Citation
Le Nouvelliste

Material Information

Title:
Le Nouvelliste
Place of Publication:
Port-au-Prince
Publisher:
[s.n.]
Creation Date:
August 4, 1933
Frequency:
Daily (except Sunday)
daily
normalized irregular
Language:
French
Physical Description:
v. : ill. ;

Subjects

Subjects / Keywords:
Newspapers -- Haiti ( lcsh )
Newspapers -- Port-au-Prince (Haiti) ( lcsh )
Genre:
newspaper ( marcgt )
newspaper ( sobekcm )
Spatial Coverage:
Haiti -- Ouest Department -- Port-au-Prince -- Port-au-Prince

Notes

Dates or Sequential Designation:
Began publication in May 1896.
General Note:
"Journal quotidien, commercial, agricole, litteraire et d'annonces."

Record Information

Source Institution:
University of Florida
Holding Location:
University of Florida
Rights Management:
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Resource Identifier:
000471641 ( ALEPH )
12544054 ( OCLC )
ACN6482 ( NOTIS )

Full Text











ANNE
: :.:.A N N : .:. ::? i .i:. i:.i:i.i.i.:.:./. .:.:!iii!~.i iiiii i~iiii~:ii
:: : :' : :: : i : . . . . .: :: : : i ii :! i i '


PI. a sor derouI lhfr soir, d. u o.t abOrti 4 0I den
me r *ntt des Onze Se
cdurs, all t'aasNti*%M onal, A :Onze h duurc. d soir, nil tricn.t ( demander 4 qt! temp? coniguer l'accord dnt on IprleY film par fail, n Parfail 0: t u1 Pu quPI Parfait?
;.Er attendant, 11011S I11vo.rn~dirC .i nos reusetgmnwuulS su exacts, 4 peu prs, ce qui s'csl paas0 flier, 4hd I heures du soir, les ze [4 nat ears dtaint gqzoqiws clw-hz leur colleague C$.re;,Sq Iruaient aussi le truid. e thA:Z Stnat et un auire persomiage trms importaut, Ai< s queiques echatfef do cf 3, le Shi ieur CarT p-.sp. i tlexte Wune ditI iatzo(dji f u repousst; le S. u q.,proposa n
id.re texte qu(i fUt egalemnent
n" IS fuatur-Carrt
revint a Ia charge, avec an trgoisienw exte, qut amend< pr tes S&nteurs, continue le Communique 0 f f i C i e I que noug puNblions plus loin, d'acLe deuxime texte du Stenate r ('arrt ayant ettf accept 1 Iavee unmurmbre de phrase aJouta1, it fat dtcidt de rtdiger I iun proce-zcrbal qui n'est auIre que le document qu nous a W16 comrnuniqu pour dtre Pablic., .
Le Ssuateur Carre, par leitphOne, inforrra le President de ce qui cenait de se passer, ft ii f4t dtcidt, que, nmlgrt l'heare ,ancte, (onze A ures du soir) le President de la Re'pblique recevait au Palais Alcssaurs les S inateurs qui avagnt tenu la reunion chez
kur eoftlgue Carrm. En diet, &iette keure tardive tout le monde montait au Patltis, ou .avec le .soarire sur tea tiwres ela plus belle humeur, Fe Prm s!ident Vincent regut ses amnis i::es Sinateurs et leur offri 4 !:boire. rdcl e
:".On. remarguera darts toud eto, l'absene adaeds :.Minislres, et I'on tonal atera
.rO'sansA effort, gut dans le



.Communiqut, ten Sinatenra. "renqwellent laur ontfiance ._UniqU~emen-t an President die I".a Rimpubli Wue. .


Voici le Commangqu. a pus a c1k reads ce mi ft et le pro s-verbal signe c. hez:-4.Stuateur GCarrt:.:-":", '::.
r unij j-o. .trotsI A ef$tm h. euf cen t;.trent-e;- trotis'i chez:i ieyr l g4:'ugteut .:
5. C.re apr- s.U, khange


t.i. .titis


d'Ire 'intyret sumrpete ur d 1.1 Pays,
I)6larent fare confiancec'a Monsim_-r I e Pr .sident de Ia itePubi(iuc, et pour affirmer Ie d es Ir d'harmone qu In. me le& Grands tPouvoirs de l'Etat,
IO)nt adopt'. t (,nntnuniqn6
suivant et ont dress ole pr'sent prce--s-verbal poure k co nsta te r.

(.0MM UNIQUE F

Son lExcellerice le Ppublique anim6 du dsir de travail her i la Liberation prochaine Iu territoire, et s'ing6niant chaque jour, pench6" sur la misoere du pepe, a trouver les moyens d6isifs d'att6nuer le chmage qui 6treint la masse, apries des conversations empreintes de ha plus franche courtoisie avec les Senateurs de la Republique encore p'esents a Ih Capitale, n'envisageant quei les hauts interets de ha Nation qu'ils.ont toujours entendu player au preinier rang dans I'ordre d'une politique elev&e,
. . . . . . . . . {
Le President de la Repubii- I
que
et MM. les S6nateurs
avec esprit de sagesse et de patrictisme gui los ont toujours hautement caract6ris6s, conviennent de reprendre ensemble, dans le cadre de la Constitution, en vue d'une Iayale collaboration, pour d6finitivement ]a resoudre, h'6tude des utiles problhmes ayant trait a hexistenee et A l'avancement national.

En consequence, ont dress en. double original he present proems-verbal pour le constater.
F. Martineau, Dr. Price Mars, Seymour Pradel, Denis
St. Aude, LMon Nam, Pierre Hudicourt, Dr. Hector Paultre, Dr. A. V. CarrY,
XXX


MIN'
d*L . . . . . .
ta, vu
. . . . . . .
. .

I P us . . . . .

-:.,MpujkTANT COMMUNIQUt I


ment et yous remercie d'avan- CHANGE DE LOCAL ce. '1


Henry de LALEU:
lembre de la Ligue de Reconeiliation desso
Peuaples . .


La nation Oaitienne toute. .
entire ne saurait rop loner
-e President Vincent el s &e- PAS DE CONFUSION nateurs d'avoir. montre t "nt de. preues de conciliation Pour dissiper rto quivoe pour gue notre vie pot iue j (pjXnous tenons.faire rei. demeure dans la normal, "maquer que norejeune :et i:n eest-a-dire darnsle. reopet.es| t ressant ami Andr61 Thard "prinee et. .,est .absolument trana m a:
on7 I'inciden t doi'16W dDI
Rita Con ~U sieratent Aston.:Th6ard, u osa
w tekttiw r /--,,yon srela.e ier~
M.::

terA.-N.t.WA.At
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nII
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.: . .::.:.i-i.; : ;i( !!if. :. . i : :i d .- ,
No. putt Ons auntphta&
_.Port-au:Pic, 1* 21clr. Aott c. qid: no:: a 0k$$ conznmnt
.ons.ur. .ue r n. c te" dcrnia:.


SComino reetificatfr+: aux in TflBueard, SL. Victor Ji.> formations incomp1 tes quA j -Baptiste, Maurice Latorttwl, ou~t 6t* fcu rnie. parle Ser& i ~ Jules Blanchet, Se rge Covrvin i
d:.re('Etaa(-dui Ttafvail, leil ton1 Philipp _e -Chiitela-in, 1to:
; .:::ii :. S n ou p O 0



,l.t. au M au. n1 elatxros 4,1, ger iBoney, Lone Leger, I&e a. ma Petit! peimuttezdnoi rtxrd R&oy, (Albe rt Deslandes, de prod MirYId $*U votLre int& Olud L.aurent, Meddit G rai.m itessant qvotidwen me maise ait doit, Yvan ,Jeannut, Th~odo. j)O.flt IneCI\SR le. f re. Achilte, M adel.ein.e Syl4e'jre u aprledhon- vain:, Daniel (.,arrenavd, IAOU.IS neur awayr adlre~s4. an D)r. "-tio ," auric L-arh, -Wi tPaul Salomon, en s qualiu3? bert Guerrier, JEtionnce St-Atum
de~"r M~ di- "W .-0.'{ .






do i.stre du Tr'aail, une de, Oswald (Olivier, EmiL. roqu te Atpropos de Ia paie i Paultre Gerard Parer, Monisdes travailleurs de Ia DX G!,,seam, Leray, fules Wairnnght, T. Dieudonn6 PoIeCI, Antoine
Jo conaois facilement I le as Cuerrier, J*@oiniei Fortune:, normal c Ie Minist.re (In Mare I)utailly, Ludovic RoseTrayai] aurait igor .ex. mond, Max B-issainthe, Morel stance (1e cette f ameuse enqu&. Latcnd, So Moravia, V. B. to, phisque son col o'ateuir:: Sada. Gerard T)eStouehes, Ludes Ddpartements 4e l'Int.& l Cajom, Pierre Mathien, rour e d I a Justie dpoi"e.! Daniel Thetrd, Ren6 Colises activity jusqu'a s'irnmis. mont, Edomard Matbie, Piercr dans des esp~es incompa-ire Pressoir, Jean Magloire, 1i,es avec ses attributio:s Marc Leide, Felix Baker,
J'ai 6t6 tr s hemureux d'o Georges Bouehereau, Max DIserver quo le Ministre al- val, Dr. Ren6-Salomon, Mdmon semble, se d. idr i exa-r, n6s-Pierre-Piedrre, Vergn aud miner patriotiquement mao es Lafontant, Adri. doIleanes, puisqu'il a pu met-l he, Frnk Bazin, Frank tre ses responsab0lit s A eou-:e I Dyer.
ve."t en fait-ant savoir qu'il nia jamais reyd requ1te A) e .-. :ld.
su jet.
Mais. ce g. ui m a decourage6vIr MA RIA des tha mauvaise impression pe.m cette declaration .devait M Nous apprenon avece plainecessa cement prcduireI dan sir Ia nouvele (u pi'oehain
le Public gui croirait qu.'uneii manage: do requte pareihle n lul ser"ait I:: L ifle LaureLiautaud pas parvenue 3 In .H avec
Dans ce eas, je devrais cri-l M Caruilton Casienir.
re quo l'Administration Pus- L a b ndiction nuptiale setale de Port-au-Prince lonad: ra dcnn&e amu eharmant eoutionne incorrectement, ce qul pie1 ce mardi 29 Aotit p.rochain, serait impossible, puisque:i A 7 beures du matin, en I'Ej'eus A attire I'attentioni g lise St. Joseph. d'un employ6 sur ha destina-. Nous adressons nos neiltion de Ia iettre. eux Tb- leurs Voux de bonheur aux
Par ailleurs je me rSarve futures {poux. Ia facuh de confirmer Ia. Pr6 senate (elaration par des Pk(4 -.ou-ces au then tique's. ::
Je yams sauie resectuuse LE :TEMPSx'


Canton THEARD.


TROIS GRANDES VEDETTES DE


L'ECRAN FRANCA IS (Thnrls VrsnH lS a ns hi;-


Notre ccnfrere > main Iu pathtique, masqUe nous prie d'annoncer A ses a- e xpressif, ob6issance absolue bones et au public qu' par- au destin de ses heros. Au thfI& tir.de Lundi prochain, les bu- itre, A l'6cran, a verse, sur les reaux de Ia Revue > plus difficiles r6les, cette vie sont transfrs A' Ia Rue du intense et vraie qui lesfait Magasin de l'Etat, a cot6 du 4 palpiter dans hle souvenir. salon de coiffure de Pablo Tela-Telmi: Une re"eIaFreres. tion. Ine nouvelle d6eCouverte Jacques de Barcncelhi.
.nitZerga (de, IFAtlantide, UNfqu est une gitane authentique, fIcuor d R(11*11C 'Wst u~ non, nerveuse gui vivait dans, { cur human. les roulottes ancestrales, couVenez, Dimanehe, voir rait les chemins. Aujourd-hui
Amour deRet .ne ceIbre et fetee_.
.:.Haiian.'"".,. Vanh. Yam:Grande chanS. vr- Re me "ne, teuse etdanseuose sou pie, en.
SOUflrret-.ouri:,I".s e.Auss, un(.eCOU.
'9exaez11 :cette'Jaques d aronceb'
Wire d'Amou r AmWur eI:*:
i. . .: d .r .: .A . .- . H i .: !: . .:. .- I:. :.: -:: : .- .
[esttofilm.epif.ese- .-.Voils protagonisre: de.


, pi alarpro e-. nu.J: -Raronil4:piIt-rlrl IYA_.,: n: tdlpfl I' CtMit a pbi
&x~ LonJhnSat j iuPraout
11Y dix . .Dbnn.eh .
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~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ P ai e t e.ig g i:i. .
p rg p ( :. .-. : :: :::::::::::. ::.::.:.::. ::.::.::.::.::.:.::.::.
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Jat 1At t~sant la Polic/: en
Vtes f eIt .ut,





4 Jlt .t.U (.:n m a~nr; Icco

,,, 4U1)':LAC 41 I4Stt (_.14 : i~ .- s{: (tdO. -I1 'UpIV A2 (IC QH 4 c (?s-re 8 vottt a(I I :dnt.6 d e -. tie -.horurnk!e (oaff i, i ,e "". aE deux its-,iasg
(EdoMard.) non comtntie e j)1IVCI' lF1otttI Ii. ;dc Ce. (A Imi est eu;i-Equnpn U C-. a rrachert(IduCovumint, wa wdu Gou'vernetvntoin ort.ee1gal au1riant J e a envahir Urutalcn~&les44-;appaotement do P-i d Rialto ('t clever par frce lls nave

u(~~~~~ ef mer1A, apItJ
cl ucl's It~~~ con situ i u~lft-,le' gage de F1iAel tDia-feto.
in' (i'assaguoluftter.

ch1es- ----n'unt .Pals .r1appor It& FEt je-s Doeteurs-Equi1pier,-s CIAbaims, certainemnt 1, ut ulrai ilk son sSavoir faire"
En P vous p;'iant de publ hIeCr aproZsente -en velrtutle 'ca jl
-Li la Presse, Je \us pi -C Oirl' r, MvATr I IDirIecteurj peC

..

















rues po' i: ::::,,:::: :nur inwre ma cor, rt 'est e 4n& Ceuttr~esa
.~~ ~ ~ ~~~~~~~. ., ii n::h ~ a r c vm r : : : .
.:: .:: . recto ant ed uete sns
Ct InkS 5urc- rent4 Spirituefll. d 9 u .exfrte' e
SP*4t. _udtainement entre eeluteet
'1'au e r de essal awte Unea


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Leo nitu Hain dohAPi e qu fo nd de Jt'
glance franise quogn I tr aive pesqupe pouourse un cncour annuel d u es quons MPa regies-6



Posi t'iIfr hv:al Pro- o eA n
peeroyant, tandis qu lesins m pe6, p our. celui do e'1982,: au dii divin fit totalement de&

VAutre d sduet suivants;invapiemp
a. Pted'n "rivai haitien n ec s
FMotes cEinaure esentleI per beaucoup des manifestations-du sentiment revligicux. de s' vit e. do es cuvre. IT arrs .ive presqu e toujours
2n, Prdulez ti otveIl de .ivuetirc, cial (proe e quo outons rigsos exereent stir l'esprit des in
rt c eredules une inraislsmbl-able
attraction. Cedte siriguui~ve Monsieur FI tIde P1alItr1-4, fascfination. des cb~cses c6lesuI netait point fl(IIN 0011111 t s no les laisse pas tranquilpublic, choisit le JpreifliO "I; fttu rp s u obsiSUjet, et son Esshti mur M. Pri- n t a1eetr0n1icuso ce-Mar-s tot priuW' (Vest cot cc qu'ilI nient; mai s a los me'
-- --- I .- ,. - - ** k


ouvrage que son auteur avre fort justement 'a ]a publicitk.
Un ouvrage couronn" par
une socit6 comptant parmi ses membres des personnalits qui se recommandent, A des titres divers, attention du public, %o passerait de tout autre patronage et na guere besoin d'une presentation aux lecteurs. Ce West pourtant pas ce qu'a pens6 M. Emile Paultre; et entre tous ses devaneiers dans les lettres haitiennes, don't pas un nth6siterait lui servir de parrain litteraire, il a bien voulu me choisir. Je lui en rends grace. J'ai un faible pour les prefaces. L'avouerai-je? plus d'une m'a dispense de lire lAeu vre qu'elle annonqait. Ce n'est point ce dont je voudrais que le ecteur s'avisht pour I'Essai sur M. Price-Mars. Quelle que soit Ia nationality de ce lecteur et ---- quelque ------- genre
d'oecupations qu'i I s'attache, pourvu quil ne se complaise pas uniquemetit ft des futilit&s, il aura grand intert 'a
parcourir ces pages.
Si, comme mom, Von se prend /" d'un gofit tr 's 'if pour les
prefaces, qu'elles soient de 'auteur ou d'un introducteur stranger, peut-on se refuser le plaisir Wen ecrire une, i la sollicitation flatteuse d'un jeune 6crivain distingu6 par une compagnie d'hommes d'6lite? J'aurais dTaut-ant plus mauvaise graee 'a me derober a son invitation que le sujet de son interessante &rude cenduit 'a des considerations de la plus haute importance pour I ceux qui se preoccupent de nos destinies nationales et ui en cherchent le secret arts la revlation de esprit
du earaet6re haitiens.
Tout d'abord, nous flicitons M. Paultre de s'&tre arit6 A Ia personnel et ft henvre du Dr. Price-Mars putt
--.qu'A, cell die tout autre &zrivain do chez nous Ii nous exprime Ia raison do sa prf& rence par le faith quo cot autour 6inrite trahit, dans sos productions, tine inqui4tude
doht i'aiguillon so "ferait sentir aussi ii Ia jeunesse contenporalnez M1 Paultre nrnzs perin: ettra do douter -an peU que


", a id6e4 t.ourmetanteas qul peuvent agiter i'esprit do ,ses contemporafns s'identifient, hez a plupart, :avec celles t::,;dont l' expression, fait ta ma-: .k: d: i des rits moments dans: son. e.-ssai. 's peW S tre autrement ::CI quo : :!,exp iquentsprcime t on ou QAr son, lioros. spii*tuel tsnatce
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(Voir suite en It page)


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Sans doute, on appartient a manqu6. ils toujoursit une famille d'es- d'id5.es et de prints" i doit se rencontrer, se iis tenaient rapprochant de Mr. Price- aeademique p Mars, a part I'admirateur de splendeurs sa pense que nous montre d'heureuses a (E s ai, dates jeunes hon1- sion. On en
res qui reconnaitron. en Li style est d'ui et dans son ruvre I'imnage et pidit6, inai Pyexpressicn ennoblies de leur soigne' avec u1 eat d'ime. Mais e trois bien pule, Ia tirnic que ceux-IA formnent d'hono- ger qui s'6vei rabies exceptions: ils ne sont tement 'a ne p pas i6gion, hdtas, les nou- turaIis6 de f veaux venus qui consontent g"nie de la la encore a supporter leurs de- D'autres, au vanciers, qui se montrent dis- montr( du pi
Io les approcher avec' vie, uri gira sympathie et recouvrent a mouvement; leur *gard cette deference et gretter dans Ie respect d6j "a suramn quo ja-i c6t6 barbare dis Von se faisait gloire de tionsqui, sui montrer aux ainPls. Un grand faisaient froi nombre 1ett' v(uent Je d6dain I M. Gecrges 5; le plus offensant, qan is ne quaient son se teur lancent pas des impreca- i de mandarin s tions fuiminantt.s et ne seI parer mental mettent Ai lus maudire, Is oac- j t.6 de forme a, cusaut do navci ri, su r6a- tions de ces ri lise + d'utile etde boll et d' tre seuls res ponsafl)es de no- (
tre prsente iufvrtune.
Qui qu'I eni suit, esprit solitair'e en non, Jo D)r. Price- INSTI Mars est certainwment 1'un de 41A A I nos ecrivains les plus repr& { sentat ifs, non do cot to g6nera- Tnrgeau, pr Lion, mais do celle (pui avaiL r'Eglise dL cormenc'6 A so r6v6ler par Ia Pensionn Rondo. (Pest dans cette revue
-- un vrai portle-bonheur pour L'Institutic Ia plupart de ses cotlabora- families quo tours que s'est f'ait son bap- p our los 61&v+ tame littfraire, 11 y avait pu- lieu pendant I bli6 une nouvelle. 11 parait CBS.


que le Dr. Audain c'est M. En outre, 1( Emile Paultre qui nous le ra- inscriptions e conte- accueilit assez mal dant les mois ee d6but. Sur cette permiere tembre jusqu' production je ne suis pas de classes qui a 'avis de notre eminent mede- mier lundi d'c cin. A moins que mes souvenirs me trompent fort, le style de M. Mars y paraissaitd6 PANAMA JA form. Si depuis il a consi- STEAMS. d6rablement gagn6 en subs- BULLET
-tance, en richesse et en force, S. S. < S u A beau ll. Le Dre Pri .e- ON'LU! Th
e Pf1pl1ie velontiers J AP Leesf:4
Ia termnologie uientifhjue. 6:s r4V
nC'estpour plus de :preszon si *. quelea s ivains: versds: d dedw, Cis w
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Guayaquil -ie 13 Juin, 1933, Cristobal le 20 Juin, 1933, Buenaventura le 27 Juin, 1933, Ane,n le 5 juillet L933,
Guayaquil le 11. uillet, 1933, Cristobal le 118 J-illetv, 1933, Buenaventura le 25 juitlet, 1983, Ancon le le AOJIt, 1933,
Grayaq il. le 8 Amltd, 1933, Cristobal Ie 15 ,AOUt, 1933,
Buenaventura ip 22 AOUt, 1933, Ancon iae29 *eut, 1933,1


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l eIt Juin, le 19 Juii "
le 25 Jui, le 3 juillet, le;10 juillet, le 17 juillet, Ie 23 juillet, IL 31 muillet, le 6 AOUt, le 14 AoUt,
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