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QUOTI DIE PCXND N, 1E896
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iWm .mn,.,,/As+,--s.s+_ + am ,;+rgym o'm m ' " ' " "" . . . . . . . . . . . .m
No 12213,
VENDREDI 25 JUILLLT 1930
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r bien tablir la troublatel . que vire de Cr�er dans
Su1blique, les d�clara i r�'denthioOver qui fmis tendre que le Pr�sident j�c:utte les recommandade la ComintiSon Forbdes, .]a. . .ub.it hIer in-extertn sept reedemandations de UomiLisIOI et ses neuf' 80
8', siO'Imme on ta 4 ti4ns u n Peuple � �ena tfants de- e|t atm, il nOtia la�le de constater que le nt des Etats-Unis est� mal � oU qu'il Inorcme mal. te t, comme nous sommes d�s de la sinc�rilt� des sens nobles et �lev� s du Pr�sierbert Hoover, il taut col qu'il n'est pas exaclement au t dece quitse passe enHaiti sept recoM'Ia dations de' m PSVion Forbes, c est la ame que le President RO)
ei eter, et il a r�elle 3es �effkorts patrioetiques>
arriver.
troisi�m rectmmrida-.st ainsi stipul�e ;
-Qu'aaes objecloca a4 s ,ti a ou de par We EtarUns ni contre la action mnod�r�e des droits de dou-. a et des. taies internearaptament ates sur lalcool et iude tabac, antre soit la reduction des droits a portation sur le caf� sort son d�' verlent, au cas o� r�tal du fisc net e"s mneures'.
and donc la conmissio� es a employ� le mot � no ent, � elle a vouhu faire cendre que ce sont ces taxes aleool et latbac qui devaientr�duites, et .'e plus vite poss
i sait ensuite combie �tail
] . . . . . . z . .; � _ A t',-
Tout le monde connait lbs di ficutts rencontr�es cette occaotit, le truc employ� pour � d�verser s ces experts protes ,eurs dans d'autres services' Et cette deuxi�me tentative d'ex�cuter une autre recom mnandation de la Commission Ftorbes a 4t� encore r�dntits �
n�ant.
Comment lonc, r�pitous nOUS, le Pr�sident HoOver peut il dire � I Univers ce qu'il a dit, i propos de lex�cution par le Pr� sident Roy des recommanda tions de la Gommission For bes ?
Rien d'autre n'a �t� tent� con :ernant les recommandations et suggestions de la Commission corbes.
Por.r le moyen � convena ble x de reviser la Constitution, le Prisident Roy a vculu suivre i'kccord intervenu entre les groupements politiques et la � ammission Forbes. Tentat ivt r�Juite �galement � n�ant.
En dehors de ces trois lent
-ives, nous affirmons, et tout ' le nonde te sait, puisque n'ous en Iv�ons publi� les tents, qu'di ,'eiste aucune eX�cution des r:commandations de la Commis ston Forbes, et cela par la faute des officiets amr�ricains.
Et demai quand le Gouvernement
du Pr�sident Roy publiera u Lifvre Bi~1 if ne sera pas �tonnant, peuttre. d'y trouver qu'� la minute pr�cise ou le Pr�sident Hover parlait pubi�4uement d'ex�cutioa de recommanda'i eS de Comm sion arb8 s , 1 Grouvernement des Etats-Unisl notifiait, par lettre au Gouvernement du Presi dent Roy, qu'il n'avait � s'occuper
n d lt ia Aoc PIrj'nr4 lm hrh+ ni dp
te cette reuction 4,s tieien- que U e i ciS onutstt>3 mp auwlual t.e cn fonction du Pr�sident ,l-aer a auue attanti01 aux rtecommandations de la C�omnission Forbes. le Pr�sident Roy n'a, pas Ce sera a la grande stup�faction des Saux droits de DouAne ni Chapcelleries Etrang�res,du Peiple Ame
portatlon, ni a I exporta- riain et du Peuplet laitiitu; i s'est 'rabattu sur Valcool t e sera rsidnt vr;
abac qui est une affaire po tu se rovera l ans ne dr&lo si) et dont les txes.e de . ,- ., Spas it�resse , 0le uatn, quand 0n compareraso dsS valus mi en oe cours � Duviver avec ls faits et la
1 VS t'RIS ftuilCn PTOvteill
�taient destin�es � une al .rresndat.e l --. .
4 autre qu'� des d�penses At 1h politique Am�reaiino .
8.p., Et Inalr., tout cela, Mndent Roy a offert d'autres ndire0w pour remplacer uction sur celles de l'ai
Les amikis tuent par
or , le fisc n'avait rien amour malntenant
* *r.r.
nel t:Piley ont tout Con Les crimes passionnels n'�tai-nt pas prede
et cette troisi�me recoim Semet du ressort des auet1ceas et aer
ition, qui est la premi�re ,� divorce, r'ogeat, te, solutionnent
ive du Pr�sident Roy tas questions amoureuses.
ter une Mecommandation ais le sans-fil d'aujourd'bui annonce de
ter ue 1ecommandaio"'Paris que Lad Owen, riche veuve de Th�o
Commission Forbes a �t� dure re arles ,wen a r� cinq coups de
- R arevolter suri L�oeve Gantand, ia fmS te du
S n�ar Gastand,'radologiatr.
ment donc le Pri ident Le surid aed avair pr omis de divorcer
r peut il dire � l'Univers p"se ptser ady owen, mais changea
d'id�e. MAorl ta veuve Owen tira s ur la il a dit � -propos de l'ez6� f.,nme dueDoctor.
'de ce recommanda- Sur les cinq balltes, quatre atteignirent la
S 1viclime, -deai au ventre et deas a�. la'
poitria. Les blessures sont fatales. e,' s crimes pasionnelas ane ressemblent pas
atx am�ricains et ambricaine t,.
I t devra'mt continuer � roudre leur deurl�nn tentati ve futafirsshinaesAcudarr:.
ar te rr.esta KRoy, e
mendation de la Co mmfdes'r. DX os V
'orbes. Le Gouveranes�it b.mc
�e EScle de Damien, p6ur p
tre aux fameux experts .
saRne pparlantpa (f� liOanoiona, avant hie ttrols vo le c der place aux Hat t arr d is dt poss asi anres, do I :u attendant qtte a++ c .,,� _l pulesu s' sder'l gres q laIa fiempls4. j Mtouoffre � u n d d e r epe � i
4 * d.a vad s o re. tfoa ae ;cto ua�euMeSc�.qil ne frrnvrn:k. .:. �'tii ,, + , : , , .o <� + ,. . ,,+. ,
IF:: .:.:: .::.: .:. i':.:'' <:'." : <' _::!:;::!:i :.: : ::.:': :; . : :.". :. : :: ' ':! :i" '"" '_'::t" . . j!'u: :o-esn-io a �'� . s.5�v.ad:r ',Seore+ .:.% ::"#"
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E le CmmU iss1~1 o"
La campagao It Cetorate bas son plein, h4. eandida se dneaent, les registrea d'ies cnptio. a'uuvriront le 1 er sotL et wl'glr/ tout Qia tonne r�i'ormp -dans ig! tgOmmU 4oos Gomamuanlmes
Auns avoue asse, fat renarquer que pour que. les �ietsions suint loyales et sinetwr. il faut remanier les Commissions CrommuDates de M. �rAo. aNous ouaia st'oire que le Ministre dei l'Int�rieur proiede A c4 r� leormea daos le ours go ea t semaonie, psustonhu di qu i est l�plement imposbei de so diharrssr dn Conswits tomusa <�ls>n-
La question de r� iiteuo
Or nous dit, r�ais c's elcsm nt ab.urde lu* *sns sey-'uvo y a4ter" ;fi q e
tais cndiatsde ln Prsvince s<.snngsrsfei que ano&e de rsidene unt. pnr' n mloi teetorale ued parler de renidntt awtnel le.
CGae interpretasion quirat asport* Io moias judaulue noua ramuterait cei lu' 'anldi1da q n auraitns w risidence coive s ou � dtorigine s ( to qeu'en doit civil on uq p. 1le le do�nie e Jans u�e citonisto[l w- po un raitre elt, i minosquit ilt r-m � U" asmoins un at avant le �l'cione a r tuel Wrs. o tout cas, noon srsua s voulu le
Ministre arani pour �viter des eotplcatious mailes durart la csampagrfe 'ctoratle o ' linuer sa s�rie de circulaires,
. a s 5 ressmIf r, n
Retour du record haiLlon
'entant de trois ans
Il ya de cela quequesue MrS ouA avtrions reproduit one d�, iJes du Sanoshli smercann sianalant que c�ntait, un la�issir qui avast batu le record d ge iItparmE e immigrants n effet, un entant d(1 tross ans, de nal�on nalit� habtienne avait �te reten u Elibs hland pour tentative d'immggaton ll�gale. Ce pet r-cadmnan haitien a et'r rapr�� et est reantre hier a Port-au.Prince. Aa Fonr, un parrem de l'rnfan� avait expis qu les fa rsiL au ,Nouvelliste., Le j'une Do r�e, ige de trois ans a-.ait t� t(> simple. ient confid e > une ne , qui voyageait pour les Etats-Unis. Il n'�tah pas Un tnO gr�, e: ne cher.,ha i pa a voyager grais,, en se cachant abord.
Les auurit�s Ne ') crkaises ont fait de ui un oaReord .ondiaI.> Cela consti�ue u, titre qui au ra li servir plus t ar ttd. Par la witue vo'e. ont ete aussi rapal3t1rU par les au.orit�s anericamtes t uts aurst cnm[atrtotes un des Gonaives et de',1] de Port-au.Prin ce.
La Musique du raais
tRAVERs E L1NE PKlRIO) E R 'L At I. Nouavons pu;ause, av EjoIw E neW, '
i reslaso de
tien que Ces UomEutictiESont tevE 1 e.
",�P r� U1 e"" "C, ( "f " "'"
�er Ja cor;pides leXpiraEun 's e 3cEH'. t'E tra. La cause at s:e e t's ha haitiwen se trouvenrit e efn. ar : isur '� t�che qui leur incoumbei. ls s'n fe r - > 1oEHa tous i .osur, 'a routs les feues .t ces ;us ltur'eux> sonE t tsiealeueni tcr- E ses par une ai fameuse besoge. Ils so.t tous d�courag�s, d'au�ant quils n ttai�enfl q 'une poance. D�je deu e e . s t a iaotes diatinfguea, ont donn� it siinal I' d�part, S ce traitement contioue, inena u trea suivront I' mouvenwnt. ttbrstae Roy> sauvr la EI>EUEY du Palais d'un denasute rlparable. Re ;u jLE lice a ces malheureux co iwna tes, e. sous aurez accomphl un bien inmense.
Ma�llestation Spo�tiv
thoneur de la Pr
B[aiti enne
Y f Pance, e k> al
ruE' 1a tre'Eiur,
,. cnm de �arnst, :, , t i a l e platnr de vou
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Leu nineove n s
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Li L trTanu e uula ptu:e Pnve' cree h au nowem E-r. : HCErv., f. kvm. Ent*'.ft 'P y g wa sea' s Em4EEi n E E' n 5,
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~als lSE V 51 E trsqrArit
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lsn srstets'fu COJE SerE, t Ei'EEE
1' sur( te l S CC5eE 4EEM I
lSiEI s b
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ae d'entrepuie pense toujours k se crier, u me car. ri�mre L'Epargne lui permwtra d'avair 'itnstruction universitair� pas soieide soa avenir.
OUVREZ UN COMPr E DlY: PAdtGNU6
A LA 3AN0UE, -NATiONAtLi
- D.A RE.PQi,.YU'tA0
-:- . +- . " . . . ." " -. - : -.-. . � ; ." "-; .- :-:. + :.::.::;: :-':�"E"-: :"
-.O - W " +:.- . .Aatt. �'& .i': tti.5'- :r _ :t.!. ".:: : z ;.i +.::: :"- +" � '
o iu[Ot* tMI
*i�taire so vrtr une Chambre al srchana do.ges. Oui, tes ridcc de atitrident
d, Gousernement Ie Jsvtir 'Ie'-mple.
JEAN, DISSY
( Fi'rit� de la te Pe ue Ree
N. l. [. Il. - o s we -C~rodEEioh1 a rt 'i ce , 0 " rs�l :ne TEII Hari n e t ' r ,4r' .E .>'r c se-t a !tranger, est t'rN .
~is pa wi le SveOn tEp d'une fasnv( 9 cVr, vu quEt Ere subit I'as Im cont ,Ant t S E; SOE , E
. .ao ISs\O, coUe BU be. . cp d'autres �EUEne u E5ErIe� f iQE exrEvent dan Ia jourOD to E uE canA it aver le Premcudo, hav, ens , ml qui e GOvEmeD$t Tenri irr
uoias'e ts uvoEF em i droie urmuen
au tutsis lreei
*:N0s, 5SEon,,J de 'opinion que les Mue ton UfI Legslas s e 0t190'0il1sa45Jer1 ru idot d'abod r' t Esnatgre tout, uBs le Goert>* wnfr�s ,ect tdit mussi ntCr tour e autr moP�ort lEianl Vintt4tit du tPeuple et de la SIr Publique, Pour le a aore, ce sera 1utCaSsft dte co'nnartce 1% enduesi 1ea .obcir�rfl dos ameian
IDemam soGJudnet5�c l Jlase
Anueiet5 'si uant'4su-miuer U7 �qui poto ato
nl, plaro arnt U u urt s ure d :s-a i."-
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A F'attenoatin de la Po
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SUn certain intdivid rev 6tu de PEttee que porfeot gindvaletrratni 4ei travailiet A rd des bate hando jrend pour habitude dte v ceux qui ont d parent3 aunEa er d�bite t; p ete hivsire sava $ Votre fils qui est NewYork, acation ause ru Smitia o�po faire d'antre stimentatL
i ia less4 _ortiNlemlnt.
Penivs pr s poie, , rat r monder p roPt) ctio _- t jlt'-ai d'un -.t, qui it la ique Se
San eLto -Imngo. Moi _exr> te, en . de chauffeur ' bord d fiee dbtra n upge. joequ% os'.ne �sr,' t,.
'ait de ib l'air , Jei' 4l F*uEE;sI
I++~ ~ ~~� It ,+ .Y + -) p.lc�:
m :e ";tte;n: plu ; 't i,;':,' :r G a ni�rt ess . ln' j ona SE la. Ot (.ule qui i>e t . rs dut t._6 M�mruOe V e rqail .pnut Y
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ej'ur 11514 *1 "UiEJ.it1tx s.sr le d vat~cs onas t ( si'*E:tP S ', e "
q. I pa' qut 14 rds'
Loes grdanerJ n v p ar 1'roci
AA l .ts, 1_ryussi de> aient wiI i tlounmr d.us a� si*e h ar
audaenue n clOaque sJaI e,', e urv a nIlt pu aqr*'Ir ltisco ~,i~ur on raettn p4 fu a le p�t 1k e ce hi
t < sanu iice r, ce" utsP U i I der ct'ita vr na nls
outi leti lnes u snut (.u 1 . d n�t E t, o eti au t ta st� con' tone EJO man}e�, le jeu nm1E
1 eSt < spre'uebPo.c
seurebe , hqe sinae, ur ub asrce, e pou; anqude cr gas retes qui ateden juom ent.
Na stuufosla qetiont
I dnet Etnat emt ahu Doyjen ory
ac Le devoir d'exemple
Les tel#t�'na lDgislaiives que aous al��u* la _in ftaire vaot 4tre i. plue impor�aut de o toa� ciu 'tuje nationale: . terrrtoir de la Rpubltitqp ats rMie esPat oocup par une p4tieace rseause qi IS�Ir sous a contlej�ui tofto no$ se4te a pubs t n qui te;it et plrmt esi g�rsu' sen as- �entS yfesoIlS nt, as heb4.ous imnkas dte w e Pl yes
Us tuum L premi'e qrstie qui# s4 poer denaM sr dse �p roe r�prisentauts sege de nbtlue i. r�$m * 14p o*A rige o la or e row" lest rM
'Prnmherem ses edo e te Amirenfrs we aush me d d�e en .cys toak awne la Loime
ble 4 torr venuds de 1q as de 19 t " I y tv-Ps Kon suite i discur les et**usn du tait� <$5 paf uialr� sureddera k ha Cosnvnson, rar swais devns u, je ts hiers noua esu�tre f t�te que ria Am4riesse par o noaens ro�t pe awrs inbn ionl firoerusr�s i gamer v nsvrnrsma e l kpuldique,
er a., �ot ta pant, ns n $et,� rru;s ot) er te la cn e, 3)0e .*.musior iralssidr ont son la vieile or;ea see s et s uef t i* t ufiEsyen' 4$vfC_ 4 uien le- h4 'u 4
to"t "snr, -on d�.p.rssure hsys'n
as de fa- VoiR uts #ti4ni aw e de 4 ueion4
*'ua1rspre clout men. iatpel� a d lin pa' de rn
fu'1ih;1s14fi f r<_tut Sel'bSs Ot du-te lesaf+t+j Ituhr u '? uclq s un )
41e&t qu alt e unq e oses n4t,ot ue;uds
ldonnere t+�C as.-. (+(rI| 1 1+l;|lOl| O
tstjonul, �rsSr�re, Nov' dswoms dosn� 4%E�J ewtast n curuu drnvqyer ssns Chuamrue oss medtlours
**-op, af �s.& m -mw d
Jf - s< J ne dii. IVS.el.forres' e, 'eu de lw
lu tir � uu l ese susde l'lusrepieisl'
nudrt bset it hseostm�s Jrt puiS paama doU pays aftrslse d' geai;NU qu .ws woso.-nons contra ttw utA5u�'s ~,n se, c';mst-s on lsssltu�, eoE.st o.05 Siisiltes l)� rt 5 of'I'rs>l4I't ampparrnuie� Ild ya pra> try
e trois a qutre nus pour entrrprnte
5 Vt sr'urer rs eammris lrezws on Js 10on O
vf- "u "rl p'stucpatsssn. laine-O
e s qs o e uenous rer
aue :E fabt' lu sevrt a ta Ssriu *>0
ps eutsse a s tluld relf c lqu u14e6 sa proie pour
I ss Lesr e v. Ie levre, anoil-u coren e est
fta45U i la course polr f8aVoir p si isatcdt �asat i,au Put. avenas cru qu'i avait e ut Is
a.d ,asuser ,n route ie chien perd tout s pos eo or oe voo alu une ch ez o pa
de rustre apourrenvo pble qu'i tensit contre ue apparnce
hTribunal ouu de so ftut"eSCe que je vois de nouvrau, de4puis le
d1ai, au Palais National, ce n'est pas Un Go4 o au du veratrstt dans sensf que uso.,donnooe
a e ms, 'e*Idre avec son raditionl
ses uffatres c.steve de a r�formea s, maais no- puarfa�
honetehumte que la Coromission Forbn,
au Pr�si- d'accord ave le Peuple flaitieon, a elhg�
dc reconstter le Pouvoir Lisjlatt 4'h�u� pims ;quinze ana. Done rout e -oabci qus se tend pas directement vers lu'ebut
ven i ealongei otrp route, es ,ubqu vineo
nageif eque de r n pouri . op 'eCnetre eSt ici un ot gros 'J
'o i une danr er'suse, aiu�ullrs u et .O d t s niuredent dexposer te pays. Ae.
; i ss.ue te noure e, caaes doven5-�de te s'com pse.s dlto wns a at une valtr
a orae n wn paiow�ane eprouve, dnn
an �l U. t""" c;uEsailesJ cr'rprs'rsde
o ae 4rnr _s'ers nhefoor r n EoXi designer dse
-.aels>',. 551 t m OnE s d le, ',ctfulet .- r'oit s| 'p.n I uI', a ssot strictsmseot a iSa urer te l�b�e
tId 1 ue e ut I:le- Es n ara uirre 'f l aem eneu5Q .oru o.s le :0 s ourns an dta,e a eplir . t- Eiir <5-i* -b - vn e V , a spr et a u es qiaa
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s'En.-, Ees or Eaits5 on t'aractt e S5lEC�C t.s
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s' , rs vn urocue tt n elles 't'"
suent dus.J sut Erod
E~ane -x'a n Ei5.?tl luns 1 usmnabt e J0 parosnits
ns fin 'ai-mjame d'orsicun er dueu Lur
'pT us vEs ' lE s�i' n rhcis -et r es�le sInoteeus
LtDa c'st ois�wne andid#are e ture b t' * is t'ui't cliche.seumet rn'eies a�rseurS
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* nce aition l 'ligin# oe
Pablique
Ciiqe g ratgp ourt les . . . . . . . . . s r t � - .
tParmi les"ervices humanitairesa
d centrre de Sant� du Service d'il ygine de cette vile il > a UOne c&knile grattuie 0ou r les F rviturs; cette chniquu dnpui ton on�uunoumet,tl y a ptuieura moa en u un plein succ�s.
L� nombre Jio ceux qui sotici letoutn eame physique ag.
Miate c::onfiinalflamentL :. .
Leg but i cott clinique e:st d'.
ti4di1Un t thald es tranpa�ii blesthz ousn qui ou sont iuf c t6s e t qut peu i par leurs four fions tranemeltro COe maladies, Une personne infvct�e dune ma ladle pt.I ra.aetr cete int e tion � touoe luea ari ou �
plusietur.
Beauwtoup de maladies gra e
se iransmettent � dte peruonnes sainea per 1e contact d~ ailments, de la hatseelc�, des linges ott d'autres et �galement par le contact peroonnel avec les servi teurs infect�s d'une ou de plu-
ee�he chercha.
le Surhomme
l.G r . . . . . . .-- . . . . .,:.
. , . . . . . .
, . . . . . . . . . . . . . .
Inri Gard� a .rouve
le Surrhum
A ft e z V t e g ip. . . - .--------Achie voire.gualre
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fuite pour M1oteur et dif&tentie Nouvo i&venAons* hE Ai
Alaage ucile et rapidao
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Prottgz-vous cent:" ea
Cris F�brile
Par l s Pi t s
SIONI -FER B' I FUCES
Sonv'e3raine d mj les cas de t.,udisLme
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CAPHEX�E PALUSTIE
A 'a Phrmanie L AMIll.LE
. . I . -P -,, .
sieurs mala�ies trasmisibit3 ou
gdavcs.
A cette cliDique ils sOnt scu
miR 4 un examen scientifiqs
- physique compiet, qti englobe les .eXttsaps de sat g. gtemenet in s sont immuniseb contra i litep,> \role et ,a fi�vre t'phoide, Si ki exiamen.� n recounsit goe le tC 'our n'est attelul d'aucne k'aldie trun~nissibie cn !ui de hlire un certificat et uuepho.o gr.
phie d'idendit� quit devra prr�sen ter � ion. employeur actuel ou lutur. S'il est ttelt A'unae mala die tranrmissible, il ne lui s.jr pas dtlitrd de -ertdified. Cepsen dant il senta saoign gratuitement jusqu'� ce qu'il ne soit plus sus cep iblu de usnsmet;e la mala die a d'aut eg &! alrs Ut certifi
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
cat lui ern d�eiv .
Tous ,eux-li qui de�ireot fNiwe
examiner leurs servi eurs sont in vit s b les envoyer av Centre Je SaniU6 de cet av lie 1s .mardis
et jeudis de- chaoue sein -u
jours f�ri�s except�s de 8 � 11
heures arna.
il et imnortant de. se rappeler
que beaue0up d4 maladies peu vent' �trs facilemer t transmises aux jeun�s geofants par la cotarct d'une prsonre infedite au mo nant 'de se ,ti.ner. dr prendre des aimentis, par de esrese� a par d'at o f �'fs ; i e os stl qui r�s,;ite une hinhcLun qui d�termine la cde6 * aurdi td, la folie ou toute autra mala
diit.
a
ne"& l m, Ka
Place de la Paix
R ue Courbe et flue d Mar a�ir, de lEat
'OiJOUJThRI~ BIBEI u �EPIR AFEV' E~ LUNIETTERIE
Achas Ec He de Caret
bes Frx exceptonne's pour "csa2ge de atelters dgout gens aebt viet v:veux mievx dama�at pe>s e pHa espiece�es vieles p'�es argen-7 et r-r t m nisrnatermes natio~j i d,
SECIALIT. t AM ! sON
Cotection d'a11aoces de tlute sorts en or, 14 et 18 earai or comment repaEat'nn da tons b yox NWr BLa A1sgn vient t reavoir u asr~tde panpe u iu; pab e
ea-qInIttiIntL'w)wu r-rte#tr.s - n w .e.mgej agg
IAMNCPl&o
r
- Y. -q49"- w,~.~~~~.
Mariages
N.ousavons le�u avec plaisir le faire part du prochain marigi de
Vile JtROYIE LP.IlIEFRRE
ase
AiC ND Rs MARC ,EA UL�t
La b�a�dction ,nptiale seri db� �6 au_ qharmani coupl le jeodi 31t iilet on 'Eglise parois . ale de Jacmet. Nos .compliments aux faloturs
a,,
Eut lieu hier apr�s mdi � S'. Marec . mariage r.eilienx de :
Mme YWe CEOnES LOUIS
avec
At DOtPHE PDLE'COUn
t+ matnS ont �t� conduis � l'autel par Mme A. gi td Ourand au bras de MNI. Adolphe V ILrone.
Touas to compliments.
5 1.2 es MEi ne e
Ea maison de la la:ne
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