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.r4.l. ondW iih pus trop --ress4f-. f temp�tet on-f eX4get leurs eets:
La v�rit�, e'est que d�s Mai, edte actiop des vents, des courants d'afrAds s Bas Ltassa4aa twin-r4-trvmes��1nee,nou von ressensd effts hr�sek. desowuaes~ do �s pluie. On
jjaj naiaieer nommrnSephan&Drejejo, arrive re& de chblears ca�ieulaires. Si les heres conrdt l'inunvne du <$ulf Stream dont ns journaux pari- cemmnent d'Am&rique,a �t� arr�t&. du matin 4tsient' suppQrr�bles, Celles les cour ats ehaulle 4O esoi tropiques 'ns commentaires Le coupable a avou�lf la polic�gdtrvirecrpies entre deux et qutr- vont a'thde en phin hiver lts c�tes
ta pix sest Uw q'il vaitv�cuquelue tmprtre'heures o�1 ta temp�rature tteit de la l1outgrit' d1 I lsbcde, de lt Nur'
la pix estou. u 1avat vcu qe qe tmpsson degr� maximum. &rapr�s ce pd~ v�- gn, du (Grc�'ind
I>Lae Hae et exevrn eCiegafh � cipe asavoir qle la quaiuth� de 4or�oeOs onegwre pas ntou plus que dans
u'Aenrei.Cetanagrupssoiaises r;us urlaterre d#edd ugecertains tmys de z�ne temp�r�epe Alb�t�
Il revint &t Agram avec finie�- d&iucidence sous lequel viennent a nous sont pafuos plus chvnds que chez rnops. nce lion de tuer le baron Cuvaj Divans tes rayons solairs-ces beares du soir L'expieal�on en est dans lagrade puis*smruxfo� ,l p��ex omisie oa~ se rapprocha�ent des hfures isochrones asrwce d'ab*orplion calorifigue que poB>
qui nous accubment, ces ;utws ci, do t� lent le sol et l>eau, Us 0�ehtulfent Felle ont isite M x ueItoutes sottes de malaise. D�J�, on Mai. v�eet se refroidissent le:ternent. Lt
genlt f 88m D en vue des vill�giattures prochaines., on ,chaleur emmagaidne �t un certain mo% itts de ta M iaties Am&ritaiue :faisait la toilette des �ab�tvwons � P�. mhent, on Juillet, par exempte, continue ff�ciers et d'�l�ves MEXIcoS --LePr�siden�llver- t ior�v�lle, con id�Tr�e tomme notre ville jusqu'en J&ovier � se d�gager. C'est aiter-Paris et Lonr- ta a r�pondu a4ourd'hui � la note d'eau ; on arMat � Thor, � D�bqui, � s que da�>s les pnys europ4ea &n les du Prsidet Wisoncomrun� la Riv:�re Froide, la chaum ere om- 'ai'oas sont r�uli�res>tes �t�s peuvent breuse et silencieuse, usle de repos, �tre irsAs chaudt, et les hivers ti�des. r airsel> qu�e par Mt Lind. en refusant tout d'aise et de bien �tre> o�l'ton at E t>Bpriritwux cormmerotre' ciel, notre t Th�odor&PixU&tdiathon dans lesveffdes 4d-tmerrtr-dea fatigurs d'un ldberc opi'- climat d'H14ti est bizirre comme notre
*de Ye Interbo-! Mexique ou toutes autres semblaa? ni�te et ingrat- Et maintenant que temp�rament:t-l'un doit agir sur l'autre.
nsiCrpn ',be rpstosfie a n sont venues les grandes vac'nices de 1F passe sar� tr ansition A des variations
nsi Copan>, lesproosiion fJtspr udmlet, que le jeune �colier - lie ena tbsolume~n nyi4sibles, parce que trop
ru la rmortde pr�s Gouvernement �t ranger fino!-a fait no pied de nez � so;> colli- brusques et frup con:rairea.Toot celazit mhanu- sous uny M. Lind t fait-parvenir ceette ge game de jeu uresse cap�vei, main- ear v rai, est up peW Tonedn de n�tre
f r�ponse6 son Gouvernement et tenant qie les citoyens abjurant leurs voisinage de l'Equateur. Heureusement
Amoi de t C r a nd l r pnse.stupides querelles ont sign entre eux que la configuradton insulaire d'Haiti, es roues.juste aun tbiti�u asx E{ats-Uui 0treWwrWt clotes les �ormLs du temu phivse et bydr=ographique nus pr�sete
ait �tre �cras�. Il j Mx o 48 -- Ou annonce qftb pie de Th�imis, comme jadis celui de vent de tout E�nbrasemest. Lbile oUa
suppquaign lelmentgues Prsidrstue, Japa;;a'utefau .u U4W iL yphre, verte �;tousdes vents 4ui.vienneat du rfTfMI:r'-inA- Wi- 6x ifjd 6ata adnij4 �a rilement; queot e� nag, o� s'abor- �es et-eos monanes dm le massif du
eterre r Atr de dns.a rue . ez soi, dns le caroa Ner E4se trouve �tre le plus impor-.
Cen c*epl�tGouvernement I n'est pas dit visite, partout, avec sur les l�vres I'm tast, noue procurant les douces brises
this rlapletquelles mesures seront prises,mais manquable exclrnation: comme il fi du so;r, le .sadoi ou plus exactement ~ [Le < Daily-Ex oi ot que cela indique la top- cliai�d! articul�e dans un sens d'�nerve- le nordd�shers � nos hommes de la, jue le Gouverne- ture entre les deux pays. mient inou�; cependant que is vile s est mer.
t un complot for, transporltca onn e pwtre�blddcnnp gue Niais � c�he de ces i 11iences d'ordre
alis gyptiens, tNicaraqua --la vile renti�re et joyeuse--leshbocages m�teorologique qui s'exercent sur ue
ass�er l vicm- jLoi ata� ~t ~wrede Thor et de Diquiia .T4tede l'eaus a temp�rature loca�e, il y a les tombasassier e vcorn simarialsat mrtP�nonvillese peuplent de sy'phes.de na- tions organiques et surtout industrielles it angla&IS et CO0In M�NAGUA 19. - La loi martiale iies et de nympheabhma�bs goi &'ab i- qus n'y gont pas pour rien.
ou provision de forces, de bu n� et natd
c di alrelement d'amour< M us les victim�s du
tudiant �gyp�ewf censure s�v�re sur tous les jour- sort-le plus grand nombre, 1* mnsse - EN '�BP BP iUTn�pnmn� pasag AOxford, naux, critiquant les acIES du 130te repaisse l�tron drs chefs de Lmdte IiIU1Il IJL bfll�IUI1 :e I'auteur de ce evernement. honntes eLsosieceuxqui imet
la1er.vesunetsoge quoidienne quic neconnntr�ve, ni merci; ces jour {
� [n navire de guerre sla is nliers que v�gtvq'�are heures diwac. Voix Rurale
aiii de $&ancifoci ta d�tresse daes le 1yphun08 lion laissent sans pain et leurs enfants lie Astrel Ro ani arocat lu barreau
L8t JULQiiA ONGONG 18. --- Un typh10n, avec eUX% qui ne peuvent plus if y a de J�r�mie, s�nateur de ko R�publique3
~uerl pricpa oufan. lavilesse deeentecinq belle lureee d�j� - mettre la roune c ounnassait pas le g�n�rdk Sdomon.
ute laparicia anche; et vous m�mes 'es I puia soi ami et roligue cast�n horre � lexposimon ; m4ea�athurS, a dtvwm�deci�s, gui avons I it sceu de conS heri e amener faire la conna�ss�nce
.t minglon tnavire de guerre arn� tance, de sgess de dignit� et de du Pr�sident
apreconise �la t icain fists partie de la troisi�me mis�re aunsi paralt-il, ce d A se b, i1s se rendirer�4rtX tintionat afj d�s. fi . .0 #l flotte asiatique, aoujours 14. pi�ts � r�pondre � l'.ppeJ la pr�sertation ful faite. Le g�n�ral Saous l ;, cadrinude (tresse. dearsouffrance &ui a �I�sap�p as de P.t lumon se montrat:�3esalbble et t6moiettulan Plusieurs pefites--enmbharca�lS'n yer totre hiim 0duSnons nuitrndpis.dcue
o ne poud s�nateu.
tedis� no#ll' Axv ont sombr� dans le port. jYous aller nuds pt, conemns que L.entrevue fut cordiale. On but du
cprw Lfpnir Cor-u a nous somms�subir les rigueurs d'a champagne. Unigquart d'heure apr�s,
t .pr. dO iles deux vitsurs prrent cong4. Ils des
teenteeren f u- p: des.tQ19-Renter2 3 8
A S1 1 C* 'ua1u.ueaper'r1t Fr uet, p;rr a�re ,sriat
.�:.: ::_i - ' - - ii% :---% -.:: . � �+ : ; !. i ; + % .% i ii;;; i i .!� � % :. r � 1 r :i.� ii i fim.m-. - - - -:+ :- " ----- -t:"? -:" : :-:-::fi-t-r�:> --.v ill-e - !i:i i !; :ii:!:: ::.:: ;:--:--:?.:< :
, . : . . . :- � . : : . . . . . : - . . .: -n. , , : : . . . . . : :: : .r. . : .� . . . . -e a -n t :t- o : :o u - ia r :d' a i , d : l a B + + + s : � , e l - � + d o [
o ri.- . . .:: :: :: - :: - . -l . a : ,. v - u | : -: . . d:: :: .:: ::,,: :.::�: . .o.p. . - e � . + tl i . t+- Z r
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�8S81e r l v e T h . + i:,- � = o e t- d -- - , . , + , e -d , r�, t m pra !eture ow e r l +.p u yor .
:.': + O il l�+ e " . : . P .- ; . . . . vitit n le, ep t , -e up le e sy p h Ve s e a t ------------- -u c s b is
i'. e ColiqulA GU1, loi pr tilsee.m s aquete e :+i omphzhin ii fi 't) qw nduysr, ps dpioup riacee.l
laytue a �ovr -t.ure strctem et apays. m et e i ' �� d tqal Ies fot mr
Ct tal d �om ]oard fat1r t0 ra o free�z.bo e:bc, u�t c pet ntas�u: d csi t e� 'r
, + . ,-gy t� n l eis r , ' r u o sJ u - -la vlle ent irn0u e t es e -es c age� s m t dugq e q i 'x r en u u
it~ ~ ~ Dax aali tco-nMi u+,t+- les rtacte t. GO ieset de nymph, (e. hi q i Ibe-qt ' .ot prri.
.a1 e g uerre bl e eg jou r d - .
.~ ~ ~ ~~~~~~. . . . . o. . +. ."". . . ,. .n co n � it� �,n m rc ;e +i -r+ A e d t s -a t e n s
a~~j�r heures red' iere a;a ,,, +
.�� . ::. -4 t. - .! � + . -o +oJ-in la, -.C+,a r h u e ++a - ". .V i B u r l . +
t a . . . 1 d e rP se d ls le I tl l io 19i8erd Ica .is pain et I uV o ixf s e- st e R u q a ct-,u - a r �. .
i,++l ~~~~~~~~lur enfantsi� . . . . +.� . .
-,, � = :: : .: .:. .-- - ' �.- . ;,. ;. : � � : - � .- - - . .
'an telle dision
Autriche
NEI.-Le 83& anniVerel'Empereur Fran�ois Joii t: @e Fr n.is Jo
It� �l�br� � Isehl, sa r�sid't� avec grandes r�jouispereur, dont: la sant� est ent �tait entour� des mem-i Je n famille.
NN ::t9. Une tentative
8'nal a 1t commise aujourd' .Agram sur ta personne du �kerlcz SCE, O oUveau cour
fraim a. rnsr.n.:stn
HAverPi.--Cacaos les.50kdos: Haiti: francs 70 � 80;Guadeloupe, 18 � 120 francs.
--67
-L-v-:nOOL t,-Coton tiv: 6.49.
A C T . . .-- ,i.�-.
�AIT� IG�IILE
Nos fortes Chaleurs
.Pour Charles Moravia
Les chaleurt, chaque anne,semblent commen er plus :t�t que d'ordinaire, et cro a tre d'mleasi�d. Cette sasofl p . rait pluschaud que la derni�re, qui a d� emorer n tour sur la prddd te. G'est dommage qu'ucuO s.t
- tisliqUO 'ne nous permousO d'tshir le fa it vemeOt drai'i� da cbienVrai
-. comm l a ipretend que aterr
' Dans les Anies, une temp4rature moyene sensibtement pareilt s'observe � tous les moments de Vann�e. La saison dite htude tranche seule sur lrs autres. M ais- de tootes les contr�es du
' { ii . " . e . . . .
globe situ�e. sur une mme hgne iroth re de It yi en a t i qui pr�sentent proportionrellement � I �tendue de
-notre .Ie, des p�riodes de temps o� la chaleur soit auoi�lev4e que ehaz nous? N'y aurait il pas une cause pturetent loeale, adjuvante � celle :de la radiation solaire, qui expliquerati ces hauteurs. de temp�rature presqu'exceptionnelles
-toutes.proportions de SuplerfiieS gar. d�e auxquelles nou.s ttleignons parfois? C'est ce que inous vodrions �ta" : ; . . : . :: :. - + . . : . : ."bh r . . . . - . + . . . : . - .
- La temprature moyene d'un lieu d�pend, onle sait, d sa sttuation�do graphiqe �ett� temp�rartu r rait
I ite vnll l citeifImeitit lescalier, Satut! aits de l'accueil qui leur avait �t� fit.
- N'est pas qu'il, cause bien? dit C:destin.
-.11 'y a pas � dire: r�tliqua lolnd, e'est un homme du motnde accompli, aimable et beau causeur. M.i.,il y a Un mnuis. S- Quoi dore?
- Hil� bienIt ne trouvez vous pas qu'il a une voix. .comment dirai-je? .une voix rarate,
. --Oh I
Le g�n�ral Solomon avait, en eflt, la voix sourde,,ce qui est commun aux vieillards de la race Il avait v4en si long. temps a [�tran.ger, que 'on s'atendait � le trouver corrig� d e e ddfaut physu .que�, d�poui6. do ette intonation que le s�natur Roland ne savait comment qualifier et qu'il d�nomai, si pittorea4 qfement une voi rurate,
.:'. . � -. �� 7- .,. . .� -,
-;ii m:::iiii i r�i:iiiiii::i;l ;;iii: j' -d i:ii i!:: - ;;; i;iifiii
t:iii: !!i )ii!;)i
f++; q :ii� i;ii;,.
..
TRIBUNE PUBLiqIJE~
Go*ve,14 Au�ata1
Au tYpu l Basharnai Jraa Fran
�aiw, 1>o�tau Prince.
Mon cher D�put� Beauharnais,
--- Tout on vou.s saluant par cesepr�sentes, je vous accuse r�ceptio des num6ros du journal Le Nouvelliste, 3i et & Ao�t de cette ann�e. Nons les avon us, et apr� s de mUres r�lnxious nous sous sommes demand� si ces jeu-es gens veulent se constituer en vraiswtrigands du Calvaire
Ils out pour devoir de vous repecter:
Jo comme gortaiv�en �clair�, 2t, pour votre . ge de 43 ans, 3 pour votre �d�Gation tuarop�enue. 4e pour les bieafaits, e votre fatu infatingabe pre so faveu d notre malbeureuse villa des Oonaivest -1873 un talvaire; 1871. un hosvice ern Vhuaneurdela Vierye Carida1; 1875 lea murs-de notre vas e cimti�re; 1882, une fanfare � lEvblasement des Fr� res de lnstruction Qhrt�nne ayant cotte t paque pour Directeur le respec table et vb6tr Fr�re Cyr Mary de pieu se et regrett�e mn�moire; aoli�f1832 ii 1883. ittteur de la cousrucion du Presbyt�re de notre patroisse commse un des membre du Co�seil de F brique ns nous arr�ter au 1te 1 umen�se quit a accompli dans La grande Conmu ue de la Maramelade deveaueon peut le
dire, sa.proprietd; - Zr waU �tes le �
, put� qu., par votre independ. a .tait honn-- eur l. m"m.i.re a . feu.' Ber,
ibnd filh(Chambre 1877-1878
Il ne faut pas loublier Votre p�rn
n'a-t-il pas fo�d� l'Hospice en 1874 pour le gardr sesflais personnels et Fentretenir avec les proiuit de ss domaiues ruraux usqu'en 18900� il a .
licitlesubside de ElXat, et ou, en vue de s'aljder de ses peines, .ta. rm�e uin Conseil fAdmitra tion pour 0atder a 1� conservation ts� nob�e enue prie. Demande- donc � ces <&ns et ceci. a nom de la popsdiobu, quels sont les envieux et idoux qui, a-r�s l 1 mort de ce grand ctoy&n, ont fait enlever F�crteau Ho.sptcc Beauhar-'4
wasi plac� au frofitispice de ~
pteux Etablissement sutvunt un d�cret
aVAdministration. I
Mon cher D�put�, il fant pardoneer
vaux pauvies d'dme et d'espri. Qecu-a pew-vous plu'�t de votre beau r�le d'homme pohitique, q4i aes evsent pasi
Sfout le monde.
Os aime i& vous lire aux G.st .
-- t�epuilisquelqgfrtz jours la p1Ap>its n
tuneros do n Njuvelihge, a oet comflme de v�ritables ordres du jour pi �s�dentie!s, surtout la num�ro Z' qu&on ap.; pelle ici litud yoe-J'ai vu persouneit'
lementunbilletdud�put� A adress�� son jeunecousn qum s est. inch ia ser r
de GUmbert, reprocban
. cond-uite Ie e jeue ho
gn� Jea -Baptiste PduL.
.ie ce gar�bn.devaitenvi . ble l�tat au lieu dese j
".at. 'ui . pour se fourrer da
qui ne le regardaient pa.
Present Y tous m mt!s
. 'int.ressant Minist ' us l'agent de son ipre nal a
B e.me.t .e dig e S�n
. . e. .
� . ". . . . . . --------Gotialives,
Me .IA�I �RA.S IEA.
D .�p. du P.es l , I
. . . . . : T:::::::Wt o � �i : :
Mon cher D�put�
Utvorieomis, con i
: i�i avive sympatbie q
: pour vous, s'est rendus .~~~~~~~~ . . . .tt oe � a � =
press.ment �A asse Rel t anto.t un mois, je suiS: pour me faire goater � mao ddlicieux qu'est, v
cette senrdne. Ten sui i reox: car je vous lis tou plaisir de plus .en plus er equiet,: me dit i!, de
.quelques l nes ,
Je voudrais, par le me
ter de la vale.rlitt�raire mais et le temps et l'es queraient pour un tel t vous saurez que, lettre ��es admir� go�1t�, rec ar la gdl�:�a des co itre esprit e. e constat uage :: les pubi divetset
rement aim� et admir�. El si, an petit peunon est enwoyee n uomne t tti de dcomens * examiner' St k
nombre bien restreint d'individus,-~ ils It4r�'r. statau�6t#sur Iexou�rationd� tr
sont peut-�ts vingt, sur la fai de cer. Dan'e pr, les dieeteurset prolos- des mat�riau destin�s *
taines affirmaions m dligues qu'ils ne sours des �coles ru rales de lh commu' St4Louis 4** Gonzsguo1 2i50 surt se donnent pas la peine d'anayser r�-f ne de Platance se pIguent di n1avoir ce de $) 18.000 or du Sdp�rery p�tent que rien ne justifie tees insinuaj p s fd servis eunrement dte leurs des Er�res de Unstructiou r �ions hautement l�g�tin�es patr le%- em (� nents de tunver 19t4 ik ce tour. que Itta: doit a p4rtir de t8
q VH ou4 avez irean� les jenes ini. Le sbntur Lh�riqson prse ta Mlnis' trais de passge; le Cowst� prop Lies de t I1antique associadion secvtei, Ire des Finaneen~ pr�sequt de renfiei0fer soumettre la qumflion � la Oome c'est uniment p tree qu'ils ne p�u�sren� sur co fuit a ta m et ijute. 1l d ne de verdicatiun ; t stir VEaproe p as asstz te fond r�el cle la question. ria sdvor d cel at q w h questin munal de la vifie de Por�ni Croyez- e, mon cher D�put�. le plus releve de son copte de I L�struca�o dont te chire a �t� d�ohr�; grand nombre ne les �coute qu&avee le pub1ique* le droat oecbelle accord� �s Poi
plus prfYotd JdidtSLa E:td�j leurs &ris La p�tition est alors ad�e4see a ce ment. sans cesse r�pet�s devenuent tvoec cla. dernier qui dci:treegner � ce sujet. Le s�nateur Eranci lit uas I mnanis in deserto. :- Ntons encore que la Ch umbre a efts de constu�ion d k Comissior
D'ailleursa n'adt on Wpa ftit jadi�s no voy� un contrat de Mr-P AG rdrtsutr- gE� dp�udter la r4v�s�on Consti reprocetpareil au vieux Fustel de Cou. le b t�$rhone. Il est coamis au Chm�t� nelle propos�e psr la Ctnmbra il langes ? UO espnits peu reasetgn es at- �des Travaux pulVics dmad putes: MrLth�risso so a e pc6
tribuaient souvent lI�pret� de ses poLa Chambre dte Commerce deod t Mr Franess, rapporteur.
iniques(il ent sotz ead de nombreuses une a&gmneutatio > de sa snhvention. Pais, la m�me s�nateur de�� de son temps) at des d�fauts de carac- Le seatVeur Haussan, la lecture de tare d'un long expos� des motifi t�re, i� d as pr�occup tuons dhumour- h correspondarce achev�e, voudrant loi de 1�01 qui rejeta s cr�ence propre ou � la ade�die, En rei ceTvoir le S4na: vote} d'u'gencelta loi sur re 8& Co deS33$0lIrs.&E it tut u:e pene&s plus huue,94.t-on, qui e appointemanis des To �ctionnaires et une propositnon de loi qui annt Te siaspira. GO peut en dire de m�me employ�s: vq le peu de temps qui reste de19L-L'argence demode� pour vous pour les travaux -et.AnrejetUe. Le -profstest ae
Flooni soit qui mal y pense!I Honnis Ilest d�cid� qus'elle passe par les fi"- as �omith des Finances, sur ta mille fois honis, ces �tourneain u 4Mo44rstrgemmarte. sution du abnateur Lbroche. out eu> la fMblessa de so laisser ems Puis,, on arrive � la loi qui supprme Le s�ateur PVpilo> lemanda bancher, et quit dan s leurs articles telesimtuolmeta- des avocat tiet an permis. ecrits.sida un styte flasque et amocrp�he b e s�nateur Drndvnl a longuement St> la proposinion des saoatr ou: os� 4bever is voix devant vos au~ combatu la loi qui est, d�t il m-Tuvaise Uuvid-et-t-A+footant� la perm ptLaharimsemneaL de ceasqivosa�int 8 eaw~I t-syyraaaatew- b�tdie.E le commetse d�s d4
cormaissent. Ne vous en 4cef pa. es qit avance que les yuues avo* Plasieurs projets de lois et di
Le pr�nc;pal n'es digne que du r�e cata ne punirout se 4Vfr4 parts impor�tants �t discuter, sont
qu'dl a continuellement jou�, de celui Le Ministre Mathon combxn les deux in lordre du jour de demain, eatu de larbin m�pri4able, en � dire de pr�opv'ants. vaffdire de Glore. petit laquais de Ministres en �ouree. Wir UDrarvl r�plique que les argueCeodle, 'est trait pour trait lei ments du Ministre sont l�gtrs etsp�- Errata.
Gaueberon, l'un des personages de la cleUXnt Monsieur B&auhstais Jean-Fi
Bl~4 ~ d d BN Mr M4bn o
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qu'd a continue",1emDe1� joue, do cel u 1 M . !eM 0 r om a ,ie .d ux.:-.,,.,, ,. :a .a .�:
� Ce de.�ffe, c'est triit p our trai une: : ens.d ui r sont |�gycrs et s o -,� : ::::,: :::: :,,: :::::!:
-Gaucherotni, 'uirdes pe rn11�"es:de la " lx . . . auh : :: ::
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t 1a miuvsise arraca e e P ourgeConente ( q~ q ----- nousa uDris de rectdisrdus
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mme qui a si- vous de hi apoliquer les mots du po�te d ans la bdi:cussi�� ou a entendu que c e do 13 Ao�e adress6 au Go� il dit � .l'au tre Ia. : cd proa a vuig . a vox du �Oe .t P. S n� . POU. - Comadies de ftispies des Pauv
ager son pnov Je m'arr�te ici, mon cher D�pu�1 vat jqutfier le rejet de la loie,
. . . .
os les ChOSeS tinuec la polmique. de voter ia li qi est adopte aprs une .t e avec cela que vous voea
s. Votre d�ou�, - ANroIE AUnA.YEL. double add�tbn des s�nateurs Cauvin et rarchuiser et driger la soci��?
.compliments Francis. de.- ht hre: ojve-,s is.
e Matheon. Je 'Le Min�str e de Il d�irieur d�pose un tel deu Eh pben ole ou revensd
stgex or pr-ot de loi sur les �ndemrii�s � accore plaice et vous lirer nul g6mo�st
.sb nl e d e o . . . .la e. e. d tp o i. hhes tb e .a ves u le s. b.�.e.rs, e.p. d e p ar
ville, p ,r ,i m .'Nick el. . . . . . . .r3/4 ,d/e es-:. p-,:es. ,t.p p.i .: .e,.e:lo.-prb roi:.en vi:,gre.: ro usaa rostocrates:de :has
ja lomo Ch FRq--M T j ue4r ier ondi .oL. e ce.templedu peupl :pe laeVpourai
ev otre�sete eul1esEoda
�s ~~~ ~ TON au int-UBllt eg, l.2 iec l etdps aCh;bsae e .$ers, ch zepans ae pa
r0.Traites surParis.�.234.prme i. vote ncsuite la loi .i .rige. Potrt- e u.m.
nkwGenme transfert s/Pads-&51/4 &5I ;2of4 prime dePaix en1>ymmune de .34me class.- rttana nxes
, Dette Tnt, Haiti 1912.87 . a. val, Le Secr�taire dEt e. :Int�rieur N.
IDe t.e .t. Ha. 1913, 89 . . a. val.- soilicite lurgence pour l loi a dant Nos avoens reu ave plast
I jlo�t91 hua l�a Commune dui Cap l'autorisation de to de flUn�dles de Mette Frtd
N FRN�O rbmhi' n~�u~contracter un emprunt: ce qui est Thizan aves Mr �rnst Ltwn.
oCette toil sera disete juudi
o. Impor ta t . �sca . hierEiepo . .rjrae . .eid .;:. eue t-.d.r.rmetratnMsti
__ �lW4F40 RaiIl 11054
ssart sans dbu. par un vif incident entre les d�put�s notn du Pouvoir Ex�eutif ducn.:t.a t s. .abondance de maiUes ono ue ~e professe 4 8. Sylvain et C�#rimond C�sar, �t pro, g�n� eu f901 present� per le Gouver' met pas de fire p4ratre on ce a ce matin, ex.-9 pos des 31000 dollars votes an faveur ~ nement, accornt f Mr Joseph Aam le' vers de Mo.CeUr Hodson 0 neo o depuis du premier.-Aigres ripostes de V. Sy[d le privil�ge exclusif de la fabicaton �t Louis, avocat, d�di�s � Moe ur e villauxgintune, vain. e de .a vente desp allumettes aur le terris pu� B .au ais JenFi.ran�i
ce r�gal vrai. On passa ensuite Ahl discussion du ? oire d Raifi. nous out i envo� depuls la se
rore article de Retri. Question pralable d 4 d�put�4 Ce projet �tait � ordre du jour. dernire., envos nfihounent heu. Dhnnel qui explique qu'il votera contre Le s�nateur Lb�r�ssoa prie le Mtindis ijours avec -un - A l'article I grave icident entre le hoe de bien vouloir dire le molif de IVEartal1tG
oissant: Ons me d�put� C. L�on et lar Cabinet, pr�sent, cette d�cision,. LUC Aiphonne 1fn
vous adresser . * . L�on d�veloppa longuement les Mr' Pradel r�pond qu'un monopole j Est d�edd� ette �uit, � 1age de vus p raYttnt qui le -portent a donner � hi de ce genr-e ne peut pas �;ra accord� as LuAlpns Ndste
no, vospr ovlegourde d'or V�quivaileRM dn no par icolier. i �dus, e Alphonte et apr#"
devos atrUides; frano, au lieu du qttart de dollar afin L~ Sat vote la loi qui moodifie Par- cnvripaesira feotChet prt pace me mma qu'fJatti pubsse entr-er dans l'Union ticir3Q sur les Conseits cnmmurantx ~ rendre pararCadb4draiC6us vail Seulement Latin4. C'est ainsi qu'ow pourra, de Les s�nateurs Cauviu, D�ir el Lira. reNosAl Catdacslaam accompli vous concert, avec la Banque1 faire oeuvre que se sont fait entendre. -NstodlacsAl
herch�, hoy� inpeccable, d�finitive Mr Lh�rissou prie le Ministre de la:
.naissseurs Vo - Le Ministre onamy combat vive- Justice de enseigner sur le fait vant llliaht
ae s pli an meh�t cqutte proposition ti/, oe aux Mer Mac.Donah l .ncessionar. du Le ei.dem rM e D�ssoN
"de a pens�e voi%" est adopt6e. (natmon de contrat de tqu-banne s doit ys les:y" do:a�:leai, : :.jd : $ .
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