Citation
Le Nouvelliste

Material Information

Title:
Le Nouvelliste
Place of Publication:
Port-au-Prince
Publisher:
[s.n.]
Creation Date:
December 15, 1934
Frequency:
Daily (except Sunday)
daily
normalized irregular
Language:
French
Physical Description:
v. : ill. ;

Subjects

Subjects / Keywords:
Newspapers -- Haiti ( lcsh )
Newspapers -- Port-au-Prince (Haiti) ( lcsh )
Genre:
newspaper ( marcgt )
newspaper ( sobekcm )
Spatial Coverage:
Haiti -- Ouest Department -- Port-au-Prince -- Port-au-Prince

Notes

Dates or Sequential Designation:
Began publication in May 1896.
General Note:
"Journal quotidien, commercial, agricole, litteraire et d'annonces."

Record Information

Source Institution:
University of Florida
Holding Location:
University of Florida
Rights Management:
The University of Florida George A. Smathers Libraries respect the intellectual property rights of others and do not claim any copyright interest in this item. This item may be protected by copyright but is made available here under a claim of fair use (17 U.S.C. §107) for non-profit research and educational purposes. Users of this work have responsibility for determining copyright status prior to reusing, publishing or reproducing this item for purposes other than what is allowed by fair use or other copyright exemptions. Any reuse of this item in excess of fair use or other copyright exemptions requires permission of the copyright holder. The Smathers Libraries would like to learn more about this item and invite individuals or organizations to contact Digital Services (UFDC@uflib.ufl.edu) with any additional information they can provide.
Resource Identifier:
000471641 ( ALEPH )
12544054 ( OCLC )
ACN6482 ( NOTIS )

Full Text







v.


)-. ANNI�I


: SAMEM 15 ECEMBRE 94


No.
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tootla: Ot:e :it


: 4 i ii.}: i: M .n i� .:: ::::::::::: :::::::


S STjNICOLA

Sdic ans (13 hd.19L) re ditnged et dft
$$ste�.
�estion du Canal de i�tant bwnin r�gie, la
'ration franche et loyaant pus qtun triste fr, il sagit maintenant dr , en. vue de notre m" Pre otr a mquesa
ande M.Pressir a sau


enqute sur la question iagement du M�le Saint sn fonction m�me du n:tat de choses toute

mouvrons nos colonnes r .elle int�resse :


UNE LOI


ANTEDILU VIENNE

ne sais quel est celui .des respondants du �Nouvelqi a d�terr la vieille e.icembre 1914 �autoriIle ::Pouvoir Ex�cutif � idre avec des entrepreet :capitalistes pour l'a.ement du port et de la du.M�le St. Nicolas-rant qu'Haiti doit
-iper aux consequences 1miques qui vont r�sulter 'uvert:e du canal interi que de Panama.�>
- it Vieil,'e loi, bien vieileffet., ~cette loi datant de s, tellenment elle parait i ant�diluvien. a canal s'est ouvert. Et, meon devait s'y attendre, p�rience a montre qu'auS.des �les des Antilles, fi Imoins qu'aucune autre, ien eu � gagner, mais tinement � perdre plut�t, Qverture du Canal de Paa. .
.an avantage �conomite Canal. rapproche d'otrt New York des Etats ri ns du Pacifique, de le, Liverpool et Hamn gde toutes les terres du tique.
.Y a un naturel �chtange reduits avec- avantages Iels entre les groupes sus Res. Mais il coulera cerhMent beaucoup d'eaui les ponts avant le jour us penserons autiliser naI de Panama pour a1redre notre caf� ou nocre � Santiago ou � Sydas plus que les produits .pays n'ont chance de eun march� chez nous. 'est donceomnme ports ajle que nos villes maritia',raient � profiter dui eee apport� par l'ou re du Canal de Panama! s au moment o�. avec un UDiesel, un transatan'Pswt tenir la mer cintoj ours sans se- ravitailRUt parcouriy I'itin�rai, Manche, Suez, Indes, alUe et revenir par le
, sans se ravitailler, .s.ferait �L:-monter au. . Nicolas un port moni. Parr�t pcbl�mati ,uel.qes i aines de

tgi l teur d 94 est -


i


LA RARE7 LOR

Lor: metallique est devenu tellement rare, qu'on se demande vraiment s il ei existe' jsur place. Des orfi�vres offrent jusqu'� quarante gourdes pour une pi�ce de cinq dollars, et ils n'en trouvent pas. t i1 pr�tendent, que m�me �' la Banque Nationale. ce mtal est introuvable. Qu'est-ce a dire?


c � . ,,. .

excusable. Mais it s'est passe tant de choses depuis lors,
tant dans le monde commercial que dans le monde scientifique et surtout dans le monde politique! En 1924, la loi de 1914 est ant�diluvienne. Non, ce n est pas d'avantages �conomiques qu'il s' agit en 1924. quand on parle d amenagenents grandioses soit du MNle St. Nicolas, soit d'aucun autre port d'Haiti. Il s'agitt tout implementie base navale pour la marinet iilitaire des Etats-Unis d'Amrioue. I, s C'est pourquoi i'appr�cie fort ma! la r�urrection de cette loi de 1914. Elle est devenue ridicule par anachronisme. Mais nos braves cooperateurs qu: ont su. p.r u ' convenance, jeter au pani er du rebut Lois et Constitution haitiennes, sOnt capables de prend'e au serieux cette resurrection et de saisI la p. che ma�adoitement tendue. Avec un Firmin. cela ne novterait pas � cons�quence, mais en temps de cooperation franche et loyale, >our employer les vocables officiels. il ne faut pas que nous pretions le flanc � aucune attaque d�guis�e.
Je r�p�te pour finir que la loi de 1914 est d�su�te. Les esp�rances fond�es sur le d�veloppement du Moe Sain Nicolas par l'ouverture du Canal de Panama, se sont evanouieS: iexp�rilc& n a mon-


tr� I'inanit�.
Au lieu d'un port de commerce, c'est une station for-tifi�e, � l'usage de la marine des Etats-Unis qui occupe les esprits pr�sentement.Et ce ne pourrait �ti? que pour le malheur d'Haiti que ce projet se convertirait en r�alit�.
Un publiciste haitien ne doit pas se tromper on si grave mati�re et fourvoyer le peu ple. ce serait une pauvre excuse de dire qu'il s'est tromp� de bonne foi.

. J Charles PfESSOIR. i


De�'pu1 q e temps cer : tains ndiv de Etab1lie 'out droit
� moins d^k4s '�poque o� lH6pit n �tait pas haitianis�.
C'est une tend ne tr�s bu' mabe, car aujon.d'hui comm en ces tempsl, 1 existe une kdiscipline, ou plut�t un service d'ordre qui n permet pas 1 un m�decin ou une infirmi�Vre, d'abandonner. un patient pour voler au seco�rs d'un autre. C'est d Et parce qu.edes gens impatien Se heurtent � cette com WsL,:-e et juste observa tio a part des m�decins
rie !'Hotal, ils s'en paigent comme si 'on �tait tenu de leur faire un traitement . . . ilegi�.
A la' v�rit�, ce sent d'in jus t:' rec'iminations.


UN INTERESSANT
OUVRAGE


L touvrage de notre excellent ami, Emile Marcelin, �De 'Enfance � la Jeunesse�,
dont on avait annonc� la paruton vers la 2�me quinzaine de Dcembre, vient d'�tre mis
Svente a la Librairie Nouvelle a prix de 3 gourdes et demie1
Voici en quels termes bienveillai:s ':acc eille un bibliophiie:
�livre de souvenirs et de r�cits captivants, d'une lecture facile et attachante, � l'ordonnance aisee, au style sout e e t clair.
Dans ce: reis �crits ave un 'd souci de verit�, on trouve. evoqu� avec bonh:ur, le suven~ir dle nomnbreux personnages qui ont figur� avec distinction dans la litt�rature, la politique et la vie sociale haitiennes.


IL FAUT FIXER LES PRIA

Les nombreux clients dc Trocad�ro sont heureux cd'apprendre que ce �Dancing chic� organise � 'occasion de la fin d'ann�e toute une s�rie de f�tes, dont le Programme vient
d' �tre publi�.
Par exemple. pour le grand bal du samedi 22 D�c., le prix d'entr�e est de trois gourdes. Mais pour le R�veillon du lundi 24 D�cembre et celui du lundi 31, il n'est indiqu� aucun prix.
Pour �viter des malentendus, il serait bon de tout p:ecser, d'ores et dejI.


Sirop qw contre la grippe


Buvez le Rhum
Alix JOY


Il y a quelques mois depui. que nous n'entendons plus pas ]er de t'immatrcuat1ion dLe. Etrangers r�sidanit n ceth ville, et sur les autre; point de hla R�publique.
La question de s�,jour de. E t rangers en H aiti aura i.t-el le trouv�e une solution qui mette fin � laccoUn lissemeut des utiles formalit.s de V'immatriculation?
Si oui, c'est tant mieux !si lnon il y aurait lieu de continuer le fonctonnement du ser vice qui en �tait charg� au D� partement de 1' Int�rieur pour. qu'il ne soit pas dit que la io n'a �t� ex�cut�e nu e empora remrnent et � F'�gard s.uienen. t certains quand,presmu eh. que jour eDib ruclnt ce nous des �rean,ers dont i 1dentit� ne peu- , e �tal que par un controle minuticu te IAdmniiis'rat ion SupG'rieure.


X.O'VELLES DE


Un amni de BPara::,:Ls nous
a. donn .t.elhjue ie 1seignements relatifs a !'in.,ndation que vient de s'.ir ctte .eres ante population. G�neralement la Ville de Barad�res est pl1s ue tout autre point de la �pidique cxpos�e l pareils d�gits, et m�me peut �tre a cause de cela qu'on la d�signe sous le po�tique nom de � Venise d'Haiti�.
Mais les propor-tions du d�sastre qui s'est abattu sur elle ont In temo�in ncutP.i e no.u a dit que la violence du vent qui a souffle� sur in ville, atc,enlt :(. dune p "u k I' �'.i
compagn udne p an e te {ie]e. �tait telle L .ies .au gros arbres se torduie+ent (mn1.me des tire-bouchons. , Nous . atte; o ( d' lu -Nop ' d a :il ;.e :' ,. . . e " :
) C 1 po1 nos KlectLi s.


fM. ALBERT PIERRE

.Nou s reenvL,.IC : mE t R V'agr�able visite de Mcncr. Albert Pierrve. du Cap-H tien.
M. Albert Pierre a �crt. dans les �olonnes de notre confr�re �lElan> ces jou: de:.niers, un article plein de su: gesse et de bon sens, SAusi nous avons ete e reux de l'en f�liciter.


L'Institut. Tippcnlhllner demettre une e.ellente �ot
- nrwr son irrprochabl
semnn nriftrrr
S, . . . +. 7 ., . .
Lire en ge prge a liste des lSvre de la Librairie NVo uel�.


. :.:.+::


Anse-i-Veau, le 10 Dfcembre 1934.
La Population de l'Ause-. Veau


A
Son Excellence le Pr�sident Sde la Rpublique Palais National
Monsieur le,Prsidfent,
La population se voit en�n: oblig�e de faire appel & la g& n�rosit� de votre grand ceur et � votre haut esprit d(e justice pour lui donner queIques secours t aide en raison de l'�tat sanitaire pitoyab' de la ville.
Pendant toute la p�riode de secheresse, lI6tat d'abandon des rues presque toutes enti�rement d�fonc�es et ravin�es, l'absence des rigoles pour 1lcoulement des eaux et les for. tes d�pressions des terrain libres environnants, notamment de la saline, tout cela ne semblait, repr�senter un aussi danger pour la sant� publique, parce que le.coup de balai du cantonn,*r jetait la pou dre aux yeux
Mais la saison pluvieuse qui dure depuis deux mois a rendu la circulation impossible en transformant les rmes enr v�ritables cloaques, en m�me temps que les nu�es de moustiques ont engendrf une 4pid�mie de fi�vre qui menace de d�truire la ville enti�re.
La Commission conuuale s'est crois�e les bras devant ce spectacle, car d'apr-s elle, les recettes ne suffisent pas m�me pour payer les appointements de ses membres. Et de fait, tout a d�j� pass� ainSi.
En pr�sence de cet �tat de choses, il est possible pour le (Gouvernemnent, s'il veut agr�er cette offre, de trouver trois cito)yens absolument dsint�ress�s qui accepteront � prendre en mains et � titre )u remnent gratuit les int�r�ts de la Commune avec l'engagement de contr�leri la perception des taxes communales, d'afficher r�guli�rement les comptes pour le contrble du publie et d'emplo oer les reeettes au besoin reeI de la population, puisqu'il est impossible de d�serter en masse.
Et ce serait � la gloire de votre Gouvernement d'avoir r�par� cette injustice criante qui consiste � .faire courber tous les citoyens d'une commu ne sous lepoids d'une contribution dont ils ne peuvent ti-


rer aucun profit, et pour le b�n�fice exclusif d'un petit groupe de commissaires affranchis de . l'obligation de rendre dire�temnent aux mandants compte de leur mandat.
En attendant, Pr�sident, il y a urgence d'envoyer � notre secours, et dans cet espoir, nous Vous prions d'agr�er nos respectueux hommages et lessentiments de notre profond d�vouement.
Arm. Torchon, L. Mystal, I. : M6nard, Constat Malebranche, A. Charles, . A. Terchon, M. E. Maignan, E. Char

(voir ie i Ge. .page).


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l:S:
L'ANS. AU










de limportance comme moyen de

ramount� avec e per son.� ha tranger, v, 4�flt.,.- C.ait1 d ait
ta ce sujet.
Nous reprodh te extraite d~u j vant-Sec�ie�, et r <, qui bien son auteur, partage nos vues


i montre coinPaul Delisle, � ce sujet:


�Des images choisies -avec soin pourraient, judicieusement r�pandues � l'�tranger;, rectifier les jugements que l'on porte sur nous, � la suite, il faitbien le dire, de canmpagnes antifran�aises, fort bien faites celles-l�.
A quand la propagande con tre les fl�aux que sont les maladies comme la tuberculose, par le moyen du film?
Quand comprendra-t-on qu'ob peut instruire la foule tout'en l'int�ressant? L� encoure: il faut eiter l'�tranger en exemple; les Italiens et les Autriehiens imposent l'introduction dans tous les program mes (d'un illmw educatif. Somme-s-nous donc moins intelHligents que ces deux peupies pour ne pas comprendre l'importance de pareilles mesures.?
Le' (innma est un admirablhI ,uitI qui peut servir a la propagtau!e des id�es danis des domaines t ris divers. Et il I faut que nous sayoUs de rudes inb�eciles, ou des gens bien l�gers, pour ne pas l'avoir en'ore copis.�


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Dans les diffrentes ,lasses ia pr�1wratir des cLives est 'objet d'un S-oin mi autieux. Aussi :es vi3fltats s'kv�rent l de plus en plus aeptifai-, sants et les parents : o't-ils qu'� s'en louer.
Le�ons partict li�eFde Ls.vi res4 de Sciences et de La�'pTUes rivantcr
Cours sp�ciaux 'de St�noD adkgrtphie et Compto et. :
Les inivrriptiorIs se reoiVe~it tous es jonl ouvrables. Por tons a�trest renseiremeatt, s'adressee au Codl�ge Sinwm Rothfrar, Z i l. 3501
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irord mo lover fights te the death neuf. sur les . cendres d'un
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ryingits human cargo to th-eir Ile p�lhr�nage imposant de Premi�re Partie de no- dE-m and scores of other Lourdes
rogrammre comportera thrills that vou will nevel actualit�s fran�uites :h L get.
:iiiii:ii::;l::::iiii .; .;:i{ ::::::ii;# i:;: i:{i# # :i ;ii : ::: : i !i; ::: li!--i !ii ::.iii ii;i# ;: iii i i ;;i:i ii:iiii :t i : iii : ii# ii il:(;;i i :# i:: iii.:i:: !:S ::ii :i:ii:i.iilii! :iii l # i::;-e-i i lc::: u ni l ![;; :i ! : {iii ii !)li
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acta-i ** fra-a -e-


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- .secae u


DI_19DECEMBRE
:U1821. .":":--.s


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av ie
7.l et
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ha . EI'DI 20 DECEM BR
ara- rn sorie populaire, � 8:15 las.
<3rmaine Dermo:. Jacques
.r,, k? O > ",- ,
iiat Fraincui� Rotzet, it te Po rda, suu.a son Fainiler. M'Ina Gova,. i-Fefrnel


(k,>
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I � riat ir: de A, Ren Sti
diaogt.ue s c e erges Berr C- Ma4len� uitt,! Jean
MaS'trie-1 aureunt, Rog"ee 'ai .Pauu is, i r�an,. 1 ul i
1;�n4



I:'ierI e i ne, e -i.�malographique.une


i.'r t i' an -e~�ahn ermiain 711 1rumt' ' el Nimnie Rou e uq rs

di1r r l ( pat
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LE DRA.1E 1E Ol.'RI)DES
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, s etentissant au
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f r'i�.;yO <' .11iraculen '


: Si A FC.E'2; DE( .
.E .qrgtin�e, 1.0 h rre:'

M V (J L.EMOYIIE
Lr>
I arisiens
dans
( E . F AIBLE FrMIE un filmn Paramoul
i a pr-es .a pice de ,Jacqu. Deva l
ralisation de Max de :Venrbe 1l
avec Andr ' Luguet, Piere do G iu iii g - n (I
urn tucn i c'a m ut on. tre Andr� Lugue! et Puerre Guingand, tour'noi d:nt I e jeu est Meg Le:onnier plu d�licieuse et plus jolie que ja. mais,,i iUd�ciOTion d'une fenme. dont les h�sitations vous charmeront et vous s�duiront tour � tour.
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r�alisation de Cedrie Gibbon avec Johnny Weissmuller, Maureen O'Sullivan
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une auvre �ont le sUcc': : e-t .as prs de finir.


RESU ' 1 S( J ."AR
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sa \'ie n \eu a - .'iJI
sonS aux carreut j
qui xerce ICla pr of n. d clIeamelot, Une etroite amniti� . unit.
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1.,.iTHlTic' .:!< s .nf , I t . -oor. co::rD''''tcrt f ' '1 -rp

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ce Dan- Juan d f abourg,;I'

ger service 't trou\e" 'to. deven [e sui pril'ier. I ia eo inop� e Fldu inV.t intr nompt l'entretien.
(arti Fred conildre Po

dul e ar la cour bru'Iae de ce Don Juan du faubourg. E le accepte de l'accom-patne le soir au bal musett. Fredi

part~~Tie gagnee et drobe P
il est tout surpris . de voir ' la indignc, ,se lever et q: ter le bal avant qu:'i? ait e. temps Pha , deF'maee or ce d la rue, Ell 0 n 0:q retourne chez elle, on Fred I-i ret roun<-' ra s�rement. Elic ne sait o diriger ses pas. Albert qui pa se, lui propose de femnene che lui: elle accepto. Le mar chand de chasqns n'en re


Iv




vient pa Vraiment oile veut bien? Mais, arriv� chez lui, Il d�chante. Pola n'a nullement intention de se laisser ap. .:.:b




proeher, et c'est � terre, s6pas rs par le lit, que les -jeunes
!. . .: .: .iillii ii)iil]!h ?i ii ili} . ii i < b : " . : . .� < .




gens s'endorment. Ils continuent n�anmoins � se voir, et oa, touch�e :par amour
d'Albert, consent � devenir: s. femme. Fou de joie, le J homme fait ses pr�paratifs en vue de ce grand �venement, 11 '�tait r�joui trop t�t. :es inspecteurs de la S�iret� vio nent l'arr�ter pour un vol: commis par un de ses catmarades.
Pendant qu'il est en prison,. Pola rencontre Louis, qui ignore son idylle avec Albert, Louis est joli gar�on, torute les femmes le disent. C'est au$ si l'avis de Pola qui n'a �prouv� pour Albert qu'un seniment d'amiti3 et qui V�prted follement de Lous. Ell est mme terriblement jalouse do lui, it ne peutt regarder une femme stan,s qu.-elle lui fasse une scne. C'est i~ la suite d'une de ces SC', alOrs qu'elle venait de le quitter sous le coup de sa er bre, qu'elle rercon tre Fred.
Celui-ci avait myst�rieuenment disparu depuis quelques semaines. Toujours galant, i invite Pola h le suivre au bal Pour se venger de Louis, elle accepte. Cependant, Albert, reconnu innocent, est lib�r� le m&�ne jour. Il1 rentredans sa chambre, o�l il t.rouve un billet mena�ait, portant la signature de Fred. Naturellement, il La, il voit Pola dans les .bras de Fred. en train de dafr 'ser, Comme il n'a pas cu de nouvelles de Pola depuis son arrestation, il croit comprentre qu'elle est devenue la mai tresse de Fre d, l-'a �'av.ance


veris Albert. Il lui tourne le dos. Fred s'approche et, d'iun ton mena�ant, �Afend I AIbert de parler - ola. Albert ne r�pond snas, ,os'm
re.t.:e 1.rne, i orchestre atthpv ne CdfnS.r il va, avec clin? . inv ite r Pg �a. Albert dalnse in silence ava Pola. La danse termin�e, il la rambne a so place. Fred grommelle, menacant: �Si tu es un homnmE, suis-moi>. Tojours sans pronncer une parole, Albert le suit. C'est dlans une rue voisine one in ri e e del�voule,. Albert., moins fort
que Fred. va avoir le des.>us lorsque Louis, pr�venu par Pola, suvient, suivi de quelques agents attir�s par le bruit. Les deux amis retrouvent Pola dans un caf� voisin, et Albert, ignorant les sentiments du camelot, embrasse tendrement la jeune fille. Louis en fait autant.: les dexx jeunes gens, qui igmnoraient leur mutuel amour pour Pola, se dressent ein face l'unt de ]'autre. Ils vont se battre.
Pola, affol�e, se jette dan# les bras de Louis. Albert coMprendi Il laissera Pola tre heureuse-ave Louis, et repren dra sa vie s�litaire dans les rues de Paris.



Enrayee des
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j '~ Fri�tioner tvott1'
p-trine aveC"Vie w Samant que votre
u[rhume empitre.


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: DRAME DE LOURDES :n ftm d'atmosph�re
catholique


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asNat3Ixva14U c4a11ss�irrttw de Evole �La Sain Itais le su$et d4
fi PORCfLWK tddmlet :Ama Tn
IMPLAGtA FLN PILA t d�1e, durant sa vie, A , Mes
. NA TURE se d#voua � lbducation de! Bam
tout petits et son �tablisse mestbm
A l rmeut jou�ss�it de la confiance lIons, t
R T BON des illes.
lL fun�railles auront liu Maman, u
timplaaidas cet apr�s-midi � Sainte Anne, ses tailettes L1 hi
ablection dlapersistance des plus , Aux p4reuts 4prouv�s, nou� >ANTON L. SF
forts. IYne fawon on d'une autre1 I envoyons nos plus sine�res chez Saba. En si; Lb.fLelle drtes plusafaibles. et les condolbanes, strement le 8fr


NOU VIITEetc., pour- ne pas mentic mer les d&- Est morte �galement I t vode ias
denti tivsoe tntouses
Ser Me Charles Th�venin. tes Chemites
* Nous avons re�u hier ma- maladies, et d'autres, donerzdeur Les fun�railles se ferot/Tout est abso
tit lPagr�able visite du Char- regtti�remncnt de FEmLulSIoU Seq cet apres>-midi-� la CXath�dv a etez un coup
g� d'Affaires mexicain, M. d'huile de foie de morue pure, ce le � 4 heures.
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! - q ! ! ! i :::i ]i : . i i: :i!,-.:iiii: .: !i: i. .i -!: .-. :.": !]:: .: - -� dl e z.:. a . :.:.:. . .:. .-.-. . j -: ; . I : : -. Z [! . , -.:: 4 .:ii.;. < . i i. � : i i .:.:.
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�. . " :. - .mette. "�. ' . v. . :,. .- C. .::.C.hmre.:. er T .:.h : a t a m -::.o :: :.m ;.

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" ~~~ ~~ : �,,n ,,.Ce hf a ].n bontl .�d.es"VitatminesA. et D. . .:i.::. . . .:-.:


fauidra pas beaucoup de temps pour conqu�rir la sympathie des haitiens.
En attendant que soit terSmin�e l'installation de la L�gation Mexicaine � Port-auPrince, il r�side temporairement � 'h�tel Splendide.
Nous r�jouissons d'apprendre que le Mexique aura d�sormais un repr�sentant permanent en Haiti. C'est une nouvelle preuve d(le l'int�r�t que nous po)rte le Gouvernement mexicain, depuis la conf�rence de Montevideo, au cours de l,,uuelle les l�gations dis deux pays firent cause commune sur beaucoup de

Inutile de dire que cet interet est r�ecipoque, et que nous esp�rons voir les relations de n�s deux peuples devenir de plus en plus �troites et cordiales. .#


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BER11 N. L train express dan�s equel vo->ageait le Reichfueher Hitler a tu� trei e personnes 1la nuit derni�re, en heurtant un afitobuIs pr�s de Verden. Quatr autres ont �t� bless�es se. usement, et trois l�g�ren ent. Officiellement; on a ldar� que les victimes �taint des acteurs, mniais d'apr�s des renseignements parvenus � Berlin, via Br�me, les morts faisaient partie des �jeunesses hitl�riennes�. Apr�s l'accident le Fuehrer lui-m�me descendit
son train et pareourut un mille � pied pour aller regarder les d�bris da .'autobus et les cadavres des victimes.


cut train, ne devait passe>' a cette heure-l� L'�pais brouillard 'a emp�ch� de voir que les barri�res �taient ouvertes,
xxx
CHANGHAI.- 10.000 soldats des troupes gouvernenentales sont entr�s dans la province d'Anhwei pour ch �tier les bandits qui ont tu� deux missionnaires am�ricains, M. et Mme. Stam. et essayer de retrouver leur fille, �g�e de 2 ans, enlev�e en m�me temps qu'eux, � Tsingteh. L'avance des troupes gouvernementales est d'autant plus rapide que, d'apr�s les derni�res nouvelles, le R�v. Erwin Kohfield, sa femme et


xxx ses trois enfants, habiotant
BERLIN.- Le Reichfueh- Tunki, � 60 milles de Tsingrer 'Hitler a dirig� personnel- teh, courent un grand danger. .em�nt les travaux de secours Il y a beaucoup d'autres misaux occupants d'un autobus sionnaires dans la r�gion. En he�rt �: par un train sp�cial battant' en retraite, les bandans leque.l il voyageait, ve- d ts-> ont dtruit plusieurs n . : i .ant . de Br�me. L'accident est ponts pour g�ner avance des .arriv . un passage a niveau troupes loyales. On �value � .situ� pr�s de Landwedel, dans 200 hommes l'effectif de la le .anovre. 15 personnes ont bande qui avait captur� les :te::� tues: et:: 5 bless�es. 9 fem- inmissionnaires massacr�s,mais S mes ont parm:i les morts. La il est .probable qu'elle s'est plupart des vi ctimg4iedhnt des renforc�e de centaines d'aumembres d'une troupe d'ae- tres soldats communistes. 1 teurs qui se rendait � VerdensurAlle ~~Hitler a o rdonn� MOSCOU. -- Un nouveau personnellem-i ent h lniifvoi d'un conflit est n� entre la Russie trai . d'ambulance de Br'ipe, et. le Manchowkouo, a l'ocaet a fait mobiliser les troupes shon de liarrestaton ill�gale ':d'assautde fl rgioni pour a .-.d'un employ .du service consirer .~~ s premiers secours. -sular. �-ire sovitique. D'apr�s ua t'a�cident provient probable- communiqu�, le Consul G�neN ent d& ce que le rn�eanieie< ral de lMI. R. 8 S. Ra remis a. traverrs� � toute.yitesse une priotestation officielle aux
-c~ette prtion ,de la- voie, o�l, fonc*tioi�naird& du Manchou,eVso rVm&nr0 nnrnm�alt au- kouoed �n eoat:sant les gardes


bFl ee,. de lzancien regime sariSte. a� la sold.e de la nolicee mandchoue, d'avoir ar-.te un courrier du consulat et de avoir soumis un interrogatoire.
xxx
HAMBOURG. - - L:ex-pr�si dent de (Cuba Gerardo Machado a visit� vendredi la Foire de No�l, sans paraitre outre mesure impressionn� des d�mnarches entreprises par le autorit�s cubaines pour obtenir son extradition. Apr�s avoir passe quelques jours en Allemagne, Machadclo compte se rendre � Oslo ou � Stockholm.
ROME.-- L'Italie adh�rera au trait� d'extradition sign� par Cuba avec plusieurs pays, si on le lui demande, au cas o� Machado viendrait en Italie y fixer" sa r�sidence. Mais le Gouvernement italien a soulign� que le. trait� ne s'applique pas aux affaires politiques, et qu'il continuera sa politique de ne pas intervenir dans les questions d�coulant de crimes politiques.
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LA HAVANE.- Les auto. rit�s ont mis sur pied toutes les forces mii-itaires et de police dont elles d!.posent, pouremp�cher que les fun�railles de l'ancien ambassadenr de Cuba � Washihgton, -Marquez Sterling, ne t.i t .occasian d'actes de terrorime. Des gar des �taient �ehelmnnu�s sur les quais, a l'arrive du croiseur am�ricain .Treoton, qui tranportait l.e cadavre. Les entrees


c'es docks �taient soigneusement gard�es, et personne e savait qcuel parcours suivrait le cort�ge. Des soldats et des marins ont escort� le corps jusqu'au cimeti�re de Colon. D s milliers de sp.ctateurs remplissaient les trues,.
N
LOS ANGELES.-La pluie qui mena�ait d'inondation depuis deux jours la plaine cotiere de Los Angeles, semble avoir cess�.- Une averse qui s' �tait produite dans la region de La Crescenta-Montrose avait inond� trois vallons ' et avait mis en panique environ 500 habitants de la zone.
WASHINGTON. -- Tout semble indiquer que 'enqu�te du Comit� S�natorial des Armes et Munitions va �tre prochainement �tendue � la fi'me J. P. Morgan & Coq, qui avait jou� un rSle de premier plan dans les op�rations finan ci�res de l'�poque de la Grande Guerre.


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MELBOURNE.-Le cham. pion Australien Adrian Quist a �limin� Fred Perry de" la comp�tition de Victoria, par


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fois qu'il triomphe ( nier.
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BREM ERTON. jours apr�s la mort: amiral John Hallig nonce que le coB iit Coontz, ag� de 70 a sentement �a la reti gravement malade command� le chanti de Bremerton:: pe! Grande Guerre, aval d'�tat major de la 1: avait �t� l'inspira4u politique de primai du Pr�sident Hardi



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lI , direetnment, chaque Mardit, except�se ns. �4Wa: .
ioulLr, qui laissera Lundi, le 24 D�cembre, 19Me
:A le Mercred2i,.2 Janvior, 195. et S-.S. uAN
S ercredi, 13 F�vrier, 1985.e n n usn AVIS IMPOCtWANT
ljes steamers sont pourvus de Chambre frigori- OH11S
ra-.WF-.-. Le QuartierGnil d
SNHEWI-YORK ARRIVAGES � P-AUf.P& f t p re V I qu e le IHaiUa plantno
S le 4 D., 194, le 9 D.e. 1934 pour dette contre leA enno l�r':+ l:9


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Jan., 1935, Jan., 1935, F�v., 1935, F�v.5y1935,
F�v., 95, F�v., 1935, Mars 1935., Mars 1935. Mars 19.35, Mars 1935,


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oiri un: pneu qui se passe de pr�s etatn ent oua Ps Le.re re s- sculptures massives et slantesdesa bande de roulement tenant fermenwnent la route, sont des sygthboes de a�curit� depuis les d�buts de lautonmobile. Ime au cours des annes d'adversld qui vienent de s'itconiar, ssLen-es ont d�p-se celles de tout aulre pneu, qul qu'cn Iit le prix.


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dela Garde d'Haiti ccuvr�wt le plus souvent des abus d'ysurfers, informs le& int�re&se que, d6sormais, pour mettre un frein � cette exploitation, it ne donnera suite a leurs irequetes qu'en so confornmant au mode de paiement prescrit par la loi c'est � dire n ne disposant que du
tiers de la paie d'u garde pour l'extinction dle gs obligations, quels que soient le nombre des cr�anciers, la va leur de la c�ance et les appointenents du d�biteur
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rectrice du Centre d'Etuders Universitaires, annonce ait public qu'un registre est ouvert au local de son Etablissernent, sis au Bois - Verna, � toutes les personnes qui vulent s 'inscrire soit pour dos cours classiques, soit pour d&s cours facultatifs (EpagnoI, Anglais, St�nographie, Dacty]lographie. Cour de coupe, (le diction, de dessin, d'ameu blemnent, d'arts mnagers; de .iege, de pianoou de chant.) Ade&se, Pois-Verna en face Ed. Est�ve.
T�i�phoie 3773.


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Le Vapeur P-SfT()RES Voy N B de rrtour de ports Colombiens, de Crist{Sai C. Z, de Kiugstn, Ja., egst attendu � Port-au- Prince le 1 D�cembre 1934, en route le meme jour � 11 hrs. A. M. po' New York. p�1elant frt., passag'ers et ma le.

le Vapeur li.HAII \oy. ;5 3 . partiva .ie New Yrn:k le I : fDecer~.�e �y: directeme n p ru l' P .- r in-e o-nc
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qols M�ran, Mornan Israel, ' Cette foisei, nous jetons le pas fini de vom ifier11nousACOT t/
Ch. Malebranche, H�nri Char cri d'alarme, car Il nous faut reste deux vr�v�lations. essenw lemagt*, Cl. Pailli�re, A. trouver le chemin du coeur des tielles � vous faire et que-P'on
Emond .C h a]e s, Louis Haitiens. . pren:1 toujours soin d'igno n
Mentor, V oIne y .Angla On a, comme toujours, ac- rer. Ce Profit fluctde entre
de> Darius Allain, Ph. Ber- cr�dit� des l�gendes qui out deux p�les d�cisifs: les Bl. ALMANACH VSRIVOT
nadel. Reb. N aurice, Gabriel tait et continuent de faire un lots Invendus et les D�biteurs
Eustache, M. Maignan, L. tort d'une virulence inouie � Divers. Il ne faut qu'un bil-~ ALMANACHI NA TIONAL.
Boireau, E Iubert, G. Sas- .otre Institution. Les propor- let, .est vrai, pour gagner le
d�, J. Pre Jacqu etc. ;tLions de tes l�gendes se sont Gros Lot, mais onle perd tout rette .
N Paill�re, Philocl�s Bernadel, bides sui nous ont toujours 80. Ce ne serai pas non plus f Parinin
-Alhias Bury donnons par les port�s a nous insurger contre un tour de force pounr la Latepr�sentes, notre agr�ment auix tout ce qui est haitien ou ce rie de Te gagxer Ceperndaht, Vie de warn�son
fins de la supplique dat�e du que fait lhaitien. depuis F�vrier ce rentieou40 D�cembre 1934 et adress�e Bref, venon.4-en aux faits. ment ne lui ful pa oct r�y�d ClhAMirmer ,
1au Pr�sident de la R�publique On reproche � la Loterie Nq, par le Sort. Ainsi donc, dans relativement it IoiRre des trois tionale de verser trop de sub-~ soin Budget � charp~ence rigicitoyvens qui acceptent de g�- sies a des fonctionnaires ou de. les Invenduts occasionnent Pour ler� junws:
r gratuitement les interets dIes per'sOmItOts d10 IEtat. un trou b�ant quYagrandit ee
de la Commumne. ,On r�p�te, avec rancoeur, que gardent nos DX$biteurs lierrot * . . . ,.
br~ 194 che de Monisieur' Edouaird 1- Ifit fond par les invendus
teve. On VOUS So~utiEnft, onl veuIt cu dans la poche de c03 ia-Inrpd (I. Pail�ire Ph. Iernuadel, 1neme VOUS (L3monitr que 1~ ers inso�vables. Nous - i
A. Bury. Administrateurs se tailien ns. ainsi, boucler par Pertt, itte
� chaque tirage4 des prts le cele de G. 750,QO du tiraC nines. On en a fait oe cae'' � N ome �cnul� Et, * - z.
des chiffres vous Aont ( n . du D
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Cet tpres-nMidi n he L.es, t xclur e. ni teiY2 ire bit a , Il e i� ar 4N
aura lieu i� la Cath�drale e 1 commerce des oteie etra e c e nt st 4 2,
rBariage de ge�res. Neus n aon; auun mia c�at r:,ire. - dan
ille. Fulie Voigi dron aror' cette concure s temps sn ? L
h Ille (le Madame et du C:- cem; ele a viDn dinCligne. ILet frm que ia n ae. kn H S(a E aneAN
Cfl�Ctt acr'.ecsi i� s-l d - et t.4e nu:.~*f











nel D. P. Calixte, m�rite ShIe� &VibICent, e nt n it
avec de note Len pa let c> r di- tnsmpr tonrra un Ct' 8 Acures l
Le Major Ludner St. Eloi . ment bfoui. On lui reprocf dministra� 4 FoI t
de laGre d'Haiti. meme Nos meilleurs v eux de bon- Ce voix ameres essaiment gnifiance reste cour compteSO maitalmn i et Srgr n eac
eur aux jUpet nos partut. a dlinini. (pestuu aux Haitienquie ortent msVtrar ni osepht a ra
complimets a e Baif, to not a faits ent e 111 u ua il Two Vro Joseph Schidlra
___________ _______________geant et comba�(Cin fjuste. cous aeh terez, tous, ou dGu
On rer3-e,�14,tLoeieN












. .iAujeU hu, pour �'ca�ver 1 pe Sr Iez os to ha
Rle DE OeL toutes ces accusations, noix e set, ue notre Lot erle le a t f
Sengageons delib�r�ment not'e J Wiondra �nteressante. CYest parole d'honneur. e mdnaire De me�ne, tout au
Dmanhe 23 Deem Nous reme�'so>ns hi tiDi'S - c; ' ih basard peut �tre
e d e et upiles de o l e e on d�clarant. ur� amsne n HaitiD parce que
An -e offrent leur Arbre ie e: orbi, qu'aucun subside indb or Haii ou entre Hp)itiens I
Ne I ' ancin~ inca� Cu l.b vidude n'est inscrit au Bu-j Cmprendrez-vous mainteuman. On amusera ; get de la Loteile. .1 ;,fa I a I - -ta 1 P u. e . $He�ite 1
me aconn- ren t e dc oeur n'enrichissez point dJ:'t'es ,
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