Le Nouvelliste ( July 18, 1932 )

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rela &�tfic nou:, nous aband.oner.o et ,n ue e a e m e:T -poute�lqu- tians }est l�! s r. haitin, qui suent, �la
de�" toutle f-o_.-nvte riaont- t�-�j�-iqud-es-b��Wt-eauCab.et.oit.on u.nele�uelqe cose















n�caren.::.e-FI::1:.:.:.:::::::.::>::: de.la H ollande .t de . leur : . . . . ": '' : peu d"a-m n staton
Pas de.M�n.s.laisez.pas.intimider. Aye









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par~~_ l�,-t dnc.e.la ieile.nd.qu .anc es.le�e.n oze ep-de-ouscheno vosins'eti CrpsL�gilatf1_ourl'A
.s , �1 ,,oup. InotremmCaf� est �nd. .n.b.e.r.s. Pr�sidnt Loe au mrvi I dans tous les Pays. o� il. y. .a. mour de-.Dieu.-et.surtout.cea.dedeqi ou1w u ct u are dsarit M . e Dpu�sc, eshmms-oscens-li-elaParen-cutz'a
�--._---. . � I De.-l'autre.c�t�-de la.fron.les intrigues.de.cou.is.es,.les
>eauoups preait etit� peit dvant.Ationsaut.demin mt---ou--.--'mag1et.�-k_�.e-amisd�ca,-le-racntars1d

j_ ach�te.ch.nou, taire. l'on importait du caf�, aujour 2G D�put�s, et---de--15-S�nateur.
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nous achetons chez' 'dr�tent ien de�k, nuve- O IEtt aed�ofe er ma
pra. ue--�n'.hez-Fvorisos don les po- Onnous if-rmequ'a--uve:--mentaes on-asse ant.,qi0n'otlpas � �tr

for1 * . - - clle ie,.'Esp1agneI lAngetrrea-$ tout o s touvntleslassepaunmnut �l'- E N us e epeon: tutau
indiu---- fvor- c�ten.denou. �tdiatsxil� de Cub,.�euif-pur1air quequetou:de ous � raves lUni
.i no�stavris.i 'es d'ailleurs.c->que1font - pour leur jouer de vilains chose. Les . respc usables d�pen* vers, on fait quelque chose.


toutes les Nations du mon- tours. Au Mexique des exil�s sent tout leur temps a s'exe rtevons done, dans de. ont m�me �t� tu�s. Dans les car aux acrohates oui doi- quelque chose nour cette malks douaniers avanta. C'est juste et �quitable. Pays que visitent ces deux vent leur permettre de rester heureuse Haiti.
< le Gower en charge. Comment, cn effet, . " . .=. ' . -. nement et la Policesuivent de avoir Foccasion d'�tudier les Nous n'avons qu'� vouloir
pr.s cs deux visiteurs, car probl�mes eonomioues, ha et celui qtB veut, r�ussit touLUB UNION UNE CHARMANTE quand des exil�s b�n�icient question du travail Et alors, jours, mjlur� tou,.membre du -Club FETE A L'INSTITUT d &Phospitalit d'une nation Assembl G4n�r BUY JOSEPH BONNET :�trang&e, ette derni�re doit - -� leur comit�zde A l'occasion de la lecture du tout faire pour leur donner
'eot notre excel- palmar�s -� lInstitut Guy Jo- toute protection. Le' mieux: LE MATCH DE POLO RACING CONTRE
Cl�ment Maglot seph Bonnet, le Directeur de) pour la Police est de prier es V T R
>4rIlu Pr�sident IEtablissement, M, Lue Dor- deux sbires de continuer leur D'HIERI
eaviceYPr�sident; sinville, avait organis� ven- 'chemin et de ne pas s'arreter Lj Dimnhe apr�s-midi se
upenhaer &�tai dredi soir une charmante pe- en Haiti,vu leur r�putation.* - joue Ie rrd match Racing. .auvoir Trso- tite fete, au cours de laquelDot Day, L�once le iI fit une, intressante conl - *- --- *- - Nous avions an non c erti�res. i on se rappelle
Banasan mem frncehistorique. -onrema; qu'hier devait avoir lieu un que ces deux �quipes en cours
Spari les invites, one ' r. CATTS PRESSOIR mah de polo ntre une equ- de championnat avaient at
�sidene&5$ deOlW uit le 8�nateuir Martipeau, p e am�ricaine de Port-au- match nw, on comprendra lin
a Nos compliments a ditre- . N. P. A. E R. iamaque. 1 a etgagne par

da--- t de stnstoureeamisesDl Ga s Am�icais, qui ont mar___e__ _,_ ;dant les r�citations r�- Cetoream leD.Cts que6 10 point cgntre 1. Leur GONAIVES MA TCHERA
""" '*9�~fI feilirent de chalewreux apw FwPrssoi qi �t�0 appel� � 'jeu �tait plus rapide et plus CONTRE t . . .e d, :.




WFEREN plaudissements. diriger le Service :: i r diiger lrvuee National de su:r que celui de leurs aLer]i[i i! i i::i _enta.- : �iu:UYJ::I,--o :+rti >: PORT-+! ::::::L ACHD OL A U-PRICNCRE







GE DEla Podneton Aricoe et de sawies, handicap�s par le fait PE(N;que les chevaux haitiens mis N�us apprenons que pour
b& tE RAOINGCLUtP A. E�R.Ae disposition ne sont pas aider � lorganisation d'un
du mtmquenow REDN�E SA FETE 'Pas de'dott�que la.com*b dess, comme les poneys aux championnat national d'Ha�earAthr oahn. On. apprendra avec beu tence de W, Presol lui r.iqela ils. sont habitu�s, � se ti, aura lieu au mois d'ao�t
ra laSei4t ca 4d laisir que le Rtacing jmettra de metre un peu o�- lser guider du genou, une renecnutre.' sensat ionnelle
* deG4oraphe ,,d ernt u e de ses dIre dans ee ghis de Da- Tes Anglais encaiss�rent Gonaives-Portrau-Prince, au
ga anmrtxamirateurs, vas re- mien ler' d�faite avec un flegma Pare Leonte.
eo rcecont sa Il k lG e t ritannique. Il avaient L'�quipe des Gonives est
e �te porivequiavat met wai deid defa t d'aiour battu les Am�ri- -trs forte ayaut>eu � r�sister ntr l s � la Januiaiue on deux � l'quipe nationale. On se
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renlen lur �ol tAuCI -;ehent le gouvernement de gon Votrev�as e'st umiqu1~ elU
issiontquid i e� qui trenv bonhur ente
-APierre-Paul est catus$ aient tout pouvoir au Che se&�a4 .s ANft>INt M 4
de cette derni�re combinai- de fEtat, devenu simplement. A.e. lt a
son, car il ne veut rien" T ex�cuteur passi� des volon- vous ave.S idkaL Une masef
1ttendre k.propos de Un Tel au~� t�s d'une maajorittdu parle- � ses propres cheveux. cone. 4le ott r< tutte w
-Un tel, c'est le stylobale, 4,$*" "4444'-, """"6+6 garantie' et VL*tu r&serve
le << poteau ndtan� du rgime. Au fait la Constitut�gn est c haquejour de ptase.gtXV1 j
Sans luii pas de guerre, pas peu de chose; e'est I'esprnt des surprises,
d'am . iation conomu !� . .hommes d'Etat qui compte. . N. e .sye p a d� .
D'stutres disaient : La Garde .A quoi ont servi les disposi- Qu'imfporte VQVIV hourIW Ld'Haiti est intervenue, Dans tions lib�l*aes de la Consti- >entiet est4de vhirer ks ume
Munro, Washington, etc., etc. itution de I889? Ont-elles su dles Fness�s on toa* est.?
Tout -cela c'est des blagues. emp&cher la tyr-annie de Elorw r�vissaut, et. a kbou a::xh.
t�s-~ Wn




La v�rit�, nul ne la conna�tra, vil Hyppolyte et de Nord A- -Touat dhsnger est <:�ja.uv�eun
sauf cette dame qui porte un )lexis? Ces deux chefs d'Etat allant droi aL prince dcs 0bonnet de eoton et qu'a IPouane 'gnont-ils pas �t� des mon&r- neee
'e Erasme, et qui s'appelle ques absolus disposant leur -Inch&rnce. En conclusion, nous avons leur volont� toute puissante? Sewt la direct wa de
l'ancienm min i st r e moins ;'Le Chef de l'Btat doit gou-i Mr ARNOLD BRMA .
deux, qise pr�sentera de- verner, il doit conduire les at - Tdtphone251
vant les Chambres en triom- faires du pays. Ne peut-on Garge. . r91
phateur. pas esp�rer que asagesse pre Rience -. -na�t d'accoucher de deux vers vernement avec les Chambres, CHEZ2 PAUL AUXI LA : M~ M








alexandrins I lassa sa pin- cellesi� �tant les roued et ce- Courus, code, eenods,
me sur le papier, et alla a une lui-etilarxninrqui fen�tre de a villa du Latium ' La machine publique con.ti
contempler le er�yseuIe. Et nuera-t-elle de s'enliser? Ver BAZAR TO T V\ BIEN, d
les deux vers se mirent � par- sera-t-elle dans l'ab�me de la LOUSSI FRERKS,<
1er entre eux: 4ictature? De la dictature Bazar des F - J6 d�ie les si�les, dit le parlementaire � droite ou de et des hommes ches
premier, car Dante est mon la dictature gouvenementap�re ! le � gauche? N'est-il pas &. Atae HOLLI/ElE
- 9uant A moi, dit le se-. vident qu'il sera mieux pour BAPTISTE
cond, je ne vivrai pas, je suis Itous foutu, je ne suis pas ne via- 31a libetddn egadce Lauraate de la Idaternied de
bhe, car Bate nest pas mon mnin de la justice, vers pus i
p�re! de paix et de bien-�tre? Dir�et
Diretric de. la












Parlant de ltte qui mt ratroi r e Maison de Santide Pc .IaaPee.
pas trop fort# - .'&� te L4gWaatit4 �Poceasion de la ques5 int�r�ts personneis, in CHEZ JEAN fA
R� vision Consftttonnelle, signifiants au regard de' ceux Les h A A LMASr notre confr�re �de Tem$� a de la Patrie? L k ar marei
trouv� tes paroles de sauesr neL Artied auxkit t'a ae
s : Contrairenent certains At
En fce e cttelute etreconfreres, V�Ation-NationaEn fcele� ne croit pas que les Cham Machines erir� Remnnton
- le L�gislatif et lPEx�cutif, il bires soient dispos�es �e faire Mlachnes � calculer Dalion est diffitile de se prononer. fasna Rubans, papier carbon I
Il est �vident qu'on a raison an ntrva e ee au ~Faites vos achats chezAn
net tort de. deux . E .ea. .a . . G. G.L: .
cutif eat justifi� de chercher Malgr� les ragots et can- '"p""u�?
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. remier;:car Dante est: 'mon.-l� dictature . :gouvernemnenta-. : .: .'! p�re! :.-: . . ._. . .e:- a:gauc e. : l pas �+. -M me H OL.Lt E.h'. . . .
--quant- � m oi, dit 1e :e . vdent.qued: sera.m ieux: . : .pAPDiT :. .-:.
. ond, je ne.wvrii v-as, .je sui s q ler ue u.oe:. :- .:-:. _.a;. - nie t� . teu=_, .-foutu , e n�e S ll - s l' via� �J� li t �,r� udan � , �: :v - a:.: eZ _ _ z,
� .blel car Date n'est pas mon .M"' d.e 1 a 'u3nevr :.i- .j:/::.�.
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voir L g islatif, tandis que �le bre ni au s�nat mais dans les Gra. ' .
lul.ci cherche.�.m.:ntui-�r chervhn xmds. Car, pris ~La.: Meilleur� Coupe
pr�rogatives et � fendre j-ntche de minitr a L Meilleur -.k�ar
contre la :.possili. t�. d':.une tuels peut compter su des T
. trbp. grande donunation dusnm. BIAS
-.Chef de l'.Etat. Des deux brey~~ es tat 'a n a Ca Contre a syphlis:. Incolore
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I .rgMent le: plusI ft de.~ R�pblixe tpe!n.danv Cezr�i
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d'4taagisee, llep d qu�tait un c�l�bre rolsle euilr dans maneter populiste et qui W&6
elles avaient .tait engage � leur apprendre, �s iondelles de ck le pari.en in deux mois. >rme !on.- Vous m' aviez cach� cela, de�s yjestes si gra- dit-elle. iondatuan horrible4- Oh! dit Lorelei en rougissant l�g�rement> nous ne pe >de flotte? me voulions pas vous donner un jolie Sybi avec ce chagrin, mais nous avions une angle qui ne quittait forte volont� de parler la m�Svres~ i me langue comme parle. Mon�lait quelque eau ieur Chevalier dans ses c�l�a.th#.dnt ima tasse jbres chansons fran �ies : th dt e pn.est, comme on dit on Ame�s voules1bi fer .rique, �up to date.� Ch�re
g�teau1 nme disait Madame B�nard, vous ne parni la longue et d�li- j lez pas �up to date.>> ilet : Nous e�.mes toutes les peisic�rement pein� nes du monde � faire entenre ces mots affreux dre � ces jeunes filles impa. s par dea jeunes fil- tientes de modernit� que le .les airs innocents, fran�ais que nous pavlion P surn, m'enchantaient, tait tout ce qu'il y a de plus demandai quels �-. �up to date� et que ler po -. a professeurs qui leur liste 6tait un homme de par ti ient ce bas langage. j pris. �urent4tonn�es de mai Quand je les quitta:i, elles et que je traitasse de ne paraissaient pas convainangage qui, de toute cues.


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de a airetles Galeries LaDans la joun�e, elles eu4$EXMESvent les cours de la Sorbou' Voici Sybil, dit Mmie Lauw JACMEL
ne., Elles apprennent � pro- rent-B�nard, et* voici Lor ertfctdEudspiananeer Mo�taigne et RugoSCriictdEuespiaet non1 MaoInt�ae et IIou Ces ptites Am�ricaines &. * res: 43 sur 53 go comme ~on fait � Har- [ taient Feune et I'autre d'�ne vrd& �Elles apprennent que; taille fot de6e> souples et Brevet Sup�rieur : 3 sur 3
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Le soir, apre�lediner, dans E~lles donnaient � leurs r�- �L'Abeille� qui, se faisant le petit salon d'Auteu9l oIl.a ponses un accent d&origite qui l'�cho du Journal < ur�tre pour quelque chose, etant
Tmlekn tstues quXi les oaeivres d'art, les mon�- 'donn� que sous sa �pistol�ar rmettront � ces jeunes fil- mente qui les avaient le plus de� il a constamewip b$1di iStat vivement frappees. elIe74& brouicher--.
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gagn� troisxmat�bes, lPAllema NATIONS none4 ate larpubication de
gne a triomph� aux �limina- o oe urg Ls
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ENTRE LES ETATS-UNIS LE GOVENEEx.::
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WASHINGTON, 18 Juillet.- s�e.resp Blasde Lezo
Les Etats-Unis et le Canada I BERLIN. 18 Juillet- te n' pas sobrcomme on le ont. sign�. un trait� pour le : Gouvernement allemand _a croyaitt n des: manooeu
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jgal etevue:dudivore 4 ntervenir, e soussign .de. t d. . ommere.e . cine toute responsabilit des.V.: .i r.
actes de son epouse, n�e. M iar- i
tha Charles Ricourt.
Porwe,.,aix le 14 juillet 198 :ck, gna;eurt,32

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AVIS MATRIMONIAL


Je, soussign�, porte la connaissance du puble qu'. partir de cette date, je n'tai plus aucune relation avec Monsieur Philom� L�veill� et que je ne suis plus responsable de sesactes, une ationen: divorce devant lui �tre intent�e.
Port-au-Prince le 18 Juil.let. 1982. .


Dame X. T�licia O


POURQUOI CONTINUE:


A : :SOUFFI .


Quand- avec une bouteille
d Insectitude stad�-rdis� r Iif�re on piet tuer .::inst ntan�ment les Punain , MousUtiques, Mouches, etc, ete.
Se vend, che Simon Vieux
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parfum�.


POUR KENSCOF?

Il est annonc� au pubie4sp
Cialement aux employ4s de S:::bureaux et de�magasrn .1q'l
-:dVent, ansucong� ing er,
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