Citation
Le Nouvelliste

Material Information

Title:
Le Nouvelliste
Place of Publication:
Port-au-Prince
Publisher:
[s.n.]
Creation Date:
July 28, 1933
Frequency:
Daily (except Sunday)
daily
normalized irregular
Language:
French
Physical Description:
v. : ill. ;

Subjects

Subjects / Keywords:
Newspapers -- Haiti ( lcsh )
Newspapers -- Port-au-Prince (Haiti) ( lcsh )
Genre:
newspaper ( marcgt )
newspaper ( sobekcm )
Spatial Coverage:
Haiti -- Ouest Department -- Port-au-Prince -- Port-au-Prince

Notes

Dates or Sequential Designation:
Began publication in May 1896.
General Note:
"Journal quotidien, commercial, agricole, litteraire et d'annonces."

Record Information

Source Institution:
University of Florida
Holding Location:
University of Florida
Rights Management:
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Resource Identifier:
000471641 ( ALEPH )
12544054 ( OCLC )
ACN6482 ( NOTIS )

Full Text












vtnREDI 28srn mL 1


d ix0huit 8 an. U.N P l17U ANrrn

Nous avons 6tk pbuiblemeont
1L YA nix IHUIT ANSs! impressionnes en entendant he 28 JUlet 1915, d hea ace.main les plaintes d'une.
de 'qpre s id, Qzurtre cent aie de 'malheureux hain eslMAatels due Crohvear Jtiens, rapatribs pal: PUsineo Amircain fifmplemnfit au noa de l'Im pour 8tre rpartie entre eux, t*ialisme et du droll du a un Monsieur charge par le as fort! Consul haitien de l'endroit, de
Fui! ix IInil Ans, depuis les accompagner ici. ijslHaii est occupde. Dix II arrive souvent que les 6iet Ans depuin que le Dra migres nous reviennent dans wan disle liotte sur nos tdi- ,un 6tat de complet denuement, ics publics, a cdIt de note mais tel n'est pas le cas de icoiore, et que notre lbert I coux que nous avons vus,, puis aquisc aux prix du plus pir quIls affirment qu'iI a 6th rsng de nos aieux, est eon- mis tin a leur contrat en raisqu&. Qu'avion-nous faith son de leur tat de sant6 trop 4wranzriter ce sort? De par- pr6ecaire, et qu't cause de ceut sur le globe terresre, on ia le i)irecteur des Usines de Ie, on assassin, e'est la la Romana, leur a alloue des uerre, les ddbiteurs du Yan- fraics de rappatriement. co ne parent pas ieare det- Le plus 6lmentaire sent. es, main ceux-l peuvent se ment de charity command A. ;x.S ci Haiti dest qu'une celui a qui a 6t6 confi6 ces elite ndion! frais, do ne pas les garder. Is
Etail-ce la repliqu~e natu- sont, ces matheareux, les uns
ele au geste des centaines de Jaemel, les autres de quelhaieKns qui s'etaient fait ques points recules du D(par:crminer ((< Savannah D, te ent du Sud.
gj r nc dependance Amri- Un pou plus de justice so,iue!!! ci4) eale, pour ces maiheureux.
En plein XXeme siele, 1'a- Voilla ce que nous r4clamcns ke colossal amerieain a fa- iei. &sur le roielet haitin. Dix
hll Ans depuis que l'humaIit ,iyowrite, sourde a nos
ppels, &'a table pour parler UN CADET DE LA SJutice t de Liberte.E
Des promUZesses formelles ont DERNIERE PROMOTION e' faites par le President
posevelt. Espirons done! TUE EN AUTO
Ain que le d&ouragement
s'empare de l'dme haitien- Hier, dans la Plaine de Leoeet pour ue tous u s- gane, dans les environs de rgns conver ger nos efforts & Flon, I'Officier Arnold Caider notre vndrt Prisident just, recemment laur6at de aboutir 4 la liberation du l'Ecole Militaire, est mort par Se ted, nous le supplions de suite d'un accident d'automowirer Ia f/amine du native- bile, Son compagnon Alix De tr de notre Liberti en grou- niz4 est dans un 6tat tres graant autour de lui routes les ye.n mnles volonts. Condoleances aux families Dix Huil Ans! Non! C'en 6prouvees, t trop! Cest un cauchemar. ._. ras alons-nous nouns riveil. r bent6 dans la rialitt blen 4j PROPOS DES dsrnte de notre Indl)en. PROCHAINES;


?'' ELECTIONS POUR LE
En attendant, unissons nos AETON P rerts pour que jamais plus teune main hailienne ne si- Un confrbre a faith remare aucn Traittt
quer derniarement, avee une Dix Huit Ans! Dix Iit n A.


." .-. -, -,-' mais, il faudra dire : QUATRE CYCLES DE ,) En effet, conformment 4
la nouvelle loi, seuls les avoPOESIE DOMINICAINE I cats militants .ot le droit d'4lire le Batonnier et le conseil Aujourd'hui a pant en bro- de I'ordre. Les avocats inskure la conference de notre oits, qui e trouvent pasdd.e fiValentin Tejada, tQua- causes ne sont pas considIre/Cycles do Posie Domini I r6s comme des avocats. is inesl>), t-raduite par' MM, h i sont considers peut-4tre, com imard. Money Gourgue et me : div dams notre fv -a eorges Thomas. : reux creole, s de&
Au momet o vob se dessine un Quand on pense que I flportant.Tmouvemneit4 en faw sell]uent mper astavlorak peir dun rapprochement hale inscns" o miitens lo
4Ioedominicain, aucunl intel. qu'ils le mbriteat, et quo d KtUel halitan clintn

Ce martin, te toieur dRaleigh a prism mouillage dans notre trade. I ak son bord Phionorable SousSecretaire d'Etat de Ia Marine Ambricaine, te Colonel Harry L. Roo sevelt, s*y trtouve auui, M. Kermit Roosevetlt, fill de lox P'ridenit Theodore R(oevet. Ie (Co(Kmmas 0 dant A. S. Merrill est atiache a : S )us-Secrltair. e dtuta,
Apras les sauts d'usage entree V Croiseur et le Fort National, 8< Sous Secrttaire d'Sat RI oeve t.:. descendai so-r le qual. on it rut Pald par une salve d'artilerie. Le. inner lui ont 6t6 rendus aussi par un bataillon de Ia Garde d'J-tai. ti, avec musique en tete.
Une foule immense se trouvait aux aIbords du Quai et principa. element les nombreux amis que le Colonel H-arry Roosevelt avait lai4 s6s, aprbs une anne de cordless relations dans la Garde d'Haiti. Le Chef du Protoeole invite le Sous-Secretare- d',tat it mqnter
F I F -


anis ia voiture presiuentie pour se rendre au Palais National od fattendait Son Exellence le Pr6si-: dent Vincent. En compagnie di: Ministre des Etats-Unis, le sympat thique M. Norman Armour, et suiIL Go mbrcascs autos. Ie group
dirigea vers le Palais, et tout ie ig du parcours. une attention sptciale de sympathie allait au Sous-Secr6taire d'Etat Harry L Roosevelt.
Riception des plus cordiales, au Palais National. Aprts les moths alimables de bienvenue du Pr&i: dent .incent, le Colonel Harry Roosevelt prononga le petit speech suivant:

t M. le Prbsident,
Je suis tris sensible au grand honneur que m'a fait Votre Excellence en me relevant, et je veux
Vous assurer du plaisir que j'prouve de revoir Votre beau Pays. < Je considre l'anne que j'M passe en quality de Colonel dans Ia Gendarmerie d'Haiti, comme Ia plus eharmante et Ia plus int6ressante de ma vie de militaire. C'est done avec une grande satisfaction que je revois mes nombreux amis
-------.


NOTE CONFRERE
r ::
S'EST TROMPE

Conform6ment au Protoc le arrat a I'oecasion de Par rive en cette Ville de 1'Hono rabIe -H Roosevelt, Sous-Se- I cer4taire d'Etat i Ia Marine des Etats- Unis d'Amrique,.ce matin, A 8 hrures 30, il d6bar ant t regut les honiurua Puin ce futleIa changes ti F visited
Etsi les leeteurs de 'notre


-haitiens.
< Au moment de man depart de Washington, Son Excellence t Pr ,ident RP.oevel m'a charge( de ;;;;vou. pri(sentefr se plus vivts amii. *'e de vou dire q Ue h: So'uve. nir do sa vi0ite on Haiti, en 19t7 est pr(e.famet( grav, dnus a rncmov
Au"i 1 '1c are.vo. i
-0 que, apre-s te It aCndit norn Sn laes e Etats- trnis sr.nlt retab in, II nourrit Y'espoir d r'tournir o n Haiti po'r \o'(.ljs r i( a' n X site per'sonncel,. ,l". hon;eours miitaires avant .td rendut(1W par Ia Garde dlu Pata;s, le Colonel Roosevelt prit congo flu Pi-b'hident et so_ rendit a la residene privcs du Ministre Americain, Qut-lgues instants apres. le Minus. tre des. relations Exterinuces remettaU. ta visited fate au Pr6sjident Sd'Haiti. Puis, no's honorables visitours serendirent a iH~t& de Vile saluei' le Maire de Port-au.-'iuce.
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desdaan .e tep in
franche cordialite.
niaux. Ces acque(dues av
Au champagne, le Magistrat Du Ief-rre" -D' .- .,, [ vigneaud souhaita Ia bienvenue a enc(ore t'"s kc "->'em "
- Harry Roosevelt. Ensuit > fls .t O I .
1SinspectionS commnt?,,c ent, Ct uP e .i e i m i care de genridarmes nm -" ('ens eeit lieu vers 11 heures C-2- C L V ( et .res-m th. com me,' o 12 ai entv ent e sol, t. F"
'de oa 7 Ybres, 1 y aura rdeeptio)n atF
s.m.m.n" o.nIlai, en l'honneur du Sou.s-Seer>- Vt.f" e m o ide ofU icie! hait o n,, to tetF P 'av i i .u e ', minutes des trols jour. quI e --r.I ') rit itOOs-: lt nail ~ : t t ione t t in '- In
. r R o s e .l o n l i a i i s e n t. p n} r A] V a l k( e n m. n a n t n se:. pour des Receptions. u Voie. 01 1>S ] 0:4
Cela prouve ce que nous avons we
dit, ds le d6but: Que Harry Roo- (B. aul ao ntie.t hd es L I "'naux Ie inontrent biecs. I,.
sevelt a so, par sos manieres affa- deniveiatitrs iemat'.,ues bles, sa grande distinction et S aes dans Ien pe asl parages des VTerr'ethautes qualit6s d'homme du mon ten out (46 Von ealcuIeK t de, conquerir de solides sympathies ent facility Ia iotec (Ies. tooen Haiti. Nous i'avons retreuve avec son charmant sourire qui ca- endroits o xeI canaux s t dre une conversation sans osten- rellenent profound. station, mais naturelle et attrayan- Pus de dotix mules uersonS.nes travallent et la moyenne Nous lui souhaitons un excellent de deblai-remblai est de 1 m. sejotr parmi nous, parmi ses son- cube t environ pay t(te Whom venirs des hommes et des hoses me. Cst merveilleux. Nou. .d'Haiti, avons dit deblai-rernblai par-. e que les dbblais des canaux
out sur une tris grande di:sonnage. Comnme on le vit, tance servis A faire le remblai on peut-6tre tr6s pres de 'au- d'une4oute en accotement. torit& tre mnme une autori- LA PRISE- Encore une.
i, et ignorer beaucoup de merveille Des murs en bton, choses- .2 m. de large, solCIdes comm
i est vrai de dire que ce ceu x d'une forteress:e, p. nest pas toujours qu'un jour- coux do in CriteaPierrot, nalisto dt exactement ce qu'il parties reccnstruites. eapasalt, surtout quand ii a bles de rdsister aux plus fordroit de parler maime de ce tes crues de la rivibre des quit ne salt pas. Verrettes. Un travail dart et
de science qui merite d'&tre ~~ vua et connui do tous.
D'une fagon g6ndrale, in tra
JOHNSON EN LIRRRTE vail effectud dans la region
des Verrotten en 2 mnob e4t con ti'-- Collecteur de a Doi a iderable et il ya a ketempa, .Johnson et on Ilert$ de pour ne pas dire depuis Chris F poi deux jours' 11 narait toph,~ qurn Chef d"FEtat ns qu'llarestitu6bA 11tat le va~ realis4 mutant en si pen de rtrutra. Et volh : tanpa et ave si pead'argent.
!;;:7',,i::i7,:! !i!7,::# ) ', i:' ; ; : : . . . : : i :


~P~4~P~ ~j~j~ ~WaagegFab~a~a~F~PII~ip~ ~ i.~:~.~.i-.i. i.:;i. :.i.l


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DYRWA TION DES
VERRETh1: ES : :,::


Suar I sh eable i-nvitat.ion du charrant I nginieur v ;s, iDirecteur de0 Xdrva fvam tion do ia/dO, T. P., t.).-4 avons visited }ier les t. . d'irrigation de .ift -.-s'afetunten la anta;
11 ou a dit qu e l .i ren-.gnemnents adja fourntis ici, p14 1 I'un de nous, SeBt ,ab5o tn. it exacts,qiutd it 1'rdre tt .a di.cipline d.ans- les "tha"n "-JLfs {ii'geant K Pb11VK tiers des r(in t- ul-t1l.> QO bl n grae a t4nergie d;'
Ie .DQpt r{i.e-nta ( :i p a t h iq ut e A lftre d M iner E : ) f". fesprt Rl( .rad a u Sdonnes.
L.,es p( ut 1 ions qu "
noticier de{ cu.t ut. L., i h(Fi( iO ( U ,r ( 1 1_ [. ." no demanent la paix, Iuur I l e t ot Lt Vi' > > 0>. (. )oss9 il t e j 1j; oo.
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Au point de vue te_ -;.w
1es travaux dirrga ion :< eprvis par Ie (ouvernemnt h~aitien dans i. ego Verrottes sont tonn "
to PreCision.
Les fonds des cannuix dranos ari'ivent exact"nent a0. n iveaux des chft rents acm '.
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. .
Et que ople- e assor-.



LIE NAONL
. m. 0 . .
ti, alors, pour interpreter La Femime d'aun Soir!'


. .
'Touteelan'est pouttattpas un r~ve, puisque Haitian a, dt manche soir, passera sur son ieran Jo grand film muet in& dit taFemmzed'n nSoir.
-t--:- ------ A-TT:P .

L'E QUIPE]NA TIONAL A

QUI A HATTU- LES


CUBAINS


Beaueoup de gens qui n'avalont pus pu assistedr aU match de mardi, nous ayant demanded de publier les noms des equipiers du c< But: Smith (U. S. S. I.)
Arrie'res: Tovr .(Racing),
Saint Fort (Racing). Demis : C(ator (Racing), Georges Audant (Violette), Jean-oseph (Garde d'Haiti). Aants: Bakeh.r (Racing), Beauvoir (Racing) Duthiers (Racing), Champagne (Racing), S6guignol (Jeunesse),.


EXTRAITY


:.=: .-. .!.i. .: . : ;. . :. .:. .; r : !. --f :!


A.A


QueJ esi donc Ie secret a charnne ct de Ia jeunlesse :A tout age?
t Ltentrti~nconvenableda tint ,
. :::I . .7: :: : t 7 ':: :: , -, : :
i) [ :i :[ .:- i :: . : .: : :- :. :. .: . . . . . . -. .-.
i :: ; : ? : ::. . . "- -:- .- .~i . .
:":. .:.:. 'V .i.:.: -.:. ::.:.:.:. Ml4 2 : : :
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. i4r Laura 1. #i antis '~'edit e d S.urs p .i. A .
:, .:. = : . -. .:. .:.: .::. .!=) '.'. '.:- :-: . . . ._. 2:. :. .


# nous ctIOu sacn9st M esdhaUmet



Li to st vri wls 64 gtnde actriceus e 'o.ywood ag.



cimpoirnt lraot savoni de I.tnc. .x. e .nx est deit'v"nu
t sav on aci do Us es grnd



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due Savon dc 'Toiette Lux qui
ia iTIoussc peaust licate t. douce .
Et c'strau qu'ev gaSres 94o etnbedelolywood,686.
vmploiont lodoraot Savofi-: C TOAWi tux, Le Lux est: cv'ht



n ffici dc tous es g
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Agm 1 !)Y u nm bla nldcuar.i m c I Esa m ous.,)c st. dl lcatc,bl nf aut
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S-1 38 Ru. S 14 11 M agastn 4C
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macc 4 dTaw ll !:
donc.prudnt: toulautle Svon Carolic . .- ---. gaU tff e COUEI@n._._.
. b.IT.a. . .
::::e:::M -L .


UN RON CONSEIL


Pour tous ceux qui ont du gotft, et savent apprcier, il e t prouve qu'en fait de meu7. u rsM
bles, ii vaut toujours nieux voi'


JUSTIN JUST
Par exploit du minister de Prcprietaire de
thuissier Lbonce Duroseau du AU ((MENAGE MODERNE> Tribunal Civil de Port-au- 1518 Rue du Mllagasin de Prince en late du Vingt cinq l'Etat
juillet mil neuf cent trente pres de la Banque Nale. de la trois, emregi)tr, la dame-Ani- re. dH T aBq a rlu~ ~ Rp dil Pi e('aiti.
ta Scott use-d siur Phi Diplin de la mnedaille d'or lippe Kiefier,- tous deux de- de l'Exposition Coloniale de meurant a Port-au-Prince, Vincenne, France, de 1931. propri&eaire, a former centre Diplbmt avec mention (hors ledit sieur Philippe Kieffer contours) de l'Exposition Insa demand en separation de dustrielle du Service Technibiens; Euaitres Hlubbert Ale- que Professionnel du ier. Mai xis et Le"on Alexi,aveats nt--iget6 constitu6s par la deman- Ses meubles sont d'un reel deresse suP ladite assignation. fini, en outre, le patron n'a
Port-au-Prince, le vingt six qu'une parole en affaires, et Juillet 1933. pour encourager sa clientele,
Pour extrait cnforme, iil fait un rabais de 30 c .o, sur toutes les commands qui lui Hubert Alexis, Lo Alexis. sont confines.
avocats.

COLOMBIAN STEAMSHIP
ATTENTION.
COMPANY INC.
Ce matin, vers 10 heures,
ncus avons vui presque tous (Ligne Colombienne)
les 6quipiers eubains descendre en ville. Intrigue, nous Ttliphone No. 2323
les suivimes et avons pu les voir rentrer et ment>, au D6pot Rhum Sar- Voy 12 de retour des Ports the, Caehet d'Or. Colombiens, Cristobal, C. Z.
Footballeurs haitiens, fai- et Kingston est attendu 'a tes attention, nos h6tes ont a- Port-au-Prince le 27 Juillet chet 2 douzaines de bouteil- 1933 en route le mnme: jOur les c'est formidable. Ah ppur New York direct, preje commence a crandre, je nant frgt, passagers et malcramins meme pour nos 6qui. le. piers, car le Rhum Sarthe Ca. Le vapeur Voy114 partial de New re: pour: les sportsmen cUw York le 19 Juillet directemenwt bains. pour le Cap-Haitien etx part
ra e mme jour pour Port- :
*.V:.i :. . . : . .- . . .i .i .::. .;01- .: . . o r . t" .,
'" aN o-Prvia le d Port s du
A VENDRE : Nord o4.iie. attndu i. 29'
Judllet 1933 en route le mnme M obilier e piano. <.::j:,:our pour les Ports di Sud,
S'adreser entre nidi et $ prenant fr&, passages et hetres p., m. A M;:t locteur malle. Pollard, A Turgeau, on face de lasrsidence de M. Georges d W. IC.'MLEO,
Lesplnasse T414phone No. 872; \
d e. . . e. . .-. .- . .-. -. .-. .i.i.:.i: .W t. ------!:i ii: :. i)ii:!V :::# --;. :- 4 .-:< .


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T[ JX, btUi 'RONCMItESENROUEMENTS
INFLUENZA, AFrFECTIONS DES POUMONS
Pok' A.hPR! NC .I ET LES PROVINCES.


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