Le Nouvelliste ( August 20, 1932 )

PORT-U NC. . NC .


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0eII'est pas eIuvr

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cested pas la premi�re fois - 4 bloc autour de FAute! de u nous voyS dS la la Patri. po n .ue I trn.





asitde nous adresser dW' ger svnouti l a affaie ax:wc
<.yn eiichiurS des ci una N.atwn cosina n,
sepour leun demander Jet ndhn avec eS' Tetnltde inbler certaines faute, de <�sept ans� ouant h 'la not1p�e, potu sentiinent de ba2ne, 'avec uin Petvle dont 1'tistcttparti-pr:is et toute id�e re est emaill�e de belles ac> at4r�t priv�, pour ne con- tions qu'il s'agit de d��enbrer que le sort de notre dre contre les sarcasmes et
I. oni . . les calomnies. (hi . donc






nechacuin seomette bient en voir plus1loin que le cadre des que la faillite du �ou- mesquines comp�titions d'in' " ' - " �" :: :. . . .' . . . : : : <

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emen, v le coditonst�r�ts personnels.
ii++!K s:+: ::+ ~~. S.0. . . . . . ., l :; ai; � @ i :u . ' tr r












lesquelles il est n� et a- Si nous n'aidons pas le Cou:.s institutions libarales vernement actuel, :par notre poss�de, c'est aussi la sagesse, et notre patriotisme, it du nom Haitien. nos conseils desint�ress�s, vn
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tuellement, c'est Mon- les conditions spciales dans or St�nlo Vincent qui est lesquelles il est arriv� au PouSt.te de ce Gouvernement, voir, nous n'aiderons jamais is ce pourrait �tre ou M. plus aucun autre Gouverneanon ou M. Price Mars ou mient. Nous retomberons dans SPradel ou 1ML Mayard ou les malheurs du Pass�, pour autre, prestigeux haitien. la perte d�fnitive de notre 1I1 semble, que le m�me de- nationalit�. ir 'imposerait. Au leande- Si les Haitiens ens�s r� i excution du Pan fl i chissent iOuants verront a Pue










nwr-Forbes, nous devons [nous leur disons la v�rite et is �rouver que la R�publi- iis �Couteront nos consels. e Noire d'Haiti est capable epar se gouverner elle-m�me, - ' . e i if
. piv, o r ne con- wio s quit J ' ""





















t cela il faut que les UNE OMISSION
.s se disent que ne pas
tune ou des faveurs du REGRETTABLE C
enement, n'i mpiq n elon que le











Spo-Vur ela ou'ail faille .du oai- Tomesquinet s la fin de la deuxiCe position onlto- me col personn la re page dels
[lsquelles il .est.n� et a- S-i nous n'aidons pas le Covtre sournoisement, notre lib�rales verneedition d'hier, pnous a-e il'opinion publique �tait vons publi� une note annon,comnme nous. pour con- cant la mot de patriotre ami. le











ire le dessous des chsea regrett� eco nostaterait cmien sou- s nseis dsint�ress�, V
!ment, :e',est Mon- les conditions sp'ciales dans











iielle est bafoue. Tel per- qules il est arriv� eu Po











4anage, n'ayant pO obtenir
l de ce ouer lui mme ou mivos ilr, ous n'aiderons j galmaies ami pou parent, se dresse. le dernier paragraphe ci nGouvernedfenseur farouche deMars ou exprimionment Nous nos sentmentos dans de ela! S'il avaitrd obu es condolhanes aux parentss�, pour qutiie, pestgeux haitien la perte d�finitive de notredfunt. iup ublique chercherait, en Nous nous en excusons au-ationalit s ce grand avocat deAu lendea pr-s d'eux n les Haties leur rens ouver�ale polix�cutine. Ils sont lant ici. #e��Forbes,. nous devons 1-nous !eit disons la veriteiet ,��.: - pouver que la R�publi- 1ts coitercnt nos conseil.s. le .o:!N0re dHlaiti est capable"
�.-� :.g o u v e r n e r e l le -m � m e . r . . . -- . . . . . ------.---------- -- ---------
ur-ela.�l faut que les UNE OLMISSION









bieuxns Ses isent quimes amnes en
-une ou des faveurs du ERTAL
e�rnem�n, n'im p I1
pou.r-cela qu'il faille lai- Tout <� la fin de la dleuxi��l:.e'opposition ou.le corn- me colonne de la 1�re page (le







etin. aujourd'hui et quiEtion d'hie nous a-a::lopent pultimatum de-vos publi une note annon�k, comme nous. pour Io-� n t.Mort de notlre ami, le
ettre le dessous des eh s� regr-ett�


t :nous: je suis pr�t � en- ACCIDENTS r dans. l'opposition.
Ce n'est Pas ainsi qu'on sau- Hier matin, vers onze heu.ra notre pauvre Haiti, ni ,res, un journalier du nom de on prouvera aux membres Fran�ois Antoine attach� au . la Commission Forbes, � service de la pelle � vapeur de Univers qui nous observe la D. G. T. P. � Bizoton, a eu l:-nous sommes dignes de la jambe bris�e par une lourcOnqu�rir notre- Souverai. de pi�ce d�tach�e de la machieti ne. Quelques l�g�res �gratixxx gnures aussi. Il est soign� a
Nous avons r�clam� un Gou l'H6pital.


rnement: lib�ral, et nous l'a- xxx
Dn-s.eu,:Mais le Peuple aussi Hier apr�s-midi vers deux it semontrer conscient, dis- heures, sur l"habitation La ipink� . :.Tremblay (Croixde-BouNouS d�mandons & ch:aue :quets) � la suite d'une rixe, toyen. ouand quelou'un vien Edouard Salomon � bless, ra:.a encen.ser ou dbiner le 'un violent coup de houe: la roWvernement, de chercher � main gauehe de:. T�l�maue av i es en ftii on ou Garnier. Transporte � TH� Is, direete . tjou drete- pital la. victi me subi am- .i LEnst e que. e"citoyen pUtaticn: du m�dins. ge Par luim ar n nexx
ut �as envisager leouveref Ce matin vers O heures une emltraiabien la Nationi $ auto -a. Miaoue haSti� j m.e Paudo6 � I .nnocent.
d'idr les Pouvoirs' P�. , Elle a en la jambe gauche par .de sages coseil/, bris�e (fracturedui tibia et du
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g .P a ;.! ! m .;.:.:.: . ; V . :. e :. : d -+. . -:.;; : .:x x .::. :.:.,.:.:.>. .: . .
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tadelle et: ensuite iront t
Louis du,.Nord et � Port-dod

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jiane exp&dithopar.ile dl: Tortue vont � Port de4Paix et
part'icul�i�ement au (apHa . tien. Ce qui fait que LJa ToP tuie est r train de devenir grenier i bananes de la Capi tale tdu Nord.
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ESt morte au Tr(u Mlle Lucienne Salvant, smur (du 'as teur Leonzac Salvant, 1 s __uite d'une intervention chhi.-, gicale.:
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�Le petit Cercle� a recu la visite des voleurs. Quelques objets ont �t� enlev�s. Avant de s'enfuir les eheyaliers de la nuit mirent le feu � l'une des portes ext�rieures.
Heureusement l'incendie ne se propag4rpas. On est � la recherche des malfaiteurs.
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Les habitants du Quartier de la. �Bande du Nord� r�clament la r�paration du Pont Mando.


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La chorale dlu Cap diri.g�e par M. Ed. Etienne: a chlan t� � F'occasion du 15 Ao�t la messe de Litz.
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On est en train d'arpen ter les quinze carreaux de terre sur lesqueis e�vent le Palais de Sans Souci. A ce pr'opos, I'�nformation� du Cap, propose d'y installer 'Ecole Militaire.
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Le caf� neuveau a d�j� fait son apparition dans le Dpartement du Nord : 200 scs venant de Plaine,,e sont entr�s au Cap.
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Un nouveau cercle de jeunes filles �La lumi�re�.
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LES MEDECINS DE
LA GARDE

Sur les 7 diplomis qui avaient particip� au concours pour les charges de m�decins de la Garde, 4 ont �t� �limin�s a l'examen physique.
L'examen intellectuel se poursuit et bient�t nous pourrons donner � nos lecteurs les noms des nouveaux secnds lieutenants du Corps m�dical de la Garde.
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UN GRAND MATCH
Le grand match de v�lley bail. :de dimanche verra s affronter POlympia et le Sporting. Cette derni��re , e�quinpe est lune des meilleures de la Capitael " '
Les partisans affirment:: mei me qu'elle gagnea le championnat Elle ade une v-ic toire � son actif. E� sera4tl de m�ree $ima�ch�?
Le match sera donc knt4esw sant. Entree (.0gd.pesonne . 10 enlants. . . . . .� ++++++N i ;:;+ - + + b l


SECUETARE:Ri DETA


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DE LIlNTERIEUR
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n.'.nc ali.n�a dc .la l.oi du: 18 .A. VriI 1:Mi 8� r�gkrd !. effets d t�,rata de: gs'ffpu, kl'a hu t., du Jour.nal f~t L'Hor Libre est interdite juqau' nouv ordre, le Gouvernement u geant qiue cet pul-,h atu � s t fa[te m la. . I.; l .
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Est arive ce m�i n &i [ Max Mangones, fils de ni vre ami Edtn,*nd Mangones.
Notre jeune compatriote vient passer un mois de vacances avee ses parents. Aux r�cents examens poo " PoAvtechnique, Centrale, et Chaussees. Max Mangones sur des centaines de concurrents est sorti quatrieme parmi les dix t admettre.
En lui souhaitant un bon s�jour sur la terre natale, nous lui renouvelons nos meilieurs ccmpliments.

LA IE TEI DE ST. LOU i

ROI DE FRANCE

SC'eot .eudi nriorehain 2,' Ant( cia sera ' c�i�bre i la chanelle de Tu rzen ia t e d� St. Louis. Roi de France.
L'aumonier le R. P. Schneider �.'effoVce. comme chaque ann�e. de donner le plis le plus d'�eclat possible � la c�l�bration de cette fte,.
Les nombreux fid�les tant du Quartier que d'ailieurs ne mantueont pas d'assist.er la c�r�monie.

JOURNALISTE

. ARRETE

M. Louis Henry Durand, directeur de �L'Homme 1;bre� a �t� arr�t� cet apres-midi.
Il a �t� �croue au P�nitecicr National.
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CA TOR BAT LE R ECO D

' OLYMPIQU E

L'U. S. S. H. a requ her soir un cAbe lui annonc:nt que dans un concours internatit"nal et en pr�sence 50.,000 spec tateurs. C�ator a battu le reco'rd C(ympi que de LosAnge les oui �tait. on se souvient, dho 7 mitres 84 et avait �t� enlev par un universitaire aCo cOt)UrS t. l p remin e' d e. t o u t e u n "e S t ri o I C m p " ,itions ;nxquetle (.ator doit prendre part et < tenait i SChcago. Le champion olympique y avait personnelle


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ponnats htte : i_:i.:: :i::,::,: ?:: !� i teri:ii : ih t


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niasqui no permettront en 1986 d'avoir de nombreux repr6sentwnts aux Jeux Olym. .�. . . . .-: i :. � i; �: � . .7 7� _- 5 � :.� 7 7 7 T � : T . .: :.- .:.:- .-: . .

phues de Rome4
Nous ne pouvons quapplau-w
dir : tte o uvre utilitaire et


nationale que poursuit !U. S. S H. et demand&ns tant aux particuliers qu'aux autorits ' de don�er le c&up d'�paule in- I dispensable. :

LES CADE'TS (C0MENa �: .CENT.B IENTOT LE.:::.:.:.!


C'est � la fin: d ce mois que
les Cadets :de la Garde coi.mencent leur stage. Ils sont .i.actuellement occupes .a fire des exercices de tir harmnique et de charge � la balonnette es exereices compl�. tent leurs �tudes et leur permettront d'�tre pour l'Parmee haitienne des moniteurs parfaits.
Les r�sultats sont excellents. Car l'actuelle promotion e s t merveilleusement
doue.
Au commencement d'octo'
bre, ils seront distribu�s dans les postes militaires de la R�publique pour les trois mois
de stage. .
Ce n'est done qu'en janvier
qu'nr e tera unen novelle promotion.,


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L'AFFAIRE DE
NEO SALVARSAN
CE .QU'EN DIT UN
JOURNAL DU CAP.
-------------- -- . : _ : _ . . :-. . . . . :. :
Voici: comment notre on
fr�re Les Annales Capoises rapporte, dans son numro du
13: ::Aot,: laffaire ::des injec tions de n�o-salvarsan rati&ubey PH5pital Justinien, .iait euson �cho jusque d la p:.resse"portau-Prn.
.eee. Iqxplition u'i: en
.donne .ou.ait l notejuste, dans eette 4uestion quin'sa pas eu en r�alit� toute -Impor tance qu'on luit a attribu�e:.
<:D'apr�s nos informations,
les rux4urs ont grandement grosasi ls42 concrnant ce qui s'est pa d elhse.
fmaine derni�re � l'Ph�pital
SJustinie.
,Il ya &a,14S jour-fl, $90n> eetions dd a�o-salvanan faimr
�testt umlds exeesey
n.~~fote ar ne t. . .
�.:::ii : . !.: .: ::: : :: :: -i : :-". . .! .i
eW es_:: ::: 7:;: : ewlo.z,: .piii ':!i{i ---- ------i:: i' a::


rw ob Prouw vcurwVR PosTHUSi les ME DE NOTRE REGRE'f< U nt4. TE COLLABORATEUR charn- LOUIS DIAQtUOI
in. t C. Le groupe des Crrts


remerie


Le grpe des Griots remer Cie vivement la Mi �Ssion Patriotique . des Jeunes de l'empressement qu 'ell e a mis � re-r pondre on appel
Il saisi t ette occasion pour
renouveler :son tif Pr�si, -: :dent M.' AndrW� Mouplaisir ss se ntiments de cordiale .ym pathie.: ! :::> : ,-::. .


Pour le groupe
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tJet.wloid�taxant lemaat re de sport a su en principe Vadh�sionv du Conseiller Fi$ naneler.
Nous noua r�servons d'�tudier alt4rieurement ses ditf�rentes dispositions
Nous sinos aujourd'huL,



i2 itdo?" is dans
'-S : ' ii ' -: !�' i . . . . .







Disons.que dans cette branche du d�veloppement de notre jeunesse nous sommes absolument en retard, car tou� .



tes les nations civilis�es ont
une l�gislation protectrice du spart scolaire, L'avenir d'un
:eu:le m�itae non seulement s soins intellectuels mais surtout les soins physiques:
un corps sain n'est4l pas le meilleur r�ceptacle d'une itelligence vive et d'un.caract- �

re fort.
Le Pr�sident de 'U. S. 11H. m�rite donc l'encouragement g�n�rat puisqu'il a pens� que nous aussi nous devions �tre dot� d'une l�gislation sport ve moderne,
oii. les grandes lignes du projet:; culture physique o-f bligatoire dans les �coles nationales et "priv�es; formation d'association scolaires; aminagement dans chaque commune d'un land munce pal; institution de la demi heure quotidienne de gymnastique; organisation de cohcours scolaires d'athl�tisme et
gymnastique; fcrmation dune commission competente charg�e d'�laborer un plan gn�ral et total d'�ducation phv sique et d'en assurer t'applL cation. Il a m�me �t� pr�vue une grande revue � I'occasien
de la f�te de l'Universit�. Voit on les r�sultats que nous aurions dans quelques ann�es. D'autant que la r�alisation de ce projet se fera
grace ;.au concours harmonieux dce l'U S. S. H. de la
Garde d'Haiti et de la Croix Rouge Haitienne. Vot� avec queall pes petites


modifications, ce projet nous permettra de dire que nous avons fait un grand pas dan s le domaine sportif.


REMERCIEMENTS

Le Gen�ral Annulysse Andr�, ainsi que tous les autes membres et alli�s de la famil'e, tr�s serisibles aux t�moignages de sympathies dont ils ont �t� l'objet de la part des nombreux amis de la Capitale et de la Pro~ince � l'occasion de la mtrt de leur regrett�e Madame Ann ysse Andr� (n�e Esther Blanfort).
Les prient de trouver ici., avec leurs sinc�res remerciements I Expression de leur vive gratitudt
Port-au.Pr g�-T� 1 Aout


- - - - - - - -- -, x e w m : M -V . - v : . . . . . . . . . . . . .
.- . . .::: .: .: .:. i( . .-.-.:. . . .-:: . .-. . .?: :.-:s .
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gens de aomestiquesas grever eur na re egour d


aonsd e o mmerce, chefs d' udsttre, qui vous Mre du souci des echeances


parez


aux NsuHiance d3


adecms, ing�nieurs, Avocats, �naa:eurs,(rards Dignitaire de it�, ournalistes, DON!NE 'FX ePIF DE VOTPIE SOLIDARIY


Retiers. caitaistes, comme


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SLa POMMADE incomparable et le SA VON sp�cial pour les ceveux:
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AU. BON-MACHE
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