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aggeje hrbariti es �ega�ns Mlan an� nce que' 1saviateur BiMiTflnSt3. -lC TOI CODSIRfl de quUai enbreel� be
(in aivoy� lesmessage suivant dans satettvd ataeseds
asmaistre dsaffaires �trang6res IAlpes, a pleinemoent r�ussi aujoura t
gree:w DWans son rapporle com- dhu- .
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dansla cour d>�ole de Demir4His est venu aa errir � Man
ia deux prtres et une centaie � umnali�.eLp agrs s�eial
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de ntables Grees qnfls massa PAs 13. M . Poincar4 a pr cr�rent~ Les corps ,ds victimesfsid� au Trocadero: la t�te du cene ayaxt 4t�. exhum�sco�firmdnt ces . 1 m million des prvovants de , atroed� . Iavenir: 1 a.:� re� par MM. Dude n-umb�:,reuses y:eunes fites Onpe : - - , . d'elles er ayant r�ist�, ft cou- prononc� un discours dans lequel
p�e an matceaux-- ---n
if a faitl.eloge de la mutuali� t
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Er r oet anms . nom apres du pregr�s social. Les prvoyants
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. ~ ~ ~ z l e PavenIr 00 eDul aSit utn10
arsa es -e.: de ces , nt ensuite asis�
cow les a.tes deha�qu et o au grand palas
monstres hufizt. pr�side -pal r Mr Barthou.
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ealbe l derieresprt ax d. ttpr!ide t cotuamission d
.pM tes Qu, esp�raient que la ar4ar l s�nateur en rem pe-raent _ --a.
Russie russirait faire aeptr placemen rt de Mr Pnault dec�d�
Son arbitrage aux bellig�rants: I Mexque
Les spectateurs. du conflit out staileii interdie
toujours cru que a Serbie accep - - .l ao s
Maxico 1,p Ls autor'Ites mb terait les conseils de mod�tation can o rs utoris
que lui donnmait Europe, apres xicaine ot refs i dautoriser aux
�udiants la mafestat on qu nis
l'�chee des5 he gares; en M.acedo -.
l�he . . u e e avaient projet�e pour aujourd'hul.
.ne, .uais doutaienit que les Grecs La police a re�u ordre d'empcher
vnudra�ient entendre raison, le peu.ple et iarm�a tant inon-t tabie- tout.e manifestation.
menti gtis.s par leurs victoires sur Canal de Panama
les Bul gars.Ls itravaux sout presqu ter fait�s9
&France VWasINGsTOx 13 -taprs le
. . . ' . . . Canal Record , organe oiticiel
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MoNmrIsoN .M. L:--ine de la commission du canal de Pa
M u ��:mos 43,--.'M , L �pine, ai]- . . .". . . .a .
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ttn ptftde a 4 4 991 1 travaux sont pour ainsi
put�. d la Lo.e nre�:upaerna ai-:. i:f. : e-1Ue:�[g ee
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Loien r sQuelguesdrran ae e
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se s:nt rendu -P.r�o ainGerva *au mig de la Gon4�d4ra
tion g�ndrae du travaiL
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M .iursVaifiant et quinze U u
Ires �raters socialiste%, Ont pro
noned de"violents discours contre3 la loi de trois ans De nombreux,
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agents se irouvaieant a proximit' { pr�t .m in ve nir, m as la fo.ul
test disperse sans inde uts, .
j�ploits Ariens
: ARIS 13. *L'aviareur.-be8o0, is-�
ci pourt la coupe Pommery. s'est envol� ce matin de Villaeodblay, a 7 beure~ 152; ,ia fait escale � Vani ne et � Reims. Apr�s avoir d�crit quelques cercles autour de a�rodrome, il pren:ait la dire'tion de :TEFst
-Une d�pche de B erlin dt :qu
prs' avoir fait escale � t oogn, Letort a -aterri A �-rodrome de! 54ohanni4�sl avat niffeci� le tl&me
trandorrer de t4#-va n r�alid0 elles tbranterent le cite et la terre. VoilA Ymprwssion fmae qui aest rest
de~~_ .mti- d imance., eer
cee Porlau-Princ4- .m t:A�-qui a st ne Victoire du Vra, On succ g�n ral pour 'Assoc.iaton dies rmem yn brs du C .orps Eseignant partiuier pour son prsident, M L . LbrisIso fin fn tiomple pour Madame Th �d o 1 '-.H.:.
A d'Ae certains moments comme une �pid�mie qui ggie de pI che en pro. b, r e e �d�e
na�tse r�pad, se propage par conta gio: et :e :disparait q~apres avoi. aec compi soo auvre, qu'aptes avoir �t� amen�e ' efer. La faiie de l'�duea.tion ela.ssique, la d�cadence de 15ducateiotmdiate, la d�chance lu caracltre l~dd saggation ds la conscience, lavachisemen. de [�me nauon'e, on ne parle que de cela dep u .is elque Ie.mps. C est a eroire qu'u sortir de l'�eole, sur es routes de la vie, nous nous conuduions comme des r�volt �s, des anarchistes, contre lesqu'els se fait sentir la n�cess4 d'une r�pression ,dA une contraine, duie polie'd, et [examen des faits.nous donne ra-ts4,
O alots sos t.nt comme individus
e"comme socte .? Gest ce que l'on &at -id parti i -e t d quoi
Fo,1 parle assez souven danq s les cercles et les salons.-Monsieur Lh�cisson et Madjame Th�od.ora H-oliv out voulu re. pondre i la ques:ion et Ils ont r�pondu en connaissance d:_ mual dont sot r' e le payv. Leur conciuson est dentique: le pet ie u Ieducation est -e p�:ii de la morale , le p�ril de la conscience cationaie; c'est la mere de fimile qui pour. ra le piusai:�ment la -cojurer.
Mr L. C. Liesson a p9o e. uLes arsoeationIs ne sont uiles que si elies ont un buot pr�cis auquel elles tendent par oes t itts co: .sLts, ineeltgen's et d�sint�ress� de ceux q si les comnpo. se,., Depuis vrg g a . Association des membres d <.orp4 E ,igarnt a mis en Suvre tout 1t d�vouement, out le paotr-osme desi ble pou r ain river 3 S. .A. mulple, compexe: amior. tion des condiou-s - la v.e sculai~re, adptaoion des piogrammes aux nece;sit�s des temps et aux b.soins de~ i vidius,, tELe J.de . tom gi�s p�d.go}ques
SAb3eticr d'�ducatione, un certain m�pris de soi m�me, c'est � dire bbsene de dignit� .et de caract�re, absence de moralit�, toutes caractristiques d'une malformation du coeur et d'une:perver, sion de la pens�e. Le caraetre est a i �hysionome de 1 �me, d�cla .t.--4ellae SLes grand�s pens�es vienn td emur, a-t-on dit. Pour .releve i.0 t 1veau moral, tant des individas que de la socite, il- faut entreprendre de 4 I farmer le cour,et les el�ments de cettea r�formation sont linstruction. et U�ducation. La notion du bien et du mal, du bien qui est pet mis, obligatoire, du mal qui est d�fendu, doit �tre de plis eplus. d�velopp�e -suivantla li--dii'��. t la raison humaine. L'�ducation doit tendre moins � l'extirpation des instinets (qu'a .edr di-re�lion et � leur disa, ciplinrie morale. Lune des causes de notre paludisme intellectuel est la pra., ique de la litt�rature pernicieuse en vogue depuis quelque temps: nous avons un int�r� t pntriotique � nos grr. der du rdalismre et de la lia raur brutale.
Contre notre .d�eadence, Mme HoIly propose un rem�de, la seule efficace, n--s difficile � administrer, parce qu'i va contre une tradition malsaine, contre d(es h�r�dit�s morbides et tous les instbncts mauvais qui dorment dans le eur du plus grand nombre de nos concitoyeis ; elle prescrit une cure de ptriouisme.
R ,ppeler � nos fils es m�rites et la gr-andeur de nos aboux malgr� leur anci-une quklid d'esclaves, exalter leurSbravoure, leur heroisme et la magnani-. Smit� de qelques-uns d'entre euf:ir revivre la mordit t� de nos premiers ad.
Smis.rateursuo gotr ineetuelle
d tiS le pass� en uUn mot, mettre .ous Ln� A A . . . , . . Zktp%�p%:. m,2 -� :- . .
oftseriend eis asquestion�s.if- 1les Yf-(eux e oS fl18 les Justes causes . Cours du h . .teress.-t a popnuoi des �co, ex t t . Img Qiguetl paLriniqu et
o ----�e d1 Tiif�tibfCiJ , mordtrer que du pase et du prisant
LONDRE s 14 -Suere de ba tterave menta.tion da ra reqent�uon scol. CSt le dern ier qui pdce contre la lu e quintal:9s; centrifugal0 I4 l!2; re etc.� m� t st devowr imp�rieux qui
muscovado, 9~ 3{. L'�sociation oi I mas pu 4ouer InCOmhO anx m�res dtaujourd huai et de
.z. vad o "_ ""&. � 'd" . .
avec c�alm et assurance au mitleu d in demai.- Vi d .Parte souffle pussant Gonsolid�s f 3/8. flueuce4 fi�rieures t �avorables.Pour et indsperisb e de lareligion ce de.
Cours.de la Banque dtAngleter.4 tan0 est palarN 8Oldait�qe 0o0 ar voeI nepeut m rqner deprodire leI
re, 4 1 o/o/ rivera r�pandre les um.res.� semer fet tant dsuable et que cheun de re
le bien moral, qui se �ransfoi mera de- ardemme : la reo ation morale de l LIVEZRPOOL --Coto ,-a livre: mai en r�colites de bieinfits dans tous patrie.
6714 le cha.mps de notre activit�; c'est pr Voilt autnt que je me rappelle, les
NEWrv-YR l4.--Fai nes marqiue la solidarit� que 'on d4veloppprv d o id�es qtI out dte agtees hu �ours de la
. ' plusen plus le eniment de la g 0- reA0b e c ugerie laquelle MUr Lho.
Hungarlalle barili, $ dito d PI
Ungarian, earil4 p d10 nationate.-L diction railo nelle du risson avait .es aimablement invit� le
ma�s 3.% sucres la livre; poa pe e, C'st dtre SuivtJ seS -ptiju. pLblie qui a r epeind iu4 � son appel tant ris, 3.54; Imuscovado, 3.04; me de s et ses besoins c'est le lve e tos p r le ombre que par la qtalit� des
Iass, eSo& "279 . les patrioes; eest celi surtut deM audtere. E s ire diverses personnalhPorc mess ordinaire, le bari Lh�risson, Q uand il enr parle ~ faut tes, on remarquait Mr D. Bellfgarde
$23 2�" 35 -. ' .voir quele traasformatuou soure eo q representa't le LhtF de IEta, Mr
,Caf� .o livre:dla�ui-1/4,10 sa personne; sa physionomie expres~ o Ministre Nlathon, etc, etc.
afesla lvre: Hai, 9 / a 0 .si.ve s'avive davaItge, Pesprit qui . . -Je ne pArlerai pas du manqued'action /2; Puerto-Cabello,- 10 1/2 a nime lui Spir les plus mo.%s, -es fas- de M-me Ttodora t tfft-quwr tr.t
i, 03 f. la i '. / . beaux accenet, et si to ne connaissait r�cit� sa conf�rence, ni do es voix
Cacaos aliv ti /2 la largeur d: .s vues d e l'orateur, lon chanteuse, monotone, et qui n'est p a.
13/4 Catupa." : 4 � 145/8 j s'enhardirait � penser que cel qui na touours juste dans sa ponctuatton, t Ch.arupanon, a. b./8. pas surla question t.esa. mes ides q(ae de quelques togueurs qui surchargenange- urL ndres,.- . Mr Lhrisson, pet tre tenu pour son le d�veloppement et attestent un certaia. Paris. 521 7/8. ennemi personneL. d�sordre dans la plan gd�nraL.Poir tr
"ambourg, 9 4-/4 Madme Th�odora Holly surcda au publi�e, la conf rence agrbable da
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s . be ro je esime, no d et nous ferons toujours mieux entives � r e ger w re onp0b
M - aN N O a
loUypiiu'ils n pevent ue met Absolument e est porquai, e man urgncet vote imm d jet tt ago c
dim siner o n� l�gitime et �zlntant sc main encore, .on. vous -dresons �e o t a e abt. mWgnt l$ppoduun d sers ass-r meet edeeptS po
confNrence aon a pu demander�s dedix I coneurs aux membres u Corps {quant larticle 7& du R.g.tlmen.VOOlait qi nr4 solutionedn ra.
M.,orait �u e ob je.uexamentropE
Voo-stee M r de minutieux4
Dis cours do M. L. Q. LMri o t t�ia:�d s 1:0 e r : t 11:)" do nw�d��e o " L
EnAaveend�ntqe npu ' niss oes pa, lasre lu s r cop snd do s uo de rat
Mee sdaes, Mes.u. .ole arrived a t .e d d e. place . sent victim
utiles, ne rendent des ser vices que s mener � bien. Cest d elle que dtpen Aoe de cet lo, i1 opposera une tie. .o du t u de l. pl. .
ees ot n but p is, sicrement de 'qu bre social et la prosp e digue a t en hssemen La nouvelle e s
acens� r�pondant neuement � des be. de l nation batidenne4 lot a& e d'aifleurs rien qui ne sott viron siante-quine mille
iules;-i in#st pa r�eessdre de tls compact dont la doctrine s�bv&rstve ne L'Assembl�e a pass� M rs au Vote de en�rehle� d'un MrWFhlix su
ci.ent notre attenion fm i de notre cter pays tvenu - 1. commune lu pays d'origine. mes meelieun sentimeats
senUtet de solid tra cus unira, tanJu somms$ tr� rsovtt in- lm'Assemble des d aIrs n ex
d-es m siu om hier et au imaf ~�iecoora� A , . a< toMours d'nt m rdire Vazces de' notre territore a rbscerm de purs udisicg
j .ourd t. pau eri e. .l u. . .s .trangr. C.r.s .ous ne voulo s pas abe c pou jo u r agav
courgem" l nOUS tut luer, .11eSsieurs Uutter :ertcuer ta pnote i �t rangter laborieux Fe
Aussi, estce avec unegrande Uj que e e ogirnreti sans esse et te -oaurs. ent avec ses capit. .x. installer C
nousslon votre prsence parmi . . . A ous ut sauver e q.n tre e AiLia cw nous' une indnuse uwl ce que .h.a �ximmdiaemnt
C est avec no rel pair q e nous dr 4 nous v siplement e�im- 'session prochaine4ed -lf�n
phrysom di syrnpit�nqu ceer ts Yp de4 tus, g eaw anx Ur t t* on, r ls a ation des le&ments nisibles, t
physioomLeqympahr 5�u U�n vi fil'A our 0, te a Jota sort Utiles surtout pour < T otrIe
notre cher et ancien pruea dent. M Din > ;i ds< : antLoue lu e destSssdines, a' TWusY I etr rger n est ws ten de tes Nie le Di ecteur,- Dep
e quale e e p on C top , de o ire. Nus puvOns ainsi par trop etanche a �� trnit
::----- ----- COW~~O3i~mair,~ siS~~ *I~~ Woet a S$ ~ fatiF~i
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eMichel Orest qo. apres . cord� .de sr. Yavou, des Ldenainre pIe mut de cpitaux ve dans h pen- a o pays rgotern
cepton an Pa N Nat onal e o d er es F�rou. se , e de s' tab ir si ieus ent,apprenant ufl um de tempsi, u
seil d'administration nous donne encore des lenriette s �t-Marc, des MmePa a dPabarquenaent quo exige u ea.- deut, pour air ce petirav nlots u ne pretve ecltan te de haul i geot, des Mme Pau Louerture des ie jUicrar donit il' pas ': pr . " .er lafacita de raro a@
ter.et. P-et--te nos e vous prie ~~e _.lme Cheva er, des Mme Sacques M.au- caution de se munir,peutJ forih betout j lI, point Vol on mais .4 'Ime c et ceest toutr, Bienu plus: nien
Oreste l'expression respetu t use de : nous bu� sura sauver td je . dieinote on voy o s o trs tes toup :o
toiu nos sentiments econ"�S.u sans. ne est ,- dre s. are: [ a reni , s sns penser . se mOnir de son " creuser plus ha .
Nous remercions aus M. M on, 1e . pour tout cel, i -ous (Aut nouS ser judicaire. Nous devons [ire de cependant que cela contit
distingu� SecrB�tre d'Eta des Rla u) et nous amer* scem , oo m~ un devons * seuement par troite
. t ions E�rienet_.�e.fegrane rtd beiu.Lnf.n. Amu FLeurr d. Favnoroir rimeee pn �_t : nttIs o i1. re m les aures plus I~cqu'il p~'exi qull ocasionne d~a~es emba
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eu dav r t d .n re.m.uttn .out su-"out la force de: s bo s, des re gent de .ous d.e.
lu.elecdun pressemeutPrwee btab et nous et unissons nous por combattre est rejetee. tant Vyeuztheftdes mo
avie lin emp�ress nriam lramenl et courageusement les m.au Sur l demandees d4u -Csa dt eheval f li
vdis qui pMrutest ce "'pOys;~ potr t Latortue. les amendes �tablies par la qui auait pa 4tre.gnve, e
Nos conf�rences de cett ann�e ont efnie doismrre ii Sidu .s. 3 . L pt L fort a. o q e .ahque. Quand
milteun dal. d r c - '. Enfin, e dpS Louis PQoph�t au ni
ombreoux. Encore un lo notre no e e mbe fi. pre
chaleureux remerciements ses plus sin- 'Iitorner dui d@hruJ btration. xI R
ces f�licitation MM. Ilbeau, Carrdi.Porsere.na, Danache, Dor:.sinvil em orA ricain.87 ltrai er d q tr lar tion e Ju ilte
Viard Ces les ouvriers du Progrs Billets de . . . esp. t utle orti
- .-.ont sem .; souhaitons que la moison . . k L. / tc escp. E t i ne s.t u les, - a vques du G-soit abondante et fk.uctueuse!.;. Chi�que sur N-York . 4 % prime EtPoa.san.Prane��.leMge.
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ce et i sa grande connadssanee des he! Detteini Raid I912 , 92f ad val.- qd s O nsid
'soins du mlie Elleestprobab1elmetia - - M. Michel Oreste, pt�sident de �a. bu religieux de Porta an
premire�femme onerunenfecrem de ta lamentable
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etje puismme ajouter que nou&empor-, Apts lecture de la correspo nee, lamihes, s'etend avec les Ev4ques jn
terous de s brillate conf�rence une l Ministre Bonamy demande Iinterver- d'Haiti pour 1* fondation des Eos -St [Empertr Guillaum
impression aussi douce> aussi r�confor- fissement de' ordre do jour pour faire dans les C ehapelesrurales , ver Vnerg�e bes
tante quinifaable. I [ d�p�t de quelques projets de loi-I Une excellente convnntion y relative a lourdebe tient
me follty nit sera pas la seuled dd4pos un 'projet de loi modifiant les j 4tpr4nee a ministr#d tInte �ribde t�t�larit�da s, vie
sons pr&ter lercmncr d son '0l:1: -3l 6 0e1 el . dosu
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