trop r�cents et trop �clatants, ment seront d�livr�s pour le il n'est pas n�cessaire de les fr�t � destination de Newapele. , York et des Port Europ�ens
(epenuat li3 n pus res.- sur demande faite � ce bute. au desir d'avouer que Guil- reau. Iou fut un grand ceur, une -Ce Steamer partira le m��me d'�lite. Homme.de coura- me jour direetem t pour go_, patriote san reproche, il New-York prenant fre ma 'ti p Ia hsi�, devant les bu- le et passagers. uni at ions dont sa Patrie taiU diVreu -e, A signiier. d'aeC xxx cord avec le Comit� Central.
T r x . .
envah 15sur eu'il �tait une Bulletin No. 1157
immoralit6 intolerable. S.S. �BUENAVENTURA� i
Et ce n'etait, certes pas, est attendu � Port-au-Prince, foi sans considlrer les dangers Haiti, venant de New-York le eu de notre action, que nous a- lundi 17 D�cembre 1934, et par du vionsl~ prismnitiative d'une ad tira le m�me jour directemnt re jonction politique a la gr�ve pour Cristobal C. Z. prenant j les des Etudiants de Damiens. frit et malle. I qu
Nous voulions, secouant la l'E
criminelle torpeur des resi- Jas. H. C. VAN REED, c�.
gn�s, faire entendre � l'occu- tai
pant que c'�tait l'�me natio- 'Agen Gkatrol ter
nale enti�re (lui pallait. - ]


S"La gr�ve, qui n'a �t� que la law r~-r" ,= ,- la
suite pacifique du soul�ve- 'o
ment de 1915: geste admira- REMINGTON Au
ble et h�ro�que du patriotis- ils
me outrag� de l'�minent et Le coquet bar �M�nos�, du sa digne fils de la ville des Ca- Paramount, vous pr�sente ses qu yes:, continu� par P�ralte, est meilleurs veux pour 1935 et une dure le�on pour ceux-l� vous invite � jeter un coup tre qui pensaient que l'am�ricain d'eil vers les belles machines gu t ici en pays conquis; mais � �cerire �Reming"lon� qui sont
elle' restera, par contre, un re- expos�es � son stand. il est re- Da confort pour les grands qui connu que l'utile cadeau de fin lat avaient conserv� dans leur d'ann�e est une machine � coeur la douce esp�rance d'un 1 �crire �REMINGTON. ver
retour � la Libert�. Po
Aux premiers, nous avions r.". ' me
rappel� ::que la Libert� n'est , Si,
pas seulement un apanage de VINS!
'l~sp�e umaine, mais aussi
: esphee �Aumame, maia aussi MAISON A. C. MCGUFFIE e �t surtout un attribut Indis- M S A M
pensable, essentiel de la so~u- Amateurs de bons vins, faxverainet� nationale ,tes un tour � la nouvelle MaiOr, les vard�nements se sont son A. C. MeGuffie No. 1825 les .pourSUris t bombardement, rue du Magasin de PEtat me fuillade, massa~cre de protes- t des 10.000 Chapeaux. pr tataires inoffensifs �a Mar Vous trouverez les crus de de ch:::'':::::, �te ;,e t U: 1s: � :Ie m racle
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� feclavage. Le"- Ciel ava . . . . . . . . . .D
Pair de sagter. Le deuil avee
son immnse eeharpe voilait .A VINDRE
d�j� un cr�puscule de msan . **
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� renverser le Pr�si- BERL(JN. -Le Gouverne. votver et. less � la poitrine m�ricains par le < e�dieta et son bras ment cubain a demand� au un noum� Neunaeister. Tous un accident a pr�eipit� une ?ARI$S Lavai a renvoyk le colonel Fulgenclo Reich Fextrad�tion de Yex- les occupants de i *utomobili, vingtaine dhomnmesr sur un sou projet de voyage � Rome. Tandis que l'A. I$yC. pr�sident Machado, mais il 'parni losqu&s- le Comte d'Av- camion qui arrivait avec un On dit cependant qu'un� 4lavec' le parti <�Auten- nty a. pas de trait� & ce leftord. &ig�*de:O0 ans, furent autre chargemnent, et 3soldats- liance franco-italienne contre# e sujet, le bruit ceourt jjet entre les deux pays. Par W tus et m�ltrait�s. Justie se sot case�s les jamnbes. lexpansion allemande est ue
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Est-ce pour marquer ta pla- 'de Cassation, le Parqjet-de ce pitae ce parmi les grand Martyrs haut Tribunal, Messgiurs es leur t� que la Nation commence � �- Doyen et Juges du Tribunal pathie habiliter que tu laisses la lut- civil de. Port-au-Prince, le de eu te au moment o� la partie di�- Commissaire du Gouverne- re. s cisive se joue? Au moment, nient pr�s le Tribunal civil de n-k dis-je, o� l'id'e v'raie de 14 Port-au-Frince, les Membre> gr�ve se uessine formiable, de I'Ordre des Avocats, e I- sule e grvnie? erecteur de fEcole Nationale niel
netes Ut . r�lis� unsi cie Droit, les Directeur et ProC tes il. tu srais en fesseurs (lu Lyce Nationl n a Ces ule .1 ' a l �Se en
gagnant le respec't et Iladmi- ___ - ra 0 i (d. gens de V'aleUr, e1t
. -&i 'ii i: i : iiiii iiiiii!iiiii iiiiii:i i i! i ii ;ii iiii i i! i!i!i i i i ii.;i iii iii i i;e i m i $ Y-ir z . iq 1


i-elritant (le la 'atrie. i.enle� tO tt h notre affection, que to.u C(uvre soit pour toi une source intarissable de b�n�dictions dans l'�tern1ite.
C'est donc au nom de M. Antuine Pierre-Paul l'estimable et prestigieux pr�sident de P. N. T., au nom des mehibres du parti, au nom des Macons de l'Orient et en mon nom personnel que j'ai l'honneur de pr�isenter i iia famille plor�e l'expressiont de mes condol�ances smnceres et �mues. Dors ton sommeil, mon cher Gesner, � a'ombre de ces fleurs, e est 'asile parfumie de ceux qui ont bien v�cu. Adlieu.
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Qu'elle r�partit des subsides mensuels aux Oeuvres suivantes: Cr�che de Port-auPrince, Dames de St-Fran�ois de Sales, Port-au-Prince, Pupille de St-Antoine, Port-auPrince, Association Corps En seignant, Port-au-Prince, So�ci�t� Histoire et G�ogaphie d'Haiti, Port-au-Prince, Mu. tualit� Scolaire du Bel-Air. Port-au-Prince, Cr�che de Port-de-Paix, Oeuvre �Siloe�, Jaemel, Coll�ge N. D. du P. S., Cap-Haitien, Ecole des' Fr�res de l'Instruction Chr�tienne, Cap-Haitien, Oeuvres Paroissiales de la Cure de Plaisance, Panfare Petit-Go�ve.
Que six cantines scolaires fonetionnent � Port-au-Prifr


cantines deux cents bouches y trouvent @o nement un repas r�co. et que bien des famil nes pauvres y envoi
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derWe. 'C'es4. chose eatei due. Ct pe-sonne notre avis ne peut valablement r4in becontre cel Mais. un mis en toutes choses Qu'll s'aWsse des marches ruraux ou autres.' Il est un fait �vident que dans aucun pays civilise, a notre connaissance, la libert� du
commerce, dans les campa gnes nest autoris�e sans une certaine restriction. Et ce, dfi iii., 1! :., �, e'': ft eS : iN �&M* :
dazis r Fitr m�m dsca
pagnards. Ne perdons pas cela de vue que, si le commere rural devrait s'exercer sur. toute l'�tendue des campa�gnes, il ne resterait plus de place pour l'agriculture, en tenant compte de la facilit� avec laquelle, chacun peut tenir une petite boutique chez lui sans grands d�bours.
A ce compte, le territoire rural deviendrait un vaste champ de pr�occupations com merciales; ce qui serait un grand danger pour le travail agricole. Conjurons done le danger puisqu'il en est encore temps. Oui, ce qu'il faut c'est la cr�ation des centres ruraux, on fixant des jours d�termin�s pour le trafic du march� et toutes autres speculations, sans porter atteinte aux travaux des champs. Du reste, la question d'�etablir des centres ruraux a �t� d�j� envisag�e par les Gouvernements pr�cdents. Nous en parions en connaissance de cause, p isqu' une certaine �poque, nous �tions Pr�fet de 'Arrondissement de Log�ne, charg� de nous en occuper. Nous nous souvenons meme d'avoir eu a lutter contre les tendances de la Commission Communale, qui voulait fermner le marchi de Throuin.
Et lhonorable d�put� Lorrain Dehoux. qui nous accomoagna lrs de notre visite � Ibrouin, peut en attesters
Donc, organisons sur des bases solides des centres ruraux pour faciliter les habitants des r�gions �loign�es �. faire leurs emplettes dans les march�s les plus proches, lorsqu'ils n'ont pas de besoin pressant qui les appelle en ville; et par aisi le Gouvernement leur rendrait plus de service que d'autoriser P�ta1age des infinies boutiques sur


tout le parcours des routes. Et sans faire violence a� la doctrine des physiocrates : �laissez faire et laissez passer�; nous pensons que le commerce dans les campagnes doit �tre r�glement� et < ac� sous un r�gime de surve VIlance pour le bien-�tre m�me des campagnards.
��:Et-ce sera justice!


P. J. MEXILE.


CIRONIQUE SPORTIVE


pareit. le grand jour de leur
premie sortie . Acadimia,.__ _. _ _ ' .


*Ptoute:1J d r� dg $alvsdor
der n o� �O du Gnd diner dansant.
Sfobldv p le autrea En e t d ee eux gourdes.,
sp�rts, at su t'asswer le con Se n kembre
S -cous du Comit� tttonal des Un grand bd:: en organdi.
Sporrt@' Entr�e: S gourdes.
D emandez les Hu�tres Anx& J a riS
Dbance. Dianche23 Dtoembre:
ee�La direction organisera un
ymiquselv lbtate grand tlcah e -danant et un co
matc- h d'e : atta cours p: our la plus jolie et la
toile Rouge par 4bts ~~ �r . pluS originale toilette91 : td'apr�s Belle partie de football � la- midi. quele les spectateurs ne m Grandes personnes: 2 gournagre.nt pas leurs applaudis des, sements. Imm�diatement a. Lundi � 2D�cembre:
prs le coup de pied d'envoi, Grand r�veillon. P'Etoile Rouge fit une brillau- La salle du. Trocad�ro sera te sortie. Mais lesavants, sans :.transforme. Des cotillons conjugaison de jeu, perdfent .magnifiques seront distri us leur sang froid devant la d�- �" tous les clientsw. R�servez fense adverse. Toutes leurs at vos :.tables taques seront bris�es �Gros� Entr�e: Trois Gourdes. Guillaume se cabre et admire Mardi 25 D�cembre
la force de ses shoots dans la -Comme l'ann�e derni�re, la trajectoire du ballon, Ilne de- j direction organisera un grand daigne pas les chandelles. Les 1bal pour les enfants avec dis�quipiers de l'Olympique, qul f tribution de cadeaux. que peu �nerv�s, tout d'abord, Grandes personnes 2 gourprofit�rent de l'inexperience des, enfants gratuits. des adversaires. Leur jeu _est A partir de 8 heures trente, dur. Timmer est admirable 1'entr�e sera de trois gourdes comme demi centre. Il joue po- pour un grand ba'l de gala s�ment,scientifiquement. Brus qui fera �poque que descete .-des avants de l'O , Sp�cialit�s pour la Yold lympique, une passe de l'ai- Assiettes froides � l'oie. lier droit et'un but de toute Punch au champag-ne, or beaut� est marqu� du revers 0.30. du pied par l'avant centre. Ce fut un goal-e�clair. Les choses rest�rent l� jusqu'au repos.
A la 2�me mi-temps, lesE-,
Stoiles, qui avaient p�l-semblent reluire. Malhiureuse MOND ITE
ment, leur scintillement ne devrait pas durer. L'orage Samedi � six heures du soir. gronda de l'autre c�t� et ce fut e�at lieu � la Cath�drale le mala panique. Un deuxi�me but, riage de la charmante un troisi�eme, un quatri�me, Mie. Fulvie Voigt,
tel fut le bilan de"ye match, fille de Madame et du Colonel en faveur de l'Olyw$iqu OD. P. Calixte
Comme il fallait s'y attendie, avc,
la victoire �chut � l'�quipe quit l Major Lud:wr St �i a mis le plus d'entrain, de per- (Servic deu Sant�) de la s�v�rance et de t�nacit. � l'ae- Gade t . qu�rir. L'Etoile Rouge doit L'in�ress'an ca ue a � s'en prendre au manque d'en- conduit � l'autel par mre, trainement et � la timidit� de Lue Desmangles, soeur de la ses joueurs. Ils n'ont pas eu mari�e, et le Colonel P�rez. confiance en leur propre va- Le R. P. Richard officia et leur. A la reprise, il �tait en- Son Exeelience Mgr. Le Gaacore temps pour eux de parer ze �tait a son tr�ne. au danger. Ils ont voulu r�a- Vingt quatre gentiles degir, mais leur r�action, h�si- moiselles formaient le cort�tante, sans contr�le, sans in- ge d'honneur, gerbes de fleurs tention de r�aliser, ne don- en main. La petite isele


nait a aucun moment lim- Oriol soutenait la traine de pression que l'avance olympi- la robe de l'�pouse et deux paque pouvait �tre menac�e. Au ges Auguste Durosier et J. contraire, ceux-ci marqu�rent Calixte portaient i'anneau trois autres buts. Une autre f ,
g d fnuptial. Cinquante or a�iers, grande faute de la ligne d'at sous les ordres du Major Lataque de l'Etoile Rouge: c'est vaud, formaient le cort�ge Sd'avoi n�glig� l'ailier droit militaire et la voute d'Acier. qui est excellent. Quand on -Apr�s la tourne traditionoss�de un tel �l�ment, on ne n�e, es nombreux invit�s, nelle, tes nombreux inv�t�.s,
e laisse pas se morfondre au parmi lesquels on remarquait milieu des adversaires. Cette les Secr�taires dIEtat, (les D��quipe demande une nouvelle put�s, S�naeurs, Membr esdu .mise au point. M. Morys Jean- Corps Diplomatique, des pe-not, qui arbitra la partie, s'en sonnalites de notre monde juacquitta avec honneur, il a te diciaire et commercial, des asevere, mais juste. mis de la famille, se rendiNous sommes heureux de rent dans les salons des �poux voir � la t�te de nos Clubs des Calixte o� une r�ception des
Spersonnalitbs aussi marquan- plus cordiales les attendait. tes que Messieurs Louis Aler- Son Excellence le Pr�site,4F�lix Oligario et le Doc- dent de la R�publique partateur J. Buteau. Nous leur de- gea la joie de la famille, en vons le succ�s de cette apr�s , venant vider une coupe de midi sportive, car sans leur champagne en leur honneur. protection et leur conseil, les Le parrain, en termes heujeunes ne pourraient etre jreux, adressa des veux de aussi bien organms. bonheur au jeune couple. La


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1nthosiasne�l fairplaY et
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d'entra�nement d�bute en mar &ISBA TA nire de boutde p.ar une sor-. On est pri de ire: te de confrnce sur n s P L nelre col, titre: � jet queleonque. Les jeux s'en UbUI D s, a lieu de El talt suvent:onareonu! ,:te,^c te;ieo parag., soul�vement de. ane iba4ks.o.w bn CrJPM1 au lieu ded5.
et �aeoo� est cl�tr6 j Page t So col., de Gen�te:
par une *noe de ei,�r n I d s
anralement an dooiinwtar ee d ChnghU


r�ception dura fort tard,' ensuite les 6poux partirent oiur les Gonaives. Nous renouvelons tous nos compliments .aux �poux Calixte et tous nos voeux de bonheur aux mari�s.


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Port-au-Prince, le 17 D�cembre 1984.

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