Le Nouvelliste ( August 8, 1913 )

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Aro-Clubde France annonce sa nouvelle note, soUent que c ductive do pays; elles ont �td pluit
lment que M. Henri Deutsch te loi est une vi�lation d fraitl_ pas faites pour satlifire d'irnsatib es app�
aMeurthe donnera le prix de s� entre le Ja6o� etlesEtats-Un s, tis. C'est t ue veritel que persoene . ne.osera tel d.: mer. - Voulose toute.
} :Maucs -prom�s ar M.Decs promis par M De Cours du March boiS, comme seIablerait lo d�sirer piAa. .~ 5


:qPuhi A rriv�s. I
AIRE 9 -Les stdamerstPrins lewBa, Schwarzwaid et 'Vit- v
3 :ont : arriv�s .
ttl4pruSlou Avoue ses tu
Rs 8 i .Mr Armand Deperrena.recnnu aujourd'hIaVoir ~u. s fux. pourobtir des


SPAi 9.7- Rente 3 8o:v
HAVRE .- 9-Caaos 1es .5 Martinique,l5 a 18 frane; deloupe, 15 � 118.
LOND�ES 9. - Sucre de b rave, le quintal, 9 3d, NEw-YoBRK 9. - Sucres la I polaris�, .373; muscovado, Amiase 8S% 2o 8


:los Guu



.vre 3.2.


)tr aiquement la. brocnure en question,
octroyer .aeinelemenat . ce papier la vaSleur effectiveu dollar, pare que i a florigine la goorde-en �tait l�quivMlent,
o'utant -toutde uite reconndtre aux'
Smilliers :.de o s a.eiens g6nraux, si libsralement dot�s de leurs brevets par -es ancien.s Pr�sidents d la 1��pubig la capacit� ds: g:d .n�raux :trano erPioup pouvoir lotter i f thpras .ea fis avecs autres �atins.-:" - ri:P . . : .,,.:i .7 ,:','.,".: ':. . :. " .:( . . . " ' . . . '


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e sable, san ordre et t�conomnw.
G t e ioutefois une mntnlit� q�i
e discIipiie, de tas jours, ien Hai i o n no cr�e plus de g�n�raux de tot�tes ri� ces; on a senti la n�cessit� <'f ne Itforme qi mette les choses � leur ptace. On s'eflorce actuellement d'itn~r air des soldatr,que le m�rite seti doit faire mont id�rarehiquementaux plus bauits :grades de FArm�ie.
Si l'on veut, nrsas tarder, donnrer a papier-monnaio unre I vleur t'ective qut'il na pag, pourquoi ne pas �mettr. tout de s lte encore 15 millions de ppier, et pe dle temps apr�s leur deer &ter, aiust qu'aux autres rnillions f exul. tant, la valeur du dollar?
Un pnpier �mis par un particulirr ou uan Etat, n'a que la valeur que lui donne la richesse ou le cr�dit de cel t qui l'�met. Il vaut la totalit� de sa vleur, ou seuIement la moiti�, le quart, le huiti�me, et m�me parfois qti'uni chiffon.

Si--donc, apr�s m�res rilexior.nous ne nous sentons point de taille � faire que l'ordre et t'conomnie �teignent no dettes,-emprunts et �missions,---�ar la oie --naturelle, progressive, examinons les moyus a r�tifieieis proposes coimme :un baume A notre situatiou mondtaire.


ulae . noti aX repra ants: des sldts psvres Mo�taire, Cette rquetiron, sans d-oute,
PuissanSae � So 00 inten - ParIS P.Mr Klotz, ministre de a�t.'a rebatue a stti. Gependant Ife combie pen p o1nniQssent! Qls sont,
~ue dmobihiser sonarmee des 'i nt�eneur, aadress� une circulare ~d moins, ceux qui l'ont suffisamment 4atiture du traitde paix. taux prblets au sujeldes allocations btudi�e dans sa complexie pour en i Pa~ix IBlkesique assre A accorder aux familles des soldats parltr en toute connaissance de cautse? l�n 9-- ,- La commission pauvres.---Il leur recommande de de
~~ l 'a ir trait de paix veiller ce qu'it ne se produise pas Tout dabo:d, rappelons comme I-. . er: IDAUSCO , aSi d . d abus. troduetion prejudicelle �a la question
teduic.e matin sur. led er : ab., . . mon�taire. que nous ne comprenons
Sarticle. Le trait� sera sign� Trembleentl de terre. e Algere pas que ls fintances d'un pars doivent iain matin , PARis8. Une d�peche d'l rie �tre g�ries autrement que celles d'un
Unm T-Deum a�t�--c�l�br� � la dit qu'un tremblement de ----terre . particulier,-� 'esta� dire autrement qu' h Iale pour f�tiEe :retour de s'est produit a Soukahras. avec ordre indispensable a l'�quilibre
dans les Balkans La foule a t prise de paniqu. des recettes et des d�penses.
l . ps e1d�f.1 de pa dut d'ordre, c'est le d�sordre,
a Gr�ce et la Serbie se sont Plusieurs maisons sont l�zard@es c'est le gapillage, c'est la p�che en erv�es le droit de soumettre ia eaux troubles dont pour un Etat l'emtoud'indemni au tribunal Espagne prunt e�t le papier-monnaie sont les
>.a -Hay . rnCuc-h.e-onqu enc as.
LONDREs - Une d�p�che de avec les iareeains rebelles i un enta at � �teindre une dette
ES d'empru,��iB� -- �r � - ��aneierp, ou �
ucharest annonce que la Bulga MDRID8. -- On annonce que les d'ire te retrait d'une miasion de pa. arenoc�sE'f es pr�tentions sur ngociations du Gouvernement per monnaie a profit d'une --nation port i avaaisur f'A(ehipeL espagnolavec les chefs des tribus enti�re, du moment qu'it tait l'un et
S e et e le est maroaines ont �chou� l'atre aut moyen d'�conomies produit
.e r 0. . raix a u de l' rdre, e'esb en.--,lais si, .,pour
Si mp-tes~ r . gr t a a navo ir pas i �qauilibrer un budget au
i une paix "sin��bre et dura- s ires �prvenives.- Arrestatisas moyen de 'ordre et de l'�conomie, it SB:. I"AGELONA9t-Ain s qu'on le emprunte et �met du papier.monnaie,
France craignait, la Conf�deration du Tra. et qu'ensuite pour se d�bar asser de
a . . . . l'un il se sert de f'autre, c'est tourner
�Wrte (n iimporSt explosif 'vai ea ot�, aujourd'hui, la greve tara un cerce vicieux, qui �finralePARIS 9. -- On annonce que le generale. ment am�ne oUne catastrophe,- C'est
SFran�ais su vc Le Gouvernement est d�cid� � la bogique des fits. 0uverement .Fran�ais suit.avec,,iE
sdint�r�sttlesexp�rienes que. r�primer l emeute, d�clarer la vil Emettre du' -pspier pour avoir de l'argUdivhrit au ,s ve. Cet nven- que e n �tat de si�ge et a pris les me- gent sans emprunter, puis emprunter
r y tVpreinvenr retirer son papier avec de 'arara d�couvert le moyen de pro- sures n�cessaires, gent, eest,vILgirement ditboucher un
S des rayonsi ultra violets Plusieurs dirigeants de la Con- trou avec un autre tro'u plus grartd,
d - f�deration duTravait ont et� arr- Voulons- nous, pouons-ous avoir des
Sd20kilomtres, et e aire e uit finances constamment �quilibr�es, payer
.rosf e re81 dietCe de la I-t ei r nos deles - empruns et �missionrs
e, eme dans une bo�te de avec le produit de nos �conomies? Eh
S"an. Nouvellt e gr�ve 1ilaa1 bien nous dit on que, vivions-nous ou
Onassure qu'� la m�me distan- MILAw 8.---Pour la 2�me fois en pas sous un ,�gime de papier monnaie,
on: pourait faire sauter un tor- sx semaines la grbve g�n�rale a ce sera �giement le progt�s pour le
Ir ic diare ic Depuis 4 jours e pay,Ur. Ad�clarle Avec Fordre et l'�conomie, le papierAcjittementL e Cespyn commaerce est absolument arrt� mounaie dispar�itra irnsensibeme�t, ta
AnN8 Mmerspy- st i Cent cinquante mile ouvriers dette da la Nition s'teeinda d'eile
~i:a0�8-Mme�trespy est 8"c.
it�e, Lafoule, si hotiie ces der ont quiltt� le travail parce que les mamesane qu'elle lui en ait ot � d'in nio. a app, audi le vesdit f patrons n'ont pas voulu accorder r, . o ,-a applaudl vrO e taux ouvriers en m�tallurgie du Mars a mesurant nos forces, nou s oe
i;!,. ' . ., ,,i ,. . , . . . ; .--- u -er tone point sti.M am m eneit m�rcs
L ) f b e 1 e ett fPi6montt eti la et Lombardile l aug- pour toir qu es con melissoent
RIs 8. On: troyait un mi mentation d'un sou et dems par anosdetes,- emprunt et missions-par dss.88 l8s miliein0a .a�onh< (&is-4ciamatent'-.'-la-- .it. ar1re~rrogressive .ovaun
l'arrestation de M De jons a la er masm s aretiIels,

de ampt de flmpasse o� nous caommes4
- tirier e. 1f-r-en sera . -OKIt I 9.-Le Gouverneme Ir e. . *
; roClub de France a d�, Drepare une ponse � la nouvel , Hati a i�t� ertainement amende � tou'rd'hui �l~que la coupe des le note dBo M. Bryan, concernant eatte impasse diffifcile.-- comme le dit sph�iquese et la cou .pe d estoi o sur les propnrit�s fonc�res fort b>len une brochure r�cemment pa.
I d' fb Calzti~~g~~nifrai8ue-- a sumit5 d'mission qui ot
4ns . seOS s8puteraient . en Ca�frne ao. s pas :6 iftes en proportions des be.e indiqu e. Le Gouvernement Japonasi ns de Eta t de la capacit ro
]Lle �� . :.� � , � ��-.� � . . $ Bl t l. t1 � t�t et {le ta cta t e ro-


le" 7* ::e O:~RYefa4m.:i :i-ent 1


La dificult� pour rou?, vu l'�ted,(Ite de la questioa, e�t de la condenser en on I�sum� succinct, rmis acces~sile � tons.
Quelle est l'origine de la q uestio actueie?-CG'st l'Emprunt rd i millious, et dans eat emprunt quelle est la partie qui nous int�resse 0 rincipalement? C'est l'article r�serv�, dans notre (Contrat d Emprunt, a la R�forme Mon�taire.--VoIoi cet article dont peu de personnes ont bienp�n�tr� l'esprit. Il faut si savoir lire entre les lignes.
a Art 17.Une somme de dix millions de francs restera r�serv�e pour t'ex�cution d'un programme de r�fortne mon�taire, qui comportera notamment le retrait de la totalit� du papier-monnaie �mis par le Gouvernement et �veni tuellement du wtcke1, et ce, dans les conditions pr�vues dans l'acte de concession de la B[ngue Nationale de la Repoublque d H �t . No t at�r m-rtrn ion sur Teux point esserntiels. Ce n'st pas un simpie Retrait.'c'est une R�forme &Mou�-taire dont il a'agileitR raiLaIeILan. qu'ane tons�quence. Secondement, t Ri .forme avant pour but principalta fi, :it� du change,:: � qu a tau. ce co.ntra . pr4voii l lei etrat. et la sta bilisaion dut
Indubitablement, bien que le tAuxire soit pas exlDticiement indiqu�, � 5 pour , Pouquoui? Parce que, dit I'articie 12 de notne Contrat de Concession, parce que,-- li z entre lignes--- . La Banque e'emploiera �galement de tout son pouvoir pour faire admettre par l'Union Latine la nouvelle monnaie nationale ainsi cr��e.s - Qu'est-.ce que cela veut dire? C'est que la nouvelle monnaie hba�.ienne que prdvoient les signa. taires dz Contrat des 65 millions, sera, comme le liane, comme la lire italihtne. comme les antiennes pi�ces helve. tiques et grecques, rf�u, suivant convenion en trt ces pays.avec l'�quivalence du'franti et accept� au "m�me titre dana tous les pays de I'Union Mon�tairte Latine,
Si le projet avait �6t� CO�tu � 4 pour 1, ou autre taux in�rieur, 11 eut failu ptus que dix millions de frarce,pdisqu� tes dix millions ne pr�ient nt�garai


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Le Contrat de Conces

Sserversa fbcult quit. po
meut de retirer le pap fldide de for ambricain.
pour jouir de cette facui .:.ement aurait � recourr.

ne pense pas que le Cou puisse, les 15 millions �i

faire, soit tout jaste 5 pot
Daus ce d�b it, le lectel
>erdre de vue ce qui pri plus ce qui suit.- gti- Oni sai aites � ensemble de. P millions� critiques qui ne
ifster sosn eonver . . . .fl: iI fl a N et .


".": ' . . .
plul personne ne devrai igcorr les du Gouvernement Am�ricain dans tn


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'.�es dans le d dtmru :rt et die toi*qued ditai, dbecre que le Goua tra tout enter, qui est si prjudicable
-q,


aux int�r�ts am ricais, si nuiible . 1 Souverainet. d'IHt, si i just dans sos op�rationis pour le peuple d IIYiII. �


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.t a budg'4 . .des. e es par r.i:



k :: actuels. �i: pour i dollar4 .mil billets or --- 15 mnilions dt billes
E-Sasuie retraiter et brier millio de bilMIts dolilars pat r&In %evaleur d ce ikn a�ckt~ remetre e aresuation a i0me de sa valeur actwelle, .-. o'es'dire


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P qtt .q. N. .ss.t q vers les heures senter ses sia
d a so iGou.en. . .
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S, n . II.t.Commuone a
o rtint, qui metn
:A la Cat--iqd -: l aotis lesaw

j I.tropo:. tie l retrai:te a des ecuersgagner ss foy n de lArchdidse et du diocee des Go *ppelle p o� dex :ounets qu
--messe pon : . bqite assistait fi disting
le Pr� ident d a l.b.qe L. e Gbral Jus


Or, on connait comment., pr I suite,.s ies Qp a: ui po1ur tu U. or W 1M)rwa.soiree ieut iu
Is cho�es se d:roul�ren t. La Frane tQ < c4emouie du b �ii-er de pi
par lUnion Parisienn, �a, au db, 0 � 01
le seul pays repr�sent� dins I BU q ecome mou pp111 dppoit et decrcu a< tea ingnuo
p a r l U �tio n~~------ ------------ t.: t . -----bi t -':. . . .- -------- -------- ------- ; 1-1 . :.::.: . " . _ . ":. i

".Nationalee de iaR4pubiqse d i i i.Po.ur io .cou te. - Le de uame numero de a
. .modifier l'attude comninlo're du Ce qui laisserait le p, ys avec une cr- + oural dominie apwu.
Gouvernement Etoil�., des m uson : ai- mnon ui aciatre de; 2 ,mdlions bdIet. it . contie.nt drd �re.ssawi
emaides et amricaines firent admises et ickel dost nous recoamandons l
. : .comme. co-aswociees dans.e to.trat-de-. . . - Now comp.l me ., ointf
. le . -o . '-: . :.:concession*. osoit n t oJ de " t d ons hs �ex d sueeaM M
L'importance de ce qui pr�c�d e ,'Ja garantis p.r no.D l oca.t s de francs redacteur e h de e~ce p
Ch ppera:::pas au Iecteur qui -gra quel 'or, goi restraent en dp la B i" . le [at o-on �QI~: F6fat ife �@ratd-e.eo-M�id- . i 4----[iaE---".- ::, -.,.:.--.- -.~.---.-:-.--- ---"-. -------- . IE.
le fate o frait de co idr a que or am icain pr firee ser t or
.' .questio� aerht-oe, 7Itiniennssie Bnq, vice de de lechange des billts et d
Nationle dM lb :avecla n ouvelle li Aes:- millios. d deraitdroit kaur. . sirtuatia ^ Oi e
que ifNintroial� dfei 1�pidte d1H cr��e sous I protection d abord d B o ut toutes les valeurs provenant des Ei eflet, elle est A peu de di France, puis de VAlea ge, e .-ttot unps pr�ous au proj actuel da vile; cependant nous ne. a
du Grand f Ave, tisseur et Prietr Retrai, j usqu concu;tence des3 mih deporer b d�sinvoltures 's.
ut).R oobl�ques Aurbricai es res lions de b ets ett. k I circult . --ta ines ersonunesde el se
E'ats Unis : � Le . e � .q "v. e soir surtou, le st~o:l tile *
Que Bnciene Banque ast n dnS t inim e de 3 .uthous d ,nt k. g se _ dIs �un
potntsparo� te-otvei remeuni dii "o '-., ns.spr -m iri.-e reposer . .w4.stun
. . un dep�t ijaienabiDe et sacr, so ajadis a s imerci, cela fest pas douteux, . , Nous avonqs .la ferme esp
tn'en est pas de mme aiourt t i responsalbiht dea tiujue , les trois; te t : t de cho e, i sera p m-d�o.s f peuvent�, e r�isent es t - .
avec 1 nouelte Banque. - - qui tou te i pr . B Vautorite supeieure e n
sem bk e.a echav e �� -. �. . :. � - -. � . -. .
sa libert4 d action, n'ayant prtcipe a ordres formeIs aux ofilie
auctoe etompromission. Eile est doce ," ad: .�< - au is l, qu dans; de maintnir 1: o dre; et ce
respectable et a des protecteurs sues /3 seraet pr bien de toue.
" seatesia � echinge par te -commerce, ce
rarmment puissants pour itre :respecter .ts � . i ne, a le c ECe, c Groupe de vill
qui laisserait daus ies-m is e pre.e
les contracts passes avec elle. -- ui i laisserait dss de p-: d -
.2d milios d hbtts, 1 mdlion dt 4
pos� des moifs" .do- projet-BUonamv re- 0 il
.onat, du rest-, et pr-ocame le -t de lars seulement en eircuat.io pour les P our doa�
co oit, du rest{. et proclame le fAt de .s spectahiit etda a s os penses jpurnalirs mai par otre puu, " rons demair
ces termes : dan s ecoltes, ce m�me comneree de Mme Vve D�rantahthi
SNous somes for.s de le e.- se trouverait tfore et dans obigation fiant lanote du .: Maiin , N
con�ltre.ce refus( d dla anque> � tait d.e revenir a la Banque avec so or, ; credi 6 Aoft. intt uti: u l�gitime. Les textes ne l'issent aucun pour ravoir des bitiesetde Ia monaie dan is ue glise, -- les ide doutace u . Nols .a.o s ps n dispensables aux achts de deur�es me D a Dur-t-I-v figan
Sle droit de proder aiisi La sove- �exporables. " . :: conditions i ac .
L aostxoti de Cate pe rs*i-t�ne 4 no
rainet� na lo(aIe ne va pas .juqu'� n Lu d e prine. .
"pas oir disparahre. les 2 miins & orn . '
permettre de violer les contrats qUi ont f pa o d .
�.- ��. . r. g". .:. , t.fl sanc o �, C, r d s col ta "d :la B.nque sorIt conten .us t :81I:"IX I.:: : :
trpou.ren to C a ori -44inon me-deorre . --- c
.d. con.oursd double A Thd cosa sai or V
: e: : i e or , d ajou r qu� �it� na t . -i.rq. . de otre-R.o.ue C P . . s du tou .
on-at nvvai rien � faire bon. No con---t - 0 tolte psacorar,, .
on? Neconsste t�epaa contrare Lre ( )pa f Eom d l.Brye I rep aus qi sIrioux eg
* respecter les engemens E gaemen n t

el; p Wn o r n an o the e de44 Btnque de 'fraw ee-?.tst*v rtab t G't a u nwm vIvi 7
ble que pour des individus consid��s 1 aencouhe m�me de son opinion per: si jai bie saisi as.paeu
islmei l 11es l d asonnelle de Bamtalbse, former une un boo caltonrst pour l
io m. l osento :T V 10m � U . . . .
i d�p�t � la Banquede France dans un tion m' rjou a ce poin: .a ' but patriotique. ( niquernment dans le qu'il l a fait-e. j 'ai pas0ntrat de Banque, -est tout dispos� l i lei ciatle des renseignements i� remplir les engagements pris prto le ) (Cest donc pour ce.m�me motif� qu'� v�ritable enqu�te, quoi ! pa
loine Simon. Chrg�d'appliquer aujour Iconserv� dans les coffes de la Bsque nien dans les vtines.



suite- alors m�me qu'il Wen appouve. III N les petits iOls de Pdllo le t
asit paSa fiond maintes parties essen INFORMATIONStlaR publique; pareille faveu
:"::.:::; :.: .+:.:.;: .: i + B :+3: $ ;.td .::: O f : .� : .:i ; .::: : - . f ::�: /:3F .: .> :i :% . :? :- :i: ::: :. ::+: :::: ;i : +i+ii :::.:>!::i : i: : :: : ::.:- .� :9 1 iii;ii � i:: ::::::::::::::::::::::::7 : :: � : :!? :>-:: :F :+: #: .i�:


Voult-il ouefoi, dans le d�sir de i- -- travaili pour la Paie; pa
b�r---sausavoirIrempl les obligations Or Amnriostf.*.390*/. pour moicharlous quiaitr
4vf s e sjuelque sort SOS e. ep. balles proliqu de inu
8ofto. BO e a I.bq u2


'fimposanste p La r�nutar d


ls � tOUs poin un tfficier f


le Ec bIerent qui saura
.,rem .rquer -comme hd(I A S,


a lecture. f. La popuiion de VAreashde touours i di~ .i que ette .lompagui . . :�: : " : " ". . . . . . :.:. . . . . . . . . . .
uriel nr, bone vot.e 4 exploitation dep


p�ther d rester Vraiment


on de Thor. .S podits alenares.


ee laquelle s . cet agard, e tl� retorit e t :i::: ggta d


oir qu' aun A la Direction Pas


s:i:er s:.: Pour le u .
era or leque. on est cblige de ir la i. t u : : iat er reMspirer ���n. peu lair

apage.
par tradition, ou 1pour jouir .rand'. recti tous P�tion Vle qm d'a.il o du me s�par e Por$au Prince x files e Le plus sovint, dans unta
tio-Vdle) et le p�re4 retent labeuars quotiden, reste ioi
Le phlu. h�utorrapr�t la lfa ermettr gerbore ra
plin me di- atetirn,,pteaent lou a EeI< r�pondis jet ils le foo tpl.are d t atp t les b�pu�ts a as domestiques&�s#r et0 .leu
~R~~-rt�:lol1se .ri � et i~~t'~
� �1 �,2


fouta� je.& E a.Wo td bi'FMle
, il propose tore, ni bons ls ritaes par cos�quent
S pro4o1 maison d 0n il que depui. tendre contre de rup w: js bahnde cosmopC et les vieux � la bande des isitea, je - U- Alors tes mi , je fis une qualM&r 510si our savoir si ment priv4s de ang Dessali� mais sans uan
me et de leurs ssent, je se- ce martyre ju ne travaille. h�ateux pour e un homm. .e faee&aut faveur �our eachet� d�ns le ondateur de rem de de 'le� ri pour ex' comme les bies qui out bien demain arrive reille faveur peuveta montei onv4 h mmrt ,,.as4r.


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t :,n ; p or; d-c-d- be-r a m o n GL g .! .f rmLa. - la H a si d e--. n . don t t C Uri mon Gour L futi�railfrs t rrs \.< -. Cm
pr sm eet sprs.midi k convoi partirn de la
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t plus t 5edre eMi serv e aJtdae.j la lise du tirage du 2' Juin dernier, 4 1

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