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.La m.e.rm . d.na
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.e. mo ntdW. o"u'ragait' so adve.air que dars o�pher< par ne V'honsetur do na fnille 1 VUn a a4
suspque0 I8Rtat1108 rat rsIwe iLblN el a on sensation tatu Betihstag quand le g�n�.e thsousler, d �put� bavarois du itrt1 t attqu� le projet dianb� taion do larme, qui o0.' nera 'us pens d.e t .3. ).0110 defranus'
l a di qu'il �tait impossible, r des raisons financi�res, dapper le principe entier du ser , a universel en Allemagne. Il a iqu�beaucoup de d�tails du
e a insist� sur ue r�due' Sde la dur�ed: serice-. :a condamn� 1ariillele ailende, comme ne salsaisant pas c besoins modernes, et a dit : lesofficilers de Parm�e avaierit Speu:a faire.
Bruxelles
La grve g��rale-i t du 14 .
RUEitXELLES 10e Le dernier esitque Von avait de pouvoir emIF : :. . -?:- - .; . ::: ._ . . . .
pher gr�ve g6nrale4 s est en dvo�.Il est r�sent certain que le
-d.: mouvement organis� var 4eaallta elu rs dans un hut- pureent politique,commencera lundi.
Vatica
Ca.vaesae tea PapeROME 10.- Le docteur Amici, in des m�decins du Pape, d�cla. r- aujourd'hui qu'il esp�re que la flflMaineprochaine, le Souverain �nife entrera en convalescence BoME . * L�'4tat: de ant� du Pape continue A �tre satisfaisant.
La QuestIon d'Orient
Le It emet eliabl ique
NEw YoK f ,a-. D'apr�s une �pChe dVinle, les Puissances ela Tri'ple A liance favorisent la
JS de Salo e �� la Bulga
� l0ompensationde la cession
'I~S ,et D n . arie teorri-
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9a4 �raiYav�s es Puiv
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a e aTrpe Alliance.annonce dr Beigrade que1 rnpe� sed*s' aidant les MonisE dEnt trr on t re�u 4e reggner la Serbe lOi y Iu X de Londres an, t que la Bul garie maintient oil tur Saonique et prend' (.t i.ostiohn militaires pour rW'%tu tevendications. t�ce qncentre son arm�e Sla :ie ferr�e aboutis
bi)onique.
Etats4UnIs
PPAtO1$0, **Loin de s'a m�ho*A' sr���oggg par latgr�ve.
IDP1o'$8 4M irflpflWayS, s'est �e::. : . .;., .: . ; ;i:-::! T:.h i : . . . .�.
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ticote agraye a�jonrdiiui Le Spremier incide6tO srieux s'est pr@ I du�it l".ne ieure de Yapr�s-midi, quandS la compagnie a vouu faire irc.uler des tranmways.
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Le Chol�ra encColomble oGoTA i1-, Iraprs les noui :.eles de Santa-Marta, le chol�ra aurit fait son apparition dans le port et prend d.es proportionsalar-, Jmantes.
Mexique
l�rai alleot e eririer
MEXico. Un train.a d�raill� pr�s de T lahidalgo. -Vingt pas' sagers ou t�ele tu�s et quarante blesses'
-s s m. . . . . . . h
chine
Nouvelle d *enlie
P�KIN l.-Le Br�silt a reconnUo oficiellement la R�publique Cli noise. "
'On d�ment la nouvelle, parue
--,dans ha- presse�trangre,. au sujet de Yassass Ia du .vic&Pri.de Li Yuangl ung
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NEW-YOnK t.-Sucres la polaris�, 3.36; muscovado, m�lasse, o, 2 61. Porc mess ordinaire, le 821 .75 � 22.25.
HIavRE t1L--Le steamer r�ale est ari.v�.
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livre, livre: 2.86; haril, Mont'.
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�inmnt i ans ttMere 'ElU .i lS�t kI#ter prt des e9 ag�rdtious ppuiairat u0 m&me temps que m porte parole do' cgux qui briguent le povoir.
Qa comprend d�s tloq&eIo on gar' ~ de au.cuine.mesre et qudte enmtti tous les ex,. pedan t qe, figu�de u ltesplus que atriles l. py s demnu j d gr�ce, aI tne f
M. l -oracio Vaequ z, n d s candi dats:, a dit que 1l_ peOiple dui). at wlibre dans le bie, a petedu tout dro au. desordre.,e -Nos voisins n o4t pas Pair de comprendre le o's et la fo'l�e de ces mo.Pourtant ita sej )miient pleinmlent. Que ion y voi p n m p n crainte pu,�rile on une arme de combat t
Messieuts delasquez et Jme �es ont eu, nous f'avons dit, u)n combre �g i de voix Mais que l'on nre s ern�prenne pas: les autres p[rties reStent di boutl. Il ya d'ailleurs de la marge pur eux. L'in--tervalle qui leur est --la.iss� se remplira d intrigues on fEveur.des groupes battus � l'ure.
Le g�n�ral Desiderio Arias que tes derniers �v�nements o)t entour� d une sorte d'aur�ole, soutiendra t ila comme
Jimen�s? t1ratio Vaqusz se .ec�era. n de ta .l t.i e. . fe n.ati u .de
de Luis Felipe Vdal? Tel. est l'�tat de surexcitation des espis que l'on ne peut d'une fi�on pr�cise repondrF �
.~~.qe o oeame � beau*oup d'au1 tics dtit�s 'mm SQS
La pre;se sceptique voil, au bout, le douloureux recomimenceme.t des luttes arm�e.- li faut souli iter que nos Fr res de lEs,, revenus au cme, conja . rent le p�ril q(lui les menace qL'heure est solennelle, dit El Tiempo. Seront ex�cr�s ceux qui, au lieu de chaerher Ssauver le pays en �lisant un citoye, neutre, conient � qui ne le m�rite pas le mandat de la pre idence inter�imai. re.
Nous ne voulons retenir que la premi�re phrase l'heure est solennelle. Que nos voisits y pensent bien. Qa'ils se rappellent les d�sastres � r�parer au triple point de \ua poli ique, fiancier et social I Q 'envsageant de pr�e les r�fomnes � fore, ils renoncent aux que rel'.es qui n'ont que trop entami� 'leu Pays et uilisent. loyalemeit ltes �nergies
La campagne se continue en Domini- t dispers�es. incanme avec une telle, aculte que l on ne peu: en augurer fissue, Parmi tes. Cet article �lit d#ijX compos� quand candidas e� prsence, -Messieurs Ji est arriv�e la nouvelle de l'4ection du metes et Velasuqu y Fernand z em s�nateur Bordas � la presidence prov. blent conerrta enrnpuhblhie e pde tM aqie Domi�iclne,
Au Sa, n dernier tur � ot N.us SO. . d S heur eu de pouvoir ft
ontmbtre dgpl de voi S'l fut e me tar� sur ce. �tisemetnt qui,
rpporer r ltdu s rtinits nt is uons lesp�rer, aura pour eiet
actuillereut es deux personnages ens de mettre fii-� la situation iqui�tas te i . qui le sort devra decider. que nous veons de signaler.
Quel sera '�lu en fin de compte? O u a-ne peut le dire. Les journaux divis�s,
incotcijbles, m�enent leur train autour
des noms.e,'�.relieftous,.l'inspirationGALE�fiE D LA PENSES
des chefs de la R�volution qui travail. PA S. .
letIt ao'ivement e vue d'assurer le 'triomphe, chacun selonses pr�frence. Be a n r u
ou attaches. Benjamin Fruneau
La d�mission de Mgr-Nouel er�e chez Dt main est le 87e anniversaire de la nos voisinS uie situatlion particuli�re- mort de Bn ajamin Fruneau survenue a ment trouble. La lutte .s'st reuouvel�e Port-au Prince en 1831. -Il �tait n� � au fond plus.apre. E .si appatem.ent,j l'Ie. de Frnce en '1809. II bile � devedepuis la �untion du S�nat, les chances nit citoyen h lien, il arriva dans le pays ,so pr'eisent,on peutn�anmoins aitrmer en 4830. que le chaos n'a pa css� dexister. Professer de sciences au ly e�e de L'enthousiasme st le m�me de tous Port-au-Prince, il rfatait dans la c�t�w: tew-ppsiter "omrntrastent teurI Com'merce � or'eidiS '4e pareM.le les apptit s'entre-chq et, Duton Inginac sur conomie politique oi'n peut dir�e. Et dans cet emmle� ins�r�s dans le journal le Phare,organe ment de fait,gu�re de perspective d'en- du s'CI eW .ena lo ginc. Celte po : teteSOn ne te r�signe spa � iitl a.l l�mique abohiutit des persou�alit�s of. criice que r�clame li'nt� �t de tou. feusantes, Frhneau pubia an article
Le ?ace;dI 13 AvP I l eso b>4t drtnt au sabre o nt �&n de n& brax% t�rnaes. tano ingic lut prnfort. 0 ::x . o .�. ;.-.:.:. 9 f ' z" . . .f)" :
d�wtuit aeint 'A un coup �� la tirP, ai I pr� do i p . d i . e � i
la poitrin d�. Frun.su qu .i tomba i.enaLe Corff d Po VrUfln lut pFZ toUon
fout fr monde re p�tbal t �Av4nr. mIntI, a ,,OEppt*Um eu #npurs,11 y ft (0t5r 1O)r)dae ds�m :aion% n obneques tln lQldU)> Qm.<> v�>tfra contret 10 gouveruement let #ond o tnontril in gi in O e n e� a neP&t d1e vant W e f ni o .1al. Le Lyce ��itg i 4 face de
vli ptal - a tre, l s n so trovntrva n C l ne Fdodri. Na van rf. Le cOnvi( arriva devant r 1Eglieu r, Le vnicire
*xv;n�l 4dulto.iur�
Les opposru se ,arigb�rent avec le convoi par les rues des Fronts Forts et R�publieame pour se rendre au cimetire. Les cries sedtieux retentirent de nouveau. Les postes urent augment�s par autori e milintaire. alins lapresmidi, la trartquiitit� �tait paraite.
Le Pr�sident boyer �tait absent et so trouva it sur une de ses habitations A irahaie. Le rmistre publi poursuivit hut ci'oyeui �pr�venus d'avoir pagruiepe4ces" un1hif hiatons, e lasgtagn a trnbund corrc�venel le 5�1 Avril ; ils furent acquitt�s, le tribunal ayant d�clar� qu'il 'y avait pas de cris s�diteux, contrairement � la proclama* 1tio du t�sident i i du 20 Avril o� I qu'ivt �dif
lions et cris s& diieux.
L our Tousaint ouvertur
'u $uyr duJ"�t de JAn�, o
iLne a /u n Os te!a
Mes cee+s �leves,
SEl' ce jour d anniversaire que Ir le Directeur de cet �tablissement veut bien faire revivre pour vous incuiquer le respect, Fl'admiration, la v�n�ration et le coite de ,cos A�eux il1 m'est agr�able de vous adresser ces quelques consid�ratio is hitoriques.
L'histoire d'aun peuple est le meilleur enseg iement qi puisse lui �tre offert. C'est le I1mbeau qui �claire, le phare lumiieux qui dirige ses -pas � travers les �tes C'et un flr rtflet de f civilhsation. Aus+;-eat- ee avec un soin j"doux ".que tep nat asopote.e, en renaegitrerut et-coiservent les �v�n�ments au xquels elles wt pris part et atta. chet un souvenir imp�rissable � ceux de leurs fis qui se sont illustr�s P r des actions gorieuses, lesq(luelles ont di, leur �clat C'est un des inedleurs leg pour un peuple que ces noms qui dominent toute l'his toire nationale et imposent le respect et l'admiration � un� suite de g�n�radions. De quelle auSre�ole de gloire soot el�our� tes h�ros qu ont vu n i re ces peuples. C e sont (des types, des mnod�les qu'od'rent au genre humaiy ainee une salisfaction toute ltegtme, cis nationsauxquelles a sott a accord� le doux privil�ge de les compler au nombre do leurs en
- Q-e--ues exemples . . .ilus.trero� t notre pens�e. C'est une Jo. bien pure pou"6 u, citoyen . p� d11 cater :altt.ler le.s posesse de -o�s Xi et de . i.b -. parte; un jt. t orgueil pour tut. Au glai un Allemwxnt'eutendre louer to grandes figures dle son histoire: utn Edotard, un. Fr�d�ric. Les. Ruse: sont �meridles des actes de Pierr@ 49
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Le
lien et St
U74fHLUANDAT2
steamer IWtns Vrederlk daik venant de Newp York Marc4 cst attendui ici dirman
cite 13 AvriL.
Ih partira Ilundi malin 4 huit hetres pr�cises, pour Peti-Go�ve, J�r�mie, Ca yes, Aquin, Jacmel Cura�ao, �lvre et Amsterdam.
Port-au-Prince, 12 Avril 1913.
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Port.au Prince, 12 Avril '1913
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