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theure actuelle .presque aux mi. s des Mont�l rin, gr~ce au sacrifice de deux cents soldats chargs de lancer des grenades � mains, ii m!: om ':o s �.: :':: . qui out 1ous p�ri. it a,, avires de guerre anfrilieu s
.�.a l ies:u etgi tIs �'
CETNE 2,.* :-.Quatre navires de guerre.: autridiens sont arriv�s ce matin dans les:: eaux mont�n� grine&,,
Obs�ques du rei .Geo rges
ATH�NEs 2.- Les obsques d u. joi George de Gr�ce-ont eu lieu �ujourd.hui -avec un c�r� onial Himposat, :Comme on n'en aVait ja:mais ,vu d�ans la moderne Athnes� dLes Grkdes
vmissionsai 6anrs. Jes d�p�sa uiw4 diE�
�As.e Mineure, y assisvaien�
.-.-.---.5
Service fueatre our le roi de Gr�ce
PARIS 2.--- Un service a eu lieu' aujourd'hui � 'Eglise grecque en l'honneurdu roi Georges.--- Les membres de la l�gation et de nourbreux Grecs r�sidant � Paris y assistaieit.
MIr Falli} es et les Souverains Blges,
PARs2 -M. Falli�res a rendu Visit e c matin au, Roi Albert et a la Reine Elisabeth, de Belgique.
La frante eles Elats Unis
PARis 2.-- 4J J. Hazen Hyde a fai une conf�rence sur le r�le joui par la Fran.ce dans le d�ve ltoppement des Etats Unis. ---Il' n U uaIa 1ic tfrh�iQ
la.onsf lZrales,.I'Angleerre, la France et les "Elas-Unis, taien4avantg, rtde dr iumnit� et. quelles .unissaient leurs efforts. r le d�v eloppement. de la civiq.
Le $sp be Jafrgan
~P4.tLTo�tes les f�rmalit�s
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y ar le transport a corpsde M r organ par la France ont �t� remtuplies gr l'amtbassadeu r de
raDSS: 4 ome. b ':� : e
Aviation
IUt 2r*- Le balion dirigeable.
USit avec neuf passagerS, a
.uru la distance dl lssy les Oineaux Verdon, n 4 hesre
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te sergetithan 5Ox aidateur militaire, s'est u� aujpordthni A Amiens.
I rivait de Reims Pa par la : vo i , quand par suite. d'une
f#Y piatSuvre 8u mrnnent do
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sa et S'�bat�it avec violente sur
Les u�is adirgeates 1miliares
BE BLE 2** e N ord Deutsche
I-" . . . . . . . :� .
-Algemeine Zeitung publie une not� semi officielle engageant lese journaux allemands a� absenir �a .l'avenir de rendre compte des voyages et evolutions des ballons dirigeables militaires .allemands.
Angleterre
Les Sonvera sisAnglais en Allemsagte
LoN rES 2:. -- Le roj George et, la reine Marie :ont accept� l'invita-. tion qui leurfirt adress�e par Guillaume Ild'assister au mariage de a princesse Victoria-Louise avec le prin ce Ernest Auguste de Curberland.
Tk �tre de fil edme i ed ANVERS 2 -te 1h14Are8de I i1-, M i�-ef
par uu-incendie. Il n' ya pas d SC cident� de: personnes:. :Les pertes sontesim�es � plusieurs millions de francs.
La prineesse Louise d�boul�e
de ses droits � l'h�ritage
BaUXE.s.ES 2.---La Cour d'appel a d�bout� la p'incesse Louise St�phanie de ses droits � l'hritage du feu roi L�opold, et l'a condamn�e aux frais du proc�s.
. . 5,SDCI5fT3 ,4� ,444at &4 IX'k) trai** flsMtalt, r4nwi e in.k a
g't4artre st. o.i�er.W du ' e h. f%�orai. . nr n. n . . .
waiun. I est irrdinctible, mnai. a0 - disai nt incoescensent quelu.�s '-*_. " mvent DIra que lein auvaisses ft4nues, �Cela pasat tout de m�rme, et 1k but
II st :erain que nos a von, .e d., vet;. fints commun's, puieque nons �ous on- - I J je : Nent �� patm tendo s i merveille l ais, au f�otd, 'llothut qui raconte - oir entendu
vbcu.n suit10 pechh.t qusi I.trin. chanter <* terre de. Fr ance
SCe jn . pas pour me d�uI e r .qe L o, t non je lo dis, car .i . tenez pluout hwiit F n n '. on Jot , C{nn . o .
firmaion (d""es: :fifdisani, je vou d;rai1 J' q bin enttendu mi- ene " que lhumant est dividke e deux por,- f4nmur ,i l'rnt w, i n tons in�gales d'honntes gens et "de fiui n'a p"raie caon t , malraitueur h sas biet q'il eiste,IU Ii de toMmen ou das to bheme cst mains on ile prtend, ue te rre neutre, rtout un et ptint, d lice, Allei, Je 10
patrie de ates interm�d orcs ind� vcus interromps plus " cises' et flottantes. Mais, dans a lote _-s lct. b .en, est. aini. . : tsii n o� leso. forts.:. broyet. pUve I enti an amour efr. fi es g do etdes pa .pimt les bibes, ils me r�punet dad� t lettes qui n r ngeait pa, jo l'aflirme, mettre Vexistence de neutres. Ont exist le coeur de cs humbles au co traire, te pour le mal ou pour le bier. O qui s'est dvelopp� h lear detrirnent--a travaille pour te diable ou por le bon tot gch. On a so ite pendant vingt
Dieu. Le bien ayant moins d'. araitq .as.a-changement une r�etion.Voo le mal que 'on fait son semblablei voyez ce qui est arriv� Enfin les scepqu'y at i d'etonnant qu'un plus grand tiques sont v�nus. Le but cette fois est nombre d'mmes fasse p' t ce c que d�pass�,bien qu'ils professent � l'gard ice ad. de ces choses le dd ti des insineres
j.e dplore pour mon ami le rappr qui eient ce qu'ils mprisen. De chement entre lui et moi. Je O'ai pas sor d que te mal subsiste aun autre ie beau ou p de fai e pour le bitn. ,.t core plus gran I lu coexiste. lore qu'.
'formes, les mdtres et les livres: Wmd jeunes hommes, et tes enfants en son: sor Bellegarde et son Instruction cIv. venus eux m�mes � mepriser La Desque. J avais pr�vu cela, Belegarde est saUnienne. un anachronisme vivant. Fort heureu. .On constate quotidiennement la d�sement les mahres veillaient! Pein de cadence; nous suffoquons � l'odeur de. bon sens i!s ont refus� la porte � lin- la pourriture.Des crivains, cepentruse.-Les mitres ont bien it et ceux dant, ont sembid en �tre
j Etats-Unis
cicparati , WeCfSt prol r0j
a -vcqnpos de mauvaises langes. , .uvelle sis,
. . .--------. .------� %J ai vu , � c t ri ue , no u vele 8s, M )�
Les inondations �Le scepticisme, dit mon ami Lin- des ongleurs prea ccps diseuter les
Cgno (l1.>2 -La ville n'est pas dre, qu'aflichent les hommes de ce p-9' s anc�tres et tout presses de modifier is encore hors de danger.On fait des apprtenant a la bogeoisede, est classement qu'is en avaient pr�c�demhimpos� � la foule. Je crois bien qu'il y ment bit ; jrai VU des gens qui s�ont efforts inouis pour emp�cher qu a actuellement parmi ous un nobre ipas beaucoup d'eprit, et, assu ent
le digues ne soient emport�es. moindre de bons h;,��iens que d'amo 'ont point d� ceur,m�dire de la oi pa.
Hier soir, Fune des digues a ce au o s vous aimez mieux, de c triotique n ge volu.
d� et les .eaux se. spat �pandues ye-- .mrph, qui ne vivet-qrgpour- : t.t ei &Efr, en ce temps�----- e a ui ----e t m a--r---------- e x------& -n.i. e:.et malerit's de '. e" , les hornms avaient des vertu s qu Ceo vuce�vnce.e.Noscmuro nous y ente e honte aujourdbiai. Notre
.carr�s.c.'~~~m. un signe des temps. Et ' co 'e qui pays subit une crise du .patrt�t .
Dans [Ouest de lEtat de en- devrait agir pour 4pargner ce Ilau �� Nous sommes plus savants mais plus
t ucki dnle s d de .idiana, et jeunesse, cot 'git pas. L dca pervers; nous smues es itaymais du
le sud de inois la siuatin n dence o ue e tes nouvelle g�nera Mondel
.s'est a am�liore. ePd an .t�u�at enoeapu~pervrsession � a ten ed t � not e �dueatio
.i. n . n. F. u -,e Pl . vbarr meusat Le e�me t but que les �duce . rs
sot en danger tf�tre envahies . Eh bien ou eela n'a pas �oUn dautrefois ot pourtant banni inse0".:. " . . . ." : . : . " .- : . .- . -' C .:.-. -:.jo r . . u.:.""u.n-. . . :.: . .-. ; . . "� . u z u l )
. 000prsonesen uesse ours ain.i Iu.t une epoque o� Lado truction civique et morate, nrion de tur
. del tescence �tat un age chnmant, pifn programme, mais de leur enseigne
Ip OUISVILLE 2 - mZi e .de bone humeur, garce oe les jeu et. 'est l� u secret du savant.
personnes sot sans abris. Le gou- no bommes,les ines mmdisetaet Devoirs envers la patrie, devoirs
ver ur MacCreary a re�u des des hommes de foi,,J'eenends souvet envers la nmlile et les p�rents, devoirs
appels pressans .des -localit�s ri- voquer ave d�lice ces temps o, dans envers les sup�rieurs et lVs inf�rieuts.
SnOh' d ad no oles primaires, on chantait nfl ete, tout cela importe peu.
veraines ds l'Oho, qui demandent chu � la fin de la. joun�e ces vers .Nauu ellement. Nous ohvons que
dies secours:z On dit que 50 00 salt1 trois fois salut, org�eel jh la vew�se, des droits. personnes ont besoin- qu'on leur,.D�sormais .sur m Iuhjehantea tgelu hechate. Do, puique toas renient ces
i .v . . . .i . X . . . . . : . . . . . . . . .- --- �. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .-- -- - - . . . . . . . . . . � , t"u o i e n e t e
ien e-ri aide .-- - Le. �coliers d'autrois e aressem- antids devoirsil[ ne restera plus person.blaient pas a. ceux d'aujourd huit is ine pour en �veidler le sentiment a ealaMaien consienceuseint, ommeIPa, Cours du March� cena.ent coeieusement, omme ' me de la jeunesse; puisque nous lu ,
PARs3.--Bente 3 oor ts sappiquaient devoir; ieux dons nos charges, il 'y aura plus per.ils chantaient ave �lan et ils rayon- sounrie. pour remonter les d�faillants, LNDRES �2. - Sucre de bette- rent elrectiemt; ils �:aiu 6ct t " "at -'estr 's ion respee.
ravey t .e quin �rtd .4 t.ses Q�tit .quelque ohose Car, en i- tueuse a I'antiqu& fatalitt cependant
LIVERPOOL 2 -- oton la livre, sant uppel un jourou l'autre � leurs- que dans l'ordie moral, tout comme
. .bonies disposit�ns htitives, .n e� pu dans lordre mat�riel4 il ya des victoi* Squ� . , beaucoup obtenir ils potaient en lents res � reaporter qui font partie du pa. LONDRES- 3r- Sucires at0 l , oeurs omme :une h�erve d'orgueil trimoine de gloire d'une nation; -il y a Centrifugal, 1Q f ldJ2/; LusCova hiddita:ir sur -aquable o . ouvait de blles ,id&s A servir, de grandes
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plus ~j'� peet ou'a �fnden nocet� u
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