Le Nouvelliste ( September 6, 1934 )

. .


;a-


. . . .1. . . . . . . . .
. . . . . .
. . . -. -p . A t > o>


". : .
WOITIDIEN
. . .


FONDS EN I8
. . . . . . . ._: . .


. . .= . . :: 7 :. .,. . . . . . ." . . : . .
Ille :: -:: : . :::. :,::,::.: ::::: :,, ,:: r a .~ a : :. .:.::+. .?-. . .
r .: : : .
:7 m> .1
tANNEE .~ WttpRN. 1 S
.I


6 S$PTE.MBRE 1934


No, 13390


. :. 7 : .u ".'" .:. . r .v :w.w .w : :. . . ,-. ? r -. :. -': '.' . . .


&t .W .t . .-~
.:. :.:/ .?.i:h .: .7 .i.: h i:: :~ ii :.:i~ ~ i.i:i: : -ii ii ). i: i i 7 . . .W .iI. . :.::::N t%%~l: .i: : . ." : %


LA LO J SUR LB TARIFF LE DISCO !IIS DE

dS MINIMUM CLOTURE DlU
q4
1 ':.:.::, : i')::. . ,:i.:,, -:.-::. :::."; A L ~ iIS R : N A R F L IS O R $ D
tlu~ i::J ssi::, : :: : .bV : .

.ET MAXIMUM PRESIDENT
': . .-i.:ii. .:ii .: ~. i~. ii. ~. ~~~.i~~~~~~~~ii~~~~iiii i. i.i. .i. :. i:. : .ii ii :: i.::.i :i :.::: i~. i:. :i .:.E :::%: 5 E .1 1 B I R E:iii:h
R L'A SSEIJLE
nous en Dtput6 rtpondit que la Chgmn
r d'hegm bre d!i au.e rnaitresse de La Chambre a voPS Ie pro- NATIONALE
ner soir Phares que Von hea ce que la jet du Gouvernemenut t abi u Palta Chanmbre voudric JSuan avait Ment un tarif maxhixum dtm1arrdtele Soleil, notre Parle I nimum suit le; moarchandises
etran- nent arrdtait l4 Tempt,! Corns du Pays qui nous veiunt0 saws A Ia s chance de cloture de Ia lions au me on chehottait dans Vau- acheter de nous, dernire Session Legislative,
tirent La diloire gue ce iWest pas$ $t- iette 10i cnvoyee au SUnat qui ftaus i la delotur des sister it rieux4 Pun des ddputis, qi vsers minuit a subi la dision pendulest, le residentt deo
.







ela Sea- n'entendait pa patauger,ti- du Grand Corps de tout a- PAssemnblie, Ntr. le Steur s crnes ra nwrreusement sa monte journey. Fourchard Mlartineau fit n
station, en distant: Voe jP 65 par la Chambre discours. 11 remtrmora les ions Lc public a raitsn, car t trs sympathiue an Saint te: inoubliabies.e la Nation


ion. EL dois atoner en tonutefranchzi- cot-to lhiot ari' inTmdn- Haitienne venait de vivre, ni ws pus se qu'il Cs! rinit plus cing 12L311n sshu*u o~ttos, le woyant partlr les Americains. iods suir miinutes.~ Gouverncsnmnt ayant fau to- et se fit interpr~ete de i'Asira de xxx iion.d'apits t erif dona le e pour magnifier cs

Sous ier. d'agi heureux tvnements et c fn
satunet l li Bsant:V eja_ a iu- zr COU
trtn. Et doi$ arlouer eft toute -frarmht. -." Haiitiienne ,,ena tde A.
,s pas se qu'it -rs m inult u in t e: : ~-" .:" _:,* ---l : - 'is $ur miflutesl a venm~t a. n tI uto- e t sile fit I inlterpolte de Il"A.
meso de visation, n 1 In t {:ar
ri eme fde a- s Ieb, Pour m agrifier c es"
fa, flous x: : ereux {venements et eqf


I en penr ar s Nos amisa, c-s strangers qui e- tour 'eviter lt o .ediscussion etel taicnt av-ec noms dans Vaudi tio'- le Gouvernement devrait
sFrn, ps tire, nous -font remarquer uourd'hui piqurV artilchoieurs Zphprin ce qu'il serait plus habile de re- -e qui ini permetdaugmen
.atur.ph e harder la pendule et non de t1r le5 droitS de 50 o.
pue. La Vix. les ges- 'arrr t mai n h o Ls imortturS S pretres d'un de ces deux ptatrt, iue venus depuis deux moit; Its
lant~~seM, riste lout pres, re'plique Judi .ves :.,-.eu.mo;is pareant-id, eusmnct t f.
sr.pr toelt e ett e.USCWn q' auar a r Cnt fai venir spialement un S its parlaict harder trop souvent pour nave iaponais bonde de mare it p a eYmptcher datteindre mi chandisos- C;-tt eargaison
ieux a la fonis, pour hd-1aerrait paver es 40 o o0: seul
( -mme pont de .u.''
d'e levie pquonta ~d Yrcf, nous allons dawse tes moyen Id'obliger e Japon it drenn quels beaux oirs taquiner tes n- constater que nous agissons,
Sre 'erent. o l l l t faut -cheter de
d., qu z u d ? et. u t m a . -,.
rendreampa du ie ieur marquee par eur nous Et puis, par ces temps & ea faisait ar'ee la lheurc marquee parl-eeettes
de Fombrun dirt- montr. Certain sourient, a aboin s d roieettesde
i.sance, qui cherchait en ous a doant exae. 'Etat a bso des droits d
omprendr qu'i l etait ment et ls autres sourie Qu on y songe' le e considtrerla en s'y refusant. Mais i y a Quon y soge ion. dajourne? int longtemps que minuit avait teas Ttttaque e sond! Les Ptres Conserits at-
n l, concernalenu- tendalhnt toujours la Chamikeoncernant le lnoubre qui otait tdes lois, en mo- de l a Chambre notifiant qu'eluk. an.S.difiaif etc., ete, le a fini se travaux et qu'elle
tdeavant le Senltriegt rie r"-nirenAs order son vote ur- Enftin, un ou deux Messa- eat prete a se reunir en AMdrson vote d'ur- 'atima e le r.,
immitdiat i e mme Ies de Ia Chambre arrivent semblee national, L Grand an S t.na- Corps i it irruption dans la %phyrin t TIlemo- Reprise e a seanwe: La sale et vient se joindre I la lent sons une i .le (.hambre enwoie la lo sur la Chambre qui, dtai votait en t gu'. u facie de Pension Militaire,c'eat--dire grande vitesse et n'a fait, ce ore tpicatiohs qu. ta wratite de 'Aventr des voyant, qu'acctltrer. eraln: e Senilt y Of fciers et soldats de la Garkr inll. LStliafit. Ot .
s Januis fat: it a- de d'HaitL.- Les Sinateurs xxx
kediscussion du pro- 'rneimque et Paultre sunt titvenal d'accordr: contre.; its reclament ajour- Nous renconlrons nore ex, et lvole immid t. nement- de cette lol, 71ais tle cellent confrere Clement Ma-'
phre c moment Prtsident du Senat met La de- gloire qui, comme nous, renail e Quau Seun tai es mande d'urgence aux oix. Li pour la premiere fois as3ister W- Qu'au Senat, l est J"eduree m X O
fjourner la discus- Senateur Telemaque v o t i0 a une seance du Parlement Sles pro jets qu'en- qu'on peutd rater contre sa de- Hailien depuis la reconstiturChambref En effect, la naide d'ajournement, it s'- Ition des Chambres Ltgislatire en enole plsieurs erie: Eh bien, alors? l est res. En souriant, nous ltui deenait de t, minitn passe, tout vote de minandons dtie nous faire voir
tnd q'iIoer, le p tA s emblde est inconstitu- soa montre pour connaitre IFs n .pas e tionnebl>.- Ce ch bien alorsb l'heure; on devine le sourire e.o. nsidrer, maits
arete teps mais raut des millions. El comme qu? nous relourne l'ami Clt re Aut I Snp. -e n le S nateur T lemaque est de ment! en nous pre'sentant sa
#: e, jt endant caracttre 6 fire du potin niintre. Depuis longtemps on e ud uem nt pour t aver n'importe quell vote in. 'tnait aun lendemain.de la daD t te pou e constilutionnel, puisque tout te constitutionnelle pour la rnz u u e temn ps le mownde sa vit que depuis clture, mais cela n'emp*Psse en Suspen- laongtempsa on tait la date chait pas que nos parlemen#net cen xudren.ehts enrops, aue- du 6 Sept. Des Stnateurs se l- taires rnpondissent a ce me. oge#wnt cel de sa- rent pour voter aver T ltma- ment li, a l'appel pour La san Sl oe u a que.- CLe Snateur Pradel ye en A ssemblee NationaleS
re eptroet que la rehd son cotligue Mars par devant clitturer la Session! Le t ifg afrai. ile bras, pour le porter & se Message qui fera part de cel
a-:.:.: meitre debot, ee que Mars acte 4 L'Extcutif mentionnera
-,Xxx fail d'ailleurs, et ainsi te vo que cette el6ture a en lieu &
.e passe /ati t tdif te du Projet sur la Pension de la date du 5 Septembre. I fderre limite fixte nos ofefiters et soldats est a- est crat que les H aliens, en aiuttion; ourn lurant dane certain. eas, ent
A' tnchantement, <(Eh bien alors> tous leas au- le petit true de torteil ft pres.dt StUd 'arrtte, trees votes donnts et ates ser et avee cela, mme en :aetout leomo faita dana la suite, aussi bien mentant its ont la coInSence
i consulter sn par Ie en Snate uraTei en paix. .
tatditoire. A 'La maqu que p par lea autres Pn- 41Le NouvellitE a lattb
to lalemns res ronsuts italent quot? aunt tr&ve n-i mereiS, durant i14


enrmees!a La lop sr la rension il n et par fone les nweens fnitre des F taire merail la scale vote 1 pop la ren es
.ass. cnstttonelmn!WumrsO~iltie.
.reser.a.anr K a t tl t re i
.-. .' . . . . .: :. . . .


que M. le Prisident de I'Assembi6e s'abstint de confondre dans ses 6loges et le Pr6siden*t de la Republique qui a tant faith pour aboutir a ces rsuitat-s et les autres m e "m cs .I FExecutif qui ont second ses efforts, les noms de ees oubli6s dans Ie discours de M. Fourchard Martineau &taient dans i a pensde et sur les l6vres des assistants, tout le temps que le.S&nataur Martineau parlait de ces dates et de ces ftes.
Le Senateur Martineau arait termine son discours, s'6tait assis quand, meme apres change de rues avec le President de Ia Chambre, iI se 1.ve i nouveau et fait remarquer qu'% la de:-nire clyturo de Session, les membres du Gouvernement etaient absents;aujourd'hui ils sont pr& sents. Une tirade sur 'harmonie des Grands Pouvoirs est mise en train par le Snateur Martineau, et admirablement bien termine, par e Ministre Titus, repondant au non du Cabinet.


A PROPOS D'UNE,'


SESSION


EXTRAORDINAIRE


Dans le diseours de cloture de la Session hier, le President de I'Assembl6e Nationale, le Senateur Fourchard Martineau, a declare" qu'une session extraordinaire etait necessaire, indispensable.
Quand on songe qu'll y a des projets deposes depuis quatre mois devant le Corps L6gislatif et qui n'ont pas eu de sanction; que les budgets, d6poses depuis tla premiere quinzaine d'Avril, hier apres .-inuit, etaient encore au vote des deux Chambres, on noe peut que sourire en entendant parlor de Session Extraordinaire.
L'Executif tient-il a ce que le L gislatif dise son mot dans le project de Liberation Finan-iere?
Si apres quatre mois de tergiverrations, le L6gislatif n'Wa pasjug6 utile de s'mtbresser a la chose, que ce contr6le tel ,qu'il est fix6 par: Traitt, Acords qu'on n'Wa pas daigne a-


LE SENAT ET LE


ain


te at*tre liberation!
Ainsi, chaque fois qu'on verra le Palais du Conseiller" Financier occupy par lui et ses agents, et qu'on saura que ces 18 fonctionnaires de Washington y sont, contr51ant nos Douanes et nos Finances, on se dira que C'est la conseq~'ence d'une faute, et on saura quels en sont les auteurs.


broger, continue jusquau pavement de Ia dette.
L'Executif a fait. sn.m deI oir, il peut regarder la Nation en face. Si ce controie demeure,il n'y est pour rien, i avait tout arrange pour qutil prenne fli .i.


-.n . .". .

, ieLa suite ie non jn or:s
a fins n Sterpag.0'


00l


srdqull at do qudiflne we a conduct h anze henre,~ a




e ~ies aeps.t e Mfardnoun
Ion d'aller as ede etture di
gmend d'hti S~tinet, nlous c ae dieept
neers sN um 'En effet, arr

a. Sinal, et
lJnidrt


. . .


. . . . __ W IN. E # ,


- -.-- - - .-- - .- - - - - - - - - -.- --.---- -.-- - - - - -


. . . . . :


.


PROJET DE BANQUE


Tandis que notre editorial d'hier expliquait que Me. Prw del, comme avocat de Ia Banque actuelle, avait en mains tons les pouvoirs de la totalito des actionnaires fRiMant droit a la demande de la Chain Sbre, le- Snateur Pradel donnait lecture au Grand Corps d'un rapport preliminaire de la Commission des Finances, charge d'6tudier le dit projet de Banque. Ce rapport demandait de laisser le dit pro. jet entier, en attendant la r6union des Adtionnaires fixie au 9 Septembre, selon avis in. .ere dans les journaux, particulierement dans te Officiel.
Nous supposons que Me. Pradel, qui a tout en mains, pourrait attester de l'approba tion donn6e par la totality des Actionnaires, et ainsi le Senat statuerait, comme il Ic jugerait necessaire.
Non! La question demeure entire devant le Senat!
Demeurent aussi entire dans Ie cceur de ta Nation humiliation de voir contiuer le Contrbtle Finaneier des fonctionnaires de Wash-ington, le Trair dt, 1915 et des Accords qui en d coulent.
La faute en est a qu?
On persiste toujours & dire que PExecutif, par une Session Extraordinaire, portera bien le Parlement voter dans uni sens ou dans un autre.
Nous maintenons notre point de vu.:t puisqu'il y a tant d'hds*.ations a mettre fin nu Contr6. Financier Amrricain, it en tinir avec le Traite de 1915 et de 1915 et es suites,e est qu'on ne vent pas en dbharrasser le pays. Qu'on nous laisse done come nous smmes!
i1 n'existe pas un .eul citoyen qui n'ait et la convietionet la preuve que le Pr6sident Vincent, apres avoir iibbre le territoire, tenait aussi ? lib6rnos finances, Mais pour lef-premier point, ou in pouvait agir suIl, tout sex&cuta i la perfection ; tandis que pour e second oui ii failait la collaboration des Chambres, j usqu'ici e!lIs n'ont pense qu't ajourner eeL-

..



































Grand.Rue 172. T eliphone .18 .



SERVICE: NATIONAL
IrH YGJEiE I
ET D'ASSISTANCE :
PUBLIQUE

Ecole Nationale de .f decit rc de Pharmacw.


A V IS


Diever votre propre Comptable en on ua us Compte de QEqne A lat DEwque Nanoirale de 1.
Tipnbbque deaite
. m . .An .n. .b . . . . .+


it


.-. . .
-r i d-Hait-- I OS l
. .e.r.env.tmne.ALe a bo le nat r S s na
- 1 - - -*





men iuss grand que codfflscer.Pas
pnmohmen-sr. Phn 23 . n Ve.N.

t de fire- :4. uuto u uA






vinWans la pdilsd prait Pou fndreAle chevex ou uIMITA
harmoietien metaUt decoepQsWNmndzlay toi1epi Laealhaintriiedduaaimemo-a
sit .t de veg an e CO.BR SHE .
nee en olt ets M tet nil t a ft






dsqe ent d om- pim t ho 01 ne 1t a x
plir. SonExellnc l
ment Vine1ptn sou avor.pour
un dendr dans
. lipG rip.
nosprires de qcit jo vu P
vions asm anpu parlte Pour rendre .hvu es

pret demangeaceu dt acUW 17. .
-grade r la n vent- duiceomt lara de Vicnt re-ennsi LAon IU T AP(EnLVI
devir do1 ous entend re, damsfLIT ERN
Vnspi es donr~ phaque jouru .


r I inspire del
No .z marea frodes o-.de ia :.dag
ete recem.nent nis a poin. :-ves une et peuvent recevor: n mpoer quelle quantit e .vian, "d i rr '
.i S pas moins c
potasons as 'legames :as:!f: :::',::'
fruits, etjc. f" r,
hues, devou4
SLe Public est cordialieme nt inm t tamnement
invite' a visitor no.tre :usine et. qu que les pal
a inspecter rnos modeIes d vadepl:'.
v vulu Plac0 glacieres et de sorbet lierea; N'h6itez
dens notre salle de vnte. I tout de ni Consomrmer de ia glace. 'est I Avent e w falr. de f'eonomi --SrinFl
~ ~ ~ "Pour tout
AVIS
a :_ = : .2 :'. . :'.: : .'.;:.i.":.:::.:;: :::: hU! i::
.-: ;: :: ,:Al. S : ._:.:


rence entr. les trois section consistant en un dosage diff" rent et calc.1. d.apres -les aptitudes .de chacun des connab sances gnerales, littbraire' et scientifiques, necessaires a


. . . . .
.:. . . . .
COLLEGE

SIMON HOLLVAR
Etablissement
f nsueianement Primaire
et Secondaire

Rue Magny No. 1143
(Petit-Four)
Ttttphone : 2897


Directeur: Maurice Clernont
-rifet des tudes: it. Chalmers Administrateur: C. de Catalogne


La Di--,.cto de F Eco.l.e Natibn, ale, de" led~e1 ne et de
Pharmatceie avise- les intr-es-sos que te reistie.d' ifnscinpt hi-, era ouvert du I. au 29
. ,.- .i . i . } . .


veritable ricehesse de i'ho0rmme'" : 'Au es I nt 1W.:-,,
ci-bas .~-au Prd.sident Vi"
eenlit, :aisi quune longue vie afi .qu I pustt too0u 0tirs, en"
-1. J : :. ". .
pilot habil et cxperimet&t
en nautonierf. vigilant gui de par 1a main divine, condul-: re au port du saiut la Barqie de i7.tEtat, doiit *es destine es sont confiees .i Son pa-.
td tri isme, Son inteliitzence et Sa bonne fol. Le Pr6sident Vi-nte-t ne tolere pas l' via .lI Ta4etja pr ove pur es at-.
tes. \.
L'histoi'P r. SidAn , ce ju .
ge .irparti:-Jpq i sait si ien "
fibt-r le nmememtit duanuya- ch l *e fit ygrev e "temps, iilogeu bo. \'~- : serve'a une de ses plus biles p-rages- ou. votre nom sera eeit en lettres d'or, et orn de)il-.
intes couronnls.
REcexez. P'thi&ent e x.
sion since: de -,n entir de .vouemerntVre 5 p'Voentrnne4tt
Vonve govrnmn I


ciel sent repr senthes en ee College et out -forni l.eur contingent de succs aux derniers examens. Le Collge SimonBolivar est d'ailleurs le seul a donner e .triple enseignement et. sans lactiunes, la diff


rierre C:oks Tailieur ,


Angle des Rues du Centre et. Bonne-Foi, Phone. 262.


.3 1
-S


'"-""t"-t -? i t i
:flofL ci $V a rnHm a

1, DIirecton. Le Colliege Simon Bolivar
A A J n'a plu~ Jaemander qu 'on hiI
O. 'ASIO fasse onfianee. II s'impose. EXCEPTIEO LLE-N. mainttnant a attention de
ON OFFRE tous par ses sues an Exa
mens Offiels. Tous les 6l.Un a mion D)o.ge ,6 Cyin esqu'iI a present&s au Baceadres .poat server. a vo- lauritde 1933 ont brilam
out de voituie passages ment r4Ussi. ou tde vhieule transporI. Le Collge-.e Simon Bolivar
Pour tous renseigne ts, donne aux 4tWves Ja.meilleure
* I " . .,. .,- .-.-.:
sairesser au Baeau du .Jour,- formation morale et inteiec..n al .~~ . . . . . . U . : e : .". .
Jial. tuelle qu'on puisse esper.
t Les conditions de V enseigneAeVIS nent mbderne sont facil e
ment rhalisees enl cet Etablis* ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ . .,.,u . .i. -. .en q : os e iu e ~ ga
Ce qipermet & Pierre o sement qui possIe une orgaIts cav ne A sigr jrde cliertmntraissenctEtbi lesVdavr ue s> grnde cher "nisation asuptieure et un tAIle. 'est que sa eotpe a une corps de professeur trs bien e. .Ag'aice z ".f a t 8 elegance pa.rfaite. entrain. Les trois Sections
A' B, C di Programme Ofi-


I. C. Louis harlh' y.

Wv,00 .-*.*A
PANiMA RAILROAD STEAMNHUIP LINE


BULL LTIN No. 11' i
Les cbargeurs. sont pie.s U. note.r que le S.S CA N CON' est atten u Prt-au- Prince Haiti. tenant de Cristobal IZ. le Mereredi 12 Septembr

Ls :permis do'embarquement seront delivres pour lefret a destination de New-York i
des Port-pu opens Si s demande faite it ce bureau. S Ce Steamer }jartira le m&in e jour diredtemnent pour SNew-York prenant fr&, malle et passagers.


.P. ciCh mbe

P. S. .r e


l i i :~:


. .f. laconduite deIavie.
. Les Classes Primaires sont, .-depuis la rentre" d'Octobre,
lobjet d'un sin. :tout parti

Igedierdela part du Conseil d'
leomi.rectin.
L'Internat, irr6prochable,
est base d'hygibne, de tra0 S .vail et e discipline. Ls .pa
rents dela provmee n'nt :;a mais eu qu i se I uer des somei bienveliantas prodigu6 &
teurs fit
r -----
.". .
Siii:) i))!ii. . . . .i . . . . ~ii i ii ii ii i i


0~


., .a c c i
. . . . : : . : : : ! : : : : .

itO Tl. Li 0 acen
A
P o t, u -:i n a ~ . .


Fabrication de gi.ee de miwieure quaiit& Livraison rapidte eie qutidiennetment par nos .

touted ies direetins V ?r au-princt et de e!,,on- V1


GLAGILAKS


Nous avon- tooJoS mnain Pces dernic2rat:J (C glacieres en acier a partir de or t5.00J et audetssus, vcndatv


bies avec. faciites de pamenLt.
CeLes glacio -l s plus a re# et les plus economiquss


CREME GLACtEE


qui donnt prompts et a&t Contre la Mak dime servez.~v~
L'ATERMR
PLASMQ(
qui donent p rom.ts et sta, Pour combatr foie causes pa prenez d Ila

Pharma


A- r .


A VIS A Utiniquw LOUIS E
Grn

& **& 4


RLATIV .Machines A
JUMachmes a a
Un prqduit nouveau, ou ne. ns, pap
le cede en rikn aux meilleures aitesvo a


marques des Pays d'E- urope on dU'AMric est offcrt a public hnitin ar lJsire Glace de Port-au-Prinee. God0. tez 'ette d~licieuie creme, et vous serez.eonvaineus" Faites ne agr.tle surprise. votre famille en apportant de a re -Glacke Su perlatie pour le deert. Tous en raffollet.
ENTREPOT
FkIWGORIF0U E I


COLLSG*

Oireeiour:

be ColIge par : Dipar tructian PubN position des I lent vir -pri moent et si r emtants. Sa mtithode


Apartir dui Icr -Septembre 1934,. Ja. H. C,. Van Reed,
Agent G n6ral:de l Pananva
dRI I Sptnship Lin Port P c a t e
catxEtats-Unis, prenAta la direction de la Compas'nie.


Jas.H. C. VAN REED,
Agent G hitras .


.-


I


I.


. . . . . . . . . . .
. . . . . . . . . . . .
. . . 4, Aw


-:i


7":'7::'7 ::7":


& . .
:: :" ":.


.: -::. ._.; .:. .


. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
. . . . . . . . . . . . . . . . . .

..



. .: .'. .:-; .-. .:. .i. -.---.------- .v.-.-.-.-.t.:-.-.".
*w* k e .U.W W.a. . . .

Jernis Nouve II du Monde revue

Par Cile. Radio et CorreondoncAricune


Deux
AgIlNGTON, Dex
on te tues et un nombre d'autr&S blesIes bagarres entire la t, ls grevistes qu. se
. j'. :-t .:: . .
ditesdans deux vilap l eorgie. A Trion, le i-l MW.Hicks etle greS~ B i taylock ont .t6: mrteiement, et 15 auAso ~ m01ois gravement. ittant un filature d Au0 i ~tGorgie, les grevis, batta un polheeman, ii.i o' a bless quatre, t:n gri vement. Des de-. Sot e lieu dans les ine& Les gardes ont reSde ive force 3.000 gra qui essayaient doccu r filature de Greenvilgouvernleur de Ia Calie4uNord Ehriighaus a les leaders de Ia greve
.: ,sser leurs activm .es. sous peine de re drastiques. Dans le ~KIi, Ia police a recu b dMerp&cher toutema--ion;La police du New. hire a r pnusso par la Iune foIle de grevl its .emAdalent, avee menap'on stit en liberty un de chefs qu'on venait d'arr4'Uinited Press axe it Waetombre des ouvriers mtadhbrd au mouvoemnent ve, mais les syndicate dent .:que ces chiffres ItriM0dre.et q ue d'ici 1it les adherents seron;
ixxx
ASHIINGTON. A banisi:tsa politique do tlaiire., le President Rookpar un ordre extcutif. s titl un comite compa.: Gouverneu. du New e _. John Winant, de ith, d'Atianta, en e, et de Raymond In-


. er." l de :. .: Nt : Y o"k w .t w .le' in.
,I
gersoll, d New : York, pour fausse conception de l'Alle- patti ripublicain. enqueter :sur:t les causes d la imagine nouvelIe,,Le nazisme grtve des textiles et es mo-s est destin e durer, a dela, LOS ANGELES.- La )oyens dy mettre:fin en tJdon- r f uleiuehrei a violence et ce t deouvert dans tuin depot
na satisfaction aux parties ls rtevolutions out pris finI situ6 dans un quartier trs po
' : . : . " : . "" : : . . : : .:." :z''_' d' q: i t "
en presence. :d ComAte dolt pour un miller d'anes a ve- puleux de Los Angeles neuf fair rapport au Pr6sident, nit, le dIveloppement politi- tonnes de dynamite et de poupar 'm~nterm dare dui Secr queet culturel: du 1Ieme dre noire vois le 11 Mai detaire: d'Etat. de l'Int.rieur, reich n ser: a dict4 d a t'avenir nier it une manufacture de mu pas plus: tard qu le r Oer que par note part > Le Cone nitions de New Halt. Les extobre. George Sloan, Presi- gres se tent a Palais tuit- plosits favalent t& transpur dent de IVTstitut textile du I pold de Nuremerg. La pro- titsi l'endroit ofi on les a trou Coton a dit que le Comit4 pou elamation de' Hitler a 6t6 Tue vs que samedi. Its ta t vait ompter su r tout res- par Rudolf Hess rests caches pendant quatit
pect des empyeurs Les xxx mois dans un garage de Holchefs I gde greve ,g Washing- WASHINGTON.- Le D6E plywood, tout prs icd mai n s ton ont 4galement promise de partement d'Etat a anmnoe une douzaine d'toiles de Cicollaborer avec lui autant merCredi son intention de n- niTma, qu ignoaient jut3u'ia qu'i i leur ~,era possible. g er un accord commercial aujourd':.ui 'b dangr morte
x reqp oque avee la Cilombie. saspendu sur lels tetes.
BE RLPN>-- Le Rsichsfueh-x, ,
rer Adolf Hitler a dclarb une I WASHINGTON.- e :: NOUVELLES ORLEANS.
geerre sans mere, a tous I 1s nateur Clark:: Dean, tdu Mis- 4o den6es v& ltat d elments qui continent a corn sour, au: eours de 1enqute competition tletoraIes do ia hate t re gim n:zi. Parlant menee autour du trafie des mu Nouvelle Orleans parent au congre arnuel du parti, nitions, a d6eclar6. que Ie but die un caract're de pius en plus i a exectt uinc charge A fond Penvoi des missions navales grave Un group dfindividuS
. e-F A ,.
centre 'influence juive. dans les pays de VAm tique en autonmobih6a excut un d ns.i vie aiemandle-. 1 a et& du Sud t"ait de conqur"ir d salve sur ia r sidec du fequemment applaudi, tan- nouveaux caints aux man.- nate-tur Huey Lolng, 'Aveoulc
A "t. 6. .
( qu'i-C.posait sa philos- factures amercines de a Audubon, t a l 2Snie ,1 C-sniteat pangerma- teaux de guerre et de muni- nades sur la maison. rus a ucienee politique et tions. Ii a dit quil mene pr. xx
social. consider come Fes sentement une enqute sur leCL LONDRES.--Au couv d'un en, c .la nation ain e efforts de Ilectric Boat Corn banquet, Sir Malcolm C.mp. I'll" fl, I d4 pa v, .
sed doctrines sociaes d )u pany. de New London, Con- hell, dte ntOu.r du rec"
vernement des races germani- necticut, pour vendre des sou monde de. vitesse o n ; i ques. 1 a vilipnd6 la < .,do introduit par inteile WASHINGTON. Deux rendr- en Floride .ou :
tualismne juif>. On avait Ilu au- nouveaux experts financiers pour essayer une niC f paavlant aux dlegues une de eIa Tvsorerie Fridtd.'ale d'atteindre Ia vitesse (e o, paav .t ax g6g ~ (u'n" e ams-.n, e q .- -.C
prociamaion de Hitler an- ont demissionne, ce qu por- miles a lheure. noncant qu'il trraiterait impi- te a i 11 le nombre de ceux qui xxx
c:.ab.ennt coux qui.vou- on t abandonn leurs fone FALKIRK Ecose. aint s'opposer a sa facon de t ims depuis la mise -n vi club amateur Ode foot-ball g v- i '6-tat nazi. Apris gueur du New Deal Lns d. Falkirk a battu i'equip- LP
ni C, ses realisations ionaires sont W. R. ricaine de 1'Etat lde Pennco~m::c!aneterdu II Ll e i r, """
con chanceelier d IIleme Stark., chef du dpartcment, vanie par 10 a 1 rnercve: Rc. iTr a dnonce los de recherches economiques, xxx
e rresond.ants de journaux n fonetion. depuis Ie regime WEYMOUTH, Anglete-e. ascutfes de sensationnel qui Hoover, L E. G. Bennett. ban- Le Congrs annuel d: ont reand A stranger e qui d tah, membre du de unionss> oU synldicat: u- ont -6n, a-n d u ,.F'trangeJ u n e iL 01u I CM ad rt" n


I glais a adopt une resolution exprimant sa sympathie pour les grevistes des Etats-Unia. 11 a demanded aux dirigeants du Congrs > La resolution e.xprime l'espoir que lesouvriers america ins feront bloc sous la direction de Ia federation amricaine du travail,
xxx
ABILENE, Texas. be lieutenant aviateur americain Rober-t Allen Blunt a fait One chut.: mortelle non loin d'ic, mercredi.
xxx
NEW YO(RK. Le Gouvern.ement va a'rr&ter des mesus: energiques poutr mettre fin i la contrebande diu rhum, qui a pris des proportions extourdinaires. On value A des 9Eies (do caisses ]a quanti-, hum qui entre en conL ebande aux Etats-Unis cha(voir suile en Ge page)

AVIS
U.n Nouveau Testament so8 n{v gratuitement, sur S.u~nn. n rute personae se
. y a fes Saintes I.
Ri i d rIiO e,.
an s : 2 onsieur J. Alfred Pearee. P'ort-de-Paix.


INSU XNC


0INC


RENTREE


DES


/ Tobralco i fleurs
CLASSES ./ Bazinblane
I7 Crepon a fleurs (garanti lavable) les Soisette imprime
rieurs Soisette uni .
rix Voile blanco sup. et inf.
ds -"Drill blanco
Drill onnl rv


.: .


c
K.: : . . n. e


Cein'
. . . .

.t.
:,. -C. n
tt' hemi
5./:i::::i, Peignes


A'
.7
/


'.7

' 4


Tate d'indien bl. et could.
Pate dentifrice Toujours
Bretelles Prte
haussettes a
ni-bas Vous
turons Flaire

settles .




eJoehES
. . - ---:- -: . ." .! :: :: :
. . .- :. . ;. . : / .ii. .-.i .-.


. .
. .
M e t -. . ._._. .,.:


L'ordonnance par excellence
a suivre au coucher du soleil
Au voucher du soleil apres une journ& de travail assidu ou d'exercice violent, Pordon.
nance la plus refraichissante est utin grand verre de White Horse Whisky k l'eau de
soda frappe.
Le White Horse W hisky supprime la fatigue et ressuscite Pi'nergie languissante. Ses qualites reparatrices et sa valeur digestive sone bien connues des sportsmen dans son pays
d'origine airi qu' AVktranger.





M. M

,. : . . N o
HIS. Y j.
_> . . .,. > . : . . ._r


A I l~~-. j 4A ._ -


c ca-cola


A;~~!7.!!::'


. . . . . . . . . . .
I t'we* ''


Kt



a_


A su.m


POUR LA


.
)


-not
ll'y I !'' I 01-h
Vow, R&


41


g .a .

..







Stlt? Pse N.15Tlp 22
.QUOTIEN ronns n 18.
.'~ VTaO~&4
annic avaracataIAQmIT

:.Ti: : GCRAUVBT
8tour en celo:
MARCEAU DESINOR
Aefmltrateur :
RNMST BONHOMMB



UN PORTE NEGRE

S PENCHE -SUR SON

PASSE I
[,: 2 .:. . .(_7. .:"::::.:::: ;:2.?!: :-:::.::.-'.- Z ;. _: :.: ::_< -:: ::::: :i:!? ::i-):::--::-.?!-5: .!:-!::!! .a


teWSan dotetparn$ les plus
rKmarquables sprits de no- O OI NA M
tix. poque. .ud
1 a souvenf ~ihangeJ
tier avant d'avoir dcouert Le 5Vapeur COLOMBIA lReprise do : sa v~ritabte nontionm Cireur Voy. 31 N. B. de retour des Leon MathatD L'OaREil de chaussures, camelot, chas- ptsColombhiens, de Kings7 veLus-AS 'MR Uf~s
sour die restaurant i1 fa it, ena ton Ja., est attendu 4 Port-au- avsLu eLgrne tin, ses tudes superures a Prince le 6 Septembre 1934, en L'KVFAT 0 1Iniversite d'Atlanta, et o i route le m~rme jour i* 2 hf8. p 4Prte
le retrouve pion (d'abordl, pr10 m pour New York, prefiant4Prte fesseur plus tard,au lycee n& it, passages et malle.Ent gre de Jacksonville. Ensuite, Le Vapeur PASTOR{ES Vendredi nre
I devient tour is tour tyournJ vov. 3 E. partira de Newe Gabhy Mlority das listed Ctudiant on droit, avti York Ie U Septembre 1k:4- L'AC0;VIIF DES AICLES
cut, rmaneier, put aunv poor- )LI Por't-auPrice* dii-ecte& Entr&e U.50 micieunent flu :keele renon- mtnt oil i) est attend le 10 Dbmr che
cant soudain at touteS ea's piro Septembre 1934. en route Joe a 4 houryes fesions SUCCessiveS.! so la ut mnzee jour 4 4 hrs. p. m pour' loan hinauichidans
poee, hanonperconl?? Kingston Ja., Puerto (tolom- .p'L-U1ATD TZl
sant des couplets particuhe&- ba, (tartagena Cristohal Q. arce \ vn Cis konm rement spiritual on Pmot.- z. pregnant frit. passages vt Entre 0.50
Vi.lt m I s 1 m S eu e' .pa. 50H ". . .
s.a : a m n ::C e u .d. ,, .- : : : / .:


















f. re.le n moms ce bre ArNt. -. _.->
com-pos teu Rosamnd oJohn- . B LA (IlL1EDIA.OUl









son. %S t plus faneux *:Songs:A c de h ns e, mcnd mer .e.1' L1 .-T o!
7l Lue maid with the dreaming AVI S .MATRIMONIAL j' .h'14tree 0.50
(.-, Und er h1 bamboo, The; LSCongo oV so g, etc. Vdatent dc 'are au pcB t .:ao s I. t e s I t t tn a e tten pu rPo .
Ic use et0udees hst ns t ouhsable des acts et actions de m m m m sE eAt .m











I. iniimdn1t populaire at Madame Martlin Dhorcy. ""-sa '"" "
1$ DppLat~Z sonct in4 V&ein I n4e Odette 'ndt. pour aplle,J udQ u s vu e- n A Ul
( aer.Nobrede aP1,4mi quare e mien192attell.
i Jon so Atlanta et mu- lant ne action n divnec hl
e r ouve p i n a b 0 ,p o --1. .:::. Illy- e . . 4 P ~ ~ s --I :-- :.:.,












.r n m.: ou.ran C Newk.p a intentnt.e.












n~ near 14 ( ol Lje iM /rmex~
A> pLepr idetA: Clt
Ieetpux las lec.n.-.
1" i DEMOR
t re de Jack sonvile Ensuite, :Le alp T E V nd e . .::,, : :.
4 .1 d e v i ee n t : O u l : ai t O u 1 -3 0 11 1, na : , : m ' : r ; d e" G ab y 1 v O r i ay d n s. : ': / : : : : : :: : :i',, ::':
. ,,. : . . . . . :. . . - . . .,. . .:. .:. :.: .." .- " ." , g .i. .': ." ." .:p. :.-.u -: : ".z- '1 1.-k .: : :::&- :
" " " = t "I. .' t"Y 11t*, d"u A:S ""' '11C., e 1., . .10 10.1 . ., A:" : n. u -..' .
k.-t n. ":'t. .so l. i.dir.d.in. I't t.: .4") t. .I t .e t: :. :.: : :. -. : .-. .: :. . : :-.:m E.4. :4~:i~::i
: S : !I ~ C e S IY S ] P t it :'::: ::::::: :: : :,:::: ::, : : ::: ::' : :;::::.:, :::::;:;:s n : : ,: 't i '3 4 : a s :. .: : '':::: :: : : :::,< ::!:




.sm t d s C u l t I. . . . . . . . . 1 M A c e n : . . .
: c ,. t~e m :: I a:.,,+ ; : a : ,:-b . .e s CB : t a j" .--. . . . .,:: ,:. : --,-:*-.,: 11, 1nfi :.-p t -.U .-- t a a m v t -n e m ::.::: . . . . .:::::: '" .
ROW- .:. . . .,. .
. . . . . . . n .e
: :.: 2 e i {_-,'ii:![:t d .r o e i -e ._. . . . . . ..-.
. ., .s.aL -4r 1!,s, e.1atten
:: i !: ; ** -" [ 1 1 E ,. M_-W . . . . . . . . . .
-"~~. . .
., 5 :-. ,: i .: B t : :! ( ."o ~ c .L : " : . . : :: ".:,:.:: .:: :::::,::. .-. . . . . .:,:::
(:,:~~~ . . .f .s :
C o g,0'. s e . d a e lIt:. . . . . . . . .


. iz :ttin t.' Ia ,., -i:s-,""' "4.-< C 4. a t' cu 4
0-i
[ : 7.:. ; . .:. . i. ., c, . .


C est par ces vers iftune e- ' s
mouivante simplieie q ue I
grand poete negre James I I Is
Weldon Johnson exprime ." .
quels titre. juridigtl-s e. o.- K .-,
mains seS &Qngil"Ys V'Ctenl- i
I '4 4 .' 4 ., s- 4 '
dent a une egalite comply t c :
av e tous les anti-es eitYens. of m. yankees. En r6alitt", Cest 'e U V ook of A
n egre qui, d s. la pIerem1i' e mericat n ngro s spirituals> St
-o p:,)0 -t v!crnheure,' a le plus fait p(u'r k. gr e
turner et ensemUencer Ia tey- s: us l' "- t' re vierge anme'icaine. C'est lui iSI et son rude labeur qui Font e debut du siCe. Joh
conquise it la culture. Des s e. T k
lors, 'est-i a e- mlan A '
mIent injuste de voir' ce e- ,. an i .e e ., tratt jusqu' 1o5 jOurS en s (C ime. CA D10n .,. c. .tranger, sirDO en enneml, sur annK i l C .S II t I.I un sol que depuis des genera US au Vene:zuela. 'l s i tions deja il arrose de l'abon-,- an N iCa',I a ensuite, n a:s dante sueur de soun front? oIs d Il'avem.t d WooDepuis longtemps dejit les drew Wilson. i >e viI o.,i meneurs spirituels des n&gres dh 1miPssh.i1ueY puisquet sa aux Etats-Unis s'emploient t eodiu p uitiqUe pas plus reliever le niveau intelle:tueA l" quIe celle deI son epmeIne d ail de leurs congenbres. Au mi- leurs f- etait fai pto u.L" pIai lieu des pires difficulties finan re a nouau President. Recibres et autres, ils ont er&, nongat au service diplomatides 6coles de tous genres pour queque. Johnson se consacra favoriser I'dueation profes- alors ave plus de zble encore sionnelle des noirs. Dans et j la cause des no 1s. II fut un effort enorme, constant, per- des promoteurs db la famesonne ne s'est plus defense se Association national des que James Weldon Johnson, N&gres d'AmTrique.dont il dele fameux pdte negre qui, a vint le seeretaire general d&es present, au declin de sa vie, 1916. En cette quality, i -mnesoUs le titre &Along this way na uine ardente lutte centre vient de publier son emouvan- les opportunistes de sa race
-;o : ". de Boote autobio gaphi. qui., sous Ia direction de BooC'est Johnson aussi qui a Ie ker T. Washington, pour aplus contribu. a crer. le nou- paiser les jalousies yankees, veau type du ngre, ntgre in- denandarnt que les non s retellectuel pOUr ainsi dire ine- noncassent ix hautes etudes distant avant. Profondemnent universitaires et s bornasattach4 aux chooses de 'esprit, sent dsormais aux sees pro Johnson a voue un veitable fessions commerciales on maculte aux mbwVemen s intel- nueIes Johnson s'dleva avec lectue]s qu'il russit a sUsei- une violence extreme centre ter parmi ses. freres de race. un tel marche. Pour rien au Et ce nest qu'une raison 'de monde, dit-il, et a aucun prix, plus pour que Von admire ce les negres ne doivent _renongrand initiateur aux talents ':;er:a leur droit aux 4tudes susi divers, toujours inspire ptrieures! C'ect finalement d'un profound sentiment hp- Johnson qui ltemporta.Jemattitaire. Riche en humour .pui-s lors, la jeunesse studieuet d'un vritable :tempbra.so nsengre sest encore multimr Jcl U niversi. qu
:::: ::::::::::::: . . . . . . -:. . . . . :. . . :. :.:. :.: u . .: .::. .:.: . ::: ::: -. :- .:. . . .+- _. . .- . ::.: -.:.o .
V*Yl n~iii hi!:'i :; : i! id, i e hn n!i i:!:lte:,aIu : n: m s -s u i:


. Lar t Li .tL 2 "l .


ATT-ENPOSTEN, Oslo:

This land is Ours bq right
la i of birth,
This land is ours by right of toil;
We helped to turn its irgin earth,
Our sweat is in its fruitful soil.

Par' droit de naistanc2
cette terre est a1 ii0S,
Nous Favons fait notre
p~a no'tr :e travail.
Nous a'vons aide a etoun?- lI*e So ol 1vierge
Nou avons( de note
sieu rOS ss flanes
~~f&:'on d.


aev4 qand ous exmp LAMEE RLIER "La trui et dur conme la vitr vOW ce cefsort oetus de Un essai vous.en co


paquet4.'~


Achetez un BLUES I


:.:. : -::. :i_.)i 7. :.




Tout ?,Iqnrf de "L.IAE.S .u s t dLK C. ~ tulsfsekig C can io rs c:.tcnrc,


Ciliate S4n~ tC.t Ctsflu7. Rn*#*1 ~


s e e W a m e m m I um,n w ."m mi


A IBLESSE DEB|LITt


/f0


Sup~r;,t~r 'A ~i ~p -J.' cv '4


ff114411 '4 rt~ a artai. g anymyra-aw 4* ~u '%mwm*tr a


Pour la 90 Ut

employe dans votr, bain ce fameux sav'on
dont la composition secrete renferme des ~ 1
huiles adoucissantes.
Soir et main, suivez ce traitement: Des
deu mains, faites une mousse cremeuse .de Savon ralmolive et d'eau. Puis massez ligetrement cete mousse dans les pores du visa e, de a 3gorge et des #paules. Rincez bien. Essuyez avec soin. Cela gardera votre
peau fraiche, douce et belle,
Et Ie Pzimolive, malgr6 ses prcieux ingr6dients, est tr s peu coateux. Employez-le copieusement pour votre shampooing hebdomadaire et votre bain quotidien. I garde
tout le corps frais et dispos,
Achetez.3 pains d Palmolive aujourdhui. Suivez bien Ic traitement afin d'otenir lea rt~sultats. Donnez-vous Ia preuve du fait
que vous pouvez acqudrir Ja beaut.
. 1 .--. . .


. .d.( . .
. . . . . . . . . . . . . ., .- .
.OW.


0 ot ou.pertes.
Simultanmen.rT I"hnsor
Tova une aetivIte i'la"l'a' afin deaireir ca Inn Bli oue americainae su. u. its tes sentiments Evi t .e. negreS., .,.1 f- ., Ut I-tt lotisme sinere. >1. au.10:C i ax E t Unis, a
ieoins les esits d'eite ne ptrofessent plus des idtes hostiles t l"gard des ,nirs, e nv rie en revient en t .i_ andh partie 6 Johnson U mme au milieu des pires injustices a toujours su faire preuveC de doiga6 et de mesure'. Au ieneSmain des epou(vantableS
.aZsacres des negres t SaintLouis, ii lui aurait ete facile d'hnouvoir Ie monde entier. II nen lit rien. Par contre, il or_anisa a New-York meme inoubliable et tragique amaniSfestation du silence cortge gigantesque auquel participrent des centaines de minlliers de negres, hommes, femmes. enfants qui, taciturnes, sans

(coir suite en 5me page)


. . . . . . .


An-' f-a m-- .e r -1w 0 -- - I i


et have.=eNO?
. .

..


9.
A ~i}i:: ;i,:ii,:,,i:,, ::,;::: :-: .- i# :. . . . iiiiiiiiiiii.}. ;. i) (. ~i. . i i. . i :.::.:; ) i . .

. . . rP . . . .::: . . .t.
a Railroad Steamshjp tineal'avantage
les parts suivants de N *ew ork pour Port-aum
Haiti, directeme.nt, chaque Mardi, exceptesle as. S b, qul laissera Meredi, le Septembre, 1934,
ristobal l le Mercredi,7 Novembre, 1934. Tou les steamers- sont pourvus :de Chambre frigeoriiiiii~iiii~iii~iii:[ii:T ~ i! : :. : . . -: : .: :: :.


pgARTS iDE NEW- YORK ARRIVAG-S A P-AUPCE.
D O ;:. : . .: . . .: . :: . . . :
gg.OyaUqIlI le 7 Aot, 1934. mle 13 Aot, 1934 P crist.bal, le 14 Aoit, 1934. : Is 19 Aoit, 1984 ncventura, le 21 AoO) t, 1934. le 27 Aos^t, 19$4
.At l e 28 AOCt, 1934. Ie 2 Sept., 1934
gGgaquil, le 5 Sept., 1934. Ie 11 Sept 1934
g gyrtabal, le 11 Sept., 1934. Ie 16 Sept., 1984 Gventura, Ie 18 Sept. 1934. Ie 24 Sept., 4 i SS An92, le 25 Sept., 1934. le 30 Sept., 19$4
j guayaqi4, le 2 Oct., 1934. Il 8 Oct9, 1984
cristabal,4 e l9 Oct., 1934. It 14 iI, 1934 heaventura, leI 1 Oct., 193. I 22 Oc., .1934
g4,Ancon, ie 2:3 Oct., 1934. Il 28 O., 1984 +
4guayaq il, l 30 Oct., 1934. le 5 Nov., 1934
$,8,Cristobat, Ie 7 Nov., los. Ie 12 Nov., 1934
(3enarentura,1e 13 Nov., 1984L Is 19 Nov., 1934 S.S Ancon, Ie 20 Nov., 1934. le 25 Nov., 1934
. Guaquil, e 27 Nov., 193. e3 Dc., .19a

PANAMIA RAILROAD STEAMSHIP LINE,
W all -4 .





WM. ?M. LLO YD.
m aven,:,,::. .: 1. tu al 1 e p. & Ol"2 t 1 3





Actg. Gtndral Agent
le 2 19J


S .- -


'- ic .-N o.3. :. ::.:: le.
.
.-A., . : -.
.-, :."::i:::.~i %% -i : v.f::.- G .-e :"C-1'' ::-.-l .A:.enti
.110




1.- : -:.k.
., ZZ,


titu nauer
1Hr Rue Lamarre -Tftiphotp 2891
us Admissions aux BACCALAUREATS
Rhklorique et Philasophie
Anne. 197 4 1988
L'tablisement doit ses sues a sa discipline, A son ezs
iMethode d'enseignemment, A sa bonne et large orK on. Pensionnat incomparable, Pension pour pe 16 A 12, Cours classique general, Leons particu i us de Steno-Dactylo, Comptabilit6e, Anglais, Eqs
-Allemand, Preparation i'Ecole de Gnie.
blisement garantit tous ses cours et forme des
forts et conscients, ompetents et courageux.

.-


S.La NPUVMUaIX. df.A r J- t r .


Par temps de cruise


Ou


de


A rA T Spen0e


0 8 rieuou"onirs cel ieu a IoIO IIP
.


l pi p.euve re uet
.Void tu1n pettqul se passe de presentation en ltou pays. Les grosses sculptures massives et saillantes de sa linde de roulement, tenant termnement la route, sont des symbole .de- steuril depuis les dIbuts de automobilel. Mime an ours des antes d'adversitld qui viennent de 'iouier, ses ,venes ont depdss cele de tout autre neu quelqu'en:. fill ::le prix.

. .:. .
. . . .
. . . . . . : . : . . .



i ::i.:: / : i:
. . . ./ . .
. . -. ,, .
:. . . .


SOCIETE IIAITIENNE D'AUTWMOBILES
ALLEBRANCHE, GENTIL, BOGAT & Cie.
Port-au-Prince, Haiti
. r r--z,-- -- - -- "7'-.


A BASK de COEINE. TOL U .t EUL-t YPot,6
.UT AR C.L.-C.NS'R T V P.ARFAITE
TOJX. RhUMB:, tGRONCHITES, ENROUEMENTS
INFLUENZA, AFFECTIONS DE s POUMONS
(ORT-AU-PRp1: r', iit 1, ET LES PROVINCES.


PAGCJ 5 '


plus bielles de Ia literature de"Ia si abondante et passion nalte des nI&gres arnmericains. Quicunque voudra connaltre Ihist-oire deS noirs .ux a at Unis pendant les c0 U anntes, no pourra n gTiger ouvrage i vivant, palpitant grace aux nobles sentime: qui -Yiment chaque hg. so -uteur. A ire ce r.eo, ne peut qu'en aimer i autev et itetud ier unethe vi., om ne peut qu'admir-e l'h-wn.m:qui la vecut.


Arne KILDAL.


hmAMnAwaILtatwa.e.&.aMaaaaMaaawaMMaaaMa.ah.& ~


Le iesi. incon estable

LE rSo, I


LE TOUR D.U MONDE
li nest pas n-cesscire c"fdtre riche povr s IsH.re so$: gots:p:our t voyage:. Le ens de condition moyenne pevuvent se perrriettre-Ce plisir ovec I'6porgne. Les moindra; dep6ts, grace a Intarat crCmpo0s, onttSt fail de !eonsth er une r4srve lntiressanfe, r6afiscbie ou besoin.


ROYALE


rU. .CANADA
*: *- -- C.


. . . . . . . . . . . . . . . . .-.-. . . .' . . .
!::? :! ::: : 7 ::: : :'::'::. -.::. ::-:.::: : ':::.:::5 :- .:. ):!* ::::: :::: :::.: ::: : :.:!:-- : !::- ::-:: .:.:.:: : :- :- : ::' : : : : : : .
* o ca:= = =. = .::. :,. . : .- c o------- -- ;; :; a j A. . . .> < i' .- :: . . .:iii:::ii::::::::i:: ~i. :::;!/: : :i {:" : i.:i -:: iiii:::;:::i: < !:'i: ::.: ii~ .: :. :: : ;: . . . . " '.*: .
" -::::.i!![ i [:i[:" :::: . . . . . . . . . . . . . . . ====== = ==========4======='===== '- =-== == === === = = _i:. . . -. i i : ::, : . i :i : :-: : : : : i i : .::. : : :. i[


c'es


la


leures variees de


vaste


erritoire
territoire


m. lleur


terroirs.


LA

BANQUE


d'un S-es


'est ce quifait son arone


Goutez etCompa e


o -- . : :- 7 ,


UN POETE NEGRE SE PENCRE
SUR SON PARSE

(Suite'


un seul cri hostile, longkrent les avenues, promenant ainsi leur deuil immense et aussi leurs reproches douloureux, refoules, dont ils auraient t den droitd'accabler leurs eon. citoyens amricrains, lyn. cheurs sans raison et assassins parce que forts de leur su1,eriorite numeriueN (Cette manifestation sileniouse, imposante, majestueuse, lit plus en faveur d'une rrmilleure comprehension de Ifme n&gre que des milliers de meetings, des tonnes d'ecrits ou des cataractes d'Io. qluence.
Actuellement profsseur a
la fameuse Universitt Fisk, Johnson pouruit encore ta carifOrPe aussi rich on travail (que fertile en enignements. En eristallisant des doctrines politico-philosophiques, i dlut forctment se poser la question: c-mment rsoud ire l grave problem racial yankee-nge A son ens-, it n'existe qtiu'une scule solution possible: celle de Ia c rnprohension mutuelle et de Iinterp6nitration, dans le domaine spirituel dabord, dans les domaines de I'ethnograPhie et de la demographie enit, Qu les deux races, eelYes d-es blanes tc celle des irs> s'entvem'lent done' Ihumanit6 ne trouvera qu'a 'ner. Lumion des ieux raCD- proouwl tIine race nouvell, zn teint plus basand quc n", c.elui du 'ankeV actuel, min d'autre pat comibien t. hiomme nouveau sera plus impulsif. plus sensible, plus rich en r ac in "rtisti ues! ( .Ct,.lfi10fl~ autssi 11 a urn J US do
tor-Cn ie ow.ne era pilius innombrabl e, plus be ne et plus porter aux elans.
I)ans <

q uitessence des


w I&
-10a IBM
jrltA


ca nes


i *

..


. :.
t 0AI


. .: . ,9


apJo sjar a3 sapg 'u.

zi~IUVssajyjos,3p q~a u3yplV


a. :.-


444


v: ga i.s-llsa;;u g. .ina.,z 14 yfK9Ix-0rJ7WIW2JVl' 1K9.L)V,7


; ZLL,- V,I IN'4 *4'[7 l'




J 7)40
"'4':.}.iX i ''1 ; ,-, M,;i",'"





-Ixc: ,']- V-,'? '1: : -' "'. . : 4 .444_ < _.
U2O .,pI~ 42437 t44 : -." :, 7'!'. ".- I.'( t,
- 4
. 4. "4
-:,.:a, 3 m }.{ '-;2 s,".<) t a .,
.- ;


naVpnbind ourt nb


O sYap
:4 aJ e) P "'' . -. .
::::;:.:.;';:~.,;.


All'ffJ.170 NfD hi JUJUD ()j
_. . . . . P -I




s1 1741I t/y s d I?



sauval uol ^ 7Po Ewfd i :. 'Pi.a J .A. .3J. . YLap np sa*U I J







's)[pjzy ?S St?"(

I gJ : Of J 'IIPJ f9, '"4
J~tarf 4' ??0 G psq 'lid.O 'I







17070oifGamq >anuoiaulqu ps,;j
.1I nI) .jf,) .:11.4 J4A
'74 047f44 .t: *iI] JU DIIJJ () O)ff >9
ll@ a I 'p q w



una nP la Snyguu.zno staiunauay pSH anydioif uo U~uJ) a.UqpWJII '44Itep Y




44*7/Pdup p 2 aj t
.W'dU~4Lq-aplMwlr
suon1d' ap aw ul a Wd







99410fJ alll umH 1A
'4.ap,,,d p. :m y

>$SdflW03san i)n P t13f

8,80-SOMP. al/ liq v 10J l/trflf A
1. :.q.'. z. :.
: :':' .sum o .:i"/o,












J. nu:::p UQW.W.fua
4:.-:.: .' . ~ t














rt~s~fm) duifil' [Lw
:i::i::.55. 44. : .'A fO / lf) da o














.1.j. otP unieli.
.444. ,. ,,, ._: W a J 9 I 1 *3
::,:: <.:::swiaa l Usn an. v sa yijqll fP
-] :: I- 44. .- 4. .- : .
: ? : ; :.71:1


4 4
.3 ~A
- .4.'


-qo eu@ips3 a dal l
-diaSaUOO)a n.d10 _U ,


-iel IsuI p oaap u
-I'Ms.! LM oAAICSrpti
8111'. uluop U012W10X
-15 41104 A o-wdal


2~1 'snow.
Of) tU?.x XIIII.\13.12
*1 44atuA 5~)Uh4jOflT)
TI Sif 10Db
141


Olud. ofI)1 utI' OP dUYISU 14 iI 71?lS 0011 v8 13{z u41113J
'.p11"otl-- z n
'OpsooO 4u1o lujo d

Il 1!pO l~ f, IT$01111 ) v 1 a 0 1 1 i,-3i 9 1? ,. $3.
UO O O[(o .,--, .4.


at au 43 noJt $101 G






_j 4 i 4
.n.wus of un"m, ana # ,". ,. e. 8 'ap potu I uAmp 4~1- a a._uo
*i~?U 8 f 1 3 01 0 .480 }J 1 413 US3TUBI'"' 50j0D
a 1. L1 1,-

~;P;' P n r ap 411us nJSoI



nP i 1 ad 41
I a la uo ,a
Of) %.J~S-.'Uj s' '.>: .}4t11[ 12$ <.


~j44~4 ,4~41 p,4 23 K








tt JI S: n l uoinsu *f.
A:3 '.t Ui nu a -s.sv .}qO .:]d
1A". '. >~'. ''n . . . 3.




-i 4f id mua
- ~ 44. 4~ 4 7 S









ri "' s al. i


ut 190 ftM,
: _uopaan
O ) I. u 4 UA 31






Ult -I D, A DRo rub 01k
A.

-: M.,:.,iPOU(} t2 p UPoG ,a { '-Va~ .-Q u uotsodosd euun -).




un] add'gO n aeoua aa


npWeDU4nafila iOAdh at4a-n amudim s .a su, s -ou u. .
,* -", >44 ,1.i U-"- 114) u WL1 a p.[

N .t 21+u,~~e

-i 0.Lf)Ao, 441 uwd ":at'r tz 088131

:i 'sa-nl Inwoa d asp.
4tfae r . -.t .i- sa. wj4 . , r .

'- . . .- . 4 ,i : . .

atu a rfep SUOtO S1 O
r af A f .1e Af- " Z T1 "


1-


AIJ -4 1.3 0 t


,.t trZ . -' .* 2 -


if-


53771 VJX Fist
.4--.--. .4 4.


!t~~e*uopsuad
~ u06 aw-o"

.ad? awaaxa aUn asnauap.




l aspidas-e, S a4; npu;d :SUs 'va ees q0 Qge erioq t

a'Y4{ie .inod uot3som ap al
-uoaid 1o ejoau.;y t4rnumpo.i le .isfl flrtJ UOidflojsai 1 4,A AVaEp a qu,3ssV,1 OfJarnoj, a "oed v ie san&A 01a5
-tpA 4 or1 0;A -40 omsodold sa p t amr.o 110'uo

-0p t; e1 1A as wlaquloql 0ud
-aC; <,Ipuenb 'aw{ oj? ,1T;

10-MA *Iuojof'f3l aU1 KOflA :-a[qtuuoa us .,v Isa uoisa! z.)p
'lI" uoi al-,&I1"iall3.; 4a.L. a
Ejsug~p,42151 ? sliduo,

4ua1v,xu tub '5-3U101dJ "W)8L t/,paazg s#;snd SR ,,7U.
a0 Ut0opsodoid 3SOa.t
-s: aind(q ;I 'U0IotU3s "AIA eun isa.Odv -a,> ap aw unb P.1 +a uuiou
-ntu uoo no sn d u p r 1f) uo
-UI3uI~j mnod 010.13( Pr IUOII


&:Cp.,q54" su4d- --t' un: tw'n-. 'uoq _j SE[ 91aUpnL!QaY9a R d nW [l
srjdU1;- 4$$O 7SVII
p U IU tJ03'd 1npq, sojndo(j sop aqutuq3 e{%ud
00 at) ,' uo-suad.a a4un .1. .1.
,saw~o~ s[ tn !oq [ lu., "-omua p sonbiloa.vtN sap [uap arts 1 '01) o~!!:
1.01 opi IIfala .nPOaI t -aIu.lap saa ap aUo Ra lO-), A.'stlUO j S SillS1 fwn utapsupo~il"P1A 1)' P 1'o v~at~~4
I1. l4U lrv g ttIt ot'P, -it^:U13ltAA4OtO3.ff

<0140 I oaOQamuir .- {onbi-oaau op puwqi.ltOa 1 P ,P 4la,, R 4q1q3 1[1 $,,i,,,,, ,, ap USpf aun u113UAI I ap oss1mUO) 1j op ;soddes
-'9UUO"WS tousio-.kv"a NV'S u np adoa no SUOA.
1Ulq40DA'5920Th tdnnv '( f.St
_s!ts9sd s (ndad jg ".ofopd ss ap-fns nododp ajo rt o :r
4s0ada l O 1os14q atp.ad sapustuu. p Qln ?1I. IJOS
'. oau as rq *e 0{ u, 0b!WU!:.Utu9 00u&1.!S RU ~p-inapa u auns-aqw ,
w1 -- "n1!Aqds(W4apn.ip at 4qlluo a3odd0a SUPARtRIUU

004)7W op SU{4 1
npaoQ up aauAngaq.o:nqW:: douuoo an bI odo??d.

-MV4 .4 *4
j~ soj axnu IVLIO
s jjd4S3a ,43opWIWYK) s-puu~jW::a fllj o'1V1AM 3 iIYAV4# j
c:rs" 1Tl(!dsN.ON.A N ZO g. .- ':}- t.".44-VA$.,-.--. .-. "'. A.A:.:4C"* .4: :zts* : .i:4
. .-. . : . .: . . .--:----.-.-

W4
-.- . tS -I a l2 ,t a ,.A.0 1-) .V" :.l a.:-, ." 1 . :.::, :>: J ; A'S: :: ::< i:. ;:
.:- m r . . . .":2 .:.::.::. : -.:. . -. :.-:--.-- ." .:.:. ]i!:"i:.:.:::.] :.i:::!.3!i:i.iii: :::i:Z;:i)$i:)!i
---------------- ---------o--.-----o-- Y,.{ . ': ; : : ; O :"; ": -:;: : : .,-, :,:,:,,-,.,,:,,,ii: ,
d a . . .,-8 . ::: ::.: ,::::: : : . . : ,:::, A N .1 ,,.,::,,:,:.,,:,MR,-(,FA,, ,N:p,,f., Uift A-, /*, 4- ,


." '


.1V.n-q A0SN.b
u m m : :of . .,,:
: x y-;" aqn". ''--


p e~~~f aau n. ~S0AISS
'sose~2sa~q na s i< -an pa~odt j4ttttttfa

.- xaaom v. .it al .a A. .
F .l ,. '-.": i:.: : -o d : : .s aa .p .



ji.aeuo9-GAul: attoa eq au~maui~JU Saa2!4 :isnf :.:! t:iu

h7 .T a quai ::"':-:
-des t. a.N .d.~sIJ ,. S17 (WT NII4: N3M


S- uo op.Svap
I ".a .u ouuoq "Iaaq
-311111 C8 i1UI O.p 1 od a u 1) p uspaad TpsLo11
,I ap u 11tsu np sasoicutnm A UC x s 1p3u

0 us abu u












n S 1_ '")OAU3 a(j
xa 1 a-) satpjsaqtua sa'J







-ulqdit meC pt'lg'a3 y u d










gN d? )UIA<1e)
'1n-2-?IAZ opuojoad Aul
Cz.
ep uoQaIS% l auziisno
.1aaa.1 t DJ it

t -n n Vt- -)I,.

RU4.'. 8 4,-i~j) S ZVL"u,.i0.t01 UrA '" )


+UU D IU{"4 ,t1O I) UUwolI ; 4R, 2 . w "}-L '-O- ''', ',;1 .< tS~e












unno pk S Icu~
-May 8.1@ s" anauun g -nal
-ou i a .o pe la y- s la ,3{,.U" II 1j ,.I Q s 1' 4r1 V M-T V




9OS 1LU31 1kD. j\ i at


ia sou; uo p0 oU lu 1 -d I n-- 11
-~ ~ ~~i a'~ 2Ut'
".C .Ttz- vi
~ '";"f"sry,.;r

4 . 4, ~ .7 .4. .



'uan- Vt s.
44 7.'-- __ '4rUeS a u .,'




; __ 0'- 0j 3. _,./J qso~~uj 3f 3.J )f
-vid ~AE j diIs UMIIMJdtuI sj.I, i sn~d s i:.icldrtp1.lO s'UoN


aluOVUtr)p jAUSSf1lUo 4134D
a 8J Vnte np aOlp ua juas npa~tussat und


. . .


suI sualaNnou8:utano
,, . _-.an -.




v, .,2oss 1 s d sad usu 1aalU
-u saa s ofno4 '90oa w

1,)_UI1Of it Of) tJ Oif4, e{

11E autOp s ap auot atd a l


Ut o .nod uo tUw xunap S USt p-ajqr.ialsUG -aqulou .pu r at oa nod P 1o.n h Ioa pa t so

I 'l li f10tSuj UflS ol.fl p
I T
a'i lI a no. 11 0 oqm A s
wt-p so pu- s~a iu0;e

o ir $124 iPtf
4.44 4 k . \ tt .4tr A I. .












J) ,U t3



D jpl~luj 1uap is t aa 1
uoitoprsuoo da
.4 -] a uo d .110(, 11 P P. .?[ e
iG







0100 U A 4 1 LUUDUV)
-S I SZJ '1 U7J1 X oYl Ai p u{1aaP YC t}IBU,. Oj) l2.dA UQ ld) dO I 11k, t )) a l U2

81P A a -' ap as
-odou not 11acu)311u IssVy;P sanuZ


-sa-faans rl t uatuosImlunaDu atedo odo n u uorsAo ftds


11 'QH ap' 4aPx ait ~oa;
-ap n. aU a q4uat 00 1[
-0t "311.-. 3 0-"j .!OUO

op e9.lhI9 s:o!.u p osqwauq 'IN

..