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--�::{ I-- :,':e:
LA POLICE ARETR
iLASSASSIN DU CAPITALNE DU VOILIER
. .
1PERPETUEL�
: : . :. :.:. . i. :.-. :. . . . . . : " . . :
it y-a-de- cela--- :-quelques .:.mois l:es habitants du quartiert du Wharf aux Herbes appelaient les autorit�s judiciaires et la Police pour fai
. D ernmen parlemeitgr e g s.�elru, probl�me dlicat S :dee coups de b�ton et bailque ta s1tuation nouvel- onn, et dont Fasgassin �tait
takemarqe pekon ire an le, on moins 4'parente,i de la eri �uite,
e laseo. Depuis lors, la Police et le
N Qd ~ ps travs e, co Il 1a d� �earter�idblirment corps des detectives que diri.�.l . ff.'iii: i i;t �i e ,g atcue l
me le tre,~~~en'Phypoth�~~se de la ailie, car ge avec une intelligence ratout, i A ~difie il isi aurait p iuritplus rien � Lfai- re, l'actif lieutenant Mand�,
f s v fts be t&atu re pour le on ce ea. L'Etat se mirent � la recherche du lui avait conc�d� tous les a- erimnel.
vud~;!iIa otoov vtages possibles, en s temps Hier soir�, grace aux indicaqui bur f itt utile comme, par exemple, u- tions pr�cises qi furent don
~teS- eeuxqudottlaresonsbe1 ne sorte de monopole du comi n�es, au lieutenant Maud�,
rins- de i s ITst meree d, ii suere Cela n'aura .on proc�dait l'arrestation,
ative L t drnement pas emp�eh& sa- db�clet aux Gonaives, sur le littoral
tout pourra�entmn; st.rer, Mais, si la situation de l~~~~~1 a de lEtang, du nomm� Saint
et no-n snsr. son.quit > te Hiaso.n'est pas d�sesp�r�e, il Jean Lubin, dit Ti Souris, 0ai pO an qIu eue soi attireiM d a qu.,lque chose i faire et riginaire des Gonaive�s, �g� de
: Paua jen le Gouvernement serait bt 24 tus, natelot � bord du volt sou En tout eas la cr�e dispos� � le faire. lier �Perpetuel�.
ures une crise de coa fi 4u Ce jLe moment est opportun Conduit dans la nuit mime
dri�p dvnt t re ' faisant a bE utfa ita tir le projet Port-au-Prince,. Saint Jean
ic - i ntt.rivu d.s tI de transaction entre PEta e t Lubin ne fit pas de difficulx d . la P. . S., dont les itt:�r�ts Ls pour s'avouer l'auteur du
nt �*~ e. et eeux de la Hasco ent, pa- crime, et racnta les circonsraitil, associ�s, cette p�rs- tances qui lavaient pouss� a xM ANDAT DE & AN8 ton procurerait a Hasco le commettre.-- Affaire d'arCel sont n�ces- gent-- Il croit qul avai
Ca i dp pet
jourd'hni plus AdJ _ne 'bi eu.ftflGde
et du mme cop, YE pour s'en emparer tua le Cacoremo2s pr l pu e' onoabls sstaus e db ta awat huid eete ell- itaile. 1 Ie trtve queGe res.t.q.leco- le affaire. . 48 qu'il emp�cha et prit la fu. . .�-- tent, selon lia formule du 86CstI te asion d'adresser
. . . . . t �'.::." :". B-'". ""::.:: . '.". *:". ,-,.,
nateur udicourt - lestI asion d
1nt gDILEE g A TfONA� de f lections compl�metai- m de vives f�licitations au Lieu- -ir j res, -- les questions de prn- i ERRATUM tenant Maud�.
r LE ONST.e auT desau sTAdeT paudss toutes au . ----- ------
ar-j j tres consideration&. Dans le compte rendu de la
i ' ' ;: � ::'::: !" , : :;a u ", . ., . . . .! . .M. . .
REJETTFTLA - ~ C'eat parfait. Aussi doit- s�ance de lAssembl�e Cons- LES EXAMENS
lai on s'attendre � ce que ces Mes ;t�tuante que nous avons pu- UNIVERSITAIRES
ge, PR�P0SlIION~ P/ sieurs ne tentent pas de 1ai- bli� hier1 quelques lignes, ont
s Qtmztin, a suite - re jouer � e 4u tS oises au commencement L'Ecole de M�decine donnene C.m i.Ai ut ne e cun article trniaredsi denotre 6�me page1 On es acette annce une belle prouseance non moins or' geuse n� � les fRire b�n�ficier de la ;pri� de lire le paragraphe motion de m�decims chirurseque les pr�c�dentes, 'A ssemr> no�velle dur�e du radt 14- comme suit : giens.
:aF bl�e Yationale Constituante gisiatif, et qu'ils se reslgne4 te S�nateur Latortue :Je Apr�s les quatre aim�es de urM a rejet� une proposition du ront, eux d'abord, ne serait-e o 'ai pas adress� d'injures aux ctours th�oriques et pratiques, r6pt DWput� Piou tendant � ce que, que pour donner le bon em- Ministres, j'ai seulement d�fi- .apr�s le stage l�gal diune anles jdans les inb rvafles des SesM 'pie, k allrts� lPurne en jamvier jni e cabinet. n�e d'internat � lPh�pital Gi�i y sions. il �s�it permis au Pou- I 934, d�put�s et s�nateurs . -A ces mots, les vocif�ra- 0n�ral dix sept jeunes gens qui vorr Ex�cutif de prendre des: Cela est dans la logique des jtions recommencent. Le Mi- bien prepares subiront en~
a dberetsdlois. bes discussions i �v�nements en cours. P�ris- nistre Lescot devient <
enr heure de Payr�s-midL f queles principes. au diplome de Docteur enMos Nons pub ierons demain le d iecine. Notus souhaitons que
$re ompteyrenidu de la s�ance. . ' ''''"'**"-tous r�ussissent pour le plus
iss- LE_____________ E ON U >GA t 1 PAPYRUS DU grand bien de la collectivite.
*.,'LEMUPO ASU R E GU Un bon point � I'Ecole de M&ate ECONSTRUIT SENATEUR LATORTUE decine.
ous lain et Auglade, mises aux xxx
art- voix; -sent rejed�es par VAs- jOn se rappelle quau cours Dauuns s'�tonnent et non Cette ann�e, l'Ecole d'Ait pa semblte et lep'lc Mdes fo� tes pluies de ces mo - sans raison que le S�nateur jdentaire pr�sente pour le diXvez Le tefxte de l'art. 50, avec derniers, une des trav�es du Latortue ait pu sortir un dis- plome final trois candidats du
Fadditiom du S�na.teur Rudi-, pont dWAgua~ Mucho st�tait oufs �crit donc pr�par� sexe masculin. Peut �tre seuen- c&urt eat tdopt� �t Pnnanimi- trouv�e e� si mauvals �tat4 sur une proposition faite au lement l'ann�e prochaine, H-ai ~r&:'tL. Un ou deux d�put�s sont 'qu'elle tvait rendU le pout '1" cours d'une s�ance. et dans 'ti aura sa premi�re dentistehout. nautlisable. efmm1
le C-�fmme
i�ii {t;1: i�:; :d-, -une-.:: 1 ;;:a :e:: :.c .:tra cettes- ann�e une bel�,-n r .: e ae O"str cte nneun >e po
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i! : :.; :.;::;::::.:.�.- .1-01. q-u t � .t :.,.,.d e C o � r e .- .e t c . p r a t iq u e s le u r :d o n n ar . < . . . .::;.:.< .::.:::.:t .:: ::: :. .: ;: .:::::: . :.: :.� : ,.i: :: :::: .:: v : : :,:::. ::::: ::8 r :.U . . S ai i ii ii :i !iii i . n ;ii i i{ :ii d.ii i�i i : . .s . .' � nc ,, t d ns ti ur a pr m �r le ts
. . - - " ' , _X X X . biue~~t, qui se trouvait juste xx
~t 8e fois,- la premi�re,- au L'Ecole de Pharrmacie, elle, .sein de .Assemble. .a une belle recrue de demoiix Asses �trange, tout cela. 'selles. Sur trois candidats au I-. diplome de pharmacien, deux
S"i . ; . s,- r -r- -. sont du sexe f�minin. Ios coin
-'-.- pliments et veux de succ�s �
HAITI-SPORTIF ces futures pharmaciennes.
. - . . . _- . . . _ . . . . . . . . . . . . . . . . .
xxx
La semaine prochaine pa- Cette ane il n'y a pas de
f raitra s. ur 16 .pages le nou candidats pour 'obst�trique. en :el organe Haitt Sportif, sous xxX
la direction de::: M. Aiphonse , A PEcole des Seiences Api. .enriue. pliquees, tles trois ann�es
_Le :premer numero eompor- .sont assez bien garnies. Se un e.ncopieux sommail"e, et Les xamens .de passage
- zous sommes sur -que e publec lui fera'ben accuel. -4 Suinee usO e no
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:::-Aw Fxaz ' " . i�]k . v4%, .,w
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et les4tatitqes �e rele- gent cetto admhir. ration a vasat � mr
&uiw.e :: r:r; ;:t:n ;>;; Z47t: -----~wf par les Peuanes. D'ouen res de Vaj*�s-midi, p�isqu'en alat;ota re e 4
ruatuAt dlt-on, la d�couverte principe tout monvement draf �e �4
db wacontr4hnde.4 Les amb�ri- faires est suspernduW 4 heiP ,.nrsrpamm ee
cainm out cru quWaveC leur s&- res pendant les� mondit d4t< DETSrION
v*:st dims les douanes,' ils1 Mais m�nme stl on �tat man UNt E tbn 4emp�ehaient les coutreban< ne s�ffirait4i paa d'6tablir in Nwaespi a em
des~ Mais-commne its se�trom- roulemient entre le3 emplo�l resoltiot0W termer U t[ i pent D'ailleurs dans,4 cette pour. assurer de 4 L 5 ce mn- vemt natre mantn de com
vaste affaire qui so d�noulait nimuim de service ctutantt 2 ec aMoiun ac r
&StzMareet qu' aerih De toutes fagon, neu atti te1 oteg etu5 an la Deeet;t pdr opa4eo ust
dyyeuixrnaxsoM4�de la Placw44sons$l teWtinl du symps r a mob�s. lfatprfitro cdeedeceu al aqu aoal ei
Port-au-Prince, .'1es ambrij thiqu� 'administrateur g�nel eteoason you rie, pblqedHi
cains sQut rest�s impuissan'ts ral des bostes sur le soc t par- Rats 4es 'maintenan devant la v6rite. ticulier fait- et int4r a ------Ils n'ont pu poursuivre pert sante elasse d'employ�s pu .,,,,,-~BZRTU VA BIEN LUt FEE
sonne, ni comprendre les n�- bles. Nous esp�ronS qu1i fe- LOUBAZARFREOET
eanisme de Pop�ration. Et na le plus t�t possible tout . fme HO�LLIER� pcurtanit4un navire apportait jce qui'est n�cessaire pour ai- tyy y i ad aso
err contrebande,' dit-on5 deswl�ger Jeur t�.ehe&dzns lJa me- SaefrrePu�riculrice Nous vous aunnoonfSt, av�einfinimentd acptasit n
cargaisons de marchandises sure o� cela ne nuit en rien � Laurte&de la Maternit� de dames, mesdemoiseies aeteet & SUPAqret'ChtM
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xactitude. Ce ne sont pas tous Rouge Haitiene, M�re de IGrand'Rue, No. 172L
Uation, formant le POseiSu- sU ikl et de cooperation Lfr-�,E. � '
p iur de la MagistratureRE humanitaire, quide12 a promis de an Tisv e premire quait4,
qui se sont laintsde certains chausser de sandales du cuir drill �aii, e.
&eve dela lettre que Mon- les petits �olons de estt� an- Cneten dtotes ortes
Sur le nge tebrun Guviy- nee " . . ". . . . . . ." . . . -. t. w .
a �tru devoir adresser au jour- LAssociation(Iait ician ap flAZAR OUr VA RBIEN,
n�al ta Garde et qu� lP<
Nationale� a reprodute5 Jetrespoadantes qu$i s Tchar* jaa de emaslgnts
t . Veuillez rectif 2 er. Pouet P .e od an l an -- . ,,,.
Et age - Monsieur le Di tresvillw, vouloir les fai B . . <"d
: . . � . . . . � . . .: . . . . . . . . . . . . . . . - .: . . .e . + . . . . : :. ::--- - - - - . . . . . . . . . . . .
- -- - - - .:.:. . " . . . : . . i . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . - :: . . . . . . . .- . : . . . : : - .-. . . :. .: : . . . . .
reeteur4 epresion de mhies r.e parenir d . s S r Ire' Otre lpa syphO .
r.l.e~, e~v li. .~ Glen r I �e a S e e t r l e 4a i n d ol oW e .
- 4 vo t "'ti . t' :::�zr:: : '1 fi. . . . . . . .
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t:� �::h:+:+:::� :.< :.- . .-::+.-: . :.+:::� . :+:'.::::% :!i .::+i:� . . . . . . :::.:.:- +.+ , + ::.:.:!.;.ii:� -i .:::: . . . .': -?;.< ::-�: . . .:+. !:. : ::.+: ::% :: !.:!: .:: :) :+:� :::# : ::% ::i: ::i ; ::.<+!':? ; :! ::.:: . . - : :. . . . .:.:.i
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UN BXCELLENT d'Enqu�te de la Soei�t� des : Nations, une attention sp�cia rEMISPOUR GOMBVAT lei � t� accord�e au probl&me des inondations du Hupet.
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TkE LA CRISE Un grande impulsion, a t
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.donnee depuis aux XparaINE , & Jillet.- Le. tions des diges situ�es le
de travaioux publies de six et de Han.
con�u j~par Mussolini out , Il est probable que cette t�desMMU appa~mr M ATbas the colossale, n�cessitant le
pour 1LM2 familles, A un d�placement de 60.000.000 de de 500.000 dollars. Le yards cubiques de terre � la ramme ne.l��r a donc pas 'main, sera termin�e avant la
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nment fourni du travail, fin de cet �t�. enore il a permis de r� i.Plus de 25.1000 r�ugi�s re dans itue certaine >xme- chass�s de leurs maisons par
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la cris du logementi . .les inondations, sent empl- s
xyes au travail. Ils subsistent
PAS
GE
temps
et les met mente
e.mand . un silleurs eri ume per~tYnne N'importe quel et d'crire
i tNOUVEAUX TIMBRES&
ii: i:i :!i i'ii i iiiii :: : i o � ; . . . .
[ }tOI4QROIS
BUDAPEST, 6 Juillet .
L'administration postale hongroise a annonc� lmission
I d'une nouvelle s�rie de- timl i i: :i;: :::::::'::: - '. .{.a n :. . l .
bres poStes ,repr�sentant la I Vierge Marik avec lEnfant SJsus enire ses bras .
e s}i . : . :. .: :::::.}:.:.:. .:. . . !. . .:.!.:.!.!: . !! :! !!! . .: ? : : . : : .:.' : . : : : :: ' :. . ). . :
me. histoire de ce qui pourrait x
hu arriver si elle hitait. . .
ITTRN NM T jun million de dollars du1 .UNE ::MESURE QUI
PIN A TR AVDERSE fjour au lendemain� Ce sont .RAPOT
AT LANTIQE kes sept meilleurs r�cits quiAP
kferont le sc�naxio du nouveau ~PRS Jilt� ex'u
N. $ Juillet-. Jame- filmiP
n BRennott Grifir, jeu- ~xxx a ont visit� Paris connaissent
te araricain. a atter- }le. rt$t mus�e de guerre ms'urd'bui & Barbun, ter- DEUX ENNEMIS QUI SE tai sous l'Arc de Triomphe sons rapide voyage de 1PEtoile et pr�s du tombeau
arber Grace, e� Torre RENCONTRENT du Soldat Inconnu. On a cala �t� le pomt de d�-e.I cul� que pour lann�e 1931,
l a fSit la travers�e PORTSMOUTH, 6 Juilley - malgr� la valeur minime exilantique en moins de Dans kt port d�- Portsmouth g�e des visitemrs, il a rapporque Post Gatty, dont voisinent dep s quelques .t� 25000 dollars un peu moins aht de battre k~ racord temps deux S tesu: s que le grand mus�e du houQdu mon&e�Sn oAt
;' m-^ i . �
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eVisde plu 15 tenve s airafalgar. mune ~est. le
con�6nce quml xxx vaisseau amiral de Lrd Ne
n�it de demah:. ? ACCORD PEUT E TRE son, le �Victory. L'autre est rps uSNE l'mplacable qui, attant le
dro�mprom ,'LLISE4LAUS*N pavillon fran�ais, avait com
ut encore inco. U sAN NE, 6 Juillet.- D'a battu justement le �Victory�
roit qhflie col~ , .ports des ep experts, Trafalgar, avant dt-'�tre cap fois � la France L:k Donald a conv:que a tur� par les Anglais.
hilrod Stenmrhip Line a Vavautage d'annonceri' WhaIs de N-w4aYorku Fort-au Prince, W&� UNIJ/
hagu Madi. Tous les steamers sont pourvus - de j
njw-YORtK ARRI WtAGRS A1 PORT. AU-PRIN "E
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SPOUR PREVENIR LES INONDATIONS EN CHINE HANKOWI 6 Juillet.- A la
-suite de la reeente visite des
*.membres de la Commission
parents
ibo ner
r
et
et
aussi,
oB pour nous
grce au bt6 ambricain, le Gou ver�nnement chinois ayant ache t� 87.075 tonnes de grain pour les donner �i la province de Hupeh.
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LA TURQUIE AUX MODES
RENONCE
PARISIENNES.
TARSE, Turquie, 6 Juillet. Dans la ville" de l'ap�tre Paul ,on oblige les femmes a a. bandonner les costumes � la mole Paris et � porter � nouveau le v�tement appel� Tehartehaf. Ce mot signifie � la fois �drap� et �robe�. et constitue une description tout � fait exacte de la chose.
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CE QUE LES GREVES
.-CGOUTENI � L'INDE
BOMBAY, 6 Juillet.- D'aprA�s un bulletin du Gouvernement qui donne un compte rendu de 166 chocs auxquels ava lent �t� m�l�s au total 200000 ouvriers, les gr�ves ont cout� � 'Inde 2.500.000 jours de travail.
�COLOMBIAN STEAMSHIPS COMPANY�
INC.
(Ligne Colombienne)
T�l�phone No. 232*.
Le vapeur BOGOTA Voy.
103, venant directement de New-York sera � Port-auPrin le 12 crt., continuera le ,m�me jour pour les ports colombiens, Cristobal, C. Z., Kingston et New-York.
Le Manifeste de ce vapeur re�u par avion poste est � la disposition des clients dans nos bureaux sis .angle des rues du Quai et Thomas-Madiou (vis � vis la Douane)
Wm. E. BLEO,
Agent
%IIPWIM% S11LMIM. uLLta.�L.s j .h.l. 2UJW %IA .
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L fait et incontestable
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�st ce qsi faitscn arome. 'ut . .o .
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.Pour qu'un pays puisse alter de Pavant et franchir m�thodi ement ' �tape;, il faut chez ses habitants communaudt� de pues, e sentiments, d.d�es et d'int�r�t. S on ase donne la peine de r�jeftir un briln sur la marche ordin*re des affaires de notre �le, .:on n'est gu�re �tionn� de consta. ter qu'dles ne sauraient -. er mietx. On ne peut jampis sinc�rement eentendre sur ee qu'i t onviendrait d'entreprendre en vue d'une amlio. ration -de nos conditions de. vie. Not regards sont lo jours tourn�s vers I'ext�ri ur, Nousa .-outfrotes d'�tre :ft�s de trainer sur ce coin deter. re, qui est cependant bWa SnUus, une existence rable Nous ne aisons aucun effort
pers�v�rant pour enbel�ir S cette ex.svtence et rendre habitabe pour nous hat tles la patrie commune. Nous don. nons tlmpression par nos faits el gestes dont Plzoh�.: renice &pte wa eux d'tre tre provisoflirement camp�s sur un o ant, pr�t a se
d�rober sos nos pleds. . L'avenir semble m�diore ment )#nous int�restert Setd le pr�smnt compte. Nous e pr paron: pas ur gins qut monte. etquie:route
Sd�4our e une rout .
Notus frf�rent, dans P�trel.
dased nw coeptions news
de bien haut. News
ea nan � e t . .n
tnxotLseVoxM
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Tets )ea cmmunletion dotvez.t St
trnet < .CUAUVET,. Im:nm .
EDITORIAUX i
SAUVE QUI PEUT.
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u cimeti�re, un brUa dtncha r La pe�dtle, au' piaond; onnesatsoqe7 n
tlscur etagntls imsElle prftiutusvi* ronde come un ceil deCg�ant tion, M. Rotad Modesk
blie alisid lsr putmet fduntai tout simplee." ost impitoyablre Elle mercelle a �t� relax�'sur le vu de� probles quli� pau di.par fueteun ai tn le co: le temps, nnnte� par minute, piera ,certifiant qu'il est i
Fi~rntgois k Comsar dusn elasemn maZnIOVl lve4 ore par heurw, Mais il n' yen fran�ais et qu'il doit
Gouvernement do ce TReasort.laien� jb a rien � faire, 'une, fois entr� re seulement six Jours A�
L~ D t A dI l~ ' to. Dom.ing- ven e
UC'-' 'I�%Cf ffZr44ff*
. . . . . ." . - . . . . . . . : = � : � :. . ; : ::: r e : ::u e :::: : s , ,: n . . . : : + � +
Aton seons tavec ardear
� lexereice de sa prof Il laisse beaucoup de Au nom de se s s nousj pr�se$tonuw a-mklle $1
I �nonse k ns mntrsem me
pus* moyen~ de bten ~alert - " ~~llMi
tein '' PaS OM, *
temps passe, on ne le scnt ,4u4Prineouilecompte six pser. Tout � lheure, le" de tsidence. k> jour mettra du beu * , ?xxed< .
ur les vitres et on ne sau pr Preide 'r4l pas�comment il est venrn pem-d otrSnJa
iw'pendtle le sait, elle ne $Ecole Inusrele.T f ai nu n'en Sommles pas me eetViller Potie are . , .e. pirt
(r sareO ' ke edtt
. . . . . . B. C .
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ULdane sflle pette bleque mex*p�soode StI ere v ond� mte$pao or
s e aqui mnte re pe pe nags oCtfeadepusde14.a.
les aetars.de egrl C ui st a nt rideas te� d'ap atanlt �pluts ue la9> Msnw e Boland Mom
en smra, ga eait ar I liat a'st a detent ces de chau esct~ Tsi V m tee eI amre ik sSat
que d secir pssablrnes tou intOid&Cnt UO bel a.MroUslv tinUt la fu d W d bnslle auPr e4 t� dentr'rltelsd'atantphd quelak
parter l f a? Ct Ao fl e n kuteiles por--- c�% dans lacm�rdn Cette APri
me it n reut t*i*re de �otten e tiquet tes rewnm- bittou ?arntalis te eu Monsieur Aruro Na
lpbeur; il nta as der terre: mds mangeailles de choix nuit, un jurnalime euxas on Alvarez, diatingue �ve
q dtWe betpr e aan 8 peintre , hte m e rt
m�--danse: leoain e e om n s ls ce-a m e t d dinjaur � eNt.on
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. . . .A xt.r,+ta.,. .r,. ; .:. �?LZ
S ' M E ' gargon dontle mtier es
r----d--nt , e pu repr�senter a e bil
opedavt �1 'et k terNmsbin t b c rt du Ciel, desLfemmes fLes COrt gme ueri
opr auer 1u t eseo Nos ome he prmese Idnt ou ne peut tr�s b>ien dire ont'propost au Guuverni
:e ui, pet Laf" wid pfin.ond lepess- e 11�e sonlt des hommes un plan1 proteettonnlste
Pour imerpraimnt sn devnt l sbar oufd let }e bien q~u% dsc'autres qui le sont franchises mndustrnlles et
moment r/en alleICer t*fl quelle chlur! Quel tumulte! moins, des �pavest den totltg ExtY contr�es o� done t eta Sur le comptoir1 d'�normes' les sortes commumienrten i- esretnatgu
pides rluc�s. Au retour, ar o u et de' 11la6 apportent eoo s1ebvi sans artembln- e 1En"einemtntu aenv� ne voudrait connatretle re- utte rihear' parfumee et par e barmanen aumone ane un cduae t au enxi
ti sortir det sn avathie mor- Les gesqui sent ici? l�cheeraient evreidt que r esa dlavs lbres
bide, se mettre au travail, se 11hsentde toutes les sortes, vent. P erd icele drit que lesticiere
re$ier sur soi dans le dt#s et 'ert l� que 1e merveilleux. Une fille Pnoedie emn dgotderauxttie recer sein de prendre le d�part !commnence. On ne sait jamais ntedrkodti, en mes gdei�rutse"mde ee
verts une autre forme devi tr�s bieri� qui on a affaire. gage une partie de poke ei- 4enas que lue~l tidin inel plus en harmonie avec les niai - e jenne homme en smo- ce avec le gart;on qut est i n- diatqu les �teoles.ise t�ples progr�s qui sont ait- king ? Un gar�on riche qu tre gauebe. 'Bien enterndn dxxxe �oi
leurs monnate courante vient &'encanailler ? nous entrons dans te Jeu. 1 L 'nvrihdm ici
Plus de vie r�tr�ceh Son� t- Pensez-vous. C3est le bar s'agit de savoir qui paieras Lraub neruveaudmiai d�al, sans buts pr�is, esmain du Volta's qui est entr�' cop de d�, le gar�on parle ghrurgiun nouMea Ocavi grandeur. Plus de cette eria- en passant, avant de rentrer de ses vcyages, des paya qu'i Diruz n:M Otai
tence monotone, deprimesde; chez iM, son travail tevrm�- a vus, les bateaux sum ies- xxxC
de cette exWe d te tne. quels ila navigu�. Tout l
trn e.e A! b& A c�t� de 4n thque d4ans sek lnroles qut Le pon ent dEv
Vivre c'est se transaf0rmer. cette belle fie enpl-vr est'offlcier de marinerta I Nomar'phon�e nt.l "
Pas de anuva �st peut. MIl Pudje I'inviter � prendre un tmhltanre, du moins niarhe a leHI m�eophon�decesa sel l�chens de nons transformert verre avec nous? de. La' conversation �tablie f{IXes Leof�enser Fce
par la p�ama e P * noas - Si vous voulez nmais atten sur ce plan se ypoursuit4 mais fiques t prof eku R6ou
cles et Vi'nergte de nid�tes- tion � la mise en boite. Elle notre homme, evnqnuant la trA.Mut ai#arl�egneet�nomal prit. est plus riett que n'importej vese de'ia Mat Rouge, racon xxxsegemn nra
W q-IE a esterrains, es te: Ont tmn lai
use gross bagnou - Les passag�res, m�me la Lasentaing ex4 ll
A PETIT GOAVE le, un mari, de� enfants. Elle ~ nuit sur le pont, n'y pouvaient itoreLafo ntiea lAe
s'amuse a venir ici de temps plus tenir, alors nous, vous'Sa Jose et inherJ en temps. Invitez plut�t cet- pensez, qu.est-ce qu.on prenat aria O ino de
Cemat ant autre qui porte un pulo-h dans les sutes d e aes a i o1ns A
lesobduesdenotre syma Ele parle de 'M voiture qu'el- i'nent' t
thique ami IeYoeteur 4hdle attend, qui est en retard. A sa caisse, Mme Louise, la:
Lgno iciga -dahe - Votus alles voir. patronne% dont le *profil est Saa x
su lequel Laconvoieais ornt u v a prteo te etun' a erteCti iA
n u1. o n e n.1r d m o m e n t Cp u.d e la ' l t e , esa de s e li e
esperance&teqet 6lmnar des ve euopdauoihe l
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creuse un gadvide daslspasaa la t�te pour crier :omme dre, un grand homme mMs r pur di4ierlayplac
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pi en �h.a. . .ie. . .�.: l du -h-. . .': .-. . .'� s o ;: � l ' ::: vii
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t par . .i� $ot . u, K._ .+-. - -.-: .-:. .� .: u c .le: il o : u t: a : ' oL ::y: i i ii�
leu -ra �: �+' :: �S.--m�.a-� : : .D E l n t r nsmm : aI13 l e :. -1 ht
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