Le Nouvelliste ( September 21, 1931 )

4*owou* 1


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No 12562


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s'r <'-s .100'


� . . :


QUOTIDIEN

- PORT-Aul-


PRINCEs HAITI
-4- LU-DI-- 21-- SE TE BR 1931.
j) LUNDI 21 SEPTEMBRE 1931


ie savent


P rlllllll


S avons publi� ?o tu Prince, l'in ice suivant qui
la r�ouverture ea Rpublique:

des gouverne� uiqti porte aii c�i de l'�ducation


tiue a sofnl crirde pas � se for"et i acquerite affectu Eu
a toute action Idevient v�ritabie sferemer�t de la, a ui� tort ou � rntdes indiff�rents, cs m�me, rendent o patriotisme des �Vt font tout pour p leur oeuvve pi
-que Ikeuvre de
- laite est dan. imp�rieuse obl. 10heur aux peu
*nfants ne savent


am�liorons nos routes, que nous irriguons nos plaines ?i
H�las,tout cela est bien beau, i mais cela laise l'impression> que tout cela s'adrEsse � ceux qui exploitent et d ceux qui, l� leur exemple mauvais, accou ront our venir aussi Jouir de ce pays, dont les enfants v�ri tables, les enfants de ce per pie auxquels nous faiions al usion, seront fatalement �v'n c�s parce qu'ils ne pourront op poser au flux renaissant desenvahisseurs pr�par�s que la 'force inerte de 1er irnorance,
Instruisons donc notre pau vre peupe, fCrons des �coles pour nos enfants, organisons les de fa�on � rendre A ces eco les riquentabWes et tr�quen t�es, afin que, dans un a. en r orochaith prenant conscience de lui m�me, le : Upe con aisse sws vrais int�r�ts, ses devoir. sas droits et imn e pays comme
contient a tout bon enfant l'aimer sa m�re. Ne loubiuez pas, Me1,e:r. ,u pouvoir, keuvre de l'�uea ion populaire eat une oeuvre sacr�e. Ma'heurs aux D eupes tor.t les enfants ne saven'� pas


lire.


Gaston DaLENCOUR


BE marge de la R�orgau�isatoe
du Servi&s Technique
Au mnoment 'on r�organise lh Service Technique de l'Agri culture et de l'rEnseignemrent Professionnel, nous nous repr , cherions de ne pas signaler, parmi s haitiens capables


tonsU une b:en dou c,�naissances specani-ees no nce. De notre tr.> culpteur nationai Normil
it ce jour, nous Ch les, dont personne ne son
_1Me de cette fau g- t niec le talent artistique. �r.l-Edueation popu- Et si, par extraordinaire, il ua pre:lue. Aussi est impossible d'employer ses dtoires, tous les hautes qualit�s au Service d'En tsoabattus sur nous, seignement Professionnel, que Str�s souvent d�- I on trouve un moyen de tirer
u0~'ours dim inu�s parti de l'pctivit� du grand ar telte . f atatit� qi t�ste.
dtpuis 1915.
9.en est � personne, r�Alt le monde. Il B la Po0
le confesser. Auss i
onat ee. , :us Lesu� habitants de la rue Ca
atun i di ule' ya demandent a la police de twrie i d mettre un peu d'ordre dans
ia maxima culpa- leur quartier, situ� au Nord du Sfaute, notre fau calvaire, o� quelques d�soeu lat 811te, notre fR au
Et apr�s ette con vr�s organisent, en pleine rue, Ie se mettre rso Je grands matches de foot bal l.
r r ns Chaque soir, une gr�le de pier ilosovre pour nous -,)
At n nous occupant> res les obige � termer leur nor
t p�ts au plus t� t et- est ce una nde nos arouve r oincidence?-des voleurs auda fodrais sur e po.nt cieux leur rendent de tr�s bon Pense on arriver re heure de fr�quentes visites. t &. loaitn Ils demandent � la Police de
l 'organisation 1
�ntressant de l'A�duca veir a leur secours.

ft eore que lon r�ali [l pont de Bizoton re que l'on or
travail, la olie ru Le ont de B z >ton dont un Ovtiee des moeurs si parapet a �t� emport�, il a aandonne comme il de cfla 1�uelques mois, sera en i plus affreuse dez fi�renient emport�, si la D G. e oit pas le se Tp . ne fait pas creuser e lit M\ructivn et dp la de la rivire, pr�cis�i� et a ( 30 il est j:t�.
e .demandons parce . ei jermet et ra anx ar,. cs, h� tte ce pays aux gr&to s liettes uS U Iar SISCl see foi ce aveu rie la ri i�re qunnd elle est en
setrafse etmen ce cyue d aler dr:ecment & id tgtir irr�m�diable nmer. au lieuJ e ' hurter, M
M::::.::: > . ' .:.:, . . .� s u
.oo faire lors ne le baea, ,a s tenure sur
des �diiices toute la route.
S que ous �'Q�st u travail urgent.


le frtdric Duvioneaut
. . . .
c ,a fid du S.eptebr on courj notre onfrre "te Prs" dart n bel diori
- daqi isu bot ddU'ur,,g
d- 'Popr iat/,. po,- $rOrdre, pour le tre >'e ttri <" c- to tn caryt . e qui est s rarac
* r'V4JW tsuns igare>'la pt-isweuleait�! de, ceux que $wJ r'i 4', t.efgsu de
pouptes. pora - ,o' rons d � ''t"r "ui' l.urs pO "ss0 i
snorer dt'ai d'eur Ct wr n v ia t de prouver l suec�r'eti6 4<" c-tte 4. Cctaraicrn de Prtftc4fIJ, ro ,, auraGn ,laire 7rcteur Me Fred.
.on r4'Y , , �re a �leuse nute c -d'ssoaus
"us to'e raenler u ( Ccre m'nent et t

fa fa rsa'r@Ce't � o u rnge , 5o qu"


NLis avns re� u avec plaisir ,d h�. :- W- et la carte de

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'2 .tCu trts~'o~ ace sou
n avcon. amfa r" e Me Du v gneau, possedee hautes qua Its d'a&ministrateur habile et int�gre.
Ses profondes connaissances du milieu, son go�t de lesth&� tique, sa culture g�nrale, le d�si gen: :aturellement � la ha. te fonet:n, de Maire de. Port-au Prince.
Nous i tirset ons nos com plents t 0i1 souhaitons de Lrom; �er nU �letions du 10 Janvier 1932.


Vsite�0 distingu�


Ce matin nous avons re�u avec beaucouDo de plaisir, l'aima ble visite du Lieutenant ia-.
mon azI chef de lEtat-Major du G�n�ral Vasquez Rivera, G�n�ral en chef de l'arm�e na tionale dominicaine. i
Le Lieutenant Lazal qui ne passera que trois ou quatre jours a Port-au-Prince, noue a fait part de la grande satis faction qu'il �prouve � visiter notre capitale.

Une nouvelle arrestation
Vendredi apr�e-widt l Udeatenant Pol.� liaid, de t Garde d'Uaiti, a proo�da A farMuation d'un domiieain du �Ma de aseamp. Ce dor.ir se trogait au Sa*o e Critars de M. Pblo'Te'rra quand infut appr�hed.


N0ouveli


m ie ce M


eouvelos des cas


-$Luase �dgard But'au a &ts petit
UII 01'P 11 f u ** m , >. .s,,44, A rc, waine

_i o.d _ a ji_ 9 r~'s fees Voe d �aoirV S pdpn p5.op fr
oo e Vre" �t si bo s .rive
chi~an at jspapos et Mmndchoerle, pr' tte,
Jtsuwa su non , de Mo0sk u tsan W paWfMlt -, -PH pl*e SrnM** i *yre*m*dt --l
japoa~Maolkqrd� o o pW-tnr >nl Motasss �441&(

mpont -. troup. quian deu*als oon*re*la i e r*an qui b oe 'o*, lar hrbine t le retrait de felor eat o spaiet .soee du bord de mer. dO ch� Fimny latoi Modebourie. aprv ili4m no! Mese Viledcroniu.le C'*a au ras i m0ar#ag*, V., n p' aurrtee. ubalternes oetno entre les,&Gon- ru
trnav. n iUI J derha.ai<.i.y,, ia a
vc-r'r'f. ChioisetJapail ar. a as


PARIS Lou�ot. tepremier bom. me quio at.t travers la Manebe an a6ropa, nt, ad oert uQe coupe comme pri a l'vateur i,&l a'tendra la tose de 612 ainE �i I'hrUre, te qui, d'apr� lui, sra possible idaa un averr prochain.
NS\W YORK - Lee autorit�s f d�rales eorutzrst une enqutle pour d4couvr e n ste<1n seuree dt o radin qui . trouve � MNtnaulan et qui appartlient a des agents
enq:eL. e poste a commumISque asec Mouscou pendaat pr�s d'un ann�e, a tiI t��
LL R Lwea.- Ls muais angla ont'u�t� autorise a pr�senter un prieb, au ajet de l rdeeu o ; saaie, au x divet commaandu des base sava l i, qui s renimrontcu"dipo~ ncosaodrt&"ai manne pavee sablent �** s
.r. aal'mcret. <. mau*t * pa"i"e
Ia H soumttria a 'on trla 9MdA toa
lin s laesa, on 1onler a pers d d�barqur comi�m � l'oiaairs et il n'y a �m. d�sordre.u
- wnMINUTO, UAWR.- 7 d. 13 prim oDnn qui .taeant chapps"6. du bas" deu o t� de Newcatde en dynautant une 'ne m ont �t� repris aujo.rd'hu, lis D'ont ai .aucu.e rtlutace.
PARIS.- De haute autoit . font en ce moment t pM de adsyr
4da Madame Frank (tup, e New York; l6 hsuree apr�s q ,i'.tao s out"'eu t de 5 ir a t que�s -oeur se t &pr�t� dbattre, la tempentureds�e0corpsse malae a �
to02 detgr�s Fahnnt. AUni 'a-.t-e pa .e. toe dreese son sae�de doe
P* iTSMOUr- Les mo .a v d'aprbts
lesquell tes flotoe britacnaqen qum se ItouneSt dans les eaux �:rss�n ot oepsO t r utnons dtaures ont " po"du
cn ff.t salutaire saur e anaa ta de la Sou. . lauaniqe, qui rseat sa"e
*a.e td�cter I. agnatee.
cLa&fa&0la- itarry Powe, qui a r .oos avoir4u� damse""V. --- -i. . . . . .
Co ocation


parole.
C o U s;goalo un tormidahe
;ch� � Dory, Uiz��oe s&tioc a{urn' h � Commoen. due Csv� QU'en prcsr Bt e Extra it de � La a' � e t T : . 5 ,


Les Annal9s de M�deo w
i aitienno
Notre confr�re "Les Anna e de M�decine Eqitienne" r t'i en son No de juillet- Ao�tur int�ressante chronique sure Inouvelle organisation du Se, vice Nat iona d'Hygi�ne et d, l'Ecole de M�decine.
Nous t�cherons de le rept, duire pour nos lecteurs tri prochainement.

Une leCttre.inplqi Rte
Me. Lys Latortue, avocat( Barreau des Gonaives, car.cdat � la D�putation Nations, a adress� � la " Presse "u plainte contre le Service Post '. Sachant tout le suCei que n- t M. Ambroise, Administralet r WGn�rat des Postes de la Le oublique, � donner la pit s large satisfaction au.- public, nous allons nous faire le de x�u de lui demander des rers . gnemrnents sur les faits et tenus dans la plainte de Mt'. Latortue.
- 4- -b - .---A. 1


AU iiexitwl
Le Membres du �lub letoral de is
Jens.t e dducaion deo la Ma.se sot La semaine derni�re un e .o~u~s, l 2S emb s re.b, � 4ha*es * clone s'est abattu sur les R�p au, asige social de i'Asso�sitom'bdCS ,Port.aPrime, Io 21 Septembr ti93 biques du Centre et Sud Am Pour le Comit� riques et le Mexique. Cette d I, . Pd.j ni�re R�publique a eu partic.
e Vice P riident
F ~UX ic DOI t i�rement � en souffrir.
jL'ouragan qui passait �a une
- vitesse vertigineuse a 'semr
sur tout son parcours la ruin. D�s r-i nnt et la d�vastation. Le nombr,
D�s maintenant des morts s'�l�ve � plus dassurez voevieux dcux cents et beaucoup de peo jours parE'Epar- s nnes sont oblig�es de dormi,�. gne. -- - la belle �toile.
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Vpubique d'ait.

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uepecbe unebre
Une d�p�ebe te Sait:M ou, nous appL.rto la nouvelle de la mort di
EMI. PUILIPPK U%X
Greffier du Tribunal de Premiere In tance
de SaInt.Mare
survemme numedi dernier
Le0 d�funt �tait le f�re aim� de nore ami J�rome bilil)ppeau-w, mploy� au ) pt),tement de. Rnemat#ons Klxt�tieureaNou. r't*t *s. 0o0 oadoSnea. .l ! tam�ll spou , paneuli*r.mese A Mo sieur et Madame J�rome Plilup.P&� e' .

Voir la suite de nos nforma
tions en 4?-me page


FONDEEN 189


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wtt rans et act que, par ~ w me" 0
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A nous arrivian, .
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latre o� cOmme lajuatvtStnadeeNUYVISAT3O bre
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tratai,d Introduire dans la vir MO T FE I Abr
btlernanlona-e cete organisationst 4z4: tt a d. VAN RENSSELd.R i N.vembr
~dactlo� lod usriellet), iuwa larrassna surement
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En venant a ces r�flexions, L ainf5' ~t o e nV pu rirr
en touchant � la mie en osg onl"Tts fa les 5tu s an Vaau r
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puir, 4, MI 'Lawsou, dk16gu� dii*aN�.V i~un
ouavern�ment bri an.que. Le Rsnat' nla Irt wWp h ne a AVana j zle Directeur explique coma n lesvmoit m e et l s p a s p n o p e t r e D E P T - V . . . 4i. .
6 ealjitn t mpe Na. *. j [8. ~ *O . . . . . .









tant$'asigatura de rn, ForbS Ll nt nU rn �n n "�CRISOfl 'I IT 3F �R S O $ t f, $5 .~ t, -~ ,s+. . . .












Vatson, rutmror du Conseil " GiJAVAQUtI ' s c2 Soq q;hV 19
d�Mde nistratiou du Bsreau in tf1 l~ J i O F fi � ll�JSES. "tANCON Jr 29 8aov bte[r
t rDational d Travail, e.1
lInuetlese po r britani Lt mtIleurC1Un6tIes POUr~ erire, coudre, vloir de sat 4.
q ses dtes ealent rqu t'raia' ?t� ntecs trouvent quCa t* optique Port au PSdn
t on svaiI metona 'e Truai bit * ' ertrn, -�ourleq.el elle.ait d� insi. Grond ue 4aordu MragasindeMelle Luce.LAF. .
* t z�b', et qu�iLluty avait ancua te RES R4$arati�ons en touts genre, travaiL garanls I ire u b�ssre
xsi�de �. attendre de le.vre . Ta url

Celse didaration avait pune4 i a ffa$r IOUQICocr'
p$rtt que le Directeur ue pon A.I tns go tr a� tr z v eux
innt�as mfonte tetr&dt ctw a � on ec
lA'Ori�inerm�4 e de notre eOQa � 'la GaeFabr j <
In. bihnlrpete i;wiePa e d a P tv
. . . . $N u tC SG I'Oc)� s Cor1e)H eanM gsnd 1Ea 4:r


















at de OC&aniatiQa �nternat�o otraua . r .
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sal d t vlf, y tut Wrrts ti# wotes scafnc~es etg a4u't:ts de Deralxt t profi 'tca . .ti
la tradition s il f ya le pas Gsand assorsa&Ite 4v &tcuiefe pour ler aruredte qtu fio
si riche d'rdine u manstra a:s&oImOtOe.B rte* e st�'emert i rouvr�out lu m Soir {
d �. V l i i t u d. . . . . . . t a r. .i o . .n .e e .M . f. f. . .



















dbun ern t noe payst ta flrand nssortuient MWtrgndre me ateeU, mis encont un tra
Grande.rzt agne, 'p:ays qui a <1chMey~' de 9 am ants et Piernr&speeo.er J vailga�en plus soign� a cause du<
industrieiWe moderne. 11 *�[n a seW lAoLIT Df isfmcctio n q leti�i
soonl 4e premn.er- teutes is .'93ag 'e $aFitct� mtss d h naie XnCe quiiA dcs '
grand.ret toutes Les a .e M o .e .pu de :
il ccnnu le �remi'tr les souf )bdeb n I t a11:~t JauNae4b t : �apy io
frances, l�s prvathols, "la de w r._ plus.I yone.a. c lur .chantilon
i n o n d�:: :: . . =z - ma== ==== ================================================================================== ======= = = = === = == ================================================== : ::::::::::::::::::::: : : : : ::::: ::::::::::::::::::::::::::: : : :: : : : : : : : : : : :� ,:: ,
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: d ts:- P.a,.:-::::,=============================================== =========================================== .-:::::::: :-,--:::ii:iii;: ::. . ::::: / . � o � ::. .::::: o :. � ::. � � � . :. ,. -:. : : .: | .S . . �:: :.: : :l~ . . . . . . . .: . . :. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . : . . . . . . . . . . . .:. .
:::::::d e M , F w r w :: : :::::: :::::::::: : :: : ::::: ::::: : : : ::: :::: :: ::i t . . . . . M.-.:: .: . :: . . .: = .:: :: : . . . . ' : : .: .: - - : ' _ . . :.: .:. . . :: � . : : .: . - . .- :,-:
:::::::::::::::�: �:g.u:.::: :: :: i :.: . .: n :i :. :i:i p. r o n.a le i::::::,' :i ii : . i iii iiiiiiiii!i i'ii::::::::iiii , i iii:i :. ii.':: :i!i .ii: .� :i! .::::' 1.ii::.:: : : ::i. ; � . ? .:,} :iiii - : . : .F : .: . .: !:. " : i::.: i:






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coin:- .:. . . . :.: - . ii:! . ::i i �l : l:iiiii .: !.:.: i:i::i. _ : ' .:::- : :: : ,'� � e � ' c n � t . .:::, :: : :::ii:i!


h a .ce d es fi n es ' t d. . . diff rents dr. . . . .
( . .uin .v . er i-er 'Travai g GA jt

� lgandes agtatio s' I IAN A co
.aiaes;ia conna. .e : rem�ier
les sursauts du peuple oUvrier MAR RoaM ilSe
et un beaU film sutimental t $o
ale que Marx et E aisat l Le GMBOY venant de %4ings av SS 's
Msisere n et lesPort du Sd arrivea P loa ti �


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