Le Nouvelliste ( July 20, 1932 )

Q t.d.i e::-. . t-:. b,+ : + iii!::-.P +:_ .U::i:i:i.,+ i J ::{::G


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.ANNEE fPORT.AJ.Pi;NCE.T Mo . J LET 19








yebien faite du Nous autres, des vilp . .e si.ve .t. ,,,. ceque enusn .entendosp
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Mittde gr�nds�tmlesEquedI brisdbarrsbf<
� tracts et on Miith} Il nous rein9ue leur test-meurtre gt rae:
� i n. . rea.i des ontrbuti s. : . .nous croyons �xag�&t i . . .






r,uan fonetionnatire es re de nouveau une offensive �on- ~ formations sur la nis�re ut Lzdcruiw iatre e un sipl tmly es re les B aque, en ce qui con- la d�solation dans les ccLan k�v wnt& afitn
. C e l. . r e u. .a.t e. . . . . . . . . .t r i bu. .e.






L. earuie in carne lea smnds conforme- gnes& Gr�ce � Dieua' nousn a rt Vas'trdeInlriu
a pou l ent 44 la loi de 1U18 sur les summes pas encore ita e, h'wl Ou prte
sairechosele sIWen pri mbre&- garres, ces blessures vs maur Pin/t , Tr, tinrnees iM. Lua�eh$ qeu ~ A V'arrived ch. u o- tres, Mais le paysan, le cnit u:,;:
t~yeau MiitrGesenacsvateur subissent le vU, le k--L 0 d~pu ova
o ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ . . .e.otr .aios . sye.l lge.t e.mea.d.w








.enne et voil� ce qui nous me offeusiv.�.tles.4ta.dm. 'il c< ;' rso.nque pa. dt.
mmofesv.Malheureuse& deurs sans travail4 Quln'tkr:,Onu esn u
h d f a . n . . .p.e u-d. . d"" .d. . .a. .r.n a

















etatire oun esue de ment il ya des d�cisions du :jours seulement de cb&nano ;*puti: prler:ca notre opiL stratonpou yePd Gouvernement, d�s lettres &e- dans les deux Plaimes, a la SUt: rt ut - l t ce duet
notr maleuruse f en e r�s aux Glhancelleies &- t te de la fermeture. de flasco, po w nu qui cmse une bonne
que tous les Ministrek trangeresi empechent~ de 1>e nornbre des arre-tallOnS iv:rn:-t:W::n e! a m�ine soulev� 6ident Vincent ont fait> revenir sur 2te question: jpour vols, a atteint us~ de n~ct Gque le Bureau des Co- fe qu�n na jama v - nt . de:a ferme et










P�rec ectetributions peut faire, e'est de dant 40 ans accumules. l#u- an dircetire<. Le H inistre
ndnwou vnsdsdemander au Gouvernemet Itile de dire que si ca litkher d' diueirs d�velopat Enou dahos dene d'activer la dicsso devan nue, la police rurale etn p� les r; n6�a lignes de cette ee K dehs dner les Chambres de' la ouvelle pulssante., Qu�nt- dr>e d�clrraHtin.
edce de v4usiqe unYr loi sur les timbres; nmais re-. heureux^ n'ont pas �r sou Vole! ce document : Tbr d laRpbl4net derai venir sur ces m�mes amendes our manger, ils mat�ndent
vofr se maintenir &u stef- quand les L�gations Etrange- ia nuit et volent an poulet,Mesur,.
rd l sute e dscus rosre ont re�ul notification du un cochon, un cabr2t, m�e un) Nous ne nous oissimulons ~rlauit en de iscusion Gouvernement Haitien qu'un kbewuf, ils pillent le&jardin du pas la difficult� de r:0tre t�tet sur des questions t78- Icoupdepge et asevoinch.
ate.Avens neus d�j� quand la L�gation Anglaise Plus le ch�mage et la mi- Avme votre corncours, nous
tst eil spectacle? est informee que les~ tfibu- a�re s'accentueront, plYu$ 10$ {u.:n'n: � exa�niner et � v�souotn a cr~ aux haitions n'entendront Sans Travail voleront et pi1l- dre des problemes ardus,
b hies i est temps qu'il et aucunes plaintes des Contri leront dans les campagnes; .Le _budet ~est.en. d�ficit
sini. 'aiieus o es-.butions sur cette affaire d'a- et quand ils "ne trouveroent Des n ssures iumdiatos dolsi. Doailenrs �pi6 Si~ mendes& e'est plut�t imposs�- plus noin � voler et � piller vent �tre prises pour dimigrands tonctionnaires de blhe. On sa't ntue la Banque du dans les campagnies, car les nues ce dficit qui d�passera nt travaillaient.dans le Canada, � elle seule, aurait qrulques paysans jv^otunes M 100.00 gourd�e auI 50Sp.
de aiegahrechsepour xnm fiQn cingcentmlf- �n i possh�dent encore'un jar- temPre; st rn'est fait. Il employaient leurs veil- eourdes damendes. Quant db e se pencher sur la mis�re a la Banque Nationale, on nite degoutes, la cohorte sw^- i'e r n ;f ' r eux~p ar
e, et � �tudier des croirait � un versement de filtrera dans les villes, et ce b-uditwet 1t :b Lequilibrc
porple' a 6a Allemagne � la caisse de4s sera du propre, surtout kils du t Jet par deos
pomiuaer �OPlaid�ea R�parationst Tout>eela doit trouvent toujours les Pou- taxes nou nu pr n no m omqute nie laibarricade �tre r�gl�4 voirs Publics � faire de la vel!< ar n't d"'-> taxe�
Vautr de a baricae� Ipolitique et rien que de la -po- anfVd a" n les deux ro
raurait le loisir de son- '- s. 4 .la pliticailleriew Puis- , 5S e. .ra. nesa-.
w ait que de.la politi- POUR 12.00 GOURDES - Pour nos troiw ,mMlio a t z VdS fta
tiors tout I'e monde suit LES CONTRIBUTIONS Id'habitant la circulation de xesn<' vee nevosaLouvement. Et le Peuple, J DSE EN LAnos gourdes ees jou> S-Ci e�t at ment) 7 10 prcen.taye de ce rtkce qu'il entire DUESECDNEL peine de cinq milions, alors tsine. taxe exist:antek.
3isre, Fa-mine D�sas; PLAINE DUCUL DESAC quelle atteignait1 parfois -2d Une W oansaltion reor�n sus.
Aseavec la termeavolo solation, nous apprenorns que sont sur le point de fermer. Vt ut nS ff nu Sles Cnrbtospersistent � Qu'on ne s'eto>nne pas qu'H v s t>ri 'e or� par le iIn, r1,
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li sude pr�er nli.' POi �.int�gralement leur. dr o i t .p.-.r. . .u tre une
S." deau PROJETS DU rei t j oe< sa ner sur
1 .- Il parait que le' paysans. GOUVERNEMENT: une nue ruale forte et dise as contraire, une ~~~~~C. ultivateurs ont un arrierede ' Dficit probable du :p .
bien en�e nat
webien fate dbu e12.000 gourdes qu'ils ne peu- budget 1900.00000 't perception des taxes eom
mots; quelu t t vent plus payer, vu la baisse Projets d�poses, pr�pares mu -e demande h &te mo�rrive . ' du�ibou d .sirop, du lairin, du tafia, e prparation et centraise. L'aue m e surtout la rarete du cash, I.- Carte d'identite - tonom des Cemmunes doit
qu'Hasco ne peut plus d�j� d�pos� 100.000.00 �tre
russi SI bi eu ' ers s: milliers et milliers 2.- - 5e/o� impor- et� n�cessa're que �banue
de gourdes par semaines qui tation d�pos� au- cormmune vienne en aide � E
SW.' :. . . irulai~erit dans .la Plaine. Le. jourd'hui 783.00000. t-- po l ev�ation et le main
Bureau des Contributio�s d�- 3.-~ Nouvelle loi sur tien dYune ptice rurale agissirant �tre s�v�re, a suspen- b-le timbre 15.000.00 sante. Pour i'amElioration etdu larrosage et fait jeter les 4.- Enregistrement 'entretien des chemins vicieaux dans la rivire. Comme et hypoth�ques 100.000.00 naux1 pour un meilleur trai
f gI [~f9 iactuellement, en Plaine, il y 5t- Imp�t sur le re*n-*1 tsment des instituteurs de oplut.t une sech�resse, c'est yeu en discus -PIFen:siinement primaire ur lesproetd�ps� ~ la mort de tcutes les petites sion -- - - 245M000.00 'bain et rural, et pour la consm-i)esprje pe:s eueitures, la compl.te disola- .-- Nouvelle loi truetion des maisons d'�eco. . :::::::.+ :+ + . . + + :> ,+ : d a ns:::> :,; :P la� i*-. . n, . .e *. , . _ L i '. :,.; : : _.



rle Gouvernemet tionl 250.000.00 les et des mobiliers scolaila hambre, se trouVe{ Le Ministre de 'Agicultu- 7,- Ncuvelle loi - res.
i ntervenu entre le re et du. Travail, pendant ce 'Sur l'alcool S33.000)0 Le probl�me du ch�mage ment de M. Borne et temps s qO faire de la po- 8 - Nouvella loi oi&� e met, et ur
r .S., accord ati met fln: litque, etlspois, la4hanane, sur le'tabae 400q00i0 pm' e mdal evt,posturn
trat de la Gompagnie, la patate les vives alimentai- 9.- Taxe sur la----- +nous, des apect; rna tleuliers. adpyant seulement la res en g�n�ral pousseront jgazoline ent r�pa. .l neut �tre r�solu imrmrd�atea *ltrta' due jus- pour permettr � a u ration & 75.000.00 mrnnt ou par un emprunt qui
la 1929�* Otte out faim de mar an ue.I 10.- Nouvelle, loi - permrtttrait lYxjn�tion des 1te le II ya d h & sur 0mp�t Ioca- 't we d'&uinennt �cono-
l urente tpI r tif 150.000c00hi4ve QT anvisae;�is ar le
esligneset dies e des intrige poi 11- Augm enta- ovenmeei on ur dles ur
ea q 1 a e�leaa n treprises aPenoes et lndussqueean Ierdes se de ai 4'�rtn .1.000,00 t*lelles de grande envergure,
ieso attir�es par les conditions flou
eT 1 velle du travail dans ce pays
te:. .:'
+iiiN ; ii ;;: 1!;}!:::: : . :{i ::R T a ifI :. dn�. .�-+ :::.SU a c i ,et0 � io bI�lesdu h�mae
l es p rojet. e � s�s ce �V, tu re$. a . Co . p a a z.: ++ � l + +'' ::+ :''a ''I 11n .8 . o v� .� 0 . .:.::.::+:::::::::::::::.:: -+, p : e � m e t e t u
g : Ri +ii� ;L}i� : � i !i : e ; � . � � �-:�su l �i� b----�� : -- z. . p ._ z .m�z�� ia , ev . ou.
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No. 12501












et la protection indispensable cu capital. Le Capital Etrangr ne viendra pas s'il ne trou ve pas des avantages -et la s�ent�. Ft 1 Nous subissons ausi, Messieurs, une v�ritable crie mo.�er.n venrapa si!-oroue



raie, plus grave encore que l'antre. -La panique, l'ind ecpre, la calomnie, le riensionge, le chantage, 'esprit d'anarchie, la l�chet�, la haine et l'envie, prennent les allures de qualit essentielles, nour comnbattre Ces tendances n�fastes, il nous faut fortifier l.athtr i anqulid ,



la h�rarchie et la discipline et imprimer une vigueur nouvelle � toutes nos euvres d':ucation.
La consclidation et le main. en int�gral des grands sierices que l'administration aSnericaine nous a laiss�s et (lui .t t� organises suivant les
jn�thodes les plus modernes et une discipline presque inlitaire nous apporteront dans ce sens une aide pr�icieuse,
Dans les colletvites nri_.r�ies les chefs s'imposent par 'es rges strictes de la violence Dans les collectivit�es e�vo-. dtt ias sent dsign�s par leurs pairs. Le cycle de la vie
,~ ~ ~~y -a. ceu pprern dn



l . n attendant, le (}oux.tvein ment \"s e tande 'instammeut d'examiner avec kiarit� le nombreux prolets de lois deja d�poses et 'euxs 9u Il Va bientt VO S ous :mlettr,
pour ee 'equilibre du Budget �tant plus ou mains a suv�, il lu:; soit permis

lioration-de-- ladmin'stration publique et de la situation �co nomrnique, pendant que ce pour suivront les n�gociations qui doivent aboutir. aussi ranidement, que possible, � la libera tion int�grale d(e notre Uavs sous le signe de la stabilit� gouvernementale, de lFordre et du travail.
xxx
Ccmme on le voit, M. Lucien Hibert, par les aper�us qu'il a donn�s, laisse l'impres sion qu'il veut faire quelque chose.
L'augmentation de la taxe d'irrigation et la perception centralis�e des recettes communales, projets que compte concertiser le Ministre des Finances, en tm�oignent copieutsement. On pourra, il est vrai, objecter qu'ils ne seront que des d�rivatifs et que, dans '�4t actuel de la crise que cous traversons, ils se heurtent malheureusement � une ouble situation legale ou- de ait dont il est impossible de ne pas tenir compte, sans mi�n\g envisager leur �conoimie r�kle. iNous an reparlerons, ma en tout. �tat de cause, nous te cachons pas notre .joie dsMysver un Ministre des Finai��s qui voudrait faire quelque chose.


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tears t Roatun Chef de la verdur ou accroch�es aux 1.J BGO p[t* dbverses au aEShuer startM
la eBriardens de Coulounniers, flancs repr�selntait Le Namffteb it�es partdes populations qui ,,,,, t rvate peac-MP
luDssit da unme lkttnesne vivent que du proxduit d1er. """ ' W<7.7cseas conttte.9
iv�e rap porte comien le ' leur pficfrIeA.E Consul d'H aiti � Oslo, MK Carl Apart qelques ponts d'une 1&FE _4lllllbNllfSW�l;AWN
Stephanson a �t�6 ai�nabIe architecture- os�e, jet�s sur VTECALME ~ .vstv
pour lui d�s qu'il& ant uI re. des greeivices qui sont de v�-' pr�eentait un journal de Port ritables gouffres, deux oun L/er relam de sacriau-Prince. trois tunnels d'une longueur te. Pu evi rui
Notre corre yodant �k ce; �npresskon�ante et des funi- '
Congr�s de I nion Internaw, eNlare tels que celui de Vot lsvat stpies
tionale de Presse, �crit la pSa-vere qui monte �s raison d� un peahueu estut gsuivante tour les lecteurs 38 m�tres pour cent, on ne0i as raia s ANTOWNE M. W� � Nouvelliste>: trouve pas en Norv�ge bean' TALA AS Al �i lui et.
coup de choses remarquables vu vzVdZL~emio
AU PA YS DU SOLEIL DE �lev�es par la main des hom- tosae 'da emio
4 MINUIT ~~xmes. Aais en revanche ondc�ianeutae
Je. viens d�assister comme peut dire que - la nature yva ' tion est universellement re-r repr�sentant I'Union Internationale des ries ouvertes de fleurs aux cau ord lsaral
s's eu�Ot.!pn u iule ets tQ'mot or oreAssociations de Pres qui couleurs vives; des for�ts de *upiss Devnp vra prsr cdatatfineniank
A pr� la cl t re d e ee COn - t erse na vea c d es b o r d a )0a inti e td viutrli ai ' P s i ns i
gr�s un voyage d'�tude �tait ileau au feuillage argent&. ,sniletd ile amie , ,,,
organis� if travers la Norv&- D e hantes mentaffnes ahbn I des Finesses ou tout est ho1


n raisnketait oaarchie t
ge. tes, court.nu�es de neige .ter- " Tout d
Oslo, Hamar, Lilehassagers nelles crev�es par des rapides .all .aer e conj en t Tnnheim. Serre, Geile' en aux eaux folles qui ondis- d.a .roit a prince d
marqu�rent les princpales & sent en chutes puissant�s a- j
tapes Que de merveiles tou- vec un bruit ssourd'ss&ft. .,AVIS PROFESSIONNEL.
ritsques dans ce cercle d.eent Des vallees ferties au fond Le teu Gere Ct parmi les paysages les plus desquelles coulent entre. desturGerg sediff�rents! r ochers mou&sus, des rivi�res ra rappelle � sa bienveillante
- Je me faisais une toute blanches d'�cume. cient�le qu'il a repris la diautre id�e de la Norv�ge. Si }e~ , ournbes ont leur rection de son Cabinet,a 'E-Des amis pr�venants m'a- charme, les nuits o . leur s t de la Pharmacie Leys. vaient dit : Munissez-vous de !acret W TI ' GE
v�tements chauds. f - En .ov�e pedn . WEST IXI)IES CA. CE
Et je me demandais n quit t� lesnut ontoe,.xquisde S a iecsion dde
tant Paris : quel temps vais- lumre, de douceur de parje treuver labas? fus et"de rystre.J'imagina�s deja un ciel Si elles nont pas la chaleur gris et brumeux. je d�har- aceablante des nuits m o�r�diquais, surpris, dans o. par nales, elles n'en snt a CHEZ PAUL une Mlle et ti�de matin�e en- moins languissantes, epui- nr A AUXILA:
soleill�e. santes mme.Das s t r
Je ne suis as d'ard a Chaque soir est une riseceux qui pretendent que le rie qui dctte autour de vous, habitants de ce pays sont
ha-tants - �o pay son qui vous envahit peu � peu et BAZAR TOUT V V BIN N
froids Il fant tout simple- qui finalement vous tent et LOUSSI FRE R ment les conna�tre. Et lors- jvous plonge dans une donce etu r RE iti
qu on les connait on ne peut courte sresse. que les aimer. lyresse trpd. top "
Physiquemeat ils ontle - _ ott& nais qn vus la ise . T
d� la belle allure de leurs.dan l'm un retit .-m�lodie. . .-.
aieux, les r tables .i- fa�te de regret, dTtimit� et o ie t .

kDnapres les mesures prises de E� re mt la nostalgie die Atce etx tt srs
par les services de recrute- toutes ces choses �tranges meant militaire la aille moK- qui sent le sert des nuitsdp Machines kcer Reinglton venue des Nor�giens est de t ner.eginnes Ma-izscalculr ~�
le.Eco. sais et lesSu�< Er. Far.g.e.it es.
dois, ce sont les homnes dont Red a &
a taile est la plus lev&du .o.f.e Hi. L

accueilants eto e ouri.ees OMPAGNIE GENERALE touJcurs le bienvenut eux. TRANSATLANTIQ LaYeeEn.e.Co.pe
Grice a .- Gul.-tra .qui.L- CompaIat i. .rale . Lei. . . ear ar.h'
suitla bte pe ana O- ras etl nti a a' tage BI-AS
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abl.- On pr6en man aes - orde le 21 Juillet ear -. de re no " th pa.



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lu f++i ++ +i seul le repr�sen+~tant land, a propos� avec:'bea uTrv iaino r�union te- Tandis qu'i s'�loia t u- M. a
$ia. de laAGalifornie, en 'a coup de s�rieux.qu.une.statue.nue.�.Atbntic' City. a pro- te vitessqudeWashington.pour.A.Port.au-Pi'
nit � d�pos� J_ soit �lev�e au Cactoblastusin test� conte unes tentative de,., gagner sa fraiche iCiraite deba
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E.~IMMINEKTR t4ique, d�voreles'. acus. Ce.il.sEtas.-Un s.et du. Hoove a .�::�. son.t.meX-Chez:.
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SUR LA BAIIE
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ON, 20 Juillet. ent de li Guerre s plans de consii pont qui travere San Francisco lemington, dans luff Point, dans nty.


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Abanmet O A pilot es v-rVaiment d�oln, d tien < La publecit 0n iit s#+tralt# 4* res, au lieu de s'inspirer de s a xim e ionrurale
de�~~. Varex comun dela






tt�Aesc J* en esSdont n te Cro Crot dBouquets, Arronadx Directeen du < mb, ne se soucient de rien, S 0 .-. e.t
ce n'est d'arranger, le mieux Id M to
: u possible, leurs petites affaires (fu ec n e de rente'
riviestesotnnells�gnus et est born�: au Nord par le E DITORIAUX fe esses os - lot wo, J � madame Am�lie
tnots, nous vous deman i au Su p
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L SITUATION EN tat de ne pas ous d�coura- ds po u .i, MeaPOMANr *a - PEst prhauto e:Me�r-s







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JPIusteaun fois, on s'atten- nationales sont en pleine 4 t� mektNo,$deJamlme hadait�tvotre cef dla patrti isgany - iep�i 1bttc Brado n� si en
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nient s ducabinet Jorg�a An dent, Mrs9 les secr�taires d'E Varexesoutntsle de id Ahape�laisaotr �epu noeu4sanieat�No 20
contratre, i s renferma dans1 tat, ne pas trop" vous lais' CortondeRoutets estuek onRe ses caeade sn fantipc Jnier ausea'.
Itn mWtfsane ifoquent, qui va- ser absorber par les tira�lle- t onc de teret dunte carn LRes efae eso roieent locaecni lait mieux qute toutes les prot> ments des mandataires et teaxe 01.08eniro Qutet bor- Bon carents.troueortosemacul
testautIons du monde. I1 oppo-- vous soucier plut�t de' r�sou-~ reu 18enio et es bo6~ Bazah.mm orose
ta le m�me silence et la m�nme dre certains probl�mes capi n�e: au Nord par le lot No 0t-T
indiff�rence wjx tentatives taux sur lesquels repose re �chu � Madame Vvre Normil a-- -'
discr�tes der�conciliatlon que fxistance stricte de la nation.' D esiandes, au Sud par le lot No. a Eugne Roy aux1
le roi Carol ne manqua pastde Monsieur le Pr�sident,
, fa: re. Mrs ls S rt ra. . t a .ie .d t L.eo .: e nc 0P
lou & �Es pa 1anie












Fnalement, an netranger, encore un mois et nous aurons '" d O
l'expert Financier Francais� la r�colte du caf�; le nerf m�- eurs de la rnviereesrn
Ctmgers e � Ouest par la saie
(garlesntIste darunanse brue. dinuasy notpre maesa de de Bernsdon. Tel d'ailleurs La Panama Railroad Steamship Line a l'avantag ed'
gaminent~M qu la'o re ou epre asd qu c Ps i .tiule se por.t.�.uiat d e-Yr or >rt>uPm














trouvait � lu peille d'une ca-. vue que notre patite cqmmune qeesitobe epuss'sdos-iet eNwYr orPrhsra
tast rophe. tA il tait difficile do savoir exat- duit le plus. Mais, comment dent, sanS autune exception,
fement o�s Von en �taU, parce allons nous fa!re; comment ni reserve. D lzatcr L4 NE - YORK ARRI VAGE A PORTAUJ
que m�me klamptabilit�*pu- devns-nous.nous tirer quand iLa vente aura heu sur la 8$ Guayaii t 2 Juilet 1932 le 18 Jul
blique �tit mnal tenue. ece spectre se dresse devant mis a a de Mill Trois $S Ci &obl: I J Juillet le 24 Juil
Le rapport de M. Ris! re- Jnous: la question de route. 11i Cent VinytVeuf DoellIar 8$S. Buenavente le 26 Juillet le 1er At
commanda un emprunt ext�- est nettement reconnu et ad- Quatre Visg-Sep Centims S. $. Arcen le 2 �out le 7 Abat
1rieur. Le roli�changea des pa- mis aujourd'hui que le ent� Cy .,. . or 1.329.87, 88 Goavsquil � 9 Aout le 15 Ae routre les charges de lench�- S S. CristrLa) e 16 s nut la 21 A
rotes aigres avec M. Jorga et doit tr achet� et red r, elC a .8 B
le cabinet d�missionna. -Vile e rgtte rHteue du Waroe- S. Asxnk t Aout ) 9 Seo
auy atuns son 1n4U4-R i s l 8 r ber b
e� apparence, continua � s du Cap diu� peu plus; nous n g g r
tson prinp EtablissementJ & enavt 20 Sepvembre le 26 8
ta1 re tr uv n p aces en r ces deu ,e gs. 2 S


















L'habile Nicolas. Titulesco Villes, et nos routes �t nt im A Port aP rince, repr�sent�e Acon e Spembr e le 29
fut appel� de �en�re pour ~mpratiquables, quelle va e par M. C. Edgar Ell�ott, r
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LA-ITATONEN� � ':: : t.:� �::n �LeS :�-pa.:d vf : �Ai: :ug :�:Wfhm. '��. . V .���:-,
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tratIon. Il choua. prions Monsieur le Pr�sident, aon, e e
Le ro e'adressa .alys � A.-M . Ministres, d'a or: dite ville, ayanpt pour javocatd lexandre Valda Voed, am. der votre plus :srieuse et scru Me. Abel N. L�rr et ChnsIntime de Mania et vice prs-~ .puleuse attention A notre re- tian Laporte, emeurant � dent du part national pay. oute. 1 y va des int rts du Port au Prince. P.our. plus t�.n 'i p. �i cre ir -Vrd fm ase co.:�mme du ntre. Nous amples renseignements, s'a-, . dtruteus Purtu.Prinre r. d:
Valda ;oor vous prions instamment, 4rer Christln oLAPORTE
il �national paysan cent pout Messieurn, n raison du pe C sRht�Re du agsan as we Lnw"' t
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d�re�t ee f lear tonde rtitude. pour Port-au,-rince o� it est
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i�ge as rm t i d'Et lhotfG � Kng etNew.
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e Harding lui e� attribua la bureaux et de magasins, qu'ils; sont inform�s ueu eour caue atontait Roolsl h irma peuvent, sans con4� rgulier, e d'incompatibi�te de eapulercontai. ^Millged passer tout la salaon � Rens- ract�res, abandon du test conqu er sis'o ~off, ent prenant un abonne- jugal et ent vue du divorce h
me L Cnroit M. Roosevelt pan Jment au Service regulier dVau intervenir, le soussign� deque mbrianite bouch, u parlos d diandela maniere foteim- Pour tout renseignemenut, da Chatesnecouenet Mrde .pose par l'�l�ment militaie, tpfi�re de�aadresser an GARA.taC rlsxcut dge un idolatre de la Doctrine GE �CHRYSLER, Place Ge?- Port de Paix le 14 juillet 1932
Moqro � laquelle M. Hoover ftrard, T�l�phone 3841. C. Auguste.
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bien de _ sympaties dans boire bi�re, rhum et whisky duCcntin:en Am�ri- sn resiction. Un c�t� cu.o1, certainement> lon eurieux de la question, eest tubiter sa r�:lection A que la position prise par le stuiter ':: -" es :'e4' .e. t ul " o s.dence :pour .voir -se. leader: d�morate lui a valu
&suivre dan: le.respecdes les sympathies de l'Europe oits et des libert�s cette po-, qui espe�re, sous son gcuver:ique de concorde, de conci- nement, voir reprendre l'imation et fentr'aide sinc�re. portant trafic de vins, li'ais ----aux --Etats-U�nis -i9m- queurset spiritueux interes, la candidature de M. rompu par la lotVolstead.
-oover parait �tre. accueillie Pour ces raisons, beaucoup in eil moins favorable,. pr�disent le succ�s de M. Roo0est qu'il n'.a point rus- sevelt. ss quatre ann�es, et mal Pour nous, � qui, en r�alit� 4 :de serieux et const ant ef: doivent aller nos sympathles ::: apporter::: aux .:graves. et nos voeux, � tRocsevelV Oblmes qui compl:iquent la ou � M. Hoover? Snationale de lUnion � Fe Au risque d'�tonner plus
t es softions :qui cn- -un, pe dirai qu'il nous est
offrent satisacgal que ce soit M. Hooa u peuple des vero u verou M. Roosevelt qui soit
eproblme- du chmage :.lu en novembre. .
eentier. Entier assi est La politique :adopt�e detble difficile probl�me .desu so . notre �gard n'est . n cors .aux fermiers. M. Ho
Pas particuli�re h notre pays,


ast un partisan faroucne1 , prohibition et pourtant' lninalit�, une des prnciraisons de la loi Vols~ I'ayas dxmdnue, au cons e. L enl�vement de Pen-' de Lindbergh en est une
entre mille.
t'stoantr un avrsibde la GrandeG e Ses� se Arndag


:n'es:t pas la politique personnelde M. Hoover, Les agissements et les mani�res de fai re souv -. ent fort brtales pra"
tiqu�s par les Etats-Unis �a P�gard de leurs voisins plus fai bles a vaient suscite entre :eux une a n.imosit gnrale occaionn par l i u
des 910 fisat ptotwer leur.
i:i:::'� -�� M is :::!,.:.:.: . . . :-. .
imperialisme oatrancier et leurs id es de domination et d'hegemonie.

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SD@a de New-York
DATES


ARRIVEE.A P i>r


15 J illet .29 Juillet


MEDEA
FLORyA


P -4-PRIN' ; 14 Juli L 21 Juillet 27 Jil lett
4 Aout


part de New-York pour tous les ort haitiens Dpart pourNew-York.


COTICA 13 Juillet
VAN RENSSELAER . AoS t ORANG& NASSAU 24 -Aout STUYVESANT 14 Septembre


CEIR IRA


DE HAMBOURG .
toN, 4 ,hdn
voN8 Juin'
A ile t
ES . 2 .J illet
JANUS .6 Juillet


E.


Totsa


Orion ci argeant pour .


D�part de fiEurope


D'AMSTERDAM W) Juin 24 JVin
8 Jaillet 22 Juillet


part :por l Europe
rEuropoe vers le 16 Juillet.


le qumn . jor ' o n vapeur pour l urope.
Tl�phoine au No 34Fr5


i t


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.:- .: . :. . ,. . . . . . . , : . :. -: :::: ::::: :: :::::::::::::::: ::::::::::: ::. . :. -. . . . :.


ARRIVEE A PORT AU PRINCE
5 Juillet 18 Juillet
2 AiMUt 15 Aout


F.MA DSEN
AGENT


LOCAL


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T. . . . . . . . . .:.'.:. . . .i.:. .

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tan Ce qui montre < 'et bien plut�t des id�es p onuelles qu'ils applique
-gdirectiVeSde Partx
^ITnsturaunePolitique eo�vou loir�+ une politique eneiatioli bas�ec davrnt t es ententes �concrrthp
transactions comm que sur les rappo �litiques unperiahlstes tt tant fro!sse les suscep ibilt.S Nationales des res Nation Am�ricaine.
iA 4ead8petie&R& Iques entre Am�r
Sdela mer de' Antilles rngtemps opprimes sous ug e re d� imp�r sme panamericain, il:a
rogressive, d�clara til n'�tait pas desirable nl s Etats-Unis fussent rep pt�s chez les autres peup l'�l�ment militaire. cela, M. Hoover a Co


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5.$. ,,Ci .Y# .I� . . . .
iC m is porte;
lase budgt y ompnsl8
bres d� an�� dermere. Et dans le badget de eette an11e, cette garatie y est encow ; i!!!;. ~~~' . ; '+ : -I.?. :!./ :/:-. ":+. : .

re� pruuee
M�me s'il n'4tait pas question de t accord, le devit .du Gouvernement serait del e
rn a:n aide � la pus snotn te dans le Pays, en� tmettant � sa disposition les fonds dont' ell pourrait avoi besin,
c-tM iffet.ea nmm a :se fait actellement � travers lo monde, devaut la Crise Universelle. Comme l'Accord de 1929
fixait la dette de lEtat, viS� :vis de la Compagnie; que�le? valeurs sont depuis cette poque d�pos�es � la Banque; que la Compagne renonce a se pr�tentio6ns sur les valeur s d�peses � la Banque an m�me titre de 92r � nos jours,
suivt vote du budget par nos Chambres; que le GJouvernement pourra ainsi toucher



rantie d'int�r�t, et qu'enfin le cauchemar de cette Compa-, gue P. C. �p n'existera pis, 'Etat, r�siliant le contrat, le Gouvernement, en une circons tance aussi sp�ciale, s'en tire � tr�s ho compte. Le Gouvernem ent de M. Borne, apr�s avoir obtenu un jugement en premi�re instance contre la P. C. S. �tait
:�. en bonne posture- pour l'ohM-: ger a r�silier son Contrt t 'accpter que les garanties d'int�rets dus jusqu'� la date de lAccord, � renoncer � sa r�clamation de plus d'un million de dollars, tout ela au lieu de courir la chance d'ai1er en Cassation o�, vu l'habilet� des textes des Contrats d'autre fois, un jugement pour rait sortir contre l'Etat, et on serait �coll� avec la Compagtie pour 80 ans encore et avec toutes ses pr�tentions et toutes ses r�clamations.

HOOVER OU ROOSEVELT (suite)
M. Hoover jugea prudent d'apaiser ses appr�hensions et ses craintes, de di ssiper ses d>. haines Il jeta du lest � l'aide


d'une politique de conciliation, de collaboration pacifi-


que, de franche entraide. C'est donC au fond la politi que amn�riclene, la politique des Etats-Unia qui a chang� .sus4ar pression dela r�probation universelle et de la crainte d'une lev�e g�n�rale de boucliers pareille � celle sous laquelle croula l'Allemagne imp�riale des Hohenzollern redoutable et redoute.


SoI.


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Que ce soit M. Hoover ou
M. Roosevelt qu'abrite demain la coupole de la White House, il n'est pas possible que revivent, sans danger pour les Etats-Unis la vieille politique imp�rialiste et militariste, le vieux syst�me de domination brutale et de subjugation mai miltari des Roosevelt, des Wilson, des
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PREMIERES ESCARMOUCHES A DAMIENI
Il parait que l'usage de lau
tmobile Damien, s rait la cause de pre mi�res scamouches Le Miniatr ant s mahine� au gakage poutr cause de r�para tiax se sert momentanemet de icelle du Seri~~-TeouiV
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